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En hommage à
BOXERPaco
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
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En hommage à
Paco
67 bougies
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19625 Fleurs
Déposé par spanky Sans toi mon Paco, je ne sais plus vraiment ce que je suis,je me sentais si bien avec toi,et je cachais mes larmes lorsque je prononçais ton nom,mais ma douleur dans mon coeur est toujours le même. Déposé par poutounou Aux premiers mots d'une très vieille chanson : « Un souvenir, c'est l'image d'un rêve, d'une heure trop brève qui ne veut pas finir. » Ah si les rêves pouvaient durer !!! Déposé par nina1997 Mon cœur ne s'épuisera jamais🩷 Puisses tu y cueillir toutes les tendresses qu'il a pour toi🩷 Mirabeau Déposé par Binouche Ton âme si belle s’est envolée vers l’éternité Reçois bel ange ces mots de velours Tu manques à chaque instant Tu manques infiniment |
2558 messages
Déposé par rafia le 09/07/2015ODE A L AMITIE Prends ma main. Ne la lâche pas. J'écouterai ce que tu veux me dire. Si tu préfères te taire, j'entendrai ton silence. Si tu ris, je rirai avec toi,mais jamais de toi. Si tu es triste, j'essayerai de te consoler. Je ferai pour toi des bouquets de soleil. J'allumerai des feux de joie là où chacun ne voyait plus que des cendres. Si je n'ai qu'une rose, je te la donnerai. Si je n'ai qu'un chardon, je le garderai pour moi. Je te donnerai ce qui te plaît, ce qui te rassure le plus si je le possède. Si je ne le possède pas, j'essayerai de l'acquérir. Donne-moi la main. Nous irons où tu voudras. Je te ferai entendre la musique que j'aime. Si tu ne l'aimes pas, j'écouterai la tienne J'essaierai de l'aimer ! Je t'apprendrai ce que je sais. C'est peu. Tu m'apprendras ce que tu sais. C'est beaucoup Ne dis pas que tu ne sais rien : cela n'existe pas, quelqu'un qui ne sait rien ou alors, si cela existe, tant mieux car ce serait quelqu'un comme un jardin sauvage, un jardin à naître où l'on peut rêver mille jardins comme un enfant à venir, un enfant espéré : ce serait la vie devant soi, ronde, inattaquée, comme une boule de Noël. Prends ma main. Cinq doigts refermés autour des nôtres, c'est le plus beau cadeau du monde. Cela nous préserve de la peur, de l'abandon, du doute. Une main offerte, c'est un monde nouveau. Tu es toi. Je suis ce que je suis. Je ne troublerai pas ta musique intérieure. Je ne me blesserai pas de tes silences. Tu respecteras les miens. Je ne t'assassinerai pas de “pourquoi ?”. Tu ne diras pas que je fais des fausses notes si je ne pense pas comme toi. Donne-moi la main. Nous irons avec la vie, comme le sable, le temps et l'eau entre source et delta. Différents et si proches à la fois. De Simone Conduché ., |
Déposé par poutounou le 09/07/2015Ce qu'il faut pour être heureux * Il faut penser ; sans quoi l'homme devient, Malgré son âme, un vrai cheval de somme. Il faut aimer ; c'est ce qui nous soutient ; Sans rien aimer il est triste d'être homme. * Il faut avoir douce société, Des gens savants, instruits, sans suffisance, Et de plaisirs grande variété, Sans quoi les jours sont plus longs qu'on ne pense. * Il faut avoir un ami, qu'en tout temps, Pour son bonheur, on écoute, on consulte, Qui puisse rendre à notre âme en tumulte, Les maux moins vifs et les plaisirs plus grands. * Il faut, le soir, un souper délectable Où l'on soit libre, où l'on goûte à propos, Les mets exquis, les bons vins, les bons mots Et sans être ivre, il faut sortir de table. * Il faut, la nuit, tenir entre deux draps Le tendre objet que notre coeur adore, Le caresser, s'endormir dans ses bras, Et le matin, recommencer encore. * Voltaire |
Déposé par colombine67 le 09/07/2015A force de vivre auprès de toi, Je te comprends dès que tu me parles Et sitôt que tu prononces mon nom, J’accours aussitôt. Je sais bien quand tu me grondes Je sais aussi quand tu es content de moi. Si quelqu’un rôde autour de la maison, J’aboie aussitôt pour te prévenir Et j’attends que tu me dises de me taire. Ta famille, c’est ma famille, Que nul ne vienne y toucher, Sinon je montre mes crocs. Tu me nourris chaque jour, tu me regardes, Je suis devenu ton compagnon, je te respecte Quoi que tu fasses, où que tu ailles, Je suis ton ami le plus fidèle, Celui qui te suivra toujours. Tu dis parfois qu’il ne me manque que la parole, Mais crois-moi, elle n’est pas nécessaire pour te dire en silence : Je t’aime bien…Ne m’abandonne pas… |
Déposé par myriam31 le 08/07/2015Prière d’un chien. Donne moi un toit, des caresses, je t’offrirai fidélité, joie, et amour pour la vie. Ne me perds pas si je suis encombrant pour les vacances, Je ne prends pas beaucoup de place, je saurai me faire discret, Trouve moi une famille d’accueil, une pension, je t’attendrai jusqu’à ton retour. Je ne t’en voudrai pas, je comprendrai. Ne m’abandonne pas dans la prison des chiens si je suis vieux et souffrant, Aide moi à partir dans la dignité et la paix, sans souffrance, Je t’en serai reconnaissant, je veillerai sur toi de là-haut, je serai toujours là près de toi. Tu m’as adopté pour ma courte vie, pas sur un caprice, une lubie, Je fais partie de la famille, nous finirons le chemin ensemble, dans la joie et la peine. |
