|
|
|
|
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
31 personnes aiment cette page |
En hommage à
RUBENS
140 bougies
63029 Fleurs
Déposé par rafia Une légère brise de mots, jaillit de mon clavier...les lettres font une farandole, pr t'apporter mes + doux bisous du soir mon ange Déposé par rafia Quand les fées dansent ds les bois, mystérieuses, éternelles, je demande à la lune de bien veiller sur toi, mon ange Déposé par seensouaree Dans ce bouquet se cachent de tendres câlins rien que pour toi.amitiés à ta maman Déposé par myriam31 « C’est parce que quelqu’un que nous aimons est au ciel… Qu’il y a un petit bout de paradis dans nos maisons ». Déposé par rafia Rubens mon ange...mon passage en...pattes de velours pr déposer mes bisous nocturnes avec tendresse et douceur Déposé par rafia mon adorable Rubens quelques mots sur un clavier...me voici transportée destination ton Magic-Paradise, pr te faire mes + doux bisous mon ange. Déposé par LINCE34 de belles roses pour ce 1ier juin et des bises sur ta truffe beau rubens, de ton nuage veille bien sur ta maman et le joli iron |
6746 messages
Déposé par nounours le 01/05/2015. ...............BONNE FETE DU 1 MAI........ . ...........Il est revenu le temps du Muguet............. ...........Comme un vieil ami retrouvé......... ...........Il est revenu flâner le long des quais.......... ...........Jusqu'au banc où je t'attendais............ ...........Et j'ai vu refleurir........... ...........L'éclat de ton sourire............ ...........Aujourd'hui plus beau que jamais.......... ...........Le temps du Muguet ne dure jamais............ ...........Plus longtemps que le mois de Mai........... ...........Quand tous ses bouquets déjà se sont fanés............... ...........Pour nous deux rien n'aura changé............... ...........Aussi belle qu'avant.......... ...........Notre chanson d'amour.............. ...........Chantera comme au premier jour............ ...........Il s'en est allé le temps du Muguet............. ...........Comme un vieil ami fatigué........... ...........Pour toute une année pour se faire oublier.............. ...........En partant il nous a laissé........... ...........Un peu de son Printemps......... ...........Un peu de ses vingt ans............ ...........Pour s'aimer pour s'aimer longtemps.......... ...........Le temps du Muguet.......... . ............Francis Lemarque................ . .BONNE FËTE DU PREMIER MAI SANS OUBLIER TOUTE TA FAMILLES............... . |
Déposé par seensouaree le 01/05/2015Hier je suis allée me promener Et j''ai cueilli du muguet J' en ai rempli mon panier Ma corbeille a débordée Donc ce que j' ai récolté Je viens vous l' apporter Avec amour et ferveur Je le distribue avec mon coeur En ce beau jour du 1er Mai Que cette petite fleur à la clochette parfumée Vous apporte du bonheur Qu'elle chasse vos malheurs Qu' elle vous apporte l' allégresse Avec beaucoup de tendresse. Avec toute mon amitié Seensouarée |
Déposé par ovanek le 01/05/2015❤ Enfin te voilà, Un joli brin de senteur Petit brin de bonheur Sur les ailes de ton cœur Pose sa blancheur Vive les clochettes D’un petit brin de muguet Rends la vie plus gaie De ton essence irriguée pensée ❤ |
Déposé par colombine67 le 01/05/2015Le 1er mai, c'est la fête du muguet, Mais c'est aussi la fête du travail. C'est donc avec un effort surhumain que j'écris ce texte pour vous souhaiter un 1er mai revigorant, et vous envoyer un brin de muguet plein du soleil printanier. |
Déposé par Biscuit le 01/05/2015C'est le premier mai Cherchons, cherchons... Les brins de muguet. Dans les bois, sur les talus, Sentez, sentez... Ces belles clochettes parfumées. Regardez ce massif de fleurs : Cueillons, cueillons.. Ce porte-bonheur. Amitiés |
Déposé par rafia le 01/05/2015Repose en paix Un beau matin je t'es rencontré . Que j'étais heureux ce matin la Content d'avoir avec toi partagé , mes secrets , mes bonheur , mes tracas ... Heureux de t'avoir comme ami . Tous les deux, on était inséparables Si joyeux d'avoir pu oublier mes soucis , Et de dormir dans les endroits les plus confortables. Moi qui pleurais derrière ma cage , J'ai finalement eu beaucoup de chance , D'avoir été accepté dans un nouveau foyer entouré de beaux pâturages, Enfin , j'ai retrouvé l'amour de mon enfance... Mon ami , Tu m'as tout appris . Appris que l'on peut être heureux En vivant gaiement sa vie ! En partageant chaque instant à deux ... Et quoi qu'il arrive , Tu resteras a jamais , La perle d'or unique , Le rayon de soleil Qui m'a guéri.. Mais seul a présent , Je vais la continuer ... dans quelques moments Je devrai te quitter Et de toi , me séparer . Je ne sais pas là ou je vais , Mais je sais qu'importe Où j'irais , Même si je ne suis plus à tes cotés ... On se retrouvera Comme ce beau matin ou je t'es Rencontré ... Auteur inconnu |
