Onyx (Nini), mon ange,
Nini, mon coeur, voilà 8 semaines aujourd'hui, tu passais ta dernière soirée avec nous. On savait que le lendemain, on devait t'emmener chez le vétérinaire pour t'endormir pour que tu ne souffres plus. Cela faisait 15 jours que tu étais sans vie. Toi, un petit chien si vif habituellement, presque du jour au lendemain, tu n'as plus voulu aller te promener (toi qui adorais tes 2 balades journalières, où tu narguais les copains derrière leur clôture), tu n'as plus voulu jouer à ta baballe rouge alors qu'avant, il m'était impossible de suivre un programme télé sans que tu m'amènes ta baballe, tu n'as plus voulu manger, même tes lamelles et tes bonbons que tu adorais et que tu attendais devant le placard en faisant ta danse de St Guy...
C'était si dur de te voir dans cet état, tu ne bougeais plus, tu ne trouvais plus ta respiration...
J'ai dormi avec toi les 15 derniers jours pour veiller sur toi à chaque instant, maman nous a rejoints la dernière nuit.
Mon ange, tu me manques tellement, tu étais mon rayon de soleil, mon bébé, mon amour, mon coeur... tant de qualificatifs par lesquels je t'appelais.
Tu étais mon équilibre, ma béquille. Grâce à toi, chaque jour, je pouvais sourire, le simple fait de te regarder remplissait mon coeur de bonheur. Tu étais si chou avec ta petite bouille, tes petits yeux ronds...même après 12 ans, j'étais toujours émerveillée par ta beauté, avec toi, c'était un coup de foudre à chaque regard.
Tu étais mon réconfort, tu m'apaisais tellement. Tu m'apportais tant mon ange. Tu étais mon petit pot de colle adoré, on formait un petit couple tous les 2, toujours ensemble. Tu étais ma priorité, ton bonheur comptait avant tout, je voulais te rendre tout l'amour que tu m'apportais au quotidien.
C'est si dur sans toi, tous ces moments de complicité, de rire, de tendresse, d'amour... me manquent tellement.
Comme je te disais souvent, "nous on s'aime tellement fort que personne ne comprend notre amour". Nous vivions un amour passionnel et fusionnel, une relation si particulière comme on en connaît qu'une fois dans une vie.
Ton départ est si brutal pour moi, tu me manques tant, j'aimerais encore tant pouvoir te faire des cocos, te prendre dans mes bras et te faire tout pleins de bisous comme avant, tu devais même me trouver étouffante par moment, mais dès que je te voyais, je ne pouvais pas m'empêcher de te prendre et te parler, tu étais si craquant.
Tu étais un petit chien formidable, exceptionnel, je n'aurais pas pu rêver mieux. Tu étais tout simplement parfait. J'aimais toutes les facettes de ton caractère, aussi bien quand tu faisais ton bébé, que quand tu prenais ton regard taquin ou encore ton côté petit démon au moment de se coucher. Qu'est ce qu'on rigolait avec toi mon petit fripounet!!!
Et que dire quand tu dormais les 4 fers en l'air en ronflant avec ta petite langue de sortie et qu'on n'entendait pas la télé!!! tu étais tout simplement irrésistible, on ne pouvait pas s'empêcher de rigoler, tu étais un programme à toi tout seul... ah, mon amour...
Voilà, demain, ça fera 8 semaines que tu n'es plus avec nous, 8 semaines que la maison est vide et triste. Je ne sors plus de la maison, je n'ai plus de goût à aller chercher le pain sans toi, je te vois gambader, je vois tes oreilles qui ballotent, chaque endroit me rappelle nos promenades. J'étais si fière de te promener...
Toutes tes affaires sont restées à leur place, on a mis ton collier, ta laisse, ta baballe rouge, tes baballes jaunes, ta brosse et ta nourriture préférée dans ton panier. On a mis ton urne dedans à côté de tes nounours.
Tous les matins et soirs, je m'agenouille devant ton panier, je prends ton urne et je te parle. Je te dis combien tu me manques et je te remercie pour tout l'amour que tu m'a donnée ces 12 années. Je te dis que tu peux être fier de toi car tu m'as comblée de bonheur au quotidien. Je te dis aussi que là où tu es, je sais que tu veilles sur moi tout comme moi je veille sur toi et que le jour où je te rejoindrai, je reprendrai à nouveau soin de toi pour toujours.
