En hommage à
Billy


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En hommage à
Billy
BORDER-COLLIE
Il est né le:25/09/2001
Il nous a quittés le:29/05/2015

Au revoir mon Bébé d'Amour - tu me manques tellement
...
29/05/2015

Mon beau Billy ma peine est immense. La maladie t'a rattrapé pourtant tu t'es battu jusqu'au bout je sais que tu ne voulais pas me quitter depuis ce mois de juillet 2009 ou je t'ai vu pour la première fois abandonné et malade. Je souhaite que tu sois heureux dans cette autre dimension ou tu te trouves et surtout attends moi bien sagement tu sais qu'un jour nous serons de nouveau réunis toi et moi. Je t envoie mille gros câlins et autant de bisous mon bébé d'amour a qui je pense jour et nuit.





J espère qu il existe un au delà ou je pourrai te retrouver. Qui peut me le dire.je sais aussi que l on ne peut jamais faire son deuil car l absence d un être aimé est insupportable.
Gros bisous sur ta belle truffe mon ange.
Je t aime pour l éternité


29 mai 2024
Mon beau Billy sais tu combien tu me manques.
Neuf ans se sont écoulés.sans toi. Et toujours ces regrets
. Tu aurais pu vivre quelques jours de plus.
Je t aime mon bébé d amour.

Merci à celles et ceux qui auront une pensée pour mon ange.je viens peu sur le site car Billy a sa tombe dans le jardin près de la maison. Elle est fleurie et entretenue
et Nachko à aussi une vraie tombe qui est aujourd'hui dans le parc d une belle propriété ou j ai accès.
Quelques semaines après le départ de Billy j ai adopté Bobby et Balou deux loulous qui étaient les sosies de Billy. Bobby à vraisemblablement et tué par un chasseur le 7 septembre 2017. Je n ai jamais retrouvé son corps. Et le 2 octobre 2023 Balou est lui aussi parti rejoindre les étoiles. Il avait un cancer de la rate et je n ai rien vu venir.
Il repose lui aussi dans notre jardin.
Tout n est que douleur dans ce monde.
Pardonnez moi de ne pas honorer comme je le devrais la mémoire de vos anges disparus.
Je vais essayer de le faire un peu plus souvent.
Amitiés à tous les amis du cimetière
Mille douces caresses à vos beaux anges.
MC




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2172 messages

Déposé par poutounou le 21/06/2016  
Ne meurs pas
*
Ne meurs pas, les oiseaux vont pleurer
Qui gardera le chat, ne meurs pas
Je veux encor trouver des mots de toi
Ne meurs pas, qui teindra mes volets
De bleu et de souci mes nuits
Qui me parlera tout bas, ne meurs pas
Le soleil se couche pour toi
Tout rouge sois vif et feu
Qui rit en même temps que moi
Qui comprend mes aveux
Ne meurs pas, j’ai fait du thé pour toi
Et je veux te parler et te donner la voix
Ne meurs pas, je te ferai du feu
Tu as mis des rideaux au ciel dessus mon toit
On ira voir la mer on écrira
J’aurai une maison pour toi
Ne meurs pas, je vais faire un tableau
Pour toi
*
Ne meurs pas
JE N’AI QUE TOI

Déposé par Galinette3 le 21/06/2016  
🌞
Despotique, pesant, incolore, l’Été,
Comme un roi fainéant présidant un supplice,
S’étire par l’ardeur blanche du ciel complice
Et bâille. L’homme dort loin du travail quitté.
🎶
L’alouette au matin, lasse, n’a pas chanté.
Pas un nuage, pas un souffle, rien qui plisse
Ou ride cet azur implacablement lisse
Où le silence bout dans l’immobilité.
🐞
L’âpre engourdissement a gagné les cigales
Et sur leur lit étroit de pierres inégales
Les ruisseaux à moitié taris ne sautent plus.
🌻
Une rotation incessante de moires
Lumineuses étend ses flux et ses reflux…
Des guêpes, çà et là, volent, jaunes et noires.
🐝
Paul VERLAINE

