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En hommage à
GOLDEN-RETRIEVERPELUCHE
Il est né le:10/01/1998
Il nous a quittés le:12/05/2014
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En hommage à
PELUCHE
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5514 Fleurs
Déposé par Pachkounet Shabbat Shalom, mon Peluche d'amour. Je t'aime...pour toujours... Mille bisouxx et tendres câlins. Déposé par poutounou Petite citation du lundi : je donne à la vie avec joie et la vie me donne davantage en retour. Poutounoux belle « boule de poils »… !!! |
2225 messages
Déposé par rafia le 03/06/2015La fidélité Un chien mourait doucement, Son regard ne parlait rien d’autre Que d’une chose infinie incompréhensible, Comme une mélancolie. On le soigna pour les reins et pour le foie, Et pour les poumons et pour l’intestin Et pour les pieds et pour la tête Et on lui opéra même le regard. On sut trop tard qu’il attendait son maître. Jean l'Anselme |
Déposé par poutounou le 02/06/2015C’est tellement vrai ! * La bonté * Vivre en soi, ce n'est rien ; il faut vivre en autrui. * A qui puis-je être utile et agréable, aujourd'hui ? Voilà, chaque matin, ce qu'il faudrait se dire. Et, le soir, quand des cieux la clarté se retire, heureux à qui son coeur tout bas a répondu : "Ce jour qui va finir, je ne l'ai pas perdu. Grâce à mes soins, j'ai vu, sur une face humaine, la trace d'un plaisir ou l'oubli d'une peine". * Anonyme |
Déposé par colombine67 le 02/06/2015 Nos Absents - Grand Corps Malade C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte. C'est ceux qu'on a aimé qui créaient un vide presque tangible, car l'amour qu'on leur donnait est orphelin, il cherche une cible. Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire, mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir. On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord, car la mort a ses raisons que notre raison ignore. Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste. A plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste. C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent. On apprivoise la douleur et la présence de nos absents. Nos absents sont toujours là, à l'esprit et dans nos souvenirs. Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires. Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés, ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était. On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou, en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous. Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure, dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur. Nous on a des projets, on dessine nos lendemains. On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains. Et au coeur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers, on imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire. Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant. J'me suis bien renseigné, on en sortira pas vivant. Faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux, mais chaque année nos absents sont un peu plus nombreux. Chaque nouvelle disparition transforme nos coeurs en dentelle, mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastelles. Ce temps qui pour une fois est un véritable allié. Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers. Moi les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup. Alors j'écris sur eux, je titille les sujets tabous. Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous. Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousse. C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte. C'est ceux qu'on a aimé qui créait un vide presque infini, qu’inspirent des textes premier degré. Faut dire que la mort manque d'ironie. |
Déposé par colombine67 le 01/06/2015Par-delà l'arc-en-ciel Quelque part par-delà l'arc-en-ciel, tout là-haut Est une contrée que j'ai connue par une berceuse Quelque part par-delà cet arc-en-ciel, les ciels sont bleus Et les rêves qu'on ose faire deviennent bel et bien réalité Un jour, après avoir fait un voeu, je me réveillerai avec les nuages loin derrière moi Là où les soucis se dissipent tels des gouttes de citron tout au-dessus des cheminées C'est là-bas que je me trouverai Quelque part par-delà l'arc-en-ciel volent des merles bleus Il y a des oiseaux qui volent par-delà cet arc-en-ciel Oh, pourquoi ne le puis-je pas, moi ? S'il y a de joyeux petits merles bleus qui volent au-delà de l'arc-en ciel Oh, pourquoi ne le puis-je pas, moi ? |
