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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
67 bougies
78232 Fleurs
Déposé par dianhelene Beau tresor, dis à ta maman que je pense tres fort à elle....et que je l'embrasse |
5670 messages
Déposé par ovanek le 04/04/2015❤ **** Rêve volé **** Ce soir, j'ai rêvé si fort... J'ai cru que tu étais présent. La mer roulait sur les galets… grondants, Déposant au passage, des bois morts. Le ciel était limpide, transparent et pur Je plongeais mon regard, dans ton regard si doux, qu’il se confondait avec le ciel d'azur Et je savourais fort, c’est instant merveilleux. Un grand goéland blanc est venu atterrir Sur un bloc de granit, cherchant à se nourrir le vent nous enivrait, nous lançais ses bruns, Et comme avant on s'amusait sans fin. Là-bas, à l'horizon, deux belles colombes Semblaient presque 'immobiles, dans le soleil couchant, Et de ta truffe tu as touché ma main pour courir sur le sable, Cette soirée, vois-tu s’annonçais admirable. Je me suis réveillé dans mon lit, très déçu, D'avoir rêvé si fort, j'ai cru en ta présence, J'aurais voulu poursuivre ce rêve interrompu Point de mer, point d'hirondelles, plus rien…….que le silence….. Le silence de ton absence cette absence si difficile. *** Je rêve mon chien ….Pensée….Phil *** ❤ |
Déposé par colombine67 le 04/04/2015"Pâques, c'est une fête qui rassemble, qu'on a envie de partager avec ceux que l'on aime. C'est le moment d'oser se dire l'essentiel, de se transmettre tout l'amour que l'on ressent. Nous formons une belle famille, avec ses difficultés, ses hauts et ses bas, mais vivante et chaleureuse. Joyeuses Pâques !" |
Déposé par colombine67 le 03/04/2015 L'AMI FIDÈLE Quand l'homme est seul, sur son chemin Et dans la vie, dans ce monde, seul, Pris de vertige, son cœur a faim, Alors il aime son épagneul Son chien fidèle, son "bon", "vieux", chien. Quand l'homme est sourd, s'il n'entend plus La vie, les cœurs, dans ce monde sourd, S'il n'entend plus l'écho des rues, Alors il aime son chien balourd, Qui vient lécher ses chants déchus. Si l'homme aveugle sentait les yeux Du chien qui guide ses pauvres pas Il y verrait un cœur joyeux Et deux soleils... Même sans cela, Ce chien, il l'aime, puisqu'ils sont "deux". Si l'homme muet pouvait châtier Sa déchirure et ses malheurs, Il chanterait son amitié A son chien vrai, son seul bonheur, Son grand ami plein de pitié. .... L'homme trop déchu, n'a pas crié ! ... Son chien, racé ou bien bâtard, Lèche son cœur, fruit oublié, Et ces caresses effacent le noir Qui tache l'âme de sa vie broyée. Par les lumières de ces yeux, bons, Levés vers lui, pleins d'amitié, Soumis, fidèles, l'homme vit les sons, La vie, la vue, pleins de pitié, De son " seul", mais... chaud compagnon. |
Déposé par colombine67 le 02/04/2015Les chiens pleurent aussi Très beau poème de Louis Amade. Moi je sais que les chiens pleurent aussi Quand ils ont du chagrin, Que parfois ils se cachent Pour souffrir à loisir Sans que leur maître sache Ni où ils sont, Ni le grand mal qui les conduit. J'en sais un qui partit au fond d'une forêt Pour fuir les longs soupirs, De cet enfant malade. Cet enfant qui jouait avec lui Ses chamades, Et qu'il ne s'en revînt Que lorsqu'il fut sauvé. Et j'en sais aussi un qui se laissa mourir, De faim, de désespoir Au départ de son maître Pour les Terres d'Ailleurs, Où seules ne pénètrent, Que les ombres de ceux Dont la vie va finir. Mais moi je sais aussi Que dans ces Pays Hauts, Les hommes et les chiens, Chaque fois se retrouvent, Sur les vastes prairies Quand les portes s'entrouvrent Parmi l'immensité des joies Et des repos. |
