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En hommage à
TAMIA
CANICHE
Il est né le:09/08/2002
Il nous a quittés le:18/06/2015
 

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En hommage à TAMIA

Ma TAMIA, ma canichette adorée.
Le 18 Juin 2015 tu as été endormie pour l'éternité. Tu aurais eu 13 ans le 9 Août. Nous avons toujours tout partagé : tu étais ma confidente, que du bonheur avec toi.
Repose en paix petite TAMIA d'amour au Paradis des Chiens




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2658 Fleurs
Déposé par nina1997
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Merci pour ma Nina. Bien à vous et à votre ange
Déposé par rustiditbibi
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Déposé par lili2248
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Un envol de tendres caresses rien que pour toi
Déposé par viana67
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Un grand merci de Viana et moi pour cette pensée, ce bouquet et quelques mots doux qui atténuent la peine qui persiste dans le coeur 💘. Câlins à votre ange
Déposé par ourson
Déposé par ourson
Déposé par ourson
Déposé par ourson
Déposé par ourson
Déposé par ourson
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
merci pour ma petite Fibelle et pour notre petit Pirate, merci d'être toujours présents pour eux, pour moi, merci d'honorer leur mémoire en leur jour anniversaire, merci de réchauffer leur coeur 💖
Déposé par lili2248
Déposé par lili2248
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Le temps passe mais les souvenirs restent. Gros câlins bel Ange
Déposé par prixy
Déposé par prixy
Le temps passe mais les souvenirs restent. Gros câlins bel Ange
Déposé par lili2248
Déposé par lili2248
un tres joyeux noel a toi petit coeur malan
Déposé par coucky
Déposé par coucky
Merci pour mon petit Frimousse
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou


902 messages

Déposé par NathalieB le 12/08/2016  

Je veux comprendre ...
Je dois trouver une réponse... car je ne sais comment y parvenir ...
J'ai de la peine à respirer, ... j'ai froid ....
Si tu es un être humain, s'il te plaît... sois moins animal .... et sois plus humain. Sois un être humain et non une bête pensante ... mais c'est curieux ... tu ressens exactemement la même souffrance que moi...
Si je tremble et si mon estomac gargouille, ce n'est pas parce s'y cache un haut-parleur répétant le même disque à tes oreilles bouchées .... c'est parce que j'ai faim et j'ai froid... je ne me trémousse pas parce que j'ai envie de danser, mais parce que mes os sont congelés ...
Je suis mort, frappé d'un virus fatal : "Apathie et indifférence"
Ne l'attrape pas comme mon maître, car ces chaînes ce n'est pas moi qui me les suis mises pour me montrer comme les humains le font avec leurs joyaux... ces chaînes sont gelées... et elles m'immobilisèrent en m'empêchant de me réparer du froid ... car, bien sûr, je peux être fidèle à mon maître, mais je ne suis pas stupide au point de vouloir mourir de froid ...
Je ne demande pas vengeance, seulement que vous fassiez attention de ne pas être contaminés à votre tour, car cela signifiera la mort pour tous ceux qui feront partie de l'entourage de cette personne ... que ce soit des animaux, des humains ou des plantes ...
A présent, je suis dans un lieu plus chaud ...
Alors, prends soin de toi ... Adieu.

Déposé par poutounou le 11/08/2016  
L’espoir…..
*
L’espoir porte un costume de plumes,
Se perche dans l’âme
Et inlassablement chante
Un air sans paroles ;
Mais c’est dans la tempête
Que son chant est le plus doux.
*
Emilie Dickinsonn

Déposé par NathalieB le 11/08/2016  

Essuie tes larmes et ne pleure pas. Si tu m'aimes, ton sourire est ma paix ...
La mort n'est rien ...
Je suis juste passé de l'autre côté; c'est comme si j'étais dans la pièce d'à côté.
Je suis moi et tu es toi.
Ce que nous étions, auparavant, l'un pour l'autre, nous le sommes encore.
Appelle-moi par le nom que tu me donnais, celui qui t'est familier;
Parle-moi de la même manière affectueuse. Ne change pas de ton, n'adopte pas un air solennel ou triste.
Ris encore de ce qui nous faisait rire, de ces petites choses, qui nous plaisaient tellement, alors que nous étions ensemble.
Souris et pense à moi!
Que mon nom reste toujours aussi familier; prononce-le sans la moindre trace d'ombre ou de tristesse.
Notre vie gardera tout son sens, celui qu'elle a toujours eu. C'est toujours la même, il existe une continuité qui ne peut se rompre.
Pourquoi devrais-je quitter tes pensées, ton esprit, car je suis hors de vue?
Je ne suis pas loin, je suis juste derrière toi.
Rassure-toi, tout va bien.
Tu retrouveras mon coeur, tu y retrouveras la tendresse à l'état pur.
Jole Dessi

