Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de Paco a été vue  385 631  fois.
385 631 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris



22 personnes aiment cette page
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages

Vous n'êtes pas connecté.

En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




65 bougies

9505 Fleurs
Seules les fleurs déposées depuis moins d'un an sont visibles



 
2778 messages

Déposé par rafia le 20/09/2015  
Je nous souhaite d'aimer♥💝💘
Je nous souhaite la folie de croire
Que le monde peut être transformé,
C'est à dire plus juste, plus fraternel.💞
Mais c'est en nous que la flamme doit être ranimée.
--------OSONS !--------

Je nous souhaite la vigilance
Au milieu de la nuit
Et la force de rêver.
Et si la clarté des étoiles******✫
Nous paraît encore lointaine,
Je demande la force du souffle
Qui conduit le coureur épuisé
A transmettre à d'autres le flambeau.

Peu importe si, parfois,
Le genou fléchit et le c💚eur se serre,
Le feu est dans le ciel noir☁
Où nous ranimerons notre vaillance.
Le feu est en chacun de nous,
Comme un miroir
Où nous nous reconnaissons
Hommes parmi les hommes.💕
Jean RISTAT

Déposé par myriam31 le 20/09/2015  
Le chien possède la beauté sans la vanité, la force sans l’insolence, le courage sans la férocité, et toutes les vertus de l’homme sans les vices… »
Dans la vie, il est le plus sûr des amis, le premier à vous accueillir, le premier à vous défendre, celui dont le cœur honnête appartient à son maître…. »
Il est notre Ami, notre compagnon, notre confident
Il est en fait toute notre vie !!!!!!
Tendres pensées, affectueusement pour toi et ta maman.

Déposé par colombine67 le 20/09/2015  
Le chien abandonné
Quand ils ont claqué la portière,
Il n'a pas compris tout de suite.
Il a couru longtemps derrière,
Mais la voiture allait trop vite.
Et pendant des journées entières,
Il a vu les autos passer.
Mais vous, auriez-vous fait marche arrière
En voyant ce chien sans collier ?
Car après les premières caresses,
Puis quelques mois d'indifférence,
Beaucoup de chiens perdent leur laisse
Au début des grandes vacances.
Comme un objet que l'on jette
Quand il n'est plus au goût du jour,
Il sera remplacé, peut-être,
Par un chien plus jeune au retour.
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Flaire toujours la route et fait des kilomètres.
Il traverse les villages et s'approche des enfants
Qui n'osent le caresser, de peur qu'il soit méchant,
De peur qu'il soit méchant.
Il n'a pas oublié ses maîtres
Depuis le jour qu'il vagabonde,
Et pour les retrouver peut-être,
Il ira jusqu'au bout du monde.
Il n'a plus d'âge et plus de race.
Qu'importe comment il s'appelle !
Mais à le voir suivre leurs traces
Moi, je vais l'appeler Fidèle.
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête
Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter
Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais
De chien abandonné.
Jean Luc Morel

Déposé par rafia le 19/09/2015  
Paroles d'espoir❤❤♥♥♥♥♥♥♥
(Marc de Smedt)
C'est quoi l'espoir ? La petite lumière vacillante au fond du tunnel de nos âmes, quand il y fait noir, tout noir. Edmond Rostand, auteur de Cyrano de Bergerac, ce personnage désespéré nous donne un sage conseil "C'est la nuit qu'il est beau de croire en la lumière".
Dans la guerre, dans le deuil, dans la souffrance de la maladie, ou de l'abandon, dans la solitude et la tristesse, c'est parce que l'on sait garder espoir, que l'on peut sortir du trou.
C'est parce que des hommes, des femmes, des enfants, ne perdent pas espoir, dans leurs heures les plus noires, que l'humanité évolue, comme guidée par ce flambeau invisible, au fond de nos coeurs.
Seulement l'espoir est comme une plante : il se cultive, il a besoin de soins. C'est la petite fleur, sur son astre désert, qu'arrosait, sans cesse, le petit Prince, afin qu'elle vive et soit un témoin d'amour.
"C'est en croyant aux roses qu'on les fait éclore", disait aussi Anatole France. En effet, par l'attention que l'on porte aux choses, aux situations et à soi-même, l'évolution se féconde, le progrès germe graduellement et la vie finit par refleurir.
Mais l'espoir d'une vie meilleure, ne suffit pas. Il faut forger cette existence qu'on souhaite et cesser de la rêver. Ce qui revient à dire qu'il faut se forger soi-même. Comme le dit l'adage populaire : "les choses n'arrivent pas toutes seules". Et le proverbe biblique : "aide-toi, le ciel t'aidera".
Vraies paroles d'espoir et de sagesse magnifiées par cette parole du sage chinois, Lao Tseu, précurseur du taoïsme : "Un voyage de mille pas, commence par un pas".
Oui, garder espoir, c'est toujours faire un pas de plus, quelle que soit la détresse; quel que soit l'obstacle. En fait l'espoir, c'est aussi la confiance que l'on a dans la vie.

