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En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
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En hommage à
RUBENS
150 bougies
63029 Fleurs
Déposé par myriam31 une floraison de bisous et de câlins pour toi patit ange, et souhaiter un bon week-end à ta maman Déposé par myriam31 Nos chemins se sont séparés mais il reste dans nos cœurs de beaux souvenirs et l’empreinte de ces années de bonheur, affectueuses pensées à toi bel ange Déposé par zenelle "Nous ne pouvons pas avoir deux cœurs, un pour les hommes, un autre pour les animaux. Dans la cruauté envers l’un ou l’autre il n’y a aucune différence, sauf pour la victime." Lamartine (1790-1869) Déposé par rafia Malgré soi, la souffrance est une drogue, une fois qu'on tombe dedans on n'en ressort plus ! Anne-Flore Declerck Déposé par myriam31 un rayon de soleil, pour illuminer cette belle journée d'hiver, avec plein de calinous Déposé par rafia Sans illusions à perpétuité, que serions-nous donc ? C'est l'espoir qui nous mène, qui nous tient en vie. Claude Jasmin Déposé par LINCE34 un envol de tendres baisers qui viendront se déposer sur ton adorable frimousse rubens Déposé par rafia Tout ce qui est fait de grand ds le monde, est fondé sur l'ESPOIR...Martin Luther King |
6746 messages
Déposé par rafia le 27/04/2015Je suis un chien errant Et je n'en sais pas plus, Mais voilà cette voix Qui me tombe dessus, Une voix de poète Qui voulut me choisir Pour me faire un peu fête, Moi qui ne puis rien dire, Et qui n'ai qu'un aboi Pour un peu m'éclaircir Les brumes et la voix. Je ne veux pas sortir De mon obscurité, Je ne veux rien savoir D'une tête habitée Par des mots descendus De quelque hors-venu. Je suis un chien errant N'en demandez pas plus." Auteur inconnu |
Déposé par colombine67 le 26/04/2015La réalité de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inévitable, que la séparation d'avec votre meilleur ami, se fera à votre détriment. Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin, lisez ce petit testament canin, tiré du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la séparation sera venu. À mon maître, à ma maîtresse: Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon Ratté, (communément appelé Tango par mes parents amis et connaissances), dépose en secret dans l’âme de mes deux grands amis, mon maître et ma maîtresse, mon testament. J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais me regretteront le plus, à Daniel et Chantal qui ont été si bons pour moi. Peut être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de les réconforter dans la peine et de leur apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'à leur tendresse et à leur sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donné leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe t-il après? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu ma maîtresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même ma co-locataire, la chatte...) Gamine, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille. Aussi je conseille à ma maîtresse de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël. Un dernier mot à Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sûrement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez à moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos cotés: "Tango était un être qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon Âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Tango Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. La technologie a fait s'éloigné de l'homme certaines valeurs et émotions telle amitié, fidélité et tolérance. Si ces valeurs se sont éloignées de vous, procurez vous un chien, il vous ré-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout! Tout ce qu'il veut lui, c'est d'être votre meilleur ami. Daniel Ratté |
Déposé par rafia le 26/04/2015A mon chien Lorsque je l'ai vu naître Je l'ai pris pour enfant, C'était un petit être, Il était si charmant. Quand je l'ai vu grandir Ce fut mon compagnon, J'aimais le voir courir Dans toute la maison. Quand je l'ai vu vieillir Ce fut moi son enfant Bien qu'il sut m'obéir Toute sa vie durant. Quand je l'ai vu mourir, Je compris que ce jour Venait de s'accomplir La fin d'un bel amour Car tu me fus fidèle, Serviteur dévoué, Ton amour fraternel N'a pas démérité. Je t'aimais bien mon chien Ô, mon chien de berger, Et, pour toi, mon chagrin Ne saura s'effacer." Jack Harris |