Déposé par NathalieB le 10/08/2016  

Je vais à la maison, mais je n'ai pas de maison ... oh love
Je vais à la maison, mais je ne sais pas où elle est
J'ai essayé d'être sans toi ... oh love
Je suis perdu et je suis trahi
Mais je suis en train de te flairer
Et je suis en train de te chercher
Mais je ne sais pas où tu es
Très fatigué, fatigué au vent
Il pleut déjà
Il pleuvine
Dans cette nuit seule
Qui efface les pas et le temps
M'efface moi, efface le monde
Nuit ouverte que je n'ai plus fermée ... pour toi
Appelle et peut-être t'entendrai-je
Appelle fort car je suis perdu ... oh love
Je suis trahi et je suis perdu
Mais je suis en train de te chercher
Je suis en train de te flairer
Et je ne sais pas encore où tu es
Très fatigué, fatigué au vent
Il pleut déjà
Il pleuvine
Dans cette nuit seule
Qui efface les pas et le temps
M'efface moi, efface le monde
Je regarde dehors
Où va la route
Des odeurs perdues
(Viens, la nuit t'es ouverte)
Cette nuit faite de portes, de caresses
Et d'étoiles ouvertes de nuit
J'ai besoin de quelqu'un à aimer
Amour dans les mains du vent
Il ne pleut pas
Mais il est en train de pleuviner
Dans cette nuit seule
Qui efface les pas, qui efface le temps
M'efface moi, efface le monde
J'ai besoin d'avoir quelqu'un à aimer.

Déposé par NathalieB le 09/08/2016  

Qui ne sait pas voler
Mais chasse les oiseaux?
Qui sous l'eau
Ne sait pas respirer?
Mais qui suis-je donc?
Pour me croire le plus fort
Pour me croire tout permis
Me donner le droit de vie et de mort
Devine, que dire encore?
Je suis le moins humain
Des animaux
Je suis le pire
Je pense à rien
Qu'à sauver ma peau
Pour ainsi dire
Le plus sauvage
Des fauves en cage
Je suis de loin
Le moins beau
Qui invente la bombe?
Qui se moque du monde
Qui tue pour le plaisir de tuer?
Mais qui suis-je donc
Pour me croire au dessus
De tous ceux que je tue
Qui ne respecte rien ni personne
Qui donc, si ce n'est l'homme
Je suis le moins humain
Des animaux
Je suis le pire
Je pense à rien
Qu'à sauver ma peau
Pour ainsi dire
Le plus sauvage
Des fauves en cage
Je suis de loin
Le moins beau
Je suis le dernier
Maillon de la chaîne
Un moins que rien
Un homme qui n'a
Plus figure humaine
Oui je suis bien
Le plus sauvage
Des fauves en cage
Je suis de loin le moins beau
A quoi me sert mon cerveau?
CALOGERO

