En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012


En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012

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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
 


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En hommage à PUNKY du Moulin de Labatut

Mon tendre chéri,

Il n'y aura pas eu le miracle tant espéré, tu viens de ns quitter ns laissant, Papa, les enfants, et moi, totalement anéantis par la douleur.
Ns sommes aussi inquiets pr ton copain de tjrs, le petit Rock, car il réagit très mal à ton départ.
Toi, qui n'était qu'Amour il a fallu que cette tumeur de l'aine énorme et hélas, cancéreuse, t'emporte. Sa progression a été fulgurante. Combien j'ai redouté son ablation en raison de ton âge...mais il était impossible de la laisser encore se développer, tu n'aurais pu plus marcher.(* plus tard, ns apprendrons qu'il ne fallait surtout pas faire l'ablation de cette tumeur !!!)


Le 5 juin, jour fatidique de l'opération..j'ai angoissé jusqu'à ton retour à la maison. Mais tu semblais avoir bien supporté l'opération et le Dr Jean Sacal avait dit à papa que ton comportement avait été exemplaire.
Le 11 juin, papa doit te ramener, en urgence, chez Jean car tu sembles souffrir, tu pleures.

Je ne suis pas présente, retenue, loin, à cause de ma santé.....plus tard papa me dira que ce jour là, le Dr Sacal, te fera le cocktail-miracle qu'il injectait à Rafia...ladite médication lui ayant permis de vivre 21 mois, avec un diabète très grave, résistant à l'Insuline.( * et là aussi...ns apprendrons, plus tard..que tout ce qui devait être mis en place pr la petite Rafia...ne l'avait pas été...par ignorance des vétos...Sacal et Maupommé.

Mais pr toi...c'est l'échec total et la consternation de Jean Sacal qui dira à papa "qu'il ne peut plus rien faire"...
Le 12, au matin, tu demanderas à manger à papa...Tu mangeras 1 steack hâché plus des haricots verts, car tu refuses tes croquettes; Le soir, tu remangeras un autre steack, tjrs hâché.

Le 13...tu n'as pas d'appétit...1/2 steack hâché pr la journée et tu vomis bcp à 23 h.
Le 14...ce n'est pas mieux : 1/2 steack hâché (soit 50g) et...20 g d'haricots verts..le tout pr la journée. Papa me dira qu'au jardin...tu as "coursé", le long de la clôture, comme à ton habitude, camions et tracteurs.

Le 15 papa te ramène chez le Sacal, qui lui dit, :que "tu es condamné".
Tu refuses toute nourriture même tes friandises que tu adores...
Papa réussit à te faire manger..3 bouchées de steack hâché que tu vomis.

tu voudrais bien manger, tu en as l'envie, mais tu ne le peux pas;..des ulcères ds la bouche ???

Le 16, papa a l'idée,approuvée par Sacal de te donner, à l'aide d'une seringue un petit pot "bébé" de pois/jambon...tu en mangeras 150g/pr la journée.

Le 17...tu mangeras 100 g de fromage blanc à 20 %...que tu adores...et que tu avais découvert avec Rafia qui en consommait 3 pots/jou !. Mais toi, c'est tjrs à la seringue. tu accepteras aussi, en plusieurs fois, de manger 150 g de petit pot "bébé".

C'est la fête des Pères, ns sommes ts réunis et toi, tu sembles content d'être avec ns....même si je te trouve faible. Mais ce jour-là, tu remues à nouveau ta queue et je prends cela pr une bonne nouvelle.

Mais le soir venu...rien ne va plus...vomissements itératifs + diarrhée.
Et là, mon Punky dit "Titi", il faut que je loue ta propreté exceptionnelle, tu demanderas tjrs à sortir. La nuit, tu veux aussi sortir et c'est moi qui m'occupe de toi; Je te prends ds mes bras, pr remonter les marches de la terrasse...

18 juin...c'est la catastrophe...tu vomis même le peu d'eau que tu bois..car Sacal dit : qu'il faut te restreindre en eau..que tu voudrais boire en grosse quantité à cause du taux d'urée si important.

La nuit du 18 au 19...ns la passons ensemble, isolés ds une autre chambre pr ne pas empêcher papa de dormir... Paramour s'invitera et demeurera avec ns jusqu'à 4 h....et Rock, qui est aussi là...lui, il restera jusqu'à 7 h, au lever de papa..
A partir de minuit, je te donne à boire, par très petites quantités et je "crie" à la victoire...car tu ne vomis plus...

