En hommage à
Billy


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En hommage à
Billy
BORDER-COLLIE
Il est né le:25/09/2001
Il nous a quittés le:29/05/2015

Au revoir mon Bébé d'Amour - tu me manques tellement
...
29/05/2015

Mon beau Billy ma peine est immense. La maladie t'a rattrapé pourtant tu t'es battu jusqu'au bout je sais que tu ne voulais pas me quitter depuis ce mois de juillet 2009 ou je t'ai vu pour la première fois abandonné et malade. Je souhaite que tu sois heureux dans cette autre dimension ou tu te trouves et surtout attends moi bien sagement tu sais qu'un jour nous serons de nouveau réunis toi et moi. Je t envoie mille gros câlins et autant de bisous mon bébé d'amour a qui je pense jour et nuit.





J espère qu il existe un au delà ou je pourrai te retrouver. Qui peut me le dire.je sais aussi que l on ne peut jamais faire son deuil car l absence d un être aimé est insupportable.
Gros bisous sur ta belle truffe mon ange.
Je t aime pour l éternité


29 mai 2024
Mon beau Billy sais tu combien tu me manques.
Neuf ans se sont écoulés.sans toi. Et toujours ces regrets
. Tu aurais pu vivre quelques jours de plus.
Je t aime mon bébé d amour.

Merci à celles et ceux qui auront une pensée pour mon ange.je viens peu sur le site car Billy a sa tombe dans le jardin près de la maison. Elle est fleurie et entretenue
et Nachko à aussi une vraie tombe qui est aujourd'hui dans le parc d une belle propriété ou j ai accès.
Quelques semaines après le départ de Billy j ai adopté Bobby et Balou deux loulous qui étaient les sosies de Billy. Bobby à vraisemblablement et tué par un chasseur le 7 septembre 2017. Je n ai jamais retrouvé son corps. Et le 2 octobre 2023 Balou est lui aussi parti rejoindre les étoiles. Il avait un cancer de la rate et je n ai rien vu venir.
Il repose lui aussi dans notre jardin.
Tout n est que douleur dans ce monde.
Pardonnez moi de ne pas honorer comme je le devrais la mémoire de vos anges disparus.
Je vais essayer de le faire un peu plus souvent.
Amitiés à tous les amis du cimetière
Mille douces caresses à vos beaux anges.
MC




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2186 messages

Déposé par colombine67 le 30/06/2016  
DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIR….
Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classé deuxième catégorie.
Je suis un Rottweiler, et pour moi il n’y a pas de pitié, je dois payer de ma vie.
A l’aube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande qu’à jouer,
Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui m’a jugé.
Je n’ai pas connu mes parents ; tout petit j’étais chez un marchand qui m’a vendu
Comme mes sœurs et frères, dans les sous-sols d’une cité, que je n’ai jamais vue.
Dans un appartement je fus alors gardé, au milieu des enfants venant me taquiner,
S’amusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser.
Quelques mois sont passés, dans cette famille j’ai vécu des jours de grand bonheur,
Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures.
C’est au parc qu’on m’emmenait, je pouvais gambader et même aller jusqu’à l’étang,
J’étais heureux, j’en profitais pour me baigner, et revenais me secouer prés des enfants.
Je croisais quelques congénères, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien.
Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien,
Car j’entendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans,
Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obéir était nécessaire et prudent.
Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient d’un air bizarre, ou même interrogateur.
Ils me donnaient l’impression de se méfier de moi, cherchant à m’éviter, ils avaient peur.
J’avais remarqué, les mamans serraient de beaucoup plus prés, protégeant leurs enfants.
Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pétillaient en me voyant.
Et ce soir fatidique, du début de juillet, en rentrant au quartier, j’ai vu surgir trois ombres,
Et j’entendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva d’autres, je ne sais plus le nombre,
Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « s’il nous mord on le plombe »
Ils étaient là pour moi, en mission très spéciale, commençant ici pour finir… dans ma tombe.
Mon jeune maître du s’expliquer, je fus mis en laisse et muselé, puis enfermé dans une cage,
Pendant que ces messieurs de la police, constataient que j’étais illégal, ni papiers ni tatouage.
Alors à la fourrière on m’emmena, ou sans ménagement on me jeta dans un bien triste chenil,
Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvés aux environs ou au centre ville.
A partir de cet instant, j’étais condamné, victime innocente d’une loi aussi bête qu’injuste,
Un peu du même genre que celle que l’on voudrait prendre en ce moment pour les « putes ».
Il est vrai, j’étais « sans papiers », mais je n’en veux pas à ma famille, ils n’en ont jamais eu,
Vivant dans un ghetto depuis dix ans, j’étais le cadeau des enfants qu’ils ne reverront plus.
Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, même des drames,
Souvent rendus méchants par des Maîtres infâmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames.
Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je n’ai jamais mordu ni grogné, et je dois partir,
Laissant tous seuls ces enfants qui m’adorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir.
La société humaine ainsi a décidé, qu’être un Rottweiler en famille immigrée, sans papiers,
Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procès, ni pitié.
Soyez bien surs que s’ils osaient, ils ne se contenteraient pas d’euthanasier seulement le chien,
Mais pour l’instant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et c’est ce qui les retient.
Texte de : Gilbert DUMAS

Déposé par poutounou le 29/06/2016  
Un joli bouquet de roses de toutes les couleurs pour chaque Ange du Paradis blanc….
*
LA ROSE
*
Rose !!! J'aime tellement ton parfum, le matin
Quand tu te lèves, mouillée dans ta robe de satin
Toute belle tu t'es épanouie dans ton jardin
J'ai du plaisir à te voir et du mal à croire
Comme tu es belle, quand je te regarde
J'ai cultivé un jardin et me suis fait un bouquet
De roses pour moi, une blanche pour l'amitié
Une jaune pour le sourire, une rose pour la tendresse
Une rouge pour l'amour.
Mais ma plus belle rose c'est toi mon amour
*
- Candy -