Déposé par colombine67 le 21/06/2016  
"J’ose ce soir t’adresser cette lettre, à toi qui ne sauras ni lire ni comprendre les mots qui la composent.
Lorsque ton regard plonge dans mes yeux, je sais que tu ressens un autre langage… Celui de notre union, du lien que nous avons tissé jour après jour, dans cette relation unique d’un maître et de son chien.
Je t’ai appris quelques mots de ma langue, et toi, tu m’as appris bien plus dans tes silences. Chaque jour, ta dévotion à mon égard, ton investissement par la joie, ton envie de me combler, ta motivation à me faire plaisir témoignent d’une capacité que beaucoup de mon espèce ont perdue …un altruisme à toute épreuve. Que je sois de mon coté enchantée ou fatiguée, à l’écoute ou dans ma bulle, affectueuse ou agacée, tu restes fidèle à toi même. Je te remercie durant cette dernière année, d’avoir été cet être présent et attentif.
Je me suis appliquée à te dorloter également, à m’occuper de toi ; de ta santé, toi qui ne te plains jamais, de ta croissance, toi qui ne t’en rends pas compte, de ton éducation, toi qui es destinée à la plus noble des tâches. Celle d’accompagner une personne fragilisée dans la société que nous avons créée.
La plupart d’entre nous pensent que le nombre de personnes handicapées constitue une minorité. Or l’enquète Handicap-Incapacités-Dépendances réalisé par l’INSEE, met en évidence un nombre actuel de personnes handicapées en France avoisinant les 12 millions. Pas si minoritaire, donc…Mais nous ne les croisons pas si souvent parce que notre infrastructure ou nos systèmes d’accès limitent leur mobilité.
Nous autres, personnes valides, ignorons trop souvent les privilèges que nous avons mis en place. Privilège d’accès à la poste, dans le train, au travail ; privilège de déplacement en ville, privilège de possibilité d’activités sportives ou culturelles… privilège d’aménagement, tout simplement. Nous avons créé un environnement hostile et souvent inaccessible pour certains.
Je sais Ekinis, que tu sauras amoindrir cet obstacle existant, que tu sauras autoriser une personne à mobilité réduite à accéder davantage à son droit le plus élémentaire, celui d’être parmi nous, actif et présent...
L’autonomie que tu lui apporteras, le contact que tu permettras entre lui et les autres changeront sa vie. J’en suis certaine, car grâce à toi, ma vie a changé. En tant que famille d’accueil, mon rôle était de te "sociabiliser"… Sais-tu seulement que c’est toi qui m’as sociabilisée ? _ Avant de te sortir au petit matin, je ne connaissais pas la femme de ménage de mon immeuble, car elle travaille à un horaire différent de mon départ. Depuis, nous échangeons régulièrement quelques mots.
Je ne connaissais pas non plus la dame âgée assise sur ce banc, ni le petit garçon qui va dans le parc régulièrement, ni la dame de l’accueil sur le parking des bus, ou ce marchand qui sort de son magasin dès qu’il te voit passer. Je ne connaissais pas les sourires de tant de personnes lorsque je fais mon marché, les discussions échangées avant de traverser la rue, ces liens tissés auprès des gens de mon quartier, ces amitiés possibles avec d’autres qui promènent leur chien. Alors, oui, je sais que ton futur maître, grâce à toi, aura infiniment plus d’occasions d’être en communication avec son entourage ; je sais que le fauteuil ou le handicap ne feront plus barrière, car tu seras là pour créer un pont.
Nous avons pris soin l’une de l’autre ces derniers mois, et aujourd’hui, nous devons nous séparer. Mais je ne te perds pas. Lorsque quelque chose de vrai est échangé, on le garde pour toujours. Un peu de moi t’a construite et un peu de toi m’a ouvert des portes ; l’avenir sans toi sera nécessairement un avenir grâce à toi et je t’en remercie.
Réciproquement, ton avenir sans moi est un avenir grâce à moi, et j’en éprouve une profonde fierté, beaucoup de joie et un sentiment d’apaisement.
Notre chemin initial a été tracé parce qu’il avait un sens, notre séparation fait partie d’un processus d’union, entre toi et celui qui te choisira demain. J’ai si souvent lu au fond de tes yeux que tu le choisiras aussi lorsque vos regards se croiseront, que je te quitte sereine, ce soir, avec émotion et bienveillance, car ton histoire ne fait que commencer.
Tendrement."

Déposé par colombine67 le 20/06/2016  
Il était triste le petit chien
Assis tout seul dans le chemin.
Il regardait les gens passer
Et ses yeux étaient mouillés.
Oh, bien sûr on le caressait
En passant...mais on repartait,
Et jamais on ne demandait
Au petit chien du chemin ...
La cause de son chagrin.
Il était triste le petit chien
Abandonné dans ce chemin
Par d'innommables vacanciers
Partis Dieu sait vers quelle contrée !
Il était triste le petit chien.
Alors, je me suis approchée,
J'ai pris sa tête entre mes mains
Et je l'ai consolé.
On a parlé longtemps tous les deux :
Lui, avec ses yeux,
Moi, avec mes mains
Qui le caressaient.
Je lui ai demandé
S'il voulait être mon petit chien.
Il m'a léché la main,
Il a remué la queue.
Et on est repartis tous les deux,
Par le grand chemin,
Moi et mon petit chien.