Toute cette nuit, tu la passeras à naviguer; A plusieurs reprises, je te prends, avec moi, sur un canapé..je te caresse, je te dis combien je t'aime..et je retiens mes larmes...mais toi, tu refuses de rester et tu demandes très vite, à redescendre, alors je t'aide.

Tu sembles agité...je vois bien que tes pattes ont de la peine à te porter mais toi, tu restes debout, tu marches encore et encore...ce qui m'angoisse car cette attitude me rappelle avec frayeur...le départ de la petite Rafia.
A 10 heures...tes pattes se dérobent...tu tombes à terre.....mais tu pars, tout de même, en laisse, avec papa


Papa, qui t'amène, comme convenu... pr le retrait des points de suture...

Sacal tente de te faire un nouveau protocole qu'il t'injecte pr faire chuter l'urée...et tu reviens à la maison. (* ns ne saurons jamais la "recette" de ses cocktails..magiques"...OU maudits !!!)

Tu voudrais bien boire...tu ne le peux pas. Tu n'arrives même plus à tenir ta belle petite tête......Tu ne peux tjrs pas tenir sur tes pattes alors papa te met sur notre lit. Il est 11 heures...Je ne te quitterai plus...je te couvre de bisous..je te caresse...je te dis combien ns t'aimons, combien tu ns es précieux...combien ns te remercions de tout l'amour que tu ns a donné durant 12 ans et 6 mois...mais tu ne m'entends plus, tu es ds un état semi-comateux...Tes beaux yeux sont fixes...de temps en temps tes pattes s'agitent nerveusement...et tu respires vite.
Toi..qui étais tout en muscles...on aurait dit que tes muscles avaient fondu.
Sacal ( boucher plus que véto!) a prévenu, qu'au stade final, tu aurais des convulsions assorties de souffrances...alors, il est 15 h 30, ns prenons la décision qui s'impose, ...un dernier acte d'Amour...pr toi notre Punky adoré...celui de te faire aider à partir...et la tragique échéance intervient à 16 h...
Mon Punky ..notre Punky adoré...comme tu ns manques !!!

--------------------------

Mon Titi d'Amour

Je me dois, mais surtout je TE DOIS d'apporter les rectifications qui s'imposent. Lorsque confrontés à l'état alarmant de Rock, qui ne se nourrissait plus, qui avait cette "grosseur" impressionnante, au bas du dos..ns avons décidé de demander un autre avis ( et merci au véto de garde de Cavignac, qui sans que cela soit volontaire...ns a fait opter pr ce choix.

En effet, c'est son comportement qui ns a bcp surpris : il était de garde..mais n'étant pas au Cabinet...cela le dérangeait d'y venir et ensuite, papa a pu se rendre compte...combien vs le dérangiez, avec cette urgence, pourtant justifiée).
Puisqu'il a eu l'audace de refuser l'urgence...

Il fallait donc voir un autre véto....qui lui, daigne s'occuper de RocK.

Pr Rock...nouveau diagnostic, et une prise en charge remarquable du vétérinaire que ns avons choisi pr continuer de suivre Rock et Paramour.
Et une amélioration spectaculaire, en peu de temps de l'état de Rock..à qui, il a sauvé la vie.

A la suite de cette visite et de celles qui suivront, ns apprendrons, consternés, que ns avions voué une confiance AVEUGLE, à deux vétos, qui ne méritaient pas cette confiance....dont l'un se prétendait...être notre ami !!!
Mon Titi d'Amour, l'un et l'autre savaient pertinemment que l'on opère pas ce type de cancer chez un sujet de ton âge. Et surtout, on occulté l'ablation qu'il y avait à faire...-et qui n'a pas été faite, ce qui a généré ce maudit cancer- ...devait l'être avant tes 4 ans/...et là...tu en avais déjà 12 et demi !!!
Et puis...pas d'anesthésie au gaz...pourquoi ???

Tu ne souffrais pas, alors pourquoi cette décision infâme de vouloir t'opérer ???Pr ce qu'elle rapportait, financièrement !
Jean Sacal a sacrifié ta VIE...pr un profit financier , non négligeable !!!

Il aurait suffi de te laisser vivre, en PAIX, le temps qu'il te restait, avant que n'interviennent les souffrances...cela aurait pu encore durer des mois...

