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En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
 


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En hommage à Paco

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




65 bougies

19841 Fleurs
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
désolée petit ange d'amour mais je vais m'absenter ce weekend je ne pourrais pas te déposer un bouquets ou un poème,j'espère que tu ne m'en voudras pas trop,ceci dit je t'emmène avec moi par la pensée
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Mon Paco, je n'aime pas dire adieu, c'est comme si je te disais adieu aux souvenirs, comme si je ne t'avais plus dans mon cœur. Je préfère un au revoir et ne plus jamais t’oublier mon Amour.
Déposé par mistral
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Déposé par poutounou
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Je remercie le temps. Il me prend dans ses bras et il efface derrière lui les chemins rocailleux, les buissons épineux, tout ce qui fait mal, pour ne garder que notre Amour pour vous... !!!
Déposé par Christ
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Déposé par valetheo
Déposé par valetheo
Déposé par choupinou
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douce nuit petit ange d'amour 💗✨🌜
Déposé par Binouche
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Le chagrin, n'est vraiment que de l'Amour C'est tout l'Amour que vous voulez donner Mais que vous ne pouvez pas Tout cet Amour non dépensé se rassemble dans les coins de vos yeux.- J.Anderson-
Déposé par mistral
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2569 messages

Déposé par colombine67 le 02/08/2015  
LE COLLIER DE PERLE..
EST UNE HISTOIRE VRAIE ET VRAIMENT BELLE!
Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de presque 5 ans, en attendant avec sa maman près de la caisse, aperçoit un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose!
'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je t'en supplie, s'il te plait?'
Vivement la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se tourna vers ces petits yeux bleus qui lui suppliaient avec sa petite frimousse tournée vers le haut.
'$1.85. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de temps tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras surement des sous de ta grand-maman aussi.'
Aussitot que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite tirelire en forme de cochon... elle calcule 17 cents. Après le diner, elle a fait plus que demander pour aider à la maison et ensuite elle a été chez la voisine Mme. Mc James en lui demandant si elle pouvait arracher ses mauvaises herbes pour 10 cents?
À son anniversaire, sa grand maman lui donna un autre dollar et enfin elle avait assez d'argent pour s'acheter le collier. Oh, Jenny adorait ses perles. Ça la faisait sentir madame et grande fille. Elle les portait partout à l'église le dimanche, à la garderie, même au lit!
Les seules fois qu'elles les enlevaient c'était pour nager ou prendre un bain. Car sa maman lui avait dit que si elles étaient trempées, elles tourneraient peut-être son cou vert.
Jenny avait un père qui l'aimait beaucoup et à chaque soir quand il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il faisait pour aller lui raconter une belle histoire.
Un soir, après avoir terminé son histoire, il demanda a Jenny, 'Est-ce que tu m'aimes?'
'Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.'
' Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse- le cheval blanc de ma collection. Celle avec la queue rose. Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'a offerte. C'est ma préférée.'
'C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit' Et comme toujours lui effleura la joue avec un bécot.
Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa de Jenny lui demanda encore, 'Est-ce que tu m'aimes?'
'Papa , tu sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.' 'Oh papa, pas mes perles. Mais tu sais tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve, celle que j'ai recue pour mon anniversaire, elle est si belle et tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à ses souliers.'
'C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa t'aime.' Et comme toujours, il lui caressa la joue tendrement avec un bécot.
Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit. Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue.
'Mais qu'as-tu Jenny? Qu'est-ce qui se passe?'
Jenny ne dit rien mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les ouvra, le collier de perles y était. Avec une voix tremblante elle lui dit, 'Voilà papa, c'est pour toi.'
Avec ses propres larmes qui coulaient sur son visage, le gentil papa de Jenny pris les fausses perles d'une main et de l'autre sorti de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles véritables et lui donna.
Il les avaient depuis le début. Il attendait seulement qu'elle lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le vrai trésor.
Comme Dieu, il attend de nous qu'on lui donne les choses fausses à quoi on tient dans notre vie, pour les remplaçer par un trésor magnifique.
Tenez-vous à quelque chose que Dieu veut que vous vous débarassiez?
Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaire et vous font mal? Des habitudes, des activités, auxquelles vous êtes si habitué et attaché qu'il semble impossible de se débarrasser?
Parfois c'est difficile de voir ce que l'autre main retient, mais croyez en une chose....* Dieu ne prendra jamais quelque chose à quoi vous tenez sans le remplacer par quelque chose de mieux!
Vous pouvez faire 2 choses avec cette histoire
a) Vous la passez aux autres qui en seront touchés
b) Vous pouvez la jeter et ne pas en être touché.
Les plus beaux cadeaux arrivent, quand vous partagez l'amour et que vous touchez les autres au coeur.*