Déposé par colombine67 le 01/04/2015Je suis ... Je suis un pelage soyeux, abondant et entretenu, à l'intérieur duquel se tient immobile, des heures durant, un chien patient et docile. Je vis sur une grille, dans une cage, pour pas casser mon poil si précieux. Je sais uriner comme une femelle pour pas salir cette robe, unique objet de ressentiment de mon maître. Bien sûr, je ne joue pas avec les autres chiens qui risqueraient de m'arracher une mèche. Je suis tellement beau, que mon maître truste les médailles d'or aux championnats de toilettage. Quant à moi, s'il me donnait une cage en or, je la troquerais volontiers contre un vieux bout de ficelle tenue par un clochard pouilleux qui me permettrait de me vautrer sur le trottoir râpeux et arrache-poil, à côté de lui. Je rêve qu'une nuit, une gentille fée me transforme en chien nu du Mexique. Alors... je me pavane dans un concours de toilettage, devant mes amis envieux, suspendus à leur potence, qui me lancent d'un aboiement guilleret : "Comment ça va, ta chimio ?" Je suis deux testicules au-dessus desquels vit un trop bel étalon. J'ai fait assez de saillies pour permettre à mon maître de changer de mobilier. Hélas je n'ai rien vu de l'ensemble Louis XVI. Pensez donc ! je pourrais lever la patte sur le pied de la bergère ! Je rêve d'attraper un jour ce redoutable sarcome de sticker qui transformerait mon mâle appendice en une sorte de chou-fleur qui ferait pousser aux éleveuses des cris d'orfraie. Je suis un utérus long et musclé, autour duquel vit une chienne désabusée. On m'a fait saillir très jeune pour soi-disant m'éclater. Je dois manquer d'humour car franchement,je ne me suis pas éclatée du tout. En six ans, j'ai fait douze belles portées. J'ai largement assez travaillé pour mériter une douce retraite dans une gentille famille. Mais c'était un leurre. Ma maison de retraite, ce sera cet immense congélateur rempli de cadavres de chiennes trop vieilles, de chiennes qui restent vides, de chiennes qui dépassent leur terme, de chiennes qui ne font qu'un chiot. Bref ... de chiennes qu'il faut "tilter". Je rêve, pour leur éviter le cauchemar, que tous mes descendants (mes produits, dirait mon maître) soient monorchides ou prognathes, et que le congélateur tombe en panne. Je suis une bête d'expo, achetée des milliers de dollars. Tous mes admirateurs dans le public, rêvent d'avoir un chien comme moi. Je rêve d'avoir un maître comme eux. Je passe de handler en handler, de voiture en avion, de cage en cage, de tapis d'entraînement en tapis de table d'expo. Alors ... pensez comme je suis content de courir comme un fou sur cet immense tapis vert du ring d'honneur. Le public pense que je regarde mon handler avec les yeux de l'amour : il ne sait pas que mon regard en fait crie famine (trois jours de diète c'est dur). Je rêve qu'un jour mon handler ait une émotion trop forte en remportant le Best in Show à la Mondiale, et qu'il défèque sur le ring d'honneur sous les flash des photographes et cameramen ... |
Déposé par colombine67 le 31/03/2015Une vie de chien : Je suis jeune et tout fou J'regarde passer les gens Jusqu'au fameux jour où Un couple et un enfant Se tiennent là devant moi Et me font les yeux doux Ils me prennent dans leurs bras Ça sent l'amour c'est fou Ils m'emmènent chez eux Me font plein de câlins C'est tellement chaleureux Qu'enfin je me sens bien Le temps s'est écoulé Aujourd'hui je suis grand Doux, sage, bien éduqué Plein de bons sentiments Un matin de soleil On part se promener La vie est une merveille Quand on est tant aimé Mais quel est cet endroit Et d'où viennent ces cris ? Comme est partie ma joie Je veux le faire d'ici Ma famille est partie Et ils m'ont laissé là J'ai peur alors je crie Mais nul n'entend ma voix Je vois passer des gens Ils posent on oeil sur moi Mais restent indifférents Aucun ne tend ses bras Quelques temps ont passé Et j'ai un peu vieilli Je suis un poil marqué Mais toujours plein de vie On me sort de cette cage On va se promener J'ai été tellement sage Qu'on revient me chercher...Mais Je freine des quatre pattes Je n' veux pas rentrer là Je n'veux pas qu'on m'abatte Je n'ai rien fait pour ça Ils me traînent et m'agrippent Je tremble de peur, d'effroi J'ai mal aux veines, aux tripes Ça doit être ce froid je n'vois presque plus rien Je n'entends plus les cris Voilà ma vie de chien Qui se termine ainsi Cette histoire si banale c'est l'histoire de Bo, s'il s'appelait ainsi, c'est parce que des gens lâches, le jour où ils l'achetèrent l'avait trouvé bien beau... |
