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In tribute to
RUBENS
SETTER-GORDON
Born on :03/06/2000
left us on:04/03/2013
 
 

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In tribute to RUBENS

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





136 candles

62870 Flowers
left by  ovanek
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Amour et Pensée pour Toi
left by  DIXIE84
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Enormes caressesRubens
left by  rafia
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De la part de Maryem qui vous remercie (Maël S-M)
left by  angel
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gros câlins cher Rubens et merci à ta maman pour les jolis bouquets déposés pour les petits amis qui ainsi ne se sentent plus oubliés ; amitiés
left by  seensouaree
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Mes doux bisous s' envolent et se posent sur ton joli museau .Amitiés à ta maman
left by  viana67
left by viana67
un petit coucou rempli de tendresse pour toi beau Rubens et mes amitiés à ta maman
left by  florence
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mille pensées pour le joli Rubens
left by  tacholoula
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le ciel ta dans les bras moi je t'ai dans le coeur
left by  rafia
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De la part de Maryem qui vous remercie (Maël S-M)
left by  lili2248
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mille bisous sur ta jolie truffe petit ange..
left by  bouffie
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pour toi bel ange ce joli bouquet j'y ai mis une pincée de câlins un soupçon de bisous et tout plein d'amour sans compter
left by  goulou50
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Une pluie de tendres bisous pour toi petit ange
left by  canajolie
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calins petit ange ..
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caresses et bisous
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pleins de caresses petit mamour
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Je te souhaite de passer une merveilleuse nuit tout étoilée accompagnée de doux rêves...je pense à toi et gros câlins et bisous à toi et ta gentille maman
left by  ovanek
left by ovanek
Pensée
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left by LINCE34
bises et calins matinaux avec une brassee de roses merveilleux ange
left by  poutounou
left by poutounou
Il pleut, il pleut des fleurs de toutes les couleurs et de belles pétales aux douces senteurs se posent sur ton cœur.
left by  seensouaree
left by seensouaree
Bonjour mon joli Rubens,je te fais de tendres caresses et un gros bisous sur ton joli museau.Amitiés à ta maman


6732 messages

left by colombine67 on 22/12/2015  

Les plus beaux cadeaux de Noël ne sont pas toujours sous le sapin.
La famille, les amis, les petits compagnons à 4 pattes, sont des cadeaux du Ciel enveloppés d'amour...
Joyeux Noël et Paix sur Terre!

left by spanky on 21/12/2015  
Je te sais à mes côtés car je te sens me parler,
je vois tous tes signes,
j'entends tes messages et je ressens tout l'Amour que tu m'envoie encore.
Tu m'illumines de ta Lumière, me chauffe le coeur
et continue de faire mon bonheur.
Jamais je ne laisserai la mort détruire
ce que la vie a fait de nous... des Amoureux fous.
Nous nous l'étions juré, rien ne pouvait nous séparer.
Merci mon ange d'être encore là auprès de moi
et de veiller sur moi.