Déposé par colombine67 le 19/06/2016  
Quand l'Homme n'a plus d'amis, qu'il est renié par les uns, calomnié par les autres, délaissé par ses proches, détesté quelques fois par ses propres amis, dans ce dédale de faux sentiments et bien souvent de vie devenue quasi virtuelle, il reste à l'Homme un être plein de chaleur, plein de tendresse, de joie de vivre et d'amour pour lui : son chien. Le chien rarement ne délaisse de son gré son ami, son maître ou sa famille. Le chien non plus jamais ne reniera ou n'abandonnera - s'il reçoit le minimum d'amour - ceux qui l'ont un jour adopté. Il ira même jusqu'à donner sa vie, parfois, pour ceux-ci. Et cela, sans la moindre hésitation.
Sujets : Joliette
Le chien, jamais, ne parlera dans votre dos. Il fera même en sorte, par toutes ses manifestations joyeuses, que tout le monde sache que vous l'aimez. Même bafoué, il vous lèchera encore la main. Vous pouvez constater son amour pour vous, chaque jour, juste en regardant la joie dans ses iris joyeux lorsque vous rentrez à la maison, à sa queue qui fend l'air énergiquement quand vous l'amenez en promenade, à son excitation quand vous décidez de l'amener en voiture avec vous, pour aller faire les courses. Le chien ne veut pas partir courrir le monde, encore moins aller au bout du monde. Non. Car le MONDE pour lui, c'est VOUS. Et seule compte, à ses yeux, votre PRÉSENCE. Le chien n'a rien d'une tortue, d'un boa ou d'un poisson rouge. Or donc, le chien laissé à lui-même s'ennuie en votre absence, il pense à vous, il vous espère, il vous attend. Il sait que vous rentrerez, que vous finirez bien par arriver et il guette. Il guette le bruit des pneus de la voiture dans l'allée, il entend une feuille qui bouge ou le moindre bruit de vos pas sur le seuil ou dans l'escalier; il écoute - et encore plus - il espère la clé dans la porte, la voix familière. Bref : il attend LE signe qui annonce votre arrivée.
Le chien aime, pense, ressent, autant que les humains. Peut-être même plus que les humains. Mais il est encore assez sage, quand il est en détresse ou si vous tardez trop, pour ne pas vous faire le moindre reproche. Tout au plus se limitera-t-il à émettre un petit gémissement de plaisir, que de vous voir enfin revenir ! Car le chien ne peut pas cacher ses sentiments : il ne fait pas partie des humains... Et ce chien-là, laissé trop longtemps à lui-même, sans savoir ce qui vous arrive ni pourquoi vous ne revenez pas, pleure en silence. Il pleure dans une trop longue attente de vous-mêmes. Pourquoi ? Parce qu'IL VOUS AIME, et qu'il tient vraiment à vous. Et ces chiens, trop souvent abandonnés à eux-mêmes, me tirent les larmes aussi. Car le meilleur ami de l'Homme n'a certes pas été créé ni pour vivre seul ni pour devenir à vie, gardien de fond de cour...
À chaque Noël qui vient, je fais le même souhait : je prie que tous ceux qui n'ont PAS VRAIMENT LE TEMPS de caresser, de parler ou d'accorder le minimum de temps à leur véritable (peut-être seul sincère) compagnon ainsi qu'à ceux qui promettent d'acheter aux enfants qui insistent, sans savoir à quel engagement on se doit d'obéir quand on décide d'acquérir un chien, d'acheter plutôt des chats ou des toutous de peluche, ou encore de plâtre...
Car ceux-là ne souffriront pas, pendant des heures, tout esseulés qu'ils seraient, en vous attendant...

Déposé par colombine67 le 18/06/2016  
Sur ce chemin où je progresse incertain,
Qui me mène ,inexorable , vers un tragique destin .
Je me souviens des moments de bonheur,des jours heureux.
Où sans faillir jamais , j'ai veillé sur eux.
Toujours enjoué et débordant d' affection.
Ils étaient pour moi mes amis ma passion.
Hier ils m'ont oublié sur ce parking inconnu.
Ils sont partis, sans remords, sans tristesse retenue.
Je les ai bien attendu des heures durant.
Ne pas s'éloigner, rester sage et patient.
Vaine attente, épuisé, désemparé je vais sans but.
Affligé d'être ce qu'on appelle un chien perdu.
Quelle distance ai-je bien pu parcourir ?
L'énergie me manque, plus la force de courir.
Mais quelle est cette douleur qui soudain me tenaille?
Me blesse dans ma chair et mes entrailles.
Il ne m'a pas vu, et point ne s'arrête, je ne peux plus bouger.
A l'orée de ce bois, comment vont ils me retrouver ?
La souffrance doucement s'estompe, de mon corps je m'évade .
Une douce inertie m'envahit et de ce monde m'efface.
Triste destinée que de rendre son dernier soupir.
Loin de mes maîtres que ma vie j'ai passé à chérir.
Mes yeux se ferment, sous mes paupières, ultime image.
Deux humains sincères caressant un colley très sage.

