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In tribute to
PINSCHERPUNCKY
Born on :01/04/1999
left us on:06/03/2014
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In tribute to
PUNCKY
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169 Flowers
left by poutounou Rares sont les êtres qui laissent un vide réel derrière eux. Rares sont ceux qu'il vous tarde de serrer dans les bras, sans un mot, avec le silence du coeur. Nous vous serrons tout fort… left by choupinou Sous le ciel éteint et profond, je t'envoie des fleurs parfumées que rempliront ton sommeil de rêves d'amour left by choupinou bonne nuit étoilée, petit ange, et doux rêves endormi sur ton doux coton et joli nuage douillet caresses petit coeur left by choupinou la nuit, on imagine ce qu'on désire et tout paraît possible; soudain je te vois courir vers moi,ton allure fier et légère, te voilà dans mes bras, oui ce n'est qu'un rêve mais j'y crois, tu es venu... |
326 messages
left by choupinou on 06/03/2023En ce jour anniversaire Je pose ici, mes pensées, mes mains sur mon clavier, histoire de ne pas oublier, les doux mots d'amour, de douleurs et de toujours, de penser à ces moments forts, que tu m'as donné, sans compter et de l'amour que nous avons partagé je suis là, en ce jour mon aimé pour te demander, de ne pas oublier. l'amitié d'un chien et son gardien d'une vie, d'une histoire, ce lien triste vérité, on s'est quitté, pour ce chemin que tu as du emprunter, et j'ai pleuré, tendre sincérité , mon être tout entier continu a t'aimer le vent souffle sur ces années, mais loin de toi, mon regard n'a pas changé je continue sans faille a te faire vivre dans mon coeur a l'infini, et je chavire, car je sais que tu es là au chaud a tout jamais une larme au coin des yeux, la tristesse m'envahit je sens ta chaleur qui me réchauffe et s'en va la pluie... grosses pensées a ta maman aussi en ce jour du souvenir, mais je sais que URCKO, NUDJI, et toi PUNCKY veiller sur elle |
left by CANISLUPUS on 06/03/2023A notre Puncky déjà 9 ans c’est pas possible Tu manques beaucoup à ton papa à tous ma belle petite fille adorée avec ton notre amour pour toi 🐾🐾🐾🐾🐾🐾♥️♥️♥️♥️♥️🐶 |
left by CANISLUPUS on 06/03/2023A notre Puncky déjà 9 ans c’est pas possible Tu manques beaucoup à ton papa à tous ma belle petite fille adorée avec ton notre amour pour toi 🐾🐾🐾🐾🐾🐾♥️♥️♥️♥️♥️🐶 |
left by poutounou on 06/03/2023Que c'est beau !!! Quelques vers en ce jour anniversaire… * N'écris pas... * N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre. Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau. J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre, Et frapper à mon cœur, c'est frapper au tombeau. N'écris pas ! * N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais ! Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes, C'est entendre le ciel sans y monter jamais. N'écris pas ! ... * Marceline Desbordes-Valmore |
left by poutounou on 05/03/2023Que c’est bien dit : « Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche... » * Voix intérieure * Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ? Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche. Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tâche Que d'être objet qui vit, qui jouit et qui meurt. * Mon âme, aimez la vie, auguste, âpre ou facile, Aimez tout le labeur et tout l'effort humains, Que la vérité soit, vivace entre vos mains, Une lampe toujours, par vos soins, pleine d'huile. * Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forêt, Le gai bourdonnement de la cité qui chante, Le plaisir de n'avoir pas de haine méchante, Pas de malicieux et ténébreux secret, * Aimez la mort aussi, votre bonne patronne, Par qui votre désir de toutes choses croît, Et, comme un beau jardin qui s'éveille du froid, Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ; * L'hospitalière mort aux genoux reposants Dans la douceur desquels notre néant se pâme, Et qui vous bercera d'un geste, ma chère âme, Inconcevablement éternel et plaisant... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
left by poutounou on 01/03/2023Nos anges ne seront jamais oubliés... * Le calmant * Plus qu'ennuyée Triste. Plus que triste Malheureuse. Plus que malheureuse Souffrante. Plus que souffrante Abandonnée. Plus qu'abandonnée Seule au monde. Plus que seule au monde Exilée. Plus qu'exilée Morte. Plus que morte Oubliée. * Marie Laurencin ("Poèmes" - Bernouard éditeur, 1926) Marie Laurencin (1883-1956) , peintre certes, mais également poète sous le pseudonyme de Louis Lalanne, |
