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En hommage à
CANICHEJoy
Il nous a quittés le:04/12/2010
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En hommage à
Joy
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1671 Fleurs
Déposé par choupinou Tous les souvenirs de nos petits anges d'amour sont inclus en nous, ils font partis d'une pellicule de clichés de la vie ineffaçable, ils n'ont pas de prix. Déposé par spanky Votre ange n'est jamais loin de vous, il est toujours là pour veiller sur vous et toujours prêt à vous guider. Déposé par spanky Trois choses nous restent du paradis, les étoiles de la nuit, les fleurs du jour et les yeux des êtres que nous avons aimés. = Dante Alighieri = Déposé par spanky Il est et il sera toujours sur votre peau et sur votre vie, vous êtes tellement fière de lui, il est tellement beau votre merveilleux ami que vous l'aimez à la folie et ce pour toujours. Déposé par spanky Sentir la présence de votre ange bien-aimé, c'est comme sentir le vent tout autour de vous, et si vous n’arrivez pas à voir le vent vous le sentez et vous savez qu'il est là. Déposé par spanky Le décès de nos amis à 4 pattes est toujours très difficile et même s'ils avaient des poils,une longue queue et qu'ils ne parlaient pas.Qui aurait pensé qu'ils pouvaient nous donner autant de bonheur. Déposé par spanky Quand vous alliez marchez-vous revoyez ses petits coins là où il sentait les autres chiens, vous revoyez sa démarche un peu traînante quand il fatiguait lui qui avait la volonté pour vous accompagner. Déposé par spanky C'est encore vous avec le désir fou d'ébouriffer son poil, d'embrasser sa jolie frimousse, de jouer ensemble et de lui répéter 1000 fois qu'il vous manque avec l'envie folle de refaire une vie à vous Déposé par spanky Vous le chercherez toujours votre ami à 4 pattes et vous le verrez dans chaque fleur, dans chaque oiseau, dans chaque coucher de soleil car tout ce qui est est beau sera lui a jamais. Déposé par spanky Les photos ne remplaceront pas le plaisir que nous avons éprouvé quand nous les avons prises.Les souvenirs nous donnent du vague à l'âme.Le manque de nos anges fera partie de notre vie à tout jamais. Déposé par spanky Je te cherche par delà l'attente, je te cherche par delà moi-même, et je ne sais plus tant je t'aime, lequel de nous deux est absent. - Paul Eluard - Déposé par spanky Vous pensez à lui,vous regardez ses photos,vous criez son nom,vous regardez son urne,vos larmes coulent,que le vent qui souffle pour l'instant vous fasse parvenir le gros bisous que vous lui envoyez. Déposé par spanky Comme ils peuvent nous manquer nos Loulous nos compagnons, nos amis. Notre vie est devenue monotone sans eux, leurs absences nous brûlent le cœur à chaque pensée qui nous sont destinées. Déposé par spanky Comme vous aimeriez remonter le temps pour revivre tous ces bons moments avec votre ami à 4 pattes. Il brille toujours dans votre cœur, comme il a brillé sur terre et brillé à présent dans le ciel. Déposé par spanky Jamais, absolument jamais, nous ne perdons nos êtres chers. Il nous accompagnent ils ne disparaissent pas de nos vies. Nous sommes seulement dans des chambres différentes. - Paulo Goelho - Déposé par spanky Henri-Frédéric AMIEL : Les salutaires amitiés sont celles qui stimulent, qui animent, qui augmentent notre vitalité, qui éveillent en nous l'étincelle, la verve,le courage, qui nous rendent plus fort. Déposé par spanky La richesse de votre cœur, c'est le regard sur votre amitié pour lui et sa fidélité qu'il vous a offert...merci à votre ami à 4 pattes pour cette belle aventure qui durera pour l'éternité. |
1038 messages
Déposé par choupinou le 22/11/2017Parfois notre lumière s'éteint, puis elle est rallumée par un autre être humain. Chacun de nous doit de sincères remerciements à ceux qui ont ravivé leur flamme. Albert Schweitzer *************************************************************** BIEN QUE LES FLEURS SE FANENT MEURENT ET DISPARAISSENT LEURS IRREMPLACADE PARFUMS DEMEURENT TOUJOURS TOUT COMME C'EST FLEURS ECLATANTES CEUX QUE NOUS AIMONS NE MEURT JAMAIS ILS DEMEURENT AVEC NOUS A JAMAIS EMPREINTS DANS NOS SOUVENIRS PRECIEUX ENSEMBLE POUR L'ETERNITE Je voulais vous dire MERCI, a vous qui me soutenez de vos gentilles attentions de vos jolies fleurs,bouquets d'amour, ils procurent beaucoup de bonheur dans ces instant de tristesse aussi bien a mes petits anges,qu'a moi, et nous vont droit au coeur. Je suis vraiment touchée,par tous ces gestes d'amitié, qui nous sont adressés si gentiment