Déposé par myriam31 le 30/04/2015Joli mois de Mai… Quelques brins de douceur Quelques brins de bonheur Pour apporter la chance Et la joie à ceux qui t’aiment. Je vous offre ce poème, C’est bien peu Mais c'est avec mon coeur Que je vous souhaite Toute une année de bonheur De milliers de brins de muguet, je recouvre ta jolie frimousse Que ces clochettes t’apportent Douceur, bonheur au paradis. .Bien amicalement la maman de BB Lucky |
Déposé par colombine67 le 30/04/2015Les chiens seniors Je ne suis qu’un chien sénior et bientôt au crépuscule de ma vie Cette vie qui n’a été que souffrance, que maltraitance et oubli Je ne cherche rien d’autre qu’un peu de chaleur pour mes vieux os qui craquent de douleurs Un peu d’amour dans une main pour une caresse sans fin Demain déjà la nuit éternelle descendra sur moi qui n’aurait jamais connu la moindre joie En ce bas monde pourtant il y a certainement une famille qui me remarquera Je ne cherche rien d’autre qu’un peu de respect un lit douillet pour me reposer je ne prends pas de place, je sais me faire discret et ce serait pourtant pour moi si parfait Même si le temps m’est compté je saurais tellement vous apporter car j’ai tellement d’amour à donner.. si seulement les yeux sur moi vous pouviez poser |
Déposé par rafia le 30/04/2015La prière d'un chien Ce matin -là , cher maître ... Restera ancré en moi . Je me souviens d'avoir versé toutes mes larmes sur toi... Près de toi , je me suis blotti. Je sentais que ton âme était déjà partie ... Mais la mienne est restée rejoignant la tienne par mes pensées . Mais tout cela , ne suffit pas . J'aurais tout essayé pour te rendre la vie ... Il pleut sur ta tombe mon Maître ... Moi qui t'aimait de tout mon être... Tu es parti sans pouvoir me dire au- revoir , sans avoir posé sur moi un dernier regard ... La douleur t'en a empêché. Je me souviens de toi maître ... D'un si beau passé , de notre bonheur partagé , et de cette grande amitié qui , en nous , S'était créee Mais peut-être que de tout là- haut , toi tu me vois. Mais malheureusement Qui me le prouvera ? Comme tous les jours , J'attends ton retour , même si je sais Que tu ne reviendras jamais. Quand ces hommes sont venus , J'ai eu si peur que je suis parti. Quand je suis revenu , je les ai revus et j'ai compris qu'ils t'emmenaient, loin de notre demeure , de notre havre de paix . Que tu étais beau maître , avec ton sourire qui cachait tes peines malgré que j'arrivais toujours à les deviner. Ta tendresse valait plus d'or que n'importe quel amour, que quelqu'un pouvait donner . Maintenant je ne demande qu'une chose . Te rejoindre là où tu es . Je sais que c'est la mort qui nous a séparés . Mais elle a oublié que rien ne peut séparer l'amour . Alors pourquoi ne pas l'affronter à mon tour ? C'est sur ta tombe que je finirai mes jours .... C'est sur ta tombe que j'attendrai cette heure Où je te retrouverai pour Toujours . Auteur inconnu, **************** Ma très chère amie, M'auriez-vs caché.... vos talents avérés de poétesse ??? Mille bisous ..autant de mercis Maryem votre amie |
Déposé par Galiama le 29/04/2015Regard désarmé J’ai franchi l’autre rive, Vers d’autres paysages, Où j’apprends à aimer, Pas à pas Dans tes bras. La vie n’est plus nocive J’ouvre, sur ton visage Mon regard désarmé… (Christophe Bregaint) |
Déposé par colombine67 le 29/04/2015 S’il y avait quelque part un être assez bon pour pouvoir juger toute la bonté du monde, et qu’il mît d’un coté de la balance le cœur des Chiens, et de l’autre celui de toutes les créatures de Dieu, Nos cœurs de Chiens seraient si lourds que le Juge se voilerait la face, car le Chien est plus près du Christ que l’homme. Je n’ai jamais vu d’ange, et je ne sais pas ce qui se passe au ciel ; mais, sur la terre, nul n’est meilleur que Nous (les Chiens) Paul Achard |
