aucune bougie 10 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
HUSKYLOUVETEAU
Il est né le:24/12/1998
Il nous a quittés le:25/11/2013
0 bougie
|
74 Fleurs
1352 messages
Déposé par rafia le 20/02/2015« Comme un voilier » – William Blake Je suis debout au bord de la plage Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan. Il est la beauté, il est la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon. Quelqu’un à mon côté dit : « Il est parti ! » Parti ? Vers où ? Parti de mon regard. C’est tout… Son mât est toujours aussi haut, Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, Pas en lui. Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « il est parti ! » Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux, S’exclament avec joie : « Le voilà ! »… C’est ça la mort. |
Déposé par rafia le 18/02/2015Rappelle-toi... Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir... Que tu peux être semeur d'optimisme, de courage, de confiance... Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres... que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable... Que ton sourire non seulement t'enjolive, mais qu'il embellit l'existence de ceux qui t'approchent... Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner... Thomas Merton |
Déposé par poutounou le 16/02/2015Dis-moi rivière * - Dis-moi eau pure es-tu rivière ? - Je ne suis que de l’eau, de l’eau - Mais tu traverses les frontières Comme le font tous les oiseaux - Je le peux c’est vrai, à ma guise Je ne fais que couler, couler Et tantôt claire et tantôt grise La nuit, le jour, sans m’arrêter -Dis-moi eau pure, tu te fatigues Sous le soleil et sous les ponts Entre les champs et les garigues ? - Je suis mon cours vers l’horizon Et maintenant tu me déranges J’ai du chemin à parcourir - Mais en nuages tu te changes Ensuite tu vas nous revenir Et à quoi bon ce long voyage Reste avec nous, nous t’aimons bien Nous allons construire un barrage - Ô surtout pas, je ne veux rien Je ne suis pas une eau dormante Je tiens trop à ma liberté - Je suis d’accord, tu es charmante Au plaisir de te retrouver… |
Déposé par myriam31 le 14/02/2015Pour ma maîtresse adorée, Il ne faut pas que tu aies de la peine, car la où je suis, je suis heureux et serein. C’est fini, je n’ai plus aucune douleur, et ton amour m’enveloppe toujours d’un halo protecteur. Tu ne t’en rends pas encore compte mais je ne suis pas parti je suis là, bien au chaud dans ton cœur car je fais partie de toi. si la maladie nous à séparé physiquement, elle ne pourra jamais séparer nos âmes et tous les bons souvenirs que nous avons ensembles,J'ai eu une courte vie, mais grâce à ton amour, je n’ai jamais manqué de rien car tu as été pour moi la plus attentionnée des maman et aujourd’hui je ne veux plus que mon départ te cause cette si grande souffrance que tu n’as pas méritée. La plus importante des choses que tu dois savoir, c'est qu'il y a une ouverture dans les nuages d'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi. D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée. Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux lèvres et un jappement dans les oreilles, c'est que je t'aurai rendu une petite visite dans tes songes. Merci pour ton amour. Ton petit compagnon qui t'aimera toujours. |
Déposé par rafia le 13/02/2015L'amitié et l'ami La réelle amitié d'un ami est sacrée, Un merveilleux trésor qu'il faut protéger. On peut se passer de l'amour, Mais l'amitié il en faut toujours. À qui confier nos joies, nos chagrins ? Si ce n'est à un ami, tel un frangin. Il est agréable de se sentir indispensable, Quand lui vit des problèmes semblables. L'amitié c'est beau, mais tellement rare, Que la vie parfois ainsi nous sépare. On oubliera jamais le véritable ami, À qui on s'est confié sur sa vie. Mais on oubliera bien plus vite, Ces faux amis qui autour de nous gravitent. Maxalexis., |