Déposé par poutounou le 30/03/2015Le papillon * J’aimerais, dans ma maison, Avoir pour seul compagnon Un très joli papillon Qui de saison en saison Changerait de couleur. Il serait vert au printemps Comme les feuilles mignonnes, Bleu en été, couleur du temps, Marron dès que viendrait l’automne Et, dans les mois d’hiver, tout blanc. Parfois, pour la fantaisie, Rose, violet, mauve ou gris Mais jamais le papillon noir De l’ennui et du désespoir. * Jean Joubert |
Déposé par choupinou le 30/03/2015Privé d'amour comme un soleil sans flamme privé d'amour comme un bateau sans rame je cherche ou je vais après quoi je cours privé d'amour privé d'amour il y a beaucoup plus que sept merveilles au monde quelque chose d'éternel qui vit à chaque seconde mais trop vite ou trop loin on se réveille un étrange matin pour rester seul dans la bataille... alors quand tu me manques je t'invente des mots d'amour sans toi ,je n'existe pas ,quel malheur je te cherche souvent partout alors que tu es tout près de moi dans mon coeur et aujourd'hui le destin ma prit par la main.... et ma conduit dans un lieu appelé.... chagrin...., |
Déposé par colombine67 le 30/03/2015Toute sa vie durant, Margarita Suàrez, une femme originaire de Mérida, au Mexique, a pris soin des animaux errants. Cette femme a toujours distribué de la nourriture aux chiens et chats dans le besoin de son quartier. Chaque matin, une vingtaine de chats venaient à sa porte, puis lorsqu'elle sortait, elle n'oubliait jamais de prendre avec elle le repas quotidien des chiens errants qu'elle croisait dans la rue. Et quand Margarita devait manquer le rendez-vous, elle s'assurait toujours de laisser de quoi nourrir ses protégés. "Chaque fois que nous croisions un chien dans la rue, cela voulait dire que nous devions rentrer à la maison pour aller chercher de quoi le nourrir" raconte à Norte Digital Patricia Urrutia, la fille de Margarita, Les chiens sont-ils venus lui rendre un dernier hommage ? Lorsque sa santé s'est dégradée, Margarita a déménagé à Cuernavaca et s'est rapprochée de sa fille. Mais sa dévotion envers les animaux est restée intacte. Elle a donc continué de donner nourriture et affection à d'autres chiens et chats sans maison. Malheureusement, l'état de santé de Margarita n'a fait que décliner, et est décédée au début du mois de mars. Le jour de ses funérailles, le 15 mars dernier, quelque chose d'incroyable s'est produit. Tous ses proches se sont naturellement réunis, et parmi eux, des amis à 4 pattes, semblant être venus eux aussi lui rendre un dernier hommage. Patricia a d'abord pensé qu'il s'agissait de chiens errants simplement venus chercher leur nourriture. Mais les chiens sont entrés dans la pièce où reposait le corps de sa mère. Quand tout le monde s'est mis en route pour l'église, les chiens ont suivi. Et quand ils sont rentrés chez Margarita, ils étaient encore là. Pour Patricia, ces chiens sont venus saluer sa mère. Elle est certaine qu'ils font partie de ceux qu'elles nourrissaient et si elle ignore comment ils ont réussi à la retrouver, elle était très heureuse de voir ces animaux que sa mère aimait tant apporter leur joyeuse et chaleureuse présence en cette si triste journée. |
Déposé par ovanek le 29/03/2015❤❤ ***** A chaque fois, que tu sens le vent caresser Ta joue douce comme un baiser suprême Sache que c'est moi qui t'embrasse tendrement Et qui souffle… je t'aime ❤ |
Déposé par Biscuit le 29/03/2015demain dès l'aube de victor hugo Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. |