Déposé par colombine67 le 29/06/2016  
Certains sont dans un jardin
Parfois au bout d'une chaîne
Et servent de gardiens
Certains sont là pour faire bien
Et les voir en manque d'amour fait de la peine
Lorsque l'on vit tous les jours avec son chien
Il devient notre double autant que notre gamin
Notre psy autant que notre frangin
Notre bouillote autant que notre copain
Nos oreilles autant que notre ange-gardien
Et le voir tous les jours épanoui et sain
Fait notre bonheur au quotidien

Déposé par colombine67 le 28/06/2016  
Le BÂTARD et le CLOCHARD.
Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,
Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.
Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,
Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.
Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,
Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.
C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,
Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.
Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,
Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.
Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,
Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.
Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,
Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,
Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,
Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.
Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,
D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.
Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux
De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous.
Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,
Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,
Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,
Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite.
Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,
Qui faites les beaux jours des villages et des villes,
N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,
Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».

Déposé par colombine67 le 27/06/2016  
Le chien apporte une véritable dimension affective dans sa relation avec l’homme, de l’enfance au grand âge. Les bénéfices de la présence d’un chien sur l’être humain ne sont plus à démontrer. Chez l’enfant, on note une influence sur son développement mental et psychologique, et chez l’adulte et la personne âgée, sur le plan psychologique et physiologique.
Pour les enfants
Pour l’enfant, le chien, ou le chiot, est non seulement un compagnon de jeu, mais également un ami et un confident. Il apporte un sentiment de sécurité et de réconfort. Avec un chien à ses côtés, votre enfant comprendra mieux ce que signifient l’obéissance, l’autonomie et, de manière générale, tout ce qui concourt à son épanouissement social. Il appréhendera également la douleur.
Un modèle d’éducation pour votre enfant
Pour les adultes
Chez l’adulte, les bienfaits de la compagnie d’un chien sont multiples, notamment pour sa santé au quotidien: exercice physique, baisse de la tension et du rythme cardiaque. Il a été démontré que les problèmes de santé mineurs chez les propriétaires de chiens sont réduits de moitié. Un simple exemple: promener son chien chaque jour réduirait le nombre de fractures du col du fémur chez la personne âgée.
Pour les personnes âgées
Les établissements médicalisés pour personnes âgées sont de plus en plus nombreux à laisser entrer les animaux de compagnie dans leurs murs. Et pas seulement pour les bienfaits de leur compagnie. Certains chiens sont formés pour faciliter l’accompagnement des personnes en fauteuil roulant et participent à des programmes thérapeutiques comme, par exemple, dans le traitement de la maladie d’Alzheimer. Il s’avère en effet que la présence d’un chien participe à l’éveil du patient et déclenche ainsi des réactions positives.

Déposé par Biscuit le 26/06/2016  

Mes larmes qui couleront lentement à jamais.
Avec toi j'ai connu le sens du bonheur.
Je me répète et le répète.
Je vois et regarde souvent ces endroits ou nous étions toi et moi.
Je me souviens comme si c’était hier sensation indicible.
A mon âme.
tu as apporté un Grand Bonheur.
et beaucoup de lumière dans ma vie.
A chaque fois je pense à toi et je pleure.
C’est comme ça ...
Je ne le montre pas au autres. Je ne le dit pas.
Mais je triche.
Tu me manque.
A jamais tu as marqué mon existence mon coeur.
Tu me Manque Mon P’tit Ange d'amour...Tellement...
D’un chagrin si intense

Déposé par colombine67 le 26/06/2016  
Chien…
Tu es si noble!
Ta médecine nous enseigne
À aller jusqu’au bout de nous-mêmes
Avec fidélité, patience et sincérité.
Tous les Indiens du Sud-Ouest et des Plaines avaient des chiens. Ces nobles animaux lançaient le cri d’alarme devant un danger imminent. Ils aidaient aussi à la chasse et gardaient leurs maîtres au chaud pendant les longues soirées d’hiver. Puisqu’il existe plusieurs espèces de chiens, les premiers chiens des Indiens étaient habituellement à demi sauvages. Toutefois, l’état sauvage ne les détournait pas de la fidélité innée à leurs maîtres.
Tout au long de l’histoire, on a considéré le Chien comme le serviteur de l’humanité. Les porteurs de la médecine du Chien se dévouent habituellement de quelque façon au service des autres ou à celui de l’humanité. Ce sont des bénévoles, des philanthropes, des infirmières, des conseillers, des prêtres ou des soldats.
Le Chien, c’est le soldat de service, gardien vigilant des loges de la tribu contre les attaques surprises. La médecine du Chien allie la tendre délicatesse du meilleur ami à l’énergie protectrice mi-sauvage, liée aux exigences territoriales. Comme Anubis, le chien-chacal qui protège l’Égypte, le chien monte la garde. À travers l’histoire, le Chien a été à la fois gardien des enfers, des secrets anciens, des trésors cachés et des bébés – pendant que les mères préparaient les repas ou travaillaient aux champs. Fidèle à sa nature, cet animal mérite la confiance qu’on lui accorde.
En étudiant la médecine du Chien, vous découvrirez peut-être de doux souvenirs personnels reliés à un chien que vous avez aimé. Cela vous poussera peut-être à mieux examiner le message que ce fidèle gardien veut transmettre : approfondissez votre sens du service aux autres. L’espèce canine est vraiment orientée vers le service ; la fidélité de ces animaux passe outre aux mauvais traitements reçus. Même quand le Chien a été victime de cris ou de coups, il continue à aimer la personne qui l’a maltraité, non pas par stupidité mais plutôt par compréhension : une compréhension profonde et compatissante des défauts des humains. II semble bien qu’au coeur de tout chien réside un esprit de tolérance qui ne cherche qu’à servir.
Par ailleurs, il peut se trouver des chiens chez qui les mauvais traitements ont étouffé toute trace de fidélité. Ils tremblent et se lamentent au moindre signe de désapprobation, mais ce n’est pas là leur nature véritable. Quelques espèces de chiens ont même été entraînés à être brutaux et méchants. Dans un esprit de service, ces espèces ont répondu aux désirs agressifs de leurs maîtres. Ils sont victimes d’une altération de leur mémoire génétique où le service prend un tout autre sens parce qu’il est relié à l’approbation de leurs maîtres.
La médecine du Chien nous demande de considérer combien aisément notre besoin d’approbation peut dénaturer l’esprit de notre fidélité. Si vous avez tiré la carte du Chien, plusieurs questions se posent selon la situation qui vous a poussé à tirer les cartes.
1) Récemment, ai-je oublié que je devais d’abord respecter ma vérité personnelle ?
2) Est-il possible que les commérages et l’opinion des autres aient diminué ma fidélité à un certain ami ou à un certain groupe ?
3) Ai-je rejeté ou ignoré quelqu’un qui tente d’être un ami fidèle ?
4) Ai-je été fidèle et sincère face à mes buts ?
À L’ENVERS :
En position contraire, le Chien vous rappelle peut-être que vous êtes devenu trop critique,voire même méchant et que c’est dû aux gens que vous fréquentez. L’aspect contraire de cette médecine peut aussi vouloir dire qu’il est temps de cesser de trembler de peur et qu’il vaut mieux maintenant vous attaquer à tout ce qui mine votre confiance. La clé du succès, c’est de vous rendre compte que l’ennemi est à l’intérieur de vous : il s’agit de formes-pensées qui vous disent que vous n’êtes pas digne de fidélité – soit envers vous-même, soit envers les autres. Vous voudrez peut-être examiner les schémas d’infidélité dans votre vie. Par exemple, rapportez-vous les potins ? Évitez-vous de prendre la parole pour faire taire ou rectifier les propos de quelqu’un qui propage des rumeurs ? Faites-vous des farces qui abaissent les autres ? Refusez-vous de rendre des services ? Ces comportements sont caractéristiques de la peur, particulièrement d’une peur commune aux humains de la famille des bipèdes : la peur de ne pas faire partie du groupe ou de ne pas être approuvé.
Réappropriez-vous le pouvoir d’être fidèle à vous-même et à vos vérités. Devenez comme le Chien – votre meilleur ami. 

