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In tribute to
Tétine
BOULEDOGUE-FRANCAIS
Born on :06/11/2008
left us on:02/05/2020

Ma Tétine, tu es partie rejoindre ta fille Georgette et ton amour Cupidon. Je ne pensais pas que tu partirais si vite. Tu as été opérée en urgence hier car tu n'allais pas bien mais le vétérinaire a vu que tu avais des métastases au foie et nous ne t'avons pas fait réveiller. Je regrette de ne pas avoir été à tes côtés pour ce moment. Je sais que ça a du être une grande fête de retrouver ta famille dans l'autre dimension et que tu as retrouvé ta vue. Mais tu voyais avec ton coeur, tu avais tellement une belle âme. Tu étais une très bonne maman et j'étais admirative de te voir si heureuse et confiante alors que tu avais perdu tes yeux. Je t'aime ma Twiny
Il me tarde de vous revoir de l'autre côté...
Vous pouvez voir une video hommage sur YouTube A Dieu Tétine ma chienne




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429 messages

left by poutounou on 19/05/2024  
Oui mon Ange, tu es devenu mon « refuge préféré »… !!!
*
Mon refuge préféré
*
Ma vie est comme cette maison,
En ruines, abandonnée, négligée,
Elle respire le chaos, l’amertume,
Elle aspire à l’abandon, au vide.
*
Ma vie est comme ce vaste monde,
Opportunités et ressources infinies,
Gâchée, pillée, éventrée et défigurée,
Elle se déroule lasse et imperturbable.
*
Ma vie est comme ces multiples doutes,
Qui m’assaillent, me tourmentent encore,
Acceptations, désirs et éternels dilemmes,
Elle s’accommode de ces maints regrets.
*
Ma vie est comme cet havre de paix,
Si souvent parfaite, si tant généreuse,
Qu’elle me semble factice et alarmante,
Au point de redouter tant de maux à venir.
*
Ma vie est comme ces labyrinthes secrets,
À la croisée de mille chemins traversants,
À la lisière de tant de belles rencontres,
Quel chemin suivre ? Quel destin choisir ?
*
Ma vie est comme ce tendre souvenir,
Rejouant cent fois cette même séquence,
Quand tu m’as serré fort dans tes pattes,
Cet instant où tu es devenu… mon refuge préféré.
*
Nashmia Noormohamed, 2016

left by poutounou on 15/05/2024  
Pluie de Printemps
*
Pluie de Printemps tombe du ciel
parfumée au Soleil qui vient pointer son nez
Les plantes sourient à la lueur du jour
Et viennent offrir leur coeur à ces gouttes semées
*
Pluie de printemps, plus belle que l’Automne
Vient rafraîchir les coeurs, vient inonder les coeurs
Et bientôt donne tout ce qu’attend la Nature
L’Eau si précieuse et pure pour tout recommencer
*
Elodie Santos, 2009

left by poutounou on 12/05/2024  
Notre « chemin à deux », sous la même ombrelle, si fusionnels…
*
Le chemin à deux
*
Deux routes parallèles,
Jamais ne se touchent,
Un choeur si fusionnel,
Qui jamais ne s’abouche.
*
Deux vies nouvelles,
Parfois s’entremêlent,
Un fossé, une bretelle,
Un lien, une passerelle.
*
Deux rails, une échelle,
À l’assaut du temps, filent,
Deux esprits, une étincelle,
À l’assaut du vent, graciles.
*
Deux forces, aussi belles,
Amies et complices réelles
Deux êtres, aussi rebelles,
Là, sous la même ombrelle.
*
Nashmia Noormohamed, 2016

left by poutounou on 08/05/2024  
La patte de ton chien, serre-la si fort…
*
La main des dieux, tu peux refuser de la prendre
*
La main des dieux, tu peux refuser de la prendre.
La main du mendiant, tu peux aussi.
Toutes les mains qui frôleront la tienne, tu peux les oublier.
La main de ton ami, ferme les doigts sur elle, et serre-la si fort
que le sang de ton cœur y batte avec le sien au même rythme.
*
Sabine Sicaud, Les poèmes de Sabine Sicaud, 1958 (Recueil posthume)

left by poutounou on 05/05/2024  
Joli chardonneret, tu es venu me dire que l’Amour est devant…
*
Oiseau de Printemps
*
Joli Chardonneret, tu es sorti de l’ombre
Posé sur la rembarde pour venir me chanter
Une ode à la Nature, au Soleil, au Printemps
Tu es venu me dire que l’Amour est devant
*
Saute, vrille, vole
Et mange toutes les graines que je t’ai données
Reviens sur mon balcon, recommence ton chant
Qui m’envahit toute entière
Ces matins des beaux jours
*
Joli Chardonneret je te veux sur ma route
dans ma jolie campagne
au pied de mon balcon
*
Elodie Santos, 2009