Déposé par rafia le 01/08/2015  
{De Là-haut} (Interprète Thierry AMIEL)
De ce temps-là, je n'entends plus ma voix
De ce temps-là, je ne guide plus mes pas
De ce temps-là, je sais que je vais mais ne marche pas
Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Désormais, s'il fait un peu plus frais
Ce n'est pas que le temps soit mauvais
Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait
Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pâle reflet
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
Et s'ils te réconfortent, là où il t'emportent
Je ne rêve qu'en noir et blanc
Mes souvenirs se mêlent de sang et pourtant
Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
S'ils te réconfortent, là où ils t'emportent... de
là-haut.

Déposé par colombine67 le 01/08/2015  
L'ARC-EN-CIEL
Un beau jour, toutes les couleurs du monde entier se mirent à se disputer. Chacune prétendait qu'elle était la plus belle, la plus importante, la plus utile, la préférée !
Elles se vantaient, à haute voix, chacune étant convaincue d'être la meilleure. Le bruit de leur querelle s'enfla de plus en plus.
Soudain, un éclair d'une lumière aveuglante apparut dans le ciel, accompagné de roulements de tonnerre. La pluie commença à tomber à torrents sans discontinuer.
Effrayées, toutes les couleurs se tapirent et se rapprochèrent pour chercher un abri les unes près des autres.
La pluie prit la parole :
"Stupides créatures qui vous battez entre vous, chacune essayant de dominer l'autre, ne savez-vous pas que c'est le Grand Esprit qui vous a faites toutes, chacune dans un but particulier, uniques et différentes ?
Il aime chacune d'entre vous, il a besoin de vous toutes. Joignez vos mains et venez à moi. Il va vous étendre à travers le ciel en un magnifique arc-en-ciel, pour vous montrer qu'il vous aime toutes, que vous pouvez vivre ensemble en paix. Comme une promesse qu'il est avec vous et comme un signe d'espérance pour demain ..."
Ainsi, chaque fois que le Grand Esprit envoie une pluie pour laver le monde, il place l'arc-en-ciel dans son ciel, et quand nous l'apercevons, nous devrions nous rappeler qu'il veut que nous sachions, nous aussi, nous apprécier les uns les autres et le louer de notre merveilleuse complémentarité.
Légende Amérindienne

Déposé par rafia le 31/07/2015  
La grande erreur, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent ; ils ne nous quittent pas, ils restent... nous ne les voyons pas, parce qu'un nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs yeux pleins de gloire arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. Ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent, c'est l'intuition claire, pénétrante, que par la mort, ils ne sont ni éloignés, ni même absents, mais vivants, près de nous, heureux, transfigurés et n'ayant perdu dans ce changement glorieux ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur coeur, ni une préférence de leur amour.
D'après Mgr Bougaud

Déposé par Galinette3 le 31/07/2015  

🐶
Depuis que je suis devenu chien
A force de ne plus pouvoir sentir les hommes,
J'ai de l'amour pour mon prochain.
Je me sens plus humain, plus humain en somme.
🐶
Tout avait si bien commencé :
Petit Français moyen, propre et bien dressé,
On me disait civilisé.
Mais dans la suffisance je m'étais installé.
🐶
La nuit de ma transformation
Alors que je n'avais plus d'espoir en ma race,
J'ai dit : "Ce soir est le bon
Changeons enfin de corps, changeons de carapace".
🐶
Depuis que je suis devenu chien,
Je vis la vie dont j'ai rêvé.
Depuis que je ne suis plus humain,
J'ai retrouvé mon humanité.
🐶
Le premier jour de ma vie de chien,
Grâce à mon nouveau point de vue,
L'humilité m'est revenue soudain,
De moi, je n'étais plus imbu.
🐶
Et quand mon ventre gargouille de faim,
Quand j'ai les crocs de viande crue,
Je fais le siège à la boucherie du coin
Avec un air de chien battu.
🐶
A force de vivre ma nouvelle vie de chien
J'ai vu combien j'étais heureux.
Quand je trimballe mes puces sur les chemins
Je me sens libre, même si ça gratte un peu.
🐶
Depuis que je suis devenu chien
Je vis la vie dont j'ai rêvé.
Depuis que je ne suis plus humain,
J'ai retrouvé mon humanité.
🐶
Allez ... Solo ....
🐶
Le chhien par Thomasi (2006 "Lundi dans la Lune")