Déposé par nikita le 25/06/2016  
Mon BILLY à moi
Je pense toujours à toi.
On m'avait dit que tout s'efface
Heureusement que le temps passe
J'aurai appris qu'il faut longtemps
que la douleur s'estompe avec le temps
Mais j'ai ton image plantée dans les yeux
Je pense souvent à ces jours heureux
Ou tu étais serré contre mon cœur
Juste avant ce terrible malheur
La destiné t'a arraché de ma vie
Et un morceau de mon cœur est parti
Je ne t'oublierais jamais mon joli cœur
Toi qui as été mon immense bonheur
mille bisous parfumés de tendresse sur ta jolie frimousse mon beau petit cœur à partager avec ta maman d'amour

Déposé par poutounou le 25/06/2016  
Rupture
*
J’effacerai le temps
J’effacerai les jours
Mais je sais qu’au retour
J’irai me questionnant
*
Voilà
J’ai les mains vides
Vides sont mes mains
Vides
Parfois je les regarde, stupide
Et les feuilles tombent dans l’air limpide
Encore une fois
*
J’effacerai les places
J’effacerai les traces
Me faisant un espace
Dont tu seras absent
*
Encore une fois
Voilà
J’ai les mains vides
Et du creux de mes paumes arides
S’échappent fuyant entre mes doigts
Les restes d’un espoir pesant
*
J’effacerai les peines
J’effacerai les joies
Notre route bifurqua
Et chacun eut la sienne
*
Voilà j’ai les mains vides
Vides sont mes mains
Vides
Et les feuilles tombent dans l’air limpide
Encore une fois…