Déposé par poutounou le 25/04/2015Coucou ma Puce, cela fait quelque temps que je ne t'ai écrit, mais cela ne m'empêche pas de penser fort à toi, Trésor, et ça tu le sais.... Petit filou d'Iron a 2 ans aujourd'hui. Il y a quelques jours en allant faire des courses, j'ai vu des jouets pour chien en promo. J'en ai profité pour acheter 3 balles de tennis et une corde avec balle et nœuds. Je sais par avance qu'il n'en fera qu'une bouchée, mais bon, c'est pour lui faire plaisir. Là il est en train de faire la sieste après le repas : je ne veux pas qu'il me fasse un retournement d'estomac en courant après avoir mangé. Quand il aura fini sa sieste, je lui donnerai son cadeau d'anniversaire. C'est toujours un sacré filou, mais il est un peu plus calme quand même. Il était temps.... Quant à moi, j'ai quelques problèmes de santé qui font que m'énerver. Début mai, j'ai un scanner de prévu, encore un. Après ils décideront s'il faut ou non m'opérer de la thyroïde. C'est un vrai parcours du combattant, tu sais : tu prends rendez-vous chez ton médecin traitant qui t'envoie chez le spécialiste ; donc, tu prends rendez-vous chez le spécialiste qui t'envoie faire un scanner ou autre ; tu téléphones pour le scanner ; on te donne rendez-vous 2 mois après. Cela fait des mois que je traine avec ce nodule dans la gorge. Si je me fais opérer, il faudra que je place Iron pendant quelques temps. Bernard ne peut pas s'en occuper tout seul. Heureusement, il y a de très bonnes pensions dans le coin. Enfin, on verra ce que l'avenir nous réserve.... Voilà mon poutounou d'amour na moi ! Je prends ta tête entre mes mains et te fais plein de bisous partout... Ta maman qui t'aime tout fort... |
Déposé par colombine67 le 25/04/2015LE JOUR OU TU AS TRAHI MON COEUR (merci à Laura P.) C'était un jour comme les autres car nous sommes partis en ballade Pour une belle promenade. Tu as ouvert le coffre de ta voiture Mais il n'y avait autour aucune nature, Pas une fleur, pas un oiseau chanteur. A un homme tu m'a confié, Sans même te retourner, Qui en cage m'a enfermé. Alors j'ai tellement attendu Qu'une idée m'est apparue : M'aurais tu oublié ou tout simplement abandonné? Là ou je suis, les jours comme les nuits sont semblables Et les minutes qui passent impitoyables. Mes rêves se changent en cauchemars Et ton souvenir semble loin dans ma mémoire. Mon regard s'est durci, et mon coeur s'est enlaidi. Dans le noir seul je garde espoir L'espoir de mon départ, celui de te revoir. Des gens sont venus et le chien dans la cage d'à côté leur a plu, Entre lui et moi ils ont hésités mais c'est lui qu'ils ont emmené. L'homme qui m'avait enfermé est revenu. Dans une pièce blanche il m'a emmené. A présent, je sais. Je sais que cette odeur est celle de la peur Et que je ne vais plus jamais repartir, Car c'est ici que partira mon dernier soupir. Oui je vais mourrir. Ma dernière larme sera pour toi, toi que j'ai tant attendu, toi qui n'est jamais revenu. Sache que moi, je ne t'oublierais jamais car, mon Cher Maître, moi de tout mon coeur je t'aimais. |
Déposé par larrydoudou le 24/04/2015Il est votre ami, votre associé, votre défenseur, Il est votre chien. Vous êtes sa vie, son amour, son leader, Il se fera fidèle et vrai, Jusqu'au dernier battement de son cœur. Vous lui devez d'être digne d'une telle dévotion. |
Déposé par poutounou le 24/04/2015Petit écho du matin * Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin, Alors qu’elle se reposait au banc du jardin. Figurez vous qu’il y a une véritable révolution ! Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons ! N’a t’on point vu, quelle étrange amourette, Sortir ensemble violette et pâquerette ! Il en est cependant que la nouvelle émoustille, N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ? Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon Qui comme chacun sait est un grand fripon . On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs…. Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps… Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est ! C’est le printemps ! |