Déposé par poutounou le 17/06/2016  
Mistigri me fait penser à mon Iron. Lui aussi écoute quand il le veut bien et se sauve dans le jardin chasser les oiseaux, quand je l’appelle…
*
Semonce à Mistigri
*
Mon Mistigri, mon infidèle,
Tu dois venir quand je t'appelle,
Au lieu de courir la souris
Tout le jour et encor la nuit.
Je n'aime pas cette manière
De te sauver dans les jardins
Quand je t'ai préparé du pain,
Et de la sauce et du gruyère...
Tu en connais, toi, des maitresses
Aussi patientes que je suis,
Et qui vous font mille caresses
Après qu'on s'est si mal conduit ?
*
Jean Desmeuze

Déposé par colombine67 le 17/06/2016  
Partir en vacances avec son animal de compagnie, c'est possible !
Il suffit de bien se préparer avant le départ et de respecter quelques règles
toutes simples qui vous permettront de passer des vacances sans souci!
Pendant le transport, La voiture
Installez confortablement l’animal à l’arrière du véhicule.
Pour les animaux de petite taille, vous pouvez les laisser dans leur panier.
Pour les grands chiens, prévoyez une grille ou un filet de séparation.
N’hésitez pas à vous arrêter toutes les deux heures. Lui, comme vous, en profiterez pour vous dégourdir les jambes et vous hydrater !
Quand vous ouvrez la portière, faites attention à ce qu’il ne se sauve pas.
Ne laissez jamais votre animal dans votre véhicule au soleil, même fenêtres ouvertes. Dans l’habitacle, la température peut atteindre rapidement plus de 50°C : vous risquez le coup de chaleur qui peut être mortel ! Dès les premiers symptômes (l’animal bave, halète, sa langue devient violette), consultez rapidement un vétérinaire. Et pour éviter les otites, ne laissez pas sa tête sortir par la fenêtre !
Sur votre lieu de vacances
Attention aux insolations. Évitez de promener votre chien aux heures les plus chaudes et n'oubliez pas de le faire boire régulièrement.
Surveillez les oreilles et les coussinets pour dépister la présence d'épillets.
Examinez régulièrement le pelage de votre chien pour détecter les tiques. Utilisez un coton imbibé d'éther pour les endormir avant de les arracher.
En cas de morsure de vipère, faites en sorte que votre animal reste calme et emmenez-le rapidement chez un vétérinaire.
Attention aux grains de sable et au sel qui peuvent irriter la peau de l'animal. À votre retour de plage, rincez-le à l'eau douce.
Ne changez pas son alimentation
De préférence, ne bouleversez pas les habitudes de votre animal. Les aliments complet du commerce lui apporteront l'équilibre alimentaire indispensable à sa bonne forme. Que ce soit en produits secs, en boîtes ou en sachets fraîcheur, les différentes variétés proposées permettent de satisfaire les goûts les plus difficiles. N’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire.

Déposé par Biscuit le 16/06/2016  
le jour de ta mort,
plein de larmes ont coulé,
mon coeur c'est brisé en milles morceaux,
ma vie anéantie par ta perte,
tellement de souffrance j'ai vécu,
vivre sans toi c'est si dur ,
en attendant de te rejoindre,
je vis ce que tu ne vivras plus,
car ta mort ma emporté ,
une moitié de ce que j'étais,
je t'aime mon chien

Déposé par colombine67 le 16/06/2016  
Luttons contre :
-L'abandon qui est un acte de barbarie abominable.
-La maltraitance animale, inqualifiable.
-L'achat en animaleries de Chien ou de Chat qui encouragent la notion "d'animal-objet", en plus d'être plus ou moins douteuses et peu déontologiques.
-De même chez les éleveurs, à moins d'absolument vouloir une race précise...et tant qu'il y aura des Chiens qui souffrent et qui attendent dans des refuges et d'autres qui meurent euthanasiés dans des fourrières.
-Les expérimentations "médicales et scientifiques" sur les animaux, indignes de l'homme et en plus souvent inutiles.
-Le trafic de la fourrure et son business abject et répugnant.
-La corrida qui est un "spectacle" d'un autre temps mettant à mort des animaux pour des abrutis sadiques !
-L'abbatage rituel, qui rime avec souffrance et non respect des animaux.
-Les mutilations faites aux animaux, horribles et indignes.
-L'exploitation indigne et contre-nature des animaux dans les spectacles itinérants.
-L'utilisation des "Chiens appâts" vivants pour la pêche aux requins, sans commentaires...
-Le lobby de la chasse, car il est inadmissible de tuer des animaux pour le plaisir !
Luttons pour :
-Le respect et l'application des droits de l'animal.
-Le bien-être de tous nos compagnons à quatre pattes.
-Un monde meilleur ou l'animal a la place qu'il mérite.
-Le boycott de la fourrure, de l'ivoire, des cornes de rhinocéros, du shark finning, de la chasse, de la corrida, et de tous les spectacles itinérants employant des animaux !
-Favoriser la présence des animaux de compagnie auprès des personnes fragiles, handicapées, malades et/ou agées.
-L'adoption de l'animal domestique... et non l'achat !

