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En hommage à
RUBENS
SETTER-GORDON
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
 


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En hommage à RUBENS

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





138 bougies

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Tendres pensées ♥️♥️♥️
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Ce bouquet pour toi petit ange et amitiés à maman
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des milliers de caresses petit ange
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Pour un petit être de lumière...!!!
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bien que vous ayez traversé le pont arc-en-ciel petits anges, nos âmes sont liées à vous pour toujours par un serment sacré qui ne se rompra jamais
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Pour toi Bel Ange tant aimé des caresses à profusion. .
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Tendres pensées pour toi bel ange qui brille dans le paradis étoilé
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Dans chaque pétale de fleurs 🌸 🌸 🌸 j'ai déposé des bisous 😘😘😘 rien que pour toi 💗💗💗🧚🧚🧚
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Un bouquet de tendresse, un bouquet de douceur pour toi petit cœur avec des milliers de câlins, de bisous et de caresses
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Chaque pétale contient de la douceur et des bisous affectueux rien que pour toi
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6718 messages

Déposé par rafia le 30/04/2015  
La prière d'un chien
Ce matin -là , cher maître ... Restera ancré en moi .
Je me souviens d'avoir versé toutes mes larmes sur toi...
Près de toi , je me suis blotti.
Je sentais que ton âme
était déjà partie ...
Mais la mienne est restée rejoignant la tienne par mes
pensées .
Mais tout cela , ne suffit pas . J'aurais tout essayé pour te
rendre la vie ...
Il pleut sur ta tombe mon Maître ...
Moi qui t'aimait de tout mon être...
Tu es parti sans pouvoir me dire
au- revoir , sans avoir posé sur moi
un dernier regard ...
La douleur t'en a empêché.
Je me souviens de toi maître ...
D'un si beau passé ,
de notre bonheur partagé , et de
cette grande amitié qui , en nous ,
S'était créee
Mais peut-être que de tout là- haut ,
toi tu me vois. Mais malheureusement
Qui me le prouvera ?
Comme tous les jours ,
J'attends ton retour , même si je sais
Que tu ne reviendras jamais.
Quand ces hommes sont venus ,
J'ai eu si peur que je suis parti.
Quand je suis revenu , je les ai
revus et j'ai compris qu'ils t'emmenaient,
loin de notre demeure , de notre havre de paix .
Que tu étais beau maître , avec ton sourire
qui cachait tes peines malgré que j'arrivais
toujours à les deviner.
Ta tendresse valait plus d'or que n'importe quel
amour, que quelqu'un pouvait donner .
Maintenant je ne demande qu'une chose .
Te rejoindre là où tu es .
Je sais que c'est la mort qui nous a séparés .
Mais elle a oublié que rien ne peut séparer l'amour .
Alors pourquoi ne pas l'affronter à mon tour ?
C'est sur ta tombe que je finirai mes jours ....
C'est sur ta tombe que j'attendrai cette heure
Où je te retrouverai pour Toujours .
Auteur inconnu,
****************
Ma très chère amie,
M'auriez-vs caché.... vos talents avérés de poétesse ???
Mille bisous ..autant de mercis
Maryem votre amie

Déposé par Galiama le 29/04/2015  
Regard désarmé
J’ai franchi l’autre rive,
Vers d’autres paysages,
Où j’apprends à aimer,
Pas à pas
Dans tes bras.
La vie n’est plus nocive
J’ouvre, sur ton visage
Mon regard désarmé…
(Christophe Bregaint)

Déposé par colombine67 le 29/04/2015  
S’il y avait quelque part un être assez bon pour pouvoir juger toute la bonté du monde, et qu’il mît d’un coté de la balance le cœur des Chiens, et de l’autre celui de toutes les créatures de Dieu, Nos cœurs de Chiens seraient si lourds que le Juge se voilerait la face, car le Chien est plus près du Christ que l’homme. Je n’ai jamais vu d’ange, et je ne sais pas ce qui se passe au ciel ; mais, sur la terre, nul n’est meilleur que Nous (les Chiens)
Paul Achard

Déposé par rafia le 29/04/2015  
Mon fidèle ami
Hélas ! rentrer tout seul en sa demeure déserte,
Sans voir à son approche une fenêtre ouverte,
Sans qu'un seul être vous accueille à l'horizon,
Et qu'on se dise :Mon retour réjouit ma maison !
Une sœur, un ami, une épouse, un père, une mère,
Compteraient de loin les pas qui me restent à faire,
Et dans quelques moments, émus de mon retour,
Tous unis, en cette maison, m'abriteront d'amour !
Mais, rentrer, seul, dans la cour se glisser en silence,
Sans qu'au-devant de vôtre pas un pas connu s'avance,
Rien ne fait plus mal que l'absence d'un doux regard.
Mon chien ! lui connaît la distance qui nous sépare,
Seul mon chien sait à quel point je lui ai manqué ;
Comptant les pas entre moi et lui, lui seul m'accueillait !
Maxalexis.