Déposé par rafia le 29/04/2015Mon fidèle ami Hélas ! rentrer tout seul en sa demeure déserte, Sans voir à son approche une fenêtre ouverte, Sans qu'un seul être vous accueille à l'horizon, Et qu'on se dise :Mon retour réjouit ma maison ! Une sœur, un ami, une épouse, un père, une mère, Compteraient de loin les pas qui me restent à faire, Et dans quelques moments, émus de mon retour, Tous unis, en cette maison, m'abriteront d'amour ! Mais, rentrer, seul, dans la cour se glisser en silence, Sans qu'au-devant de vôtre pas un pas connu s'avance, Rien ne fait plus mal que l'absence d'un doux regard. Mon chien ! lui connaît la distance qui nous sépare, Seul mon chien sait à quel point je lui ai manqué ; Comptant les pas entre moi et lui, lui seul m'accueillait ! Maxalexis. |
Déposé par poutounou le 28/04/2015A vos plumes ! * A ceux qui n'osent point ou qui ont peur, Ceux pour qui écrire semble paralysie, Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur. Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis. Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur... Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs. Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits, Humectez les un peu de votre coeur Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit. Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur, Rêvez d'être publiés sans être érudits... Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie... |
Déposé par nounours le 28/04/2015. ..................LE TEMPS............. . .............Je sais qu'une année......... .............C'est 12 mois...... .............Je sais qu'un mois.......... .............C'est 4 semaines............ .............Je sais qu'une semaine............ .............C'est 7 jours.......... .............Je sais qu'une journée....... .............C'est 24 heures.......... .............Je sais qu'une heure.............. .............C'est 60 minutes............ .............Je sais qu'une minute.......... .............C'est 60 secondes............ .............Je sais qu'une seconde............... .............C'est l'éternité sans toi.......... . ......AMITIE FIDELES A MAMAN QUE J'AIME BEAUCOUP................ . |
Déposé par colombine67 le 28/04/2015 Toute la presse a répondu dernièrement à l'appel de la Société protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bêtes. Ce serait là une espèce d'hospice, et un refuge où les pauvres chiens sans maître trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur réserve l'administration. Les journaux, à ce propos, ont rappelé la fidélité des bêtes, leur intelligence, leur dévouement. Ils ont cité des traits de sagacité étonnante. Je veux à mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point. Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hôtel élégant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, à moitié dégourdi seulement, un peu lourdaud, épais, obtus, et bon garçon. Comme il rentrait un soir chez ses maîtres, un chien se mit à le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bête à marcher sur ses talons le fit bientôt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu. C'était une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derrière l'homme d'un air lamentable et affamé, la queue serrée entre les pattes, les oreilles collées contre la tête ; et, quand il s'arrêtait, elle s'arrêtait, repartant quand il repartait. Il voulut chasser ce squelette de bête ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'éloigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derrière, attendant ; puis, dès que le cocher se remit en marche, elle repartit derrière lui. Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut le dos tourné. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'échine pliée comme un cercle et toutes les côtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitié pour cette misère de bête : "Allons, viens !" dit-il. Aussitôt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptée, et au lieu de rester dans les mollets du maître qu'elle avait choisi, elle commença à courir devant lui. Il l'installa sur la paille de l'écurie, puis courut à la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangé tout son soûl, elle s'endormit, couchée en rond. Le lendemain, les maîtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardât l'animal. Cependant la présence de cette bête dans la maison devint bientôt une cause d'ennuis incessants. Elle était assurément la plus dévergondée des chiennes ; et, d'un