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En hommage à
Caïd

Il nous a quittés le:21/06/2006

A Mon Ami Caid (1990/2005.)

Tu as fait parti de ma vie pendant 5 ans. Puis le divorce avec ton
maître nous a éloigné à plus de 500 kilomètres et comme tu étais à
lui avant notre rencontre tu est parti loin de moi et je ne t'ai jamais
revu.... De toi ne me reste que des photos et vidéos. Je n ai jamais cessé
de penser à toi c'est une certitude. Un amour de chien. Gentil affectueux adorant les
enfants d ailleurs quand Paul est né tu était toujours à coté de lui à le
veiller.


Quand j ai appris ta disparition cela a était un déchirement.J ai voulu t offrir cette sépulture virtuel car tu mérites d être connu ici les gens connaissent notre douleur.

Aujourd'hui j espère que tu à pu accueillir ton maître qui vient de perdre la vie(le 31.01.2018) à 45 ans à cause d un camion fou.... Vous vous êtes sûrement retrouvé et lié à jamais dans l'au-delà.............

Pour un merveilleux chien qui s appellait Caïd (Le 03/04/2018)




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201 messages

Déposé par choupinou le 21/07/2020  
En ce jour anniversaire
Oui,CAID tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter
Tendres pensées

Déposé par poutounou le 21/07/2020  
En ce jour anniversaire
*
LE SILENCE DES MOTS
*
Si seulement il existait des mots
qui sauraient te raconter,
je trouverais les plus beaux
ceux qui ne peuvent rien briser.
*
Je les placerais devant toi
sur une tendre mélodie
et ils t'exprimeraient ce que moi
je n'ai encore jamais dit.
*
De ta tendresse et de ta douceur
ils sont le lien qui nous unit
car j'y ai trouvé dans ton coeur
un amour infini.
*
Pourquoi donc cette solitude
d'un coeur qui a tant souffert,
vient blesser les habitudes
comme si elles ne savaient que faire.
*
Ce matin je pense à toi
et les mots dansent devant mes yeux,
j'aimerais être contre toi
plus un seul mot, rien que nous deux.
*
Dans le silence de chaque mot
il y a tant de paroles et d'amour
que tout ce que mon coeur trouve beau,
grandit à chaque jour.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par poutounou le 19/07/2020  
Si seulement je pouvais revenir te chercher, mon Ange…
*
Je reviens te chercher (extrait)
*
Je reviens te chercher
Je savais que tu m'attendais
Je savais que l'on ne pourrait
Se passer l'un de l'autre longtemps
Je reviens te chercher
Ben tu vois, j'ai pas trop changé
Et je vois que de ton côté
Tu as bien traversé le temps
*
Gilbert Bécaud

Déposé par poutounou le 12/07/2020  
SOUVENIRS
*
Voyez partir l’hirondelle,
Elle fuit à tire d’aile,
Mais revient toujours fidèle,
A son nid,
Sitôt que des hivers le grand froid est fini
*.
L’homme, au gré de son envie,
Errant promène sa vie
Par le souvenir suivie
De ces lieux
Où sourit son enfance, où dorment ses aïeux
*.
Et puis, quand il sent que l’âge
A glacé son grand courage,
Il les regrette et, plus sage,
Vient chercher
Un tranquille bonheur près de son vieux clocher
*.
(Rouen, 1869)
Guy de Maupassant, Poésie Diverses

Déposé par poutounou le 05/07/2020  
Partout, je t'ai vu, bel Ange...
*
Air vif
*
J'ai regardé devant moi
Dans la foule, je t'ai vu
Parmi les blés, je t'ai vu
Sous un arbre, je t'ai vu
*
Au bout de tous mes voyages
Au fond de tous mes tourments
Au tournant de tous les rires
Sortant de l'eau et du feu
*
L'été, l'hiver je t'ai vu
Dans ma maison, je t'ai vu
Entre mes bras, je t'ai vu
Dans mes rêves, je t'ai vu
*
Je ne te quitterai plus.
*
Paul Éluard ("Derniers poèmes d'amour")