Déposé par poutounou le 28/04/2015  
A vos plumes !
*
A ceux qui n'osent point ou qui ont peur,
Ceux pour qui écrire semble paralysie,
Rêvez en votre esprit d'un nom comme le bonheur.
Osez le dessiner avec des mots çà et là jaillis.
Suivez votre inspiration, sans être jugés et avoir peur...
Taillez ces mots comme s'ils étaient cueillis
Ils s'ouvriront alors comme de belles fleurs.
Caressez-les, gourmands, tels des fruits confits,
Humectez les un peu de votre coeur
Et ce qui vous semblait granit deviendra transcrit.
Usez de votre gomme pour rectifier l'erreur,
Rêvez d'être publiés sans être érudits...
Souriez ainsi d'avoir écrit un peu de poésie...

Déposé par nounours le 28/04/2015  
.
..................LE TEMPS.............
.
.............Je sais qu'une année.........
.............C'est 12 mois......
.............Je sais qu'un mois..........
.............C'est 4 semaines............
.............Je sais qu'une semaine............
.............C'est 7 jours..........
.............Je sais qu'une journée.......
.............C'est 24 heures..........
.............Je sais qu'une heure..............
.............C'est 60 minutes............
.............Je sais qu'une minute..........
.............C'est 60 secondes............
.............Je sais qu'une seconde...............
.............C'est l'éternité sans toi..........
.
......AMITIE FIDELES A MAMAN QUE J'AIME BEAUCOUP................
.