bout à l'autre de l'année, les prétendants à quatre pattes firent le siège de sa demeure. Ils rôdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clôturait le jardin, dévastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspéraient le jardinier. Jour et nuit c'était un concert de hurlements et des batailles sans fin. Les maîtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantôt de petits roquets à queue empanachée, des chiens jaunes, rôdeurs de bornes, vivant d'o*****s, tantôt des terre-neuve énormes à poils frisés, des caniches moustachus, tous les échantillons de la race aboyante. La chienne, que François avait, sans malice, appelée "Cocote" (et elle méritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fécondité vraiment phénoménale, des multitudes de petits chiens de toutes les espèces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait à la rivière noyer une demi-douzaine d'êtres grouillants, qui piaulaient déjà et ressemblaient à des crapauds. Cocote était maintenant devenue énorme. Autant elle avait été maigre, autant elle était obèse, avec un ventre gonflé sous lequel traînaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissé tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes écartées à la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et exténuée aussitôt qu'elle s'était promenée dix minutes. Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bête pour sûr, mais qu'est, ma foi, bien déréglée." Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisinière en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traînait. Le maître ordonna à François de se débarrasser de Cocote. Le domestique désespéré pleura, mais il dut obéir. Il offrit la chienne à tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lâcher dans une ville éloignée. La chienne retrouva sa route, et, malgré sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son écurie. Cette fois, le maître se fâcha et, ayant appelé François, lui dit avec colère : "Si vous ne me flanquez pas cette bête à l'eau avant demain, je vous fiche à la porte, entendez-vous !" L'homme fut atterré, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il réfléchit qu'une place nouvelle serait impossible à trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traînerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un régiment de chiens. Donc il fallait s'en défaire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la rivière était le seul moyen. Alors il pensa à donner vingt sous à quelqu'un pour accomplir l'exécution. Mais, à cette pensée, un chagrin aigu lui vint ; il réfléchit qu'un autre peut-être la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bête ! Et il se décida à faire la chose lui-même. Il ne dormit pas. Dès l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, étira ses membres et vint fêter son maître. Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir. Ils gagnèrent la berge, et il choisit une place où l'eau semblait profonde. Alors il noua un bout de la corde au cou de la bête, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha à l'autre bout. Après quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrée sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction. Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout à coup il se décida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se débattant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraînait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tête disparut la première, pendant que ses pattes de derrière, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent à la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve. Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hanté par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse. Il l'avait noyée vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillité que longtemps après. Enfin il n'y pensait plus guère, quand, vers le milieu de juin, ses maîtres partirent et l'emmenèrent aux environs de Rouen où ils allaient passer l'été. Un matin, comme il faisait très chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nauséabonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putréfaction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'était sa chienne, Cocote, portée par le courant à soixante lieues de Paris. Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effaré, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit à marcher au hasard devant lui, la tête perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osé toucher un chien. Cette histoire n'a qu'un mérite : elle est vraie, entièrement vraie. Sans la rencontre étrange du chien mort, au bout de six semaines et à soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquée, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bêtes sans abri ! Si le projet de la Société protectrice des animaux réussit, nous rencontrerons peut-être moins de ces cadavres à quatre pattes échoués sur les berges du fleuve. 2 juin 1881 |