Déposé par Galinette3 le 19/09/2015  
🐾
Le Vol en V des oies sauvages
Elles ont tracé la seule et unique lettre qu'elle savent écrire, V.
Magnifique dans le ciel de leur exil.
Elle laissent quelque chose après elles,
elles emportent quelque chose par-delà les nuages,
Pour cette beauté essentielle, grâces vous soient rendues oies sauvages.
Car il a suffi d'une seule et unique lettre dans le ciel démesurément gris,
Pour que mieux que mieux qu'une bibliothèque vous donniez corps à notre nostalgie.
🐾
Ismaïl Kadaré

Déposé par colombine67 le 19/09/2015  
L'importance de la famille
En marchant sur le trottoir,
un étranger me bouscule en passant près de moi !
"Oh excusez-moi " lui dis-je !
Il me répond : "Je vous demande pardon aussi,
je ne vous avais pas vu !
Nous étions vraiment polis l'étranger et moi.
Nous avions échangé de belles paroles,
et nous avons repris
notre chemin en se laissant sur un" Au revoir ! "
Une fois à la maison...
Une histoire différente se passa.
Comment traitons-nous les amours de notre vie...
les jeunes et les plus âgés ?
Y avez-vous pensé ?
Plus tard dans l'après-midi, tout en préparant le souper,
mon fils arriva derrière moi et resta figé là, sans un mot.
En me retournant brusquement, je l'ai fait tomber.
"Pousse-toi de là, " Lui dis-je avec colère,
"toujours dans mes jambes" !
Il se retourna et s'en alla le coeur brisé.
Je n'avais pas réalisé la peine que je venais de lui faire.
Vers la fin de la soirée, j'allai me coucher et…
Et Dieu de sa douce voix.... me dit :
"Pourquoi est-ce si facile
d'être plein de gentillesse envers les étrangers
et ne pas être capable de le faire
pour les gens près de toi qui t'aiment et que tu aimes ? "
Lève-toi et vas voir sur le plancher de la cuisine.
Tu y trouveras un joli bouquet de fleurs près de la porte d'entrée…
ce sont les fleurs que ton fils t'avait apportées dans la journée.
Il a cueilli lui-même ces fleurs pour toi :
Il y en a de couleur rose, jaune et bleue.
Ce que tu n’as point compris,
c’est qu’il était arrivé derrière toi sans bruit
pour ne pas dévoiler la surprise qu'il voulait te faire.
Mais tu n'as jamais vu les larmes couler de ses yeux
quand tu lui as dit de partir. "
Je me levai pour aller voir près de la porte d'entrée
et vis le joli bouquet de fleurs par terre.
C'est à ce moment, que je commençai à me sentir vraiment mal,
alors mes yeux se remplirent de larmes...
Sans faire de bruit,
je me rendis près du lit de mon fils et lui dis :
"Réveille-toi trésor, réveille-toi ! " .
"Est-ce les fleurs que tu as cueillies pour moi aujourd'hui ?"
Il sourit et me répondit :
" J’ai trouvé ces fleurs près d'un arbre
et je les ai cueillies car je trouvais qu’elles étaient belles….
comme toi maman ! Je savais que tu les aimerais,
spécialement les bleues car je sais que tu aimes le bleu."
Je lui dis : " Mon fils, je suis vraiment désolée de la façon
dont j'ai agi avec toi aujourd'hui".
Je n'aurais jamais dû crier après toi comme je l'ai fait".
Il me répondit : " Oh, Maman, c'est ok.
Je t'aime quand même tu sais !"
" Mon fils, je t'aime aussi
et j'adore tes fleurs et spécialement les bleues".
Un grand moment de tendresse nous unit alors.
J'ai appris ce jour là,
à faire attention à mes proches
autant et sinon plus qu'aux étrangers.