Déposé par bouffie le 31/05/2015un petit poème de la part d'un petit ange nommé Peluche Ouvre grand la fenêtre Ouvre grand La fenêtre Maman Ouvre grand Chut ! Écoute le vent Qui te porte un poème Des milliers de je t’aime Chut ! Écoute le vent Comme un jour de printemps. Il t'apporte un baiser Celui de ton enfant Bonne fête maman ! |
Déposé par colombine67 le 31/05/2015Puisque tu pars - Jean Jacques Goldman Puisque l'ombre gagne Puisqu'il n'est pas de montagne Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli Puisqu'il faut apprendre A défaut de le comprendre A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il" Et puisque tu penses Comme une intime évidence Que parfois même tout donner n'ait pas forcément suffit Puisque c'est ailleurs Qu'ira mieux battre ton cœur Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir Puisque tu pars Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles Sauront t'aimer mieux que nous puisque L'on ne peut t'aimer plus Que la vie t'apprenne Mais que tu restes le même Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu Garde cette chance Que nous t'envions en silence Cette force de penser que le plus beau reste à venir Et loin de nos villes Comme octobre l'est d'avril Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile Sans drame, sans larme Pauvres et dérisoires armes Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur Puisque ta maison Aujourd'hui c'est l'horizon Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir Mais pas trop tard Dans ton histoire Garde en mémoire Notre au revoir Puisque tu pars Dans ton histoire Garde en mémoire Notre au revoir Puisque tu pars J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez Pas assez, pas assez, pas assez Dans ton histoire (dans ton histoire) Garde en mémoire (garde en mémoire) Notre au revoir (notre au revoir) Puisque tu pars (puisque tu pars)... |
Déposé par rafia le 31/05/2015A toutes celles et ceux qui n'ont plus leur compagnon..... - A mon amie Colette qui le 26/05 a perdu son Paco...juste un jour avant notre Paramour. - ...à mes amies, mamans de Magouille...Orgeat...(westies aussi)....et à tous/toutes les autres mamans & papas que j'apprécie tout autant. Dès lors qu'un canin s'en est allé, des lambeaux de notre peau s'en vont aussi et des poils restent agrippés à notre chandail. On pourra lire, du matin au soir, l'empreinte laissée par sa tête et son museau au creux de notre main, l'aboiement et les mouvements frénétiques de son fouet retentiront dans le vide de notre retour, incroyablement silencieux, sans le cliquetis de ses ongles sur le sol ni les hululements de joie. Et tout nous reviendra en mémoire, les vertes prairies des parcs, les empreintes sur la neige, les "patounes" qui, sous l'eau, nagent à nos côtés....pr les canins nageurs, comme les labradors, un exemple. Les westies, trop courts sur pattes étant de piètres nageurs. Ils s'épuisent très vite. Les bâtons lancés, le sable dans les oreilles et sur la truffe, les coquillages sur les coussins du divan. Dès lors qu'un canin s'en est allé, l'écuelle reste là et la laisse est accrochée, inerte. On se regarde les pieds dans la cuisine, et il n'y a plus de couinements d'une queue, heurtée par mégarde. On se sent volé/e, perdu/e et muet//te. Voilà pourquoi on parle à tort et à travers de ce qui n'a pas d'importance, mais tjrs on revient au poids lourd de son absence....de ce corps chaud et doux, fleurant bon, étendu et endormi sur nos jambes ou sur nos chaussures pendant que ns ns délassions. Dès lors qu'un canin s'en est allé, nous pleurons à chaudes larmes, sans retenue ni contrôle, sans l'ambivalence que nous éprouvons à la mort d'un humain, sans conflits et litiges, tourments et passion d'une vie entière. Au contraire, avec lui, nous connaissons la pureté d'un amour, et lorsque le canin s'en va, cet amour reste en nous. Il nous l'a offert sans hésitation, nous en a fait cadeau sans défection dans son regard infini, doucement velouté, constamment vigilant, qui n'a jamais fléchi quand il croisait le nôtre. Dès lors qu'un canin s'en va, c'est réellement une grande part de notre vie qui s'en va avec lui. Bien malgré lui, il ns laisse meurtri/e...désespéré/e...désemparé/e...orphelin/e de son amour, à jamais. Bien amicalement + 1000 mercis + 1000 bisous Maryem votre amie |
