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En hommage à
DOBERMANNRay
Il est né le:03/05/2000
Il nous a quittés le:27/10/2010
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254 Fleurs
1137 messages
Déposé par poutounou le 12/11/2015Poème de notre ou nos anges pour nous… * J’aimerais être l’ange de ton sommeil, Te protéger jusqu’au réveil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cœur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé Des plus profondes de tes pensées. Je dissiperai le brouillard Qui détruit tous les espoirs. Et lorsque tu te réveilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
Déposé par poutounou le 08/11/2015Le plus beau cadeau * Faire le plus beau cadeau à quelqu'un : Ce n'est pas l'aider, Ce n'est pas combler ses désirs, Ce n'est pas lui apporter la sécurité, Ce n'est pas l'Aimer. NON. * C'est lui donner sa liberté, C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix, C'est lui montrer sa propre lumière, C'est croire en lui, C’est toujours rester dans la vérité, ET SURTOUT, C'est être à son écoute et lui donner l'occasion de s'Aimer... |
Déposé par poutounou le 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?". Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
Déposé par rafia le 02/11/2015OFFERT A VOS AMOURS CANINS, FELINS ...ET AUTRES. L'AMOUR SINCERE EST UNIVERSEL. OFFERT AUSSI A MES CINQ AMOURS/WESTIES. Pr vs mes amies/amis, toute ma bien sincère amitié. Sans oublier mes chaleureux remerciements. Maryem CONJUGUONS LE VERBE AIMER En conjuguant le verbe aimer à ts les temps A l’imparfait, au passé simple ou au présent Ns ns aimons, conditionnel, indicatif Au singulier ou au pluriel, au subjonctif ! Au futur simple ou antérieur, je vs aimerai Toute ma vie, avec souvenir, plus que parfait En auxiliaire, c’est vs que j’avais choisis Avoir et être, je vs ai tant chéris Par votre absence, je suis désarmée. Passé, présent, ce sont les temps du participe Impératif, souffrir d’aimer, l’infinitif Amour, tendresse, partagés, lien sacré, Durant toutes ces années, ns ns sommes aimés. Combien la tendresse Canine, vaut la nôtre ! Vs et moi... vs et ns, mes amours/westies, en ayant conjugué A l’infini ce mot, nous l’avons énoncé, Je vs l'envoie "là haut" pour toutes ces années, Vers ce lieu pr moi, inconnu. Pour d'utopiques retrouvailles..... Pourtant, je ne demande qu'à y croire. |
Déposé par poutounou le 31/10/2015Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges…. * Une ombre qui passe… * Toute de noir vêtue et sa canne à la main, Elle avance à pas lents dans la petite allée En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée Qu'elle va déposer juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son âge? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le départ a causé son tourment. La douleur a creusé les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetière, Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'année où chacun se souvient Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête. * Présence inopportune où sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme à son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidèle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quitté la place. |
Déposé par poutounou le 28/10/2015Lorsque je raconte autour de moi que je vais tous les jours sur le cimetière pour chiens, les réactions sont quelquefois bizarres… Beaucoup de « gens » ont du mal à accepter la différence…. Vive la tolérance ! * Nous autres les rêveurs aux idées un peu folles Sommes interpellés par les intolérances Qui pullulent en nos mondes envers les différences Dans la vie de chacun et elles nous affolent * Heureux est lors celui dont l’esprit batifole Seraient ternes les jours sans quelques dissemblances Et vivre sous le joug de lois sans tolérance Venues de temps anciens ne peut point faire école * La vie en harmonie apporte maints plaisirs La nature nous guide en des choix à loisir Elle a fait des unions sous nombres de symbioses * L’homme pourtant doté de multiples cultures Serait bien inspiré s’il suivait la nature Et gagnerait en sus un statut grandiose |
Déposé par rafia le 27/10/2015Texte sur la souffrance du deuil d'Erich Fried Souffler son Malheur Son malheur, pouvoir le souffler Profondément l’expirer Pour à nouveau pouvoir inspirer Son malheur, pouvoir le dire Avec des mots Avec de vrais mots, Justes et pleins de sens Que l’on comprenne encore soi-même Et que quelqu'un d’autre peut-être Puisse comprendre Ou pourrait comprendre Et pouvoir pleurer Ce serait, à nouveau, presque du bonheur , |