left by colombine67 on 21/12/2015  
Il était une fois une petite fille qui s’appelait Elsa et qui vivait avec sa mère dans un village nommé Bethléem.
Elles étaient si pauvres qu’elles habitaient une vieille cabane dans un champ d’oliviers laissés à l’abandon.
Elles n’avaient pas de lit pour dormir, si peu d’habits pour se vêtir et à peine un peu de pain pour se nourrir.
Elsa et sa mère songeaient que le monde entier les avait abandonnées.
Personne ne venait jusque là, mais elles survivaient grâce à la débrouillardise de la fillette qui trouvait toujours quelques figues, quelques champignons, quelques épis de blé glanés çà et là. Parfois, elle trouvait des olives sur les vieux arbres rabougris et courait alors les vendre au marché du village.
Depuis quelques jours, Bethléem était en effervescence: César Auguste avait ordonné « un recensement du monde habité » et la ville ne désemplissait pas. Mais loin de cette agitation, Elsa s’affairait à la recherche d’un peu de nourriture pour le repas.
Tout à coup, au détour du chemin, elle rencontra une vieille femme qui lui dit :
- S’il te plaît petite fille, donne-moi quelque chose à manger, j’ai si faim.
Elsa qui avait un cœur d’or lui donna aussitôt le petit morceau de pain qu’elle avait eu en échange des quelques olives cueillies la veille.
- Mille mercis, petite fille, lui dit la vieille femme. Sans toi, je serais morte de faim.
Elsa poursuivit son chemin et arriva près d’une source cachée par des figuiers sauvages et de grosses pierres. L’endroit était calme et tranquille… Elsa remplit son panier avec les figues bien dorées puis se désaltéra avec l’eau fraîche de la source. C’est alors, qu’elle entendit des petits gémissements… Elle écarta les feuilles du figuier et découvrit deux enfants qui pleurnichaient. Apeurés, ils reculèrent et se tassèrent sous les buissons.
"N’ayez pas peur petits! Je ne vous ferai pas de mal. Mais pourquoi pleurez-vous ainsi ?
"Nous…nous…nous sommes perdus", bégayèrent les enfants entre deux sanglots.
"Mais où habitez-vous?"
"Oh, très loin d’ici, répondirent les enfants, mais nos parents sont à Bethléem pour le recensement. Ils logent chez Sarah, la couturière."
"Calmez-vous petits, je vais vous indiquer le chemin. Mais prenez ces figues, elles vous réconforteront."
Et Elsa indiqua la route aux enfants puis reprit son chemin dans les collines de Bethléem.
Déjà, le pâle soleil d’hiver se couchait. Elle se mit alors à ramasser des brindilles pour le feu, car les nuits sont parfois très froides sous le ciel de Palestine et on avait du mal à colmater les trous dans les murs de la pauvre cabane !
Alors qu’elle s’apprêtait à rentrer, Elsa entendit une faible voix qui appelait. Elle vit alors un vieillard tout grelottant, étendu sur le chemin. Aussitôt, Elsa le couvrit avec son châle et s'inquiéta:
"Mais que faites-vous là, par terre, à cette heure?"
"Ah petite! Il y a longtemps que je suis étendu ici… J’étais venu chercher du bois pour allumer le feu alors que le soleil était encore haut. Mais voilà, je suis tombé et je n’arrive pas à me relever tant ma jambe me fait mal."
"Attendez, je vais vous soigner!"
Elsa avait justement un peu de plantain avec elle. Elle couvrit la plaie du vieillard et lui fit un solide bandage avec le morceau de drap qui traînait dans sa poche. Elle aida alors l’homme à se relever et l’aida à rejoindre sa petite maison, dans le bois, derrière la colline. Là, elle fit un bon feu avec les brindilles qu’elle avait ramassées afin de réchauffer le vieil homme.
"Oh, merci, chère petite!" s’exclama le vieillard. "Tu as vraiment un cœur d’or! Dieu te le revaudra, j’en suis sûr!"
Maintenant, il faisait nuit. Elsa se hâta de rejoindre sa mère qui devait s’inquiéter. Certes, elle n’avait plus de fruits à manger, ni de châle pour se réchauffer, mais elle se sentait si heureuse d’avoir rendu service. Malgré le froid de la nuit, régnait une douce chaleur au fond de son cœur. Mais bientôt Elsa se retrouva seule, perdue dans ce bois qu’elle ne connaissait pas… Elle tâtonnait dans le noir, essayant de repérer les collines qu’elle parcourait chaque jour, lorsqu’elle entendit une voix qui murmurait:
- Toi qui n’avais rien, tu as tout partagé. Toi qui te sentais abandonnée, tu as soulagé les autres… Suis maintenant le chemin des étoiles et garde confiance!
C’est alors qu’une multitude d’étoiles éclairèrent la route d’Elsa. Elles formaient un chemin et brillaient de plus en plus pour guider les pas de l’enfant. Elsa croyait rêver tant le chemin était illuminé. C’est alors qu’elle aperçut un être tout auréolé de lumière qui s’approcha et lui dit :
"N’aie pas peur, petite fille! Dieu a vu ton cœur d’or et c’est toi qu’il a choisie pour m’accompagner et annoncer la joyeuse nouvelle du Sauveur à tous ceux qui sont pauvres et rejetés…"
Un Sauveur… Elsa ne comprenait pas, mais elle suivit l’ange, pressentant que quelque chose d’extraordinaire allait se passer. Ils arrivèrent bientôt près d’un grand champ où des bergers passaient la nuit avec leurs troupeaux. Une lumière éblouissante les enveloppa soudain. Réveillés en sursaut et effrayés, ils voulaient s'enfuir. Le messager leur dit alors :
"N’ayez pas peur! C’est une bonne nouvelle que je viens vous annoncer, une grande joie pour tout le peuple : aujourd’hui, un Sauveur est né pour vous, c’est lui le Messie que vous attendez. Allez le voir! Vous le reconnaîtrez à ce signe : le nouveau-né est couché dans une mangeoire".
A nouveau les étoiles semblaient former un chemin comme pour indiquer la route… Les bergers suivirent alors l’enfant qui déjà avait pris le chemin des étoiles. Et quand celles-ci s’arrêtèrent au-dessus d’une vieille cabane, Elsa n’en crut pas ses yeux… C’était dans sa pauvre masure que Jésus, le Sauveur, le Messie, avait trouvé un abri. Une étoile scintillante enveloppait maintenant toute la petite cabane d’une immense clarté. Un enfant y était couché dans la paille d’une mangeoire, comme l’ange l’avait dit. Elsa sentit un immense bonheur l’envahir et une grande paix emplir son cœur. Alors, tombant à genoux, elle se mit à prier. Et l’enfant lui sourit. Alors, tous ceux qui étaient là avec elle, les bergers et tous ceux qui s’étaient approchés, tous sentirent aussi ce grand bonheur dans leur cœur et une lumière nouvelle se répandit tout autour d’eux. Et la terre entière sut que cette nuit-là un Sauveur était venu ouvrir aux hommes le chemin de la paix et du bonheur.