Déposé par colombine67 le 18/09/2015  
savoir rester humble face à l’immensité de l’univers
que l’on est infiniment petits il faut le reconnaître
qu’il y a toujours plus grand que nous sur cette terre
Aux riches bien vêtus on fait des courbettes
Aux pauvres en haillons on fait des grimaces
peut-être que l’âme du pauvre est bien plus honnête
que celle de ce seigneur de la haute classe
L’habit ne fait pas le moine, dit l’adage
on ferait bien d’y prendre de la graine
Ce n’est pas le plus beau qui est le plus sage
la vraie grandeur est dans l’âme humaine

Déposé par rafia le 18/09/2015  
Être fidèle à ceux qui sont morts,
ce n'est pas s'enfermer dans sa douleur.
Il faut continuer de creuser son sillon :
droit devant comme ils l'auraient fait eux-mêmes.
Comme on l'aurait fait avec eux. Pour eux.
Être fidèle à ceux qui sont morts,
c'est vivre comme ils auraient vécu.
Et les faire vivre en nous.
Et transmettre leur visage, leur voix, leur message aux autres.
« Est-ce rester fidèle aux siens que de vivre replié sur le malheur ? »
Martin Gray. Le livre de la vie. ,

Déposé par poutounou le 17/09/2015  
Chers papas et chères mamans de cœur : vous souvenez-vous de l’odeur de votre cartable ?
*
Mon cartable
*
Mon cartable a mille odeurs.
Mon cartable sent la pomme,
Le livre, l’encre, la gomme,
Et les crayons de couleurs.
Mon cartable sent l’orange,
Le buisson et le nougat.
Il sent tout ce que l’on mange
Et ce qu’on ne mange pas.
La figue et la mandarine,
Le papier d’argent ou d’or,
Et la coquille marine,
Les bateaux sortant du port. (…)
Les longs cheveux de ma mère
Et les joues de mon papa,
Les matins dans la lumière,
La rose et le chocolat.
*
Pierre Gamarra

Déposé par ovanek le 17/09/2015  
💖
💖 💖 27 💖 💖
***** Souvenir *****
Raconte-moi mon beau prince
Et dis-moi que tu es heureux
Que même si tu es parti
On est encore ensemble nous deux
Je ne peux plus te caresser
Et aller me promener avec toi
Deux complices partis oubliés
Le genre humain au fond des bois
Déjà plusieurs mois, le temps passe
Dans mes balades je vois souvent
Nos beaux endroits qui pleins de traces
Sont gravés en moi bien dedans
Sans un mot et d’un seul regard
Tu comprenais tout mon garçon
Que je sois sérieuse ou fêtarde
Je restais toujours ton amie
La fidélité à tout prix
Et l’amour désintéressé
Des sentiments nets et précis
Un petit bout de paradis
En bas je parle souvent de toi
Tu laisse un souvenir mon roi
Que rien n’effacera crois moi
Je pense à toi, ta vie de chien
J’espère qu’elle t’aura enchanté
Les yeux fermés, là je te vois
Tu me manques mon gros bébé
Pensée
💖