Déposé par colombine67 le 25/06/2016  
A tous ceux qui n'aiment pas nos chiens...
A ceux qui gobent les infos bêtement
A ceux qui englués dans la propagande médiatique des journaux, télévision, radios ou autres.
A ceux qui ne supportent pas les rottweilers, staffs, ou autres assimilés molosses juste à cause de leur "gueule"
A ceux qui dans la rue, hurlent, nous insultent et nous menacent
A ceux qui promènent leurs "roquets" ou brave chien de famille sans laisse (en ville, partout, à la campagne)
Aux mères de famille qui attrapent leurs enfants en criant ou en traversant la rue brutalement (risquant la vie de leur gamin sur la route).
A nos proches qui refusent de nous voir à cause de nos chiens
Aux voisins qui paniquent, harcèlent, empoisonnent, provoquent nos chiens et nous insultent.
A vous...qui avez peur de l'image atroce que le gouvernement vous montre, dans le but de VOUS faire peur...
A vous que nous ne pouvons même pas juger d'avoir peur, à cause des images chocs, de la violence orchestrée et mise en scène, des photos, des cas rares de morsures (souvent causées par des chiens maltraités ou détenus enfermés dans d'horribles conditions) ou des rares idiots qui utilisent leurs molosses à de mauvaises fins...
A vous français à qui l'on rabâche sciemment que nos chiens sont dangereux...
On ne vous en veut pas...vous les gens...d'être victimes de la propagande...on ne vous en veut pas de penser que nos chiens sont ce que les médias choisissent de vous montrer.
Depuis plus de 10 ans...on vous abreuve des pires horreurs sur NOS chiens...
Nous ne pouvons même pas vous en vouloir...
Mais ne nous en voulez pas, à votre tour...d'aimer nos chiens.
Ne nous en voulez pas de nous sentir persécutés.
Lisez l'histoire qui va suivre plus bas...
Ne serait-ce que 5 min, mettez VOUS à NOTRE place.
Depuis 99, la France a organisé l'éradication de nos chiens...lentement, sournoisement.Quelques balbutiements politiques...à coups de faits divers qui brutalement sont soit disant devenus quotidiens et le mythe du sauvage pitbull tueur d'enfant a terrorisé les foyers, angoissé les mères de famille, et engendré des envies de meurtres de la part de nos voisins, fourrières et refuges ou des envies de justice pour la sécurité nationale.Aujourd'hui...détenir un chien catégorisé...est bien plus difficile que de s'acheter une arme et d'aller tirer sur une classe entière d'enfants innocents dans une école ou de tuer un camarade de lycée pour une histoire d'ados.Aujourd'hui, promener son rott, son staff, son dogue ou même son gros chien...relève de la délinquance, et met en péril la sécurité publique, alors que pénétrer dans une maternité et voler un enfant est aussi facile que de s'acheter une baguette de pain dans une boulangerie.A l'heure actuelle...nous, propriétaires, maîtres, simples gens comme vous...père, mère de famille, jeune ou moins jeunes, devons nous plier à des lois et des contraintes de plus en plus sévères.Alors que nos chiens sont ceux qui auraient le plus besoin de se dépenser, de jouer de courir, de faire du sport...ou JUSTE d'avoir le DROIT de ramasser une balle qu'on leur lance...ce simple geste si anodin...que vous tous faites avec votre chien nous est interdit par la loi.Le simple fait de lancer un bâton à nos chiens est proscrit.Un "petit chien", ou des races plus « paresseuses » n'ont pas autant besoin de se dépenser que nos chiens...et pourtant, eux ont le droit de divaguer, de ne pas être tenus en laisse, d'aboyer, de grogner en toute impunité, de ne pas êtré éduqués...Sans que personne ne trouve cela inquiétant.Mais pourtant, laisser gambader nos chiens, les laisser courir, attraper un frisbee, une balle...est interdit à un molosse. Sans compter que les transports en communs, les lieux publics, la foule, les loisirs, les hôtels et autres lieux ne tolèrent pas nos chiens. Pire encore, les locations, le simple droit au logement nous est interdit dans certains cas. Même certains vétérinaires refusent une simple consultation à nos chiens, que ce soit pour des soins d'urgence ou des blessures graves...ou pour juste un vaccin...La plupart des pensions refusent nos chiens...beaucoup de clubs d'éducation canine aussi refusent nos chiens.Le seul droit...la muselière, la laisse et des formalités à n'en plus finir et pour certains, la mort immédiate car nés sans papiers (LOF)
Nos autres droits :
Déclaration en mairie (on est fiché...les pédophiles le sont-ils eux ?????)
Nos chiens sont enregistrés en mairie ou auprès de la Police tels de dangereux criminels,
assurés responsabilité civile (payant),
doivent passer une visite comportementale chez un vétérinaire (150€)...
être munis d'un passeport (payant); et vaccinés contre la rage (alors que la rage n'est plus obligatoire depuis des années)
et nous propriétaires devons nous même passer une formation d'une journée (en moyenne entre 50 et 200€)...formation nous donnant un certificat d'aptitude à la détention de chiens de catégorie 1 ou 2
Suite à cela...après ces diverses formalités contraignantes et coûteuses, nous devons nous soumettre au bon vouloir du maire de notre lieu de résidence, afin que celui-ci daigne nous délivrer ce fameux « permis de détention de chien dangereux »...
En France, au 21ème siècle, nous devons demander au maire de notre commune la PERMISSION de sortir nos chiens.Nous devons obtenir l'accord de notre maire pour que nos chiens aient juste le DROIT de poser leurs pattes sur un trottoir...nous devons demander à notre commune l'autorisation pour que nos chiens aient le droit de subvenir à leurs besoins naturels en dehors de leur domicile.
Est-cela « Liberté, Égalité, Fraternité » ?
Non. Ce racisme canin, cette éradication ciblée, basés sur des concepts de races sans aucune cohérence, ni même basés sur des statistiques de morsures tournent à l'extermination.
Alors que, rappelons-le, depuis 1984 en France, sur 40 cas de morsures mortelles recensées, 17 ont été causées par des Bergers Allemands ; et pourtant ce cher Berger n'est pas considéré comme dangereux...Pensez vous, s'en prendre à l'icône de 30 millions d'amis ce serait un sacrilège !!!!
Pour nous propriétaires de molosses, qui plus est catégorisés, ce n'est pas le pays de la liberté et de l'égalité...et encore moins celle de la fraternité. Si vous arrivez à « comprendre » que l'on se sente persécuté, nous aurons au moins réussi – peut-être – à vous faire comprendre notre quotidien.
A nous qui subissons les chiens des autres, non éduqués, non tenus en laisse...
A nous qui subissons les menaces, les pressions, les interdictions, les insultes.
A nos chiens qui subissent la muselière et la laisse pour les plus chanceux.
Aux malchanceux qui sont euthanasiés parce qu'on en veut plus, parce qu'ils coûtent chers de les mettre en règle, parce qu'un propriétaire n'en veut pas pour signer un bail, parce que l'entourage fait pression, parce que la fourrière les condamne, les refuges leur refusent la chance d'être présentés à l'adoption au même titre que les autres...à ceux qui sont abandonnés sauvagement, dont on se débarrasse parfois de façon brutale et lâche...
à ces chiens qui sont nés dans la mauvaise « peau »,
à ceux qui ont une « gueule » de méchant, une gueule de pas beau...
à ceux qui sont ce que l'homme a créé...et que l'homme veut détruire...
Profitez de vos derniers moments de vie sur notre terre...avant l'extermination.
A nos détracteurs qui vont se frotter les mains...de savoir que la délation, la simple dénonciation sans témoin, vous suffiront pour vous venger de votre voisin ou d'un promeneur qui a le malheur de posséder un chien de catégorie ou un chien qui ne vous plaît pas: réjouissez vous.
Un simple appel à votre mairie, au commissariat et vous voilà devenu le justicier de la République. A vous qui pouvez dénoncer n'importe quelle personne possédant un molosse, vous avez le pouvoir de ruiner une vie.
J'espère que vous comprendrez nos combats. Parce qu'on souhaiterait simplement avoir un chien comme les autres...mais qu'il est JUSTE un peu différent physiquement.
A tous les courageux détenteurs de ces chiens, qui se battent encore pour les garder, qui subissent sans cesse la peur des autres, les pressions...l'angoisse permanente de la promenade où personne ne se montrera tolérant...
A tous les gens qui comme moi, savent très bien que si jamais leur chien a le malheur d'être un chien comme les autres, qui joue, aboie, jappe, gambade ou se bagarre. (oui des chiens qui se bagarrent ça arrive...au parc ou ailleurs, pour une broutille...sauf que les AUTRES ont le droit, ce sera sans conséquence pénale, ce n'est pas grave, ça arrive...)
A tous les possesseurs de molosses, qui la peur au ventre vont promener leurs chiens, catégorisés ou pas...qui savent que si jamais il se passe le moindre petit accrochage avec un autre chien non tenu en laisse (même si le nôtre est attaché) savent qu'ils seront jugés coupables. La peur au ventre de se dire que si UNE PERSONNE a décidé de vous en vouloir, pour rien...la possibilité de vous ruiner lui est offerte.
Vive la France, Vive les gens...Vive les chiens.
Liberté muselée.
Égalité catégorisée.
Fraternité euthanasiée