Déposé par colombine67 le 28/04/2015  
Toute la presse a répondu dernièrement à l'appel de la Société protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bêtes. Ce serait là une espèce d'hospice, et un refuge où les pauvres chiens sans maître trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur réserve l'administration.
Les journaux, à ce propos, ont rappelé la fidélité des bêtes, leur intelligence, leur dévouement. Ils ont cité des traits de sagacité étonnante. Je veux à mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point.
Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hôtel élégant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, à moitié dégourdi seulement, un peu lourdaud, épais, obtus, et bon garçon.
Comme il rentrait un soir chez ses maîtres, un chien se mit à le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bête à marcher sur ses talons le fit bientôt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu.
C'était une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derrière l'homme d'un air lamentable et affamé, la queue serrée entre les pattes, les oreilles collées contre la tête ; et, quand il s'arrêtait, elle s'arrêtait, repartant quand il repartait.
Il voulut chasser ce squelette de bête ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'éloigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derrière, attendant ; puis, dès que le cocher se remit en marche, elle repartit derrière lui.
Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut le dos tourné. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'échine pliée comme un cercle et toutes les côtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitié pour cette misère de bête : "Allons, viens !" dit-il. Aussitôt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptée, et au lieu de rester dans les mollets du maître qu'elle avait choisi, elle commença à courir devant lui.
Il l'installa sur la paille de l'écurie, puis courut à la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangé tout son soûl, elle s'endormit, couchée en rond.
Le lendemain, les maîtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardât l'animal. Cependant la présence de cette bête dans la maison devint bientôt une cause d'ennuis incessants. Elle était assurément la plus dévergondée des chiennes ; et, d'un bout à l'autre de l'année, les prétendants à quatre pattes firent le siège de sa demeure. Ils rôdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clôturait le jardin, dévastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspéraient le jardinier. Jour et nuit c'était un concert de hurlements et des batailles sans fin.
Les maîtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantôt de petits roquets à queue empanachée, des chiens jaunes, rôdeurs de bornes, vivant d'o*****s, tantôt des terre-neuve énormes à poils frisés, des caniches moustachus, tous les échantillons de la race aboyante.
La chienne, que François avait, sans malice, appelée "Cocote" (et elle méritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fécondité vraiment phénoménale, des multitudes de petits chiens de toutes les espèces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait à la rivière noyer une demi-douzaine d'êtres grouillants, qui piaulaient déjà et ressemblaient à des crapauds.
Cocote était maintenant devenue énorme. Autant elle avait été maigre, autant elle était obèse, avec un ventre gonflé sous lequel traînaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissé tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes écartées à la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et exténuée aussitôt qu'elle s'était promenée dix minutes.
Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bête pour sûr, mais qu'est, ma foi, bien déréglée."
Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisinière en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traînait.
Le maître ordonna à François de se débarrasser de Cocote. Le domestique désespéré pleura, mais il dut obéir. Il offrit la chienne à tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lâcher dans une ville éloignée. La chienne retrouva sa route, et, malgré sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son écurie.
Cette fois, le maître se fâcha et, ayant appelé François, lui dit avec colère : "Si vous ne me flanquez pas cette bête à l'eau avant demain, je vous fiche à la porte, entendez-vous !"
L'homme fut atterré, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il réfléchit qu'une place nouvelle serait impossible à trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traînerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un régiment de chiens. Donc il fallait s'en défaire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la rivière était le seul moyen. Alors il pensa à donner vingt sous à quelqu'un pour accomplir l'exécution. Mais, à cette pensée, un chagrin aigu lui vint ; il réfléchit qu'un autre peut-être la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bête ! Et il se décida à faire la chose lui-même.
Il ne dormit pas. Dès l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, étira ses membres et vint fêter son maître.
Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir.
Ils gagnèrent la berge, et il choisit une place où l'eau semblait profonde.
Alors il noua un bout de la corde au cou de la bête, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha à l'autre bout. Après quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrée sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction.
Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout à coup il se décida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se débattant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraînait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tête disparut la première, pendant que ses pattes de derrière, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent à la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve.
Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hanté par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse.
Il l'avait noyée vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillité que longtemps après. Enfin il n'y pensait plus guère, quand, vers le milieu de juin, ses maîtres partirent et l'emmenèrent aux environs de Rouen où ils allaient passer l'été.
Un matin, comme il faisait très chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nauséabonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putréfaction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'était sa chienne, Cocote, portée par le courant à soixante lieues de Paris.
Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effaré, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit à marcher au hasard devant lui, la tête perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osé toucher un chien.
Cette histoire n'a qu'un mérite : elle est vraie, entièrement vraie. Sans la rencontre étrange du chien mort, au bout de six semaines et à soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquée, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bêtes sans abri !
Si le projet de la Société protectrice des animaux réussit, nous rencontrerons peut-être moins de ces cadavres à quatre pattes échoués sur les berges du fleuve.
2 juin 1881

Déposé par Biscuit le 28/04/2015  
Mon ami à quatre pattes
Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour
Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas.
C’était mon compagnon, mon ami de toujours
Et comme les humains il connut le trépas.
La maison désormais se retrouve sans lui.
Il repose en forêt sous les feuilles jaunies.
Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux
Ses jappements de joie, son amour un peu fou !
Je garderai toujours le souvenir ému
De cet ami charmant et à jamais perdu.
Et je comprends très bien que l’on aime son chien
Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien.
de Christian Chabellard

Déposé par rafia le 28/04/2015  
Hommage aux chiens abandonnés....
Quand ils ont claqué la portière
Il n'a pas compris tout de suite
Il a couru longtemps derrière
Mais la voiture allait trop vite
Et pendant des journées entières
Il a vu les autos passer
Mais vous, auriez-vous fait marche arrière
En voyant ce chien sans collier ?
Car après les premières caresses
Puis quelques mois d'indifférence
Beaucoup de chiens perdent leur laisse
Au début des grandes vacances…
Comme un objet que l'on jette
Quand il n'est plus au goût du jour
Il sera remplacé peut-être
Par un chien plus jeune au retour…
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Flaire toujours la route et fait des kilomètres
Il traverse les villages et s'approche des enfants
Qui n'osent le caresser de peur qu'il soit méchant,
De peur qu'il soit méchant
Il n'a pas oublié ses maîtres
Depuis le jour qu'il vagabonde
Et pour les retrouver peut-être
Il ira jusqu'au bout du monde
Il n'a plus d'âge et plus de race
Qu'importe comment il s'appelle
Mais à le voir suivre leurs traces
Moi, je vais l'appeler Fidèle
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête
Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter
Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais
De chien abandonné.
Avec toute ma bien sincère Amitié; Mille mercis pr la vôtre.
+ 1000 bisous + ma tendresse pr le bel Iron...iron iron..petit patapon...
Votre amie Maryem.

