En hommage à
IDELL dit DOUDOU
1993 / 2011


En hommage à
IDELL dit DOUDOU
1993 / 2011

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En hommage à
IDELL dit DOUDOU
CANICHE
Il est né le:08/10/1993
Il nous a quittés le:20/10/2011

Mon DOUDOU

Tu étais mon bébé,mon trésor,mon petit amour.Tu as toujours été là pour moi.
Quand j'étais malade,je me suis toujours relevée pour et grâce à toi.
Et ce jeudi 20 octobre,j'ai dû te laisser partir au paradis où tu as retrouvé LARRY et fait connaissance avec ses amis qui t'attendaient.
Tu me manques mon DOUDOU.JE T'AIME.
Ta maman LARRYDOUDOU




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1687 messages

Déposé par poutounou le 24/05/2014  
CHANSON DES ESCARGOTS
QUI VONT A L'ENTERREMENT
A l'enterrement d'une feuille morte
Deux escargots s'en vont
Ils ont la coquille noire
Du crêpe autour des cornes
Ils s'en vont dans le soir
Un très beau soir d'automne
Hélas quand ils arrivent
C'est déjà le printemps
Les feuilles qui étaient mortes
Sont toutes ressuscitées
Et les deux escargots
Sont très désappointés
Mais voilà le soleil
Le soleil qui leur dit
Prenez, prenez la peine
La peine de vous asseoir
Prenez un verre de bière
Si le coeur vous en dit
Prenez si ça vous plaît
L'autocar pour Paris
Il partira ce soir
Vous verrez du pays
Mais ne prenez pas le deuil
C'est moi qui vous le dis
Ça noircit le blanc de l’œil
Et puis ça enlaidit
Les histoires de cercueil
C'est triste et pas joli
Reprenez vos couleurs
Les couleurs de la vie
Alors toutes les bêtes
Les arbres et les plantes
Se mettent à chanter
A chanter à tue-tête
La vraie chanson vivante
La chanson de l'été
Et tout le monde de boire
Tout le monde de trinquer
C'est un très joli soir
Un joli soir d'été
Et les deux escargots
S'en retournent chez eux
Ils s'en vont très émus
Ils s'en vont très heureux
Comme ils ont beaucoup bu
Ils titubent un p'tit peu
Mais là-haut dans le ciel
La lune veille sur eux.
Jacques Prévert

Déposé par myriam31 le 24/05/2014  
Ces quelques lignes de la part de votre petit ange, pour fêter la fête des mères, pour une maman formidable et aimante. Il ne lui manquait que la parole pour vous adresser ce petit message de tendresse.
"En l'honneur de la fête des mères, une maman que je connais bien mérite d'être tout particulièrement célébrée. C'est certainement la plus douce, la plus aimante des mamans qui existent au monde. Et puis, par chance, il se trouve que c'est la mienne ! Bonne fête à ma maman chérie."
Bien amicalement

Déposé par rafia le 23/05/2014  
«  Va la chercher!  » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette
L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : «  Va la chercher!  »
LISA FITTERMAN
Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là.
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté.
« Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé.
« Les filles sont à l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. »
Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés.
Que faire ?
La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. »
Le chien est leur dernière chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra.
Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle.

Déposé par rafia le 22/05/2014  
EXPLOIT de Roselle LABRADOR blonde.
Publié par Alpharococo in Chiens
Tags11 septembre 2001, héros canin
Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité.
Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson.
11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve.
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Déposé par rafia le 21/05/2014  
Les golden retriever, héros du World Trade Center
Bear, un golden retriever, s'est illustré après les attentats du 11 septembre 2001, accompagné de plus de 300 de ses congénères. Tout comme April Moon, une jolie golden retriever de deux ans, qui sauve Marie, non-voyante : Marie reçoit April Moon le jour-même des attentats ; son chien-guide la conduira à travers 51 étages. Le calvaire dure près d'une heure, et Marie sortira indemne du World Trade Center peu avant que ses bâtiments s'effondrent.
Les autres races canines s'illustrent également : un doberman a retrouvé un enfant d'un an et demi qui s'était égaré en campagne lors d'un mariage dans un hôtel, un border collie a localisé un ouvrier au fond d'une tranchée de plusieurs mètres qui s'était effondrée, un berger allemand a retrouvé une victime suite à une explosion... La liste est longue et non exhaustive.
Nombreux sont les animaux qui resteront anonymes en dépit d'une brillante carrière. De nombreux organismes leur rendent fréquemment hommage, soyez attentif !