Déposé par colombine67 le 30/05/2015Qu'y A-t-il Après ? - Yves Duteil Qu'y a-t-il après Quand nos âmes ont disparu Quand nos cœurs ne battent plus Près de ceux qu'on aime? Si nos souvenirs se diluent dans l'infini Qu'en est-il de nos amours et nos amis? Quand je m'en irai Pour ailleurs ou pour après J'aurai si peur de n'y trouver que des regrets Je cherche déjà les chemins d'éternité Qui pourront guider mes pas pour te trouver... Qu'advient-il de nous Quand nos yeux se sont fermés Sur tous ceux qu'on va laisser Terminer nos rêves Au bout du chemin, si le temps n'existe pas Où s'en vont tous les visages d'autrefois? Quand je m'en irai Pour toujours ou pour jamais Je voudrais tant te dire encore que je t'aimais Si les mots parfois sont trop lourds au fond du cœur Les silences ont la couleur de nos secrets... Ils me reste encore tant de larmes et tant de rires Tant de choses à découvrir Des bonheurs à vivre S'il fallait partir, moi mon ciel ou mon enfer Ce serait de te chercher dans l'Univers... Qu'y a-t-il après Quand nos âmes ont disparu Quand nos cœurs ne battent plus Près de ceux qu'on aime? Si nos souvenirs se diluent dans l'infini Qu'en est-il de nos amours et nos amis? Quand je m'en irai pour ailleurs ou pour après J'aurai si peur de n'y trouver que des regrets Et je sais déjà les chemins d'éternité Qui pourront guider mes pas pour te trouver... |
Déposé par rafia le 30/05/2015PEU M'IMPORTE......(moments de bonheur intense, lorsque nos cinq amours/westies étaient présents). Peu m' importe les ennuis Peu m'importe les soucis ... Quand j'ai pr moi, un Soleil qui luit !!! Cinq amours/westies constituent ce SOLEIL Une véritable merveille. Peu importe les ténèbres de la nuit Peu importe le ciel tout gris... Peu importe la maladie... Quand je sais que ce Soleil Ts les jours, je le retrouve à mon réveil. Ce Soleil m'enveloppe de sa chaleur Grâce à lui je nage ds un grand bonheur, Mais de le perdre un jour,ô combien j'ai peur. Sa lumière c'est mon Espoir Son ardeur m'a appris à croire ... Ses rayons c'est sa tendresse Pr m'éviter toute détresse. Sa bonté m'a ouvert mille chemins ... Sa chaleur a réchauffé mon coeur d'enfant Son Amour me comble pleinement ... Ce magnifique Soleil A aucun autre pareil, Possède cinq éléments Qui me comblent tellement Qui ont pr prénoms : Ceux de nos jolies filles d'adoption : Niagara - Paramour - et Rafia Et nos charmants gamins : Punky et Rock De véritables galopins !!! Doux Soleil, qui fait partie intégrante de ma vie Précieux soleil, que je ne regrette d'avoir choisi ... Fabuleux soleil, qui n'attend rien en retour ... Tendre Soleil, je te remercie De toute cette tendresse et cet amour gratuit ! Alors ... Peu importe les aléas de la vie Quand on possède le plus important ... Votre AMOUR...à l'infini. Mais pourtant, Je n'arrive pas à imaginer Qu'un jour maudit vs allez me quitter. Ce jour là, mes amours Mon coeur vs emporterez Et ce pr toujours. Avec toute ma bien sincère amitié. Je vs souhaite un merveilleux WE. + 1000 mercis et mille bisous pr vs ma très chère amie. Je suis ds un tunnel...je ne vois pas d'issue. Autant je supporte la douleur physique et Dieu sait qu'elle ne me ménage pas....autant cette souffrance du départ de notre petite chérie je n'arrive pas à l'endiguer...malgré tout l'amour des miens que je désespère, bien malgré moi. Maryem votre amie |