Déposé par colombine67 le 31/07/2015  
"Considérez vos rêves
comme les enfants de votre Âme
Et accordez-leur toute votre attention,
car ils sont à l'origine de vos accomplissements".
....alors, j'ai pensé à cette fabuleuse chanson d'Yves Duteil dont je me permets de vous rappeler les paroles. Puissent-elles faire souffler un vent d'innocence sur chaque coin du Monde qui constitue notre si Belle Planète et chasser les odeurs de violence et de cruauté :
Prendre un enfant par la main
Pour l'emmener vers demain.
Pour lui donner la confiance en son pas
Prendre un enfant pour un roi.
Prendre un enfant dans ses bras
Et pour la première fois
Sécher ses larmes en étouffant de joie
Prendre un enfant dans ses bras.
Prendre un enfant par le coeur
Pour soulager ses malheurs,
Tout doucement, sans parler, sans pudeur,
Prendre un enfant sur son coeur.
Prendre un enfant dans ses bras
Mais pour la première fois
Verser des larmes en étouffant sa joie,
Prendre un enfant contre soi.
Prendre un enfant par la main
Et lui chanter des refrains
Pour qu'il s'endorme à la tombée du jour,
Prendre un enfant par l'amour.
Prendre un enfant comme il vient
Et consoler ses chagrins,
Vivre sa vie des années puis soudain,
Prendre un enfant par la main,
En regardant tout au bout du chemin
Prendre un enfant pour le sien.
Je vous remercie tous de vous montrer si "Beaux"...

Déposé par colombine67 le 30/07/2015  
Toi dont la voix s’entend dans le souffle de la brise,
Toi dont l’haleine donne vie au monde,
Nous avons besoin de ta force et de ta sagesse.
Fais que nous marchions dans ta beauté,
Que jamais nos yeux ne se lassent de contempler
les ors et les pourpres du soleil couchant.
Aide-nous à lire les messages que tu as cachés dans les feuilles et les rochers.
Rends-nous sages, afin que nous saisissions ce que tu nous as enseigné.
Fais que nous soyons toujours prêts à venir à toi
les mains propres et le regard clair.
Ainsi quand la vie s’éteindra comme s’éteint le couchant,
sans honte, nos esprits pourront venir à toi.
Transforme nos cœurs afin que nous n’enlevions jamais
à la beauté de ta création plus que nous ne lui donnons.
Apprend-nous à ne jamais rien détruire à la légère
pour satisfaire notre avidité, à ne jamais oublier de prêter nos mains
pour édifier la beauté de la terre ;
à ne jamais prendre ce dont nous n’avons pas besoin.
Rends-nous capables de comprendre que détruire la musique de la terre,
c’est créer la confusion, ruiner son apparence,
et nous rendre aveugles à la beauté.
Polluer son doux parfum par notre insouciance,
c’est en faire une maison de puanteur.
Mais si nous prenons soin d’elle, la terre prendra soin de nous.
(prière amérindienne)