Déposé par rafia le 20/05/2014  
L'amitié et l'ami
La réelle amitié d'un ami est sacrée,
Un merveilleux trésor qu'il faut protéger.
On peut se passer de l'amour,
Mais l'amitié il en faut toujours.
À qui confier nos joies, nos chagrins ?
Si ce n'est à un ami, tel un frangin.
Il est agréable de se sentir indispensable,
Quand lui vit des problèmes semblables.
L'amitié c'est beau, mais tellement rare,
Que la vie parfois ainsi nous sépare.
On oubliera jamais le véritable ami,
À qui on s'est confié sur sa vie.
Mais on oubliera bien plus vite,
Ces faux amis qui autour de nous gravitent.
Maxalexis.,
====================================================================================================
Pas encore familiarisé avec le message accompagnant le bouquet.
Je fais de mon mieux!
Très respectueusement.
Maël.

Déposé par rafia le 19/05/2014  
Ecoute moi
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Accorde-moi seulement quelques instants,
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées,
Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés.
Manquerais-tu de confiance en mes capacités ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser,
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moi
Écoute-moi, s"il te plaît, j'ai besoin de parler.
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas.
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéré
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne m'interromps pas pour me questionner,
N'essaie pas de forcer mon domaine caché.
Je sais jusqu'où je peux et veux aller
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Respecte les silences qui me font cheminer.
Gardes-toi bien de les briser,
C'est par eux bien souvent que je suis éclairé.
Alors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai
Jacques Salomé
,

Déposé par poutounou le 19/05/2014  
Encore une belle histoire :
L’Angleterre a été émue par une histoire mettant en scène un Berger Allemand et un nourrisson.
Les faits se sont produits le 31 octobre dernier, le jour d’Halloween. Roger Wilday se promène dans le parc de Birmingham en Angleterre.
Il est accompagné de Jade, une femelle Berger Allemand de 9 ans.
Aux alentours de 14 heures, il constate que l’animal ne veut plus sortir d’un buisson. L’homme de 68 ans tente de rappeler son chien qui généralement obéit aux ordres de son maître. Jade n’est pas décidée à revenir et souhaite rester dans le buisson de ce parc.
L’homme intrigué décide de rejoindre son chien et il découvre un sac.
Le retraité l’ouvre et découvre avec une grande surprise un bébé qui possède encore son cordon ombilical. Le sexagénaire appelle immédiatement les secours qui arrivent sur les lieux avec la police.
Roger Wilday a précisé au Daily Mail que son chien avait sauvé le nourrisson « Jade a grandi avec des enfants autour d’elle, elle aime les enfants ».
Cet environnement a été favorable pour l’animal, car « quand elle a trouvé le bébé dans les buissons elle ne l’aurait pas quitté jusqu’à ce qu’elle sache que je l’avais vu ».
Le bébé abandonné dans le sac est rapidement transporté à l’hôpital à Birmingham. Au vu des premiers examens, l’enfant pèse 2.73 kilos et serait âgé d’un ou deux jours maximum.
La police a précisé au journal que le Berger Allemand avait véritablement sauvé l’enfant, car il ne lui restait que quelques heures de vie.
Avec les conditions climatiques de jeudi, il n’aurait sans doute pas passé la nuit.