Déposé par spanky le 27/04/2015  
Mon esprit sait
Que tu es dans un autre monde
Où il n'y a aucune douleur.
Tu y es en paix.
Je le comprends, je regrette juste
De ne pas pouvoir l'expliquer à mon coeur.
Ce vide ne se remplira jamais.
Mais je sais
Que nous serons ensemble de nouveau réuni
Et que jusque-là,
Mon amour sera pour toi.

Déposé par choupinou le 27/04/2015  
Je suis assise ici,seule,si triste et solitaire
je pense a toi si souvent,chaque minute du jour
me demandant comment tu vas,ce que tu fais,
souhaitant te serrer si fort dans mes bras.
Je suis assise là,me souvenant de tout ce que nous avons partagé
rêvant de toi, a tout,a qui sera,
et je verse une larme pour chaque minute sans toi,
parfois je crois a ma force et que le temps qui nous sépare,
s'écoulera vite,ce n'est qu'une petite tréve,mais qui fait mal.
Et puis parfois,je m'assieds et de nouveau je pleure et me demande:
Pourquoi faut t'il que l'amour fasse si souffrir....
Bien que parfois dans ma solitude,quelque part dans le vide,
je me sent pourtant encore aimée,et je réalise :
que ce n'est pas l'amour qui fait si mal ....
C'est d'être sans toi,sans ta présence a mes côtés....,

Déposé par colombine67 le 27/04/2015  
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable. Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser." "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?" "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée. Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: "Pemndant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin". Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses." Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes. Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous, Mady! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.

Déposé par rafia le 27/04/2015  
Je suis un chien errant
Et je n'en sais pas plus,
Mais voilà cette voix
Qui me tombe dessus,
Une voix de poète
Qui voulut me choisir
Pour me faire un peu fête,
Moi qui ne puis rien dire,
Et qui n'ai qu'un aboi
Pour un peu m'éclaircir
Les brumes et la voix.
Je ne veux pas sortir
De mon obscurité,
Je ne veux rien savoir
D'une tête habitée
Par des mots descendus
De quelque hors-venu.
Je suis un chien errant
N'en demandez pas plus."
Auteur inconnu

Déposé par colombine67 le 26/04/2015  
La réalité de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inévitable, que la séparation d'avec votre meilleur ami, se fera à votre détriment.
Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin,
lisez ce petit testament canin, tiré du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la séparation sera venu.
À mon maître, à ma maîtresse:
Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon Ratté, (communément appelé Tango par mes parents amis et connaissances), dépose en secret dans l’âme de mes deux grands amis, mon maître et ma maîtresse, mon testament.
J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais me regretteront le plus, à Daniel et Chantal qui ont été si bons pour moi. Peut être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de les réconforter dans la peine et de leur apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'à leur tendresse et à leur sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens.
Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donné leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort.
Que se passe t-il après? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu ma maîtresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien.
Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même ma co-locataire, la chatte...) Gamine, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille.
Aussi je conseille à ma maîtresse de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir.
Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël.
Un dernier mot à Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sûrement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez à moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos cotés: "Tango était un être qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon Âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance.
Tango
Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous.
La technologie a fait s'éloigné de l'homme certaines valeurs et émotions telle amitié, fidélité et tolérance. Si ces valeurs se sont éloignées de vous, procurez vous un chien, il vous ré-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout!
Tout ce qu'il veut lui, c'est d'être votre meilleur ami.
Daniel Ratté

Déposé par rafia le 26/04/2015  
A mon chien
Lorsque je l'ai vu naître
Je l'ai pris pour enfant,
C'était un petit être,
Il était si charmant.
Quand je l'ai vu grandir
Ce fut mon compagnon,
J'aimais le voir courir
Dans toute la maison.
Quand je l'ai vu vieillir
Ce fut moi son enfant
Bien qu'il sut m'obéir
Toute sa vie durant.
Quand je l'ai vu mourir,
Je compris que ce jour
Venait de s'accomplir
La fin d'un bel amour
Car tu me fus fidèle,
Serviteur dévoué,
Ton amour fraternel
N'a pas démérité.
Je t'aimais bien mon chien
Ô, mon chien de berger,
Et, pour toi, mon chagrin
Ne saura s'effacer." Jack Harris