Déposé par colombine67 le 29/03/2015 Cette info vient de tomber, partagez! "Ma fiancée n'apprécie pas du tout ma chienne et c'est pour cette raison que je lance cet appel. C'est une pure race, elle a partagé ma vie durant presque trois ans. Elle adore les jouets, même si elle n'a pas toutes les bases en éducation. Poils longs, nécessite de l'entretien. Tout spécialement les ongles, elle aime bien qu'on les lui fasse. Elle aboie souvent la nuit et a l'habitude de dormir lorsque je vais travailler. Elle est très délicate pour ce qui est de la nourriture, elle n'aime que la nourriture de marques, les chères. Malheureusement, elle ne vous fait pas la fête lorsque vous rentrez à la maison. Elle n'est pas très câline, lorsque vous êtes un peu déprimé. Habituellement, elle ne mord pas, mais elle est souvent de mauvais poil et elle grogne facilement. Voilà... Si tu connais quelqu'un qui serait intéressé par ma fiancée de 30 ans, égoïste, tordue et inhumaine, STP, qu'il vienne la prendre!!! Ma chienne et moi voulons lui trouver un nouveau foyer!!! |
Déposé par colombine67 le 28/03/2015 A toutes celles et ceux qui n'ont plus leur compagnon..... Dès lors qu'un chien s'en est allé, des lambeaux de notre peau s'en vont aussi et des poils restent agrippés à notre chandail. On pourra lire, du matin au soir, l'empreinte laissée par sa tête et son museau au creux de notre main, l'aboiement et les mouvements frénétiques de son fouet retentiront dans le vide de notre retour, incroyablement silencieux, sans le cliquetis de ses ongles sur le sol ni les hululements de joie. Et tout nous reviendra en mémoire, les vertes prairies des parcs, les empreintes sur la neige, les patounes qui, sous l'eau, nagent à nos côtés. Les bâtons lancés, le sable dans les oreilles et sur la truffe, les coquillages sur les coussins du divan. Dès lors qu'un chien s'en est allé, la gamelle reste là et la laisse est accrochée, inerte. On se regarde les pieds dans la cuisine, et il n'y a plus de couinements d'une queue, heurtée par mégarde. On se sent volé, perdu et muet. Voilà pourquoi on parle à tort et à travers de ce qui n'a pas d'importance, pourvu qu'on nous enlève le poids de l'absence de ce corps chaud et poilu, étendu et endormi sur nos jambes ou sur nos chaussures pendant que nous regardions le téléjournal. Dès lors qu'un chien s'en est allé, nous pleurons à chaudes larmes, sans retenue ni contrôle, sans l'ambivalence que nous éprouvons à la mort d'un humain, sans conflits et litiges, tourments et passion d'une vie entière. Au contraire, avec lui, nous connaissons la pureté d'un amour, et lorsque le chien s'en va, cet amour reste en nous. Il nous l'a offert sans hésitation, nous en a fait cadeau sans défection dans son regard infini, doucement velouté, constamment vigilant, qui n'a jamais fléchi quand il croisait le nôtre. Dès lors qu'un chien s'en va, c'est réellement un part de notre vie qui s'en va avec lui. |
Déposé par ovanek le 27/03/2015❤ ** Mon Chien …Mon magicien ** Je marche vers le soleil au rythme de ton pas c'est ta voix qui me guide, une sensation de toi.... utiles sont les ailes pour aller où l'on va tu gambades, me bouscules, c'est bon que tu sois là Ton pelage sur ma jambe, je crois que je vais fondre je suis en plein bonheur Un instant on s'arrête, tu guètes sur mon visage un sourire revenu et que tu m'as rendu Je te lance ta balle, on peut oublier l'heure les ordres et les reproches je ne les entends plus Ils te disaient parti, comme je devenais sombre, privée de tes regards je n'avais même plus d'âge Tu n'étais qu'endormi sous ton saule juste à l'ombre moi je le savais bien, je te connais mon chien toi mon si merveilleux, mon si fidèle ami Si je t'avais perdu je ne serais plus rien Quelque part tu étais je leur avais bien dit mais ils ne m'ont pas crue j'en ai vu qui riaient ont haussé les épaules, suggéré la folie Cet Amour entre nous