left by bouledogue on 20/12/2015  
N’attendons pas un sourire pour être gentil…
N’attendons pas d’être aimé pour aimer…
N’attendons pas d’être seul pour reconnaître la valeur d’un ami…
N’attendons pas le meilleur emploi pour commencer à travailler…
N’attendons pas d’avoir beaucoup pour partager un peu…
N’attendons pas l’échec pour nous rappeler un conseil…
N’attendons pas la douleur pour croire à la prière…
N’attendons pas d’avoir le temps pour rendre service…
N’attendons pas la peine de l’autre pour nous excuser, ni la séparation pour nous réconcilier…
Non, n’attendons pas, parce que comme nous ne savons pas combien de temps il nous reste à vivre… nous pourrions passer à côté de beaucoup de choses !!!,

left by ovanek on 20/12/2015  

💖 💖 114 💖 💖
***** Le livre de tes Yeux *****
Je pu lire dans tes yeux comme dans un livre ouvert.
Ton regard est limpide et jamais tu ne te caches derrière.
J'y ai lu de la surprise, de l'interrogation, de la tendresse,
J'y ai lu de la compréhension, de la persuasion.
J'y ai lu du chagrin, de l'impuissance, de l'obstination,
J'y ai lu la détresse de ne pas savoir "quoi faire"
J'y ai lu de la crainte mais jamais du renoncement.
J’y ai lu le bonheur étoilé de ta vie
Tes yeux sont le reflet de ton âme et de ton cœur
Un cœur droit, sans détour, émerveillé, joyeux et sincère
Ton regard est posé sur mon épaule, surveillant mes faux pas,
Me remettant sur le bon chemin à chaque fois.
Lorsque je ne vais pas bien, je repense à ton regard remplis d'amour
Où je t'ai promis "ne crains rien, tout ira bien”….
Alors, à pas lents, j'avance sur mon chemin
Me disant que ce là vaut bien la peine
De couché des mots de mes pensées... Pour un regard étoilé
Pas n'importe quel regard, celui de mon chien
Celui venant de toi….
A toi mon Fidèle.... Phil
💖 💖 💖

left by bouffie on 20/12/2015  
Les chiens, par leur innocence et leur amour si pur si doux et inconditionnel, ont une manière de se lover dans notre cœur et d'y faire leur marque là où nous avons souvent trop peur d'y laisser entrer quiconque.
Ce petit compagnon parvient a toucher notre âme au plus profond, et nous montre alors un aperçu de l'amour qui dépasse tout ce que nous ne rencontrerons jamais.
Un tel amour ne peut qu'être éternel.
En cette période de célébration de l'amour je vous souhaite de tout cœur de très heureuses et joyeuses fêtes dans l'espérance d'un monde meilleur pour tous les peuples et les animaux.
amitié et mille tendresses pour vos anges

left by myriam31 on 20/12/2015  
On n’est jamais
tout à fait disparu,
tant qu’il reste quelqu’un
qui vous a connu,
pour se souvenir et parler
de vous de temps en temps,
et ainsi vous ramener à la vie
l’espace d’un temps.
tendres pensées pour toi bel ange amitiés à ta famille

