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En hommage à
poupous
Il est né le:15/07/1997
Il nous a quittés le:12/05/2016
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En hommage à
poupous
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2619 Fleurs
Déposé par larrydoudou Le plus court chemin d'une personne à une autre... c'est un brin de gentillesse Déposé par Pachkounet Mille bisouxx et mille mercis d’avoir pensé à moi pour le jour de mon départ pour le Pays des Canoutoux. Tendres câlins à toi, Poupous et amitiés à ta Maman. Déposé par Galinette3 💖 Chaque soir avant de te coucher Regarde à la fenêtre Et toutes les étoiles que tu verras Sont les milliers de baisers Que je t'envoie 💖 Poupous 💖 Déposé par DivaBibi Je partage votre douleur, que Poupous sois heureux au paradis blanc avec Nathalie. |
612 messages
Déposé par Biscuit le 11/12/2016Souhaiter un joyeux Noël C’est donner à la pelle Pas rien qu’à sa famille Mais aux gens sans famille Oublier les discordes Et tendre une jolie corde A ceux qui n’ont plus rien Qu’on traite moins que rien Apporter des mots doux Qui apaisent de tout Et partager surtout Un endroit chaud et doux Souhaiter un beau Noël C’est mettre une chandelle Qui fait qu’on se rappelle Que la vie doit être belle Pour tous les êtres humains Qui sont dans le chagrin. |
Déposé par poutounou le 08/12/2016Quelle belle initiative ! * Que ce soit en Indonésie ou en Éthiopie, ce sont des ânes et des chevaux qui apportent la lecture aux enfants qui n’y ont pas facilement accès. Des initiatives humanitaires dont l’animal est la pierre angulaire. * Ridwan Sururi vit à Java, en Indonésie, où il s’occupe de chevaux. Mais depuis un an, trois jours par semaine, il harnache l’un d’entre eux pour aller à la rencontre des enfants de l’île et leur apporter des bandes dessinées et des livres d’histoire afin de contribuer, à sa mesure, à l’alphabétisation et à l’accès à la culture. * Cette idée de bibliothèque équestre, baptisée Kuda Pustaka, est née dans la tête d’un ami de Ridwan qui s’est chargé de lui fournir les livres, issus pour beaucoup de dons. Un cheval, des livres… il n’en faut pas plus pour que les enfants de villages isolés attendent désormais avec impatience l’arrivée de cette équipée insolite. Ridwan et Luna, l’un des chevaux qui part à la rencontre des 120 élèves des écoles de l’île, emportent aussi dans leurs paniers des livres pour les adultes qui n’ont pas tardé à exprimer leur envie d’être inclus dans la boucle. Mais leurs choix se portent plus sur des manuels pour cultiver les plantes ou des guides pratiques. * Une initiative similaire existe depuis 2008 en Ethiopie où ce sont des ânes qui tirent une charrette chargée de livres. Yohannes Gebregiorgis, un sexagénaire, s’est engagé dans cette mission d’alphabétisation des habitants de sa région. Aux commandes de sa bibliothèque mobile tirée par deux ânes, il relie deux villages auxquels il apporte livres de mathématiques, de sciences, de contes et d’histoires pour enfants. Lorsqu’elle s’arrête au cœur du village, la carriole est aussitôt entourée d’enfants mais aussi d’adultes qui viennent avec leurs chaises pour assister au spectacle de marionnettes qui participe, à sa manière, à la transmission des savoirs. Ce projet de bibliothèque hippomobile est financé par Plan International, une association humanitaire qui s’engage dans les programmes d’alphabétisation des populations. |
Déposé par Biscuit le 07/12/2016L’amitié c’est la banque de toutes les tendresses, C’est une arme pour tous les combats, Ça réchauffe et ça donne du courage, Et ça n’a qu’un slogan : On partage. L’amitié est comme une fleur, Il faut en prendre soin. L’amitié a une clé de chaque place, A toi de la trouver, Certaines sont cassables…… Mais une amitié fidèle ne peut pas se briser. L’amitié c’est une écoute quand le cœur est en déroute, Qui jamais ne se permet de juger, ni de peiner, Elle peut tout partager de nos joies, de nos secrets, Que ce soit la nuit, le jour elle vole à notre secours, Forte comme l’océan, L’amitié c’est de l’or que l’on garde comme un trésor. |