ils ne sauront jamais… J'ai refermé ma porte suis partie dans la nuit Confiante en ton instinct en ton flair si parfait cœur et pieds écorchés j'ai fait taire mes cris Ce sont d'autres blessures dont je me souviendrais et tu m'as retrouvée, nous voilà réunis. Marchons encore un peu, profitons de nos jeux puisons en nos câlins la force d'être heureux il me faut repartir mais je ne dirai rien Je reviendrais demain, je connais le chemin… de l'étrange passage dont je n'osais rêver et que tu as creusé au mur de mon chagrin tu es bien plus qu'un chien, tu es mon magicien *** Je t'aime mon chien ....Phil *** ❤ |
Déposé par colombine67 le 27/03/2015*** Prie avec moi et diffuse cette oraison de par le monde, tu le feras n'est-ce pas?*** Heureux nous serions si le jour du Jugement Dernier nous pouvions affirmer : "J'ai aimé aussi sincèrement et j'ai vécu aussi honnêtement que mon chien". Et nous les considérons comme de simples animaux! Cette prière, composée par "liberation for our brother and sister animals" afin d'aider nos frères et soeurs animaux, est destinée à tous les fidèles animaux qui n'ont qu'un but, plaire à leur maître. - Que tous les êtres sensibles du règne animal qui sont soumis à des douleurs insupportables dans les laboratoirs du monde entier ne souffrent plus. Q'une compassion aimante s'empare des coeurs de ceux qui les gardent en captivité. - Que tous les êtres sensibles du règne animal qui pâtissent d'être enfermés des jours, des mois, des années durant dans de minuscules cages dans l'incapacité de se mouvoir soient emplis de paix et de sérénité. - Que les millions d'animaux qui attendent en rang dans les abattoirs soient délivrés de leur peur. - Qu'aucun animal ne continue de souffrir et d'être déprimé. Que leur corps soit délivré des blessures, du mal être et de la maladie. - Que ceux qui ont besoin d'un foyer ou ont été chassés du leur trouvent un abri et la plénitude de l'amour, à manger et à boire. - Que ceux qui sont torturés pour leur peau ou pour servir de divertissement soient libérés. - Que ceux qui se croient supérieurs à leurs frères et soeurs animaux fassent preuve d'une honnêteté parfaite et qu'ils comprennent dans leur coeur que les animaux n'ont pas été mis sur cette terre pour être tués ou exploités. - Que les millions d'êtres sensibles qui demeurent sur terre, dans les mers, qui sont abusés, exploités et assassinés à cause de l'avarice, de la haine et de l'ignorance soient délivrés de leurs souffrances. - Que tous les êtres sensibles humains et non humains vivions ensemble, en harmonie, paix et justice et ainsi nous parviendrons à atteindre l'illumination parfaite. - Que je sois la voix de ceux qui n'en ont pas, et que mes forces ne viennent pas à faiblir pour défendre les faibles, mes frères, les animaux. |
Déposé par poutounou le 26/03/2015Une jolie petite histoire de « noisettes » pour toi, doux Ange… * Les trois noisettes * Trois noisettes dans le bois Tout au bout d'une brindille Dansaient la capucine vivement au vent En virant ainsi que filles de roi. * Un escargot vint à passer : « Mon beau monsieur, emmenez-moi dans votre carrosse, Je serai votre fiancée « Disaient-elles toutes trois. * Mais le vieux sire sourd et fatigué, Le sire aux quatre cornes Sous les feuilles Ne s'est point arrêté, * Et, c'est l'ogre de la forêt, je crois, C'est le jeune ogre rouge, gourmand et futé, Monseigneur l'écureuil, Qui les a croquées * Tristan Klingsor |
