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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERA BB LUCKY
Il est né le:24/08/1995
Il nous a quittés le:21/09/2010
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Déposé par poutounou le 06/10/2024L’automne est là !!! Il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr... * L'automne * Voici venu le froid radieux d’octobre : Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ; Mais la maison a l'air sévère, ce matin, Et le laisse dehors qui sanglote au jardin. * Comme toutes les voix de l'été se sont tues ! Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ? Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois Que la bise grelotte et que l'eau même a froid. * Les feuilles dans le vent courent comme des folles ; Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent, Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir sur les étangs demain. * Le silence est léger et calme ; par minute Le vent passe au travers comme un joueur de flûte, Et puis tout redevient encor silencieux, Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux * S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes, Et la vieille maison qu'il va transfigurer Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par colombine67 le 06/10/2024Entre quatre murs. Je suis né entre quatre murs. Une petite pièce calme, sombre et tiède. Ma mère, mes frères et sœurs. L’odeur sucrée du lait. Je dormais, je mangeais. Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins. J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes. C’était mon petit univers. Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi. J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde. Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait souvent accompagné d’autres bipèdes, qui nous parlaient, nous touchaient, nous examinaient sous toutes les coutures. Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent commençait à pointer le bout de son museau : la peur. Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence de ma curiosité insatiable de chiot. Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes. Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle. Je me souviens avoir beaucoup pleuré. Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie. Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse : ces odeurs inédites, ces bruits inconnus, la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante, c’était inquiétant mais tellement stimulant ! Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie faite d’exploration et d’aventures excitantes. J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action, de l’action et encore de l’action. On m’a installé entre quatre murs. C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né. Il y avait même quatre murs dehors au-dessus desquels régnait un grand ciel bleu. J’avais toujours connu un toit sur ma tête, et j’étais un peu effrayé par cette immensité. Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace. À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe et chaque insecte rampant ou volant. À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud, mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi. Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie. Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils ne parvenaient pas toujours à me comprendre. Et puis, je ne les voyais pas beaucoup : ils partaient le matin et rentraient le soir. Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux. La maison était spacieuse, le jardin était vaste. Mais je commençais à y éprouver un sentiment qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui. Je connaissais ma maison par cœur, et mon jardin sur le bout des griffes Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux. La souffrance, invisible aux yeux de mes humains, commençait à s’insinuer en moi. J’ai vécu entre quatre murs. Je pensais que le monde était plus vaste. J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison et au jardin de mes deux-pattes. Mes bipèdes me nourrissait , me caressait, j’avais même le droit de me coucher contre eux quand ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs. Mais ils semblaient insensibles à ma douleur. Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse. J’aboyais beaucoup, au moindre bruit, parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée. Je creusais beaucoup dans le jardin, pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol. Mes deux pattes se fâchaient, mais mon besoin d’activité grondait lui aussi. Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos que j’arrivais à évacuer ma frustration. Je suis mort entre quatre murs. J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie. Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui. J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création, j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur. Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris une vie faite d’action et de découvertes. Mais on m’a enfermé dans une cage. Une grande cage, avec des barreaux en or massif. Ma mort a été à l’image de ma vie : je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux, dans le confort d’un salon. Mon histoire est loin d’être unique : elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce. Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir : nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs. Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook, ni le bonheur de lire un bon livre. Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors, au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier. Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil a laissée en escaladant un tronc d’arbre. Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés. Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents. Et je crois bien, humains, que vous êtes en train d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre. Elsa Weiss |
Déposé par colombine67 le 06/10/2024Entre quatre murs. Je suis né entre quatre murs. Une petite pièce calme, sombre et tiède. Ma mère, mes frères et sœurs. L’odeur sucrée du lait. Je dormais, je mangeais. Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins. J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes. C’était mon petit univers. Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi. J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde. Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait souvent accompagné d’autres bipèdes, qui nous parlaient, nous touchaient, nous examinaient sous toutes les coutures. Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent commençait à pointer le bout de son museau : la peur. Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence de ma curiosité insatiable de chiot. Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes. Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle. Je me souviens avoir beaucoup pleuré. Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie. Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse : ces odeurs inédites, ces bruits inconnus, la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante, c’était inquiétant mais tellement stimulant ! Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie faite d’exploration et d’aventures excitantes. J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action, de l’action et encore de l’action. On m’a installé entre quatre murs. C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né. Il y avait même quatre murs dehors au-dessus desquels régnait un grand ciel bleu. J’avais toujours connu un toit sur ma tête, et j’étais un peu effrayé par cette immensité. Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace. À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe et chaque insecte rampant ou volant. À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud, mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi. Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie. Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils ne parvenaient pas toujours à me comprendre. Et puis, je ne les voyais pas beaucoup : ils partaient le matin et rentraient le soir. Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux. La maison était spacieuse, le jardin était vaste. Mais je commençais à y éprouver un sentiment qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui. Je connaissais ma maison par cœur, et mon jardin sur le bout des griffes Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux. La souffrance, invisible aux yeux de mes humains, commençait à s’insinuer en moi. J’ai vécu entre quatre murs. Je pensais que le monde était plus vaste. J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison et au jardin de mes deux-pattes. Mes bipèdes me nourrissait , me caressait, j’avais même le droit de me coucher contre eux quand ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs. Mais ils semblaient insensibles à ma douleur. Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse. J’aboyais beaucoup, au moindre bruit, parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée. Je creusais beaucoup dans le jardin, pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol. Mes deux pattes se fâchaient, mais mon besoin d’activité grondait lui aussi. Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos que j’arrivais à évacuer ma frustration. Je suis mort entre quatre murs. J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie. Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui. J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création, j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur. Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris une vie faite d’action et de découvertes. Mais on m’a enfermé dans une cage. Une grande cage, avec des barreaux en or massif. Ma mort a été à l’image de ma vie : je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux, dans le confort d’un salon. Mon histoire est loin d’être unique : elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce. Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir : nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs. Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook, ni le bonheur de lire un bon livre. Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors, au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier. Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil a laissée en escaladant un tronc d’arbre. Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés. Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents. Et je crois bien, humains, que vous êtes en train d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre. Elsa Weiss |
