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En hommage à
CANICHEcapi
Il est né le:01/07/2003
Il nous a quittés le:04/07/2015
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1369 messages
Déposé par gervais le 06/09/2019te voir partir a ete un drame pour moi mais je ne pouvais plus te voir souffrir cela fut un dechirement et cela le restera toujours tous les jours je m arrete la ou tu repose pres de ton hortensia prefere je me surprend a te parler tu manque tant a ma vie je t imagine quand il fait beau dans la pelouse au soleil je t appelais mon petit mouton blanc car tu mangeais toujours l herbe je ne t oublie pas tu n as rien a craindre tu es toujours pres de moi je te fais des tas de gratouilles et de bisous ta maman inconsolable |
Déposé par poutounou le 01/09/2019Poème de Mr. de LAMARTINE, un peu triste mais tellement beau : « On entend, dans l’espace, les choeurs mystérieux de l’Ange qui passe... » * La tristesse * L'âme triste est pareille Au doux ciel de la nuit, Quand l'astre qui sommeille De la voûte vermeille A fait tomber le bruit ; * Plus pure et plus sonore, On y voit sur ses pas Mille étoiles éclore, Qu'à l'éclatante aurore On n'y soupçonnait pas ! * Des îles de lumière Plus brillante qu'ici, Et des mondes derrière, Et des flots de poussière Qui sont mondes aussi ! * On entend dans l'espace Les choeurs mystérieux Ou du ciel qui rend grâce, Ou de l'ange qui passe, Ou de l'homme pieux ! * Et pures étincelles De nos âmes de feu, Les prières mortelles Sur leurs brûlantes ailes Nous soulèvent un peu ! * Tristesse qui m'inonde, Coule donc de mes yeux, Coule comme cette onde Où la terre féconde Voit un présent des cieux ! * Et n'accuse point l'heure Qui te ramène à Dieu ! Soit qu'il naisse ou qu'il meure, Il faut que l'homme pleure Ou l'exil, ou l'adieu ! * Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) |
Déposé par Cupidon le 30/08/2019 Un jour, Les oiseaux me porteront Bien au-delà des nuages, Je marcherais jusqu’à toi Et nous nous retrouverons, Je reverrais ton visage Empreint d’amour et de joie. Un jour, Lorsque je serais enfin Tout au bout de mon parcours, Ils voleront jusqu’à moi. Ce jour tout sera serein Mon coeur ne sera plus lourd J’aurais retrouvé la foi. Un jour, Nous serons une âme une seule Dans la lumière éternelle Réunis à tout jamais, Je rêve sous le grand tilleul Seule sur notre balancelle Et mon esprit est en paix. |
Déposé par poutounou le 25/08/2019Le cri tinte l’obscur et triste adieu de quelque vie éteinte…. * Le cri * Près d'un étang désert, où dort une eau brunie, Un rai du soir s'accroche au sommet d'un roseau ; Un cri s'écoute, un cri désespéré d'oiseau, Un cri pauvre et perdu dans la plaine infinie. * Comme il est faible et frêle et peureux et fluet ! Et comme avec tristesse il se traîne et s'écoute, Et comme il se répète et comme avec la route Il s'enfonce et se perd dans l'horizon muet ! * Et comme il marque l'heure, au rythme de son râle, Et comme, en son accent minable et souffreteux, Et comme, en son écho languissant et boiteux, Se plaint infiniment la douleur vespérale ! * Il est si doux parfois qu'on ne le saisit pas. Et néanmoins toujours, et sans fatigue, il tinte L'obscur et triste adieu de quelque vie éteinte ; Il dit les pauvres morts et les pauvres trépas : * La mort des fleurs, la mort des insectes, la douce Mort des ailes et des tiges et des parfums ; Il pleure au souvenir des vols qui sont défunts Et qui gisent, cassés, dans l'herbe et dans la mousse. * Émile VERHAEREN (1855-1916) |
