|
|
|
|
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
En hommage à
CANICHEViana
Il est né le:26/01/1984
Il nous a quittés le:11/01/1998
10 personnes aiment cette page |
En hommage à
Viana
41 bougies
21103 Fleurs
Déposé par spanky Pour vous il est une fleur que vous avez plantée dans votre cœur et si jamais il fane vous l’arroser avec vos larmes et si vous pouviez éteindre le soleil pour revoir la brillance de ses jolis yeux. Déposé par choupinou "Que ta journée soit aussi magnifique que toi, remplie de soleil de couleurs et de joie de moments inoubliables et souvenirs précieux Tu es un petit ange spéciale qui mérite tout le bonheur du monde." Déposé par poutounou Désormais, tu fais partie du paradis. Tu as laissé une place vide auprès de moi et je ne pense pas que qui que ce soit pourra te remplacer un jour. Je sais que ton esprit me soutient chaque jour. Déposé par choupinou coucou petit coeur d'amour, me voici revenue, après un petit weekend en Ardèche reposant avec de belles balades, j'espère que là haut dans votre beau jardin, le soleil se donne, ici c'est orageux |
2886 messages
Déposé par choupinou le 02/05/2024"Le premier Mai c'est pas gai, Je trime a dit le muguet, Dix fois plus que d'habitude, Regrettable servitude. Muguet, sois pas chicaneur, Car tu donnes du bonheur, Pas cher à tout un chacun. Brin de muguet, tu es quelqu'un." " Même si moi ce jour là, j'ai perdu mon amour de papa " choupinou |
Déposé par spanky le 01/05/2024A Pâques ----- Frère Jacques, frère Jacques, Réveille-toi de ton sommeil d'hiver Les fins taillis sont déjà verts Et nous voici au temps de Pâques, Frère Jacques. ---- Au coin du bois morne et blêmi Où ton grand corps s'est endormi Depuis l'automne, L'aveugle et vacillant brouillard, Sur les grand-routes du hasard, S'est promené, longtemps, par les champs monotones ; Et les chênes aux rameaux noirs Tordus de vent farouche Ont laissé choir, De soir en soir, Leur feuillage d'or mort sur les bords de ta couche. ---- Frère Jacques, Il a neigé durant des mois Et sur tes mains, et sur tes doigts Pleins de gerçures ; Il a neigé, il a givré, Sur ton chef pâle et tonsuré Et dans les plis décolorés De ta robe de bure. ---- La torpide saison est comme entrée en toi Avec son deuil et son effroi, Et sa bise sournoise et son gel volontaire ; Et telle est la lourdeur de ton vieux front lassé Et l'immobilité de tes deux bras croisés, Qu'on les dirait d'un mort qui repose sous terre. ---- Frère Jacques, Hier au matin, malgré le froid, Deux jonquilles, trois anémones Ont soulevé leurs pétales roses ou jaunes Vers toi, Et la mésange à tête blanche, Fragile et preste, a sautillé Sur la branche de cornouiller Qui vers ton large lit de feuillages mouillés Se penche. ---- Et tu dors, et tu dors toujours, Au coin du bois profond et sourd, Bien que s'en viennent les abeilles Bourdonner jusqu'au soir à tes closes oreilles Et que l'on voie en tourbillons Rôder sur ta barbe rigide Un couple clair et rapide De papillons. ---- Pourtant, voici qu'à travers ton somme Tu as surpris, dès l'aube, s'en aller Le cortège bariolé Des cent cloches qui vont à Rome ; Et, leurs clochers restant Muets et hésitants Durant ces trois longs jours et d'angoisse et d'absence, Tu t'éveilles en écoutant Régner de l'un à l'autre bout des champs Le silence. ---- Et secouant alors De ton pesant manteau que les ronces festonnent Les glaçons de l'hiver et les brumes d'automne, Frère Jacques, tu sonnes D'un bras si rude et fort Que tout se hâte aux prés et s'enfièvre aux collines A l'appel clair de tes matines. ---- Et du bout d'un verger le coucou te répond ; Et l'insecte reluit de broussaille en broussaille ; Et les sèves sous terre immensément tressaillent ; Et les frondaisons d'or se propagent et font Que leur ombre s'incline aux vieux murs des chaumières ; Et le travail surgit innombrable et puissant ; Et le vent semble fait de mouvante lumière Pour frôler le bouton d'une rose trémière Et le front hérissé d'un pâle épi naissant. ---- Frère Jacques, frère Jacques Combien la vie entière à confiance en toi ; Et comme l'oiseau chante au faîte de mon toit ; Frère Jacques, frère Jacques, Rude et vaillant carillonneur de Pâques. ---- Émile VERHAEREN 1855 - 1916 ---- |