left by colombine67 on 20/12/2015  
Le Noël du chien et du chat
Il était une fois un fermier qui adorait la chasse et il avait acheté un chien pour l'emmener chasser avec lui. L'ennui - car il y avait un gros ennui - c'est que ce chien-là, justement, n'aimait pas courir après les lapins, ni lever les perdreaux. Son plaisir à lui était de déterrer les rats et de les manger, tout chauds, bien juteux, avec leur fourrure.
Il partait sagement avec son maître, mais au premier trou de rat qu'il rencontrait, il s'arrêtait, il reniflait et se mettait à gratter, gratter, gratter,et le fermier avait beau le rappeler, il ne le rejoignait qu'après avoir croqué son rat.
Alors, le fermier criait très fort, il le traitait de chien têtu et désobéissant, de bon à rien et il lui tirait les oreilles. Ca faisait très mal. Le chien pleurait. Mais dès qu'il retrouvait un trou de rat, il se remettait à gratter, c'était plus fort que lui .
Un dimanche après-midi, le chien avait quitté son maître à l'entrée d'un champ et il avait passé des heures à chercher les rats dans les prés. Il revenait pas trop rassuré car il s'attendait à être puni, mais ç'a été bien pire que ce qu'il imaginait. Le fermier était hors de lui. Il s'est précipité et l'a roué de coups. Et pour finir, il a crié:
- Et si tu recommences, sale animal, je te déchargerai mon fusil dans la tête !
Le chien a filé en rasant la terre et s'est réfugié dans le tas de paille du hangar. Le chat, qui était couché dans la brouette, a ouvert un oeil:
- Mon pauvre vieux! Tu as reçu une belle correction!
- Et ce n'est pas tout, a dit le chien. Il veut me tuer!
- Il le fera, a dit le chat. Si tu restes, il le fera. C'est un homme au coeur dur. Il faut t'en aller, et vite !
- M'en aller! Où veux-tu que j'aille? a demandé le chien.
- Dans la Forêt Profonde! a répondu le chat. Tu y trouveras de quoi te nourrir et t'abriter.D'ailleurs, j'irai avec toi. Tu es mon ami. Nous partirons à la nuit tombée.
Aussitôt que la porte et les volets de la maison ont été fermés, ils se sont donc mis en route. Le chien avait mal partout, mais il a marché. .Une nuit après l'autre, ils ont marché - marche, marche, la route est large - et un matin, voilà qu'ils étaient arrivés dans la Forêt Profonde. Ils ont continué encore une journée, sans se presser et, dans un amas de roches près d'un ruisseau, ils ont découvert une grotte large et spacieuse, tout à fait ce qu'il leur fallait comme maison.. Ils s'y sont installés. A partir de ce jour, le chien et le chat ont vécu dans la forêt, tranquilles, presque heureux. Presque!
Et le temps a passé.
Cela faisait plus de deux ans, maintenant, qu'ils habitaient là et bientôt ce serait Noël. Le chat réfléchissait à ce qu'il allait demander au Père Noël.Il hésitait entre un rôti de dindonneau et quelques boîtes de pâtée.
Au fait, savez-vous comment les chiens et les chats font leur commande au Père Noël? Ils aboient ou ils miaulent à la lune, et c'est elle qui fait la commission.
- Moi, a dit le chien, je n'ose pas te dire ce que je voudrais...
- Qu'est-ce que c'est ? a demandé le chat, qui était curieux. Oh! s'il te plaît! dis-le! dis-le!
- Eh bien! a dit le chien, je voudrais...je voudrais une petite fille!
Le chat a été tellement surpris qu'il est tombé de la branche sur laquelle il se reposait.
- Une petite fille! Et qu'est-ce que tu ferais d'une petite fille ?
- Je la promènerais, a dit le chien. Je lui lècherais les mains et la figure. Je dormirais près d'elle. Peut-être elle nous caresserait
- Pour la loger, ça irait encore, a dit le chat, mais c'est pour la nourrir...Comment la nourrirais-tu ?
- Je lui attraperais des rats ! a dit le chien.
- Des rats! Des rats! s'est écrié le chat .Ah ! on voit bien que tu ne connais pas les petites filles ! Elle ne voudrait jamais manger de rats! Même si tu leur enlevais la peau !
- Tu crois ? a demandé le chien. Alors, tu pourrais lui prendre des oiseaux !
- Mais c'est délicat, une petite fille! Elle les voudrait cuits, ses oiseaux ! Comment les ferais-tu cuire ?
- Peut-être elle s'habituerait à les manger crus, a dit le chien.
Le chat a réfléchi, puis il a répondu:
- Non ! Non, elle ne s'habituerait pas ! Je suis désolé de te le dire, mais ton idée est saugrenue !
On pouvait faire confiance à ce que pensait le chat. Il connaissait bien les choses du monde et de la vie. C'était un sage. Le chien n'a pas insisté. Il est allé se coucher dans la grotte pour dormir et oublier.
Le soir, il est sorti aboyer à la lune:
-Lune, tu peux dire au Père Noël de ne pas se déranger pour moi ! Puisque je ne peux pas avoir une pe(ite fille, je n'ai vraiment envie de rien.
Puis il est retourné dans la grotte endormir sa tristesse.
Et un beau jour, on a été la veille de Noël. Il n'y avait pas de neige, cette année-là. Il faisait très beau, très doux. Si on avait bien écouté, on aurait entendu, dans la terre, les violettes en train de se réveiller. Le chien et le chat ont décidé d'aller faire une promenade. Ils ont marché longtemps, jusqu'à une partie de la forêt qu'ils ne connaissaient pas encore. Et tout à coup, au détour d'un sentier, la surprise les a cloués au sol.
- Vois-tu la même chose que moi ? a demandé le chat.
- Je vois une petite fille ! a murmuré le chien. Elle est juste comme je la voulais!
- Il y a aussi une grand-mère! a ajouté le chat. Tu sais, les grands-mères, c'est très gentil ! Ca mange tout le temps du chocolat, et ça nous en donne !
Elles cueillaient du houx, toutes les deux. La grand- mère a dit:
- Nous en avons assez. Ce n'est pas la peine d'aller plus loin.
- Oh! grand -mère, regarde! s'est écrié la petite fille. Un chien et un chat!
Le chien a remué la queue, le chat a fait le gros dos et comme la grand-mère et la petite fille s'en retournaient, ils les ont suivies. De temps en temps, la petite fille regardait en arrière et disait d'un air ravi: " Ils nous suivent"!
Ils sont arrivés à une clairière où se dressait une jolie maison. Un grand-père travaillait dans le jardin. La petite-fille ,a crié:
- Grand-père ! nous avons ramené un chien et un chat! C'est sûrement le Père Noël qui nous les envoie! Il ne pouvait tout de même pas les mettre dans une boîte!
La grand-mère est entrée dans la maison et elle en est ressortie avec deux bols de lait, un pour le chien, un pour le chat. Depuis qu'ils étaient dans la forêt, ils avaient oublié le goût du lait.C'était bon ! Ils n'en finissaient pas de se lécher les babines ! Le grand-père a dit:
- Bonnes bêtes, si vous avez une maison et des maîtres qui vous attendent, il faut repartir, maintenant. Mais si vous n'en avez pas, venez avec nous et npous vous garderons.
Le chien et le chat n'ont pas attendu qu'il répète l'invitation, ils sont entrés. Ils croyaient rêver. On leur a cherché un tapis. La petite fille les caressait. On les regardait à tout instant. Le grand-père disait:
- Je suis content. Il nous fallait absolument un chien, pour prendre la suite de notre vieux César, qui est reparti au pays de l'avant et de l'après.
- Et un chat! disait la grand-mère, nous avions grand besoin d'un chat ! Les souris mangent toutes nos pommes.
La petite fille répétait pour la dixième fois que ça lui était bien égal si le Père Noël n'apportait pas de trottinette, cette nuit ! Qu'elle était bien assez gâtée avec un chien et un chat!
La cuisine a été pleine de bonnes odeurs. Au dîner, ils se sont régalés de choses délicieuses. Et pour finir, ils ont eu le droit de coucher dans la chambre de la petite fille.
Quand elle a été endormie, le chat a dit tout doucement au chien:
- Tout de même ! on peut dire que le père Noël fait bien les choses ! Il te l'a apportée, ta petite fille et il s'est arrangé pour que nous n'ayons pas le souci de la nourrir !
- Oui ! a dit le chien d'une voix extasiée. Et - tu as remarqué ? - il nous a choisi ce qu'il y a de mieux comme petite fille. Comme grands-parents aussi, je dois dire !
- Oh ! j'avais remarqué a dit le chat, dont les yeux commençaient à se fermer.
Et cette nuit-là, au-dessus de la maison, le ciel était plein d'étoiles.
Et dans la maison, il y avait un grand-père, une grand-mère, une petite fille, un chien et un chat dont le coeur aussi, était plein d'étoiles.