Puis, le moment venu...ns aurions pris la décision qui se serait imposée....mais ton départ n'aurait pas été aussi tragique !!!

Ns n'avons jamais su...quels produits contenaient les "cocktails magiques"...OU maudits" qui t'ont été injectés...les mêmes que la petite Rafia.

C'est comme toutes les injections qui étaient pratiquées....avec de la Cortisone pr petit Rock aussi....alors que la Cortisone avaient des effets secondaires néfastes sur son petit coeur. Cette Cortisone employée pr TOUT soigner...ou plutôt pr TOUT empirer.

Pr les dermatoses de Rock...ns en étions arrivés à le faire désensibiliser....tous les 15 jours, pr rien. C'est dramatique l'inconséquence de certains vétos !!!
Ils n'ont pas choisi la bonne voie professionnelle...ils auraient du être...bouchers!!!

Pourtant la pharmacopée vétérinaire ne contient pas que de la Cortisone...mais il faut se donner la peine de suivre l'évolution des produits...mais aussi de pratiquer les analyses nécessaires..;d'utiliser tout le matériel adéquat...Echographie...IRM..Doppler..etc.

Mais...lorsque l'on ne possède pas ce matériel d'investigation...et bien question "profit";..l'on rechigne à solliciter les confrères....ns l'avons appris, HELAS, trop tard pr toi...trop tard, pr la petite Rafia.

Mais ns....parfaits crétins...ns continuions à faire confiance...à "gober", le peu qui ns était expliqué. Pr ns...ces vétos étaient géniaux..avec un comportement des plus amicaux.

Et puis..j'ai aussi appris, incrédule......que Sacal avait eu un geste déplacé, lorsqu'une fois que tu gisais ...mort, sur sa table...il allait te saisir par le cou...pr te jeter ds un sac plastique....comme l'on jette une vulgaire poche à ordures !!!
C'est le regard désapprobateur de l'assistante, conjugué à celui de papa..tout aussi sidéré...qu'il s'est enfin repris...mais pr papa c'était trop tard...car cela laissait deviner la réelle personnalité de ce vétérinaire.

Voilà mon Titi chéri, il ne ns reste que les regrets, regrets éternels qui ns rongent; Pourtant ns avons tjrs TOUT fait, pr vs TOUS, nos petits trésors et peu importe les factures vétérinaires à payer. Ns n'avions qu'une seule demande...."faire tout ce qui était possible...afin de vs préserver la vie".

Et j'oubliais...il fallait être..crétin, pr nier que ce soit un cancer...n'est-ce pas Jean Sacal??? (que le diable l'emporte)!!! Alors que Stéphanie, une des assistantes....avait "vendu la mèche", involontairement......comme l'on dit, familièrement.

Tu ns manques tant mon Titi d'Amour !!!




57 bougies

78963 Fleurs
Déposé par rafia
Déposé par rafia
et je ne suis pas mécontente de moi..oui!!! je sais, je me..congratule, ce n'est pas bien !!!
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Mon petit coeur d'Amour...aujourd'hui, j'ai essayé de rattraper mon retard, pr mes livraisons de fleurs...
Déposé par onyxia
Déposé par onyxia
et je n'oublie pas les calinous à Rock et Paramour qui j'espère vont bien.
Déposé par onyxia
Déposé par onyxia
Et pour toi Punky, petit trésor, des gros calins.
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Amitiés à maman Marie
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Amitiés à maman Marie
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Douce nuit mon petit cœur
Déposé par ringo
Déposé par ringo
Bon rétablissement à vous, chère Marie, avec plein de bisous!
Déposé par ringo
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Comment va notre cascadeuse préférée, ta maman?
Déposé par ringo
Déposé par ringo
Pour mon petit Punky chéri, tout plein de calinous!
Déposé par canajolie
Déposé par canajolie
je ne vous oublie pas doux calins..bisous a maman
Déposé par canajolie
Déposé par canajolie
un petit bonjour vite fait bel ange
Déposé par veroetjl
Déposé par veroetjl
pour mon petit copain,bisous.
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Sans oublier gros câlinous à rock et paramour et bisous à maman
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Mille bisous pour un tendre petit trésor
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Je t'envoie un océan de tendresse avec plein de bisous
Déposé par canajolie
Déposé par canajolie
tendres caresses bel ange pour toi et pour tes soeurs.reposer vous chere amie
Déposé par rafia
Déposé par rafia
j'ai des céphalées horribles qui ne cèdent pas. A demain mon chéri. mille bisous mon Punky adoré
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Mon Titi d'Amour...pardon, mais ce soir, je ne peux faire ma tournée
Déposé par canajolie
Déposé par canajolie
gos bisous de rocky qui est en super forme