Déposé par Biscuit le 28/04/2015Mon ami à quatre pattes Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas. C’était mon compagnon, mon ami de toujours Et comme les humains il connut le trépas. La maison désormais se retrouve sans lui. Il repose en forêt sous les feuilles jaunies. Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux Ses jappements de joie, son amour un peu fou ! Je garderai toujours le souvenir ému De cet ami charmant et à jamais perdu. Et je comprends très bien que l’on aime son chien Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien. de Christian Chabellard |
Déposé par rafia le 28/04/2015Hommage aux chiens abandonnés.... Quand ils ont claqué la portière Il n'a pas compris tout de suite Il a couru longtemps derrière Mais la voiture allait trop vite Et pendant des journées entières Il a vu les autos passer Mais vous, auriez-vous fait marche arrière En voyant ce chien sans collier ? Car après les premières caresses Puis quelques mois d'indifférence Beaucoup de chiens perdent leur laisse Au début des grandes vacances… Comme un objet que l'on jette Quand il n'est plus au goût du jour Il sera remplacé peut-être Par un chien plus jeune au retour… Le chien abandonné en été par ses maîtres Flaire toujours la route et fait des kilomètres Il traverse les villages et s'approche des enfants Qui n'osent le caresser de peur qu'il soit méchant, De peur qu'il soit méchant Il n'a pas oublié ses maîtres Depuis le jour qu'il vagabonde Et pour les retrouver peut-être Il ira jusqu'au bout du monde Il n'a plus d'âge et plus de race Qu'importe comment il s'appelle Mais à le voir suivre leurs traces Moi, je vais l'appeler Fidèle Le chien abandonné en été par ses maîtres Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais De chien abandonné. Avec toute ma bien sincère Amitié; Mille mercis pr la vôtre. + 1000 bisous + ma tendresse pr le bel Iron...iron iron..petit patapon... Votre amie Maryem. |
Déposé par spanky le 27/04/2015Mon esprit sait Que tu es dans un autre monde Où il n'y a aucune douleur. Tu y es en paix. Je le comprends, je regrette juste De ne pas pouvoir l'expliquer à mon coeur. Ce vide ne se remplira jamais. Mais je sais Que nous serons ensemble de nouveau réuni Et que jusque-là, Mon amour sera pour toi. |
Déposé par choupinou le 27/04/2015Je suis assise ici,seule,si triste et solitaire je pense a toi si souvent,chaque minute du jour me demandant comment tu vas,ce que tu fais, souhaitant te serrer si fort dans mes bras. Je suis assise là,me souvenant de tout ce que nous avons partagé rêvant de toi, a tout,a qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi, parfois je crois a ma force et que le temps qui nous sépare, s'écoulera vite,ce n'est qu'une petite tréve,mais qui fait mal. Et puis parfois,je m'assieds et de nouveau je pleure et me demande: Pourquoi faut t'il que l'amour fasse si souffrir.... Bien que parfois dans ma solitude,quelque part dans le vide, je me sent pourtant encore aimée,et je réalise : que ce n'est pas l'amour qui fait si mal .... C'est d'être sans toi,sans ta présence a mes côtés...., |
Déposé par colombine67 le 27/04/2015Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable. Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser." "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?" "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée. Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: "Pemndant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin". Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses." Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes. Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous, Mady! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste. |
L'Album photo contient 32 photos