left by rafia on 19/12/2015  
Bonjour,
J'ai omis de transmettre ce message.
Très respectueusement.
Maël
Mes bien chères amies...bien chers amis...bonsoir.
Ce soir, je souhaitais, sans prétention, vs informer sur la LEPTOSPIROSE...une ZOONOSE, très grave qui, comme son nom l'indique, est transmissible de "l'animal" à l'homme. Elle emporte très souvent, nos AMOURS-CANINS...même vaccinés. Car elle engendre une mortalité, très élevée.
Aux ETATS-UNIS, les vétos, tjrs très concernés pr le bien-être de nos AMOURS...pratiquent une vaccination "double"...et ce depuis 2 ans...pr mieux les protéger. La seconde dose est injectée, très exactement, un mois, après la première.
L'on m'a dit qu'en France...certains vétos..les plus consciencieux.... calquaient leur vaccination sur celle de leurs confrères américains. Ainsi, une de nos amies s'est occupée à faire vacciner, selon cette procédure, notre DJEDAI....westie aussi....car pr ns..c'est...westies...toujours !!! Un AMOUR jamais démenti pr cette race extraordinaire. Ce n'est pas MAGOUILLE...ni ORGEAT..ni SCOTT, niTWISTER, etc......qui le nieront !!!
Soyez très vigilantes...très vigilants...si votre amour-canin pratique des activités...en relation avec l'eau DOUCE....même des eaux souillées et boueuses, de peu de profondeur.
Les rongeurs transmettent aussi cette terrible maladie...et pas besoin de morsure...leurs urines suffit à contaminer.
Choisissez les vaccins diffusés pr l'Institut Pasteur..( ce sont les meilleurs !!!)....pr une protection optimale.....ils sont actualisés et adaptés aux souches actuellement responsables de la maladie.
J'insiste....un seul vaccin, ne suffit plus.
Bien qu'un océan ns sépare...soyez assurées, mes bien chères amies..et bien chers amis...que je ne vs oublie pas....nos échanges amicaux me manquent terriblement. J'ai aussi tjrs une pensée pr vos anges, tendrement aimés. Je vs souhaite...à toutes et à ts....un merveilleux NOEL. Pr celles et ceux qui sont ds la peine...ce serait indécent...(je pense à celles et à ceux qui viennent de perdre leur amour/Canin)...alors, laissez-moi vs dire..."que je vs souhaite un NOEL...le plus doux possible, dites-vs que vs n'êtes pas seule.seul...l'amitié sincère qui règne sur ce site...vs soutient.
Avec ma très sincère amitié.
+ 1000 bisous + 1000 mercis.
Votre amie Maryem,

left by poutounou on 19/12/2015  
Pauvre mouche ! Mais c’est tellement bon la crème…..
*
La mouche et la crème
*
Une mouche voyant une jatte de crème
S'écria: "Quelle chance ! Ah ! que cela me plait !
Ô délice ! Ô bonheur extrême !
Des oeufs frais, du sucre et du lait,
Un tendre arôme de vanille ;
Rien ne met plus de douceur en mon coeur."
Elle volette, elle frétille,
Elle s'approche, elle gambille,
Sur le rebord
Et c'est alors
que sur la faïence trop lisse,
La mouche glisse
Et succombe dans les délices
De cette crème couleur d'or.
Parfois, les choses que l'on aime
Sont des dangers.
Il n'est pas toujours sûr que l'on puisse nager
Dans la meilleure des crèmes.
*
Pierre Gamarra

left by angel on 19/12/2015  

Au nom de "tous nos amis", je tiens à vous remercier pour vos visites marquées par la générosité et le désintéressement. Je ne remercie jamais personnellement pour les témoignages d'affection apportés à ces anges dont les uns ont souffert de la cruauté humaine mais bien d'autres uniquement de l'abandon ne serait-ce que sur ces pages ...
Je vous souhaite de bonnes fêtes dans un climat d'amour et de paix.
Angel et tous les amis qui ne sont plus oubliés