Déposé par rafia le 18/05/2014  
Le vieux et son chien
S'il était le plus laid
De tous les chiens du monde,
Je l'aimerais encore
A cause de ses yeux.
Si j'étais le plus laid
De tous les vieux du monde,
L'amour luirait encore
Dans le fond de ses yeux.
Et nous serions tous deux,
Lui si laid, moi si vieux,
Un peu moins seuls au monde
A cause de ses yeux.
Pierre Menanteau
( Ce que m'a dit l'alouette )

Déposé par rafia le 12/05/2014  
'Amitié
Comme un arbre, l'amitié grandit au fil des ans.
Ses racines prennent de la vigueur
et lui permettent de devenir grande et forte.
C'est de cette façon que la nôtre s'est développée,
et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir
ce partage de notre quotidien.
Aujourd'hui, pour s'apercevoir que l'autre a besoin d'un peu
d'attention ou simplement de notre présence,
nul n'est besoin de se parler.
Je remercie la vie de t'avoir mis sur ma route; vraiment,
ce fut l'un des plus beaux cadeaux qu'elle m'a fait.
Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé
bien des tempêtes et des ouragans.
Contre vents et marées, nous avons toujours su garder
le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer
nos forces dans les moments d'accalmie.
Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous
sommes encore côte à côte.
Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints
de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous
ont permis de rester debout jusqu'à ce jour.
La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises,
mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit.
Continuons à prendre soin des racines de notre amitié,
de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager
notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons.
Andrée Lapierre.,

Déposé par rafia le 10/05/2014  
Je vs fais suivre ce message à l'initiative de Martine, maman de Rubens...et je vs en souhaite une excellente lecture.
Mille bisous et mercis, pr vs ma très chère amie Martine.
Le même message vient de m'être refusé chez Larry. Ce dysfonctionnement est, hélas, récurrent...mais il arrive...ô mystère...que le message pourtant estampillé "refusé"...soit réceptionné par son bénéficiaire...et je renonce à comprendre !!!
Car il n'y a RIEN à comprendre !!!
Votre amie Maryem
******************************
Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse... ainsi que tous les autres, y compris l’Amour.
Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent. Seul l’Amour resta, attendant jusqu’au dernier moment. Quand l’île fut sur le point de disparaître, l’Amour décida de demander de l’aide.
La Richesse passa près de l’Amour dans un bateau luxueux et l’Amour lui dit :
- "Richesse, peux-tu m’emmener ?"
- "Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi."
Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait dans un magnifique bateau :
- "Orgueil, je t’en prie, emmène moi."
- "Je ne peux pas t’emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans mon bateau."
Ensuite l’Amour demanda à la tristesse qui passait par là :
- "Tristesse, je t’en prie, emmène moi."
- "Oh Amour" répondit la Tristesse "je suis si triste que j’ai besoin de rester seule."
Ensuite la Bonne humeur passa devant l’Amour, mais elle était si heureuse qu’elle n’entendit pas qu’on l’appelait.
Soudain une voix dit :
- "Viens, Amour, je t’emmène avec moi."
C’était un vieillard qui l’avait appelé. L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla.
L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir :
- "Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m’a aidé ?"
- "C’est le Temps" répondit le Savoir"
- "Le Temps ?", demanda l’Amour, "Pourquoi le Temps m’aurait-t’il aidé ?"
Le Savoir plein de sagesse répondit :
- "Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie".
Envoie ce message à tes amis pour qu’ils sachent ce qu’ils représentent pour toi !

Déposé par poutounou le 06/05/2014  
Jolie petite histoire :
Madame Sabatier qui, toute sa vie durant, a entretenu avec les oiseaux une relation affectueuse et confiante, se fait un devoir de parsemer le gravier de son jardin de petits morceaux de pain, de graines et de fruits. Et, tout aussi rituellement, les tourterelles, qui abondent dans ce coin de la côte, viennent picorer les gâteries qu'elle leur dispense.
Un bel après-midi d'été, alors qu'une tribu d'oiseaux faisait bombance, elle remarqua qu'une tourterelle chancelait, battait de l'aile, semblait malade. Elle piqua cependant une miette et remonta vers le ciel d'un vol lourd. Elle revint le lendemain, et aussi le surlendemain. Elle paraissait de plus en plus faible... Alors, d'un pas hésitant, elle s'approcha de l'amie des oiseaux, comme pour lui demander son aide, puis, à la surprise générale, elle entra dans la maison, ce qu'aucun oiseau ne faisait jamais.
"Je l'ai prise", m'a dit l'amie des oiseaux, "très doucement. Je l'ai caressée un grand moment, et elle est morte dans mes mains".
L'explication de cet étrange comportement, le vétérinaire de Six Fours les Plages l'a fournie :
"Les tourterelles savent, depuis longtemps, qu'ici c'est la maison du Bon Dieu. On y trouve à manger tous les jours, et personne n'effarouche les oiseaux. Les gens qui l'habitent ne peuvent être que de braves gens, bons et généreux, auxquels on peut faire confiance. Alors c'est ici que, le moment venu, on peut trouver de l'aide et, peut-être même, mourir paisiblement."