Déposé par poutounou le 01/05/2024Petit brin de Bonheur… * Très tôt dans la matinée, Du pied droit, je me suis levée. Mes gros sabots aux pieds, Dans mon jardin, je suis allée, Pour y cueillir des brins de muguet, Recouverts de rosée. * Tintinnabulez, tintinnabulez ! Jolies clochettes de Mai. Epandez vos douces senteurs Jusque dans nos cœurs. Et déposez dans chaque foyer Un océan d’amour et d’amitié. * Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitié, santé et joli brin de muguet à ta famille de cœur aussi… |
Déposé par spanky le 30/04/2024Salut, je suis une petite chauve-souris. Je ne suce pas le sang et je ne veux certainement pas rester coincé dans vos cheveux. Si je devais accidentellement entrer dans votre maison, s'il vous plaît, ne me frappez pas avec des battes de cricket et des balais, ça fait vraiment mal et j'ai tellement peur. C'était un accident, je ne voulais pas faire peur. Si je dois atterrir sur le sol, je ne pourrai pas me relever, j'aurai besoin de votre aide. Il suffit d'utiliser une serviette et de m'emmener dehors, je m'envolerai immédiatement, je vous le promet. Je mange des moustiques et beaucoup d'autres insectes. Nos maisons sont en train d'être démantelées pour plus de bâtiments et nous avons peu d'endroits où aller. Donc, si je m'envole accidentellement dans la vôtre, éteignez votre lumière et laissez la lumière extérieure allumée avec la porte ouverte, je sortirai en un éclair. Cordialement votre petite chauve-souris inoffensive. ------- |
Déposé par spanky le 28/04/2024-- Espérance -- ------- La grande et triste erreur de certains êtres humains c'est de s'imaginer que nos chers et adorables compagnons à quatre pattes, que la mort a emportées, nous quittons à jamais. Rassurez-vous, bien au contraire, alors on se pose la question: ou sont-ils? dans l'ombre? oh non ils ne sont pas dans l'ombre! eux se trouvent dans la lumière, la plus belle qu'il soit. Nous, oui, nous sommes dans l'ombre, eux sont à côté de nous, sous le voile épais; Plus présent que jamais. Nous ne les voyons pas, car le nuage obscur nous enveloppe eux nous voient, ils tiennent leurs beaux yeux pleins d'Amour, arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. ILS SONT INVISIBLES, MAIS PAS ABSENTS. J'ai pensé de nombreuses fois à consoler au mieux tous ceux qui les pleurent, En leur disant ceci: Nos amis a quatre pattes que nous considérons comme nos enfants, ne sont ni éteints ni absents. Ils sont vivants prés de nous, heureux et ils n'ont pas perdu ni la délicatesse de leurs âmes; Ni la tendresse de leurs cœurs, ils ne sont Amour pour toujours. Priez pour eux, parlez leur, ils vous écoutent, ils vous entendent; Continuer de les aimer de tout votre cœur, vous ferez leur bonheur. |
Déposé par poutounou le 28/04/2024Les Roses * Le Printemps rayonnant, qui fait rire le jour En montrant son beau front, vermeil comme l’aurore, Naît, tressaille, fleurit, chante, et dans l’air sonore Éveille les divins murmures de l’amour. * O Sylphes ingénus, vous voilà de retour! De mille joyaux d’or la forêt se décore, Et blanche, regardant les corolles éclore, Titania folâtre au milieu de sa cour, * A travers l’éther pur dont elle fait sa proie, Tandis que la lumière, éclatante de joie, Frissonne dans la bleue immensité des cieux. * Beauté qui nous ravit avec tes molles poses, Dis, n’est-ce pas qu’il est doux et délicieux De plonger follement ta bouche dans les roses ? * Théodore de Banville, |
Déposé par poutounou le 27/04/2024Désolée pour ma petite « absence » du cimetière, due à un petit problème d’ordinateur. Me revoilà… !!! * A quel beau songe évanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange... * Pensée perdue * Elle est si douce, la pensée, Qu'il faut, pour en sentir l'attrait, D'une vision commencée S'éveiller tout à coup distrait. * Le coeur dépouillé la réclame ; Il ne la fait point revenir, Et cependant elle est dans l'âme, Et l'on mourrait pour la finir. * A quoi pensais-je tout à l'heure ? A quel beau songe évanoui Dois-je les larmes que je pleure ? Il m'a laissé tout ébloui. * Et ce bonheur d'une seconde, Nul effort ne me l'a rendu ; Je n'ai goûté de joie au monde Qu'en rêve, et mon rêve est perdu. * René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