Déposé par NathalieB le 08/08/2016  

Une vie de chien :
Je suis jeune et tout fou
J'regarde passer les gens
Jusqu'au fameux jour où
Un couple et un enfant
Se tiennent là devant moi
Et me font les yeux doux
Ils me prennent dans leurs bras
Ça sent l'amour c'est fou
Ils m'emmènent chez eux
Me font plein de câlins
C'est tellement chaleureux
Qu'enfin je me sens bien
Le temps s'est écoulé
Aujourd'hui je suis grand
Doux, sage, bien éduqué
Plein de bons sentiments
Un matin de soleil
On part se promener
La vie est une merveille
Quand on est tant aimé
Mais quel est cet endroit
Et d'où viennent ces cris ?
Comme est partie ma joie
Je veux le faire d'ici
Ma famille est partie
Et ils m'ont laissé là
J'ai peur alors je crie
Mais nul n'entend ma voix
Je vois passer des gens
Ils posent on oeil sur moi
Mais restent indifférents
Aucun ne tend ses bras
Quelques temps ont passé
Et j'ai un peu vieilli
Je suis un poil marqué
Mais toujours plein de vie
On me sort de cette cage
On va se promener
J'ai été tellement sage
Qu'on revient me chercher...Mais
Je freine des quatre pattes
Je n' veux pas rentrer là
Je n'veux pas qu'on m'abatte
Je n'ai rien fait pour ça
Ils me traînent et m'agrippent
Je tremble de peur, d'effroi
J'ai mal aux veines, aux tripes
Ça doit être ce froid
je n'vois presque plus rien
Je n'entends plus les cris
Voilà ma vie de chien
Qui se termine ainsi
Cette histoire si banale c'est l'histoire de Bo, s'il s'appelait ainsi, c'est parce que des gens lâches, le jour où ils l'achetèrent l'avait trouvé bien beau...
Une vie de chien...

Déposé par poutounou le 07/08/2016  
Malheureusement "Merci" est un mot qu'on entend trop rarement !
*
Le blaireau sans gêne
*
Lui offrait-on quelque gâteau ?
C’est simple il en réclamait deux.
Devant un cadeau, ce blaireau
Faisait la moue, remerciait peu.
Partout il se sentait à l’aise
Se glissant à la meilleure place.
On le vit devenir obèse
Mais toujours faisant la grimace.
Un jour chez la Dame Belette
Il dit un gros mot incongru ;
Alors sa renommée fut faite :
Désormais nul ne le reçut.
Moralité
Soyez polis, soyez courtois
Dites bonjour, dites merci
On vous recevra avec joie,
Et vous aurez beaucoup d’amis
*
Yvon Danet
Mes poésies préférées

Déposé par NathalieB le 07/08/2016  

Je vais te raconter mon histoire, je n’ai pas de nom,
je suis de race Galgo, chien de chasse pour l’homme
La vitesse dans le sang, le corps fuselé
Je vivais avec 14 congénères dans un grand chenil
J ’ai un an et la vie devant moi,
Ma mère s’est échappée gestante et je suis né dans un parc
Ils ont jeté mes trois frères contre un mur, je ne sais pas à quoi je dois la chance d'être resté en vie
Je ne connais pas la compétition et je chasse les lièvres par instinct, on m’emmenait à la campagne tous les dimanches
Un jour, le destin a gâché ma vie, une balle perdue m’a touché, la blessure n’a pas été mortelle
Mais à partir de là, peu importait d’être fidèle ou d’être noble,
Avec une corde au cou, ils m’emmenèrent près d’un chêne
Le lendemain de l’accident, le sacrifice fut la solution à ma boiterie permanente
Je suis un être humain, mû par l’instinct, j’ai lutté, je me suis échappé, apeuré et sans savoir où aller
Depuis ce jour, je n’ai plus confiance, j’ai échappé à mon sort,
En me nourrissant de pain dans une zone industrielle, en évitant les gens
Avec la corde incrustée dans le cou, boitant de ma patte blessée mais pouvant marcher
J'ai eu un moment de faiblesse un jour et je me suis réveillé dans une cage, bandé, avec à boire et à manger
je suppose que c’est un refuge, désormais, ils me cherchent un maître
Mais qui veut un galgo d'un an et qui boite
Les gens veulent des chiens nains pour s’amuser
Des races chères pour faire de l'élevage et des affaires
J'offre une compagnie à celui qui voudra m’adopter, et toute ma reconnaissance, parce je connais la faim
Signé un anonyme, un parmi tant d’autres
Voici mon histoire, réfléchis, toi qui l'as écoutée,