Matin et soir, je regarde ton album photos (plus de 200 photos) et je te fais des bisous.
Voilà mon ange, je voulais juste te témoigner mon amour. Je ne t'oublierai jamais, tu resteras à jamais dans mon coeur et mes pensées. Tu fais partie de moi, tu vis en moi, je te vois toujours partout, je t'entends, tout est bien gravé dans ma mémoire, chaque instant passé avec toi a été un réel bonheur.
Mon p'ti coeur, je t'aime si fort.
Tu as été ma plus belle rencontre canine, entre nous, c'était un amour inconditionnel.
Linda, ta petite maman qui t'aime de tout son coeur.
De la part de maman,
Oh, mon petit Onyx, Nini comme je t'appelais. Ta petite maman Linda t'a déjà témoigné son amour, je vais dire à mon tour combien tu manques.
Comment vivre sans toi après ces 12 années de bonheur partagé avec toi? Depuis ce 16 avril, mes yeux sont une rivière de larmes. Tu étais perdu sans Linda et moi, mais maintenant, nous aussi on est perdu sans toi mon p'ti lou.
Depuis ton départ, on ne peut plus aller se promener car toutes les balades se faisaient avec toi. Souvent, on partait en voiture pour aller marcher le long du canal ou autre. Tu nous observais nous préparer et quand tu montais dans la voiture, tu étais fou de joie car tu savais que tu allais aller te promener. Avant même d'arriver, tu reconnaissais les lieux, tu étais alors intenable, tu aboyais, impatient de descendre pour faire une longue promenade.
Pour tes balades quotidiennes du soir près de la maison, tu me surveillais, si je n'allais pas avec toi et Linda, tu ne voulais pas aller non plus. Tu voulais tes 2 mamans. Dès que je mettais ma veste, tu faisais alors des bonds de joie et on partait alors tous les 3. Par moment, pendant la promenade,je me cachais et tu t'en apercevais tout de suite, tu ne voulais plus avancer, je t'observais me chercher. Tu me trouvais et on repartait.
Le matin, dès que je me levais, tu pleurais à la porte de ma chambre pour aller dans mon lit. Tu y faisais de gros dodos, les 4 fers en l'air en ronflant.
Et moi, avant de partir au travail, je venais te faire pleins de bisous, le coeur gros de te laisser seul jusqu'à mon retour.
Maintenant, j'ai le coeur gros mais c'est parce que je sais qu'au révéil, tu n'es plus là pour prendre ma place.
A l'heure des repas, tu avais ta chaise entre Linda et moi et tu étais toujours plus intéressé par ce qu'il y avait dans mon assiette. Tu me grattais la cuisse, tu pleurais, tu te léchais les babines en trépignant d'impatience si je ne partageais pas assez vite mon repas avec toi. Parfois, tu ne me laissais que les légumes, canaille! A toi les 3/4 du steack, du foie de veau (tu adorais), ou autre viande...
Sans toi, les repas ne sont plus les mêmes, je donnerai n'importe quoi pour pouvoir encore les partager avec toi.
Tu me manques atrocément mon p'ti lou, avec mes 2 enfants, tu étais ce que j'avais de plus cher au monde.
Souvent, quand Linda n'était pas là, je te disais qu'on était seuls au monde.
Tu étais mon réconfort, mon rayon de soleil, mon amour de petit chien.
Tu as laissé un grand vide dans la maison et dans mon coeur.
Depuis 2008, tu étais soigné pour insuffisance cardiaque mais tu prenais ton petit comprimé tous les jours et ça allait.
En mai 2010, ablation de la rate, en juillet 2010, on t'a retiré une glande salivaire. Dans les 2 cas, ça s'est avéré être des tumeurs bénignes, quel soulagement!!!
Tu as été très courageux, tu t'en es bien remis de tout ça.8 mois de répit et de bonheur à nouveau mais le sort s'est acharné sur toi mon petit coeur. Ton insuffisance cardiaque a évolué rapidement et entraîné diverses complications qui t'ont affaiblies en quelques jours.