Déposé par nikita le 01/05/2014  

Juste pour toi ma petite maman d'amour
Un joli bouquet de muguet cueilli avec tout mon cœur
Moi DOUDOU ton joli prince, en te l offrant je te souhaite que du bonheur
Qu il t'enivre par son odeur
Et la tu te souviendras combien je t aime
En regardant ces petites clochettes blanches et crème
Tu sauras combien moi aussi je pense à toi
Et tu es dans mes pensées à moi
Ton DOUDOU qui vit dans ton cœur

Déposé par poutounou le 01/05/2014  
Le premier Mai n’est pas gai,
Je trime a dit le muguet,
Dix fois plus que d’habitude,
Regrettable servitude.
Muguet, sois pas chicaneur,
Car tu donnes du bonheur,
Pas cher à tout un chacun.
Brin d’muguet, tu es quelqu’un.
Quelques brins de muguet, quelques brins de douceur pour apporter joie et bonne humeur, pour porter chance et beaucoup de chaleur au cœur. Joyeux 1er mai.

Déposé par rafia le 30/04/2014  
Le vieux et son chien
S'il était le plus laid
De tous les chiens du monde,
Je l'aimerais encore
A cause de ses yeux.
Si j'étais le plus laid
De tous les vieux du monde,
L'amour luirait encore
Dans le fond de ses yeux.
Et nous serions tous deux,
Lui si laid, moi si vieux,
Un peu moins seuls au monde
A cause de ses yeux.
Pierre Menanteau
( Ce que m'a dit l'alouette )
,

Déposé par myriam31 le 29/04/2014  
Pour toi bel ange, avec plein de bisous pour toi et ta maman ainsi que toute sa famille
Joli mois de Mai…
Quelques brins de douceur
Quelques brins de bonheur
Pour apporter la chance
Et la joie à ceux qui t’aiment.
Je vous offre ce poème,
C’est bien peu
Mais c'est avec mon coeur
Que je vous souhaite
Toute une année de bonheur
De milliers de brins de muguet,
je recouvre ta jolie frimousse
Que ces clochettes t’apportent
Douceur, bonheur au paradis.
.Bien amicalement la maman de BB Lucky

Déposé par poutounou le 28/04/2014  
Un chien nous aime pour ce que l’on est.
Levez-vous un matin, les cheveux en bataille,
Le teint pâle, les yeux cernés,
Ne vous maquillez pas,
Ne vous habillez pas,
Ne vous lavez pas.
Allez voir votre chien.
Il vous aimera telle que vous êtes.
Il vous fera la fête,
Vous aurez droit à une léchouille.
Telle que vous êtes.
Et oui, pas bête la bête……
Elle vous aime comme vous êtes.
Vous n’entendrez pas :
« Qu’est-ce que t’as mauvaise mine ! »
« Tu aurais pu te passer un coup de peigne »
Ou encore : « Tu sens la transpiration ».
Non ! En face de vous,
Il y aura ce regard doux et aimant,
Qui ne juge pas,
Mais qui vous aime fort,
Telle que vous êtes,
Avec tous vos « petits » défauts…..
Et ça fait du bien, énormément de bien,
D’être aimé de la sorte.

