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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERsala
Il est né le:28/01/2008
Il nous a quittés le:03/11/2021
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En hommage à
sala
84 bougies
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4104 Fleurs
Déposé par nina1997 Mon cœur ne s'épuisera jamais🩷 Puisses tu y cueillir toutes les tendresses qu'il a pour toi🩷 Mirabeau Déposé par nina1997 Mon cœur ne s'épuisera jamais🩷 Puisses tu y cueillir toutes les tendresses qu'il a pour toi🩷 Mirabeau Déposé par colombine67 Je respecte plus les animaux que les personnes parce que nous sommes ceux qui détruisons le monde, et non eux |
1285 messages
Déposé par titji le 08/06/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssssssssssss |
Déposé par titji le 07/06/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssssss |
Déposé par titji le 06/06/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssss |
Déposé par spanky le 06/06/2024VIVRE ABANDONNÉS, ENFERMÉS... ...... " Il a un œil rond, des pupilles extra larges, il essaye d'être calme, il frétille, sautille, aboie, pleure, hurle, grogne , se tait, se cache, s'assoit, saute, ne se montre pas, cherche le contact, le fuit, est explosif , se terre sans un coin.... --- Sa truffe se concentre sur une odeur attrayante , il arrive à faire une pause dans le temps quelques instants , il est content de voir ses soigneurs fidèles chaque jour, ses repères, se donnant cœur et âme pour qu'il soit dans les meilleures conditions possibles bien qu'il soit sans famille. --- Son stress sans doute chronique, (il arrive si vite ce stress une fois rentré dans une refuge), mélange ses émotions, ce sont quelques minutes d'apaisement lors de visites, contre des heures de solitude dans le bruit régulièrement, privé d'une grande partie de ses besoins primaires faute d'avoir un foyer . --- Sans foyer c'est une absence de contacts sociaux ou une limitation de ceux-ci, c'est être être privé de liberté , vivre enfermé et ne pouvoir donc fuir ce qui est un besoin primaire . --- C'est moins dormir, car bruit et stress empêchent de dormir, c'est parfois devenir une cocotte minute avec une soif intense de sortir du box . --- C'est supporter la solitude même si elle est dure, c'est supporter la vie de congénères même s'ils peuvent inquiéter, c'est tenter de contrôler ses émotions de stress car il n'y a d'autre choix que de rester derrière les barreaux. --- C'est entendre et sentir le stress des congénères avec un odorat, sens premier tellement développé et sensible , c'est subir une contagion émotionnelle....c'est être moins apte à réfléchir et se concentrer....c'est ... --- Ils sont nés car l'homme les a fait naître. Ils sont enfermé car l'homme en a décidé. --- L'été arrive...période d'abandon...les vacances sont tellement mieux sans le chien....mettons le au refuge... oh comme j'espère que ce ne sera pas le cas pour eux..... --- Courage les chiens !!!!! --- " Si le chien était un Lion, on apprendrait à le connaître avant de l'adopter ou l'acheter".... encore bien des choses à transmettre --- Pensée également pour ces chiens d'élevages qui vivent en chenil.....ce n'est pas mieux ...pas mieux du tout..... " --- Source : Le chien simplement --------- |
Déposé par titji le 05/06/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisousssssssssssssss |
Déposé par spanky le 04/06/2024AU PAYS DES ÉTOILES ----- Dans le vaste infini Où se noient les étoiles Il existe un pays Que l’absence nous voile. C’est un pays magique, Baigné de pur amour, Aux charmes magnifiques Où seul règne le jour. Des cascades d’eau pure Et des prairies fleuries, Et des lacs, j’en suis sûre Où l’on s’ébat, ravi. A ce pays doré Seules accèdent les âmes De nos êtres aimés Par un grand pont diaphane, Sous un bel arc en ciel, Vers une chaude lumière, Dans ce pays de miel Qui survit dans l’Ether. S’y retrouvent ensemble Nos parents, nos amis, Nos amours et me semble Nos animaux chéris. Ils sont devenus anges Entourés d’une aura, C’est de là qu’ils s’arrangent A gommer nos tracas ! Ils nous veillent sans cesse Et calment nos chagrins, Écartent nos détresses, Nous montrant le chemin. Ils soulagent nos peines Et apaisent nos larmes, Toutes nos peurs sont vaines, Leur amour est une arme. Dans le vaste infini Où se noient les étoiles Il existe un pays Que l’absence nous voile. ----- |
Déposé par titji le 04/06/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssssss |
Déposé par titji le 03/06/2024bonjour ma cherie 31 mois deja.toujours la meme douleur.autour de moi les personnes me disent d arreter de te mettre les bougies.ils ne comprennent rien de ma tristesse.je t aime ma cherie ton papa bisousssssssss |
Déposé par spanky le 02/06/2024JE VOULAIS JUSTE ALLER A LA PLAGE ! ----- Hier soir, en train de dîner, elle a dit presque dans un murmure, -"cette année, je veux partir en vacances à la plage..." Ensuite, tout le monde autour de la table a dit -"C'est cool !"... "Bonne idée !"... "Yessss !"... "Merveilleux"... Je pensais que c'était beau et merveilleux de partir tous ensemble en vacances ! Je n'ai jamais connu la mer ! Et comme je fais partie de la famille, je fais partie de leurs vacances aussi ! Je m'imagine déjà sauter les vagues et nager, l'un des membres de ma famille va lancer ma Baballe et moi j'irais la chercher et je la ramènerai ... ---- Puis j'ai entendu une dispute dans la salle : -"qu'est-ce qu'on va faire du chien ? dit ma mère humaine et ils ont chuchoter entre eux. J'ai dormi merveilleusement bien avec des rêves fabuleux. Très tôt le lendemain matin, mon père humain m'a réveillé et m'a dit : -" Allons-y " ! La laisse était un peu serrée, mais je m'en fichais car nous allions à la plage. En montant dans la voiture, j'ai sauté de joie, j'ai léché mes frères humains et j'ai fini par me faire gronder car je faisais trop de léchouilles. Mais j’étais si heureux, si excité ! Nous sommes donc finalement partis et j'ai fini par dormir car le mouvement de la voiture m'avait endormi. Quelques heures plus tard, mon père a arrêté de conduire et nous sommes partis sur une route déserte. Il a tiré sur la laisse et l'a attachée à une poubelle. - Ha, ce doit être un nouveau jeu je pensais... Il monta dans la voiture et la démarra. Je n'ai pas compris la blague. Comment aurais-je pu courir après la voiture alors que j'étais attaché ? Enfin la nuit est venue et j'étais toujours là. Je me suis dit et j'ai pensé que c'était une punition. Est-ce parce que j'ai fait pipi sur le lit de ma sœur cette fois-là ? Est-ce en raison du canapé que je rongeais ? Est-ce parce que j'ai beaucoup aboyé ? Peu à peu, la nuit est devenue plus froide et plus sombre. Pourtant Ils savent que j'ai peur du noir... Pourquoi mettent-ils tant de temps à venir me chercher ? Quand il reviendra, je leur pardonnerai malgré la peur. que j'ai eue. Je les aime tant, ce sont mes humains, ils sont tout pour moi ! Sans eux je ne suis rien. Je ne suis pas comme les humains et je pardonne facilement à quiconque me fait souffrir. Les jours et les nuits ont passé, je suis resté attaché là sans nourriture ni eau. Jusqu'à ce qu'une nuit j'ai rêvé qu'ils venaient me chercher, mais malheureusement ce n'était qu'un rêve car de faim et de soif j'ai fini par MOURIR ! J'aurais juste aimé aller à la plage ! ----- Texte de André Luiz Ornellas ------- |
Déposé par titji le 02/06/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssss |
Déposé par poutounou le 02/06/2024Toi c’est Toi, à jamais en moi… !!! * Toi Esther Granek * Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie * Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien là et je n’y crois * Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant * Toi c’est présent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon cœur * Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rêvant et esquivant… * Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… * Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras… Toi c’est mon soleil qui s’en va… Et moi, je reste, pleurant tout bas. * Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 |
Déposé par titji le 01/06/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssssssss |
Déposé par spanky le 31/05/2024Mon Chien, ---- Un beau matin Tu as pris un autre chemin Tu as choisi de vivre Sur une autre rive Là où les rêves sont éternels Dans l'infinité du ciel Tu voyages À travers les nuages ---- À l'aurore des jours Qui se couvrent d'amour Tu te baignes dans l'océan Aux reflets d'argent Et si le vide est grand Ici je tue le temps À percer le mystère De ma présence sur terre ---- Je m'enfonce dans les flots De ma vie qui prend l'eau Tout s'évanouit Sur la mer de mes nuits À chercher l'infini Quand l'horizon s'illumine Au soleil qui s'incline Dans les bras de l'oubli. ---- David Bréant ---- |
Déposé par titji le 31/05/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisousssssssssss |
Déposé par titji le 30/05/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssssssss |
Déposé par titji le 29/05/2024bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssss |
Déposé par colombine67 le 29/05/2024Met ta main sur ma patte, je ne te laisserai jamais partir Met ta confiance en moi, je ne te laisserai jamais, jamais Met ton cœur dans mon cœur, je te donnerai toujours de l'amour Met ma patte dans ta main, je veillerai toujours sur toi Tout ce que je demande en retour, c'est de l'amour |
Déposé par spanky le 29/05/2024ABANDON ------ Je me promenais le long de la forêt L’air pensif, la mime gaie Un enfant jouait au loin Un homme promenait son chien. J’écoutais chanter les oiseaux Dans le champ couraient des lapereaux. Un bel après-midi à la campagne Tout ce qui fait son charme. Je décidais de m’enfoncer un peu dans le bois En espérant tout au fond de moi Pouvoir apercevoir une biche avec son faon. Je marchais donc tout tranquillement Quand j’entendis un gémissement. Un tout petit cri à peine audible Perdu au fin fond de cet endroit si paisible. Je secouais la tête en pensant Que ce cri vraiment pas charmant Était encore une illusion Un bruit sorti de mon imagination. Je repris ma marche paisiblement Quand pour la deuxième fois, retendit ce gémissement. J’ai donc décidé courageusement De voir d’où venait ce cri alarmant. J’ai marché quelques pas, en suivant le bruit Mille questions arrivèrent dans mon esprit Qu’allais-je trouver au bout de ce chemin Qui pouvait émettre ce bruit inhumain ? Plus je m’approchais, plus je m’inquiétais De savoir ce qui se trouvait dans les bosquets. Me voici donc arrivée sur les lieux Ou ma curiosité m’avait conduite Et malheureusement, je n’ai rien trouvé de merveilleux Juste quelque chose d’affreux. Il était là, tout tremblant Il était là, tout pleurant Se demandant ce qui avait fait pour mériter De finir à cet arbre attaché. Dès qu’il me vit, il remua la queue Êtres magiques, Êtres merveilleux Qui n’ont dans leur cœur Que joie et bonheur Pour nous les humains, souvent malsains. Ils nous aiment sans discernement Et pourtant, même trop souvent On les maltraite, on les torture, on les bat Sans se rendre compte de tout l’amour qu’ils ont pour nous ici-bas. Il était donc là, ce petit chien Avec dans