Déposé par colombine67 le 24/04/2015 JE SUIS MORT SANS NOM Je suis mort sans nom Sans une marque d’affection… Je ne connais la définition Du mot humain émotion Que par la douleur de l’abandon. J’ai attendu si longtemps, D’hivers glaciaux en printemps, Un rayon d’espoir, et souvent Pétrifié dans le silence et le temps, J’ai voulu fuir ce tourment. Seul et apeuré dans ma cage, Je m’accrochais à ce mirage… De votre sourire, de votre visage Qui m’ont apporté courage L’instant d’un ciel sans nuage… Je me suis habitué à la faim, Au froid, à la peur du lendemain. Mais jamais, je le crains, De ne pas connaître enfin Le plaisir de lécher votre main. Mon corps martyrisé N’en pouvant plus de lutter, À bout de souffle et de fierté, C’est sans bruit et sans dignité Que je vous ai quittés. Une seule caresse aurait suffi À me permettre, sans bruit, De quitter mes amis. Qui encore aujourd’hui. Vous appellent dans la nuit. Je ne vous en veux pas De n’avoir entendu mon désarroi. J’avais pourtant en moi, Au fil des jours et des mois, La confiance, l’espoir et la foi. Même si j’ai hurlé dans la nuit, Tandis que mourraient mes petits, La souffrance et la maladie Ont eu raison aujourd’hui De mon instinct de survie. Ils ont tué mes espoirs De pouvoir un jour voir Le soleil et votre peignoir… De fuir mon désespoir… Fuir ma cellule dans le noir. Je suis venu et passé, Sans jamais être remarqué. Pourtant, je vous ai toujours espéré… Je ne demandais qu’à vous aimer… Pourquoi m’avez-vous abandonné? J’ai eu faim, j’ai eu froid, J’ai eu peur et malgré moi, De ce qui me restait de voix, Votre nom j’ai appelé mille fois… Où étiez-vous, dites-moi.. Ma carcasse incinérée Aura pour l’éternité Ce champ, ces fleurs et ce pré Que j’ai longtemps espéré, Et dont j’ai tellement rêvé. J’aurais aimé avoir un jouet, Un seul s’il-vous plait… J’aurais voulu courir et qui sait, Trébucher dans le gazon tout frais À vos côtés, fier et coquet… J’aurais dormi à vos pieds, L’hiver vous aurais réchauffé, La nuit vous aurais rassuré, Et sans jamais rien demander, Vous aurais écouté et aimé… Je suis mort triste et seul, Sans que l’on porte mon deuil. On m’a offert pour tout linceul, Un feu de paille et de feuilles, Je suis libre, délivré et encore seul… Ne m’offrez pas de fleurs… Retenez vos pleurs… Je ne veux plus que le bonheur, De ceux qui ont dans leur cœur D’encore espérer avec ferveur… De quoi donc ai-je été coupable Pour mériter une vie si misérable Un destin aussi pitoyable, Une mort cruelle et minable… De cela vous m’êtes redevable… Je vous aime encore Je vous aime si fort… À la vie et à la mort, Je vous aime encore, Bien au-delà de la mort… Dites-moi que vous voulez, Par amour et par pitié, Encore quelques-uns sauver… Ainsi ma cruelle destinée N’aura été ni vaine ni oubliée… Il est trop tard pour moi, Voyez, je suis mort et froid… Mais pour mes petits croyez-moi, Par vous, ils ne le seront pas. Sauvez-les en souvenir de moi… UN CHIEN PARMI TANT D’AUTRES |
Déposé par colombine67 le 23/04/2015POURQUOI LES CHIENS SONT MIEUX QUE LES HOMMES - Les chiens ne se vantent pas quand ils dorment avec quelqu'un. - Vous n'avez pas de soupçons sur les rêves de votre chien - Les chiens magnifiques ne savent pas qu'ils sont magnifiques - La seule chose que votre chien peut vous filer, c'est des puces (la rage, ça serait pas de chance) - Les chiens ne se gênent pas pour montrer leur affection en public - Les chiens vous manquent lorsque vous partez - Vous ne vous demandez jamais si votre chien est assez bon pour vous - Les chiens se sentent coupables quand ils ont fait quelque chose de mal - Les chiens sont contents quelle que soit la k7 vidéo que vous avez choisi de louer, parce qu'ils savent que la chose la plus importante, c'est d'être ensemble. - Les chiens n'ont pas peur de votre intelligence - On peut apprendre à un chien - Les chiens savent ce que "NON" veut dire - Les chiens n'ont pas pour habitude de tuer ceux de leur propre espèce - Les chiens vous prennent pour un génie culinaire - Vous pouvez apprendre un chien à être propre à la maison - Les chiens n'éprouvent pas le besoin de vous abandonner pour quelqu'un de plus jeune au bout de quelques années de vie commune - Les chiens plaisent toujours à votre famille - Les chiens s'en foutent si vous conduisez la voiture pendant tout le trajet - Les chiens n'appuient pas sur des freins imaginaires - Les chiens l'admettent lorsqu'ils sont perdus - Les chiens s'en foutent que vous vous rasiez les jambes - Les chiens ne sont pas embêtés si vous gagnez plus qu'eux - On peut forcer un chien à prendre un bain |