Sur conseil du vétérinaire, on a dû prendre cette terrible décision de "t'endormir".
Alors le 16/04/11, c'est avec déchirement et culpabilité qu'on t'a accompagné pour ton dernier dodo au paradis des toutous en te faisant des câlins et te murmurant tout notre amour.
Mon petit nanou, tu nous as tellement donné de bonheur et d'amour à Linda et à moi que même un livre à l'infini de pages ne me suffirait pas pour parler de toi.
Mon petit fripounet,
Ta maman qui t'aime.
le 16/06/2011
Mon coeur,
2 mois aujourd'hui que tu n'es plus là et que rien n'est plus pareil et ne sera jamais plus pareil sans toi, mon petit pot de colle adoré. C'est si dur de se lever, de descendre et que tu ne sois pas dans ton panier les 4 fers en l'air à ronfler. C'est la 1ère chose que je faisais en me réveillant, écouter si je t'entendais ronfler, et alors j'étais rassurée. Je descendais, je m'agenouillais à côté de ton panier et je te faisais des bisous sur ton bibi, sur tes papattes, sur ta tête et toi tu continuais de ronfler, je souriais toute seule. Aujourd'hui, c'est à ton urne que je fais des bisous mais je n'arrive pas à me résoudre que tu sois réduit à ça mon ange.
Tout mon quotidien était rythmé par toi, mon p'ti lou, j'attendais que tu te lèves pour qu'on aille ensemble au bourg à pied chercher le pain. Tu adorais tes promenades, dès qu'on touchait à la laisse, tu étais fou de joie, tu ne tenais plus en place.
Tu te souviens mon ange quand je travaillais et que je rentrais le midi pour manger? J'allais d'abord te promener, je te laissais aller à ton rythme, et tant pis s'il ne me restait que 10 min pour manger. Tu étais ma prorité, tu l'as toujours été, ton bonheur comptait avant tout.
Mon petit coeur, ton collier, tes baballes ainsi que toutes tes affaires sont dans ton panier sous ta couverture mais je n'arrive plus à les prendre ni même à les regarder, c'est beaucoup trop douloureux. Quand je vois ton petit collier vert qui t'allait à ravir, ça me fait trop de mal de me dire qu'il ne sera plus jamais autour de ton petit cou et qu'on n'ira plus se promener.
Et ta fameuse baballe rouge, c'est un crève-coeur de la voir. Combien de fois par jour tu pouvais me l'amener? Je ne pouvais jamais faire le repassage ou la poussière d'un coup, tu voulais toujours jouer. Et c'était même pas la peine d'espérer de rester assise 10 min d'affilée dans le canapé le soir, tu me regardais avec tes petites billes et tu poussais de petits pleurs ou petits soupirs pour que je joue avec toi, canaille!
Tu te souviens quand j'étais au chômage et que l'on jouait parfois pendant 45min sans s'arrêter? Tu adorais que je la mette sous le meuble d'angle dans la chambre à maman ou dans le bac à linge ou encore que je la balance dans l'escalier et qu'elle retombe marche par marche. Tu étais alors si heureux, tu remuais ton bouchon, tu prenais ton regard taquin et coquin et tu faisais alors de beaux wouh wouh qui duraient quelques secondes. Je rigolais toute seule...
Quand je regarde dehors, je te revois, quand tu allais faire pipi à la haie et que tu revenais en courant, avec tes petites oreilles qui ballotaient. T'étais vraiment trop chou, une vraie peluche.
Vers les 18h, j'avais l'habitude d'aller voir la télé en haut, tu ne venais jamais tout de suite car tu hésitais entre rester avec maman en bas ou venir avec moi en haut. Mais chaque fois, je savais que j'avais juste quelques secondes ou minutes à attendre avant de t'entendre pleurer en bas de l'escalier pour me rejoindre. Je descendais alors te chercher et on regardait la télé tous les 2. Mais au bout d'un moment, tu t'impatientais, tu voulais descendre rejoindre maman, tu n'aimais pas quand on n'était pas tous les 3 dans la même pièce.