Déposé par choupinou le 27/10/2015L'ombre des anges Je traverserai les villes, J'emporterai ta voix, J'irai chercher le feu dans le ciel, Et le vent dans nos voiles. Quand l'ombre des nuages, démasquera nos souffles, nous volerons sereins, par les chemins du sort, et nos songes en fuite, éviterons les gouffres, pour balayer ensuite, les traces de nos morts. Je traverserai les villes J'emporterai ta voix J'irai chercher le feu dans le ciel Et le vent dans nos voiles Une étoile se repose, dès qu'un ange dort....., |
Déposé par ovanek le 27/10/2015💖 💖 17 💖 💖 **** Pour toi mon Fidèle **** Je t'ai choisi comme compagnie Et tu le seras pour toute ma vie Je ne pourrais jamais te quitter Surtout jamais t'oublier Ces quelques lignes Je te les désigne Pour te prouver Cette grande amitié N'oublie surtout jamais Qu'on sera ami pour l'éternité Même devant la mort Quoi qu'il arrive mon chien, je t'adore Pensée 💖 |
Déposé par nanabes le 27/10/2015douce pensée |
Déposé par Galinette3 le 27/10/2015“À ceux que j’aime, et qui m’aiment” – Poème amérindien 🐶 Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j’ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! 🐶 Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m’avez apporté ! 🐶 Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré ! Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. 🐶 Nous ne serons séparés que pour quelques temps ! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! 🐶 Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là, Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai ! 🐶 Quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu ! 🐶 N’allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! 🐶 Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la nuit ! 🐶 N’allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort. 🐶 |
Déposé par susi le 26/10/2015Nous voila Ray 5 ans demain que tu es partit loin de ta maitresse.Ta maitresse continu sa vie,malgrés ton absence et le départ de son mari,mais tu es toujours présent dans son cœur.Tu es près de ton maitre,embrasse le de ma part et protégele comme tu l'a toujours fait sur terre.Je t'aime |
Déposé par poutounou le 23/10/2015Jolie petite histoire… * Les deux scarabées * Un scarabée montait la rue, Un scarabée la descendait. -Passez donc, monsieur, s’il vous plait, Puisque vous descendez la rue. -Après vous, monsieur, s’il vous plait, La remonter est plus ardu. Chacun tenant son chapeau gris Dans une main gantée de gris Voulait être le plus poli Des scarabées nés dans la dune. Ils s’étaient croisés à midi. A minuit, madame la lune Les vit encore se souriant, Se parlant et se saluant, Chacun tenant son chapeau gris Dans une main gantée de gris. * Maurice Carême |
Déposé par poutounou le 19/10/2015Un des plus beaux métiers du monde… * Le bâtisseur de ponts * Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux. Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines. * Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire... * - Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir. * L'homme répondit : - Je crois que je comprends la situation. * L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine. * Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant : - Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi ! * Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir. * - Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi. * Mais il répondit : - Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire... |
Déposé par poutounou le 15/10/2015Il dit vraiment n’importe quoi, le petit doigt ! * Un petit doigt bavard * C’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit Au jardin des deux chats gris Une fourmi en bigoudis Est sortie d’un trou de souris Mon petit doigt affabule Au jardin des campanules Libellule et tarentule Tricotent des mandibules Mon petit doigt a raison Au jardin des hérissons Moi j’ai vu deux limaçons Ficelés comme des saucissons Qui enfilaient leurs caleçons * Chantal Abraham |