Déposé par choupinou le 26/04/2024dans la lumière de vos souvenirs vit votre petit ange, il illumine de sa chaleur votre coeur, qui bât au rythme du sien, il le réchauffe éternellement pour que continue de vivre sa flamme emplit de son âme 💖💖💖💖💖✨✨✨✨✨ |
Déposé par spanky le 26/04/2024Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l’azur calme et doux… ------- Avril --- Lorsqu’un homme n’a pas d’amour, Rien du printemps ne l’intéresse ; Il voit même sans allégresse, Hirondelles, votre retour ; --- Et, devant vos troupes légères Qui traversent le ciel du soir, Il songe que d’aucun espoir Vous n’êtes pour lui messagères. --- Chez moi ce spleen a trop duré, Et quand je voyais dans les nues Les hirondelles revenues, Chaque printemps, j’ai bien pleuré. --- Mais depuis que toute ma vie A subi ton charme subtil, Mignonne, aux promesses d’Avril Je m’abandonne et me confie. --- Depuis qu’un regard bien-aimé A fait refleurir tout mon être, Je vous attends à ma fenêtre, Chères voyageuses de Mai. --- Venez, venez vite, hirondelles, Repeupler l’azur calme et doux, Car mon désir qui va vers vous S’accuse de n’avoir pas d’ailes. --- François Coppée ------- |
Déposé par spanky le 24/04/2024Saint François d'Assise et le loup --------- Il était une fois un gros loup noir qui terrorisait la ville...» Non, non, il ne s’agit pas d’un conte de Charles Perrault, mais bien de la légende du loup de Gubbio, telle qu’elle est racontée dans le chant XXI des Fioretti di San Francesco. Ce texte, rédigé à l’origine en latin, probablement par Ugolino da Montegiorgio entre 1327 et 1340 puis traduit en langue vulgaire quelque temps plus tard, raconte les différents épisodes de la vie de saint François d’Assise, déclaré par le Vatican saint patron de l’Italie en 1939, saint patron des écologistes en 1979 et généralement considéré comme le protecteur des animaux. ----- La scène se passe aux environs de l’an 1220. Alors qu’il séjourne à Gubbio, saint François apprend qu’un loup, énorme et féroce, erre dans la campagne environnante, dévorant non seulement les animaux mais s’attaquant aussi aux hommes. Les habitants sont effrayés car la terrible bête s’aventure souvent jusqu’aux abords de la commune. Ils n’ont plus le courage de quitter la ville et lorsqu’ils doivent se rendre dans les champs, ils s’arment de pied en cape. Mais rien n’y fait et il arrive toujours qu’un malheureux finisse entre les crocs de l’animal. Saint François décide alors de partir à la rencontre du monstre. À son approche, celui-ci s’apprête à bondir, la gueule béante, mais l’homme de Dieu fait un signe de croix et lui dit : « Viens ici, frère loup, je t’ordonne au nom de Jésus-Christ de ne faire aucun mal, ni à moi ni à personne.» Le loup obtempère sur-le-champ et s’allonge aux pieds du saint. L’homme continue de parler à l’animal qui, touché par tant de grâce et de bonté, remue la queue et baisse les yeux en signe d’assentiment. Puis saint François promet à la bête qu’elle ne souffrira plus jamais de la faim, car il sait que seule cette raison la pousse à commettre ses méfaits. À une condition : qu’elle renonce à s’attaquer aux créatures de Dieu, hommes ou bêtes. Et saint François de lui demander un signe pour sceller sa promesse. À ces mots, le loup soulève la patte et la pose délicatement dans la main de l’homme. ----- Un geste qu’il fera une seconde fois lorsque saint François prêchera la cause de l’animal devant la population rassemblée, avant de leur faire promettre de le nourrir jusqu’à la fin de sa vie. ----- À compter de ce jour, on vit le loup entrer et sortir librement de toutes les maisons de Gubbio, où jamais il ne commit le moindre mal ni ne reçut de coups. Il mourut de vieillesse deux années plus tard et sa disparition causa un profond chagrin aux habitants, car chaque fois qu’ils le voyaient déambuler dans les rues, ils se souvenaient du message d’amour et de paix du saint homme. ---------- |