Déposé par colombine67 le 26/03/2015 POUR TOI, MON MAÎTRE BIEN-AIME Mon arrivée dans ce lieu fut quelque chose d’indescriptible; tous me faisaient remarquer ma chance, peu étaient ceux qui opposaient un refus. Et finalement le sort en fut jeté ; je fus abandonné dans ce lieu que les humains appellent : fourrière. Les portes s’ouvrirent ! Je ressentis de la terreur. Je ne voulais pas avancer et la queue en dedans, je gémissais, de sorte, que toi, mon maître, tu rebrousses chemin et que l’on rentre à nouveau chez nous. Tu semblais ne pas m’entendre, ne pas prêter attention à la souffrance que cela me causait de ne plus pouvoir voir ma famille. Je me disais au fond de moi : pourquoi me font-ils ça ? Je n’ai mordu personne, j’ai pris garde de ne pas trop aboyer, j’ai toujours attendu ton retour et avec force léchouilles, frétillant de la queue, je t’ai démontré mon amour. J’avais beau ressassé, j’en arrivais toujours au même point : je ne comprends pas que tu m’abandonnes. Peu à peu, tu essayais de me tranquilliser - et tu y parviens, même- mon cher maître, parce que ta voix était pour moi un baume, capable d’apaiser toutes les angoisses. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu reviendrais me chercher et que nous serions à nouveau réunis. Ceci suffit à mon âme de chien pour chasser toute crainte et au fond de moi je me consolais : « Tu vois P’tit Loup, tu exagères. Allez, va, entre là- dedans, montre à ton maître que tu a toute confiance en lui et que tu attendras avec courage le moment de son retour. » Et c’est ce que je fis. Je me souvins qu’une fois à l’intérieur, il y avait quantité de mes frères, très angoissés et d’autres désormais indifférents. Entre eux, ils murmuraient : « Tiens, un de plus ! Vous vous trompez tous, moi, on ne m’a pas abandonné. Mon maître a promis de revenir me chercher et il n’a jamais failli à sa parole et pour que vous prouver comme mon maître est bon et généreux, je lui dirai de tous vous sortir de là. » J’étais tout à mon discours, lorsque tout à coup une grosse corde m’étrangla et je fus jeté dans une pièce où gisaient des corps faméliques, sans vie. Je m’étonnai : « Il y a forcément erreur sur la personne, ce doit être un endroit où mes frères récupèrent d’une longue maladie ! Bien sûr, ça ne peut-être que ça ! » Et je te cherchai, encore et encore, pour que tu me fasses sortir de là, je te cherchai, mon maître, mais toi, tu avais disparu… Les minutes, les heures, les jours passèrent et une lente agonie semblait m’enlacer. Je perdais peu à peu espoir de te revoir un jour. Mais j’avais besoin de t’apercevoir, ne serait-ce qu’une fois. C’est cela qui me maintenait en vie. J’eus le temps de tout me remémorer : quand chiot, tu vins me retirer de ce lieu froid , sale et hostile, où pour la dernière fois je vis ma mère, dont le souvenir, à présent, s’est effacé de ma mémoire. Tu m’amena chez toi, on m’y accueillit à bras ouverts ! J’avais même le droit de monter sur le lit ! Et je grandis ainsi, entouré de l’amour de ma famille, mon seul et unique repère. Et à tes côtés, je connus la loyauté et la fidélité. Je me souviens que par la suite, je n’eus plus le droit de franchir le seuil de la maison, sans doute avaient-ils peur de s’encoubler sur moi ? Qu’à cela ne tienne, ils me démontraient leur amour, qui toujours resterait empreint dans mon cœur. Une nuit, pourtant, ils se mirent à crier, bien que je ne compris pas tout, j’entendis prononcer mon nom à plusieurs reprises. Je ne sais pas exactement ce qu’il se passa cette nuit-là, je me souviens seulement de la paume de ta main qui me caressait la tête et toi qui me disais tout doucement : « Calme, calme, P’tit Loup, tout va s’arranger. Je ne t’abandonnerai pas, je t’en fais la promesse. » Et moi, je remuai la queue, ne comprenant pas vraiment ce que le mot « abandon » signifiait. Mais quand finalement, ce mot fut plus clair pour moi, je souffris de tout mon être. Ne plus te voir, ne plus sentir ta présence qui m’emplissait de joie, ne plus sentir ta main sur ma tête, désormais endolorie par toutes les morsures de mes frères, comme moi désespérés de ne voir arriver personne… On me tira de ma torpeur : l’homme que nous craignions tous était dans l’encadrement de la porte. Il pénétra dans la pièce un collet dans la main et nous nous agglutinâmes de facto dans un coin, comme