Déposé par poutounou le 11/02/2015Les 8 béatitudes du philosophe. * Heureux qui, retiré du monde, De ses faux plaisirs dégoûté, Jouit dans une paix profonde Des douceurs de la liberté ! * Heureux qui, de la solitude Mettant à profit les loisirs, De son cœur fait sa seule étude, De ses devoirs fait ses plaisirs ! * Heureux qui, bien avec lui-même, Exempt de soins ambitieux, N'aspire qu'à l'honneur suprême De régir son âme et ses vœux ! * Heureux qui dans l'indifférence Brave l'amour et ses tourments, Et qu'une triste expérience N'a point fait sage à ses dépens ! * Heureux qui, peu jaloux de plaire, Et d'entraîner tous les esprits, D'un seul ami tendre et sincère Connaît l'inestimable prix ! * Heureux qui, rival d'Epicure, Accessible à la volupté, Aux doux liens de la nature Permet d'enchaîner sa fierté ! * Heureux qui, dans la noble ivresse D'un cœur épris de la vertu, Sans nul écart, de la sagesse Suit le sentier trop peu battu ! * Heureux enfin qui, sans envie, Sans regrets, voit ses jours finir, Et qui n'a joui de la vie Que pour mieux apprendre à mourir ! * Janson de Sailly. |
Déposé par rafia le 10/02/2015Poème sur l'amitié L'amitié seule est le vrai bien du sage, L'amour trompeur, Par l'ombre du bonheur Dupe souvent le coeur : L'amant le moins volage Dit aux pieds de l'Iris, Dont ses yeux sont épris, L'amitié seule est le vrai bien du sage. Souvent l'amour nous conduit au naufrage Un calme heureux, D'abord comble nos vœux : Mais bientôt dans les cieux Se forme un noir orage : Le plaisir disparaît, Arrive le regret ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Que l'amitié soit donc notre partage ; Dans son lien Notre cœur sera bien ; Nous ne craindrons plus rien : Par un rare assemblage Nous verrons le plaisir Naître au sein du désir : L'amitié seule est le vrai bien du sage. L'amour est fait pour le printemps de l'âge C'est une fleur, Mais qui perd sa couleur, Dès qu'écartant l'erreur La raison l'envisage ; Le cœur longtemps dupé, Reconnaît qu'il est trompé ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. L'amitié donne un paisible ombrage Toujours en paix Sous son feuillage épais, De l'aquilon jamais On ne craint le ravage : Ses rameaux toujours verts Affrontent les hivers ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Que l'amitié chez nous soit l'apanage Du sentiment. Quand le coeur est constant, Son lustre est plus brillant, Rien n'en ternit l'image : Aucun masque imposteur Ne rend son air trompeur ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Jean-Louis Bridel. , |
Déposé par rafia le 09/02/2015Amitié Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses, Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux, Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux, Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses. Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ; Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux. Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux, Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes. De ces biens passagers que l’on goûte à demi, Le meilleur qui nous reste est un ancien ami. On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble, On s’approche, on sourit, la main touche la main, Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble, Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain. Alfred de Musset., |
Déposé par poutounou le 05/02/2015L’Arbre et la graine * Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? * Benoît Marchon |
Déposé par rafia le 05/02/2015L’espérance J’ai ancré l’espérance Aux racines de la vie * Face aux ténèbres J’ai dressé des clartés Planté des flambeaux A la lisière des nuits * Des clartés qui persistent Des flambeaux qui se glissent Entre ombres et barbaries * Des clartés qui renaissent Des flambeaux qui se dressent Sans jamais dépérir * J’enracine l’espérance Dans le terreau du cœur J’adopte toute l’espérance En son esprit frondeur. Andrée Chedid, |