left by poutounou on 26/02/2023La vie se résume à ces quelques mots, que l’on soit un humain ou un chien : "Entrez, sortez et puis bonsoir !" * Epitaphe pour n'importe qui * On ne sait pourquoi cet homme prit naissance. Et pourquoi mourut-il ? On ne l'a pas connu. Il vint nu dans ce monde, et, pour comble de chance, Partit comme il était venu. * La gaîté, le chagrin, l'espérance, la crainte, Ensemble ou tour à tour ont fait battre son coeur. Ses lèvres n'ignoraient le rire ni la plainte. Son oeil fut sincère et moqueur. * Il mangeait, il buvait, il dormait ; puis, morose, Recommençait encor dormir, boire et manger ; Et chaque jour c'était toujours la même chose, La même chose pour changer. * Il fit le bien, et vit que c'était des chimères. Il fit le mal ; le mal le laissa sans remords. Il avait des amis ; amitiés éphémères ! Des ennemis ; mais ils sont morts. * Il aima. Son amour d'une autre fut suivie, Et de plusieurs. Sur tout le dégoût vint s'asseoir. Et cet homme a passé comme passe la vie Entrez, sortez, et puis bonsoir ! * Jean RICHEPIN (1849-1926) |
left by poutounou on 22/02/2023Que c’est beau : « voile ma douleur solitaire »… * A la nuit * Toujours le malheureux t'appelle, Ô nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et, porte sur ton aile L'oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ; Et, lorsque la main du Sommeil Fermera ma triste paupière, Ô dieux ! reculez mon réveil ; Qu'à pas lents l'aurore s'avance Pour ouvrir les portes du jour : Importuns, gardez le silence, Et laissez dormir mon amour. * Evariste de PARNY (1753-1814) |
left by poutounou on 19/02/2023Ton souvenir aussi se creuse plus avant, mon doux Ange... * La Grand-mère * Voici trois ans qu'est morte ma grand'mère, La bonne femme, et, quand on l'enterra, Parents, amis, tout le monde pleura D'une douleur bien vraie et bien amère. * Moi seul j'errais dans la maison, surpris Plus que chagrin ; et, comme j'étais proche De son cercueil, quelqu'un me fit reproche De voir cela sans larmes et sans cris. * Douleur bruyante est bien vite passée : Depuis trois ans, d'autres émotions, Des biens, des maux, des révolutions, Ont dans les murs sa mémoire effacée. * Moi seul j'y songe, et la pleure souvent ; Depuis trois ans, par le temps prenant force, Ainsi qu'un nom gravé dans une écorce, Son souvenir se creuse plus avant ! * Gérard de Nerval ("Odelettes", 1832) |
left by poutounou on 15/02/2023Il est où le "chemin de clarté" ??? C'est peut-être le chemin du coeur !!! * Le veilleur solitaire * Il y a toujours dans la nuit de la ville une petite fenêtre qui brille très loin au bord du ciel une fenêtre au loin, une lampe qui brûle, un homme ou peut-être un enfant penché sur la page d'un livre où les mots brûlent et brillent. Et le cœur de l'homme ou de l'enfant brûle d'un sang plus vif, s'exalte, s'illumine. * Il y a toujours au bord du ciel un veilleur solitaire qui cherche dans la nuit son chemin de clarté. * Jean Joubert ("La maison du poète" - Pluie d'étoiles éditions, 1999) |
left by poutounou on 12/02/2023Que c'est joli ! "Il faut savoir marier la mort avec la vie !". * Un jour de colère * Un jour de colère tu te gonfles comme un poisson-lune un jour de douceur ta bouche est en fleur Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier le soleil avec la pluie * Un jour de couleur l’enfer embrasse ton coeur mais un jour de miel comme tu es suave ! Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier Douleur avec Plaisir * Un de tes amis meurt tu es brisé de chagrin un enfant naît ton coeur est en fête Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier la Mort avec la Vie * Hector Poullet ("Paroles en l’air" , éditions Desormeaux, 1978) |
left by poutounou on 08/02/2023Soulagement * Quand je n'ai pas le coeur prêt à faire autre chose, Je sors et je m'en vais, l'âme triste et morose, Avec le pas distrait et lent que vous savez, Le front timidement penché vers les pavés, Promener ma douleur et mon mal solitaire Dans un endroit quelconque, au bord d'une rivière, Où je puisse enfin voir un beau soleil couchant. * O les rêves alors que je fais en marchant, Dans la tranquillité de cette solitude, Quand le calme revient avec la lassitude ! Je me sens mieux. * Je vais où me mène mon coeur. Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rêveur, Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune, Je me surprends parfois à voir monter la lune. |
left by poutounou on 05/02/2023« La tranquille habitude aux mains silencieuses panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures... » * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre, Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'étrange quiétude Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ; * Et du même toucher dont elle endort la peine, Du même frôlement délicat qui repasse Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage même Dont la présence était divine et meurtrière ; Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ; La source des regrets devient voilée et blême. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur éclat aux voluptés perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passé du présent, et les réconcilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changés en cicatrices ; * Et celui qui chérit sa sombre inquiétude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