Déposé par rafia le 23/04/2015L'amitié est une main qui vous soutient, Dans la douleur comme dans le désarroi ; L'amitié est une oreille qui vous écoute, Aussi bien dans la peine, que dans la joie. Sabine Dubreuil |
Déposé par Galiama le 22/04/2015Souvenirs.. C’est en regardant le ciel, que j’ai compris que je n’étais rien Et c’est en te regardant partir que j’ai compris que tu étais tout… La nuit je rêve, Je rêve que la neige brûle, Je rêve que le soleil gèle, Et en rêvant l’impossible, J’ai rêvé que tu revenais… Là-bas où que tu sois, je pense à toi, et des milliers de baisers je t’envoie. |
Déposé par colombine67 le 22/04/2015Un homme adopte un chien, ce qu’il découvre ensuite est déchirant! Un homme qui se sentait triste a décidé d’adopter un chien au refuge pour animaux de la nouvelle ville dans quelle il venait d’aménager. Il ne se doutait pas que cette adoption allait complètement changer sa vie et que le chien qu’il venait d’adopter était très spécial. Il a décidé de raconter l’histoire de son adoption, je vous la retranscris ci-bas. Mais avant de commencer à la lire, je vous suggère d’aller vous chercher quelques mouchoirs, je vous garantis que vous en aurez de besoin. Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos. Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue. Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne. Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables… Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas. J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait – enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom – bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur. Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”. Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la direction de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m’a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos. Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro. Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié. “Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.” J’ouvre alors l’enveloppe et tombe sur une lettre: Accueil > Best Of > Images > Un homme adopte un chien, ce qu’il découvre ensuite est déchirant! Un homme adopte un chien, ce qu’il découvre ensuite est déchirant! 20 novembre 2014 Un homme qui se sentait triste a décidé d’adopter un chien au refuge pour animaux de la nouvelle ville dans quelle il venait d’aménager. Il ne se doutait pas que cette adoption allait complètement changer sa vie et que le chien qu’il venait d’adopter était très spécial. Il a décidé de raconter l’histoire de son adoption, je vous la retranscris ci-bas. Mais avant de commencer à la lire, je vous suggère d’aller vous chercher quelques mouchoirs, je vous garantis que vous en aurez de besoin. Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos. Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue. Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne. Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables… Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas. J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait – enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom – bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur. Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”. Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la direction de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m’a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos. Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro. Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié. “Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.” J’ouvre alors l’enveloppe et tombe sur une lettre: À celui qui adoptera mon chien : Bon, je ne peux pas vraiment dire que je sois heureux que tu lises cette lettre, que j’ai confiée au refuge en leur disant qu’elle ne pourrait être ouverte que par le nouveau maître de Reggie. Je ne suis pas non plus heureux de devoir l’écrire. Si tu lis ceci, cela signifie que je viens de rentrer de mon dernier trajet en voiture avec mon chien, après l’avoir laissé au refuge. Il savait que cette fois, quelque chose était différent. J’ai déjà emballé toutes ses affaires pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture, mais