Déposé par poutounou le 29/05/2015Message d’un « être humain » pour lequel j’avais beaucoup d’estime… * Le secret du bonheur... * Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanité est l'histoire du besoin d'aimer et d'être aimé. ... * Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le coeur (symbole de l'amitié et de l'amour) a aussi ses normes, son éthique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalité n'a rien à voir avec la sensiblerie ni même la sentimentalité. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'être à l'existence des autres, la capacité de les deviner, de les comprendre. * Une telle sensibilité, vraie et profonde, rend vulnérable. C'est pourquoi certains sont tentés de s'en défaire en se durcissant. * Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'être une inclination instinctive, l'amour est une décision consciente de la volonté d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vérité, il faut se détacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dépossession de soi (oeuvre de longue haleine) est épuisante et exaltante. Elle est source d'équilibre. Elle est le secret du bonheur. * Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980 |
Déposé par colombine67 le 29/05/2015Ton absence - Yves Duteil Comme une bouffée de chagrin Ton visage me dit plus rien Je t'appelle et tu ne viens pas Ton absence est entrée chez moi C'est un grand vide au fond de moi Tout ce bonheur qui n'est plus là Si tu savais quand il est tard Comme je m'ennuie de ton regard C'est le revers de ton amour La vie qui pèse un peu plus lourd Comme une marée de silence Qui prend ta place et qui s'avance C'est ma main sur le téléphone Maintenant qu'il n'y a plus personne Ta photo sur la cheminée Qui dit que tout est terminé Tu nous disais qu'on serait grands Mais je découvre maintenant Que chacun porte sur son dos Tout son chemin comme un fardeau Les souvenirs de mon enfance Les épreuves et les espérances Et cette fleur qui s'épanouit sur le silence... Ton absence Je dors blotti dans ton sourire Entre le passé, l'avenir Et le présent qui me retient De te rejoindre un beau matin Dans ce voyage sans retour Je t'ai offert tout mon amour Même en s'usant l'âme et le corps On peut aimer bien plus encore Bien sûr, là-haut de quelque part Tu dois m'entendre ou bien me voir Mais se parler c'était plus tendre On pouvait encore se comprendre Mon enfance a pâli, déjà Ce sont des gestes d'autrefois Sur des films et sur des photos Tu es partie tellement trop tôt Je suis resté sur le chemin Avec ma vie entre les mains À ne plus savoir comment faire Pour avancer vers la lumière Il ne me reste au long des jours En souvenir de ton amour Que cette fleur qui s'épanouit sur le silence... Ton absence. |
Déposé par rafia le 29/05/2015NON à l' HORREUR !!!....afin de ne pas se focaliser sur notre MALHEUR. Aujourd'hui les nuages flottent dans l'eau et les branches sont accrochées au ciel. Les arbres se plient de fatigue et les Océans se plastifient. Chaque matin, je miaule, oui je miaule de tristesse et quelque part un petit félin pleure de solitude. On assassine les chiens et les criminels sont en liberté. En Espagne on devrait danser au son du Flamenco et non pas torturer les galgos, Dans les îles dites paradisiaques, on devrait lire un joli roman sous les rayons d'un soleil heureux et non pas pleurer dans les refuges animaliers. En vacances, on devrait câliner nos amis à poils et non pas les laisser sur le bitume sale et triste. L'été on devrait avoir chaud sur le corps et dans le coeur et non pas grelotter de haine et de colère. Les anges devraient porter des ailes et non pas quatre pattes. Les poneys devraient être adorés comme ils adorent les enfants et non pas attendre leur place dans les abattoirs. Les perroquets devraient dessiner des arc en ciel au dessus-de nos têtes et non pas se griser dans une cage. Les heures ne devraient pas avaler les minutes. Le bonheur quotidien devrait être un régime obligatoire et non pas un luxe diffusé au compte-gouttes. On devrait conjuguer au présent et non pas au conditionnel. Mais voilà le monde tourne à l'envers... quelqu'un aurait-il la clé pour le remonter à l'endroit ??? ********************************************************************************************** Je n'arrive pas à faire surface....le tsunami de la perte de notre Paramour adorée a tout balayé. Je fais de mon mieux...et ce n'est guère pas facile, pour reprendre mes visites, en nocturne, Maël ne pouvant pas m'apporter son aide, jusqu'à samedi soir. Je vais remercier tout le monde...mais SVP...accordez-moi juste un peu de temps...de ce temps qui me raconte, seconde pr seconde...qu'il va me falloir vivre désormais sans l'amour de celle qui, à chaque décès, épongeait, ds sa douce et belle fourrure blanche, nos larmes. MERCI. Avec toute ma bien sincère amitié + 1000 mercis. + 1000 bisous pr vs, ma très chère amie Je suis totalement anéantie...la douleur est terrible....elle ns manque tellement...elle était notre seconde fille. Maryem, votre amie |