left by poutounou on 01/02/2023Les caresses des yeux les plus douces, les plus pures, sont celles de nos merveilleux Anges... * Les caresses des yeux * Les caresses des yeux sont les plus adorables ; Elles apportent l'âme aux limites de l'être, Et livrent des secrets autrement ineffables, Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaître. * Les baisers les plus purs sont grossiers auprès d'elles ; Leur langage est plus fort que toutes les paroles ; Rien n'exprime que lui les choses immortelles Qui passent par instants dans nos êtres frivoles. * Lorsque l'âge a vieilli la bouche et le sourire Dont le pli lentement s'est comblé de tristesses, Elles gardent encor leur limpide tendresse ; * Faites pour consoler, enivrer et séduire, Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes ! Et quelle autre caresse a traversé des larmes ? * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
left by poutounou on 29/01/2023Mais non, ils sont toujours là : dans le vent, dans la pluie, dans les rayons du soleil… ! Il suffit d’écouter avec son cœur… * Sur le fil * Ma chair fissure Sous l’absence Les silences grignotent L’hier Les mots gercent Les lèvres De cette vie en barbelés Tu ne sens pas mon odeur Tu n’entends pas le son de ma voix Tu ne me vois pas Tu ne me touches pas Tu me laisses seule ici Tu oublies de me faire un signe Tu gommes mon sourire Tu me prives de toi, de nous… * Sandrine Davin |
left by poutounou on 25/01/2023« Mon âme immortelle reviendra près de toi ». Elle est toujours à nos côtés leur belle âme … !!! * Rappelle toi * (Vergiss mein nicht) (Paroles faites sur la musique de Mozart) * Rappelle-toi, quand l’Aurore craintive Ouvre au Soleil son palais enchanté ; Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive Passe en rêvant sous son voile argenté ; Aux doux songes du soir lorsque l’ombre t’invite, Ecoute au fond des bois Murmurer une voix : Rappelle-toi. * Rappelle-toi, lorsque les destinées M’auront de toi pour jamais séparé, Quand le chagrin, l’exil et les années Auront flétri ce coeur désespéré ; Songe à mon triste amour, songe à l’adieu suprême ! L’absence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon coeur battra, Toujours il te dira Rappelle-toi. * Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon coeur brisé pour toujours dormira ; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s’ouvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle Reviendra près de toi comme une soeur fidèle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gémit : Rappelle-toi. * Alfred de Musset |
left by choupinou on 22/01/2023EST CE TOI MON PETIT ANGE? TOUT LA HAUT? QUI PLUME LE LUNE LE SOIR ? OU TON NUAGE LE JOUR? POUR EGAYER MON COEUR ET LE REMPLIR D'UNE TELLE BEAUTE, DE FRISSON.. JE SOURIES A LA VUE DE CES JOLIS FLOCONS, QUI TOMBE VIRVOLTANT SUR MA TETE, ET VIENS TE DEPOSER TOUT DOUCEMENT, EN LECHOULLANT MA PETITE JOUE DE TON AMOUR... (ECRIT DE choupinou) LA NEIGE (de Jean Richepin) La neige tombe Toute blanche dans la nuit brune La neige tombe en voletant, Ô pâquerettes ! Une à une Toutes blanches dans la nuit brune ! Qui donc là-haut plume la lune ? Ô frais duvet ! Flocons flottants ! Toute blanche dans la nuit brune La neige tombe en voletant. La neige tombe, monotone, Monotonement, par les cieux ; Dans le silence qui chantonne, La neige tombe monotone, Elle file, tisse, ourle et festonne Un suaire silencieux. La neige tombe, monotone, Monotonement par les cieux. |
left by poutounou on 22/01/2023C’est ça la vie : « un fil sur lequel nous dansons ou pleurons », c’est selon… !!! * Pôles * Quand l’une s’allume l’autre s’éteint la joie de la plume le poids du chagrin Entre ces deux sentiments un fil est tendu sur lequel funambules nous dansons ou pleurons La vie nous joue aux dés cubes du hasard tantôt épris de lumière tantôt hantés par le soleil noir Quand l’une s’allume l’autre s’éteint l’éclat de ma plume l’ombre de mon chagrin * Kamal Zerdoumi, 2019 |
left by poutounou on 18/01/2023Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! * Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
left by poutounou on 15/01/2023Il arrive au Paradis...là où se trouvent nos Anges... * L'île des rêves * Il a mis le veston du père, Les chaussures de la maman Et le pantalon du grand frère Il nage dans ses vêtements. * Il nage, il nage à perdre haleine. Il croise des poissons volants, Des thons, des dauphins, des baleines... Que de monde, dans l'océan ! * Écume blanche et coquillages, Il nage depuis si longtemps Qu'il aborde enfin au rivage Du pays des rêves d'enfants (et d'animaux...). * Jacques Charpentreau |