Déposé par colombine67 le 24/06/2016  
Le 21 juin 2016, la délégation de la Fondation a été recue pendant plus d'une heure par la diplomatie chinoise à Paris afin d'évoquer la consommation de chiens et de chats en Chine en général et le festival de Yulin en particulier. L'occasion pour la Fondation de remettre à l'ambassade les 154 000 signatures contre ce festival de l'horreur. Les diplomates, très ouverts, ont pris l'engagement de poursuivre les échanges tout au long de l'année avec la FBB afin de lui permettre d'amplifier son action sur le terrain.
La Chine est le plus gros consommateur de viande de chiens et de chats d’Asie. C'est justement cette viande qui constitue la principale attraction d'un festival qui doit se dérouler aux alentours du 21 juin, dans la province autonome du Guangxi dans le sud-ouest de la Chine.
Chaque année en effet, la ville de Yulin célèbre l'arrivée du solstice d'été en torturant et massacrant des milliers de chiens et de chats... Pour être mangés !
Le festival devient un immense marché immonde à ciel ouvert : jusqu'à 10 000 chiens et 4 000 chats y sont torturés, massacrés, dépecés, vendus en morceaux ou mangés sur place !
Les animaux sacrifiés sont la plupart du temps des chiens errants, abandonnés ou volés. Transportés dans des conditions effroyables jusqu'au lieu du festival, ils sont ensuite exposés vivants, comprimés dans des cages de fer pendant les jours qui précèdent l'évènement. Les chiens et les chats sont attrapés par les marchands au moyen d'une lance qui leur enserre le cou puis tués sur place à coup de bâtons, saignés puis dépecés. De l'avis des amateurs, plus la bête souffre, plus la viande sera goûteuse..." rapporte Paris Match.
Deux millions de Chinois s'opposent à ces atrocités et 31 députés ont proposé au gouvernement d’interdire cette consommation et les traditions barbares qui s’y rapportent.
Signez notre pétition en ligne , participez aux actions et partagez-la massivement…
Merci à vous tous !
voici le lien: http://www.fondationbrigittebardot.fr/agir/petitions/yulin

Déposé par colombine67 le 23/06/2016  
J'ai vu au fond de tes yeux et de ton regard,
Un amour que l'on ne lit nul part,
J'ai bu des mots que tu ne sais pas,
Que tu voudrais dire mais tu ne peux pas,
Souvent j'y ai vu la tendresse,
Mais aussi la tristesse,
Pour un reproche que tu ne méritais pas,
Ou simplement que tu ne comprenais pas,
Mais que tu respecteras,
J'y ai vu surtout l'amour,
Que tu me donnes jour après jour,
Un amour qui ne demande rien,
Rien qu'une caresse de la main,
Je sais bien que tu n'es qu'un chien,
Mais ton amour vaut bien celui d'un humain,
Tu offres sans demander,
Même ta vie s'il le fallait,
Alors moi j'ose dire que je t'aime,
Que je t'aime autant qu'un humain,
Même si l'on dit que tu n'es qu'un chien,
Hélas un jour tu partiras,
La mort, ce jour là, t'emportera,
Alors rien que d'y penser,
Mon cour commence à regretter,
De n'avoir pu t'expliquer,
Toutes ces choses que mon cour t'exprimait,
Mais que j'espère, dans mes yeux, ce jour là,
Tu liras,
Tous ces mots qui bouillonnent dans mon âme,
Jusqu'à se que la tienne prenne flamme,
Que je puisse respirer ton esprit aisé,
En te laissant cette seule pensée :
« Que moi pauvre humain,
Je serais te faire comprendre, l'amour d'un homme pour son chien"