Déposé par poutounou le 04/12/2016Ca fait énormément de bien de pétrir les papattes du chat, comme ça fait énormément de bien de caresser son chien ou n'importe quel autre animal...Alors "pétrissons et caressons" ! * Charlotte a d'abord perdu son mari, « parti voir ailleurs », puis un emploi valorisant, et enfin sa santé. * Ayant perdu le sommeil et l'appétit, elle fait l'erreur d'aller consulter un psychiatre, qui croit détecter en elle des troubles bipolaires. C'est parti pour un « rallye médical » : un médicament pour l'humeur, un autre contre l'anxiété, un autre pour le sommeil. * Résultat : plus cinq kilos, des migraines, des nausées, un épuisement permanent. * Les médecins y voient les effets du stress, et renforcent le traitement. Puis un jour, suite à une émission de télé, elle ressent le besoin de la compagnie d'un chat. * Sa première visite dans un refuge est la bonne. Elle revient avec un gros rouquin de trois ans, laissé pour compte pour cause de départ à l'étranger. * « À peine arrivé, il a sauté sur le lit et s'est mis à ronronner. C'était le début d'une nouvelle vie, avec quelqu'un avec qui partager caresses, regards, instants de discussion, et des nuits, des vraies nuits entières de vrai repos bercé par son ronronnement et le pétrissage de ses papattes… ». * À partir de ce moment, Charlotte peut diminuer les doses de ses médicaments, elle émerge la journée, et sa vie sociale prend un nouveau tour. Jusqu'à ce nouvel emploi qui signe sa guérison. |
Déposé par poutounou le 30/11/2016Et oui, malin le petit chat... Il a raison : mieux vaut retourner aux souris... * Le chat et le miroir * Philosophes hardis, qui passez votre vie A vouloir expliquer ce qu'on n'explique pas, Daignez écouter, je vous prie, Ce trait du plus sage des chats. Sur une table de toilette Ce chat aperçut un miroir ; Il y saute, regarde, et d'abord pense voir Un de ses frères qui le guette. Notre chat veut le joindre, il se trouve arrêté. Surpris, il juge alors la glace transparente, Et passe de l'autre côté, Ne trouve rien, revient, et le chat se présente. Il réfléchit un peu : de peur que l'animal, Tandis qu'il fait le tour, ne sorte, Sur le haut du miroir il se met à cheval, Deux pattes par ici, deux par là ; de la sorte, partout il pourra le saisir. Alors, croyant bien le tenir, Doucement vers la glace il incline la tête, Aperçoit une oreille, et puis deux... à l'instant, A droite, à gauche il va... Jetant sa griffe qu'il tient toute prête : Mais il perd l'équilibre, il tombe et n'a rien pris. Alors, sans davantage attendre, Sans chercher plus longtemps ce qu'il ne peut comprendre, Il laisse le miroir et retourne aux souris : Que m'importe, dit-il, de percer ce mystère ? Une chose que notre esprit, Après un long travail, n'entend ni ne saisit, Ne nous est jamais nécessaire. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par choupinou le 29/11/2016Le Chant de la pluie Viens, viens ma vie ….. Ecouter sur le toit Le chant de la pluie Qui ramène pour toi Mes tristes mélodies . . . Mes tristes mélodies . . . Que les fleurs fanées attendaient Chaque fois que la pluie Chante en lentes mélopées Viens , viens ma vie ….. Viens, viens ma vie ….. Un nuage traverse le ciel, Un éclair au lointain luit En ce moment où la vie se renouvelle Un cœur pleure sa vie … Un cœur pleure sa vie La pluie quitta le toit Et vint noyer en silence Un cœur qui n’a que toi Un cœur noyé de souffrances Un cœur noyé de souffrances Que la mer rejette aux flots Meurt sans amour, sans espérance Laissant pour toi un sanglot Que la pluie reprend en romance…, |