Déposé par spanky le 04/10/2024Il s’en est passé des automnes depuis que tu t’en es allé... Les feuilles tombent monotones... --- Et mes yeux n’ont jamais cessé De verser des larmes le soir Et de sourire chaque matin, C’est dur d’avancer dans le noir Et de supporter ce chagrin... --- Il s’en est passé des automnes, Des heures auxquelles je me cramponne Pour avancer coûte que coûte Au travers des pierres sur ma route... --- Pourtant je sais que tu es là Que tu ne m’abandonnes pas, Même si parfois le désespoir Me nargue au travers du miroir... ---- Auteur inconnu --- |
Déposé par spanky le 02/10/2024La mort dit à l'homme... ----- Voici que vous avez assez souffert, pauvre homme, Assez connu l'amour, le désir, le dégoût, L'âpreté du vouloir et la torpeur des sommes, L'orgueil d'être vivant et de pleurer debout... --- Que voulez-vous savoir qui soit plus délectable Que la douceur des jours que vous avez tenus, Quittez le temps, quittez la maison et la table ; Vous serez sans regret ni peur d'être venu. --- J'emplirai votre coeur, vos mains et votre bouche D'un repos si profond, si chaud et si pesant, Que le soleil, la pluie et l'orage farouche Ne réveilleront pas votre âme et votre sang. --- Pauvre âme, comme au jour où vous n'étiez pas née, Vous serez pleine d'ombre et de plaisant oubli, D'autres iront alors par les rudes journées Pleurant aux creux des mains, des tombes et des lits. --- D'autres iront en proie au douloureux vertige Des profondes amours et du destin amer, Et vous serez alors la sève dans les tiges, La rose du rosier et le sel de la mer. --- D'autres iront blessés de désir et de rêve Et leurs gestes feront de la douleur dans l'air, Mais vous ne saurez pas que le matin se lève, Qu'il faut revivre encore, qu'il fait jour, qu'il fait clair. --- Ils iront retenant leur âme qui chancelle Et trébuchant ainsi qu'un homme pris de vin ; Et vous serez alors dans ma nuit éternelle, Dans ma calme maison, dans mon jardin divin... ---- Anna de NOAILLES (1876-1933) ---- |
Déposé par poutounou le 02/10/2024Le bonheur c'est... * Le bonheur c’est... : • de savoir s’émerveiller peu importe son âge • de rire de bon coeur en agréable compagnie • de savoir dire « je t’aime » • de se planifier des moments de tendresse • de savoir relever des défis, même si cela me fait peur • d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner • de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement • de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments • de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire • d’être maître de soi et non des autres • de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie • de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte. * Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, N’oublie pas de le cultiver Pour qu’il reste longtemps. * Anonyme |
Déposé par spanky le 30/09/2024Il vient de s’endormir, serré contre vous Vous l’avez mis dans vos bras, cette boule de tendresse, Sa tête était si douce, qui ne demandait que des caresses. --- Le vide est dans votre cœur et le froid dans votre corps Vous ne pouvez pas y croire, car il ne peut être mort. Dans votre tête défilent de si belles images Et cette queue qui remue tout le temps --- Ses courses dans les bois, ses virées dans la neige Où vous voyez au loin, son long beau pelage. Il aimait tant ses jouets, et il était si joyeux Il n’était que gaîté, dans le noir de ses yeux --- Il demeurait si sage, que partout il venait Et sa tendre présence, personne ne gênait. Il fit évidemment quelques minces bêtises Qui provoquèrent surtout, de fous rires quelques crises --- Une table de café, prenant tout son envol, Quelques verres de table ayant besoin de colle Un pouce retourné par un départ fougueux, Un tapis élimé par des pâtons rugueux. --- Et surtout quelques poils, qui ornaient sa parure Mais surtout tant d’amour, que vous vous êtes donnés Pendant ce temps si court. --- Il vous faut à présent assumer son départ Il était si présent, toujours auprès de vous Comment vous avez pouvoir, combler ce si grand émoi ? --- Pendant toutes vos années, vous l'avez tellement aimé, si fort Votre bébé, votre poussin... Vos plaisirs, vos chagrins, vous aimiez lui raconter Ses grands yeux dans les vôtres, il savait vous écouter --- Adieu ma puce, adieu mon tendre ami Adieu vos joies passées, adieu vos liens si forts Dans mon cœur tu resteras gravé à tout jamais Mon chien merveilleux, qu’à la folie vous aviez aimé. ---- |