Déposé par colombine67 le 22/06/2016  
Christine Chapelier souffre d’infirmité motrice cérébrale (IMC). Aujourd’hui dans un fauteuil, cette quadragénaire est en ce moment hospitalisée à l’hôpital Maritime. L’établissement, qui dépend de l’assistance publique-hôpitaux de Paris, a accepté que son chien d’assistance l’accompagne. Témoignage.
Depuis le 30 novembre, une drôle de pensionnaire a investi les couloirs de Maritime. Gagée, 4 ans et demi, est une femelle golden retriever. Si elle est ici, c’est que sa maîtresse a besoin de sa chienne d’assistance au quotidien. « C’est mon médicament », sourit la patiente hospitalisée au service diététique.
Christine Chapelier, 44 ans, souffre d’IMC depuis qu’elle a l’âge de deux mois, « à la suite d’un vaccin contre la variole ». Une pathologie qui la cloue très vite dans un fauteuil. « Puis, à 33 ans, j’ai eu un accident de voiture. Après, j’étais angoissée, il me fallait des médicaments pour dormir. Depuis Gagée, je ne prends plus rien. »
C’est l’association Handi’chiens qui a remis la chienne, dûment éduquée, à Christine. Ouvrir une porte, ramasser des clés, aller chercher de l’eau dans le réfrigérateur ou ramener le téléphone… Autant de gestes que la chienne exécute à la demande. « Si je fais une crise d’asthme, elle le ressent même avant moi. C’est une amie », sourit Christine Chapelier.
« Elle remplit de multiples fonctions et a des vertus thérapeutiques, confirme le Dr Rufus Louhou (lire ci-dessous). Souvent, il s’agit de patients isolés et dépressifs. L’animal remplit alors un vide et ouvre la personne à une vie sociale. » À reprendre confiance, aussi. « Avant, les gens voyaient d’abord mon fauteuil. Maintenant, ils voient Gagée, viennent la caresser et donc viennent vers moi… »
Quand Christine a dû envisager de la rééducation nutritionnelle et fonctionnelle, elle a cherché un hôpital qui voudrait d’elle et de sa chienne. Elle a essuyé plusieurs refus, malgré la lettre du professeur qui la suit à Garches, avant la réponse positive de Maritime.
En trois semaines d’hospitalisation, Gagée est devenue la mascotte de tout le monde. « On m’offre même des cadeaux de Noël pour elle ! » Il faut dire qu’ici, ce n’est pas une première. Ça ne surprend personne. Et pour cause : un kiné de l’équipe, malvoyant, vient chaque jour travailler avec son chien guide.
« Le chien aide à se reprendre en main »
– Vous est-il déjà arrivé d’accueillir d’autres patients avec leur chien ?
« Ça n’arrive pas tous les jours mais ce n’est pas une première à l’hôpital Maritime. Juste avant Christine Chapelier, nous avions, par exemple, une patiente malvoyante avec son chien guide. Au total, nous avons déjà donné notre accord pour cinq ou six demandes de ce type. Vous savez, on regarde uniquement le dossier du patient dans ce cas, le but c’est qu’il entretienne ou améliore sa condition physique, retrouve un équilibre alimentaire. On évalue donc sa capacité d’évolution en ce sens, la question du chien est secondaire. On sait qu’il s’agit de prises en charge au long cours, pour maintenir les acquis entre les séjours à l’hôpital. »
– Pourtant ce n’est pas fréquent, et la patiente a essuyé des refus…
« Ce n’est pas fréquent pour des raisons d’hygiène et d’organisation. Ici, il n’y a pas de service de chirurgie septique, donc pas de risques d’infections. Nous avons aussi des chambres seules, ce qui n’est pas le cas partout. Or, on ne peut pas hospitaliser un chien et son maître avec un autre patient. De même qu’on ne pourrait pas accueillir deux chiens en même temps. »
– L’hygiène est stricte à l’hôpital. Ça ne pose pas de problème ?
« De prime abord, on peut avoir des appréhensions. Mais les chiens guides ou d’assistance ne menacent pas les conditions d’hygiène de l’hôpital. Ils sont très bien suivis et vaccinés. Ensuite, ils sont éduqués et ne se mettent pas à courir partout ou à sauter sur les patients ou les médecins. Ils obéissent parfaitement. »
– Quel intérêt thérapeutique apportent-ils ?
« Les problèmes de surpoids sont des facteurs d’anxiété et de symptômes dépressifs. Or, avoir un chien, s’en occuper, en être responsable, ça aide le patient à se reprendre en main, à mettre en place une meilleure organisation dans sa vie comme pour ses repas. Il y a aussi une notion de partage, le lien social est amélioré. Et ça peut aussi donner des idées aux autres patients. »
Handi’chiens cherche familles d’accueil
L’association Handi’chiens éduque et remet gracieusement des chiens d’assistance à des personnes en situation de handicap. Marie-Pierre Lalue, déléguée, recherche des familles d’accueil dans le Montreuillois pour former de nouveaux chiens dès juin.
Les obligations. Le volontaire accueille pendant seize mois un golden retriever ou un labrador. Il doit le faire travailler tous les jours et lui faire suivre un samedi sur deux (hors vacances), des cours d’éducation visant à apprendre à l’animal une quarantaine de commandes. Maison ou appartement, peu importe, tant que la famille sort le chien le plus souvent possible et dans le maximum de ses activités pour l’habituer à son environnement et aux situations. À noter : les frais alimentaires et vétérinaires sont pris en charge par Handi’chiens.
Quelle mission ? « Le rôle des familles est essentiel. Ce sont elles qui vont socialiser le chien. »
Les qualités requises ? « Passionné par l’éducation du chien, patient, persévérant et très doux. »
Et après ? Le chien sera remis en centre de formation six mois avant d’être offert à son maître. Souvent des liens entre ce dernier et la famille d’accueil se créent.
Renseignements. handichiens.org Si vous êtes intéressés, contacter Marie-Pierre Lalue au 03 61 85 71 57.
Publié le 23/12/2015

Déposé par ovanek le 21/06/2016  
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💖 .. une Pensée en musique en ce premier jour de l'été ..💖
Mille C💖eur d'💖mour pour TOI
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Déposé par poutounou le 21/06/2016  
Ne meurs pas
*
Ne meurs pas, les oiseaux vont pleurer
Qui gardera le chat, ne meurs pas
Je veux encor trouver des mots de toi
Ne meurs pas, qui teindra mes volets
De bleu et de souci mes nuits
Qui me parlera tout bas, ne meurs pas
Le soleil se couche pour toi
Tout rouge sois vif et feu
Qui rit en même temps que moi
Qui comprend mes aveux
Ne meurs pas, j’ai fait du thé pour toi
Et je veux te parler et te donner la voix
Ne meurs pas, je te ferai du feu
Tu as mis des rideaux au ciel dessus mon toit
On ira voir la mer on écrira
J’aurai une maison pour toi
Ne meurs pas, je vais faire un tableau
Pour toi
*
Ne meurs pas
JE N’AI QUE TOI