Déposé par choupinou le 02/02/2015une petite étoile luit dans la nuit une petite étoile brille et me souris une petite étoile qui me tend toujours la patte une petite étoile qui m'aide à construire mon chemin une petite étoile qui me rassure quand j'ai peur une petite étoile qui me console quand je pleure une petite étoile qui m'écoute quand je suis seule une petite étoile en moi qui demeure cette petite étoile ne s'éteindra jamais cette petite étoile brillera toujours pour l'éternité cette petite étoile c'est toi,mon doux,mon aimée cette petite étoile qui resplendit dans mes moment sombre cette petite étoile qui s'acharne pour que je sorte de l'ombre... |
Déposé par rafia le 02/02/2015Rappelle-toi... Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir... Que tu peux être semeur d'optimisme, de courage, de confiance... Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres... que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable... Que ton sourire non seulement t'enjolive, mais qu'il embellit l'existence de ceux qui t'approchent... Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner... Thomas Merton, |
Déposé par rafia le 30/01/2015Ne reste pas à pleurer devant ma tombe, Je n’y suis pas, je n’y dors pas. Je suis un millier de vents qui soufflent ; Je suis le scintillement du diamant sur la neige. Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr ; Je suis la douce pluie d’automne. Quand tu t’éveilles dans le calme du matin, Je suis le prompt essor Qui lance vers le ciel où ils tournoient les oiseaux silencieux. Je suis la douce étoile qui brille la nuit. Ne reste pas à te lamenter devant ma tombe. Je n’y suis pas ; je ne suis pas mort. Auteur inconnu |
Déposé par poutounou le 28/01/2015La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. * Paul Eluard |
Déposé par choupinou le 27/01/2015j'ai beau courir,courir et courir jamais je ne te rejoindrai... mais je sais que je peux suivre le chemin de l'envolé pour y ramasser tes plumes, les belles plumes de tes aile mon ange. Tu sais un jour viendra ,un jour magnifique, ou moi aussi,je prendrai mon envol, je partirai pour te rejoindre pour aller vers toi vers toi a tout jamais et nous seront toujours ensemble pour l'éternité ,l'amour éternel : TOI ET MOI, |
Déposé par poutounou le 25/01/2015Le printemps reviendra * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême * Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid… |
Déposé par rafia le 23/01/2015Cette souffrance de la perte de notre trésor canin/de nos trésors canins qui ns taraude.... Lorsque la douleur vs envahit, vs êtes convaincu/e Etre le seul/la seule à souffrir, vaincu//e Vs vs persuadez que vs n'avez pas de chance Que seule la détresse, la vie peut vs offrir C'est la raison de votre ire, Qu'il n' y ait pas une once de bonheur A mettre ds la balance. Vs êtes certain//e que personne ne vs aime Que personne ne vs veut du bien Que cette vie injuste ne vs raccroche à rien Et ne vs mène à rien. Pourtant....en observant bien Vs pouvez voir qu'il y a pire, Des gens qui vivent le martyr, Bien plus traumatisant Que ce que vs subissez. Des gens dont l'horizon est le néant Et vs vs demandez pourquoi Ces gens ont fait le choix De continuer à vivre, De supporter cette vie Qui les fait souffrir comme des damnés/ées. Sans jamais rien de bon, leur apporter. Alors....faites une liste C'est un acte réaliste. Examinez honnêtement votre vie Surtout sans complaisance. Notez d'un côté le positif Et de l'autre le négatif. Et faites la balance. Analysez le bilan Si vs constatez que le côté négatif Est supérieur au positif Faites un effort pr égaliser la balance. Si vs manquez de soutien Armez vs de courage Fixez vs un point de mire Que vs appellerez : "ESPERANCE" Obligez-vs à POSITIVER !!! C'est un sujet qu'il faut travailler, Et surtout développer. Ce que j'ai obtenu de bien Je vais le faire fructifier. Ce combat contre le malheur va être le mien. Et c'est certain, Je dis "haut la main" Je vais le gagner. Si malgré tout mes efforts Mes tourments ne déclarent pas forfait Je me promets de ne pas les bras baisser Que je suis une personne pugnace Qu'elle ne m'aura plus la malchance Que je vais vers la délivrance Car mon crédo c'est l'ESPERANCE. Carpe Diem mes amies/amis !!! Et je vs offre une des devises de la Caroline du Sud : "DUM SPIRO SPERO" qui se traduit par : "Tant que je respire, j'espère" Ds la langue française, vs trouvez une expression analogue, laquelle exprime : "Tant qu'il y a de la vie...il y a de l'espoir". , Avec toute ma bien sincère Amitié. Mille mercis pr la vôtre. + 1000 bisous Maryem...votre amie |