Déposé par colombine67 le 15/06/2016  
Un berger allemand désormais sans-abri attend son maître dans l’aéroport de Kamtchatka (péninsule en Extrême-Orient russe) depuis une semaine.
Pour beaucoup de chiens, la séparation avec leurs maîtres est difficile voire impossible… on en veut pour preuve ce berger allemand, qui a prouvé son amour ainsi que sa fidélité en attendant son humain près de la porte d’embarquement... où il a lâchement été abandonné. «Nous ne savons pas d'où vient ce chien mais il vit ici depuis déjà une semaine, il se promène dans le hall et accueille les passagers venant au Kamtchatka. Selon des bénévoles qui s'occupent du chien, son maître l'a abandonné ici. Il n'avait pas assez d'argent pour transporter le chien et il n'a pas préparé les documents vétérinaires nécessaires», a raconté le porte de l’aéroport de Petropavlovsk-Kamtchatski, rapporté par Sputnik.
En effet, d’après le porte-parole, le maître de l’animal n’avait pas les 10 000 roubles (soit 137€) nécessaires pour faire entrer son chien dans l’avion avec lui. Il s’est donc vu dans l’obligation de le laisser, seul, sur place.
Des volontaires disposés à lui payer le voyage
Particulièrement calme, patient et gentil, l'animal accepte avec plaisir toute la nourriture que les bénévoles lui proposent, ce qui lui permet d'au moins tenir le coup physiquement. 
Le berger allemand est devenu la star locale cette semaine. Les internautes l’ont même surnommé le «Hachiko du Kamtchatka», provenant du nom du chien japonais qui a attendu pendant une dizaine d’années son humain à la gare de Tokyo. L’objectif des internautes est de partager un maximum les images du chien pour que ce dernier retrouve son maître ou une nouvelle famille.
Par ailleurs, l'aéroport est inondé de coups de fils, provenant pour la plupart d'amoureux des animaux, se disant prêts à adopter le toutou. Cependant, les employés de l’aéroport espèrent toujours retrouver son propriétaire... des volontaires sont même disposés à payer le transport de l’animal jusqu’à son humain.

Déposé par colombine67 le 14/06/2016  
"Ce n'est qu'un chien de refuge..."
Par avance condamné...
"Ce n'est qu'un chien de refuge !"
Mérite-t-il d'être aimé?
Différent aux yeux des hommes
Des autres toutous "bien nés",
Voila comment on te nomme,
Pauvre chien abandonné...
Pourtant ton coeur est immense,
Comme immense est ta douceur.
Il te manque cette chance :
Gagner l'amour d'un grand coeur.
Parfois tu sembles lointain,
Tu évites les caresses,
Tu te terres dans un coin :
Crains-tu tant la main qui blesse ?
Car qui connaît ton histoire ?
T'a-t-on battu ? Rejeté ?
Tout au fond de ta mémoire,
Quels souvenirs ? Quels regrets ?
Sois confiant ! Un jour, la porte
S'ouvrira sur ton destin,
Afin qu'un maître t'emporte
Pour suivre un même chemin...
Qui dira "C'est d'un refuge
Qu'il est venu, mon bon chien !
C'était un chien de refuge...
Je l'aime, il me le rend bien !"

Déposé par poutounou le 13/06/2016  
Un peu de Théophile Gautier…
*
Au printemps
*
Regardez les branches
Comme elles sont blanches !
Il neige des fleurs.
Riant dans la pluie,
Le soleil essuie
Les saules en pleurs
Et le ciel reflète,
Dans la violette
Ses pures couleurs...
La mouche ouvre l'aile
Et la demoiselle
Aux prunelles d'or,
Au corset de guêpe
Dépliant son crêpe,
A repris l'essor.
Le goujon frétille
Un printemps encore !
*
Théophile Gautier