5691 messages

Déposé par colombine67 le 27/01/2015  
Comment est-ce possible ?
Quand j'étais un chiot,
je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire.
Vous m'avez appelé votre enfant,
et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés,
je suis devenu votre meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi
et me demandais "Comment peux-tu?"
mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu,
parce que vous étiez terriblement occupés,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit
et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades
et courses dans le parc,
promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée
(j'ai seulement eu le cornet parce que
"la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil
en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail
et tu t'es concentré sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment,
t'ai consolé après chaque déchirement de cœur
et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions,
et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer,
et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne-chien »
mais je l'ai accueillie dans notre relation,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi.
J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés
et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur,
et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni
dans une autre pièce, ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer,
mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour".
Quand ils ont commencé à grandir,
je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés
sur leurs jambes branlantes,
ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles,
et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses
parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits
et écoutais leurs soucis et rêves secrets,
et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps,
quand les autres te demandaient si tu avais un chien
et qu'ils te demandaient une photo de moi
tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille
et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais "juste oui"
et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de "ton chien"
à "seulement un chien",
et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière
dans une autre ville,
et vous allez déménager dans un appartement
qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta "famille",
mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture
jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats,
la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et tu as dit:
"Je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui".
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face
à un chien entre deux âges,
même un avec "des papiers".
Tu as dû forcer les doigts de ton fils
pour les détacher de mon col et il criait
"Non, Papa! s'il te plaît,
ne les laisse pas prendre mon chien!"
Et je me suis inquiété pour lui,
quelles leçons lui avez-vous apprises
à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté,
au sujet de l'amour et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie?
Tu m'as donné un « au revoir caresse » sur la tête,
tu as évité mes yeux, et tu as refusé
de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ,
les deux gentilles dames ont dit
que vous saviez probablement au sujet de votre départ
il y a de cela plusieurs mois,
et rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué leurs têtes et ont dit
"Comment est-ce possible?"
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge
que leurs programmes chargés ne le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr,
mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage,
je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve.
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un
qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte
que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots
qui folâtraient pour attirer l'attention,
je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas
quand elle s'approchait de moi en fin de journée,
et je piétinais le long de l'allée
jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille.
Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles,
et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir,
mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le « prisonnier de l'amour »
avait survécu à travers les jours.
Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété qu'elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais,
de la même manière que je connais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement
autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais
il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique
habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti le dard et les liquides
se répandre à travers mon corps,
je me suis assoupi,
l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré
"Comment as-tu pu?"
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage,
elle a dit "je suis si désolée".
Elle m'a étreint,
et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail
de s'assurer que j'aille à une meilleure place
où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné,
ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière
très différente de cet endroit.
Et avec mes dernières énergies,
j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle
et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue
que mon "Comment as-tu pu?"
n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie
continuer à te montrer autant de loyauté.
©Jim Willis 2001