Déposé par Biscuit le 28/11/2016Mon nom est Chance Contre mon cœur, Je serre ton petit corps Je sens que tu as peur Mais non, dors mon chaton dors Tu avais à peine une semaine Tu découvrais la vie Une décision humaine Voulait que l’on t’euthanasie Le destin en a voulu autrement Tes jours ne sont plus comptés Tu vis dans un foyer aimant Le refuge t’a adopté Maintenant c’est à mon tour De ressentir la peur Car je vois venir le jour Où la peine, envahira mon cœur Tu vas devoir partir Quitter notre confort Je te promets de bien choisir Dors, mon chaton dors J’ai essayé de ne pas m’attacher Mais chaque fois, c’est pareil Une partie de mon cœur s’est brisée Pour moi, tu es ma merveille Je fais des efforts pour ne pas pleurer Pour refouler mes sanglots Mes larmes ne cessent de couler Ces larmes qui coulent à flots Bonne vie à toi, mon petit Chance Tu as maintenant un bon foyer Profite bien de ta vie, danse Car à l’euthanasie, tu as échappé , |
Déposé par poutounou le 26/11/2016Soulagement * Quand je n'ai pas le coeur prêt à faire autre chose, Je sors et je m'en vais, l'âme triste et morose, Avec le pas distrait et lent que vous savez, Le front timidement penché vers les pavés, Promener ma douleur et mon mal solitaire Dans un endroit quelconque, au bord d'une rivière, Où je puisse enfin voir un beau soleil couchant. * O les rêves alors que je fais en marchant, Dans la tranquillité de cette solitude, Quand le calme revient avec la lassitude ! Je me sens mieux. * Je vais où me mène mon coeur. Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rêveur, Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune, Je me surprends parfois à voir monter la lune. |
Déposé par poutounou le 21/11/2016Nous aimons vous parler de belles histoires d'adoption sur Yummypets... Aujourd'hui, c'est une histoire très touchante que nous nous apprêtons à vous raconter. * Un chat rejeté par tout le monde * Ce pauvre chat qui était rejeté de tous car il n'avait pas d'oreilles a fini par être adopté. * Ce chat blanc s'appelle Otitis. Il a attendu d'être adopté pendant très longtemps. En effet, personne ne voulait de lui car il ne ressemblait pas aux standards du "chat trop mignon". Jusqu'au jour où une jeune femme l'a rencontré et est tombée amoureuse de lui. * Molly Lichtenwalner, une étudiante, était à la recherche d'une solution pour lutter contre son anxiété : "J'étais souffrante d'une anxiété sévère à cause d'un accident que j'ai eu étant plus jeune... J'ai décidé qu'il était temps pour moi d'adopter un animal pour m'aider à apaiser cette anxiété. Rien ne m'a plus aidé que de câliner des chats..." * Leurs destins se sont croisés * Molly a grandi dans une ferme, elle était entourée de chats. La jeune fille souhaitait adopter un chat, et non un chaton, avec des besoins spécifiques. Un chat qui aurait du mal à être adopté en quelque sorte. Lorsqu'elle s'est rendue sur PetFinder, elle a vu ce chat de neuf ans, un peu différent. "Lorsque j'ai vu Otitis, je savais que c'était lui". Molly s'est donc immédiatement rendue au refuge pour voir Otitis. Le chat a perdu ses oreilles à cause de nombreux kystes. Ses anciens propriétaires n'avaient pas les moyens financiers de le faire soigner. Ses oreilles ont donc dû être retirées, par conséquent Otitis est maintenant sourd. * Ce handicap ne compte pas pour Molly. "J'étais la première personne à avoir fait la demande pour l'adopter" explique-t-elle. * De l'amour à revendre * Un jour après son adoption, Otitis est sorti de sa coquille et n'a plus arrêté de câliner Molly. Chaque jour, il se blottit contre elle et lui donne de l'affection. Le duo a complètement changé de vie. Désormais, Molly est moins stressée et Otitis vit une vie heureuse. * Auriez-vous adopté Otitis ? |