Déposé par poutounou le 29/09/2024Partout, je t'ai vu, bel Ange... * Air vif * J'ai regardé devant moi Dans la foule, je t'ai vu Parmi les blés, je t'ai vu Sous un arbre, je t'ai vu * Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu * L'été, l'hiver je t'ai vu Dans ma maison, je t'ai vu Entre mes bras, je t'ai vu Dans mes rêves, je t'ai vu * Je ne te quitterai plus. * Paul Éluard ("Derniers poèmes d'amour") |
Déposé par spanky le 28/09/2024Un vétérinaire lève le voile sur l’euthanasie et raconte ce que fait un animal avant sa mort --- Par Cyril R. --- Lorsque nous prenons la dure décision d’euthanasier notre animal. L’accompagner jusqu’au bout peut certes être particulièrement éprouvant et dévastateur, mais pour ce vétérinaire, personne ne devrait fuir devant cette épreuve. Lorsque notre animal souffre trop, est trop âgé ou qu’il est trop tard pour le soigner, souvent le vétérinaire nous conseille l’euthanasie pour abréger ses souffrances. --- * Mais que fait notre animal avant de mourir? * Que se passe-t-il pendant ses dernières minutes ? --- Un vétérinaire lève le voile sur ces questions afin de sensibiliser tous les propriétaires d’un animal de compagnie. --- Le message a été relayé par le Hillcrest Veterinary Hospital, un cabinet vétérinaire situé à Durban, en Afrique du Sud. Regardez : --- « Lorsque vous êtes propriétaire d’un animal de compagnie, il est probable que celui-ci meure avant vous. --- Et lorsque vous devrez emmener votre animal chez le vétérinaire pour une fin humaine et sans douleur, je veux que vous sachiez tous quelque chose. Vous avez été le centre de son monde pendant toute sa vie ! --- Il fait peut-être partie de la vôtre, mais tout ce que lui connaît, c’est vous, sa famille. --- C’est une décision difficile à prendre à chaque fois et c’est dévastateur pour nous, humains, de le perdre. Mais je vous en prie, ne le laissez pas mourir seul. --- Ne le faites pas passer de la vie à trépas dans la chambre d’un étranger, dans un endroit qu’il n’aime pas. --- Ce que vous devez savoir, ce que l’on ne sait pas, c’est qu’il vous cherche quand vous le laissez seul !!!! Il regarde chaque personne dans la pièce pour retrouver la personne qu’il aime. --- Il ne comprend pas pourquoi vous l’avez quitté alors qu’il est malade, effrayé, âgé ou mourant et qu’il a besoin de votre réconfort. --- Ne soyez pas lâche parce que vous pensez que c’est trop difficile pour VOUS. Imaginez ce qu’il ressent lorsque vous le laissez seul au moment le plus difficile de sa vie, tandis que des gens comme moi sont seuls à faire de leur mieux pour le réconforter et essayer de lui expliquer pourquoi vous ne pouviez pas rester. --- De la part d’un vétérinaire fatigué au cœur brisé.» --- |
Déposé par spanky le 26/09/2024VIGILANCE SUR CARCÈS ET ALENTOURSAC --- TES DE CRUAUTÉ EXTRÊME SUR LES ANIMAUX ET PLUSIEURS DISPARITION. --- Voici Kyra.. Une petite Américan Bully de seulement 2 mois qui a disparu le 1er août 2024.. Son petit corps, a été retrouvée sans vie sur le toit d'une maison aujourd'hui.. Cette pauvre petite a été massacrée, il lui manque une partie du crâne, des queues de chats entière (arrachée) ont été retrouvée près d'elle.. Comment peut-on appeler ces individus "humains". Faites attention à vos animaux. Je prie pour que la justice fasse son travail et ouvre une enquête. Mes pensées les plus sincères vont à sa famille... Repose en paix petite Kyra. Tu ne souffriras plus jamais.. --- |
Déposé par poutounou le 25/09/2024Oui, tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", éditions Gallimard, 2000) |
Déposé par spanky le 24/09/2024Mon maître, --- Je sais la peine, je sais les pleurs Et les pensées Que les mots ne peuvent apaiser Je sais l'absence, je sais le manque Et les regrets Les souvenirs qu'il faut revivre Et partager Je sais tout ce qui est Pour toi Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix Où je vais Sois tranquille Ce n'est rien Sois tranquille J'en ai besoin Et je m'en sers Je me libère Enfin Je sais le temps, je sais les heures Les nuits passées Que les rêves ne peuvent soulager Je sais l'effort, et le courage A retrouver Se souvenir qu'il faudra vivre et continuer Je sais tout ce qui est Pour toi Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix Où je vais Sois tranquille Ce n'est rien Sois tranquille J'en ai besoin Et n'oublie pas N'oublie pas Je suis là Je suis là Tout va bien Et sois certain Où que tu sois je veille sur toi Mon maître adoré ---- |