left by choupinou on 02/05/2024  
TETINE de ta famille à toi
Mon Ange, en ces lendemains de ton jour anniversaire
Toi, mon île,
L'étincelle qui m'éveille chaque matin,
Car ma première pensée est pour toi.
Elle apporte la chaleur en mon coeur
Et souligne mes lèvres d'un sourire...
...je sais que tu es là.
Mon Ange,
Toi, mon univers,
La tendre présence qui accompagne mes jours.
Même lorsque tu es loin de mes yeux
Mon esprit reste emplit de toi...
...je sais que tu es là.
Mon Ange,
Toi, mon Eden,
Cette douce lumière qui envahit mes nuits,
Veille silencieusement sur mon sommeil
Et chasse les ombres de mes songes...
...je sens que tu es là.
Je t'aime plus que tout
J'aimerai trouver d'autres mots...
J'aimerai de mes doigts,
Avec le fil de mon amour,
Broder sur ta peau,
L'image de ma passion

left by poutounou on 02/05/2024  
Une odeur, un geste, une musique, un endroit, et tu es là, auprès de moi… !!!
*
QU'UN VOILE
*
Il n'y a qu'un voile,
qu'un voile qui nous sépare.
Il y a un souffle qui nous unit, celui des âmes,
si doux, si fin, si persistant,
"Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix.
"Il n'y a que ce voile qui nous sépare
et tu me sens parfois".
Une odeur, un geste, une musique, un endroit,
et je suis là, auprès de toi ;
tu m'entends rire, discourir de ce qui était.
Désormais c'est un trésor au fond de toi.
Il n'y a qu'un voile si fin pourtant si infranchissable,
impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà.
Nul ne doit savoir,
on n'en revient pas,
c'est l'éblouissant interdit.
Mais, pour les cœurs, la frontière n'existe pas,
l'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel.
L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment.

left by poutounou on 01/05/2024  
Petit brin de Bonheur…
*
Très tôt dans la matinée,
Du pied droit, je me suis levée.
Mes gros sabots aux pieds,
Dans mon jardin, je suis allée,
Pour y cueillir des brins de muguet,
Recouverts de rosée.
*
Tintinnabulez, tintinnabulez !
Jolies clochettes de Mai.
Epandez vos douces senteurs
Jusque dans nos cœurs.
Et déposez dans chaque foyer
Un océan d’amour et d’amitié.
*
Je t’envoie, merveilleux Ange, un beau brin de muguet de mon jardin. Garde-le bien au chaud, tout contre ton cœur, car il porte Bonheur… Amitié, santé et joli brin de muguet à ta famille de cœur aussi…

left by poutounou on 28/04/2024  
Les Roses
*
Le Printemps rayonnant, qui fait rire le jour
En montrant son beau front, vermeil comme l’aurore,
Naît, tressaille, fleurit, chante, et dans l’air sonore
Éveille les divins murmures de l’amour.
*
O Sylphes ingénus, vous voilà de retour!
De mille joyaux d’or la forêt se décore,
Et blanche, regardant les corolles éclore,
Titania folâtre au milieu de sa cour,
*
A travers l’éther pur dont elle fait sa proie,
Tandis que la lumière, éclatante de joie,
Frissonne dans la bleue immensité des cieux.
*
Beauté qui nous ravit avec tes molles poses,
Dis, n’est-ce pas qu’il est doux et délicieux
De plonger follement ta bouche dans les roses ?
*
Théodore de Banville,

left by poutounou on 27/04/2024  
Désolée pour ma petite « absence » du cimetière, due à un petit problème d’ordinateur. Me revoilà… !!!
*
A quel beau songe évanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange...
*
Pensée perdue
*
Elle est si douce, la pensée,
Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
D'une vision commencée
S'éveiller tout à coup distrait.
*
Le coeur dépouillé la réclame ;
Il ne la fait point revenir,
Et cependant elle est dans l'âme,
Et l'on mourrait pour la finir.
*
A quoi pensais-je tout à l'heure ?
A quel beau songe évanoui
Dois-je les larmes que je pleure ?
Il m'a laissé tout ébloui.
*
Et ce bonheur d'une seconde,
Nul effort ne me l'a rendu ;
Je n'ai goûté de joie au monde
Qu'en rêve, et mon rêve est perdu.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)

left by poutounou on 24/04/2024  
Tu es tout ça, adorable Ange !!!
*
MON ANGE ADORÉ
*
Tu es mon oxygène,
Tu es la joie que je promène,
La force qui brise mes chaînes,
L'indispensable qui coule dans mes veines.
*
Tu es l'objet de mon existence,
L'ange pur de l'innocence,
Mon étoile de bienveillance,
Plus qu'un espoir et plus qu'une chance.
*
Tu es ma mélodie,
La douceur de mes nuits,
Les couleurs de ma vie,
Le bonheur à l'infini.
*
- Elodie -

