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En hommage à
SHIH-TZUA CRAPOUILLE notre petit amour
Il est né le:12/04/2007
Il nous a quittés le:04/07/2019
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126 Fleurs
434 messages
Déposé par poutounou le 20/10/2019Je brille sur tous les yeux en pleurs qu’aucun sommeil n’atteint. * Une voix du ciel * Je suis l'astre des nuits. Je brille, pâle et blanche, Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche, Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux Quand mes voiles d'argent s'étendent sur leurs eaux. Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfère, Et font monter au ciel les parfums de la terre ; Je donne la rosée au rameau desséché, Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché. Sitôt que je parais, tout se tait et repose, L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose : Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ; Devant mon doux regard nul n'élève sa voix, De la terre ou du ciel aucun son ne s'élance, J'arrive avec la nuit, et je règne en silence ! Je cache mes rayons quand le cri des hiboux Vient troubler mon repos et mon calme si doux. * Je suis l'astre des nuits ; je brille, pâle et blanche, Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche, Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint, Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint. |
Déposé par poutounou le 13/10/2019Coulez, ô larmes éternelles, car ici-bas je reste seul… * L'ange envolé. * Poète : François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898) * Mon ange a reployé ses ailes Et dort glacé sous un linceul ; Coulez, ô larmes éternelles, Car ici-bas je reste seul. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Cette douce sœur de mon âme, Pour charmer mon cœur attristé, Me parlait encore de sa flamme Sur le seuil de l'éternité. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Si jusqu'à toi, de cette terre S'élève mon chant désolé, Sois attentive à ma prière En ton beau royaume étoilé. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. |
Déposé par poutounou le 06/10/2019Jamais nous ne vous oublierons, doux Anges que vous êtes…. * Oubli * Allez, vieilles amours, chimères, Caresses qui m'avez meurtri, Tourments heureux, douceurs amères, Abandonnez ce coeur flétri ! * Sous l'azur sombre, à tire-d'ailes, Dans l'espoir d'un gîte meilleur, Fuyez, plaintives hirondelles, Le nid désormais sans chaleur ! * Tout s'éteint, grâce aux jours moroses, Dans un tiède et terne unisson. Où sont les épines des roses ? Où sont les roses du buisson ? * Après l'angoisse et la folie, Comme la nuit après le soir, L'oubli m'est venu. Car j'oublie ! Et c'est mon dernier désespoir. * Et mon âme aux vagues pensées N'a pas même su retenir De toutes ses douleurs passées La douleur de s'en souvenir. * Catulle MENDÈS (1841-1909) |
Déposé par poutounou le 29/09/2019Vous êtes mort un matin, un après-midi ou un soir, magnifiques Anges !!! « Et la plus morte mort est d’avoir survécu » !!! * Vous êtes mort un soir * Vous êtes mort un soir à l'heure où le jour cesse. Ce fut soudain. La douce et terrible paresse En vous envahissant ne vous a pas vaincu. Rien ne vous a prédit la torpeur et la tombe. Vous eûtes le sommeil. Moi, je peine et je tombe, Et la plus morte mort est d'avoir survécu. * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par choupinou le 24/09/2019Tu ne reverras pas l'Automne. .... Dans mon coeur,il y fait si triste,comme ce que reprend cette saison au Printemps et a l'Eté..... Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon coeur D’une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine |
Déposé par poutounou le 22/09/2019Et voilà la fin de l’été !!! L’automne s’en vient à grands pas !!! Et il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr... * L'automne * Voici venu le froid radieux de septembre : Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ; Mais la maison a l'air sévère, ce matin, Et le laisse dehors qui sanglote au jardin. * Comme toutes les voix de l'été se sont tues ! Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ? Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois Que la bise grelotte et que l'eau même a froid. * Les feuilles dans le vent courent comme des folles ; Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent, Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir sur les étangs demain. * Le silence est léger et calme ; par minute Le vent passe au travers comme un joueur de flûte, Et puis tout redevient encor silencieux, Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux * S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes, Et la vieille maison qu'il va transfigurer Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par poutounou le 15/09/2019C’est la vie qui nous blesse le coeur et les yeux lorsque nous perdons un de nos Anges...et pourtant nous continuons à marcher, ne jamais s’arrêter, supportant la souffrance comme on peut !!! * C'est La Vie – Marc Lavoine * Tous les matins, c'est la même corrida Lever la tête, ouvrir les bras Tous les matins, c'est le même numéro Trouver l'amour, chercher les mots * Je suis coincé comme un évadé Faut marcher, ne jamais s'arrêter Je suis piégé, comme un condamné A marcher, ne jamais se retourner * C'est la vie, la vie c'est du vent Qui nous souffle les rêves d'enfant C'est la nuit qui descend, C'est jamais comme avant Il ne faut plus faire semblant, attends C'est la vie, la vie qui le veut Qui nous blesse, le coeur et les yeux C'est la nuit qui retombe Comme la pluie et les bombes Il ne faut plus faire semblant, attends * Tous les matins c'est le même cinéma Tendre les mains, croiser les doigts Tous les matins, c'est la même comédie Chercher quelqu'un, trouver celle ou celui qui * Je suis piégé comme un naufragé Faut marcher, ne jamais s'arrêter Je suis coincé, comme un révolté A marcher, jamais se retourner * C'est la vie, la vie c'est du vent Qui nous souffle les rêves d'enfant C'est la nuit qui descend, C'est jamais comme avant Il ne faut plus faire semblant, attends C'est la vie, la vie qui le veut Qui nous blesse, le coeur et les yeux C'est la nuit qui retombe Comme la pluie et les bombes Il ne faut plus faire semblant, attends |
Déposé par poutounou le 08/09/2019Jolie chanson sur l’espoir... Rester debout mais à quel prix ??? Debout peu importe le prix !!! * Le Premier Jour Du Reste De Ta Vie – Etienne Daho * Un matin comme tous les autres Un nouveau pari Rechercher un peu de magie Dans cette inertie morose * Clopin clopan sous la pluie Jouer le rôle de sa vie Puis un soir le rideau tombe C'est pareil pour tout l'monde * Rester debout mais à quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus essentielles * Mais tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel * Pourquoi vouloir toujours plus beau Plus loin plus haut Et vouloir décrocher la lune Quand on a les étoiles * Quand les certitudes s'effondrent En quelques secondes Sache que du berceau à la tombe C'est dur pour tout l'monde * Rester debout mais à quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus confidentielles * Mais tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie C'est providentiel * Debout peu importe le prix Suivre son instinct et ses envies Les plus essentielles * Tu peux exploser aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Non accidentel * Oui tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel |
Déposé par poutounou le 01/09/2019Poème de Mr. de LAMARTINE, un peu triste mais tellement beau : « On entend, dans l’espace, les choeurs mystérieux de l’Ange qui passe... » * La tristesse * L'âme triste est pareille Au doux ciel de la nuit, Quand l'astre qui sommeille De la voûte vermeille A fait tomber le bruit ; * Plus pure et plus sonore, On y voit sur ses pas Mille étoiles éclore, Qu'à l'éclatante aurore On n'y soupçonnait pas ! * Des îles de lumière Plus brillante qu'ici, Et des mondes derrière, Et des flots de poussière Qui sont mondes aussi ! * On entend dans l'espace Les choeurs mystérieux Ou du ciel qui rend grâce, Ou de l'ange qui passe, Ou de l'homme pieux ! * Et pures étincelles De nos âmes de feu, Les prières mortelles Sur leurs brûlantes ailes Nous soulèvent un peu ! * Tristesse qui m'inonde, Coule donc de mes yeux, Coule comme cette onde Où la terre féconde Voit un présent des cieux ! * Et n'accuse point l'heure Qui te ramène à Dieu ! Soit qu'il naisse ou qu'il meure, Il faut que l'homme pleure Ou l'exil, ou l'adieu ! * Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) |