Déposé par poutounou le 29/07/2015  
Une très belle histoire avec une belle fin comme on les aime…
*
A la Réunion, un chien s'évade du chenil de la SPA et fait 10 km pour retrouver son frère!
*
Le comportement des animaux n'a pas fini de nous surprendre.
*
Christian, en adoptant Atchy à la SPA de Sainte-Marie, était loin d'imaginer qu'il allait en fait adopter aussi le frère de l'animal. "En adoptant ce chien, j'avais remarqué un autre chien qui avait l'air triste. En fait, c'était son frère", explique-t-il.
*
Ne souhaitant adopter qu'un seul chien, Christian emmène Atchy chez lui.
*
Quinze jours plus tard, Atchy s'est parfaitement habitué à son nouveau domicile. "C'est un chien très gentil", indique Marie-Lina, l'épouse de Christian.
*
Jeudi dernier, Marie Lina remarque un chien au rond-point de la Rivière des Pluies. "Je ne pouvais savoir qu'il s'agissait en fait du frère d'Atchy", affirme Marie-Lina, laissant transparaître son émotion.
*
Dimanche dernier, toute la famille est surprise de voir Atchy aboyer pendant un long moment après un autre chien au portail. "Ils ont longtemps aboyé et j'ai fini par ouvrir le portail", raconte Christian. "Quand l'autre chien est entré, il s'est mis tout de suite à jouer avec Atchy. J'en ai eu des frissons à cause de l'émotion qui est monté à cet instant. Le lendemain, lorsque j'ai appelé la SPA, ils m'ont expliqué que ce deuxième chien était le frère d'Atchy et qu'il s'était échappé depuis plusieurs jours, sûrement parce que son frère lui manquait trop".
*
Appelé Rex, le frère d'Atchy est encore un peu maigre à cause de son périple de plusieurs jours pour effectuer les 10 km qui séparent le chenil de la SPA de la maison de Christian et Marie-Lina . Depuis, les deux chiens ne se quittent plus et ils ont droit chaque soir à une petite balade dans le quartier de Beauséjour.
*
Aujourd'hui, Christian et Marie-Lina s'interrogent. Comment Rex a-t-il fait pour retrouver la maison où Atchy avait été emmené ? S'est-il servi de son odorat pour y arriver ? Ou est-ce que ce sont plutôt les aboiements d'Atchy qui étaient audibles à 10km de distance et qui ont guidé Rex jusqu'à Beauséjour ? Une bien belle histoire en tous les cas...

Déposé par choupinou le 29/07/2015  
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."

Déposé par colombine67 le 29/07/2015  
LE CONTE DE GRAND-PAPA QUI N'AIMAIT PAS LES GÂTEAUX
Il était une fois un vieux grand-père qui assistait au repas de mariage de sa dernière petite-fille. Il était heureux, serein, apaisé devant le merveilleux spectacle de toute sa famille réunie. Leur joie, leur bonheur à tous l'entouraient d'une émotion tendre.
Comme elle était belle, sa petite-fille dans une éblouissante robe blanche ! Elle riait de bon cœur en découpant avec son jeune époux la somptueuse pièce montée toute scintillante de caramel blond et de dragées roses.
- Servez-vous tous et faites passer à vos voisins de table, disait-elle en déposant les choux tout rebondis de crème sur les assiettes chaudes.
Quand la petite-fille passa l'assiette à son grand-père :
- Tiens, Pépé Paco ! prends donc du gâteau !
- Mais non ! fais passer le plat, l'interrompit sa mère, toujours attentive, tu sais que Pépé n'aime pas les gâteaux.
Il y eut un instant de silence et l'on entendit soudain la voix joyeuse du grand-père :
- Mais oui ! j'aime les gâteaux. Tiens, je vais prendre ce beau chou-là.
Regard stupéfait de sa fille.
- Comment ça, tu aimes les gâteaux ? Mais tu n'as jamais aimé les gâteaux ! Moi ta fille, j'ai cinquante ans et je ne t'ai jamais vu manger un gâteau de toute ma vie...
- De ta vie à toi, ma fille, oui…Mais pas de la mienne ! C'est que je les aime, les gâteaux ! J'ai toujours aimé les gâteaux… Seulement, nous étions si pauvres quand vous étiez petits avec tes sœurs et ton frère, tu le sais bien…Des gâteaux, votre mère ne pouvait en acheter qu'une fois de temps en temps, et encore seulement les dimanches de fête… Elle en prenait un pour chacun, c'est sûr, mais moi, quand je voyais tes yeux à toi, ma toute petite, quand tu venais t'asseoir sur mes genoux et que tu dévorais ton gâteau avec tant de plaisir, mon plaisir à moi, tu vois, c'était de te regarder manger mon gâteau que je te donnais si volontiers. Et j'ajoutais toujours pour que ton plaisir soit complet : " Mange ma petite petitounet, va !…moi je n'aime pas les gâteaux : "
Le grand-père en disant cela souriait tendrement, dodelinant doucement de la tête. Il dit encore en riant franchement :
- Tiens, ma fille, aujourd'hui c'est fête, donne-moi aussi celui qui reste sur le plat, là… D'ailleurs il va finir par tomber si tu continues à trembler comme ça ! Tu as froid ou c'est l'émotion de marier ta fille ?
Il arrive quelquefois que les cadeaux d'amour mettent de longues années avant d'être reconnus comme tels. Il suffit parfois d'un moment de tendresse, qui vient se poser sur un souvenir avec la délicatesse d'un pétale de fleur pour qu'ils se révèlent au grand jour.