left by poutounou on 21/04/2024  
Au nom d’un malaise
*
Au nom d’un malaise,
La peine m’a assaillie,
Et s’en est allée la vie.
Au nom d’un malaise,
J’ai vécu sans amis,
Et ils sont tous partis,
Peine à vivre,
Vivre à peine,
Au nom d’un malaise…
*
Nashmia Noormohamed, 1999

left by poutounou on 17/04/2024  
Amis
*
Sans se consumer
se posent nos mains
sur l’épaule du Temps
Se lèvent sur son visage
le jour
les souvenirs
essaim de papillons
Malgré les rides importunes
avec nos rires d’antan
pour tout bagage
dans la mémoire rebelle
l’on voyage
Nos voix aussi
sont les mêmes
L’aridité de l’âge
ne les a pas taries
Elles coulent toujours
dans cette oasis de l’amitié
où vieillir est un mirage
*
Kamal Zerdoumi

left by poutounou on 14/04/2024  
Sois le bienvenu « Rire du printemps » !
*
Le printemps
*
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses des lilas fleurissent.
Les amantes qui te chérissent
Délivrent leurs cheveux flottants.
*
Sous les rayons d’or éclatants
Les anciens lierres se flétrissent.
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses de lilas fleurissent.
*
Couchons-nous au bord des étangs,
Que nos maux amers se guérissent !
Mille espoirs fabuleux nourrissent
Nos coeurs gonflés et palpitants.
Te voilà, rire du Printemps !
*
Théodore de Banville

left by poutounou on 10/04/2024  
Rien ne nous séparera jamais…
*
Abri
*
Dans les lignes de ta patte
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et que nous avons même destin.
*
Dans les lignes de ta patte
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
*
Dans le creux de ta patte
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme, comme un baume.
*
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978

left by poutounou on 07/04/2024  
Que c’est beau : « L’âme est immortelle et hier c’est demain »
*
Hier c’est demain…
*
Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les chiens, les lauriers et les roses.
*
Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.
*
De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,
*
On s’approche, on sourit, la « patte » touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
*
Alfred de Musset

left by poutounou on 03/04/2024  
Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l’azur calme et doux…
*
Avril
*
Lorsqu’un homme n’a pas d’amour,
Rien du printemps ne l’intéresse ;
Il voit même sans allégresse,
Hirondelles, votre retour ;
*
Et, devant vos troupes légères
Qui traversent le ciel du soir,
Il songe que d’aucun espoir
Vous n’êtes pour lui messagères.
*
Chez moi ce spleen a trop duré,
Et quand je voyais dans les nues
Les hirondelles revenues,
Chaque printemps, j’ai bien pleuré.
*
Mais depuis que toute ma vie
A subi ton charme subtil,
Mignonne, aux promesses d’Avril
Je m’abandonne et me confie.
*
Depuis qu’un regard bien-aimé
A fait refleurir tout mon être,
Je vous attends à ma fenêtre,
Chères voyageuses de Mai.
*
Venez, venez vite, hirondelles,
Repeupler l’azur calme et doux,
Car mon désir qui va vers vous
S’accuse de n’avoir pas d’ailes.
*
François Coppée,