Déposé par rafia le 27/04/2014  

Pauvre chien!
Un bon chien protecteur, qui adorait ses maîtres et ne vivait que pour eux, fut soudainement exclu du foyer par un chaton un peu trop idolâtré.
Ce petit chat sans scrupule, qui faisait les quatre cents coups, n'était jamais en tort ;sa beauté et son mignon minois ne laissant présager que câlinerie et tendresse .
Pauvre chien!
On l'a remisé à la niche, ne lui permettant même plus accès
à ce domicile et à ceux qu'il aimait tant.
Mais qu'avait-il donc fait!!!!
Lui qui avait toujours pris soin de ce petit monde; le courageux,
le bienfaiteur et l'ami sans reproche...
Il est vrai que son physique n'était pas vraiment élégantmais
son intérieur était des plus nobles.
Prenant son courage à deux mains,
il alla voir le nouveau compagnon
de ses maîtres et lui demanda:
"Je suis encore à me demander ce que
j'ai pu donc faire pour être
méprisé à ce point, pourrais-tu me le dire? ".
Mais c'était en vain,
car l'autre riait aux éclats devant toute cette souffrance.
Un beau jour, deux voleurs entrèrent dans la maison
et assaillirent ses vieux amis.
N'écoutant que son courage,
il entra donc et les sauva.
Alors il retrouva sa place dans
le coeur de ses maîtres.
Il reprit sa place perdue, mais à quel prix!!!!
Aura-t-il toujours à se surpasser pour plaire aux siens
et pour se faire aimer ?
La blessure de leur nonchalance se cicatrisera-t-elle?
Il est beaucoup plus facile d'aimer ce que l'on voit,
on associe trop facilement la beauté à la bonté.
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Ce texte très émouvant et touchant
Donc je voulais vous le faire découvrir
Il vient de chez frizou
source *****http://www.frizou.org,

Déposé par rafia le 25/04/2014  

J’imagine le Paradis canin...
Toute une immensité
Avec des bougainvilliers
Et des albizias en fleurs
J'imagine des petits sentiers
Où il fait bon flâner
Dans des allées ombragées
Et aussi des ruisseaux
Qui font chanter leurs eaux,
Des milliers de fleurs
De toutes les couleurs,
Qui embaument l'air.
De leur parfum suave.
Des aboiements polis
Qui racontent leurs vies,
Des souvenirs lointains
De leur vie chez les humains
Des inégalités
Et souvent des regrets.
L’envie de revenir
Qui vient les assaillir…
Une ombre furtive,
Image captive,
Un souffle de bonheur
Tout au fond de leurs cœurs.
Et tous les maltraités
Aujourd’hui consolés,
Oublient tous ces colliers
Qui souvent les étranglaient,
Rêvent de caresses
Et du mot « tendresse »
Le soir à la veillée
Près d’un feu allumé.
Les chiens abandonnés
Lâchement condamnés,
Ceux de la S.P.A
Des refuges, ts les traumatisés
Et tous ceux
Qui ont été tellement aimés
Qui nous font tant pleurer
Quand ils s’en vont soudain
Nous laissant le chagrin
Et ce vide sans fin
Lorsque chaque matin
On ne voit plus son trésor canin.
Au Paradis des chiens
Ils se sentent bien
Ts nos trésors canins
Ce sentiment d’amour
Qui dure pour toujours
Est au creux de leurs cœurs
Dans un écrin sans peur.
Car ils sont tous partis
Bien malgré eux
La vie les a quittés
Les aimés/aimées regrettent
Leur vie sur terre
Et leur bonheur enfui.
Mais au paradis des canins
Ils savent que tout est bien.
Ils ont trouvé des copains.
Au paradis des canins
Règne l'égalité
Plus de crainte d'être maltraité/e.
Tout se passe ds la dignité
Et la paix.
Mais même si ns les savons heureux
Ici bas...ns, ns sommes très malheureux.
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Excellent WE ma précieuse Martine
Mille bisous et mercis.
Votre amie Maryem,

Déposé par poutounou le 25/04/2014  
Effeuillons la marguerite :
Je t’aime
Un peu
Beaucoup
Passionnément
A la folie
Arrêtons-nous là ! On ne peut pas aimer plus qu’à la folie….




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Tu es beau mon Doudou
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Départ en vacances
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Doudou et Larry à la campagne
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Doudou,Larry et moi en vacances
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