Déposé par colombine67 le 17/09/2015  
Un adolescent vivait seul avec sa mère
et ils avaient une relation privilégiée.
Bien que le fils passe toutes ses parties de football
assis sur le banc, sa mère était toujours
dans les estrades pour l'encourager.
Elle ne manquait jamais une partie.
Au début du secondaire,
il était encore le plus petit de sa classe et sa mère,
tout en continuant à l'encourager lui fit comprendre
qu'il n'était pas obligé de jouer au football
s'il ne voulait plus jouer.
Mais comme il adorait le football, il décida de continuer.
Il était bien décidé à faire de son mieux
à toutes les pratiques et espérait
qu'on finirait peut-être par le laisser jouer un peu plus tard.
Tout au long de son secondaire,
il n'a jamais manqué une seule pratique ou partie,
mais dû se contenter de réchauffer le banc.
Fidèlement, sa mère était toujours dans les estrades
et avait toujours des mots d'encouragement pour lui.
Lorsqu'il fit son entrée au collège,
il décida de tenter sa chance aux essais
afin d'être accepté comme recrue.
Tout le monde était certain
qu'il ne serait jamais accepté, mais il réussit.
L'entraîneur admit qu'il le gardait sur la liste
parce qu'il participait de tout coeur à chaque pratique,
ce qui, par le fait même,
avait un effet motivateur sur ses coéquipiers.
Lorsqu'il apprit qu'il avait été accepté,
il fut si content qu'il courut au téléphone
le plus près pour l'annoncer à sa mère.
Elle partageait son enthousiasme
et reçut des billets de saison
pour toutes les parties de l'équipe du collège.
Ce jeune athlète tenace ne rata aucune pratique
au cours de ces quatre années,
mais ne fut jamais appelé à jouer dans un seul match.
C'était maintenant la fin de la saison de football junior
et comme il arrivait sur le terrain en courant,
quelque temps avant le grand match des éliminatoires,
l'entraîneur vint à sa rencontre, un télégramme à la main.
Le jeune homme lut le télégramme et devint silencieux.
Une grosse boule lui nouait la gorge
lorsqu'il annonça à son entraîneur:
" Ma mère est décédée ce matin.
Est-ce que je peux manquer la pratique aujourd'hui? "
L'entraîneur pose doucement son bras autour de ses épaules et lui dit:
" Prends congé pour le reste de la semaine, fiston.
En fait, tu n'as même pas besoin de revenir
pour la partie samedi prochain. "
Le samedi suivant, la partie ne se déroulait pas bien du tout.
Au troisième quart, alors que l'équipe traînait de l'arrière
par 10 points, un jeune homme silencieux se faufila dans le vestiaire
et revêtit son équipement.
Lorsqu'ils le virent arrivant en courant,
l'entraîneur et les coéquipiers furent abasourdis de le voir de retour si tôt.
" Entraîneur, s'il vous plaît, laissez-moi jouer.
Je dois absolument jouer aujourd'hui. " lui dit-il.
L'entraîneur fit semblant de ne pas l'avoir entendu.
Il était hors de question qu'il fasse jouer son pire
joueur pendant un match aussi crucial.
Mais le jeune homme insista et finalement, ayant pitié de lui,
l'entraîneur accepta. " Ok, tu peux y aller. "
Quelques minutes plus tard, l'entraîneur, les coéquipiers
et tous les spectateurs dans les estrades n'en croyaient pas leurs yeux.
Ce jeune inconnu, qui n'avait jamais joué auparavant,
faisait exactement tout ce qu'il fallait et correctement.
L'équipe adverse n'arrivait pas à l'arrêter.
Il courut, bloqua et plaqua comme une étoile.
Dans les dernières minutes de jeu,
il intercepta une passe et courut sans s'arrêter et marqua le point gagnant.
Les spectateurs sautaient de joie.
Ses coéquipiers, le portèrent sur leurs épaules.
Des applaudissements comme on en avait jamais eu.
Finalement, une fois que les estrades furent vides,
et que le joueurs eurent pris leur douche et quitté le vestiaire,
l'entraîneur remarqua le jeune homme assis en silence dans un coin.
Il lui dit: " Fiston, je n'arrive pas à y croire. Tu as été fantastique.
Dis-moi ce qui t'est arrivé? Comment as-tu fait? "
Les yeux emplis de larmes, il regarda l'entraîneur et lui dit:
" Vous savez que ma mère est décédée cette semaine,
mais saviez-vous qu'elle était aveugle? " Il avala avec difficulté
et s'efforça à sourire: " Ma mère est venue à toutes mes parties,
mais aujourd'hui, c'était la première fois qu'elle pouvait me voir
jouer et je voulais lui montrer que j'étais capable de bien jouer. "
Souviens-toi TOUJOURS DE CECI
Quelqu'un est très fier de toi.
Quelqu'un pense à toi.
Quelqu'un se fait du souci pour toi.
Quelqu'un s'ennuie de toi.
Quelqu'un veut te parler.
Quelqu'un veut être avec toi.
Quelqu'un espère que tu n'as pas de problèmes.
Quelqu'un espère que tout ira pour le mieux pour toi.
Quelqu'un désire que tu sois heureux.
Quelqu'un a très hâte de te voir.
Quelqu'un t'aime tel que tu es.
Quelqu'un est content de t'avoir comme ami.
Quelqu'un veut que tu saches qu'il sera toujours là pour toi.
Quelqu'un a besoin de ton soutien.
Quelqu'un a besoin de savoir que tu crois en lui.
Quelqu'un te fait confiance.
Quelqu'un se souvient de toi en entendant une chanson.
Tu es une personne importante!
Ne l'oublie jamais