Déposé par NathalieB le 06/08/2016  
Ma chienne vivait peinarde en somme
Jusqu'au jour où elle m'a choisi
A la Société Protectrice des Hommes
Au fond d'un immeuble moisi,
Mes yeux l'imploraient en silence :
S'il te plait, ne me laisse pas,
J'aurai pour toi mille patiences
Et je te suivrai pas à pas,
Et je te suivrai pas à pas.
Ma chienne m'emmène à la rivière
Courir derrièr' des bouts de bois,
J'en ai rapporté trois, hier,
Je crois qu'elle était fière de moi,
Et on s'est roulé sur la mousse,
Ma truffe contre son nez froid,
Mes pattes sur ses cuisses douces,
Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid,
Je ne suis qu'un enfant, j'ai froid...
Ma chienne patiemment me dresse,
Sans jamais élever la voix,
A coups de langue et de caresses,
Depuis, je mords bien moins, je crois,
Et quand je gronde de colère,
Tout au fond de ses yeux je vois
Que les fouets et les muselières
Ne sont pas pour elle, mais pour moi,
Ne sont pas pour elle, mais pour moi...
Ma chienne, ô ma tendre maîtresse,
Viens, raconte-moi ton histoire,
Dis-moi vite, car le temps presse,
A quoi tu penses dans le noir,
Depuis des siècles que nous sommes
Dans la même galère, toi et moi,
Dis-moi pourquoi un petit d'homme
Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois,
Ça vaut bien moins qu'un chien, parfois...

Déposé par NathalieB le 05/08/2016  

Je vais vivre entre 10 et 15 ans
Si c’est pour me haïr, pour me faire souffrir, penses-y à deux fois avant de me prendre avec toi.
Essaye de m’aimer tel que je suis, parce que ce n’est pas moi qui ai choisi ma condition.
De même que je n’ai pas la possibilité de choisir amis ou maîtres.
Accorde-moi du temps pour comprendre ce que tu veux de moi.
Avant de me crier dessus, pour m’éduquer, est-ce toi qui te trompes ou est-ce moi qui n’ai pas compris ce que tu attends de moi.
Chéris-moi, car je ne vis que pour cela.
Ne te fâche pas contre moi, ne me punis pas.
Tu as ton travail, tes amis, tes loisirs, moi je n’ai que toi.
Parle-moi de temps en temps !
S’il te semble que je ne comprenne pas, sache que je sais ce que tu penses, ce que tu ressens.
Rappelle-toi que jamais je n’oublierai la manière dont tu te comportes avec moi.
Avant de me frapper, pense que je pourrais te mordre, mais jamais je ne ferais une chose pareille.
Quand je ne suis encore qu’un chiot, ne me considère pas comme un jouet, dont tu te débarrasseras, lorsqu’il ne te sera plus d’aucune utilité
Car mon amour pour toi sera éternel.
Prends soin de moi alors que je vieillirai, que je serai édenté, que je serai sourd, que je ne pourrai plus marcher.
Quelqu’un, à son tour, prendra soin de toi, car la vieillesse est la même pour tous.
Accompagne-moi pour mon dernier voyage.
Ne dis jamais « C’est plus fort que moi, je ne peux regarder » ou « Arrangez-vous pour que je ne sois pas présent ».
A tes côtés, tout est plus facile.
Ceci sera la contrepartie à la fidélité, au dévouement dont j’ai toujours fait preuve à ton égard.
Quand je ne serai plus là, ne sois pas triste, au contraire, essaye de rendre heureux un autre chien et aime-le comme tu m’as aimé.

Déposé par NathalieB le 04/08/2016  

POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME
Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière.
Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous.
Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes.
Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. »
J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu…
Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité.
Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur.
Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne…
On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon.
Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !...
Tu n’es jamais venu !
Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI !
P’tit Loup
Il mourut un 24 décembre
Cause du décès :
Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé !

Déposé par NathalieB le 03/08/2016  

Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme…
La faute à son maître.
Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus.
Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent.
Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure.
C’est vrai, tu fais peur
Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu as dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles.
Je ne peux ni ne veux imaginer tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence.
Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ?
Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi.
Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux…
Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance.
Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ?
Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé.
Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel
Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es.
Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance….
Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre.
L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux…
Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas.
C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé.
La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance.