Déposé par poutounou le 28/06/2020  
Voilà à quoi ressemble l'école au Paradis...
*
Notre école
*
Notre école se trouve au ciel.
Nous nous asseyons prés des anges.
Comme des oiseaux sur les branches.
Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes.
*
A midi juste, on y mange,
Avec du vin de tourterelle,
Des gaufres glacées à l'orange
Les assiettes sont en dentelle.
*
Pas de leçon, pas de devoirs
Nous jouons quelque fois, le soir
Au loto avec les étoiles.
*
Jamais nous ne rêvons la nuit
Dans notre petit lit de toile
L'école est notre paradis.
*
Maurice Carême ("le moulin de papier" - Nathan)

Déposé par poutounou le 21/06/2020  
Quel beau programme !
*
FARNIENTE
*
Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage
Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage,
J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis,
Loin des chemins poudreux, à demeurer assis
Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse,
Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse.
Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi
Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi,
Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe,
Le puceron qui grimpe et se pend au brin d’herbe,
La chenille traînant ses anneaux veloutés,
La limace baveuse aux sillons argentés,
Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole.
Ensuite je regarde, amusement frivole,
La lumière brisant dans chacun de mes cils,
Palissade opposée à ses rayons subtils,
Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte
En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ;
Et lorsque je suis las, je me laisse endormir,
Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir,
Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette,
Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette.
*
Théophile Gautier, Premières Poésies

Déposé par poutounou le 14/06/2020  
Et si nos anges descendaient nous faire un petit coucou !
*
L'ange de l'étoile du matin
*
L'ange de l'étoile du matin
Descendit en son jardin
Et s'approchant d'Elle :
*
" Viens, lui dit-il, je te montrerai
Les beaux vallons et les bois secrets
Où vivent encore, en d'autres rêves,
Les esprits subtils
De la terre. "
*
Elle étendit le bras, et rit,
Regardant entre ses cils
L'ange en flamme dans le soleil,
Et le suivit en silence.
*
Et l'ange, tandis qu'ils allaient
Vers les ombreux bosquets,
L'enlaçait, et posait
Dans ses clairs cheveux plus longs que ses ailes,
Des fleurs qu'il cueillait
Aux branches au-dessus d'Elle.
*
Charles VAN LERBERGHE (1861-1907)

Déposé par choupinou le 07/06/2020  

Le ciel a une petite ouverture dans les nuages qui se referme immédiatement après que l'esprit,l'âme soit en sécurité a l'intérieur.C'est un endroit magique ou les terres sont garnies d'abondantes herbes émeraude. Dans ce lieu,les esprits,les âmes jouent à des jeux merveilleux
Les descriptions qui me sont données par les animaux de cet autre côté de l'Arc-en-ciel sont en général magnifiques et similaires a ces représentations.
Il y règne toujours une lumière iridescente. S'y trouve ce qui pourrait ressembler a des prés,des champs,des fleurs,des lacs et des ruisseaux,tous de couleurs chatoyantes,indescriptibles sur terre. Parfois y résonnent des sons merveilleux et surtout s'y diffusent des senteurs extraordinairement parfumées. Aussi la palette des couleurs est-t'elle fastueuse. Le plus étonnant c'est que les mélodies,les couleurs et les bouquets d'arômes vibrent et sont vivants,pensent et communiquent. C'est impossible à décrire,c'est indicible car cela ne fait pas partie de ce que l'être humain connaît.
Tout est plus vaste aussi,multidimentionnel. Il y a pas de notion de place ou d'endroit,mais plutôt d'état d'âme. Les animaux ne semblent pas attachés à un lieu,ils vont et viennent ou ils veulent,là ou ils mettent leurs pensées. Parfois il me semble voir des endroits physiques plus géographiques et d'autres fois rien,juste de la lumière. Les animaux semblent toujours heureux,en bonne santé,jouant. C'est comme si ils étaient véritablement eux mêmes et, sachant qui ils sont,retournent à leur véritable identité. Les Médecins du Ciel mon dit un jour que tout âme a une identité et un nom. Ici,dans mes aperçus de l'Au-delà ,je n'ai pas entendu de nom,mais j'ai pu sentir que les animaux sont vraiment eux mêmes. Cette identité n,est pas nécessairement pareille à celle que nous avons connue dans leur dernière existence. Ils m'apparaissent sous cette forme pour que je puisse les reconnaître. Ici le monde du temporaire n'est plus,ainsi que toute les peurs et les croyances qui y sont liées. Dans cet état,ils sont souvent entourés d'autres animaux et parfois de personnes. Souvent,j'ai aperçu des groupes,comme des troupeaux de chevaux. Il y alors une unité incroyable, comme si le groupe était Un et pensait comme Un,alors qu'il y a des individus. C'est comme les fils qui tissent une même toile. Il est difficile de capter l'étendue de leur dimension car ils se manifestent a moi de façon toujours un peu éthérée. Le plus spectaculaire de tout,c'est l'amour,la compassion et le non jugement que je ressens quand je me connecte à eux.
EXTRAIT tiré du livre : "Les Animaux...Leur chemin vers l'autre monde" de LAILA DEL MONTE
Cet amour qui vibre existe à l'intérieur des animaux et indépendamment d'eux,il rayonne autour d'eux et en tout. Ce que nous ressentons si fort pour notre animal sur terre n'est qu'une faible lueur de l'Amour qu'il y a là- bas.