Déposé par colombine67 le 26/01/2015  
voici un texte qui compte pour les hommes ainsi que pour les animaux
il faut toujours prendre le temps de dire ce qu'on ressent l'un pour l'autre
chez un animal tu le lis dans le regard
*****************************************
PRENDRE LE TEMPS DE DIRE
Un jour, un enseignant demanda à ses étudiants d'écrire les noms des autres étudiants dans la classe sur deux feuilles de papier et de laisser un espace entre chaque nom. Puis, il leur dit de penser à la chose la plus agréable qu'ils pourraient dire de chacun de leurs camarades et de le noter.
Cela a pris le reste du cours pour finir cette tâche, et chaque étudiant quitta la salle en remettant ses feuilles à l'enseignant.
Ce samedi-là, l'enseignant nota le nom de chaque étudiant sur une feuille individuelle pour chacun, et inscrivit ce que tout le monde avait dit de chacun.
Le lundi, il a donné à chaque étudiant sa liste respective.
Avant longtemps, la classe entière souriait. « Vraiment? » qu'il entendit chuchoté. « Je ne savais pas que j'avais autant d'importance pour qui que ce soit! » et, « Je ne savais pas que les autres m'aimaient autant.» fut la plupart des commentaires.
Personne n'a plus jamais parlé de ces papiers dans la classe à nouveau. Il n'a jamais su s'ils en avaient discutés après la classe ou avec leurs parents, mais peu importe. L'exercice était arrivé à son but. Les étudiants étaient contents l'un de l'autre.
Ce groupe d'étudiants termina finalement l'année.
Quelques années plus tard, un des étudiants fut tué au Viêt-nam et l'enseignant assista aux funérailles de cet étudiant spécial. Il n'avait jamais vu un homme dans un cercueil militaire avant. Il avait l'air si élégant, si mature.
L'église fut remplie par ses amis. Un à un, ceux qui l'avaient aimé sont allés pour une dernière fois voir le cercueil. L'enseignant fut le dernier à y aller.
Comme il se tenait là, un des soldats qui était porteur du cercueil, est venu vers lui. Il lui demanda : « Étiez-vous l'enseignant de math de Marc? »
Il hocha la tête en signe de « oui. »
Alors il lui dit: « Marc m'a beaucoup parlé de vous. »
Après les funérailles, la plupart des anciens camarades de classe de Marc sont allés déjeuner ensemble. Les parents de Marc étaient là , attendant de parler avec son enseignant de toute évidence. « Nous voulons vous montrer quelque chose, » dit son père en sortant un portefeuille de sa poche. « Ils ont trouvé ça sur Marc quand il a été tué. Nous avons pensé que vous pourriez le reconnaître ». En ouvrant le portefeuille, il a soigneusement enlevé deux morceaux de papier qui avaient évidemment été collés, pliés et repliés plusieurs fois.
L'enseignant a su sans même regarder que les papiers étaient ceux où il avait énuméré toutes les bonnes choses que chacun des camarades de Marc avait dit de lui.
« Merci beaucoup pour avoir fait cela, » dit la mère de Marc.« Comme vous pouvez le voir, Marc l'a gardé précieusement. »
Tous les anciens camarades de classe de Marc ont commencé à se rassembler autour de l'enseignant.
Charlie (l'enseignant) sourit d'une façon plutôt gênée et dit, « J'ai toujours ma liste dans le tiroir du haut de mon bureau à la maison. »
La femme de Chuck (un ancien étudiant) dit : « Chuck m'a demandé de mettre le sien dans notre album de mariage.
« J'ai le mien aussi, » dit Marilyne. « Il est dans mon journal intime. »
Alors Vicky, une autre camarade de classe, prit son livre de poche, en sortit son fragile morceau de papier contenant la liste et le montra au groupe. Puis elle dit : « Je porte ceci avec moi tout le temps » et sans battre de l'oeil, elle poursuivit: « Je pense que nous avons tous gardé notre liste. »
C'est à ce moment que l'enseignant s'est finalement assis et s'est mis à pleurer. Il a pleuré pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.
La quantité de gens dans la société est si grande que nous oublions que cette vie se terminera un jour. Et nous ne savons pas quand le jour viendra. Alors, s'il vous plaît, dites aux gens que vous aimez et dont vous vous souciez, qu'ils sont spéciaux et importants. Dites-leur avant qu'il ne soit trop tard...
Souvenez-vous que vous récoltez ce que vous semez,
PUISSE CE JOUR ÊTRE AUSSI SPÉCIAL QUE VOUS L'ÊTES!

Déposé par poutounou le 25/01/2015  
Le printemps reviendra
*
Hé oui, je sais bien qu’il fait froid,
Que le ciel est tout de travers;
Je sais que ni la primevère
Ni l’agneau ne sont encor là.
La terre tourne ; il reviendra,
Le printemps, sur son cheval vert.
Que ferait le bois sans pivert,
Le petit jardin sans lilas ?
Oui, tout passe, même l’hiver,
Je le sais par mon petit doigt
Que je garde toujours en l’air…
*
Maurice Carême
*
Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid…

Déposé par mindy le 25/01/2015  
La vie c'est comme le soleil,
Parfois ça brille de mille feux,
Parfois ça ne brille pas du tout,
La vie est faite de joies et de peines,
De colères et de bonheurs,
La vie c'est aussi être malheureux et souffrir,
Et parfois être heureux,
La vie est un mystère,
Il faut tout accepter dans la vie