cette fois-là… C’est comme si il savait que quelque chose n’allait pas. Et quelque chose ne va pas… c’est pourquoi je dois tout faire pour que tout aille bien. Alors, laisse-moi te parler un peu de mon Labrador, dans l’espoir que cela vous aide à vous lier d’amitié tous les deux. Tout d’abord, tu l’auras remarqué, il adore les balles de tennis. Plus il en a, plus il est content. Parfois je me demande s-il n’est pas croisé avec un écureuil, vu comme il aime les collectionner. D’habitude, il en a toujours deux fourrées dans sa bouche, et il essaye d’en faire rentrer une troisième. Jusqu’ici, il n’a jamais réussi. Tu peux les lancer ou tu veux, il se mettra à courir après – alors attention à ne pas le faire près d’une route. J’ai fait cette erreur une fois, et il a bien failli se faire renverser. Ensuite, il y a les mots qu’il connaît. Les gens du refuge te l’ont peut-être déjà dit, mais il connaît les mots les plus courants— “assis”, “reste là”, “viens ici.” Il sait aussi donner la patte et il est réactif aux signes de la main. Il fait “couché” quand il a envie – mais je suis sûr que tu pourras travailler cela avec lui. Il connaît les mots “balle” “croquette” et “os”. Je l’ai dressé en lui donnant des petites récompenses. Le mieux pour qu’il ouvre grand les oreilles, c’est des petits morceaux de saucisse. Il est à jour dans ses vaccins. Appelle le vétérinaire pour récupérer le dossier, c’est un type bien et il te rappellera quand il faudra l’amener là-bas. Mais sois prévenu : Reggie déteste le vétérinaire. Bonne chance pour le faire monter dans la voiture (je ne sais pas comment il sait quand on l’y emmène, mais crois-moi, il sait !) Enfin, laisse-lui le temps de s’adapter. Je n’ai jamais été marié, alors ça a toujours été juste lui et moi, depuis qu’il est né. Il me suivait partout, alors si tu peux, amène-le en voiture avec toi quand c’est possible. Il a l’habitude, il est propre et n’aboie pas. Il adore sortir et passer du temps avec des gens, et avec moi tout particulièrement. Ce qui signifie que la transition sera très dure pour lui, puisqu’il n’a jamais vécu dans une autre maison que la mienne. Et c’est pourquoi il est temps que je te dise la vérité et que je te donne quelques informations supplémentaires… Son nom n’est pas Reggie. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, mais quand je l’ai laissé au refuge, je leur ai dit qu’il s’appelait Reggie. Je n’ai tout simplement pas pu leur dire son vrai nom. Si je l’avais fait, cela m’aurait paru si extrême que cela aurait été comme admettre le fait que je ne le reverrais plus jamais. Et si jamais je reviens, que je le récupère et que je déchire cette lettre, cela voudra dire que tout va bien. Mais si tu es en train de lire ceci, alors… alors ça veut dire que son nouveau propriétaire doit connaître son vrai nom. Cela t’aidera à te lier d’amitié avec lui. Qui sait, peut-être même que tu remarqueras quelques changements, s’il te pose des problèmes au début. Son vrai nom est Tank. Parce que c’est ce que je conduis. Si tu lis ce message et que tu habites dans le coin, peut-être que tu auras lu mon nom dans les journaux. J’ai dit aux gars du refuge qu’ils ne proposent pas “Reggie” à l’adoption tant qu’ils n’auront pas reçu un appel de la part du commandant de ma compagnie. Tu comprends, mes parents sont partis, je n’ai pas de frère et sœurs, personne à qui j’aurais pu confier Tank… Et la seule requête que j’ai fait à l’armée quand ils m’ont annoncé mon déploiement en Irak, c’était de prévenir le refuge… en cas d’”accident”… pour leur dire que Tank était prêt à avoir un nouveau maître. Heureusement, mon colonel adore lui aussi les chiens, et il savait bien vers où ma division avait été envoyée. Il m’a donné sa parole qu’il s’en occuperait personnellement. Et si tu lis ceci, alors cela signifie qu’il a tenu sa parole. Bon, désolé, cette lettre devient vraiment déprimante même si, franchement, je l’écris juste pour mon chien. Je n’imagine même pas ce que cela aurait été si j’avais dû le faire pour une femme et des enfants… mais quand même, Tank a été ma seule famille au cours des six dernières années. Et à présent, j’espère que tu sauras lui faire une place au sein de ta famille à toi, qu’il s’habituera et qu’il finira par t’aimer tout comme il a pu m’ aimer. Cet amour inconditionnel, c’est ce que