Déposé par poutounou le 07/06/2020  
Oh le joli mois de juin !!!
*
Juin
*
Les prés ont une odeur d’herbe verte et mouillée,
Un frais soleil pénètre en l’épaisseur des bois,
Toute chose étincelle, et la jeune feuillée
Et les nids palpitants s’éveillent à la fois.
*
Les cours d’eau diligents aux pentes des collines
Ruissellent, clairs et gais, sur la mousse et le thym ;
Ils chantent au milieu des buissons d’aubépines
Avec le vent rieur et l’oiseau du matin.
*
Les gazons sont tout pleins de voix harmonieuses,
L’aube fait un tapis de perles aux sentiers,
Et l’abeille, quittant les prochaines yeuses,
Suspend son aile d’or aux pâles églantiers.
*
Sous les saules ployants la vache lente et belle
Paît dans l’herbe abondante au bord des tièdes eaux ;
La joug n’a point encor courbé son cou rebelle,
Une rose vapeur emplit ses blonds naseaux.
*
Et par delà le fleuve aux deux rives fleuries
Qui vers l’horizon bleu coule à travers les prés,
Le taureau mugissant, roi fougueux des prairies,
Hume l’air qui l’enivre, et bat ses flancs pourprés.
*
La Terre rit, confuse, à la vierge pareille
Qui d’un premier baiser frémit languissamment,
Et son oeil est humide et sa joue est vermeille,
Et son âme a senti les lèvres de l’amant.
*
O rougeur, volupté de la Terre ravie !
Frissonnements des bois, souffles mystérieux !
Parfumez bien le coeur qui va goûter la vie,
Trempez-le dans la paix et la fraîcheur des cieux !
*
Assez tôt, tout baignés de larmes printanières,
Par essaims éperdus ses songes envolés
Iront brûler leur aile aux ardentes lumières
Des étés sans ombrage et des désirs troublés.
*
Alors inclinez-lui vos coupes de rosée,
O fleurs de son Printemps, Aube de ses beaux jours !
Et verse un flot de pourpre en son âme épuisée,
Soleil, divin Soleil de ses jeunes amours !
*
Charles Leconte de Lisle,

Déposé par poutounou le 31/05/2020  
N’entendez-vous pas, dans l’infini, battre les ailes de nos Anges ?
*
L’ombre est bleue et la nuit palpite d’ors tremblants
Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs
Qui frémissent au souffle onduleux du mystère
*
Les longs voiles traînants des anges de la terre
Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit,
En une ascension dont l’essor tremble au clair de lune
*
N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ?
Les étoiles, au chant des sphères éternelles,
Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées,
*
Qui lentement, parmi les ombres embaumées,
Et le soleil immense et bleu de toutes choses,
Eventent le silence et font pâmer les roses.
*
Fernand Gregh