Déposé par colombine67 le 25/01/2015  
Tu m'as donné tant de bonheur
Sans rien vouloir en retour
Mais voila qu'est venu l'heure
Où tu nous quitte pour toujours
Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie
Et maintenant te voila partie pour de bon
Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons
Ne l'oublie jamais à quel point je t'aime

Déposé par ovanek le 24/01/2015  


**** Sur ton chemin ****
un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin
Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher
ne laissant derrière elle que sont écumes
ont c’était rien promis mais on savait ce comprendre
J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi
je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres
Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ?
On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi
mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots
C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs
N'y va-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!!
d'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien…
maintenant tout est clair dans des moments sombres
Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi
Mes êtres cher… au cieux qui sont partis
ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi
Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela
Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom
je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes.
Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau
….ensemble tu verras on va devenir vieux…
le temps usure tout sur son passage….
Mais je serais la-t-elle une montagne face aux quatre Vents
Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ...
alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui ai Toi
pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris.
Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout
je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas
un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la…
Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien
**** Mes Pensées… Phil ****


Déposé par colombine67 le 24/01/2015  
J'ai fais une place pour Toi dans ma chambre
Pour que tu veilles sur moi la nuit
Que tu rayonne en mon coeur, mon âme
Et qu'à Tes côtés je grandisse.
J'ai fais une place pour Toi dans ma maison
Dans toutes les pièces, même le sous-sol
Pour que Tu inspires mes chansons
Et qu'à Ta vue je me console.
J'ai fais une place pour Toi dans ma vie
Pour m'aider à porter ma croix
Ainsi croire que le soleil luit
Et renforcer tous les jours ma foi.
J'ai fais une place pour Toi dans mon coeur
Pour apprendre de Ton vécu
Ne plus jamais connaître la peur
Car tu m'as toujours secouru.

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Il est temps
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
J'écoute quelquefois le soir
Des nouvelles à la télévision.
On y voit haine et désespoir,
Détruire notre monde sans raison.
On nous annonce au fil des jours
Que femmes et enfants sont agressés
Et qu'aussi certains vautours,
Vont jusqu’à tuer pour dominer
On a beau se parler d'amour,
De partager son amitié.
Qu'aussitôt dans le détour,
La rose sort ses épines acérées.
Pourquoi sommes-nous si violents ?
Pourquoi sommes-nous insouciants ?
Pourquoi sommes-nous si impatients ?
Pourquoi sommes-nous intolérants ?
Il est temps de faire la paix.
Autour de soi et sans délai.
Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
Ils sont au seuil de votre coeur.
Roger Kemp

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Sourions
On se retrouve seul, on a peur quelquefois et l'on regarde autour de soi, guettant sur un visage un soupçon de tendresse. Mais personne ne s'intéresse à personne, et ainsi tout va de mal en pis. Parfois le malheureux reste sur le tapis, comme à la vie plus rien ne le rattache, il crève dans son coin, sans que nul ne le sache.
Un sourire pourtant l'aurait tiré de là.
Sourions mes amis, quittons ces airs trop las, faisons-nous l'amitié, si rare à notre époque, de sourire pour rien, d'être aimable avec n'importe qui, pour n'importe quoi.
Gérard Sire

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Le manifeste de la gentillesse
Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur.
La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable.
Seules les personnes qui pratiquent un mauvais esprit récurrent vs diront "qu'être gentil/gentille..c'est être..servile"
Ces personnes se veulent..donneuses de leçons (oui !!! de mauvaises leçons !!!) et sont réfractaires à toute empathie sincère.
La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain.
POUR
En finir avec le chacun pour soi
Refuser le cynisme ambiant
Déjouer l'agressivité quotidienne
Dire non à l'indifférence
Choisir d'être plus attentif aux autres
Mettre de l'harmonie dans mes relations
Etre altruiste et bienveillant
JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR,
AVEC DES MILLIERS D'AUTRES,
UN MONDE PLUS HUMAIN