Déposé par poutounou le 11/10/2015A vos aiguilles et pelotes…..Je vais demander à Monsieur l’écureuil de me tricoter un joli bonnet pour l’hiver qui ne va pas tarder…. * L’écureuil * Dans le tronc d'un platane Se cache une cabane. Un petit écureuil Est assis sur le seuil. Il mange des cerises, Tricote une chemise; Recrache les noyaux, Se tricote un maillot; Attaque les noisettes, Fait des gants, des chaussettes... Qu'importe s'il fait froid ! Tant pis si vient l'hiver ! Une maille à l'endroit, Une maille à l'envers : L'écureuil, fort adroit, Se fait des pull-overs. * Jean-Luc Moreau |
Déposé par poutounou le 07/10/2015Prenons notre plus belle plume et écrivons tout ce qui nous passe par la tête….des mots doux à nos anges, par exemple. * J’écris * J'écris des mots bizarres J'écris des longues histoires J'écris juste pour rire Des choses qui ne veulent rien dire. Ecrire c'est jouer. J'écris le soleil J'écris les étoiles J'invente des merveilles Et des bateaux à voiles. Ecrire c'est rêver. J'écris pour toi. J'écris pour moi J'écris pour ceux qui liront Et pour ceux qui ne liront pas. Ecrire c'est aimer. J'écris pour ceux d'ici Ou pour ceux qui sont loin Pour les gens d'aujourd'hui Et pour ceux de demain. Ecrire c'est vivre. * Geneviève Rousseau |
Déposé par ovanek le 06/10/2015💖 💖 💖 16 💖 💖 *** Ami *** Ami, dis moi pourquoi Tu sembles avoir pour moi Toujours tant d’amitié Pourquoi dans ton regard je vois souvent briller Amour et fidélité Pourquoi quand je t’accueille un jour sous mon toit Les grands et les petits éprouvent tant de joie Pourquoi lorsque je suis dans ma vie parfois attristé Semble tu toujours si prêt a me réconforté Pourquoi lorsque le soir je rentre fatiguée Viens tu si gentiment te coucher à mes pieds Ah ! Laisse-moi te dire ici combien de toi Je peux penser de bien mon unique ami Toi mon roi. **** Pensée **** 💖 |
Déposé par poutounou le 03/10/2015Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges… * Les mots qui font vivre * Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur et le mot confiance Amour, justice et le mot liberté Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et Certains noms de fruits Le mot courage et le mot découvrir Et le mot frère et le mot camarade Et certains noms de pays, de villages Et certains noms de femmes et d'amis. * Paul Eluard ( 1895-1952) |
Déposé par poutounou le 29/09/2015Et oui ! Avec tout l’amour qu’ils donnent, ils arrivent à faire des miracles, nos Amours à quatre pattes…. * "Gigica est le plus petit chien de l’équipe Dogs For People de QUATRE PATTES. Elle a été sélectionnée pour travailler avec Cornel, un petit trisomique de cinq ans. Pendant leur première année ensemble, le garçon a fait des progrès incroyables. Il est à présent capable d’interagir, de s’amuser avec des jouets ou de se tenir debout. C’est là encore une histoire à succès du projet Dogs for People de QUATRE PATTES. La première tâche de Gigica a été d’amener Cornel à ne plus avoir peur d’elle. Même s'il a fallu un certain temps avant que le petit garçon de cinq ans se rassure, il a peu à peu commencé à considérer la présence du chien comme tout à fait normale. Le caractère doux de Gigica et sa petite taille ont ici joué un rôle important. C’étaient d’ailleurs là les principaux critères qui avaient amené à la choisir pour cette tâche. Après l’acceptation, il y a eu le contact visuel, constituant une nouvelle percée : les yeux de Cornel suivaient les mouvements de Gigica, suivaient tout ce qu’elle faisait avec beaucoup de curiosité. Cette curiosité est bientôt devenue si forte qu’il a permis à Gigica de s’approcher pour pouvoir toucher son pelage. Pour le petit garçon qui présente également des symptômes autistes, cette expérience du contact proche et du toucher était quelque chose de tout à fait nouveau. * Au fur et à mesure que sa relation avec Gigica se développait, la période d’attention de l’enfant a augmenté, mais c’était loin d’être tout. La façon dont il se rapprochait tout près du chien, comme s’il voulait l’examiner au microscope, signalait clairement qu'il avait développé un réel intérêt pour un autre être vivant. Cornel a commencé à jouer avec des jouets – ce qu’il n’avait encore jamais fait. A présent, il se reconnaît lui-même dans la glace et s’y découvre. Il danse avec sa thérapeute Ema et Gigica aux sons de la musique de la radio. Ce sont des progrès inouïs pour un petit garçon qui ne parvenait pas à établir le contact avec les gens qui l’entouraient avant d’avoir rencontré Gigica. Elle est devenue l’année dernière un élément central de sa vie et de son bien-être. Son caractère exceptionnel, sa patience et son intelligence ont obtenu d'incroyables succès." |