Déposé par poutounou le 25/08/2019Le cri tinte l’obscur et triste adieu de quelque vie éteinte…. * Le cri * Près d'un étang désert, où dort une eau brunie, Un rai du soir s'accroche au sommet d'un roseau ; Un cri s'écoute, un cri désespéré d'oiseau, Un cri pauvre et perdu dans la plaine infinie. * Comme il est faible et frêle et peureux et fluet ! Et comme avec tristesse il se traîne et s'écoute, Et comme il se répète et comme avec la route Il s'enfonce et se perd dans l'horizon muet ! * Et comme il marque l'heure, au rythme de son râle, Et comme, en son accent minable et souffreteux, Et comme, en son écho languissant et boiteux, Se plaint infiniment la douleur vespérale ! * Il est si doux parfois qu'on ne le saisit pas. Et néanmoins toujours, et sans fatigue, il tinte L'obscur et triste adieu de quelque vie éteinte ; Il dit les pauvres morts et les pauvres trépas : * La mort des fleurs, la mort des insectes, la douce Mort des ailes et des tiges et des parfums ; Il pleure au souvenir des vols qui sont défunts Et qui gisent, cassés, dans l'herbe et dans la mousse. * Émile VERHAEREN (1855-1916) |
Déposé par poutounou le 18/08/2019« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... » * Le sommeil * Les perdus, les absents, les morts que fait la vie, Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés, Reparaissent en rêve avec leur voix amie, Le piège étincelant des regards adorés. * Les amours prisonniers prennent tous leur volée, La nuit tient la revanche éclatante du jour. L'aveu brûle la lèvre un moment descellée. Après le dur réel, l'idéal a son tour ! * Ô vie en plein azur que le sommeil ramène, Paradis où le coeur donne ses rendez-vous, N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine, Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous, * Une vie invisible aussi pleine et vibrante Que la visible vie où s'étouffent nos jours, Cette vie incomplète, inassouvie, errante, S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ? * Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895) |
Déposé par pouilledamour le 14/08/2019 CRAPOUILLE Je n'fais que compter les jours Qui? me séparent de toi Je? crois qu'ici, j'ai fait l'tour Je ne suis plus tout à fait moi Ici, je te vois partout Pas une pièce qui ne t'oublie Ici,? j'les entends partout Tes petites pattes sur le sol Regarder ton petit couffin, je ne peux pas une image, c'est trop pour moi regarder ta gamelle je ne peux pas Nina s'ennuient sans toi et Lalie te cherche, Léo parle de toi dans le ciel et moi ta maman......... JE T'AIME C'EST TELLEMENT DIFFICILE SANS TOI !!!! MON PETIT CRAPOUILLE D'AMOUR J'n'arriverai? pas, plus rien n'a de sens ici Je ne peux pas me dire que c'était écrit La maison et le jardin sont vide de ta présence....... je voudrais t'y revoir courir..... Qu'est ce que j'espère encore ? Pourquoi Quand un aboiement retenti ressemblant au tien, mon cœur se serre ? Dis-moi pourquoi, même si je fais l'effort, devant les autres Je ne tiens plus debout, comment tenir le coup ? Je ne peux pas me dire que c'était écrit Je n'peux pas, je n'peux pas J'y arrive pas, j'y arrive pas Je fais quoi ? Je fais quoi ? Moi, sans toi ? Moi, sans toi ? J'ai la foi mais malgré ça, ça fait mal ,j'y arrive pas ta maman pouilledamour Lalie,Léo,et papa Nicolas |