Déposé par Galinette3 le 21/06/2016  
🌞
Despotique, pesant, incolore, l’Été,
Comme un roi fainéant présidant un supplice,
S’étire par l’ardeur blanche du ciel complice
Et bâille. L’homme dort loin du travail quitté.
🎶
L’alouette au matin, lasse, n’a pas chanté.
Pas un nuage, pas un souffle, rien qui plisse
Ou ride cet azur implacablement lisse
Où le silence bout dans l’immobilité.
🐞
L’âpre engourdissement a gagné les cigales
Et sur leur lit étroit de pierres inégales
Les ruisseaux à moitié taris ne sautent plus.
🌻
Une rotation incessante de moires
Lumineuses étend ses flux et ses reflux…
Des guêpes, çà et là, volent, jaunes et noires.
🐝
Paul VERLAINE

Déposé par colombine67 le 21/06/2016  
"J’ose ce soir t’adresser cette lettre, à toi qui ne sauras ni lire ni comprendre les mots qui la composent.
Lorsque ton regard plonge dans mes yeux, je sais que tu ressens un autre langage… Celui de notre union, du lien que nous avons tissé jour après jour, dans cette relation unique d’un maître et de son chien.
Je t’ai appris quelques mots de ma langue, et toi, tu m’as appris bien plus dans tes silences. Chaque jour, ta dévotion à mon égard, ton investissement par la joie, ton envie de me combler, ta motivation à me faire plaisir témoignent d’une capacité que beaucoup de mon espèce ont perdue …un altruisme à toute épreuve. Que je sois de mon coté enchantée ou fatiguée, à l’écoute ou dans ma bulle, affectueuse ou agacée, tu restes fidèle à toi même. Je te remercie durant cette dernière année, d’avoir été cet être présent et attentif.
Je me suis appliquée à te dorloter également, à m’occuper de toi ; de ta santé, toi qui ne te plains jamais, de ta croissance, toi qui ne t’en rends pas compte, de ton éducation, toi qui es destinée à la plus noble des tâches. Celle d’accompagner une personne fragilisée dans la société que nous avons créée.
La plupart d’entre nous pensent que le nombre de personnes handicapées constitue une minorité. Or l’enquète Handicap-Incapacités-Dépendances réalisé par l’INSEE, met en évidence un nombre actuel de personnes handicapées en France avoisinant les 12 millions. Pas si minoritaire, donc…Mais nous ne les croisons pas si souvent parce que notre infrastructure ou nos systèmes d’accès limitent leur mobilité.
Nous autres, personnes valides, ignorons trop souvent les privilèges que nous avons mis en place. Privilège d’accès à la poste, dans le train, au travail ; privilège de déplacement en ville, privilège de possibilité d’activités sportives ou culturelles… privilège d’aménagement, tout simplement. Nous avons créé un environnement hostile et souvent inaccessible pour certains.
Je sais Ekinis, que tu sauras amoindrir cet obstacle existant, que tu sauras autoriser une personne à mobilité réduite à accéder davantage à son droit le plus élémentaire, celui d’être parmi nous, actif et présent...
L’autonomie que tu lui apporteras, le contact que tu permettras entre lui et les autres changeront sa vie. J’en suis certaine, car grâce à toi, ma vie a changé. En tant que famille d’accueil, mon rôle était de te "sociabiliser"… Sais-tu seulement que c’est toi qui m’as sociabilisée ? _ Avant de te sortir au petit matin, je ne connaissais pas la femme de ménage de mon immeuble, car elle travaille à un horaire différent de mon départ. Depuis, nous échangeons régulièrement quelques mots.
Je ne connaissais pas non plus la dame âgée assise sur ce banc, ni le petit garçon qui va dans le parc régulièrement, ni la dame de l’accueil sur le parking des bus, ou ce marchand qui sort de son magasin dès qu’il te voit passer. Je ne connaissais pas les sourires de tant de personnes lorsque je fais mon marché, les discussions échangées avant de traverser la rue, ces liens tissés auprès des gens de mon quartier, ces amitiés possibles avec d’autres qui promènent leur chien. Alors, oui, je sais que ton futur maître, grâce à toi, aura infiniment plus d’occasions d’être en communication avec son entourage ; je sais que le fauteuil ou le handicap ne feront plus barrière, car tu seras là pour créer un pont.
Nous avons pris soin l’une de l’autre ces derniers mois, et aujourd’hui, nous devons nous séparer. Mais je ne te perds pas. Lorsque quelque chose de vrai est échangé, on le garde pour toujours. Un peu de moi t’a construite et un peu de toi m’a ouvert des portes ; l’avenir sans toi sera nécessairement un avenir grâce à toi et je t’en remercie.
Réciproquement, ton avenir sans moi est un avenir grâce à moi, et j’en éprouve une profonde fierté, beaucoup de joie et un sentiment d’apaisement.
Notre chemin initial a été tracé parce qu’il avait un sens, notre séparation fait partie d’un processus d’union, entre toi et celui qui te choisira demain. J’ai si souvent lu au fond de tes yeux que tu le choisiras aussi lorsque vos regards se croiseront, que je te quitte sereine, ce soir, avec émotion et bienveillance, car ton histoire ne fait que commencer.
Tendrement."