Déposé par rafia le 16/09/2015  
Je retiens mon souffle et je plonge soudain
Dans ces eaux d’un bleu pur
Les rives de mon amour-propre s’effacent
Tout ce que je vois c’est toi
Je nage dans les vagues qui martèlent mon coeur
Et frappent tous mes rêves
Jusqu’à ce que, à bout de souffle, je reparte
Sans vraiment savoir où je vais
Mais je retombe à nouveau, puis j’essaie de nager
Je pousse fort avec mes deux pieds
Je traverse toutes les peurs, tous les caprices
Je nage vers quelque chose de doux
Je patauge à travers les vagues tumultueuses
Devenant plus forte à chaque choc
En franchissant toutes les épreuves de la vie
Jusqu’à ce que je sentes mes membres brisés
Mais je replonge dans l’amour une fois encore
Je retiens mon souffle et je nage
Jusqu’à ce que je puisse atteindre cette rive distante
Qui me donnera la confiance
Je replonge à nouveau dans l’amour
Et les eaux pure et bleues
Irriguent mon coeur et ma tête
Et, une fois encore, je plonge et je nage dans leur douceur
D’après le poème de Sharon Frye

Déposé par colombine67 le 16/09/2015  
J’ai demandé à Dieu la force
Pour atteindre le succès :
Il m’a rendu faible
Pour que j’apprenne humblement à obéir.
J’ai demandé à Dieu la santé
Pour faire de grandes choses :
Il m’a donné l’infirmité
Pour que je fasse des choses meilleures.
J’ai demandé la richesse
Pour pouvoir être heureux :
Il m’a donné la pauvreté
Pour pouvoir être sage.
J’ai demandé la puissance
Pour obtenir l’estime des hommes :
Il m’a donné la faiblesse
Pour que j’éprouve le besoin de Dieu.
J’ai demandé un compagnon
Pour ne pas vivre seul :
Il m’a donné un cœur
Pour que je puisse aimer tous mes frères.
J’ai demandé toutes les choses
Qui pourraient réjouir ma vie :
J’ai reçu la vie
Pour que je puisse me réjouir de toutes choses.
Je n’ai rien eu de ce que j’avais demandé,
Mais j’ai reçu tout ce que j’avais espéré.
Presque en dépit de moi-même,
Les prières que je n’avais pas formulées
Ont été exaucées.
Je suis parmi les hommes
Le plus richement comblé.
Hans Viscardi, handicapé américain.
Cette prière a été gravée sur une tablette de bronze dans un institut de réadaptation à New York

Déposé par rafia le 15/09/2015  
AMI - AMIE
Il n'y a rien de ce que je pourrais vous offrir
Que vous ne possédiez déjà,
Mais il y a beaucoup de choses
Que je ne puis donner
Et que vous ne pouvez prendre.
Il n'existe pas de paix dans l'avenir
Qui ne soit cachée dans ce court moment présent.
Prenez donc la PAIX.
L'obscurité du monde n'est qu'une ombre.
Derrière elle et à notre portée,
Se trouve la JOIE.
Il y a dans cette obscurité une splendeur
Et une joie, ineffables,
Si nous pouvions seulement les voir.
Et pour VOIR vous n'avez qu'à REGARDER,
Je vous prie donc de REGARDER.