Déposé par poutounou le 11/08/2019Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!! * Savez-vous pas... * Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille arrête Les bruits du monde et les traits du soleil - Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes, Par la savane aux ondoyants cheveux, Suivre, en rêvant, les écureuils agiles, Et voir sauter, sur les branches mobiles, L'ara de pourpre et les bengalis bleus ! * Savez-vous pas, sur les plages lointaines Où n'ont jamais passé les matelots, Une île heureuse aux suaves haleines, Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ? - Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée, Jetant au vent la poussière des jours, Sentir mon âme aux vagues balancée, Et m'endormir sur l'onde cadencée Comme un enfant que l'on berce toujours ! * Savez-vous pas, loin de la froide terre, Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu, Un astre d'or, un monde solitaire Roulant en paix sous le souffle de Dieu ? - Oh ! je voudrais une planète blonde, Des cieux nouveaux, d'étranges régions, Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde, Glisser la nuit, sous la voûte profonde, Le char brillant de constellations ! * Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines Le sable est dur et le soleil est lourd. Ma bouche ardente a tari les fontaines Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour. - Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses, Débarrassé de tout lien charnel, Courir joyeux dans les métamorphoses, Puis me plonger à la source des causes, Où l'Infini flotte dans l'Éternel ! * Louis BOUILHET (1822-1869) |
Déposé par poutounou le 04/08/2019Que c’est bien dit : « Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche... » * Voix intérieure * Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ? Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche. Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tâche Que d'être objet qui vit, qui jouit et qui meurt. * Mon âme, aimez la vie, auguste, âpre ou facile, Aimez tout le labeur et tout l'effort humains, Que la vérité soit, vivace entre vos mains, Une lampe toujours par vos soins pleine d'huile. * Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forêt, Le gai bourdonnement de la cité qui chante, Le plaisir de n'avoir pas de haine méchante, Pas de malicieux et ténébreux secret, * Aimez la mort aussi, votre bonne patronne, Par qui votre désir de toutes choses croît, Et, comme un beau jardin qui s'éveille du froid, Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ; * L'hospitalière mort aux genoux reposants Dans la douceur desquels notre néant se pâme, Et qui vous bercera d'un geste, ma chère âme, Inconcevablement éternel et plaisant... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par choupinou le 01/08/2019Crapouille,4 SEMAINES mon coeur se serre......... Poème que je te dedie mon petit coeur..... Oui, tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. De* André Velter , |
Déposé par poutounou le 28/07/2019Il y a une vie après la mort, c’est sûr !!! Mais qu’il est beau ce poème ! « Mort qu’on appelle enfin quand on l’a méditée… !!!» * Prière * Fantôme qui nous dois dans la tombe enfermer, Mort dont le nom répugne et dont l'image effraie, Mais qu'à force de crainte on finit par aimer, Puisque la vie est vaine et que toi seule es vraie ; * Ô Mort, qui fais qu'on vit sans but et qu'on est las, Et qu'on rejette au loin la coupe non goûtée, Mort qu'on maudit d'abord et dont on ne veut pas, Mais qu'on appelle enfin quand on t'a méditée ; * Ô la peur et l'espoir des âmes, bonne Mort, Dont le souci nous trouble un temps, et puis nous aide, Mystérieux écueil où se blottit un port, Et poison merveilleux où se cache un remède. ... * Jules TELLIER (1863-1889) |
Déposé par choupinou le 23/07/2019ce matin tes cendres sont arrivés au Chambon Feugerolle,tu as été incinéré le vendredi 12/07/19,je viens d'aller te chercher,te voilà de retour parmi nous mon Crapouille,ce soir tu seras a ta maison avec ta maman Caroline,ta chérie Nina,d'ailleurs veille bien sur elle,elle est agée de 15 ans,mais reste assez vivace,malgré sa maigreur et puis ta Pitchoune petite coquine de chihuahua,toute jeune de 2 ans et bien sur tu te retrouveras auprès de Lalie qui te cherche et t'appelle,et de ton Léo,même si tu supportait pas bien qu'ils s'approchent de toi....LOL,et ton papa Nicolas Je te cache pas que j'ai craqué quand l'assistante vétérinaire m'a remises tes cendres et m'a souhaité bon courage.....C'EST DUR MON CRAPOUILLE........ En plus le jour du décès anniversaire de notre Oscar en ce 23/07/2019...est-ce un signe..... |