Déposé par rafia le 28/07/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte,
Une fenêtre éclairée,
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard

Déposé par colombine67 le 28/07/2015  
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
- Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince.
- Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire
CHANGE LE MONDE
« C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.
Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.
- C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.
Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire
CHANGE LES AUTRES
« C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.
- Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.
Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots
CHANGE-TOI TOI-MEME
« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.
- C'est bien, dit le Sage.
- Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.
- C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait
ACCEPTE-TOI TOI-MEME
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte.
A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut
ACCEPTE LES AUTRES
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu.
Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
- Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier.
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut
ACCEPTE LE MONDE
« Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.
- C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.
Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.
- Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence.
Et le Vieil Homme disparut.
Merci à Françoise Laurent pour ce texte

Déposé par myriam31 le 27/07/2015  
L'amour naît dans un sourire,
Grandit dans un regard,
S'approfondit Par une caresse,
Et meurt dans une larme.
Là-bas où que tu sois, je pense à toi
et des milliers de bisous
je t'envoie.
Tendres pensées bel ange, amitiés et remerciements à ta maman pour ces bouquets et messages à mon BB Lucky.

Déposé par colombine67 le 27/07/2015  
CONSEILS POUR MENER VOTRE VIE :
1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques.
2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon.
3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes.
4. Souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.
5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement.
6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.
7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger.
8. Passez un peu de temps seul chaque jour.
9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs.
10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure des réponses.
11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois.
12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie.
13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé.
14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité.
15. Soyez tendre avec la terre.
16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant.
17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans Laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre.
18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir.
19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant.
Source: attribué au Dalaï Lama....www.lespasseurs.com

Déposé par rafia le 26/07/2015  
J'ai l'âme en détresse et le coeur en miette
Comme un navire en pleine tempête
J'ai les yeux qui pleurent ma peine et mon désespoir
Comme un enfant perdu dans le noir.
Les larmes coulent lentement
Comme autant de mots emportés par le vent
Mon coeur se serre douloureusement
Le mal est là, affreusement.
Avec toute ma bien sincère amitié.
+ 1000 mercis.
+ 1000 bisous + toute une cargaison d'ondes positives (enseignement du yoga pr leur bienfait)...Courage !!! je suis avec vs, pr la pensée.
Maryem, votre amie.

Déposé par wilaika le 26/07/2015  
2 mois que ton exhubérance, ta gentillesse , ta présence me manquent mon Paco

Déposé par spanky le 26/07/2015  
Mon Paco d'Amour,
Cela fait deux mois aujourd'hui que tu t'es envolé pour rejoindre le paradis des toutous.
Il est arrivé sans crier gare
Il avait pris possession de ton corps
S'était imposé dans ta vie dans nos vies
Et il a tout chamboulé, bouleversé, saccagé...
Et toi tu t'es battu jusqu'à l'épuisement.
Aujourd'hui, il n'est plus là
Et toi non plus
FOUTU CRABE....
Mais il y a deux choses sur lesquelles il n'aura pas gagné...
Qu'il n'aura jamais
Ton coeur qui bat encore au creux du mien
Et ton âme qui est restée à mes côtés
Et cela pour l'éternité.
Depuis le temps s’est arrêté,
Et je n’avance plus,
Je suis assise là,
Devant des clichés,
Et je me rappelle chacun de nos moments passés.
Alors, je ferme les yeux,
Et j' imagine le tunnel.
Je ne marche pas,
Je ne vole pas,
Je quitte juste mon enveloppe charnelle,
L'instant d'un temps,
De quelques secondes peut être,
Je suis à 100% bonheur dans ma tête.
Je me dis qu'il est facile,
De se donner rendez vous,
De te toucher du bout des doigts,
Et te raconter ce qui ne va pas.
Échanger quelques câlins, des papouilles, des bisous....
Et reprendre de l'énergie,
Mêler ma conscience à la tienne,
Pour ne plus avoir de peine.
Mais sitôt mes yeux éveillés,
Le tunnel s'éloigne,
J'essuie mes yeux mouillés,
Et mets sous l'oreiller,
La clé des secrets de mon âme ...
Tu me manques terriblement mon coeur
Ton absence est une douleur dans ma poitrine,
Mais je continuerai à vivre pour toi.
Je t'aime mon Paco d'Amour.