Déposé par poutounou le 24/04/2024Tu es tout ça, adorable Ange !!! * MON ANGE ADORÉ * Tu es mon oxygène, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaînes, L'indispensable qui coule dans mes veines. * Tu es l'objet de mon existence, L'ange pur de l'innocence, Mon étoile de bienveillance, Plus qu'un espoir et plus qu'une chance. * Tu es ma mélodie, La douceur de mes nuits, Les couleurs de ma vie, Le bonheur à l'infini. * - Elodie - |
Déposé par spanky le 22/04/2024Ne vous sentez pas impatient Si je ne dors pas dans mon nouveau panier. J'ai dormi sur un sol rocher hier. Ne soyez pas terrifié si j'avale avidement ma nourriture, Hier j'ai dû le faire pour survivre. Ne vous énervez pas si je fais pipi par terre, Hier sa n'avait pas d'importance Ne sois pas triste si j'ai peur de ta main aimante, J'en ai mangé hier. Soyez patient avec moi c'est votre monde mais pas encore le mien, Si je te fais confiance, je peux te donner mon cœur. S'il vous plaît n'oubliez jamais que j'étais un chien de Chen Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'un peu de temps. |
Déposé par poutounou le 21/04/2024Au nom d’un malaise * Au nom d’un malaise, La peine m’a assaillie, Et s’en est allée la vie. Au nom d’un malaise, J’ai vécu sans amis, Et ils sont tous partis, Peine à vivre, Vivre à peine, Au nom d’un malaise… * Nashmia Noormohamed, 1999 |
Déposé par spanky le 20/04/2024Mon chien a été diagnostiqué avec un cancer il y a 3 ans. J'ai su dès le début que ses jours étaient comptés... Les médecins lui ont donné un maximum de 12-18 mois de vie avec un traitement... Alors nous avons commencé cette bataille contre le temps... Ces 3 dernières années, tout était autour d'elle. Des séances de chimiothérapie interminables, prendre soin d'elle, la douleur anticipée de la perdre... le stress et la peur constante... Et l'espoir... pour juste un peu plus de temps... J'ai passé tout mon temps avec elle... J'ai même abandonné mon travail à la fin pour pouvoir prendre soin d'elle. Personne ne m'a comprise, ils me prenaient pour une folle. Alors je me suis isolée et c'était juste nous deux. Honnêtement ce fut les moments les plus précieux de ma vie. J'ai tout donné de moi, elle était ma famille, ma meilleure amie, ma partenaire, ma maison.... Elle est décédée il y a 2 semaines... Je ressens ce que j'imaginais que j'allais ressentir... Je savais que ça allait être l'enfer ... Je suis toute seule.... avec la douleur... et tout mon cœur pour Elle... ---- Témoignage de Ginebra Raki ---- |
Déposé par spanky le 18/04/2024Il s’appelait Jules ----- Il était assis, devant moi, les yeux mi-clos. Et il restera ainsi le temps qu'il faudra. N'est-ce pas lui, vieux philosophe, qui a dit "Il faut laisser le temps au temps"? Il me regarde, moi sa meilleure amie, il me jauge. Il est protecteur, il est la Sagesse. Il est le Sphinx. Il était doué d'un caractère enjoué et d'une infinie patience. Les enfants étaient ses compagnons de jeu préférés. Il savait développer des trésors de douceur et de gentillesse. Adulte, il redevenait enfant. Il essayait de s'emparer de tous les jouets qui traînent dans la maison ou dans le jardin. Le poupon en peluche qui crie "Ça me chatouille" quand on le touche est un ravissement pour lui. Vous lui donniez lui un petit enfant à garder et il se fait nounou. Il s’appelait Jules et c'était mon meilleur ami. Tout le monde le connaissait dans le quartier, tout le monde connaissait sa trogne de vieux forban. A la maison il avait la jouissance exclusive d'un fauteuil Voltaire qu'il utilisait fréquemment avant de squatter les genoux de quelqu'un ou un lit du premier étage. Il s’appelait Jules et c'était un boxer d'amour. Un boxer ça bave, ça ronfle, ça pète. Oui cela arrive, j'en conviens. Mais Jules n'était pas le boxer standard, encore moins le canis vulgaris. Jules a bénéficié d'une ascendance aristocratique qui l'a doté d'un port de tête princier sur un corps d'athlète élancé tout en étant musculeux. En ce qui concerne les flatulences, il est vrai que Jules, sans doute victime d'une aérophagie insidieuse se laissait parfois aller à des manifestations involontaires encore que regrettables. Il s’appelait Jules et c'était beaucoup plus qu'un chien... -------- |