Déposé par co33 le 21/07/2019Repose en paix petit ange dans le doux paradis où il n'y a plus de souffrances, sois délivré de toutes tes douleurs et sois heureux entourés de tous les petits anges qui sont avec toi. Courage à ta famille à qui tu manques beaucoup. Une envolée de doux bisous de mon cœur volent vers toi. Co33 Maman de Seven, Saphir et Caramel |
Déposé par poutounou le 21/07/2019Merci Monsieur Verlaine pour vos magnifiques poèmes !!! * Il pleure dans mon coeur * Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? * Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! * Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. * C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine ! * Paul VERLAINE (1844-1896) |
Déposé par choupinou le 17/07/2019Je suis ton chien, et il y a quelque chose que j’aimerais te chuchoter à l’oreille. Je sais que vous, les humains, menez une vie très chargée. Certains travaillent, d’autres ont des enfants à élever. Vous semblez toujours être en train de courir ici et là, bien souvent sans profiter des plaisirs de la vie. Baisse la tête et regarde-moi. Tu vois comment mes grands yeux te fixent? Ils sont de moins en moins clairs, c’est à cause de l’âge. Je commence à avoir des poils gris autour de mon doux museau... Tu me souries, je peux voir l’amour dans ton regard. Que vois-tu dans le mien? Est-ce que tu vois une âme? Qui t’aime comme personne d’autre dans ce monde? Un esprit qui pardonnerait tous tes crimes pour passer quelques instants avec toi? C’est tout ce que je demande; ralentis un peu, pour passer quelques minutes avec moi. Très souvent, tu parais triste en lisant l’annonce de la mort d’autres membres de ma race sur ton écran. Parfois, nous mourrons jeunes et rapidement, et cela te brise le cœur. Parfois, nous vieillissons si lentement que tu ne sembles même pas t’en apercevoir. Malgré notre museau grisonnant et possible cataracte, je ne cesserai jamais de t’aimer. Je ne serai peut-être pas là demain; je ne serai peut-être pas là la semaine prochaine. Un jour, tu pleureras toutes les larmes de ton corps, et tu supplieras en demandant juste « un jour de plus » avec moi. Mais aujourd’hui, je suis là. Donc viens t’asseoir avec moi et profitons. Qu’est-ce que tu vois? Si tu regardes avec attention, nous pourrons parler à cœur ouvert. Ne t’adresse pas à moi comme un maître, mais tout simplement comme une âme vivante, caresse mon pelage, regardons-nous dans les yeux, et parlons. Je pourrais te raconter ce qu’il y a d’amusant à courir après une balle de tennis. Tu m’as voulu dans ta vie car tu voulais avoir quelqu’un avec qui partager des sentiments, des émotions et des souvenirs… et je suis là! Je suis un chien, mais je suis un être vivant. Je ressens des émotions, et je différencie sans problème les personnalités. Je ne te vois pas comme un « chien sur deux pattes » – je sais ce que tu es. Tu es un humain, et malgré tes bizzareries, je t’aime. Maintenant, viens t’allonger sur le sol avec moi. Entres dans mon monde, et laissons le temps ralentir pendant 15 minutes. Regarde-moi dans les yeux, et murmure dans mes oreilles. Parle-moi avec ton cœur, avec ta joie de vivre et j’apprendrai à te connaître pour de bon. La vie est trop courte. Donc s’il te plaît… viens t’asseoir avec moi, et partageons ces moments précieux qui nous restent à vivre ensemble. Je t’aime, Votre chien Crapouille ne pleurez pas et souvenez vous de moi,au bon moment passaient,je resterais toujours auprès de vous,je serais assis encore près de vous mais d'une autre façon |
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