Déposé par colombine67 le 13/06/2016  
Maman, je ne veux plus te voir souvent pleurer.
Sèche tes larmes de douleur et apaise ton coeur,
N'aie plus contre ma mort cette dure rancoeur;
Mon âme est à présent dans la félicité.
De ce karma choisi, abrégeant mon enfance,
J'en acceptais l'épreuve, redoutant ta souffrance;
preuve déchirante pour nos évolutions
Oublies pour ton bonheur, dans notre humble maison,
Le cruel souvenir de ma jeune présence.
Je suis là près de toi, conscient et bien vivant,
Séparé par un voile, dans un tout autre monde
Que la lumière divine éblouit et inonde
Dans l'harmonie, l'amour, nous baignons hors du temps.
Je ne suis plus de chair et tu ne me vois plus.
Bien près de toi pourtant, par mon âme vibrante
Je te ressens fiévreuse, malheureuse et tremblante.
Si tu pouvais comprendre, comme tu serais émue !
Si tu pouvais savoir, comme changerait ta vie !
Mais, tu t'isoles en vain; tu souffres et tu supplies
Et ton chagrin t'égare; tu n'entends pas ma voix
Qui te crie avec force : "Maman écoutes moi,
Je ne t'ai pas quittée, crois-moi, je t'aime encore,
Tu n'es pas séparée de moi que tu adores."
"dans ce monde cruel où tu te désespères,
Saches que mon affection pour toi et pour mon père
Vous entoure tous deux avec force et prière"
Je demande à mon guide si généreux et si droit
De vous influencer pour prier avec moi,
Et d'avoir le courage de supporter l'épreuve
Jusqu'au jour où vos âmes auront enfin la preuve
D'une existence toute autre, mais qui n'est pas la vie
Telle que vous la concevez, mais celle des Esprits
Séparés de leurs corps qui redeviennent poussière.
Nous nous retrouverons et nous serons unis
Ensemble et pour longtemps dans ce monde invisible
Nous serons en osmose dans la joie indicible
La mort n'existe pas, je vous le certifie.
En attendant, sur terre resplendissez d'amour.
Donnez-vous tous la main et faites que chaque jour
Soit bien mis à profit pour évoluer vers Dieu.
La tendresse prodiguée entre vous me console
De m'être désincarné car tel est mon destin.
Ecoute petite mère, mes bien douces paroles,
Ecoute Maman chérie ce message serein
Plus tard, tu connaitras ce monde radieux.
En attendant souris, j'apaise ta souffrance.
Oui, je verse ce baume pour calmer ton chagrin,
Mais c'est la vérité, quoiqu'en pensent certains
Minés par la douleur dans leur triste ignorance
Mais ne veulent pas admettre les lois de survivance
Connues par tant de peuples dits moins évolués
Qui préparent en leur vie leur proche éternité.
Les cycles évolutifs sont lois de l'univers.
Comme succèdent à l'été, l'automne et puis l'hiver
Et le printemps revient et puis tout recommence
Après la vie, la mort et puis la renaissance
Pour gagner par degrés la Divine Lumière.

Déposé par colombine67 le 12/06/2016  
Ma vie est un calvaire au bout de cette chaîne,
Rivé à ce mur gris, me tenant prisonnier,
J'aboie en gémissant, je crie au monde ma peine,
Car je suis la sonnette vivant chez un fermier.
Passants qui me voyez, de moi ayez pitié
Si vers vous, menaçant, je vous hurle ma haine,
J'aurais besoin d'amour ou d'un peu d'amitié,
Pour ma souffrance sur terre et pour mon cou qui saigne.
Et partout de la pub, on dépense des millions
Pour vendre dans des boîtes des repas composés
Alors que la misère et les faibles pensions
Laissent à certains pauvres humains à peine de quoi manger.
J'ai beau être une bête, moi, j'observe les hommes,
Les scandales, les dépenses et l'argent gaspillé.
Des réceptions royales, des gabegies énormes,
Ce siècle devient fou, mon Dieu, ayez pitié !
Pour moi, n'en parlons pas, je survis et c'est tout.
Des restes de repas, une maigre pitance,
Pas de boîtes machin, chose, ronron ou canigou,
Pour moi, pas de caresses, de joies ou de dépenses.
Je sais et je connais de la gente canine
Qui se goinfre de mets que voudraient des enfants,
Et moi aussi, amis, je crie souvent famine,
Je suis un pauvre chien, un chien de paysan.
Ah ! Si j'étais chasseur, un complice de crime
Je serais bien nourri, adulé et aimé,
Pour traquer d'autres bêtes, d'autres pauvres victimes
De ces fous sanguinaires qui ne pensent qu'à tuer.
Mais ne suis qu'une sonnette, peu coûteuse alarme,
Nous sommes des esclaves pour des hommes sans coeur,
Nous aboyons sans cesse, vaine plainte sans larme,
Nous aurions tant voulu connaître le bonheur.
Vous passez dans des rues de villes ou de villages,
Nous sommes de pauvres vies asservies et sans joie,
Nous tirons sur nos chaînes, poussant des cris de rage,
Ayez pitié de nous, ayez pitié de moi.
Quel douloureux calvaire au bout de cette chaîne,
Aimez bien votre chien, car nous sommes pleins d'amour
J'aboie en gémissant, je crie au monde ma peine,
Devrai-je donc souffrir jusqu'à mon dernier jour ?

Déposé par colombine67 le 11/06/2016  
Baltique par Renaud
Ils ont peut-être eu peur que je pisse
Sur le marbre du bénitier
Ou pire que je m'accroupisse
Devant l'autel immaculé
Peur que je ne lève la patte
Quelque part dans les allées
Où siège cette foule ingrate
Qui nous parle d'humanité
Ils ont considéré peut-être
Que c'est un amour pas très catholique
Que celui d'un chien pour son maître
Alors, ils m'ont privé de cantiques
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Me voilà devant la chapelle
Sous cette pluie qui m'indiffère
Tenu en laisse par un fidèle
Allergique aux lieus de prières
Les gens parlent à côté de moi
Tu as de la chance toi au moins
La souffrance ne t'atteint pas
L'émotion c'est pour les humains
Et dire que ça se veut chrétien
Et ça ne comprend même pas
Que l'amour dans le cœur d'un chien
C'est le plus grand amour qu'il soit
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Je pourrais vivre dans la rue
Etre bourré de coups de pieds
Manger beaucoup moins que mon dû
Dormir sur le pavé mouillé
En échange d'une caresse
De temps en temps d'un bout de pain
Je donne toute ma tendresse
Pour l'éternité ou plus loin
Prévenez-moi lorsque quelqu'un
Aimera un homme comme moi
Comme j'ai aimé cet humain
Que je pleure tout autant que toi
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens
Un jour pourtant je le sais bien
Dieu reconnaîtra les chiens