left by colombine67 on 19/12/2015  
Un beau matin ensoleillé, une dame est venue me voir ; moi, mes frères et sœurs, et mes parents.
Elle me prend dans ses bras et on part dans une « boîte qui roule ».
Je suis tout seul, il n’y a plus ma maman, mes frères et sœurs. J’ai peur. Il y a du bruit et des odeurs que je ne connais pas. Je sens déjà un terrible manque.
La « boîte qui roule » s’arrête. On entre dans une maison.
A l’intérieur, il y a des humains (je crois qu’on les appelle comme ça) qui discutent. Ca sent bon, il y a plein de lumières qui brillent, et des boîtes colorées partout.
Deux petits d’hommes se jettent sur moi pour me prendre dans leurs bras. Ils crient ! Ils tapent dans leurs mains !
Je tremble, je remue la queue, je baisse les oreilles, la tête, détourne le regard pour leur dire « stop, doucement, je ne suis pas tranquille ».
Bizarre ces humains, ils ne comprennent pas… Pourtant mes frères et sœurs comprenaient eux.
Je passe de bras en bras, on me couvre de caresses, de bisous. Moi, j’aimerais juste que ça s’arrête, qu’on me laisse tranquille; j’ai peur.
Je sens quelque chose de chaud couler; ça fait du bien ! Tout à coup, l’enfant qui me prenait dans ses bras se met à hurler et moi, je reçois une tape sur le cul.
Bizarre, quand l’enfant pleure, on me met une tape et les humains ne semblent pas contents. Maintenant, quand un enfant pleurera, j’aurai peur.
Quelques instants plus tard, un monsieur me prend dans ses bras et me met dehors. Il fait froid, je suis tout seul dans cette grande étendue verte que je ne connais pas. J’aboie plaintivement pour signifier mon inconfort. Personne, personne pour me rassurer. Je reste là un bon moment à regarder le ciel et l’herbe qui bouge.
J’ai froid. Enfin quelqu’un sort et me passe un truc autour du cou avec une ficelle.
Qu’est-ce que c’est ? Je tire, je ne peux pas partir. On m’appelle, alors j’avance, mais je ne comprends pas. J’ai peur.
Je me retrouve pour la deuxième fois de la journée dans cette drôle de « boîte qui roule ». J’ai peur, je couine, une dame me caresse : j’ai donc raison d’avoir peur.
La boîte s’arrête et je me retrouve par terre sur un sol jaune…
Qu’est-ce que c’est ? J’apprendrai plus tard qu’il s’agit de sable. Et là, on va marcher, marcher… Je ne peux pas sentir le sol, un enfant tire sur la ficelle pour que je cours.
Enfin, quelqu’un me prend dans les bras. Je retourne dans ce truc qui roule et on arrive dans ce qui est ma nouvelle maison.
Un peu plus tard, quelqu’un vient me donner à manger. Il était temps : j’ai faim, je suis fatigué.
C’est bon, mais ce n’est pas ce qu’on me donnait avant avec mes frères et sœurs.
Les humains partent. On me laisse enfin dormir. Les bruits, les lumières s’éteignent; je me retrouve tout seul.
J’ai peur, j’aboie, personne ne vient, je me sens seul. Je couine une bonne partie de la nuit, jusqu’à ce que finalement épuisé et solitaire, je m’endorme.
Pour les humains, c’était Noël, jour de joie et de fête.
Pour moi, le chien de Noël, mes plus beaux cadeaux auraient été : calme, tolérance et compréhension…
Auteur : Audrey Watrigant

left by Biscuit on 19/12/2015  
Que la magie de Noël transforme votre foyer en un havre de paix, où règnent bonheur et gaieté !
Je vous souhaite un excellent Noël, rempli d’amour et d’amitié.