Tu étais dépendant de nous, tout comme nous de toi, tu faisais ton bébé, excepté le soir au moment de se coucher, un vrai petit démon. Quand maman te mettait à faire pipi par le garage, je t'entendais revenir à toute vitesse en grondant, t'avais peur que pendant ce temps là, j'avais pris tes bonbons. Tu me grognais dessus, c'était trop drôle. Quand je disais bonsoir à maman, alors, tu venais à mes pieds en grondant et tu m'accompagnais jusqu'à l'escalier et je n'avais plus le droit de descendre, sinon, tu grondais très fort...!!! je n'ai jamais su ce qui avait déclenché ça, mais c'était très drôle, je savais qu'en aucun cas, tu ne m'aurais mordu...
Peut-être n'étais-tu tout simplement pas content que je monte me coucher et qu'on soit séparés?
Mon p'ti coeur, tu dois être le petit chien qui a eu le plus de lavage de "cucu", parfois plusieurs par jour. On n'avait qu'à tirer l'eau, tu savais que c'était pour toi, tu venais alors penaud en sortant ton petit bout de langue. On te disait en te taquinant que ça puait, que c'était infecte. On mettait la crème ensuite, un vrai bébé...Et quand on essuyait, c'était trop marrant, tu faisais le grand écart avec tes papattes arrière.
Et que dire de tous tes "beurks" sur le carrelage. Tu ne gardais pas l'eau que tu buvais, les vétérinaires n'ont jamais su pourquoi... on t'appelait sopalin...
Non, vraiment, tu étais unique, parfait, que de bons moments et de bons souvenirs avec toi mon ange.
Les seuls moments où je n'étais pas avec toi, c'était pour aller au travail ou faire les courses, et encore je me dépêchais si maman n'était pas à la maison pour ne pas que tu sois tout seul.
On était toujours ensemble alors aujourd'hui, chaque geste du quotidien est difficile car tu n'es pas avec moi. Tu vois, même là, t'écrire en ce moment, ça me fait bizarre de ne pas te voir à mes côtés. Avant, quand j'étais sur l'ordi, tu étais à mes pieds ou sur mes genoux, je te caressais en même temps, pas toujours évident pour écrire.
Mon ange, le quotidien est si dur sans toi, tu étais mon rayon de soleil, mon ange, mon bébé, mon amour, mon coeur, ma petite boule... tu étais tout pour moi.
Comme je te disais souvent, si j'étais une chienne, je serais raide dingue de toi. Chaque fois que je te regardais, c'était un coup de foudre continuel, la flamme brillait dans mes yeux et dans mon coeur.
Jamais aucun mot ne saura exprimer tout l'amour que je te portais et que je te porterai toujours, c'est un ressenti indescriptible, mon amour pour toi est si fort.
Comme je te disais souvent: "nous on s'aime tellement fort que personne ne comprend notre amour".
Vraiment, mon coeur, rien ne pourra jamais altérer mon amour pour toi, ni le temps qui passe, ni quoi que ce soit d'autre, tu seras toujours dans mon coeur et dans mes pensées, tu fais partie de moi.
Vraiment merci mon ange pour ces 12 années de bonheur, de rires, de câlins, de tendresse, d'amour...
Tu as été ma plus belle histoire, ma plus belle rencontre et jamais je ne pourrai t'oublier.
Merci d'avoir été ce petit chien si merveilleux, si adorable, je n'aurais pas pu rêver mieux.
Tu me manques mon coeur.
Lili, ta petite maman qui t'aime très fort.
Mon petit nanou,
Deux mois aujourd'hui que ce 16 avril, tu t'es envolé au paradis des toutous. Je ne trouve pas les mots pour te dire à quel point tu me manques mon p'ti lou.
Tu es né le 12 janvier 1999 et tu étais le plus petit de la portée parmi les 6 bébés, tout de suite c'est toi qu'on a choisi et tu es arrivé dans notre foyer, tu avais à peine 2 mois. Quel amour de petite boule de poils tu étais, au début tu ne pouvais pas monter dans ton panier ou monter le petit seuil de la maison,tu étais trop chou.
Ca a été le commencement d'une très belle histoire entre nous et de souvenirs que je vais te rappeler ici par quelques anecdotes pour retracer ton caractère de petit fripounet...