Je voulais vous dire MERCI pour les écrits,poèmes que vous me ,leur laisser ici alors a tous ceux qui sont là,près de nous, notre reconnaissance et notre amitié s'accompagnerons tout simplement d'un petit mots mais qui représente beaucoup a mon,notre coeur , un simple mais majestueux remerciement en ces moment de douleur MERCI MERCI, Pour notre petite Youmi,si peut de temps dans notre vie, 1 mois et 6 jours décédée le 12/11/17 et pour Réglisse lors de son anniversaire d'envol,les petits amours de ma fille pouilledamour. Pour mon adorable petit Nudji qui me manque énormément et qui est dans mon coeur chaque secondes,chaque minute de ma vie,c'est si dur de vivre sans mon petit bébé d'amour.... Pour notre petit Simba le chien de mon frère,a qui je rends hommage car c'était un gentil petit canichou que j'aimais beaucoup et je lui doit bien ca TENDRE CALINOUX,AFFECTUEUSES CARESSES ET TENDRESSES POUR VOTRE PETIT ANGE MERCI DE VOTRE AMITIE ,SOUTIEN choupinou celibab |
Déposé par poutounou le 19/11/2017Ne sommes-nous vraiment personne ? * Le tombeau de Monsieur Monsieur * Dans un silence épais Monsieur et Monsieur parlent c'est comme si Personne avec Rien dialoguait. * L'un dit : Quand vient la mort pour chacun d'entre nous c'est comme si personne n'avait jamais été. Aussitôt disparu qui vous dit que je fus ? * - Monsieur, répond Monsieur, plus loin que vous j'irai : aujourd'hui ou jamais je ne sais si j'étais. Le temps marche si vite qu'au moment où je parle (indicatif-présent) je ne suis déjà plus ce que j'étais avant. Si je parle au passé ce n'est pas même assez il faudrait je le sens l'indicatif-néant. * - C'est vrai, reprend Monsieur, sur ce mode inconnu je conterai ma vie notre vie à tous deux : À nous les souvenirs ! Nous ne sommes pas nés nous n'avons pas grandi nous n'avons pas rêvé nous n'avons pas dormi nous n'avons pas mangé nous n'avons pas aimé. * Nous ne sommes personne et rien n'est arrivé. * Jean Tardieu ("Monsieur monsieur" Gallimard 1951) |
Déposé par poutounou le 12/11/2017N’importe quoi ! Mais ça fait énormément de bien de rire un peu…et de dire n’importe quoi aussi !!! * Il était des petits Anges… * Il était des petits Anges, Pirouette, cacahouète. Il était des petits Anges, Qui habitaient de beaux nuages, Qui habitaient de beaux nuages. * Leurs nuages étaient en coton, Pirouette, cacahouète. Leurs nuages étaient en coton, Leurs escaliers en soie dorée, Leurs escaliers en soie dorée. * Le fleuriste y est monté, Pirouette, cacahouète. Le fleuriste y est monté, Et s’est cassé le bout du nez, Et s’est cassé le bout du nez. * Les Anges l’ont raccommodé, Pirouette, cacahouète. Les Anges l’ont raccommodé, Avec du joli fil doré, Avec du joli fil doré. * Mon histoire est terminée, Pirouette, cacahouète. Mon histoire est terminée, Toutous, toutounes, applaudissez, Toutous, toutounes, applaudissez. |
Déposé par poutounou le 05/11/2017Oui, tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", éditions Gallimard, 2000) |
Déposé par poutounou le 01/11/2017Celui qui perd sa vie, un jour la retrouvera… * Il restera de toi… * Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi, de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. * Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi ce que tu as offert Entre tes bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu, Que tu as attendu plus loin que tes réveils. * Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé, Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. * Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Michel Scouarnec * En ce jour de Toussaint, je vous souhaite à toutes et tous, chiens, chats, et autres, ainsi qu’aux membres du cimetière virtuel, une bonne tonne de « beaux souvenirs ». |
Déposé par poutounou le 29/10/2017Et bientôt ce sera l'hiver ! Brrr... * Quand l'automne en saison revient * Quand l'automne en saison revient, La forêt met sa robe rousse Et les glands tombent sur la mousse Où dansent en rond les lapins. * Les souris font de grands festins Pendant que les champignons poussent. Ah ! que la vie est douce, douce Quand l'automne en saison revient. * Samivel |
Déposé par poutounou le 22/10/2017Il n'y a rien à ajouter : c'est l'homme qui ne va pas sur cette terre, enfin certains "hommes"... * Autocritique * Qu’est-ce qui ne va pas sur Terre ? C’est le chat dit la souris C’est le lion dit la gazelle C’est le loup dit l’agneau C’est l’homme dit l’homme. * Jean-Pierre Develle |