pour disparaître. Mais c’était inutile, un par un, il venait nous prendre. Quand il quittait la pièce, le silence était de plomb. Nous nous regardions les uns les autres… qui serait le prochain ? Ceux qui partaient avec cet homme ne revenaient jamais. Que leur faisait-on ? Je ne pressentais rien de bon. Mon tour arriva. Je fus littéralement traîné dans une pièce froide et obscure. Je n’étais pas seul, mes frères déjà sur place, hurlaient et certains essayaient désespérément de forcer le passage, mais la porte fut rapidement fermée à double tour. Moi, au début, je regardais toute cette agitation, ignorant le sort qui nous était réservé. Mais une panique se saisit de tous mes membres, de tout mon corps et je me mis moi aussi à hurler avec mes frères d’infortune. L’air commença à manquer, mon cœur battait à tout rompre et je me fis pipi dessus, sans pouvoir m’en empêcher. Des convulsions atroces commencèrent à secouer mon corps et de ma gueule de la mousse, mêlée à de la bave se mit à couler. Ma gorge se serrait. Je peinai à respirer… tout n’était plus que douleur et angoisse. Pourtant j’essayai de me plaquer contre cette petite porte, dans l’espoir, encore, que tu viennes me sauver, que tu m’emmènes et que je cesse de souffrir !... Tu n’es jamais venu ! Le silence… tout redevint silence. Ma dernière pensée aura été POUR TOI ! P’tit Loup Il mourut un 24 décembre Cause du décès : Asphyxie par gaz… sur décision expresse de son maître bien-aimé ! Sonia Lopez |
Déposé par Biscuit le 25/03/2015Un rêve parmi les étoiles Avec une douce mélodie Dans le noir je me fonds, Ne regardant que les étoiles Qui brillent, dans le noir total. J'ouvre la fenêtre, Le vent me caresse la peau Il fait frissonner mon dos. Je regarde vers le ciel Devant ce paysage étoilé, Une larme ne peu s'empêcher De glisser le long de ma joue, Elle coule jusqu'à toucher mon cou. Parmi les étoiles, je te vois, Tu me regardes comme la première fois, Tu me fais signe de sécher mes yeux... A présent je sais que la haut tu es heureux... Je t’aime ,Punki |
Déposé par colombine67 le 25/03/2015 GABRIEL, L’ANGE DECHU Une vie de combats qui se termine à la fourrière. Humilié, cassé, sans foi en l’homme… La faute à son maître. Par cette triste journée, j’ai décidé de rester seule avec toi. Nous ne nous connaissons pas, jamais nos regards ne se sont croisés et pourtant, aujourd’hui, je sais que je dois m’asseoir en face de toi. Et c’est cette après-midi et pas une autre, parce que demain, demain…tu ne seras plus. Ils vont t’ôter la vie, et en silence, tu hurles pour qu’ils le fassent. Le soir est en train de tomber, l’horizon rougit, pareil au filet de sang qui coule le long de ta commissure. C’est vrai, tu fais peur Il te manque un œil et je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance que tu dus éprouver lorsque tu le perdis durant l’un de tes combats clandestins où tu t’étais retrouvé embarqué, bien malgré toi par ces sadiques. Contraint à te battre, contraint à tuer… Une lutte acharnée, une lutte à mort, coups de dents de toute part, la chair en lambeaux. Vous, pauvres malheureux, au service de démons travestis en idoles. Je ne peux ni ne veux imaginer tous les moments qui ont jalonné ces treize années de ta sombre existence. Trop d’amertume. Pourtant tu as dû être pour tes bourreaux un « champion », un grand et bel « exemplaire », tu l’es encore d’ailleurs. De bonne corpulence, doté « d’une belle mâchoire », c’est bien comme cela qu’ils te préfèrent ces sanguinaires, n’est-ce pas ? Maintenant, derrière les barreaux de la fourrière, tu te tiens devant moi, vieux, malade, cassé. Tu me regardes fixement avec ton unique œil, impassible, hiératique, fatigué par une vie qui a été si injuste avec toi. Parfois, je ne parviens plus à soutenir ton regard. Tu en imposes, je suis troublée et à la fois je suis empreinte d’une grande compassion à ton égard. Ils t’ont