Tu te souviens quand tu jouais à la baballe avec Linda et qu'elle en profitait pour se cacher pendant que tu la cherchais? Je te disais alors: "Ben, elle est où Lili, ben, va chercher Lili ! Tu courrais alors dans tous les sens, tu la cherchais dans toutes les pièces en faisant des "heins heins heins" (comment décrire ces petits japissements si propres à toi?) et tu me regardais l'air perplexe quand elle n'était pas dans ses cachettes habituelles.
Quand tu la trouvais, tu faisais des bonds de joie et on repartait pour une nouvelle partie de cache-cache.
Je me souviendrai toujours de cette fois où Linda s'était cachée dans ton panier sous l'escalier, sous ta couverture, et qu'au bout de 10 min, tu ne l'avais toujours pas trouvée. Elle avait alors toussoté pour te guider et après quelques minutes, tu l'avais enfin trouvée. Tu étais resté tout "con" comme si tu étais vexé, mon dieu, quelle crise de fou rire on avait eu...
Ah là là, qu'est-ce qu'on pouvait s'amuser avec toi, nanou !!!
Et que dire de nos promenades cette dernière année... Depuis qu'on t'avait enlevé la rate au mois de mai 2010(tumeur bénigne, quel soulagement!) , et que ton insuffisance cardiaque évoluait, tu fatiguais beaucoup plus vite. C'était vraiment comique lorsque l'on allait marcher le long du canal. Dès que tu voyais un banc, tu te dirigeais droit dessus, et il était alors impossible de te faire avancer. On te disait: "Nini il est fatigué, Nini il veut faire une pause?" Tu nous regardais, l'air coquin, en remuant ton bouchon. On s'asseyait alors une petite demi-heure, on te mettait entre nous deux, on te caressait puis on repartait jusqu'au prochain banc où tu recommençais ton adorable petit cirque, mais qui était nécessaire pour toi.
Comme pour les enfants, y'avait une plaque en bas de l'escalier pour t'empêcher de monter car quand tu montais, tu ne pouvais plus descendre, tu avais pris peur depuis qu'un jour, un ouvrier (cet abruti) t'avait jeté du haut de l'escalier en disant pas de chien ici. Par chance, tu n'avais pas eu de mal...mais ça t'avait laissé une peur panique alors on te prenait dans nos bras pour te descendre.
Par contre, tu les montais quatre à quatre quand Lili ou moi étions rentrées du travail pendant que l'une ou l'autre te promenait. Dès que tu arrivais dans la cour, tu sentais que ta maîtresse manquante était arrivée, tu courrais comme une furie jusqu'à la maison en pleurant, et si tu ne la trouvais pas en bas, tu savais qu'elle était partie se cacher en haut.
Comment vivre sans toi, sans tous ces petits bonheurs quotidiens?
Ton absence est si dure à supporter, la maison est si triste, si silencieuse sans toi...
Tu étais vraiment notre petit trésor, tu faisais partie intégrante de la famille, tu étais le petit roi. Combien de fois les gens nous ont dit: "ah bah lui, c'est pas un petit chien malheureux". C'est vrai, on te choyait tellement, tu étais notre petit bébé...
Tu sais, même ta vétérinaire préférée et les assistantes ont dit qu'elles ne t'oublieraient pas. Faut dire que tu allais souvent les voir (malheureusement), surtout cette dernière année. La vétérinaire t'appelait chouchou, elle disait que t'étais doudouille, c'est vrai, t'étais un petit chien très "précautionneux", elle ne t'avait même pas touché que déjà tu ouinais, p'ti lou!
Mon petit coeur, je t'aimais tellement, jamais je ne pourrai t'oublier, tu seras toujours dans mon coeur et dans mes pensées, tu resteras mon petit Nini d'amour à tout jamais.
Mille baisers mon petit Nanou.
Ta maman qui t'aime très fort.
Le16/04/2012
Mon p'ti coeur, un an s'est écoulé, une année que tu nous a quitté et beaucoup de larmes versées. Je ne te rappellerai pas ici ces 12 années d'amour réciproque, ta petite maman Linda l'a fait et très bien fait.