Déposé par Biscuit le 21/11/2016« Un chat de plus, un chat de moins …la différence est le chagrin » et c’était le mien. Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime Tirés comme par un aimant, Se retournent docilement Et que je regarde en moi-même, Je vois avec étonnement Le feu de ses prunelles pâles, Clairs fanaux, vivantes opales Qui me contemplent fixement. — Charles Baudelaire |
Déposé par poutounou le 16/11/2016Quelle est la fin de tout ? * Quelle est la fin de tout ? la vie, ou bien la tombe ? Est-ce l'onde où l'on flotte ? est-ce l'ombre où l'on tombe ? De tant de pas croisés quel est le but lointain ? Le berceau contient-il l'homme ou bien le destin ? Sommes-nous ici-bas, dans nos maux, dans nos joies, Des rois prédestinés ou de fatales proies ? * Ô Seigneur, dites-nous, dites-nous, ô Dieu fort, Si vous n'avez créé l'homme que pour le sort ? Si déjà le calvaire est caché dans la crèche ? Et si les nids soyeux, dorés par l'aube fraîche, Où la plume naissante éclôt parmi des fleurs, Sont faits pour les oiseaux ou pour les oiseleurs ? * Victor HUGO (1802-1885) |
Déposé par Biscuit le 13/11/2016Pluie René-François Sully Prudhomme Il pleut. J’entends le bruit égal des eaux ; Le feuillage, humble et que nul vent ne berce, Se penche et brille en pleurant sous l’averse ; Le deuil de l’air afflige les oiseaux. La bourbe monte et trouble la fontaine, Et le sentier montre à nu ses cailloux. Le sable fume, embaume et devient roux ; L’onde à grands flots le sillonne et l’entraîne. Tout l’horizon n’est qu’un blême rideau ; La vitre tinte et ruisselle de gouttes ; Sur le pavé sonore et bleu des routes Il saute et luit des étincelles d’eau. Le long d’un mur, un chien morne à leur piste, Trottent, mouillés, de grands boeufs en retard ; La terre est boue et le ciel est brouillard ; L’homme s’ennuie : oh ! que la pluie est triste ! |
Déposé par poutounou le 11/11/2016Très belle histoire et tellement vraie ! * L'aveugle et le paralytique * Aidons-nous mutuellement, La charge des malheurs en sera plus légère ; Le bien que l'on fait à son frère Pour le mal que l'on souffre est un soulagement. Confucius l'a dit ; suivons tous sa doctrine. Pour la persuader aux peuples de la Chine, Il leur contait le trait suivant. * Dans une ville de l'Asie Il existait deux malheureux, L'un perclus, l'autre aveugle, et pauvres tous les deux. Ils demandaient au Ciel de terminer leur vie ; Mais leurs cris étaient superflus, Ils ne pouvaient mourir. Notre paralytique, Couché sur un grabat dans la place publique, Souffrait sans être plaint : il en souffrait bien plus. L'aveugle, à qui tout pouvait nuire, Etait sans guide, sans soutien, Sans avoir même un pauvre chien Pour l'aimer et pour le conduire. Un certain jour, il arriva Que l'aveugle à tâtons, au détour d'une rue, Près du malade se trouva ; Il entendit ses cris, son âme en fut émue. Il n'est tel que les malheureux Pour se plaindre les uns les autres. " J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres : Unissons-les, mon frère, ils seront moins affreux. - Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon frère, Que je ne puis faire un seul pas ; Vous-même vous n'y voyez pas : A quoi nous servirait d'unir notre misère ? - A quoi ? répond l'aveugle ; écoutez. A nous deux Nous possédons le bien à chacun nécessaire : J'ai des jambes, et vous des yeux. Moi, je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide : Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ; Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez. Ainsi, sans que jamais notre amitié décide Qui de nous deux remplit le plus utile emploi, Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. " * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par poutounou le 06/11/2016Moi j'adore la vérité : ça peut faire mal sur le coup, mais on peut "construire" dessus ; les bases sont solides. Par contre, on ne peut rien construire sur ce qui n'est pas "vrai". * La fable et la vérité * La vérité, toute nue, Sortit un