Déposé par choupinou le 17/04/2024Pour ma famille, message d'en haut, de ton aimé Ecoute le piaillement de l'oiseau, il te le délivre, regarde le papillon qui l'accompagne, je suis là Pas besoin de regarder le ciel, je je suis pas loin je suis beaucoup plus proche. je peux voler, je peux être ou tu veux, si près ou si loin... Je suis à côté de toi dans chaque larme pour ne pas pleurer seul. C'est moi Je suis dans chaque sourire pour voir la joie de tes yeux C'est moi, je suis avec toi quand tu dors et dans tes rêves parfois que, tu puisses me voir Je suis ton silence, à t'écouter sans rien dire, je suis là Ce n'est pas une illusion, c'est bien un signe, ses frissons, ces petits bruits, ce souffle dans ton coup, la chaleur sur tes cuisses, je suis avec toi sur le canapé... Oui comme avant, très proche, ne regarde pas loin, pas besoin.. si tu écoutes tu sauras, il suffit d'apprendre, à vivre sans voir Prends un instant, écoute le bruit de ton coeur je suis là, mais pas que, je continue de vivre mais d'une autre façon auprès de toi.... Association "Jimmy" Dans l'autre vie Avec quelques rajout; choupinou |
Déposé par poutounou le 17/04/2024Amis * Sans se consumer se posent nos mains sur l’épaule du Temps Se lèvent sur son visage le jour les souvenirs essaim de papillons Malgré les rides importunes avec nos rires d’antan pour tout bagage dans la mémoire rebelle l’on voyage Nos voix aussi sont les mêmes L’aridité de l’âge ne les a pas taries Elles coulent toujours dans cette oasis de l’amitié où vieillir est un mirage * Kamal Zerdoumi |
Déposé par spanky le 16/04/2024Il y a de cela bien, bien longtemps .. le chien vivait seul dans les bois et non dans les maisons comme maintenant. Un beau jour, il en eut assez de vivre ainsi et se mit à la recherche d'un compagnon. Il se promena longtemps sans rencontrer personne. ----- Puis un jour, entre deux arbres, il aperçoit un lièvre qui s'enfuit. Hé, petit lièvre, crie le chien, ne te sauve pas, écoute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, dit le lièvre, pourquoi pas ? Essayons ! Il choisissent un joli petit coin dans la forêt et s'y installent. La nuit venue, ils se couchent. Le petit lièvre s'endort tout de suite, mais le chien reste éveillé, il y a des feuilles qui tombent, des branches qui craquent, des oiseaux de nuit qui passent .. et chaque fois, le chien aboie. Le petit lièvre ne peut pas dormir, il se fâche et dit au chien : Cesseras-tu d'aboyer à la fin ? Si jamais le loup t'entend, il viendra nous dévorer tous les deux ! Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il est peureux . Le loup vaudrait peut-être mieux puisqu'il fait peur au lièvre .. ----- Et le chien s'en va à la recherche du loup. Il le cherche longtemps et, enfin, il l'aperçoit qui sort d'un taillis. Hé, loup gris, museau pointu, crie le chien, écoute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, dit le loup, pourquoi pas ? Essayons ! Le soir venu, ils s'installent pour dormir. Mais au beau milieu de la nuit, le chien, réveillé par un bruit, se met à aboyer. Effrayé le loup se réveille à son tour : Tais-toi donc, dit-il au chien, si jamais l'ours t'entend, il viendra nous dévorer tous les deux ! Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il n'est pas beaucoup plus courageux que le lièvre .. Il a peur de l'ours qui est certainement plus fort que lui. ----- Et le chien, laissant là le loup, s'en va à la recherche de l'ours. Il le cherche longtemps, parmi les arbres, les taillis, les rochers, .. Et voici que, soudain, il se trouve nez à nez avec lui. C'est un grand ours brun qui n'a pas l'air commode. Hé, ours brun, ours griffu, écoute-moi ! Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant .. Ma foi, pourquoi pas ? Essayons ! Ils se promènent toute la journée et, le soir venu, ils se couchent. A peine l'ours s'est-il endormi que le chien se met à aboyer. Réveillé en sursaut, l'ours tremble de frayeur. Mais tais-toi donc ! dit-il furieux. Si jamais l'homme t'entend, il viendra nous tuer ! Eh bien, pense le chien, celui-là ne vaut pas mieux que les autres. Il a peur de l'homme. ----- Et laissant là l'ours qui s'est rendormi, il part à la recherche de l'homme. Mais il a beau chercher dans la forêt entière, il n'en trouve pas. Il sort alors de la forêt et s’assoit pour se reposer. Alors, il voit l'homme qui s'avance vers lui, c'est un bûcheron qui s'en vient couper du bois. Quand le bûcheron est tout près, le chien lui dit : Ecoute-moi, homme, toi qui fait peur à l'ours qui fait peur au loup qui fait peur au lièvre, ne veux-tu pas me prendre comme compagnon ? Et pourquoi pas ? dit l'homme. Viens avec moi, nous verrons .. Et à la fin de la journée, l'homme emmène le chien dans sa maison. Le soir venu, l'homme se couche et s'endort. Au milieu de la nuit, le chien se met à aboyer. L'homme ne bouge pas. Le chien aboie plus fort. Alors l'homme se réveille et lui crie : Hé, brave chien ! Mange si tu as faim, bois si tu as soif, mais laisse-moi dormir tranquille, s'il te plaît ! L'homme n'a donc peur de rien, pense le chien, et il se tait. Et depuis ce temps-là, le chien est resté le compagnon de l'homme ! ----- |
Déposé par choupinou le 15/04/2024“Une âme pure est comme une belle perle. Tant qu'elle est cachée dans un coquillage, au fond de la mer, personne ne songe à l'admirer. Mais si vous la montrez au soleil, cette perle brille et attire les regards.” De le curé d'Ars. C'est toi petit trésor, douce petite étoile cachait le jour et qui te dévoile la nuit faisant palpiter le coeur de ton aimé, et ses yeux de mille pépites lorsqu'ils te contemple, levé tout la haut vers toi, et qui laisse une trace comme un petit pincement... ton amie choupinou |
Déposé par spanky le 14/04/2024 « Cracker Jack », de Dolly Parton (1974) ----- En 1980, Henri Dès crée cette chanson au sujet d’un adorable chien qui, malheureusement pour lui, est très sale. C’est d’ailleurs presque parfois à se demander s’il ne parle pas plutôt d’un cochon. Cependant, cette comptine est d’autant plus touchante qu’Henri Dès est accompagné d’enfants au chant. Elle l’est aussi quand on découvre que, malgré son hygiène et son comportement qui laisse à désirer, il l’aime quand même, son chien. ----- Paroles de la chanson « Chanson pour mon chien » J'ai un chien gentil mais sale Qui a des poils mouillés partout (J'ai un chien gentil mais sale) (Qui a des poils mouillés partout) Qui a des poils mouillés partout ---- Et c'est pas tout ---- Quand il mange dans son assiette Il s'en met plein le menton (Quand il mange dans son assiette) (Il s'en met plein le menton) Il s'en met plein le menton Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ---- Quand je le promène au lac Il patauge dans la boue (Quand je le promène au lac) (Il patauge dans la boue) Il patauge dans la boue Et c'est pas tout ---- Il va renifler les crottes Et ça ne sent pas très bon (Il va renifler les crottes) (Et ça ne sent pas très bon) Et ça ne sent pas très bon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime ) ---- Quand il boit dans sa gamelle Ça dégouline partout (Quand il boit dans sa gamelle) (Ça dégouline partout) Ça dégouline partout Et c'est pas tout ---- Il en met plein la moquette De la cuisine au salon (Il en met plein la moquette) (De la cuisine au salon) De la cuisine au salon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ---- Quand il vient me faire la fête Il me lèche dans le cou (Quand il vient me faire la fête) (Il me lèche dans le cou) Il me lèche dans le cou Et c'est pas tout ---- Il bave sur ma chemise Et puis sur mon pantalon (Il bave sur ma chemise) (Et puis sur mon pantalon) Et puis sur mon pantalon Comme un cochon ---- Mais je l'aime quand même, je l'aime (Mais je l'aime quand même, je l'aime) ----- |
L'Album photo contient 78 photos