j’ai emporté avec moi, comme une source d’inspiration pour faire don de moi-même pour protéger les autres. Si je devais abandonner Tank pour le faire, alors je suis heureux de faire ce sacrifice. Il était pour moi un exemple d’amour et de dévouement. J’espère l’avoir honoré par mon dévouement envers mes camarades de front. C’est bon, c’en est assez. Ce soir, je serais envoyé au front, et je dois encore déposer cette lettre au refuge. Je ne pense pas que j’irais dire au revoir à Tank une nouvelle fois. J’ai bien assez pleuré la première fois. Peut-être que je glisserai juste un regard, pour voir s’il a finalement réussi à mettre cette troisième balle de tennis dans sa bouche. Bonne chance avec Tank. Soigne-le bien, et donne-lui une caresse en plus de ma part, chaque soir, pour lui dire bonne nuit. Merci, Paul Mallory J’ai replié la lettre, et je l’ai replacée avec précaution dans l’enveloppe. Bien sûr, j’avais entendu parler de Paul Mallory, tout le monde en ville le connaissait, même les nouveaux habitants comme moi. Un gosse du coin, mort en Irak quelques mois auparavant et décoré à titre posthume de la croix d’honneur, pour avoir sauvé trois de ses compagnons avant de mourir. Les drapeaux avaient été en berne tout l’été. Je me suis penché en avant, les coudes posés sur les genoux, et j’ai regardé le chien. “Hé, Tank,” ai-je murmuré. La tête du chien s’est soudainement redressée, ses oreilles se sont dressées et son regard s’est illuminé. “Viens par ici.” Il était debout, ses ongles ont cliqueté sur le parquet. Il s’est assis devant moi, la tête penchée, comme s’il cherchait ce nom qu’il n’avait pas entendu depuis des mois. “Tank,” ai-je murmuré. Sa queue se mit à battre l’air. J’ai continué à murmurer ce nom, encore et encore, et chaque fois, ses oreilles se baissaient un peu plus, son regard d’adoucissait et son corps se détendait tandis qu’une vague de bonheur semblait le traverser. J’ai frotté ses oreilles, j’ai gratté son dos, j’ai enfoui mon visage dans sa fourrure tout en le serrant contre moi. “C’est moi, Tank, juste toi et moi. Ton vieil ami t’a confié à moi.” Tank a tendu la tête et m’a léché la joue. “Alors, tu veux jouer à la balle?” Ses oreilles se sont alors dressées d’un coup. “Hein? La balle? T’aimes ça, hein ? La balle ?” Tank s’arracha de mes bras et disparut d’un bond dans l’autre pièce. Quand il est revenu, trois balles de tennis se tenaient dans sa bouche |
Déposé par rafia le 22/04/2015Mon amie (mais s'adapte aussi aux amis). Tu as su me tendre la main À cet instant où je n'allais pas bien De nos rires, de nos confessions Est née de l'affection De notre tristesse, de notre complicité Est née notre amitié Mais il ne faut pas que ce cela reste Un simple mot de six lettres Si un jour tu es en détresse N'hésite pas à me lancer un S.O.S. Même si je ne trouve pas les mots Ceux qui rendent le monde plus beau Même si je suis maladroit Tu pourras toujours compter sur moi Ne laisse pas la maladie Prendre le pas sur ta vie Si aujourd'hui tes larmes sont salées Demain elles te paraîtront sucrées Dans une folle farandole Tout tes amis réunis Fêteront ainsi ta nouvelle vie Mon amie tu m'as secouru Alors que je me croyais perdu Mon amie tu m'as aidé Et ça je ne l'oublierais jamais Aussi loin que tu sois Je veillerai toujours sur toi. Maxalexis |
Déposé par Biscuit le 21/04/2015Oural Ouralou par Jean Ferrat Un superbe hommage de Jean Ferrat à sa chienne disparue C'est dans l'aube chère à Verlaine Que tu courais notre domaine, Humant l'air des quatre saisons. Odeurs de thym et de bruyère Sous tes pattes fraîches légères S'élevaient comme une oraison. Berger des landes familières, Tu vivais digne et solitaire. Animal doué de raison J'écris ce jour anniversaire Où tu reposes sous la terre A deux pas de notre maison. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. On voit souvent des souveraines A la place des rois qui règnent Rien qu'en posant leurs yeux dessus. Il faut se méfier du paraître. De nous deux qui était le maître ? Nous ne l'avons jamais bien su. Tu vécus la vie parisienne, La nuit sur les quais de la Seine Les music-halls et les tournées. Et cette vie qui fut la mienne Il me semble que tu l'entraînes A la semelle de tes souliers. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Jour après jour il faut l'admettre, Voir ceux qu'on aime disparaître C'est ce qui fait vieillir trop tôt. Au paradis des chiens, peut-être, Ton long museau à la fenêtre, Tu nous accueilleras bientôt. Au triple galop, caracole, Je vois tes pattes qui s'envolent, Chevauchant l'herbe et les nuées. Le vent siffle dans ton pelage, Vole, vole, mon loup sauvage, Comme au temps des vertes années. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou. |