Déposé par colombine67 le 20/06/2016  
Il était triste le petit chien
Assis tout seul dans le chemin.
Il regardait les gens passer
Et ses yeux étaient mouillés.
Oh, bien sûr on le caressait
En passant...mais on repartait,
Et jamais on ne demandait
Au petit chien du chemin ...
La cause de son chagrin.
Il était triste le petit chien
Abandonné dans ce chemin
Par d'innommables vacanciers
Partis Dieu sait vers quelle contrée !
Il était triste le petit chien.
Alors, je me suis approchée,
J'ai pris sa tête entre mes mains
Et je l'ai consolé.
On a parlé longtemps tous les deux :
Lui, avec ses yeux,
Moi, avec mes mains
Qui le caressaient.
Je lui ai demandé
S'il voulait être mon petit chien.
Il m'a léché la main,
Il a remué la queue.
Et on est repartis tous les deux,
Par le grand chemin,
Moi et mon petit chien.

Déposé par colombine67 le 19/06/2016  
Quand l'Homme n'a plus d'amis, qu'il est renié par les uns, calomnié par les autres, délaissé par ses proches, détesté quelques fois par ses propres amis, dans ce dédale de faux sentiments et bien souvent de vie devenue quasi virtuelle, il reste à l'Homme un être plein de chaleur, plein de tendresse, de joie de vivre et d'amour pour lui : son chien. Le chien rarement ne délaisse de son gré son ami, son maître ou sa famille. Le chien non plus jamais ne reniera ou n'abandonnera - s'il reçoit le minimum d'amour - ceux qui l'ont un jour adopté. Il ira même jusqu'à donner sa vie, parfois, pour ceux-ci. Et cela, sans la moindre hésitation.
Sujets : Joliette
Le chien, jamais, ne parlera dans votre dos. Il fera même en sorte, par toutes ses manifestations joyeuses, que tout le monde sache que vous l'aimez. Même bafoué, il vous lèchera encore la main. Vous pouvez constater son amour pour vous, chaque jour, juste en regardant la joie dans ses iris joyeux lorsque vous rentrez à la maison, à sa queue qui fend l'air énergiquement quand vous l'amenez en promenade, à son excitation quand vous décidez de l'amener en voiture avec vous, pour aller faire les courses. Le chien ne veut pas partir courrir le monde, encore moins aller au bout du monde. Non. Car le MONDE pour lui, c'est VOUS. Et seule compte, à ses yeux, votre PRÉSENCE. Le chien n'a rien d'une tortue, d'un boa ou d'un poisson rouge. Or donc, le chien laissé à lui-même s'ennuie en votre absence, il pense à vous, il vous espère, il vous attend. Il sait que vous rentrerez, que vous finirez bien par arriver et il guette. Il guette le bruit des pneus de la voiture dans l'allée, il entend une feuille qui bouge ou le moindre bruit de vos pas sur le seuil ou dans l'escalier; il écoute - et encore plus - il espère la clé dans la porte, la voix familière. Bref : il attend LE signe qui annonce votre arrivée.
Le chien aime, pense, ressent, autant que les humains. Peut-être même plus que les humains. Mais il est encore assez sage, quand il est en détresse ou si vous tardez trop, pour ne pas vous faire le moindre reproche. Tout au plus se limitera-t-il à émettre un petit gémissement de plaisir, que de vous voir enfin revenir ! Car le chien ne peut pas cacher ses sentiments : il ne fait pas partie des humains... Et ce chien-là, laissé trop longtemps à lui-même, sans savoir ce qui vous arrive ni pourquoi vous ne revenez pas, pleure en silence. Il pleure dans une trop longue attente de vous-mêmes. Pourquoi ? Parce qu'IL VOUS AIME, et qu'il tient vraiment à vous. Et ces chiens, trop souvent abandonnés à eux-mêmes, me tirent les larmes aussi. Car le meilleur ami de l'Homme n'a certes pas été créé ni pour vivre seul ni pour devenir à vie, gardien de fond de cour...
À chaque Noël qui vient, je fais le même souhait : je prie que tous ceux qui n'ont PAS VRAIMENT LE TEMPS de caresser, de parler ou d'accorder le minimum de temps à leur véritable (peut-être seul sincère) compagnon ainsi qu'à ceux qui promettent d'acheter aux enfants qui insistent, sans savoir à quel engagement on se doit d'obéir quand on décide d'acquérir un chien, d'acheter plutôt des chats ou des toutous de peluche, ou encore de plâtre...
Car ceux-là ne souffriront pas, pendant des heures, tout esseulés qu'ils seraient, en vous attendant...

Déposé par colombine67 le 18/06/2016  
Sur ce chemin où je progresse incertain,
Qui me mène ,inexorable , vers un tragique destin .
Je me souviens des moments de bonheur,des jours heureux.
Où sans faillir jamais , j'ai veillé sur eux.
Toujours enjoué et débordant d' affection.
Ils étaient pour moi mes amis ma passion.
Hier ils m'ont oublié sur ce parking inconnu.
Ils sont partis, sans remords, sans tristesse retenue.
Je les ai bien attendu des heures durant.
Ne pas s'éloigner, rester sage et patient.
Vaine attente, épuisé, désemparé je vais sans but.
Affligé d'être ce qu'on appelle un chien perdu.
Quelle distance ai-je bien pu parcourir ?
L'énergie me manque, plus la force de courir.
Mais quelle est cette douleur qui soudain me tenaille?
Me blesse dans ma chair et mes entrailles.
Il ne m'a pas vu, et point ne s'arrête, je ne peux plus bouger.
A l'orée de ce bois, comment vont ils me retrouver ?
La souffrance doucement s'estompe, de mon corps je m'évade .
Une douce inertie m'envahit et de ce monde m'efface.
Triste destinée que de rendre son dernier soupir.
Loin de mes maîtres que ma vie j'ai passé à chérir.
Mes yeux se ferment, sous mes paupières, ultime image.
Deux humains sincères caressant un colley très sage.




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Les promenades
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tu adorais aller a la plage mais tu n as jamais voulu te baigner
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