La vie est tellement emplie de sens
Et de propos,
Tellement pleine de beautés
Au-dessous de son enveloppe
Que vous apercevrez
Que la terre ne fait que recouvrir VOTRE ciel.
COURAGE donc pour le réclamer, c'est tout.

Mais vous avez du COURAGE et vous savez
Que nous sommes ,ensemble, des pèlerins
Qui, à travers des pays inconnus,
Se dirigent vers leur patrie.
Ainsi je vous salue, non pas exactement à la manière,
Dont le monde envoie ses salutations,
Mais avec la PRIERE, que pour vous MAINTENANT
ET à JAMAIS, le JOUR SE LEVE☼
Et les OMBRES S'ENFUIENT.

FRA ANGELICO DA FIESOLE

Déposé par choupinou le 15/09/2015  
Mon Ange,
Mon île,
L'étincelle qui m'éveille chaque matin,
Car ma première pensée est pour toi.
Elle apporte la chaleur en mon coeur
Et souligne mes lèvres d'un sourire...
...je sais que tu es là.
Mon Ange,
Mon univers,
La tendre présence qui accompagne mes jours.
Même lorsque tu es loin de mes yeux
Mon esprit reste emplit de toi...
...je sais que tu es là.
Mon Ange,
Mon Eden,
Cette douce lumière qui envahit mes nuits,
Veille silencieusement sur mon sommeil
Et chasse les ombres de mes songes...
...je sens que tu es là.
Je t'aime plus que tout
J'aimerai trouver d'autres mots...
J'aimerai de mes doigts,
Avec le fil de mon amour,
Broder sur ta peau,
L'image de ma passion.,

Déposé par colombine67 le 15/09/2015  
Un enfant demande à son père :
« Dis papa, quel est le secret pour être
heureux ? »
Alors le père demande à son fils de le suivre ; Ils
sortent de la
maison, le père sur leur vieil âne et le fils
suivant à pied.
Et les gens du village de dire:
« Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son
fils d’aller à pied ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison
» dit le père.
Le lendemain ils sortent de nouveau, le père
ayant installé son fils
sur l’âne et lui marchant à côté.
Les gens du village dirent alors :
» Quel fils indigne, qui ne respecte pas son
vieux père et le laisse aller à pied ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »
Le jour suivant, ils s’installent tous les deux
sur l’âne avant de quitter la maison.
Les villageois commentèrent en disant :
« Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger
ainsi ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »
Le jour suivant, ils partirent en portant eux-
mêmes leurs affaires, l’âne trottinant derrière
eux.
Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :
« Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages
maintenant ! C’est le
monde à l’envers ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »
Arrivés à la maison, le père dit à son fils :
« Tu me demandais l’autre jour le secret du
bonheur.
Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours
quelqu’un pour y trouver à redire. Fais ce qui te
plaît et tu seras heureux. »