Déposé par poutounou le 24/05/2020  
Un Ange parfois joue aux billes…
*
Ah ! que de merveilles scintillent
Lorsque danse une goutte d'eau !
Un ange parfois joue aux billes,
Une étoile tombe au ruisseau.
On ne sait jamais quel manteau
De fée courant dans les jonquilles
On peut coudre avec une aiguille
En rêvant derrière un carreau.
*
Maurice Carême

Déposé par poutounou le 21/05/2020  
Petit problème pour Dimanche et Lundi – Excuses !!!
*
N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ?
*
L' envol des anges
*
L'ombre est bleu et la nuit palpite d'ors tremblants
Dans l'azur, on croit voir flotter des voiles blancs
Qui frémissent au souffle onduleux du mystère.
*
Les longs voiles traînants des anges de la terre
Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit,
en une ascension dont l'essor tremble au clair de lune.
*
N'entends-tu pas dans l'infini, battre leurs ailes ?
Les étoiles, au chant des sphères éternelles,
Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées,
*
Qui lentement, parmi les ombres embaumées,
Et le soleil immense et bleu de toutes choses,
Eventent le silence et font pâmer les roses.
*
Fernand Gregh

Déposé par poutounou le 09/05/2020  
Homme ! Ne crains rien ! La nature sait le grand secret et sourit…
*
Printemps
*
Tout est lumière, tout est joie.
L'araignée au pied diligent
Attache aux tulipes de soie
Les rondes dentelles d'argent.
La frissonnante libellule
Mire les globes de ses yeux
Dans l'étang splendide où pullule
Tout un monde mystérieux.
La rose semble, rajeunie,
S'accoupler au bouton vermeil
L'oiseau chante plein d'harmonie
Dans les rameaux pleins de soleil.
Sous les bois, où tout bruit s'émousse,
Le faon craintif joue en rêvant ;
Dans les verts écrins de la mousse,
Luit le scarabée, or vivant.
La lune au jour est tiède et pâle
Comme un joyeux convalescent ;
Tendre, elle ouvre ses yeux d'opale
D'où la douceur du ciel descend !
Tout vit et se pose avec grâce,
Le rayon sur le seuil ouvert,
L'ombre qui fuit sur l'eau qui passe,
Le ciel bleu sur le coteau vert !
La plaine brille, heureuse et pure ;
Le bois jase ; l'herbe fleurit.
Homme ! ne crains rien ! la nature
Sait le grand secret, et sourit
*.
Victor Hugo

Déposé par poutounou le 03/05/2020  
Pluie de Printemps
*
Pluie de Printemps tombe du ciel
parfumée au Soleil qui vient pointer son nez
Les plantes sourient à la lueur du jour
Et viennent offrir leur coeur à ces gouttes semées
*
Pluie de printemps, plus belle que l’Automne
Vient rafraîchir les coeurs, vient inonder les coeurs
Et bientôt donne tout ce qu’attend la Nature
L’Eau si précieuse et pure pour tout recommencer
*
Elodie Santos, 2009

Déposé par poutounou le 26/04/2020  
Un peu de Théophile Gautier…
*
Au printemps
*
Regardez les branches
Comme elles sont blanches !
Il neige des fleurs.
Riant dans la pluie,
Le soleil essuie
Les saules en pleurs
Et le ciel reflète,
Dans la violette
Ses pures couleurs...
La mouche ouvre l'aile
Et la demoiselle
Aux prunelles d'or,
Au corset de guêpe
Dépliant son crêpe,
A repris l'essor.
Le goujon frétille
Un printemps encore !
*
Théophile Gautier