Déposé par spanky le 22/09/2024Hommage à un grand monsieur ALAIN DELON, qui aimait et défendait la cause des animaux, décédé ce dimanche 18 aout 2024. "Je veux être enterré au milieu de mes bêtes " Plus de cinquante chiens ont partagé la vie d’Alain Delon, mais il a un attachement particulier pour le tout dernier: Loubo, un berger malinois. Alain Delon a pu compter sur le soutien de son animal de compagnie. Il comptait être enterré à ses côtés, ainsi qu'à proximité de tous les animaux qui l'avaient accompagné tout au long de sa vie. "Aujourd’hui, il y a trente-cinq tombes. Quand les chiens sont en couple, je les mets ensemble. Toute ma vie est là, dans ces tombes. Je veux être enterré au milieu de mes bêtes", avait-il indiqué auprès de Gala, en janvier 2018. Une ultime volonté respectée ? RESPECT |
Déposé par poutounou le 22/09/2024Qui nous surveille ??? Notre Ange peut-être !!! * Quelqu'un * De l'autre côté du miroir Quelqu'un nous épie Quelqu'un compte nos fils d'argent un à un. Quelqu'un regarde se serrer l'épervier des rides Quelqu'un nous garde Quelqu'un nous emporte Quelqu'un ouvre et ferme des portes à l'envers. Quelqu'un nous oublie Quelqu'un vend de l'espoir Quelqu'un au visage blanc ou doré de l'autre côté du miroir sur le tain de la nuit. Quelqu'un, quelqu'un, quelqu'un mais qui ? * Armand Lanoux ("La tulipe orageuse " Seghers 1959) |
Déposé par choupinou le 21/09/2024Je voudrais que tu reviennes, que tu grattes à la porte, et que j'entende ton jappement, pour me faire comprendre : regarde ce que je vais t'offrir, et j'ouvrirai, dans l'espoir, et tu seras là, bien revenu de la haut. Mais je sais que ce n'est qu'un rêve, et dieu sait comme il fait mal .... |
Déposé par choupinou le 21/09/2024DE TA FAMILLE A TOI BB LUCKY En ce jour anniversaire Je pose ici, mes pensées, mes mains sur mon clavier, histoire de ne pas oublier, les doux mots d'amour, de douleurs et de toujours, de penser à ces moments forts, que tu m'as donné, sans compter et de l'amour que nous avons partagé je suis là, en ce jour mon aimé pour te demander, de ne pas oublier. l'amitié d'un chien et son gardien d'une vie, d'une histoire, ce lien triste vérité, on s'est quitté, pour ce chemin que tu as du emprunter, et j'ai pleuré, tendre sincérité , mon être tout entier continu a t'aimer le vent souffle sur ces années, mais loin de toi, mon regard n'a pas changé je continue sans faille a te faire vivre dans mon coeur a l'infini, et je chavire, car je sais que tu es là au chaud a tout jamais une larme au coin des yeux, la tristesse m'envahit je sens ta chaleur qui me réchauffe et s'en va la pluie... |
Déposé par myriam31 le 20/09/2024Mon BB 14 ans déjà, le temps passe si vite , mais pas ma peine n'en est pas moindre, tu me manques toujours autant. le temps adoucit les pleurs, mais rien ne peut effacer ce 21 09 20210 ce jour cauchemardesque, où il a fallu prendre cette dure décision de te faire partir sans souffrance . je m'en souviens comme si c'était hier . Je sens encore ton petit corps tout chaud, et tes petits yeux qui me demandaient pourquoi ? mais comment faire dans une telle souffrance ? je sais que de là-haut tu m'as pardonné et tu veilles sur nous. Le petit Hooligan qui a bientôt 12ans nous remplit de joie mais ne me fait t'oublier car chaque petit chien est unique et tu étais un adorable BB. je t'aime mon petit chien repose en paix dans ton petit paradis au milieu des petits toutous. Au revoir mon Coeur... |
Déposé par spanky le 20/09/2024Chien et chat. --- Le chien avait promis de ne jamais le mordre Et le chat lui jura de ne jamais griffer Et depuis ce jour-là, on obéit à l'ordre Et le chien et le chat sont amis à jamais. --- On joue sur le tapis, on s'endort sous la table Le chat au creux des bras de son gentil toutou Des disputes ? Jamais ! On est toujours aimables On ronronne, on se lèche, on se fait les yeux doux. --- Minet n'a jamais su que certains chiens féroces Se jettent sur les chats pour leur briser les reins, Car le chien le regarde avec des yeux de gosse Heureux d'avoir trouvé le meilleur des copains! --- Oui, mais de temps en temps, on s'amuse à se faire Des blagues insensées qui font battre le cœur : Le chien aboie, le chat se jette, téméraire Sur le toutou ravi et qui feint d'avoir peur. --- Le petit chat tigré joue à être un grand fauve, Et quand le chien, parfois, aboie un peu trop fort, Alors notre tigrou, dans la chambre se sauve Et sur quelque coussin, épuisé, il s'endort ! ---- Michèle Corti --- |
Déposé par spanky le 18/09/2024Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ; Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lève encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchanté des yeux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d'ombre. Oh ! qu'ils aient perdu le regard, Non, non, cela n'est pas possible ! Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu'on nomme l'invisible ; Et comme les astres penchants, Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent : Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immense aurore, De l'autre côté des tombeaux Les yeux qu'on ferme voient encore. ---- |
Déposé par poutounou le 18/09/2024Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! Moi j’adorais jouer aux billes… * Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
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