Déposé par colombine67 le 14/09/2015  
La vie n’est pas juste, mais elle est quand même bonne.
La vie est trop courte pour perdre votre temps à détester qui que ce soit.
Votre travail ne prendra pas soin de vous quand vous serez malade. Vos amis et votre famille le feront. Restez donc en contact.
Quand vous êtes dans le doute, faites juste un pas en avant.
Pleurez avec quelqu’un. Ça guérit mieux que de pleurer tout seul.
Il n’y a pas de problème à être en colère après Dieu. Il peut le supporter.
Quand il est question de chocolat, la résistance est futile.
Faites la paix avec votre passé de façon à ne pas compliquer votre présent.
Ne comparez pas votre vie à celle des autres. Vous n’avez aucune idée de ce qu’est leur voyage.
Prenez une grande respiration. Ça calme l’esprit.
Débarrassez-vous de tout ce qui n’est pas nécessaire, joli ou joyeux.
Il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse. Mais la seconde fois regardez-vous et personne d’autre.
Brûlez les bougies, utilisez les beaux draps, portez les beaux habits et les belles lingeries. Ne gardez pas ça pour une occasion spéciale. Aujourd’hui est spécial.
Soyez excentrique maintenant. N’attendez pas d’être vieux pour porter du rouge.
Personne n’est responsable de votre bonheur sinon vous.
Encadrez chaque soi-disant catastrophe par ces mots « Dans cinq ans,  est-ce que cela aura de l’importance »?
Le temps guérit presque tout. Donnez du temps au temps.
Aussi bonne ou mauvaise qu’une situation soit, elle va changer.
L’organe sexuel le plus important, c’est le cerveau.
Préparez-vous à tout, puis laissez-vous porter par la vague.
Tout ce qui compte vraiment à la fin, c’est que vous ayez aimé.
Si nous mettions tous nos problèmes en tas et qu’on voyait les problèmes des autres, nous reprendrions certainement les nôtres.
L’envie est une perte de temps. Vous avez déjà tout ce dont vous avez besoin.
Le meilleur est à venir.
Qu’importe comment vous vous sentez, levez-vous, habillez-vous et participez.
La vie n’est pas décorée par un ruban, mais c’est quand même un cadeau.
Les amis sont la famille que l’on se choisit…….

Déposé par poutounou le 13/09/2015  

Jolie poésie qui ne manque pas de piquant….
*
Le hérisson
*
Bien que je sois très pacifique,
Ce que je pique et pique et pique
Se lamentait le hérisson.
*
Je n'ai pas un seul compagnon.
Je suis pareil à un buisson,
Un tout petit buisson d'épines
Qui marcherait sur des chaussons.
*
J'envie la taupe ma cousine,
Douce comme un gant de velours.
Émergeant soudain des labours
*
"Il faut toujours que tu te plaignes"
Me reproche la musaraigne.
*
"Certes, je sais me mettre en boule
Ainsi qu'une grosse châtaigne,
Mais c'est surtout lorsque je roule
Plein de piquants, sous un buisson,
Que je pique et pique et repique
Moi qui suis si pacifique"
Se lamentait le hérisson.
*
Maurice Carême

Déposé par ovanek le 13/09/2015  
💖 💖 26 💖 💖
**** Une Larme à Moi ****
Je m´aperçois que rien ne va bien ….je m´aperçois que rien ne vaut rien
Le monde, je n´y suis pas chez moi
Je crois que je ne comprends pas qu’ont ne me comprends pas
Quelques larmes coulent de mes yeux… elle tache les mots sur mes pensées
Et je sais que malheureux n´est pas un mot pour nous deux
Que nous méritons bien mieux ….nous méritions plus de temps
Qui, de la nuit ou de toi, reste désenchantée?
Qui, de la nuit ou de moi, est le plus désolé?
Je crie en vain, je ne sais plus rien
que des images que mes yeux font défilés
et tourbillonne sans jamais ce poser
Je doute de tout, tu le sais bien
Je t´aimais si fort autrefois
Tu étais si beau, je crois si beau, je sais.
Au plus profond de tes yeux
Je m´éblouis encore un peu
Je m´égare, je m´en veux
Oui, nous méritons bien mieux
Nous méritions le dessous des cieux
Tu me manque
** Pensée **
💖

Déposé par rafia le 13/09/2015  
ALPHONSE KARR
Les bonheurs que je me rappelle je ne les ai pas poursuivis ni cherchés au loin, ils ont poussé et fleuri sous mes pieds, comme les pâquerettes de mon gazon. Rien n'arrive dans la vie ni comme on le craint☻ ni comme on l'espère.☺☺☺




L'Album photo contient 31 photos
Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Retourner en haut