rendu malheureux… Assise en face de toi, l’après-midi se meurt, triste et belle à la fois, teintée de sang avec une ligne blanche à l’horizon. Toi et moi, savons que cette ligne c’est celle du jour à venir. C’est la ligne de l’espoir, la fin de ta douleur, de ta souffrance. Vieux, résigné, blessé et méfiant…. Tu as raison de ne plus faire confiance, personne ne t’a aidé. A part des coups, des insultes, qu’as-tu jamais reçu ? Je n’ai même pas tenu à connaître ton nom, ce nom d’assassin dont tu as été affublé, avec lequel ils t’ont crié dessus et frappé. Aujourd’hui, je t’ai appelé Gabriel Ce sera notre secret. Rien que pour nous. Gabriel comme l’ange déchu que tu es. Et tu continues à me regarder, c’est étrange, tu me regardes si profondément…. Je sais. Il n’est pas difficile de comprendre que pour toi, tout n’est plus qu’indifférence. Toi-même tu n’espères même plus que quelque chose de bon puisse t’arriver, que quelqu’un puisse te donner ne serait-ce qu’une caresse. Tu n’espères plus rien de personne et je sais que lorsqu’ils viendront te chercher demain pour t’endormir pour toujours, je sais que tu ne tenteras même pas d’échapper à la mort amie. Vous les chiens, qui flairez la mort à distance…. Tu sais, à présent, que ce sera le seul acte d’amour des Hommes à ton encontre. L’après-midi s’achèvera dans la fourrière et toi et moi, nous continuerons à nous regarder, seuls. Les autres chiens se taisent, peut-être par respect pour ce moment d’adieux… Je te regarde une dernière fois, totalement angoissée, défaite et dans un filet de voix, je t’appelle tendrement. Mais tu es dans l’incapacité de bouger ne serait-ce qu’un muscle de tout ce corps las. Rien en toi n’est plus capable de communiquer, aucun mouvement de la queue, aucun mouvement de tes oreilles mutilées. Je me relève et tu me suis du regard. Je place dans un coin de ta geôle, un petit matelas. C’est l’unique cadeau que je peux encore te faire. Tu seras confortable pour ta dernière nuit. Tes os usés ne ressentiront pas le froid. Ton dernier regard me remercie. J’aurais tellement voulu t’aider davantage, mais je suis arrivée trop tard. J’espère que tu le comprendras. D’un pas lent, tu te diriges vers le matelas, tu te couches et tu t’endors. Peut-être tes rêves te conduiront-ils vers l’Arc-en-ciel ? Dors petit ange déchu. Repose-toi et demain, à ton réveil, ne vois, l’espace d’un instant, que la féerie des couleurs et quitte pour toujours ce monde de ténèbres dans lequel ils t’ont plongé. La nuit est tombée. L’horizon rougeoyant s’en est allé, mais dans le ciel sombre la ligne blanche frémit encore : ta dernière espérance. Nuria Martín |
Déposé par choupinou le 24/03/2015pour toi mon ami ,mon ange, Toi mon coeur, mon ami On s'est rencontré Nous nous sommes vite aimés et tu es devenue mon plus grand ami Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Des joies nous avons partagés, Des peines avons nous supporté A l'écoute j'étais, A l'écoute tu étais, Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Je ne t'oublie pas Des semaines ,des mois sont passés, Et la mésange continue de te murmurer de son doux chant de mes nouvelles colportées Avec tant d'intérêt et de mon amour éploré Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Nous ne pouvions nous séparer Inséparable nous étions Meilleurs amies nous dévoilions A tout jamais dans ma vie marquée Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas Des nouvelles manquent à ce jour Toujours en attente de ton tour Des questions se posent Aucune réponses ne s'interposent Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Je ne t'oublie pas Toi mon coeur, mon ami Quelle est cette pluie Qui m'amène a me demander M'aurais-tu oublié non bien sur,de ton absence je suis rongée Toi mon coeur, mon Ami Chaque jour ne vie Sans que je ne pense à toi Ne m'oublie pas |
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