Déposé par poutounou le 25/04/2015  
Coucou ma Puce,
cela fait quelque temps que je ne t'ai écrit, mais cela ne m'empêche pas de penser fort à toi, Trésor, et ça tu le sais.... Petit filou d'Iron a 2 ans aujourd'hui. Il y a quelques jours en allant faire des courses, j'ai vu des jouets pour chien en promo. J'en ai profité pour acheter 3 balles de tennis et une corde avec balle et nœuds. Je sais par avance qu'il n'en fera qu'une bouchée, mais bon, c'est pour lui faire plaisir. Là il est en train de faire la sieste après le repas : je ne veux pas qu'il me fasse un retournement d'estomac en courant après avoir mangé. Quand il aura fini sa sieste, je lui donnerai son cadeau d'anniversaire. C'est toujours un sacré filou, mais il est un peu plus calme quand même. Il était temps.... Quant à moi, j'ai quelques problèmes de santé qui font que m'énerver. Début mai, j'ai un scanner de prévu, encore un. Après ils décideront s'il faut ou non m'opérer de la thyroïde. C'est un vrai parcours du combattant, tu sais : tu prends rendez-vous chez ton médecin traitant qui t'envoie chez le spécialiste ; donc, tu prends rendez-vous chez le spécialiste qui t'envoie faire un scanner ou autre ; tu téléphones pour le scanner ; on te donne rendez-vous 2 mois après. Cela fait des mois que je traine avec ce nodule dans la gorge. Si je me fais opérer, il faudra que je place Iron pendant quelques temps. Bernard ne peut pas s'en occuper tout seul. Heureusement, il y a de très bonnes pensions dans le coin. Enfin, on verra ce que l'avenir nous réserve....
Voilà mon poutounou d'amour na moi ! Je prends ta tête entre mes mains et te fais plein de bisous partout...
Ta maman qui t'aime tout fort...

Déposé par colombine67 le 25/04/2015  
LE JOUR OU TU AS TRAHI MON COEUR (merci à Laura P.)
C'était un jour comme les autres car nous sommes partis en ballade
Pour une belle promenade.
Tu as ouvert le coffre de ta voiture
Mais il n'y avait autour aucune nature,
Pas une fleur, pas un oiseau chanteur.
A un homme tu m'a confié,
Sans même te retourner,
Qui en cage m'a enfermé.
Alors j'ai tellement attendu
Qu'une idée m'est apparue :
M'aurais tu oublié ou tout simplement abandonné?
Là ou je suis, les jours comme les nuits sont semblables
Et les minutes qui passent impitoyables.
Mes rêves se changent en cauchemars
Et ton souvenir semble loin dans ma mémoire.
Mon regard s'est durci, et mon coeur s'est enlaidi.
Dans le noir seul je garde espoir
L'espoir de mon départ, celui de te revoir.
Des gens sont venus et le chien dans la cage d'à côté leur a plu,
Entre lui et moi ils ont hésités mais c'est lui qu'ils ont emmené.
L'homme qui m'avait enfermé est revenu.
Dans une pièce blanche il m'a emmené.
A présent, je sais. Je sais que cette odeur est celle de la peur
Et que je ne vais plus jamais repartir,
Car c'est ici que partira mon dernier soupir.
Oui je vais mourrir.
Ma dernière larme sera pour toi, toi que j'ai tant attendu, toi qui n'est jamais revenu.
Sache que moi, je ne t'oublierais jamais car, mon Cher Maître, moi de tout mon coeur je t'aimais.

Déposé par larrydoudou le 24/04/2015  
Il est votre ami, votre associé, votre défenseur,
Il est votre chien.
Vous êtes sa vie, son amour, son leader,
Il se fera fidèle et vrai,
Jusqu'au dernier battement de son cœur.
Vous lui devez d'être digne d'une telle dévotion.

Déposé par poutounou le 24/04/2015  
Petit écho du matin
*
Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin,
Alors qu’elle se reposait au banc du jardin.
Figurez vous qu’il y a une véritable révolution !
Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons !
N’a t’on point vu, quelle étrange amourette,
Sortir ensemble violette et pâquerette !
Il en est cependant que la nouvelle émoustille,
N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ?
Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon
Qui comme chacun sait est un grand fripon .
On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire
Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs….
Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps…
Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est !
C’est le printemps !