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Je m'efforcerai...
En toute humilité je m'efforcerai
D'être aimant, véridique, honnête et pur,
De ne rien posséder dont je n'aie pas besoin,
De mériter mon salaire par mon travail,
D'être perpétuellement vigilant
Sur ce que je bois et je mange,
De toujours être intrépide,
De respecter les autres religions autant que la mienne
Et de chercher à toujours voir le bien chez mon prochain,
De suivre fidèlement le svadeshi (*)
Et d'être un frère pour tous mes frères.
(*) devoir de service envers l'entourage immédiat
Mahatma K. Gandhi, Lettres à l'Âshram

Déposé par rafia le 23/01/2015  
Croyez en l'extase des nuages
qui traversent les grands horizons,
au petit vent du soir,
au coeur de l'été chaud.
Croyez en la douceur
d'une amitié,
d'un amour,
à la main qui serre votre main.
Car demain,
mais n'y pensez pas,
demain éclateront peut-être les nuages
et l'orage emportera vos amours.
Tenez-vous serrés,
ne vous endormez pas sur un reproche non formulé,
endormez-vous réconciliés.
Vivez le peu que vous vivez dans la clarté.
Julos Beaucarne

Déposé par mindy le 23/01/2015  
A toi qui as perdu un être qui t'était cher,
Retiens les souvenirs qui t'ont tant fait frémir,
Tu déplores ta tristesse, tu maudis l'éphémère,
Tu rêves de sa main pour pouvoir la tenir,
Il entame une autre ère comme on joue un prélude,
Regarde autour de toi même si tu ne le vois pas,
Offre-lui quelques mots malgré les habitudes,
Ressens donc sa présence car son âme est vers toi,
Les ailes lui ont poussé, il est devenu ange,
Bien heureux et posé il guidera tes pas,
Il veut te sentir bien, que surtout rien ne change,
La mort des âmes n'est pas, écoute le tout bas,
Il viendra te trouver sous forme déguisée,
Et malgré son absence, il va te soutenir,
Il te lance un message, celui de continuer,
Sur le chemin de la vie il veut te voir sourire..

Déposé par choupinou le 23/01/2015  
Souvenir.
En vain le jour succède au jour,
Ils glissent sans laisser de trace ;
Dans mon âme rien ne t'efface,
Ô dernier songe de l'amour !
Je vois mes rapides années
S'accumuler derrière moi,
Comme le chêne autour de soi
Voit tomber ses feuilles fanées.
Mon front est blanchi par le temps ;
Mon sang refroidi coule à peine,
Semblable à cette onde qu'enchaîne
Le souffle glacé des autans.
Mais ta jeune et brillante image,
Que le regret vient embellir,
Dans mon sein ne saurait vieillir
Comme l'âme, elle n'a point d'âge.
Non, tu n'as pas quitté mes yeux ;
Et quand mon regard solitaire
Cessa de te voir sur la terre,
Soudain je te vis dans les cieux.
Là, tu m'apparais telle encore
Que tu fus à ce dernier jour,
Quand vers ton céleste séjour
Tu t'envolas avec l'aurore.
Ta pure et touchante beauté
Dans les cieux même t'a suivie ;
Tes yeux, où s'éteignait la vie,
Rayonnent d'immortalité !
L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.
Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.
C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage ;
L'onde réfléchit ton image ;
Le zéphyr m'apporte ta voix.
Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.
Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.
Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.
C'est ta patte qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.
Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.
Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !
Alphonse de Lamartin

Déposé par colombine67 le 23/01/2015  
L'AMI FIDÈLE
Quand l'homme est seul, sur son chemin
Et dans la vie, dans ce monde, seul,
Pris de vertige, son cœur a faim,
Alors il aime son épagneul
Son chien fidèle, son "bon", "vieux", chien.
Quand l'homme est sourd, s'il n'entend plus
La vie, les cœurs, dans ce monde sourd,
S'il n'entend plus l'écho des rues,
Alors il aime son chien balourd,
Qui vient lécher ses chants déchus.
Si l'homme aveugle sentait les yeux
Du chien qui guide ses pauvres pas
Il y verrait un cœur joyeux
Et deux soleils... Même sans cela,
Ce chien, il l'aime, puisqu'ils sont "deux".
Si l'homme muet pouvait châtier
Sa déchirure et ses malheurs,
Il chanterait son amitié
A son chien vrai, son seul bonheur,
Son grand ami plein de pitié.
.... L'homme trop déchu, n'a pas crié ! ...
Son chien, racé ou bien bâtard,
Lèche son cœur, fruit oublié,
Et ces caresses effacent le noir
Qui tache l'âme de sa vie broyée.
Par les lumières de ces yeux, bons,
Levés vers lui, pleins d'amitié,
Soumis, fidèles, l'homme vit les sons,
La vie, la vue, pleins de pitié,
De son " seul", mais... chaud compagnon.