left by colombine67 on 18/12/2015  
Le Noël de Chien Perdu
 
Il  faisait très froid, ce soir-là. Dans les maisons, les enfants étaient contents : cette nuit, le Père Noël allait leur apporter des jouets. C'est dommage, il n'y a pas de Père Noël pour s'occuper des animaux, et cette nuit, comme les autres nuits, Chien Perdu allait avoir très froid. Il marchait le long de la route, sans savoir où aller. Soudain, il aperçut une maison. Chien Perdu s'approcha et, sans faire de bruit, se glissa dans le garage. A peine était-il entré que quelqu'un vint fermer la porte, sans voir le chien caché derrière la voiture. Chien Perdu était content car il n'avait plus froid.
Il se coucha pour dormir, mais, au bout d'un moment, de délicieuses odeurs vinrent lui chatouiller les narines. Il ne put s'empêcher de venir renifler sous la porte qui conduisait à la cuisine : là, tout près de lui, derrière la porte, on parlait, on riait, on mangeait. Chien Perdu aurait bien voulu faire partie de la fête, mais il savait qu'on ne voudrait pas de lui. Tristement, il revint se coucher derrière la voiture et essaya d'oublier qu'il avait très faim.
Au bout d'un très long moment, Chien Perdu se rendit compte qu'il n'entendait plus de bruit. Il vint écouter près de la porte : non, vraiment, il n'y avait plus personne. Alors il se dressa sur ses pattes de derrière, appuya les pattes de devant sur la poignée de la porte, et entra dans la cuisine. Les habitants de la maison devaient être bien fatigués : ils étaient partis se coucher sans rien ranger. Sur la table, ils avaient laissé des assiettes avec des restes de dinde, des restes de bûche. Chien Perdu n'hésita pas : il posa les deux pattes sur la table et, à grands coups de langue, il nettoya les assiettes !
Mais, tout à coup, crac ! Il fait tomber une assiette qui se casse en mille morceaux avec un bruit terrible. Pourvu qu'il n'ait réveillé personne ! Il écoute, il écoute... et il entend des pas. Son cœur se met à battre très fort : quelqu'un arrive, quelqu'un va le battre parce qu'il est entré sans permission et va le chasser dans la nuit froide. La lumière s'allume : un petit garçon regarde Chien Perdu et Chien Perdu regarde le petit garçon.
- J'ai entendu du bruit, dit le petit garçon, j'ai cru que c'était le Père Noël, et c'était toi !
Comment es-tu entré ? Tu es venu avec le Père Noël ?
Le petit garçon va dans le salon et Chien Perdu se dépêche de le suivre. Là, au pied du sapin, il y a plein de cadeaux.
- Je ne sais pas si tu es venu avec le Père Noël ou si tu es venu tout seul, lui dit le petit garçon en le caressant, mais je voudrais bien te garder. J'ai une idée, couche-toi là, au milieu des cadeaux, et sois sage !
Le lendemain, le petit garçon se réveilla de bonne heure et vint frapper à la porte de ses parents. Ils auraient bien voulu dormir encore, mais il les embêta tellement qu'ils se levèrent. Ils descendirent tous ensemble au salon et virent Chien Perdu couché sous le sapin, au milieu des cadeaux.
- D'où sort ce chien ? s'écria le papa.
- J'espère qu'il n'a pas de puces ! s'exclama la maman.
- Oh ! qu'il est beau ! s'écria le petit garçon. C'est un cadeau du Père Noël !
Les parents voulurent chasser Chien Perdu, mais il les regarda d'un air si doux, si gentil qu'ils n'osèrent pas. Et puis, c'était un cadeau du Père Noël, et il ne faut jamais contrarier le Père Noël. C'est ainsi qu'une nuit de Noël, Chien Perdu retrouva une famille.

left by colombine67 on 17/12/2015  
N’attendons pas un sourire pour être gentil…
N’attendons pas d’être aimé pour aimer…
N’attendons pas d’être seul pour reconnaître la valeur d’un ami…
N’attendons pas le meilleur emploi pour commencer à travailler…
N’attendons pas d’avoir beaucoup pour partager un peu…
N’attendons pas l’échec pour nous rappeler un conseil…
N’attendons pas la douleur pour croire à la prière…
N’attendons pas d’avoir le temps pour rendre service…
N’attendons pas la peine de l’autre pour nous excuser, ni la séparation pour nous réconcilier…
Non, n’attendons pas, parce que comme nous ne savons pas combien de temps il nous reste à vivre… nous pourrions passer à côté de beaucoup de choses !!!

left by choupinou on 16/12/2015  
Le sapin de noël (ou le petit sapin sous la neige)
Le petit sapin sous la neige
Rêvait aux beaux étés fleuris.
Bel été quand te reverrai-je ?
Soupirait-il sous le ciel gris.
Dis moi quand reviendra l’été !
Demandait-il au vent qui vente
Mais le vent sans jamais parler
S’enfuyait avec la tourmente.
Vint à passer sur le chemin
Un gaillard à grandes moustaches
Hop là ! en deux coups de sa hache,
A coupé le petit sapin.
Il ne reverra plus l’été ,
Le petit sapin des montagnes,
Il ne verra plus la gentiane,
L’anémone et le foin coupé.
Mais on l’a paré de bougies,
Saupoudré de neiges d’argent.
Des clochettes de féerie
Pendent à ses beaux rameaux blancs.
Le petit sapin de noël
Ne regrette plus sa clairière
Car il rêve qu’il est au ciel
Tout vêtu d’or et de lumière.
Pernette Chaponnière
pour toi ma Polka j'espère qu'il en ai de même la haut dans ton jardin ou tu vis désormé ,vêtu d'or et de lumière,d'amour et de joie,de friandises ,de jouets,entourait de tous tes ami(e)s,