Déposé par choupinou le 17/10/2017tout oeuvre digne de ce nom,un poème,une fleur,une musique,une peinture,une sculpture,une photo,tente de transformer la solitude en ouverture,la souffrance en communion,les cris d'appel en chant,un chant qui raisonne au delà des abîmes creusées par la séparation et la mort François Chang merci pour mon petit Bullgum qui me manque tant,tendre caresses a votre petit coeur,ange d'amour choupinou, |
Déposé par poutounou le 15/10/2017Un déjeuner au Paradis, sauf que nos Anges ne s'ennuient jamais, même le Dimanche... * Un déjeuner de fous * J’organise aujourd’hui un déjeuner de fous une chasse à l’herbe folle un braconnage de fruits verts. Nous boirons sous les pommiers du cidre de la pleine lune, nous ferons un jardin des moissons d’amitié de mots sans trèves et de soleils givrés. Et dans ce paysage de rêveries bruissantes nous danserons sur l’ennui des dimanches. * Luce Guilbaud ("La petite feuille aux yeux bleus" - Éditions Le farfadet bleu/Le dé bleu, 1998) |
Déposé par Cyprien le 12/10/2017pour un mot reçu,un poème, pour une fleur offerte,pour une main tendue,pour un geste d'amitié,pour toutes ces petites attentions témoignées lors du départ pour le pont de l'arc en ciel,de notre petit Symba d"amour.MERCI choupinou |
Déposé par poutounou le 08/10/2017Et oui ! C'est quoi la vie ? * Le Secret * D'où viennent-ils ? Où vont-ils Tous ces humains que cherchent-ils ? * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Il est passé par ici Il repassera par là. * C'est comment, c'est quoi la vie ? Bien malin qui le dira ! * Elle est passée par ici, Elle repassera par là. * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Andrée Chedid ("Fêtes et lubies" - éditions Flammarion - 1973) |
Déposé par poutounou le 01/10/2017Des nuages au Paradis ! Oui, mais de gentils nuages... * Les nuages * Trois petits nuages S’en venaient de Paris, Mais oui, mais oui. Mon Dieu, qu’ils étaient jolis ! Derrière eux le vent riait. Allez, allez ! Et claque, claque son fouet. Le premier nuage Etait léger comme un duvet. Le second petit nuage Avait de beaux cheveux frisés. Passant trop près du soleil, Le pauvre petit dernier S’y était brûlé le nez. Tant pis, tant pis Ils ne pouvaient pas s’arrêter Pensez ! Trois petits nuages S’en allaient au Paradis ! |
Déposé par poutounou le 24/09/2017Au revoir l'été !!! * Voici que la saison * Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroit, Le vent fraichit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froid. * Aout contre septembre lutte; L’océan n’a plus d’alcyon ; Chaque jour perd un minute, Chaque aurore pleure un rayon. * La mouche, comme prise au piège, Est immobile à mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit à petit, l’été fond. * Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 17/09/2017Voilà à quoi ressemble l'école au Paradis... * Notre école * Notre école se trouve au ciel. Nous nous asseyons prés des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacées à l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leçon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les étoiles. * Jamais nous ne rêvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'école est notre paradis. * Maurice Carême ("le moulin de papier" - Nathan) |
Déposé par poutounou le 10/09/2017Un magnifique lac comme au Paradis blanc.... * J'ai pour toi un lac * J'ai pour toi un lac quelque part au monde Un beau lac tout bleu Comme un œil ouvert sur la nuit profonde Un cristal frileux Qui tremble à ton nom comme tremble feuille À brise d'automne et chanson d'hiver S'y mire le temps, s'y meurent et s'y cueillent Mes jours à l'endroit, mes nuits à l'envers. * J'ai pour toi, très loin Une promenade sur un sable doux Des milliers de pas sans bruits, sans parade Vers on ne sait où Et les doigts du vent des saisons entières Y ont dessiné comme sur nos fronts Les vagues du jour fendues des croisières Des beaux naufragés que nous y ferons. * J'ai pour toi défait Mais refait sans cesse les mille châteaux D'un nuage ami qui pour mon Ange Se ferait bateau Se ferait pommier, se ferait couronne Se ferait panier plein de fruits vermeils Et moi je serai celui qui te donne La Terre et la Lune avec le soleil. * J'ai pour toi l'amour quelque part au monde Ne le laisse pas se perdre à la ronde. * Gilles Vigneault |
Déposé par poutounou le 03/09/2017N’entendez-vous pas, dans l’infini, battre les ailes de nos Anges ? * L’ombre est bleue et la nuit palpite d’ors tremblants Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère * Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, En une ascension dont l’essor tremble au clair de lune * N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, * Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. * Fernand Gregh |