Déposé par poutounou le 18/08/2019« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... » * Le sommeil * Les perdus, les absents, les morts que fait la vie, Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés, Reparaissent en rêve avec leur voix amie, Le piège étincelant des regards adorés. * Les amours prisonniers prennent tous leur volée, La nuit tient la revanche éclatante du jour. L'aveu brûle la lèvre un moment descellée. Après le dur réel, l'idéal a son tour ! * Ô vie en plein azur que le sommeil ramène, Paradis où le coeur donne ses rendez-vous, N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine, Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous, * Une vie invisible aussi pleine et vibrante Que la visible vie où s'étouffent nos jours, Cette vie incomplète, inassouvie, errante, S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ? * Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895) |
Déposé par rustiditbibi le 15/08/2019Un ménage n'est plus un ménage lorsque c'est le chien qui apporte les pantoufles et la femme qui aboie. - Henry Bernstein |
Déposé par poutounou le 11/08/2019Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!! * Savez-vous pas... * Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille arrête Les bruits du monde et les traits du soleil - Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes, Par la savane aux ondoyants cheveux, Suivre, en rêvant, les écureuils agiles, Et voir sauter, sur les branches mobiles, L'ara de pourpre et les bengalis bleus ! * Savez-vous pas, sur les plages lointaines Où n'ont jamais passé les matelots, Une île heureuse aux suaves haleines, Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ? - Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée, Jetant au vent la poussière des jours, Sentir mon âme aux vagues balancée, Et m'endormir sur l'onde cadencée Comme un enfant que l'on berce toujours ! * Savez-vous pas, loin de la froide terre, Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu, Un astre d'or, un monde solitaire Roulant en paix sous le souffle de Dieu ? - Oh ! je voudrais une planète blonde, Des cieux nouveaux, d'étranges régions, Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde, Glisser la nuit, sous la voûte profonde, Le char brillant de constellations ! * Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines Le sable est dur et le soleil est lourd. Ma bouche ardente a tari les fontaines Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour. - Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses, Débarrassé de tout lien charnel, Courir joyeux dans les métamorphoses, Puis me plonger à la source des causes, Où l'Infini flotte dans l'Éternel ! * Louis BOUILHET (1822-1869) |
Déposé par choupinou le 06/08/2019on peut oublier,un visage,une image,mais on ne peut tout à fait effacer de sa mémoire la chaleur d'une émotion,la douceur d'un geste,le son d'une voix tendre qui vous parle dans le silence et qui vous dit merci de ne pas nous avoir oublié,car de cette façon nous savons que nous faisons partis un peu de vous;d'une grande famille qui aujourd'hui nous'aime et pense a nous,simplement par vos fleurs et petits messages,merci pour nos anniversaires et jours hommages,merci de ne pas nous laisser dans un petits coins sans venir nous voir,nous qui avons subit l'indifférence et la maltraitance,votre amour et soutien nous sommes précieux,vos petits amis AK47 /MINETTE /ARTURO / GAGY /CECILE et tous nos amis d'infortunes.... MERCI d'être là pour nous.... même si notre amie choupinoucelibab ne peut pas toujours vous remerciez pour nous,soyez sur que nous vous en serons toujours reconnaissant et veillerons sur vous de la haut ,nous,petites étoiles,parmi vos petits anges de lumière et d'amour........ |
Déposé par poutounou le 04/08/2019Que c’est bien dit : « Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche... » * Voix intérieure * Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ? Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche. Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tâche Que d'être objet qui vit, qui jouit et qui meurt. * Mon âme, aimez la vie, auguste, âpre ou facile, Aimez tout le labeur et tout l'effort humains, Que la vérité soit, vivace entre vos mains, Une lampe toujours par vos soins pleine d'huile. * Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forêt, Le gai bourdonnement de la cité qui chante, Le plaisir de n'avoir pas de haine méchante, Pas de malicieux et ténébreux secret, * Aimez la mort aussi, votre bonne patronne, Par qui votre désir de toutes choses croît, Et, comme un beau jardin qui s'éveille du froid, Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ; * L'hospitalière mort aux genoux reposants Dans la douceur desquels notre néant se pâme, Et qui vous bercera d'un geste, ma chère âme, Inconcevablement éternel et plaisant... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par poutounou le 28/07/2019Il y a une vie après la mort, c’est sûr !!! Mais qu’il est beau ce poème ! « Mort qu’on appelle enfin quand on l’a méditée… !!!» * Prière * Fantôme qui nous dois dans la tombe enfermer, Mort dont le nom répugne et dont l'image effraie, Mais qu'à force de crainte on finit par aimer, Puisque la vie est vaine et que toi seule es vraie ; * Ô Mort, qui fais qu'on vit sans but et qu'on est las, Et qu'on rejette au loin la coupe non goûtée, Mort qu'on maudit d'abord et dont on ne veut pas, Mais qu'on appelle enfin quand on t'a méditée ; * Ô la peur et l'espoir des âmes, bonne Mort, Dont le souci nous trouble un temps, et puis nous aide, Mystérieux écueil où se blottit un port, Et poison merveilleux où se cache un remède. ... * Jules TELLIER (1863-1889) |
Déposé par poutounou le 21/07/2019Merci Monsieur Verlaine pour vos magnifiques poèmes !!! * Il pleure dans mon coeur * Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? * Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! * Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. * C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine ! * Paul VERLAINE (1844-1896) |
Déposé par choupinou le 15/07/2019La chose la plus difficile à supporter quand ils s'en vont, ces amis tranquilles, c'est qu'ils emportent avec eux tant d'années de nos propres vies. MERCI de tout notre coeur pour notre petit Crapouille,pour avoir prit de ses nouvelles,et espérer tout comme nous a son bon rétablissement,mais la vie en a décidé autrement,et nous a prit notre petit Poupouille d'amour,le chagrin est immense,le chemin sera long et difficile sans notre petit Craps....... Merci de votre soutien ,message de tendresse,pour lui et pour nous,par vos fleurs,je ne vous en dirait pas plus car je sens ma poitrine se serrer,comme un coup de poignard,et mes larmes roulent sur mon visage...... juste un petit mot,tout petit ,MERCI choupinou et sa fille pouilledamour Perdre un chien que l'on aime n'est jamais évident. Bien que leurs vies soient plus courtes, l'espace qu'ils prennent dans nos vies sont énormes, et les souvenirs que nous gardons d'eux sont éternels. L'amour d'un chien est quelque chose d'extraordinaire. Ils nous aiment malgré nos défauts. Ils ont bons cœurs et devraient nous montrer l'exemple. Honorons la mémoire de nos petits anges en faisant attention aux leçons de la vie et gardons toujours leur souvenir dans nos cœur. . Aucun être au monde ne sait offrir plus d'amour qu'un chien. Il vous aime sans condition et éternellement. Alors si tu es triste, sache qu'un petit ange,des petits anges gardien à quatre pattes veille sur toi de là où il est.,ou ils sont |
Déposé par poutounou le 14/07/2019Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle !!! * L’Arbre et la graine * Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent. Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe. Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle ? Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque. Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages ? Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle. Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie ? * Benoît Marchon |