Déposé par poutounou le 02/08/2016  
Très joli texte interprété par Maurane et Lara Fabian
*
Tu Es Mon Autre
*
Ame ou soeur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue
*
Tu ne parles qu'une langue, aucun mot déçu
Celle qui fait de toi mon autre
L'être reconnu
Il n'y a rien à comprendre
Et que passe l'intrus
Qui n'en pourra rien attendre
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble
*
Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini
*
Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble
*
Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini
*
Et si l'un de nous deux tombe

Déposé par NathalieB le 30/07/2016  

Je l'aime, seigneur combien je l'aime,
Combien mes sentiments sont profonds et immuables
Comme autant d'étoiles dans le ciel,
Comme autant de vagues dans l'océan
J'ai envie de crier cet amour,
De le hurler à la face du monde
De le déclarer fièrement
Et montrer sa force ouvertement
Au lieu de cela, tout est tu, tout est enfoui
Chaque élan de tendresse est étouffé,
Chaque phrase tendre baillonée,
Chaque sentiment réfréné
Il est mon âme, il a mon coeur,
Il est mon homme, mon bonheur,
Il est mon oxygène, ma lumière,
L'indispensable, l'essentiel
Je ne peux lui dire la force de mes sentiments,
J'aimerais qu'il le sache pourtant,
Qu'il sache que je ne veux que lui,
Que je ne rêve que de lui
Comme un refrain chanté sans cesse,
Comme une musique emplissant l'air,
Mes sentiments se perdent dans les silences
Prisonniers des écrits

Déposé par NathalieB le 29/07/2016  

Heureux nous serions si le jour du Jugement Dernier nous pouvions affirmer : "J'ai aimé aussi sincèrement et j'ai vécu aussi honnêtement que mon chien". Et nous les considérons comme de simples animaux! Cette prière, composée par "liberation for our brother and sister animals" afin d'aider nos frères et soeurs animaux, est destinée à tous les fidèles animaux qui n'ont qu'un but, plaire à leur maître.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui sont soumis à des douleurs insupportables dans les laboratoirs du monde entier ne souffrent plus. Q'une compassion aimante s'empare des coeurs de ceux qui les gardent en captivité.
- Que tous les êtres sensibles du règne animal qui pâtissent d'être enfermés des jours, des mois, des années durant dans de minuscules cages dans l'incapacité de se mouvoir soient emplis de paix et de sérénité.
- Que les millions d'animaux qui attendent en rang dans les abattoirs soient délivrés de leur peur.
- Qu'aucun animal ne continue de souffrir et d'être déprimé. Que leur corps soit délivré des blessures, du mal être et de la maladie.
- Que ceux qui ont besoin d'un foyer ou ont été chassés du leur trouvent un abri et la plénitude de l'amour, à manger et à boire.
- Que ceux qui sont torturés pour leur peau ou pour servir de divertissement soient libérés.
- Que ceux qui se croient supérieurs à leurs frères et soeurs animaux fassent preuve d'une honnêteté parfaite et qu'ils comprennent dans leur coeur que les animaux n'ont pas été mis sur cette terre pour être tués ou exploités.
- Que les millions d'êtres sensibles qui demeurent sur terre, dans les mers, qui sont abusés, exploités et assassinés à cause de l'avarice, de la haine et de l'ignorance soient délivrés de leurs souffrances.
- Que tous les êtres sensibles humains et non humains vivions ensemble, en harmonie, paix et justice et ainsi nous parviendrons à atteindre l'illumination parfaite.
- Que je sois la voix de ceux qui n'en ont pas, et que mes forces ne viennent pas à faiblir pour défendre les faibles, mes frères, les animaux. ,

Déposé par NathalieB le 28/07/2016  

Toi, mon vieux compagnon,
Mon confident, mon frère,
Pour toi mon affection
N'est pas une chimère
Car je t'aime vraiment
D'un amour tendre et fort.
Lorsque j'ai un tourment
Tu es mon réconfort.
Comme un ange gardien
Tu restes à mon côté,
Si je te tends la main
Tu viens me la baiser.
Aveugle est ton amour,
Tu n'as pas de mépris,
Et ton cœur est bien lourd
Lorsque je suis parti.
Tu es bien plus fidèle,
Bien plus qu'un être humain,
Et tu es moins cruel
Mon compagnon, mon chien.