Déposé par rafia le 10/06/2016  
Ma très chère M-C,
La famille S-M vous remercie, très chaleureusement, pr votre précieux soutien, en ce jour si douloureux, de l'anniversaire du Départ de notre petit Rock adoré.
Avec toute mon amitié + 1000 bisous.
Maryem, votre amie
+ les respectueux hommages d'Eric et de Maël..."notre" fleuriste intérimaire.
Vive la Corse...et l'HONNEUR jamais démenti du Peuple Corse...L'HONNEUR qui ns fait cruellement défaut , en métropole !!!

Déposé par colombine67 le 10/06/2016  
Les chiens sont des créatures incroyables. Ils nous apprennent le sens de la gratitude, l’amour et la compassion. Ils nous apprennent aussi comment être présent et heureux. Mais pas seulement cela. Pour les chiens, la vie est vécue dans le ici et maintenant et on peut tous apprendre quelque chose de cela.
1. Les chiens se préoccupent uniquement de leur relation avec nous. Tout est amour et sans égo. Chaque jour peut être le dernier alors ne le gaspillez pas en vous préoccupant de futilités. Faites que la journée ait un sens pour vous en faisant des choses qui vous tiennent à cœur. Laissez vos intentions et vos actions être guidées par votre cœur et non par votre égo.
2. Les chiens se préoccupent uniquement de leur marche de maintenant. Ils ne se soucient pas de celle de demain. On existe uniquement dans le présent. Demain est une histoire et hier est un souvenir. En tant qu’humains on attache beaucoup d’importance à réparer nos erreurs (ce qui nous garde dans le passé) et à contrôler tout ce que demain peut nous apporter (alors qu’on ne peut pas prédire ce qui va réellement arriver). C’est notre instinct de survie qui nous pousse à prévoir le danger mais n’en faites pas une habitude de vie. Laissez le moment présent guider vos choix.
3. Que leur lit soit moins cher que celui du chien des voisins ne fait aucune différence pour eux Ils veulent juste passer du temps avec leurs voisins. L’amour est tout ce qui compte pour eux. Le donner et le partager les satisfait pleinement.
4. Les chiens n’ont aucune conception de la planification du temps Ils ne vont jamais prioriser une tache qui prend du temps. Vivre et profiter de la vie est ce qui leur importe le plus. Vous n’allez vivre le moment présent qu’une seule fois alors profitez-en au maximum car il ne reviendra jamais. On ne peut pas contrôler le temps on peut juste contrôler ce qu’on fait pendant ce temps.
5. Les chiens ne savent pas cacher leur amour jusqu’à ce qu’on leur montre qu’on les aime. Plus il y a d’amour, mieux c’est. C’est la philosophie de ces merveilleuses créatures. Alors donnez tout l’amour que vous pouvez, vous en recevrez toujours en retour.
6. Même quand ils sont maltraités et négligés, les chiens vont montrer de l’amour avec une simple caresse. Etre vulnérable est une qualité qui attire plus d’amour. Tout le monde cherche l’amour et être vulnérable nous permet de le recevoir.
7. Les chiens sont les meilleurs partenaires dans les moments de tristesse Ils adorent vous câliner et vous lécher le visage lorsque vous pleurez. C’est normal d’être triste. Donnez-vous en le droit. Cela vous permettra d’ouvrir votre cœur et sentir l’amour des gens qui vous entourent
8. les chiens ressentent le deuil mais ils l’acceptent. Les chiens acceptent ce qu’ils ont perdu et montrent de l’appréciation pour ce que cela leur a apporté. Cela nous apprend à ne pas nous attrister du passé et de n’en garder que l’amour et les bons souvenirs.
9. les chiens savent prendre soin d’eux Dès qu’ils en ont besoin, ils vont se recroqueviller et rester en retrait. Sans jugement, ils savent ce qu’est la compassion pour soi et ce qui est bon pour eux.