Déposé par colombine67 le 26/07/2015  
L’arc-en-ciel de ma vie
La vie m’a choyé dans un sens
Jeune adolescente, le destin m’a donné
De grandes responsabilités que j’ai acceptées
C’était ma destinée…
J’y ai mis tout mon cœur et mon amour,
Cette grande expérience m’a permis de grandir
Des bonheurs sous le soleil
Des chagrins sous la pluie
Des montagnes à gravir
Non sans peines et difficultés
Mais j’ai toujours réussi…
Ça recommence toujours…
Mais dans mon cœur j’ai une vision.
C’est de voir la vie « belle et d’y croire »
J’y mets toute mon énergie, je garde confiance.
Avec les évènements de la vie, j’ai vu noir
Et aussi toutes les couleurs de l’arc-en-ciel
De beaux jardins remplis de fleurs
Des gestes et paroles remplis d’amour
Des montagnes qui me semblaient incontournables
Des situations qui ont perturbées le courant de ma vie
J’ai gardé confiance et le sourire.
Pour traverser le chemin de ma vie…
Je regarde toujours devant, mon vécu m’a permis
De grandir, de m’épanouir et de sourire,
J’ai aidé, j’ai donné et j’ai reçu et ça continue
La vie est belle, il faut y croire
Et ça recommence toujours…
Des montagnes à gravir
des chagrins sous la pluie
Mais des bonheurs sous le soleil sont à l’horizon
Remplis d’amour et de joies…
Christine QC Canada

Déposé par rafia le 25/07/2015  
« Arigato » Pascal Obispo
Je t’ai vu me quitter des yeux
Pour d’autres ailleurs, vers d’autres cieux
On y parle d’endroits merveilleux
Merveilleux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour nous dire si c’est vrai ou pas
Tu aurais pu me dire « Adieu »
Tenir ma main encore un peu
Même si là-bas on y est mieux
On y est mieux
Mais personne n’est revenu encore
De cet autre côté du décor
Arigato
Mon amour…. A bientôt…
Mon amour…
Je t’ai vu t’en aller heureux
Pour un voyage vers le grand bleu
Qui ne se fait jamais à deux
Jamais à deux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour dire qu’on vous attend là-bas
Arigato
Mon amour…. A bientôt…
Mon amour…
S’il fallait entre nous un mot
Qui soit comme un dernier cadeau
Avant de fermer les rideaux
Mon amour…. Mon amour…. Mon amour… Mon amour…
A bientôt
Arigato
Mon amour…. Mon amour… A bientôt
Arigato

Déposé par colombine67 le 25/07/2015  
"Le Bonheur
Le Bonheur ne se trouve pas avec effort et volonté,
Mais réside là, tout proche,
Dans la détente et l'abandon.
Ne sois pas inquiet, il n'y a rien à faire.
Tout ce qui s'élève dans l'esprit n'a aucune importance,
Parce que dépourvu de toute réalité.
Ne t'attache pas aux pensées, ne les juge pas.
Laisse le jeu de l'esprit se faire tout seul,
S'élever et retomber, sans intervenir.
Tout s'évanouit et recommence à nouveau, sans cesse.
Cette quête même du bonheur est ce qui t'empêche de le trouver.
Comme un arc-en-ciel qu'on poursuit sans jamais le rattraper.
Parce qu'il n'existe pas, parce qu'il a toujours été là,
Et parce qu'il t'accompagne à chaque instant.
Ne crois pas à la réalité des choses bonnes ou mauvaises,
Elles sont semblables aux arcs-en-ciel.
A vouloir saisir l'insaisissable, on s'épuise en vain.
Dès lors qu'on relâche cette saisie, l'espace est là,
Ouvert, hospitalier, et confortable.
Alors jouis-en.
Ne cherche plus.
Tout est déjà tien.
A quoi bon aller traquer dans la jungle inextricable,
L'éléphant qui demeure tranquillement chez lui.
Cesse de faire.
Cesse de forcer.
Cesse de vouloir.
Et tout se trouvera accompli,
Naturellement.
Guendune Rinpoché, Maître de méditation"




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