left by colombine67 on 16/12/2015  
Lorsque les bergers s'en furent allés et que la quiétude fut revenue, l'enfant de la crèche leva sa tête et regarda vers la porte entrebâillée. Un jeune garçon timide se tenait là... tremblant et apeuré.
- Approche, lui dit Jésus. Pourquoi as-tu si peur ?
- Je n'ose... je n'ai rien à te donner, répondit le garçon.
- J'aimerais tant que tu me fasses un cadeau, dit le nouveau-né.
Le petit étranger rougit de honte.
- Je n'ai vraiment rien... rien ne m'appartient ; si j'avais quelque chose, je te l'offrirais... regarde.
Et en fouillant dans les poches de son pantalon rapiécé, il retira une vieille lame de couteau rouillée qu'il avait trouvée.
- C'est tout ce que j'ai, si tu la veux, je te la donne.
- Non, rétorqua Jésus, garde-la. Je voudrais tout autre chose de toi. J'aimerais que tu me fasses trois cadeaux.
- Je veux bien, dit l'enfant, mais que puis-je pour toi ?
- Offre-moi le dernier de tes dessins.
Le garçon, tout embarrassé, rougit. Il s'approcha de la crèche et, pour empêcher Marie et Joseph de l'entendre, il chuchota dans l'oreille de l'enfant Jésus :
- Je ne peux pas... mon dessin est trop moche... personne ne veut le regarder !
- Justement, dit l'enfant dans la crèche, c'est pour cela que je le veux... Tu dois toujours m'offrir ce que les autres rejettent et ce qui ne leur plaît pas en toi.
Ensuite, poursuivit le nouveau-né, je voudrais que tu me donnes ton assiette.
- Mais je l'ai cassée ce matin ! bégaya le garçon.
- C'est pour cela que je la veux... Tu dois toujours m'offrir ce qui est brisé dans ta vie, je veux le recoller...
Et maintenant, insista Jésus, répète-moi la réponse que tu as donnée à tes parents quand ils t'ont demandé comment tu avais cassé ton assiette... Le visage du garçon s'assombrit, il baissa la tête honteusement et, tristement, il murmura :
- Je leur ai menti... J'ai dit que l'assiette m'avait glissé des mains par inadvertance ; mais ce n'était pas vrai... J'étais en colère et j'ai poussé furieusement mon assiette de la table, elle est tombée sur le carrelage et elle s'est brisée !
- C'est ce que je voulais t'entendre dire ! dit Jésus. Donne-moi toujours ce qu'il y a de méchant dans ta vie, tes mensonges, tes calomnies, tes lâchetés et tes cruautés. Je veux t'en décharger... Tu n'en as pas besoin... Je veux te rendre heureux et sache que je te pardonnerai toujours tes fautes.
Et en l'embrassant pour le remercier de ces trois cadeaux, Jésus ajouta :
- Maintenant que tu connais le chemin de mon Coeur, j'aimerais tant que tu viennes me voir tous les jours...
Anonyme

left by poutounou on 15/12/2015  
Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bien…..
*
DES PETITS RIENS
*
Les petits riens qui font les grands moments
Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps
Les atomes de vie qu'on attrape en rêvant
*
Ces petits riens ont tous quelque chose
Quelque chose en commun qui nous métamorphose
Ces éclairs de vie qui courent entre les choses
*
Saurions-nous les retrouver ?
Voudrais-tu les partager ?
Ces moments de vérité
*
Les petits détails qui ne paient pas de mine
Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent
Un souffle entre les mots, un rire qui culmine
*
Ces petits riens qui font nos grands moments
Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps
Et plus on les désire, plus on les attend.
*
Boris

left by Biscuit on 15/12/2015  
Je me souviens de toi
Au jour du sans lendemain
J'ai gardé le souvenir de mes mains
Qui te pressais tout contre moi
Tu ne disais mot, pourtant je t'écoutais
Seul le silence, se faisait entendre
Mes larmes perlées, nos âmes s'entretenaient
La tristesse de ce moment, se faisait comprendre
Tu me disais, de ne pas en vouloir à Dame Nature
Que je devais poursuivre mon chemin
Et que tu serais toujours là pour l'aventure
Qu'il n'y aurait pas de sans lendemain
Tu parcourais déjà les étoiles
Que mes entrailles hurlaient encore
Mon visage portait le voile
La souffrance, le vide, emplissaient mon corps
La souffrance ne m'a pas quittée
Mais le vide s'est apaisé
Dans mon coeur, tu es resté
Sans jamais pouvoir, te caresser...,

left by colombine67 on 15/12/2015  

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,
Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,
Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.
Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,
Nous nous croirons encor de jeunes amoureux,
Et je te sourirai tout en branlant la tête,
Et nous ferons un couple adorable de vieux ;
Nous nous regarderons, assis sous notre treille,
Avec de petits yeux attendris et brillants,
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.
Sur le banc familier, tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer ;
Nous aurons une joie attendrie et très douce,
La phrase finissant souvent par un baiser.
Combien de fois jadis j'ai pu dire : « Je t'aime ! »
Alors, avec grand soin, nous le recompterons ;
Nous nous ressouviendrons de mille choses, même
De petits riens exquis dont nous radoterons.
Un rayon descendra, d'une caresse douce,
Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser,
Quand, sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.
Et, comme chaque jour je t'aime davantage -
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain -,
Qu'importeront alors les rides du visage,
Si les mêmes rosiers parfument le chemin.
Songe à tous les printemps qui dans nos coeurs s'entassent,
Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens,
Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent
Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens ;
C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge.
Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main,
Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage :
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain !
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve
Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur,
Retenir, s'il se peut, l'impression trop brève,
Pour la ressavourer plus tard avec lenteur ;
J'enferme ce qui vient de lui comme un avare,
Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours ;
Je serai riche alors d'une tristesse rare,
J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours ;
Ainsi, de ce passé de bonheur qui s'achève,
Ma mémoire parfois me rendra la douceur,
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve
J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur.
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,
Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,
Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.
Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,
Nous nous croirons encore aux heureux jours d'antan,
Et je te sourirai tout en branlant la tête,
Et tu me parleras d'amour en chevrotant ;
Nous nous regarderons, assis sous notre treille,
Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans...
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs !
Rosemonde Gérard




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Highslide JS

En Bretagne dans une flaque d'eau. Tu aimais l'eau mais pas les vagues...
Highslide JS

Tu viens ! On joue...
Highslide JS

Highslide JS

Tu étais beau comme un coeur !
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P'tite tête dans les sapins !
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Sieste dans le jardin...
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Quel doux regard !
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Dodo mon mamour à moi...
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