Déposé par poutounou le 09/06/2016  
Je t'offre un jardin
*
Un jardin mi-clos...
Où, de bonne heure,
Mille et une fleurs
Fraîchement éveillées,
Pointent leur petit nez,
Étirent leurs pétales assoiffés
Et s'enivrent de rosée...
A ta santé!
*
Un jardin-party...
Où les bourdons gavés,
Aux pistils bien adossés,
Cuvent avant de s'envoler.
Où les papillons excités
S'amusent à te maquiller
De leurs ailes poudrées.
*
Un jardin rangé...
Où les oiseaux alignés
Cessent soudain de chanter
Pour t'entendre marcher.
Où les fleurs endimanchées
Ne rêvent que de caresser
La plante de tes pieds.
*
Francis Pelletier

Déposé par colombine67 le 09/06/2016  
Avertissement : Le texte suivant a été traduit du canin.
- Wouaf ! SPH bonjour !
- Wouaf ! Oui, bonjour, je suis bien à la Société Protectrice des Humains ?
- Tout à fait, que puis-je pour vous ?
- Voilà. C’est un peu délicat, j’ai honte… mais je ne supporte plus ma maîtresse alors je voulais connaître les modalités pour la mettre dans votre refuge.
- Ah. Pour quelles raisons souhaitez-vous l’abandonner ?
- Je n’en peux plus.
Déjà, elle parle tout le temps. Matin, midi, soir. C’est plus fort qu’elle. Je n’ose pas imaginer ce que doivent penser les voisins. Elle parle à tout ce qui passe dans la rue, avec une nette préférence pour le facteur, qui semble avoir peur d’elle. J’ai tout essayé : la punition, la correction, le collier électrique, même l’opération des cordes vocales. Depuis cette dernière, c’est pire. Elle ne parle plus, elle chante du Hélène Segara.
- En effet, ça ne doit pas être facile. Mais ce n’est pas une raison suffisante pour l’abandonner, si ?
- Mais ce n’est pas tout malheureusement !
Elle mange tout ce qu’elle trouve. Elle a pourtant des biscuits et des céréales d’excellente qualité dans le placard, mais non, il faut qu’elle se jette sur tout ce qui est comestible. Saucisson, fromage, glaces. La dernière fois elle s’est sauvée, je l’ai retrouvée deux jours plus tard dans le local poubelle de Mc Do.
- Hmmm… Elle a bien été sevrée ?
- Je ne sais pas, je l’ai adoptée déjà adulte. Je soupçonne ses anciens chiens de l’avoir trop gâtée. Vous savez ce qu’elle m’a fait pas plus tard que ce matin ?
- Non, mais je sens que vous allez me le dire.
- Elle a refusé de se lever tant que je ne lui avais pas sauté dessus et léché tout le visage.
- Et ?
- Et elle met de la crème de nuit à l’argile verte. Je ne sais pas si vous connaissez les vertus de l’argile verte, mais  ensuite j’ai dû boire deux litres pour étancher ma soif. Autant vous dire que j’ai passé la journée à lever la patte.
- Lever la patte ? Mais vous êtes une femelle, d’après votre voix !
Non, je suis un mâle. Castré. Elle avait peur que je lui fasse un bébé dans le dos.
- Vous savez, c’est typiquement le genre d’humain qu’on va avoir du mal à faire adopter. Vous êtes sûr que vous ne voulez pas la garder ? Parce que sincèrement, ici, elle risque de finir sa vie dans une cage.
- Je sais, j’ai bien réfléchi. J’ai d’abord pensé qu’elle serait plus heureuse si je lui rendais sa liberté. Je l’ai donc emmenée sur une aire d’autoroute, une nuit et je suis parti sans me retourner. Le lendemain, la police la ramenait en me disant qu’elle avait reniflé le cul de tous les chauffeurs routiers.
- Bien. Je vois que votre décision est irrévocable. La SPH accueillera donc votre humaine et la proposera à l’adoption. Y a-t-il d’autres choses à savoir sur elle ?
- Plein. Elle vole la nourriture dans les mains des enfants ; elle saute sur les gens pour leur faire la fête, ; il faut la faire toiletter plusieurs fois par mois car son poil pousse très vite ; elle ne supporte pas de rester seule, il faut lui laisser la télé allumée, de préférence sur Secret Story ; elle dévore Voici et Closer chaque semaine ; elle est propre mais pendant ses chaleurs elle peut se faire pipi dessus quand le voisin est torse nu ; elle ne rapporte la balle que si on la trempe d’abord dans le coca.
Mais elle est gentille, sinon.
- D’accord, j’ai tout noté. Il ne nous manque plus que son nom pour valider l’inscription.
- Elle s’appelle Ginie.
Tant qu’on y est, puisque moi aussi j’ai du mal à rester seul… vous n’auriez pas un humain sociable , joueur et affectueux, de préférence à poils blancs ?
- Ah si, justement, on en a rentré un il y a peu de temps. Vous pourrez le voir quand vous nous amènerez Ginie. Il est dans la cage 2820, son nom est écrit dessus. Dominique, mais je crois qu’il répond mieux au nom de DSK.
– Merci mon chien. Au revoir et à bientôt !




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Les promenades
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tu adorais aller a la plage mais tu n as jamais voulu te baigner
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