jour de son puits. Ses attraits par le temps étaient un peu détruits ; Jeune et vieux fuyaient à sa vue. La pauvre vérité restait là morfondue, Sans trouver un asile où pouvoir habiter. A ses yeux vient se présenter La fable, richement vêtue, Portant plumes et diamants, La plupart faux, mais très brillants. Eh ! Vous voilà ! Bon jour, dit-elle : Que faites-vous ici seule sur un chemin ? La vérité répond : vous le voyez, je gêle ; Aux passants je demande en vain De me donner une retraite, Je leur fais peur à tous : hélas ! Je le vois bien, Vieille femme n'obtient plus rien. Vous êtes pourtant ma cadette, Dit la fable, et, sans vanité, Partout je suis fort bien reçue : Mais aussi, dame vérité, Pourquoi vous montrer toute nue ? Cela n'est pas adroit : tenez, arrangeons-nous ; Qu'un même intérêt nous rassemble : Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble. Chez le sage, à cause de vous, Je ne serai point rebutée ; A cause de moi, chez les fous Vous ne serez point maltraitée : Servant, par ce moyen, chacun selon son goût, Grâce à votre raison, et grâce à ma folie, Vous verrez, ma soeur, que partout Nous passerons de compagnie. * Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) |
Déposé par choupinou le 02/11/2016Dans le ciel on voit tous des étoiles qui brille,plus que les autres.... celle d'un être cher a notre coeur et qui veille sur nous.... une pensée a nos anges en ce lendemain de Toussaint une pensée pour nos anges partis dans le ciel,mais toujours dans nos coeurs Que la flamme de l'espérance ne s'éteigne jamais au fond de nous car nous les retrouverons et les blessures du passé redeviendrons magie de l'amour,une nouvelle et belle vie,avec eux et notre histoire, a chacun, de nouveau continuera pour toujours car c'est sur ils nous attendent...., |
Déposé par myriam31 le 31/10/2016Je cueillerai pour toi Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin, Ce ne sera qu’un modeste bouquet, Sur ta tombe en pleurant j’irai le déposer.. Je cueillerai aussi la rosée du matin, La tristesse d’un jour qui s’éloigne sans toi, Un souvenir lointain qui revient et s’en va… Je cueillerai en fin les larmes de mes yeux, J’en ferai un collier de perles de chagrin, Et je te l’offrirai dans son plus bel écrin… Tendres pensées pour toi bel ange en cette période de Toussaint, amitiés à ta maman |
Déposé par Biscuit le 31/10/2016Liberté De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ? De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages, Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ? De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ? Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ? Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ? Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ? Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ? Qui sait si le verdier qu'on dérobe aux rameaux, Qui sait si le malheur qu'on fait aux animaux Et si la servitude inutile des bêtes Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ? Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ? Oh ! de nos actions qui sait les contre-coups, Et quels noirs croisements ont au fond du mystère Tant de choses qu'on fait en riant sur la terre ? Quand vous cadenassez sous un réseau de fer Tous ces buveurs d'azur faits pour s'enivrer d'air, Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue, Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue, Croyez-vous que le bec sanglant des passereaux Ne touche pas à l'homme en heurtant ces barreaux ? Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde ! Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde. Ne comprenez-vous pas que vous êtes méchants ? À tous ces enfermés donnez la clef des champs ! Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles ; Les âmes expieront tout ce qu'on fait aux ailes. La balance invisible a deux plateaux obscurs. Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs ! Du treillage aux fils d'or naissent les noires grilles ; La volière sinistre est mère des bastilles. Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux Toute la liberté qu'on prend à des oiseaux Le destin juste et dur la reprend à des hommes. Nous avons des tyrans parce que nous en sommes. Tu veux être libre, homme ? et de quel droit, ayant Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ? Ce qu'on croit sans défense est défendu par l'ombre. Toute l'immensité sur ce pauvre oiseau sombre Se penche, et te dévoue à l'expiation. Je t'admire, oppresseur, criant : oppression ! Le sort te tient pendant que ta démence brave Ce forçat qui sur toi jette une ombre d'esclave Et la cage qui pend au seuil de ta maison Vit, chante, et fait sortir de terre la prison. (La légende des siècles) |
Déposé par poutounou le 30/10/2016Joli poème pour la Toussaint… * Les chrysanthèmes_ * O ! Fleur pâle ornement des images d’automne Sans parfum qui nous grise, aussi sans volupté Quand je te vois t’ouvrir, la gaieté m’abandonne Mais tu souris toujours sous le ciel attristé. * Tu fleuris quand tout meurt dans la nature entière. Quand d’un feuillage d’or les arbres sont parés Tu fleuris quand la rose à son heure dernière Effeuille tristement ses pétales fanés. * Dans les jardins en deuil ta frileuse parure Jette une note gaie et sur les tapis d’or Par l’automne étendus, tes rameaux de verdure Font croire que l’hiver est loin de nous encor. * Sur les tombeaux glacés tu remplaces les roses Quand chaque fleur se fane au baiser des brouillards Tu figures partout et dans les chambres roses Et dans les grands salons et sur les corbillards. * N’es-tu pas, par ta grâce et par ta modestie, La fleur qui plaît aux yeux parmi toutes les fleurs. Puisqu’au sein de la mort tu fais briller la vie Comme un rayon d’espoir brille au sein des douleurs. |
Déposé par choupinou le 26/10/2016Quand je rêve de toi, moi je rêve d’amour Et quand je pense è toi je pense à nos beaux jours J’avance pas à pas vers cet oubli de nous Qui me blesse déjà car l’amour est si doux. Ce sont tous ces instants qui me parlent de nous Qui partent au fil du temps réduisant l’amour fou À ce petit espoir que tu te souviendras De notre belle histoire d'amour tu te rappelleras. Je n'ai que ton amours celui qui me hante Restera pour toujours ce bonheur qui m’enchante Bien du temps est passé, elle ne s’est pas éteinte La passion enflammée, celle de nos étreintes. Le temps est cruauté il éteint nos bonheurs On veut toujours aimer,ton coeur endormi fait mon malheur Le temps se fait bourreau des rêves de chacun Il nous met au repos dans nos derniers matins. Oui, je refuserai cette triste contrainte Qui épuise la flamme et deviens ma complainte Dans notre âme en éveil elle brûlera toujours Mais le corps en sommeil vibre bien moins d’amour. L’éternel assassin ce temps qui nous domine Ne nous donne plus rien que des rêves inutiles Et nous nous effaçons sans pourtant oublier Notre seul horizon, continuer à aimer. Par : Régina Augusto. |
Déposé par Biscuit le 25/10/2016Tu es parti rejoindre le soleil, un après-midi d'hiver. Tu t'es envolé pour voir le ciel me laissant seule sur la terre. Tu resteras toujours en moi comme le plus beau de mes cadeaux, Je te garderais au fond de moi. Tu as certainement retrouvé, tous tes vieux amis d'avant. Depuis de années, ils t'attendaient, Ils sont heureux maintenant. Ils vont pouvoir te raconter , que là-haut la vie est un jeu, qu'il ne faut surtout pas pleurer. Tu pourras courir au gré du vent, sauter d'un nuage à l'autre. Tu n'as plus de douleurs, tu ne sens, que la chaleur des autres. Profite bien à l'avenir, mais garde moi en souvenir, des années partagées, qui ne vont jamais s'effacer... |
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