Déposé par choupinou le 23/01/2015Souvenir. En vain le jour succède au jour, Ils glissent sans laisser de trace ; Dans mon âme rien ne t'efface, Ô dernier songe de l'amour ! Je vois mes rapides années S'accumuler derrière moi, Comme le chêne autour de soi Voit tomber ses feuilles fanées. Mon front est blanchi par le temps ; Mon sang refroidi coule à peine, Semblable à cette onde qu'enchaîne Le souffle glacé des autans. Mais ta jeune et brillante image, Que le regret vient embellir, Dans mon sein ne saurait vieillir Comme l'âme, elle n'a point d'âge. Non, tu n'as pas quitté mes yeux ; Et quand mon regard solitaire Cessa de te voir sur la terre, Soudain je te vis dans les cieux. Là, tu m'apparais telle encore Que tu fus à ce dernier jour, Quand vers ton céleste séjour Tu t'envolas avec l'aurore. Ta pure et touchante beauté Dans les cieux même t'a suivie ; Tes yeux, où s'éteignait la vie, Rayonnent d'immortalité ! L'ombre de ce voile incertain Adoucit encor ton image, Comme l'aube qui se dégage Des derniers voiles du matin. Du soleil la céleste flamme Avec les jours revient et fuit ; Mais mon amour n'a pas de nuit, Et tu luis toujours sur mon âme. C'est toi que j'entends, que je vois, Dans le désert, dans le nuage ; L'onde réfléchit ton image ; Le zéphyr m'apporte ta voix. Tandis que la terre sommeille, Si j'entends le vent soupirer, Je crois t'entendre murmurer Des mots sacrés à mon oreille. Si j'admire ces feux épars Qui des nuits parsèment le voile, Je crois te voir dans chaque étoile Qui plaît le plus à mes regards. Et si le souffle du zéphyr M'enivre du parfum des fleurs. Dans ses plus suaves odeurs C'est ton souffle que je respire. C'est ta patte qui sèche mes pleurs, Quand je vais, triste et solitaire, Répandre en secret ma prière Près des autels consolateurs. Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ; Tes ailes reposent sur moi ; Tous mes songes viennent de toi, Doux comme le regard d'une ombre. Comme deux rayons de l'aurore, Comme deux soupirs confondus, Nos deux âmes ne forment plus Qu'une âme, et je soupire encore ! Alphonse de Lamartin |
Déposé par rafia le 21/01/2015Au bout du monde Au bout du monde, il n’y a pas de route, mais le terme d’un pèlerinage. Au bout de l’ascension, il n’y a pas l’ascension, mais le sommet. Au bout de la nuit, il n’y a pas la nuit, mais l’aurore. Au bout de l’hiver, il n’y a pas l’hiver, mais le printemps. Au bout de la mort, il n’y a pas la mort, mais la VIE. Au bout du désespoir, il n’y a pas le désespoir, mais l’Espérance. Au bout de l’humanité, il n’y a pas l’homme, mais l’Homme-Dieu. Au bout du Carême, il n’y a pas le désert, mais la RESURRECTION. (Joseph Folliet), |
Déposé par choupinou le 20/01/2015Je suis sortie ce soir, seule, sous l'ombre troublée, à travers la pluie du miroir, aux larmes de mes pensées. Pour attraper un peu de toi, je n'avais plus qu'à me cacher, sous ce parapluie noir d'émoi et laisser les gouttes m'inonder. C'était pas il y à demain... C'était pas, il y des mois... Le temps est une traine de toi, qui oublie la pluie sans fin. Il transporte les rivières. Transforme les torrents d'hier. Déverse ses larmes aux abois, qui dégoulinent à soif de toi. Sur l'horizon blême, au ciel sans but même. Cachée sous l'ombrelle, j'écoute la pluie ruisselle. C'était pas il y a des heures... C'était pas il a des siècles... Le temps de toi qui passe, me traine tant qu'il me glace. Sur mes joues de chagrin, il pleut de toi sans fin. J'entends pleurer la pluie, en silence dans la nuit. Je n'avais plus qu'à me fondre, sous cette ondée de tristesse. Me décomposer et me confondre, en pluie de larmes caresse. Myriam Ghibaudo douces pensées |
L'Album photo contient 28 photos