Déposé par myriam31 le 28/05/2015Je pense à toi Je pense à toi quand je regarde l’horizon, A l’heure où le soleil disparaît sous la brume, Laissant à l’infini le rêve ou l’amertume…. Et par-delà le temps, par-delà les saisons. Au moment où le jour se glisse dans la nuit, Où la terre s’endort, où la brise s’envole, Tandis que chaque fleur referme sa corolle, Mon cœur oublie le monde et te cherche sans bruit. Amitié à ta maman , merci pour ces jolis poème à mon BB. doux câlins pour toi beau toutou. |
Déposé par colombine67 le 28/05/2015A ceux que j’aime et ceux qui m’aiment, Quand je ne serais plus là, relâchez-moi, laissez moi partir, J’ai tellement de choses à faire et à voir. Ne pleurez pas en pensant à moi, soyez reconnaissants pour les belles années, je vous ai donné mon amitié, vous pouvez seulement deviner le bonheur que vous m’avez apporté. Je vous remercie de l’amour que chacun m’a démontré, maintenant il est temps de voyager seul. Pour un court moment, vous pouvez avoir de la peine. La foi vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelques temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur, je ne suis pas loin, et la Vie continue… Si vous en avez le besoin, appellez-moi, et je viendrai. Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là. Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement la douceur de l’amour que j’apporterai. Et quand il sera temps pour vous de partir, je serais là pour vous accueillir . Absent de mon corps, présent avec Dieu. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas. Je suis les mille vents qui soufflent. Je suis la lumière qui traverse les champs de blé. Je suis la douce pluie d’automne. Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin. Je suis celui qui brille dans la nuit. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne suis pas mort. Au revoir Charlotte Néwashish-Flamand |
Déposé par colombine67 le 27/05/2015Confidentiel - Jean Jacques Goldman Je voulais simplement te dire Que ton visage et ton sourire Resteront prés de moi sur mon chemin Te dire que c'était pour de vrai Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait Que c'était pas pour de faux, que c'était bien. Faut surtout jamais regretter Même si ça fait mal, c'est gagné Tous ces moments, tous ces mêmes matins Je vais pas te dire que faut pas pleurer Y a vraiment pas de quoi s'en priver Et tout ce qu'on a pas loupé, le valait bien Peut-être que l'on se retrouvera Peut-être que peut-être pas Mais sache qu'ici bas, je suis là Ça restera comme une lumière Qui me tiendra chaud dans mes hivers Un petit feu de toi qui s'éteint pas. |
Déposé par colombine67 le 26/05/2015 A mon maître: Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Brutus Thibault, (communément appelé La Brute par mon père, amis et connaissances), dépose en secret dans l'âme de mon grand ami, mon maître , mon testament. J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais, me regretteront le plus, à Michel, Nancy et Yann qui ont été si bons pour moi. Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Michel de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de le réconforter dans la peine et de lui apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais lui causer du chagrin. Je le prie de ne pas oublier qu'à sa tendresse et à sa sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour celui qui m'a donné son affection. Il me sera douloureux de le quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe-t-il après? Nul ne le sait. En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu mon maître, dire: "Quand Brutus mourra, je n'aurai jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre." Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que, maintenant que j'ai fait partie de la famille, il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même mon co-locataire, un chat... Miow-Miow, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille). Aussi je conseille à mon maître de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli, aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et aussi que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël. Un dernier mot à Michel, Nancy, et Yann, Chaque fois que vous penserez à moi : dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos côtés : "Brutus était un être qui nous aimait et que nous aimions. "Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Brutus Thibault Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. |
Déposé par poutounou le 25/05/2015L'écho * Rôdant, triste et solitaire Dans la forêt du mystère, J’ai crié le coeur très las : - « La vie est triste ici-bas ! » L’Écho m’a répondu : « Bah ! » – « Écho, la vie est méchante ! » Et, d’une voix bien touchante, L’Écho m’a répondu : « Chante ! » – « Écho, Écho des grands bois, Lourde, trop lourde est ma croix ! » L’Écho m’a répondu : « Crois ! » – « La haine en moi va germer, Dois-je rire ou blasphémer ? » Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! » Comme l’Écho des grands bois M’a conseillé de le faire : J’aime, je chante et je crois ! Et je suis heureux sur terre ! * Théodore Botrel (1868-1925) |
Déposé par colombine67 le 25/05/2015Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent... Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe... Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque... Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle... Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? Benoît Marchon |
Déposé par rafia le 24/05/2015Le chien abandonné Le chien abandonné Quand ils ont claqué la portière, Il n'a pas compris tout de suite. Il a couru longtemps derrière, Mais la voiture allait trop vite. Et pendant des journées entières, Il a vu les autos passer. Mais vous, auriez-vous fait marche arrière En voyant ce chien sans collier ? Car après les premières caresses, Puis quelques mois d'indifférence, Beaucoup de chiens perdent leur laisse Au début des grandes vacances. Comme un objet que l'on jette Quand il n'est plus au goût du jour, Il sera remplacé, peut-être, Par un chien plus jeune au retour. Le chien abandonné en été par ses maîtres Flaire toujours la route et fait des kilomètres. Il traverse les villages et s'approche des enfants Qui n'osent le caresser, de peur qu'il soit méchant, De peur qu'il soit méchant. Il n'a pas oublié ses maîtres Depuis le jour qu'il vagabonde, Et pour les retrouver peut-être, Il ira jusqu'au bout du monde. Il n'a plus d'âge et plus de race. Qu'importe comment il s'appelle ! Mais à le voir suivre leurs traces Moi, je vais l'appeler Fidèle. Le chien abandonné en été par ses maîtres Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais De chien abandonné. Jean Luc Morel Ce texte a été repris par Jean Rochefort, en 1984, au profit de la SPA. |
Déposé par colombine67 le 24/05/2015Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "à demain" Rien ne défera jamais nos liens. Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train, L'amour est plus fort que le chagrin. L'amour qui fait battre nos cœurs Va sublimer cette douleur, Transformer le plomb en or ! Tu as tant de belles choses à vivre encore. Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas. Tu as tant de belles choses devant toi. Même si je veille d'une autre rive, Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive, Je serai avec toi comme autrefois. Même si tu pars à la dérive, L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois. Dans l'espace qui lie le ciel et la terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore. Il y a tant de belles choses que tu ignores : La foi qui abat les montagnes, La source blanche dans ton âme, Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache le plus beau des mystères. Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. Françoise Hardy |
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