Déposé par mindy le 22/01/2015  
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
(La nuit n’est jamais complète - Paul Eluard)

Déposé par goulou50 le 22/01/2015  
Mon Ange,
Aujourd'hui j'aimerais tant que tu sois encore avec moi,
je sais que tu es parmi les étoiles
et que de là-haut tu brille pour nous protéger,
que tu es près de nous à chaque instant,
que tu me donnes la force de surmonter ton absence.
a chaque jour qui passe...
ton absence se fait sentir très fort,
quand j'ai le coeur lourd de tristesse,
quand mes larmes coulent,
je peux sentir tes baisers de papillon
qui par tes Ailes d'Ange,
tu viens me les sécher.
avec ta douceur qui est la tienne...
je sais que tu seras toujours là
jusqu'au jour ou l'on se retrouveras...
Je t'aime mon petit ange

Déposé par colombine67 le 22/01/2015  
oi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches,
Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ?
Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches,
Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas.
J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés,
J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés.
Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée,
Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer.
Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave,
Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler,
J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave,
Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler.
Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs,
Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal,
Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes,
J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal.
Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants,
Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour,
C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant,
J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour

Déposé par colombine67 le 21/01/2015  
Donner c’est la plus belle des choses, donner ce qu’on a de meilleur en soi,
donner son rire, sa joie de vivre, sa gaieté, son dynamisme, sa gentillesse, sa
tendresse, sa douceur, son écoute, sa compréhension.
On a tant de belles couleurs en soi qu’on peut offrir à l’autre, il suffit de
tendre la main, de sourire, de dire un mot qui s’envole gracieusement vers
l’autre et dépose sur son cœur un arc en ciel, une fleur, une petite lumière, un
soleil, une étoile…
Recevoir…. Quelle chose délicieuse ! Notre cœur se met à chanter, à danser et on
est heureux. La vie devient belle et on se met à danser !
Donner et recevoir sont des mots inséparables, de vrais amis qui ne marchent pas
l’un sans l’autre. Il faut le savoir et ne pas l’oublier….

Déposé par mindy le 20/01/2015  
Je marchais à l’épicerie,
pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture.
Je n’avais pas faim.
La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive.
Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs.
Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois,
il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose.
Je savais ce qu’il planifiait.
Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée,
avec trois roses jaunes dans sa main.
Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes.
Subitement, le cœur rempli de chagrin,
je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir.
Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant.
Magasiner, pour un, prenait du temps…
Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux!
Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait
et me suis souvenue à quel point il aimait son steak.
Soudainement, une femme approcha tout près de moi.
Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte.
Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains,
un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier,
hésita, et le remit dans le comptoir.
Elle se tourna pour partir,
mais décida de reprendre le paquet de steaks.
Elle s’aperçut alors que je la regardais,
et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones,
mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine!
Ravalant l’émotion,
je rejoignis ses yeux bleus et lui dit:
mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours.
Achetez-lui les steaks!
Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble!
Elle secoua la tête.
Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet,
le déposa dans son panier, et partit.
Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers.
J’étais là me demandant quel format me procurer.
Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée.
S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée.
Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses.
J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi.
Dans ses bras, elle portait un paquet.
Son visage affichait un sourire magnifique.
J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds.
Alors qu’elle s’approchait de moi,
j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains,
et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau.
Ceci est pour vous, me dit-elle,
en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras.
Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées.
Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau.
J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire,
ce que les roses représentaient.
Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner,
les larmes brouillant ma vision…
J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert
les trouvant presque irréelles!
Comment pouvait-elle savoir?
Soudainement, la réponse m’apparut clairement.
Je n’étais pas seule.
Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux!
Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange.
(source internet canadienne : « chez maya »)




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BIZZZZZZZZ Ma Sorella????.
je T'M ????{ton Maël)).
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
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BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
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Je SAIS. Pourquoi Ma Maman. T'aimait autant !
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
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Punky alias The Boss
Tendres MERCIS. MA Sorella ton Maël).
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The Family Westies
CREA de LEUR super Sorella. Un ANGE aussi !
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BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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