Déposé par poutounou le 27/08/2017Mon petit Iron « petit filou »chasse aussi les papillons et les lézards et les oiseaux et les « rominets« … * Le chat sous la fenêtre * Le chat sous la fenêtre soulève sa petite patte pour pouvoir sortir et ses yeux grands ouverts qui cherchent des regards pour qu’il puisse l’ouvrir * Le chat sous la fenêtre tapote doucement avec son coussinet sur quelques marguerites qui se reflètent sur la vitre derrière une ombre bleutée * Le chat sous la fenêtre observe les oiseaux, et d’un coup sec s’envole dans le ciel pour attraper le papillon qui a pu s’échapper * La chat sous la fenêtre d’un coup a disparu Alors je regarde une corbeille de cerises posée sur le vieux banc cassé La petite patte n’est plus là Le papillon vole un peu plus loin * J’entends le son du beau ruisseau qui coule au pied de ma maison il n’y a plus qu’un grand rayon de soleil qui traverse la fenêtre Et c’est l’été * Elodie Santos, 2006 |
Déposé par poutounou le 20/08/2017Quelle histoire ! * En Grande-Bretagne, un chat a été expédié à plus de 400 kilomètres de chez lui par voie postale. L’animal a passé huit jours enfermé dans une boîte en carton. Retrouvé en état de déshydratation il y a environ dix jours, il se remet aujourd'hui de sa mésaventure… * C’est une miraculée. Cupcake, une chatte siamoise résidant dans les Cornouailles, au sud-ouest de la Grande-Bretagne, a été expédiée par erreur dans le West Sussex, à 400 kilomètres de là. L’animal se serait faufilé dans un carton de DVD que ses maîtres venaient de vendre. Ces derniers ne se seraient aperçus de rien et auraient envoyé le colis tel quel. * Découvrant la disparition de leur chat, ils ont ensuite collé des avis de recherche et des photos de Cupcake dans leur quartier, sans se douter qu’elle était déjà à 400 kilomètres de chez eux. La minette n’a été découverte que huit jours plus tard, lorsque le destinataire a ouvert le colis. Aussitôt emmenée dans une clinique vétérinaire, Cupcake est diagnostiquée en état de stress et souffrant de déshydratation. Elle a, depuis, retrouvé ses maîtres de Cornouailles et est complètement remise sur pattes. * Si, comme Cupcake, votre chat prend plaisir à se cacher dans les cartons, vérifiez qu’il ne soit pas dedans avant d’en expédier. Une précaution d’usage à prendre aussi lors des départs en vacances, pour éviter que minou ne se faufile en douce dans la valise… |
Déposé par poutounou le 13/08/2017Très belle chanson du poète Yves Duteil. Des fois on souffre tellement, qu'on aimerait bien pouvoir se réfugier dans un merveilleux rêve... * Il y a des jours où, quand le jour se lève, On voudrait rentrer tout au fond d'un rêve Et puis, soudain, lorsque le clocher sonne, Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Alors, on ferme les yeux un instant. Quand on les rouvre, tout est comme avant. Les gens vous voient et leur regard s'étonne. Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Comme au milieu d'un cinéma désert, On rembobine et tout passe à l'envers Et quand on pense aux gens qu'on abandonne, Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Ouvrir son cœur à tous les vents qui passent, Et, qu'un matin, tous les chagrins s'effacent Pour oublier, dans le bonheur qu'on donne, Qu'il y a des jours où l'on n'est plus personne, * Qu'il y a des jours où, quand le jour se lève, Ou voudrait rentrer tout au fond des rêves Et s'endormir lorsque le clocher sonne. Il y a des jours où l'on n'est plus personne. * Yves Duteil |
Déposé par poutounou le 06/08/2017Le coeur est brisé, n'y touchez pas ! * Le vase brisé * Le vase où meurt cette verveine D'un coup d'éventail fut fêlé ; Le coup dut effleurer à peine : Aucun bruit ne l'a révélé. * Mais la légère meurtrissure, Mordant le cristal chaque jour, D'une marche invisible et sûre En a fait lentement le tour. * Son eau fraîche a fui goutte à goutte, Le suc des fleurs s'est épuisé ; Personne encore ne s'en doute ; N'y touchez pas, il est brisé. * Souvent aussi la main qu'on aime, Effleurant le coeur, le meurtrit ; Puis le coeur se fend de lui-même, La fleur de son amour périt ; * Toujours intact aux yeux du monde, Il sent croître et pleurer tout bas Sa blessure fine et profonde ; Il est brisé, n'y touchez pas. * René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) |
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