Déposé par Galiama le 21/04/2015LES CHIENS PLEURENT AUSSI Moi je sais que les chiens les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir sans que leur maître sache Ni où ils sont ni le grand mal qui les conduit J'en sais un qui partit au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs de cet enfant malade Cet enfant qui jouait avec lui ses chamades Et qu'il ne s'en revint que lorsqu'il fut sauvé Et j'en sais un aussi qui se laissa mourir De faim de désespoir au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs où seules ne pénètrent Que les ombres de ceux dont la vie va finir Mais moi je sais aussi que dans ces Pays Hauts Les hommes et les chiens chaque fois se retrouvent Sur les vastes prairies quand les portes s'entrouvrent Parmi l'immensité des joies et des repos (Louis AMADE) |
Déposé par monkillou le 21/04/2015Mon beau Rubens, * Tout simplement pour prévenir: Je suis fortement navrée car je déserte un peu le site en ce moment et donc, j'ai moins le temps pour déposer et remercier toutes les mamans qui viennent sur l'espace de mes inoubliables et regrettés épagneuls. Toutefois, je viens tout de même valider les merveilleux textes que déposent ces adorables personnes. Mais, être moins présente ne veut absolument rien dire car je pense à tous ces disparus qui sont devenus mes amis... forcément! Aussitôt que je peux, je rendrais l'appareil et te déposerais un beau poème comme sait les choisir ta gentille maman. Un gros câlins à Iron, des énormes virtuels pour TOI, Rubens en n'oubliant pas d'ajouter à ta maîtresse, mille mercis avec toute mon amitié! À très bientôt! |
Déposé par colombine67 le 21/04/2015 Poème d'un chien Je suis celui qui t'attend ... Ta voiture fait un bruit spécial et je la reconnaîtrais entre mille. Tes pas résonnent de manière magique, c'est une musique pour moi. Ta voie est le signe le plus évident de mon bonheur, il n'est pas nécessaire de parler : j'entends ta tristesse. Si je vois ton bonheur, je suis heureux! Je ne fais pas de différence entre une bonne et une mauvaise odeur, je sais uniquement que ton arôme est le meilleur. Certaines présences me plaisent, d'autres moins. Mais ta présence est celle qui émeut mes sens. Ton réveil, me réveille. Toi, qui dors à la maison, tu es mon Dieu et moi, je suis le gardien de tes rêves. Ton regard est un rayon de soleil, lorsque je m'aperçois que tu te réveilles ... Ses mains sur moi ont la légèreté de la paix. Et lorsque tu pars, tout est vide à nouveau... Et moi, je continue à t'attendre, encore et encore ... J'attends le bruit de ta voiture Le son de tes pas De ta voix J'attends ton humeur toujours lunatique Ton odeur Ton repos sous ma vigilance J'attends tes yeux Tes mains Et moi, je suis content ainsi. Je suis celui qui t'attends Je suis ton chien Gabriel Makaya |
Déposé par rafia le 21/04/2015Conseil à l'ami. L'amitié ! quel nom ravissant ! Tout poète, depuis Homère, Chante l'amitié, la chimère La plus chère à l'esprit qui sent ! Que ton avis soit caressant, Ami ; jamais de voix amère : Sois semblable à la bonne mère, Grondant son fils et l'embrassant. Garde qu'un mot aigre, âme aimante, Ne tombe en l'amitié charmante, Breuvage dont la douceur plaît. Souviens-toi que la moindre goutte D'acide, quand elle y dégoutte, Fait vite aigrir le plus doux lait ! Évariste Boulay-Paty |
Déposé par poutounou le 20/04/2015Printemps * Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini. * Victor Hugo |
Déposé par goulou50 le 20/04/2015Le temps passe lentement, j'ai le regard triste, je regarde le ciel et les étoiles, mes yeux de larmes,se voilent, tu as laisser un grand vide dans mon coeur, dehors,avec moi le ciel pleure, quand je te reverrai ,mon coeur ,à nouveau sera en joie. je pense à toi amérement, mon coeur se voile dans un brouillard épais, dehors,de la mélancolie naît... tu me manques petit Ange, mon coeur pleure depuis que tu n'es plus là. Je t'aime |
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