left by poutounou on 01/04/2024  
C’est un peu long à lire, mais quel joli conte que celui-ci !!! Bon lundi de Pâques à vous tous… Ah oui, je veux la même poule !!!
*
Le secret des oeufs de paques
*
Il était une fois un petit pays tranquille où, lorsque le printemps s'annonçait, les gens, dans chaque village, organisaient un grand marché. Ils enfilaient leur costume de fête et s'installaient sur la place principale pour vendre ce qu'ils avaient produit de meilleur ou de plus beau :
des couronnes de brioche ou de pain doré,
des oeufs,
des outils de bois sculpté,
des ceintures de cuir ...
La nature elle-même participait à l'événement. Les pommiers s'habillaient de blanc, les papillons défroissaient leurs ailes et les fleurs leurs pétales.
Un jour, au centre d'un de ces villages, comme d'habitude à cette époque, des fermières comparaient les oeufs de leur poulailler. C'était à qui aurait les plus gros, les plus ronds ou les plus blancs.
Seule une vieille femme se taisait. Elle ne possédait pour toute fortune qu'une petite poule maigrichonne qui ne lui avait donné que trois petits oeufs pas plus gros que des billes.
*
La vieille femme soupirait :
Je suis pauvre, ma poulette, que je t'ai mal nourrie et que tes oeufs sont tout juste bons à offrir aux enfants pour jouer aux billes.
Comme il faut cependant que je vende quelque chose afin de gagner quelques sous, c'est toi que je vais être obligée de mettre à l'étalage...
*
A ces mots, la petite poule se mit à crier :
Pitié, ma bonne dame ! Je ne veux pas finir rôtie. Si vous me gardez, je vous promets de pondre l'année prochaine les oeufs les plus extraordinaires !
*
La vieille femme n'en crut rien, mais elle se laissa attendrir et rentra chez elle avec sa poulette. Une année passa. Et la vieille femme, de plus en plus pauvre, n'avait que quelques poignées de riz à donner à sa petite poule en guise de nourriture.
Le jour du marché approchait et la petite bête dépérissait. Elle comprit qu'elle ne pouvait pondre des oeufs plus gros que ceux de l'an passé et , désespérée, elle alla se cacher dans un champ pour se lamenter :
Que vais-je devenir si je ne suis pas capable de donner à ma maîtresse que trois petits oeufs tout juste bons à offrir aux enfants pour jouer aux billes ? Cette fois, elle sera forcée de me vendre, et je finirai dans l'assiette d'un gros fermier !
Tout à sa peine, elle ne se rendit pas compte que les fleurs et les papillons l'écoutaient
Nous ne laisseront pas faire cela ! chuchotèrent-ils.
A la nuit tombée, les fleurs se couchèrent sur le sol, formant une sorte de litière multicolore au creux de laquelle se blottit la petite poule. Puis les papillons étendirent leurs ailes sur elle comme une couverture bruissante et bariolée.
Au matin, lorsqu'elle se réveilla, la poulette se sentit fraîche, dispose, et même si ragaillardie qu'elle se mit à chanter et pondit une demi-douzaine d'oeufs.
Et ces oeufs-là n'étaient pas ordinaires ! Ils n'étaient toujours pas bien gros, mais ils possédaient toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Et même, à y regarder de près, on pouvait voir sur leur coquille de très jolis dessins comme on peut en admirer sur les ailes des papillons.
Toute heureuse, la petite poule courut chercher sa maîtresse. Celle-ci examina les oeufs un par un avant de les ranger dans son tablier :
Tu as tenu ta promesse. Ce sont bien les oeufs les plus extraordinaires que l'on puisse voir ! J'ai eu raison de ne pas te vendre !
*
Le jour du marché, les oeufs de la vieille femme attirèrent les curieux. On se bouscula pour les acheter et la pauvre fermière récolta plus de pièces d'argent qu'elle n'en avait jamais eues dans sa vie.
Depuis ce jour, chaque année, dans ce petit village, puis dans tout le pays, et même dans les contrées voisines, les gens essayèrent de copier les oeufs de la vieille dame en peignant et décorant les leurs. Mais ils ne réussirent jamais à les égaler en couleurs et en délicatesse, car la petite poule, les fleurs des champs et les papillons gardèrent bien leur secret.
C'est ainsi que, chaque année, lorsque s'annonce le printemps, on prit dans ce petit pays et ensuite dans le monde entier l'habitude de décorer les oeufs ....

left by poutounou on 31/03/2024  
Matin de Pâques
*
Dig, ding, don ! Dig, ding, don !
Sonnez matines, Frères Jacques !
Dig, ding, don ! Dig, ding, don !
Sonnez le carillon de Pâques !
Dig, ding, don ! Dig, ding, don !
Cloches, clochettes et bourdons,
Par ce matin clair et sonore,
La poulette jaune picore
Un grain d’or par-là, un grain par ci,
Et se promène sans souci.
*
Fais-nous vite un œuf ma poulette,
A la coquille blanche et nette,
Ou plutôt… Tiens ! Oui c’est cela,
Fais-nous un œuf en chocolat.
*
Daniel Roth
*
Je souhaite à tous les anges du Paradis blanc ainsi qu'à leur famille de coeur de Joyeuses fêtes de Pâques avec plein de chocolat et d'oeufs multicolores, miam, miam, slurp....Hier ils ont tous fêté Pâques dans la grande prairie avec des mets tous plus succulents les uns que les autres. Qu'il fait bon vivre dans ce "Paradis blanc" où tout n'est qu'Amour et où il n'y a pas de place pour la méchanceté, la torture, l'abandon et toutes ces "choses" si négatives que l'on trouve sur terre...
*
Je souhaite également, à tous les membres du cimetière virtuel, une bonne santé, car c'est le plus important : sans la santé rien ne va....alors "Super santé" à vous tous...
*
Amicalement,
*
Martine

left by poutounou on 27/03/2024  

QUARTIER LIBRE
*
J'ai mis mon képi dans la cage
et je suis sorti avec l'oiseau sur la tête.
Alors,
on ne salue plus ?
a demandé le commandant.
Non,
a répondu l'oiseau.
Ah bon !
excusez-moi, je croyais qu'on saluait,
a dit le commandant.
Vous êtes tout excusé, tout le monde peut se tromper
a dit l'oiseau.
*
Jacques Prévert - Paroles




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