Déposé par poutounou le 19/04/2020  
Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l’azur calme et doux…
*
Avril
*
Lorsqu’un homme n’a pas d’amour,
Rien du printemps ne l’intéresse ;
Il voit même sans allégresse,
Hirondelles, votre retour ;
*
Et, devant vos troupes légères
Qui traversent le ciel du soir,
Il songe que d’aucun espoir
Vous n’êtes pour lui messagères.
*
Chez moi ce spleen a trop duré,
Et quand je voyais dans les nues
Les hirondelles revenues,
Chaque printemps, j’ai bien pleuré.
*
Mais depuis que toute ma vie
A subi ton charme subtil,
Mignonne, aux promesses d’Avril
Je m’abandonne et me confie.
*
Depuis qu’un regard bien-aimé
A fait refleurir tout mon être,
Je vous attends à ma fenêtre,
Chères voyageuses de Mai.
*
Venez, venez vite, hirondelles,
Repeupler l’azur calme et doux,
Car mon désir qui va vers vous
S’accuse de n’avoir pas d’ailes.
*
François Coppée,

Déposé par poutounou le 12/04/2020  
Joyeuses Pâques à vous tous et toutes avec plein de chocolats. Mium, miam, miam…
*
Joyeuses Pâques !
*
En cette belle saison,
Le soleil fait danser
Ses doux rayons,
Et le vent aime chanter
Une tendre chanson...
C'est le grand réveil
Miraculeux de la nature,
Qui émerveille par la beauté
De sa verdure,
La pureté d'un ciel d'azur,
Et qui est un appel
A une vie nouvelle !

Déposé par poutounou le 05/04/2020  
Joli chardonneret, tu es venu me dire que l’amour est devant…
*
Oiseau de Printemps
*
Joli Chardonneret, tu es sorti de l’ombre
Posé sur la rembarde pour venir me chanter
Une ode à la Nature, au Soleil, au Printemps
Tu es venu me dire que l’Amour est devant
*
Saute, vrille, vole
Et mange toutes les graines que je t’ai données
Reviens sur mon balcon, recommence ton chant
Qui m’envahit toute entière
Ces matins des beaux jours
*
Joli Chardonneret je te veux sur ma route
dans ma jolie campagne
au pied de mon balcon
*
Elodie Santos, 2009

Déposé par poutounou le 29/03/2020  
J’entends au loin la voix du chien qui gronde et veille...
*
Nuit de printemps
*
Le ciel est pur, la lune est sans nuage :
Déjà la nuit au calice des fleurs
Verse la perle et l’ambre de ses pleurs ;
Aucun zéphyr n’agite le feuillage.
Sous un berceau, tranquillement assis,
Où le lilas flotte et pend sur ma tête,
Je sens couler mes pensers rafraîchis
Dans les parfums que la nature apprête.
Des bois dont l’ombre, en ces prés blanchissants,
Avec lenteur se dessine et repose,
Deux rossignols, jaloux de leurs accents,
Vont tour à tour réveiller le printemps
Qui sommeillait sous ces touffes de rose.
Mélodieux, solitaire Ségrais,
Jusqu’à mon cœur vous portez votre paix !
Des prés aussi traversant le silence,
J’entends au loin, vers ce riant séjour,
La voix du chien qui gronde et veille autour
De l’humble toit qu’habite l’innocence.
Mais quoi ! déjà, belle nuit, je te perds !
Parmi les cieux à l’aurore entrouverts,
Phébé n’a plus que des clartés mourantes,
Et le zéphyr, en rasant le verger,
De l’orient, avec un bruit léger,
Se vient poser sur ces tiges tremblantes.
*
François-René de Chateaubriand,




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Tu étais si beau......
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Tu as toujours était la......
Tu seras toujours avec moi
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tu est trop mignon
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Avec tes peluches que tu adorais
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En 1994 avec mon filleul Pierre
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tu poses et tu est fier mon chéri
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A Lyon avec mes parents
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Très confortable ce fauteuil
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Un vrai lit pour dormir c'est mieux
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Adorable mon serre tête de mariage
on pouvait s amuser avec toi
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Après une longue ballade trop fatigué
dans les bras de son maître, réunis aujourd'hui pour toujours.......
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(1994) Mon ami pour toujours
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En 1997 la naissance de notre fils Paul
Caïd veille déjà sur lui
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Caid toujours à coté de mon filleul
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