ces yeux tout l’amour pour l’humain. Combien de temps avait-il pleuré au milieu de ces bois Combien de temps a-t-il attendu le retour d’une o***** qui ne reviendrait pas? Je m’approchais de lui, le caressais Lui retirais la corde qui l’entravait là Je le pris dans mes bras Et doucement lui parla. Tu es sauvé mon chien, mon ami Mais pour un que l’on retrouve en vie Combien meurent seuls dans la nuit ? Abandonner son animal est une horreur Que rien sur cette Terre ne justifie Alors vous, hommes pourris, hommes sans cœur Si parfois vous en avez envie Dites-vous que je vous maudis. ------ |
Déposé par titji le 28/05/2024bonjour ma cherie je taime ton papa bisoussssssssssss |
Déposé par colombine67 le 28/05/2024Je suis mort sans nom Un long mais superbe texte, très émouvant.... Je suis mort sans nom Sans une marque d’affection… Je ne connais la définition Du mot humain émotion Que par la douleur de l’abandon. J’ai attendu si longtemps, D’hivers glaciaux en printemps, Un rayon d’espoir, et souvent Pétrifié dans le silence et le temps, J’ai voulu fuir ce tourment. Seul et apeuré dans ma cage, Je m’accrochais à ce mirage… De votre sourire, de votre visage Qui m’ont apporté courage L’instant d’un ciel sans nuage… Je me suis habitué à la faim, Au froid, à la peur du lendemain. Mais jamais, je le crains, De ne pas connaître enfin Le plaisir de lécher votre main. Mon corps martyrisé N’en pouvant plus de lutter, À bout de souffle et de fierté, C’est sans bruit et sans dignité Que je vous ai quittés. Une seule caresse aurait suffi À me permettre, sans bruit, De quitter mes amis. Qui encore aujourd’hui. Vous appellent dans la nuit. Je ne vous en veux pas De n’avoir entendu mon désarroi. J’avais pourtant en moi, Au fil des jours et des mois, La confiance, l’espoir et la foi. Même si j’ai hurlé dans la nuit, Tandis que mourraient mes petits, La souffrance et la maladie Ont eu raison aujourd’hui De mon instinct de survie. Ils ont tué mes espoirs De pouvoir un jour voir Le soleil et votre peignoir… De fuir mon désespoir… Fuir ma cellule dans le noir. Je suis venu et passé, Sans jamais être remarqué. Pourtant, je vous ai toujours espéré… Je ne demandais qu’à vous aimer… Pourquoi m’avez-vous abandonné? J’ai eu faim, j’ai eu froid, J’ai eu peur et malgré moi, De ce qui me restait de voix, Votre nom j’ai appelé mille fois… Où étiez-vous, dites-moi... Ma carcasse incinérée Aura pour l’éternité Ce champ, ces fleurs et ce pré Que j’ai longtemps espéré, Et dont j’ai tellement rêvé. J’aurais aimé avoir un jouet, Un seul s’il-vous plait… J’aurais voulu courir et qui sait, Trébucher dans le gazon tout frais À vos côtés, fier et coquet… J’aurais dormi à vos pieds, L’hiver vous aurais réchauffé, La nuit vous aurais rassuré, Et sans jamais rien demander, Vous aurais écouté et aimé… Je suis mort triste et seul, Sans que l’on porte mon deuil. On m’a offert pour tout linceul, Un feu de paille et de feuilles, Je suis libre, délivré et encore seul… Ne m’offrez pas de fleurs… Retenez vos pleurs… Je ne veux plus que le bonheur, De ceux qui ont dans leur cœur D’encore espérer avec ferveur… De quoi donc ai-je été coupable Pour mériter une vie si misérable Un destin aussi pitoyable, Une mort cruelle et minable… De cela vous m’êtes redevable… Je vous aime encore Je vous aime si fort… À la vie et à la mort, Je vous aime encore, Bien au-delà de la mort… Dites-moi que vous voulez, Par amour et par pitié, Encore quelques-uns sauver… Ainsi ma cruelle destinée N’aura été ni vaine ni oubliée… Il est trop tard pour moi, Voyez, je suis mort et froid… Mais pour mes petits croyez-moi, Par vous, ils ne le seront pas. Sauvez-les en souvenir de moi… Un chien parmi tant d’autres. |
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