Ah si, juste un petit message Nini, ton panier, ta baballe rouge, tes nounours........ sont toujours à leur place à la maison, les retirer serait pour moi te perdre une nouvelle fois.
Sache mon p'ti Nini que tu nous a laissé un bel héritage, 12 merveilleuses années passées à tes côtés et ça mon coeur, c'est inestimable.
Ta maman qui t'aime bien au-delà de l'infini.
Un an déjà...le 16/04/12
Mon coeur, mon amour, ma petite boule, mon petit pot de colle adoré, déjà 1 an que maman et moi avons vécu une des pires journées de notre vie. Déjà que la décision de t'endormir avait été terriblement difficile à prendre, mais attendre l'heure du dernier RDV chez le vétérinaire était un véritable calvaire, un vrai déchirement. Chaque minute qui passait nous rapprochait du moment que nous redoutions tant. Comment allions nous vivre sans toi, notre petit rayon de soleil, autour de qui toute notre vie tournait? Toi, notre petit coeur, notre amour de petit chien plein de vie, grâce à qui des éclats de rire résonnaient dans la maison... tu voulais toujours jouer, toujours te promener, tu savais nous faire comprendre quand tu t'ennuyais en poussant de longs soupirs et tu avais toujours raison de nous en nous amadouant avec ton regard attendrissant...
Tous ces fabuleux moments passés avec toi qui ont jalonné ces 12 années de bonheur sont inoubliables...
Un an déjà que la maison est vide sans toi, que l'on n'entend plus tes petites papattes sur le sol, que l'on n'entend plus ton aboiement, que l'on ne te voit plus dans ton panier les 4 fers en l'air à ronfler, que l'on ne te voit plus derrière les baies vitrées attendre notre retour, ou tout simplement à nos côtés, toujours collé à l'une d'entre nous 2...et pourtant, moi je les entends encore tes papattes sur le sol, je l'entends ton aboiement, je te vois, comme si tu étais toujours là, je me souviens de ton poil si doux que je passais des heures à caresser... tout est resté intact dans ma mémoire, je n'ai rien oublié et je n'oublierai jamais rien de toi. Tu étais l'amour de ma vie, " nous on s'aime tellement fort que personne ne peut comprendre notre amour" comme je te disais souvent". Je sais que je ne vivrai plus jamais une relation aussi intense qu'avec toi. Nous 2, c'était passionnel et fusionnel.
Tu sais, mon coeur, chaque soir, je regarde ton album photos (+ de 200) pour te dire bonne nuit, et je m'attarde toujours sur les mêmes. Et chaque fois, quand je te regarde, j'ai toujours des étoiles dans les yeux et des papillons dans le ventre. Je fonds devant ta petite bouille si craquante et tes petites billes si expressives. Mon amour pour toi est toujours aussi fort, et de là-haut, je sais que tu veilles sur moi.
Tu sais, parfois, maman me parle de toi mais je n'aime pas trop ça, ça me fait trop mal au coeur, je fais toujours un blocage, c'est trop douloureux, je préfère penser à toi silencieusement.
Et tu sais que depuis que tu n'es plus là, nous n'avons plus jamais été nous promener à l'étang ou au canal? Sans toi, cela n'a aucun sens, on n'a pas de goût a aller marcher sans toi. En plus, pour aller au travail, je passe tous les jours devant le canal et je te revois marcher fièrement, heureux de te promener et de sentir où les copains et les copines sont passés.
Enfin, voilà mon coeur, que te dire de plus que tu me manques et que je pense à toi chaque jour, plusieurs fois par jour et que je trouve injuste que tu sois parti si jeune. Tu aimais tellement la vie, tu étais si heureux avec nous et tu faisais notre bonheur, pourquoi a t-il fallu que la maladie s'acharne sur toi?
En tous les cas, tu as été un amour de petit chien, nous n'aurions pas pu rêver mieux, tu étais unique comme je l'ai déjà expliqué dans les précédents hommages, non, vraiment, tu étais parfait, exceptionnel...et jamais, non jamais je ne pourrai t'oublier mon amour, mon coeur, ma petit boule boule, mon pot de colle adoré...
Je te fais des milliers de bisous et de caresses.
Ta petite maman qui t'aime fort. Linda.
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