Déposé par poutounou le 07/07/2019Nos anges ne seront jamais oubliés... * Le calmant * Plus qu'ennuyée Triste. Plus que triste Malheureuse. Plus que malheureuse Souffrante. Plus que souffrante Abandonnée. Plus qu'abandonnée Seule au monde. Plus que seule au monde Exilée. Plus qu'exilée Morte. Plus que morte Oubliée. * Marie Laurencin ("Poèmes" - Bernouard éditeur, 1926) Marie Laurencin (1883-1956) , peintre certes, mais également poète sous le pseudonyme de Louis Lalanne, et muse de Guillaume Apollinaire ... |
Déposé par gervais le 05/07/2019merci du fond du coeur a toutes et a tous d avoir penser a mon capi en ce triste anniversaire je suis heureuse de voir qu il n est pas oublie encore mille fois merci nos anges nous manquent tant |
Déposé par choupinou le 04/07/2019L'amour c'est le sentiment le plus merveilleux qui soit L'amour c'est la tendresse,l'amour partage Celui qui nous unit toujours davantage L'amour confiance,l'amour loyal Celui qui comprend et pardonne L'amour fidèle,l'amour constant Celui qui résiste aux plus grand tourments Celui qui résiste malgré le temps qui passe le plus beau des cadeaux,c'est celui que nous partageons l'amour de nos petits coeurs et en ce jour de ton anniversaire CAPI Ou simplement chaque jour,chaque minute,chaque instant tendre pensées en cette journée du souvenir Amitié choupinou |
Déposé par gervais le 04/07/2019LE 4/07/2019 MERCI A TOUTES LES MAMANS ET PAPA QUI SONT VENUS DEPUIS 4 LONGUES ANNEES ET QUI VIENDRONT FLEURIR MON CAPI IL ME MANQUE TELLEMENT IL MERESTEGES SOUVENIRS ENCORE DES SOUVENIRSENFOUIS AU FOND DE MON COEUR POUR LETERNITE TU FUS UN MERVEILLEUX COMPAGNON J AURAI TANT VOULU QUE CELA DURE ENCORE PLUS QUE DE REGRETS JE T AIME TANT MAIS TU LE SAIS PLEIN DE BISOUS ET DE CARESSES MON ANGE JE SAIS QUE TU N ES PAS SEUL TU A RETROUVE PLEIN D AMIS JE T AIME MON CAPCAP |
Déposé par poutounou le 30/06/2019C'est exactement comme ça quand on est mélancolique... Heureusement qu'il y a de beaux moments dans la vie : Le souvenir des moments passés avec nos Anges par exemple... et le contact que nous gardons avec eux bien après leur disparition !!! C’est un poème que j’adore !!! * Spleen... * Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; * Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; * Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, * Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. * Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. * Charles BAUDELAIRE (1821-1867) |
Déposé par poutounou le 23/06/2019Sauvons-nous tous dans le fond de notre cœur avec notre ou nos anges… * L'absence *. Quand je me sens mourir du poids de ma pensée, Quand sur moi tout mon sort assemble sa rigueur, D'un courage inutile affranchie et lassée, Je me sauve avec toi dans le fond de mon cœur ! * Tu grondes ma tristesse, et, triste de mes larmes, De tes plus doux accents tu me redis les charmes : J'espère ! ... car ta voix, plus forte que mon sort, De mes chagrins profonds triomphe sans effort. * Je ne sais ; mais je crois qu'à tes regrets rendue, Dans ces seuls entretiens tu m'as tout entendue. Tu ne dis pas : « Ce soir ! » Tu ne dis pas : « Demain ! » Non, mais tu dis : « Toujours ! » en pleurant sur ma main. * Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
Déposé par poutounou le 16/06/2019Oui, quand tout va mal, pensons fort à nos Anges, car ils seront toujours là pour nous... !!! * Les cloches du soir * Quand les cloches du soir, dans leur lente volée, Feront descendre l'heure au fond de la vallée ; Quand tu n'auras d'amis, ni d'amours près de toi, Pense à moi ! pense à moi ! * Car les cloches du soir avec leur voix sonore A ton cœur solitaire iront parler encore ; Et l'air fera vibrer ces mots autour de toi : Aime-moi ! aime-moi ! * Si les cloches du soir éveillent tes alarmes, Demande au temps ému qui passe entre nos larmes : Le temps dira toujours qu'il n'a trouvé que toi, Près de moi ! près de moi ! * Quand les cloches du soir, si tristes dans l'absence, Tinteront sur mon cœur ivre de ta présence : Ah ! c'est le chant du ciel qui sonnera pour toi, Et pour moi ! et pour moi ! * Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
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