Déposé par poutounou le 28/07/2016  
Guidés par les yeux de nos Anges, « Etres de lumière« ….
*
Puisque l'aube grandit...
*
Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore,
Puisque, après m'avoir fui longtemps, l'espoir veut bien
Revoler devers moi qui l'appelle et l'implore,
Puisque tout ce bonheur veut bien être le mien,
*
C'en est fait à présent des funestes pensées,
C'en est fait des mauvais rêves, ah ! c'en est fait
Surtout de l'ironie et des lèvres pincées
Et des mots où l'esprit sans l'âme triomphait.
*
Arrière aussi les poings crispés et la colère
A propos des méchants et des sots rencontrés;
Arrière la rancune abominable ! arrière
L'oubli qu'on cherche en des breuvages exécrés !
*
Car je veux, maintenant qu'un Être de lumière
A dans ma nuit profonde émis cette clarté
D'une amour à la fois immortelle et première,
De par la grâce, le sourire et la bonté,
*
Je veux, guidé par vous, beaux yeux aux flammes douces,
Par toi conduit, ô « patte » où tremblera ma main,
Marcher droit, que ce soit par des sentiers de mousses
Ou que rocs et cailloux encombrent le chemin ;
*
Oui, je veux marcher droit et calme dans la Vie,
Vers le but où le sort dirigera mes pas,
Sans violence, sans remords et sans envie :
Ce sera le devoir heureux et gais combats.
*
Et comme, pour bercer les lenteurs de la route,
Je chanterai des airs ingénus, je me dis
Qu'elle m'écoutera sans déplaisir sans doute ;
Et vraiment je ne veux pas d'autre Paradis.
*
Paul Verlaine, La bonne chanson

Déposé par NathalieB le 27/07/2016  

Une vieille croyante avait un mari incroyant
et un chien fidèle qui la suivait partout,
même le dimanche à l'église.
Il se couchait sous le banc où s'asseyait sa maitresse
(ce banc qu'il connaissait bien, car c'était toujours le même).
La dame mourut, mais le chien conserva son habitude
de se rendre à l'église tous les dimanches lorsqu'il
entendait sonner les cloches.
Le mari s'étonnait de voir disparaître son chien chaque dimanche
matin et il se demandait où il pouvait bien aller.
" Vous le trouverez à l'église ", lui dirent ses voisins.
Sa curiosité le poussa à se rendre là où il avait juré de ne jamais
mettre les pieds. Il trouva effectivement son chien couché
sous un banc, mais comme l'office commençait et que tous les
assistants le regardaient, il n'osa plus sortir.
Il se sentit donc obligé d'assister à tout le culte
et d'entendre tout le sermon, qui le toucha au point
qu'il changea de vie et trouva le Seigneur...
Ce que sa femme avait été incapable de faire durant
toute sa vie, son chien le fit après sa mort.

Déposé par choupinou le 27/07/2016  

C'est avec simplicité que je vous dit en mon non et ceux de mes petits coeur un grand merci;merci pour Oscar et pour Miss partis tous deux a 3 jours d'interval,me laissant dans une tristesse infinie;vos pensées,fleurs et messages lors de leur anniversaire et vos visite très souvent pour eux me touche beaucoup et sont d'une grande délicatesse,mes petits anges vous en sont reconnaissant tout comme moi.
Merci.
Nos amours ne sont pas oubliés et ils ne le seront jamais...ILS VIVENT DANS NOS COEUR POUR L'ETERNITE; Ils nous attendent et nous les retrouverons., ils nous manque tant...

Déposé par prixy le 27/07/2016  

J'ai été très touchée par votre message et soyez en remerciement chaleureusement. Je suis tout à fait d'accord avec vous, nombreux humains ne comprennent pas notre total attachement. Heureusement, il y a se site merveilleux par lequel nous pouvons nous exprimer et nous soutenir. J'envoie une tonne de câlins, de douces caresses à votre Tania. Encore un grand merci. Avec ma gratitude je vous adresse mes amitiés. Maryse




L'Album photo contient 17 photos
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"tes 2 petites soeurs"
tu ne les as pas connues - photo du 03/08/2016
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LOUNA et LAURIE
tes 2 petites soeurs arrivées cet automne
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nos deux Amours. Toutes deux hélas réunies !
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Merci à Nathalie
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Merci à Nathalie
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Merci à Nathalie
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Merci à Nathalie
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je pose, c'est moi la star !
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je fais la sieste !
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NOEL 2011
j'ai mis mon petit noeud rouge
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je monte la garde !
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je fais encore la sieste
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"les rois" - 01/2013
j'ai même eu droit à des miettes de galette !
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toujours sur le lit de mes maîtres !
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sur le lit de mes maîtres ! j'adore !
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sur les genoux de mon maître, je domine la situation !
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En 2007
je suis coquette !
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