Déposé par colombine67 le 24/04/2015  
JE SUIS MORT SANS NOM
Je suis mort sans nom
Sans une marque d’affection…
Je ne connais la définition
Du mot humain émotion
Que par la douleur de l’abandon.
J’ai attendu si longtemps,
D’hivers glaciaux en printemps,
Un rayon d’espoir, et souvent
Pétrifié dans le silence et le temps,
J’ai voulu fuir ce tourment.
Seul et apeuré dans ma cage,
Je m’accrochais à ce mirage…
De votre sourire, de votre visage
Qui m’ont apporté courage
L’instant d’un ciel sans nuage…
Je me suis habitué à la faim,
Au froid, à la peur du lendemain.
Mais jamais, je le crains,
De ne pas connaître enfin
Le plaisir de lécher votre main.
Mon corps martyrisé
N’en pouvant plus de lutter,
À bout de souffle et de fierté,
C’est sans bruit et sans dignité
Que je vous ai quittés.
Une seule caresse aurait suffi
À me permettre, sans bruit,
De quitter mes amis.
Qui encore aujourd’hui.
Vous appellent dans la nuit.
Je ne vous en veux pas
De n’avoir entendu mon désarroi.
J’avais pourtant en moi,
Au fil des jours et des mois,
La confiance, l’espoir et la foi.
Même si j’ai hurlé dans la nuit,
Tandis que mourraient mes petits,
La souffrance et la maladie
Ont eu raison aujourd’hui
De mon instinct de survie.
Ils ont tué mes espoirs
De pouvoir un jour voir
Le soleil et votre peignoir…
De fuir mon désespoir…
Fuir ma cellule dans le noir.
Je suis venu et passé,
Sans jamais être remarqué.
Pourtant, je vous ai toujours espéré…
Je ne demandais qu’à vous aimer…
Pourquoi m’avez-vous abandonné?
J’ai eu faim, j’ai eu froid,
J’ai eu peur et malgré moi,
De ce qui me restait de voix,
Votre nom j’ai appelé mille fois…
Où étiez-vous, dites-moi..
Ma carcasse incinérée
Aura pour l’éternité
Ce champ, ces fleurs et ce pré
Que j’ai longtemps espéré,
Et dont j’ai tellement rêvé.
J’aurais aimé avoir un jouet,
Un seul s’il-vous plait…
J’aurais voulu courir et qui sait,
Trébucher dans le gazon tout frais
À vos côtés, fier et coquet…
J’aurais dormi à vos pieds,
L’hiver vous aurais réchauffé,
La nuit vous aurais rassuré,
Et sans jamais rien demander,
Vous aurais écouté et aimé…
Je suis mort triste et seul,
Sans que l’on porte mon deuil.
On m’a offert pour tout linceul,
Un feu de paille et de feuilles,
Je suis libre, délivré et encore seul…
Ne m’offrez pas de fleurs…
Retenez vos pleurs…
Je ne veux plus que le bonheur,
De ceux qui ont dans leur cœur
D’encore espérer avec ferveur…
De quoi donc ai-je été coupable
Pour mériter une vie si misérable
Un destin aussi pitoyable,
Une mort cruelle et minable…
De cela vous m’êtes redevable…
Je vous aime encore
Je vous aime si fort…
À la vie et à la mort,
Je vous aime encore,
Bien au-delà de la mort…
Dites-moi que vous voulez,
Par amour et par pitié,
Encore quelques-uns sauver…
Ainsi ma cruelle destinée
N’aura été ni vaine ni oubliée…
Il est trop tard pour moi,
Voyez, je suis mort et froid…
Mais pour mes petits croyez-moi,
Par vous, ils ne le seront pas.
Sauvez-les en souvenir de moi…
UN CHIEN PARMI TANT D’AUTRES




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Highslide JS

En Bretagne dans une flaque d'eau. Tu aimais l'eau mais pas les vagues...
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Tu viens ! On joue...
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Tu étais beau comme un coeur !
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P'tite tête dans les sapins !
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Sieste dans le jardin...
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Quel doux regard !
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Dodo mon mamour à moi...
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