Déposé par Galinette3 le 08/07/2015🐶 Sampa 🐶 Paroles et musique : Georges Chelon ( 1968 Disque Pathé ) 🐶 Je m'appelle Sampa, Et bien que chien bâtard, Je fais tourner la tête A bien des pedigrees. 🐶 Je m'appelle Sampa, Je suis né quelque part. Je m'appelle Sampa Et mon histoire est belle. 🐶 Je mouille des divans, Je souille des parquets, Je vis auprès d'un roi Comme un chien de poubelle 🐶 Je m'appelle Sampa, Et j'ai des yeux qui parlent, Un corps qui fait le fou, Un cœur qui se remplit De tant et tant de joie, Qu'une caresse régale. 🐶 Je m'appelle Sampa J'ai des maîtres fidèles. Lui, me donne du mal A me faire obéir, Mais quand il n'est pas là Je suis seul avec elle. 🐶 Son amour à lui, C'est mon amour à moi. Comme elle est jolie ! Comme elle est gentille ! Son amour à lui, C'est ma maîtresse à moi. 🐶 Et, quand elle me sourit, Moi j'ai les yeux qui brillent. Elle m'appelle San San, Et je l'aime, et elle m'aime. 🐶 La nuit, je dors près d'elle, Et au matin je la réveille D'un coup de patte, Ou bien d'un coup de dent. 🐶 Je m'appelle Sampa Et mon histoire est courte. Pour aller du lit où je dormais, Jusqu'au jardin où je repose, Il ne m'aura pas fallu un an. 🐶 Toi le jardin, je te connais Dans tes moindres recoins. Hier encore, je t'ai prêté un os, Aujourd'hui, je te donne les miens. Je m'appelais Sampa... Et j'étais chien bâtard. 🐶 |
Déposé par colombine67 le 08/07/2015Personne ne te remplacera… Dans mon coeur toujours tu seras… Je ne passe aucune journée Sans que tu sois dans mes pensées… Je n’aime que toi, J’ai besoin de toi… Personne ne peut m’apporter Ce que tu as su me donner… Plus que tu ne crois, Mon amour n’est désormais que pour toi… |
Déposé par colombine67 le 07/07/2015 Quand on perd ses parents, on s'appelle orphelin Quand on perd son épouse, alors on s'appelle veuf Quand on perd sa jeunesse, bien entendu, c'est vieux que l'on devient Mais quand on perd son gamin, y a pas de mot Il n'y a pas de nom pour décrire le père Celui qui borde son garçon au cimetière Jamais un seul poète, un seul pasteur, jamais un seul auteur N'a eu assez de lettres pour tant de douleur Quand on perd la raison, bien sûr on s'appelle fou Et puis on s'appelle pauvre à perdre trop de sous Quand on perd la mémoire, tout de suite on est qualifié d'amnésique Mais y a des choses qu'aucun mot n'explique On aura beau fouiller les plus vieux dictionnaires Posséder le plus vaste des vocabulaires Décortiquer Baudelaire, jusque sous terre, Jusqu'à son dernier vers Il n'y a pas de mot, pas de manière D'appeler le parent d'un enfant qui n'est plus Il n'y a pas de mot pour ça qui soit connu Quand on perd ses parents, on s'appelle orphelin Quand on perd son mari, alors on s'appelle veuve Quand on perd son petit, c'est évident, il n'y a pas de mot Pourtant y en a des mots qui nous émeuvent Mais là, y en a aucun, y a vraiment rien à dire On ne sait même plus trop si on a l'droit de vivre Mais bon on vit quand même, on vit tout simplement pour n'pas crever On rit pour n'pas pleurer des flots sans rive Oui, on vit parce que lui, il n'pourra plus le faire On vit parce qu'on s'dit que sans doute, il en serait fier Quand on sauve un enfant, on s'appelle héros Mais quand on en perd un, y a pas de mot Pas de mot Lynda Lemay "un chien c'est comme notre enfant" |
Déposé par rafia le 07/07/2015Au bout du monde Au bout du monde, il n’y a pas de route, mais le terme d’un pèlerinage. Au bout de l’ascension, il n’y a pas l’ascension, mais le sommet. Au bout de la nuit, il n’y a pas la nuit, mais l’aurore. Au bout de l’hiver, il n’y a pas l’hiver, mais le printemps. Au bout de la mort, il n’y a pas la mort, mais la VIE. Au bout du désespoir, il n’y a pas le désespoir, mais l’Espérance. Au bout de l’humanité, il n’y a pas l’homme, mais l’Homme-Dieu. Au bout du Carême, il n’y a pas le désert, mais la RESURRECTION. (Joseph Folliet), |
Déposé par zenelle le 06/07/2015Paco Même si le destin nous a séparés, Je continuerai d'espérer, Parce que nos âmes sont soeurs Je le sais, au plus profond de mon coeur. Dans cette vie ou la prochaine, Nos âmes se retrouveront, Nous savons que nous sommes mêmes, Ni le temps, ni l’oubli ne nous rattraperont. Je te porterai cet amour à jamais Comme un secret farouchement gardé Comme une flamme éternelle et vraie Car aujourd'hui, je puis l'affirmer, je t’aime et t'ai aimé. |
Déposé par nounours le 06/07/2015. .......................LE PASSER................. . ...............Tu me manques tellement............. ...............Ce soir je suis dans l'antre de mon passé........ ...............Celui-même ou tu étais encore près de moi............ ...............Il n'y a rien à faire mon coeur pâlit........... ...............Je suis aux portes de l'enfer.......... ...............D'un chagrin qui me transit.............. ...............Bien sûr,j'ai des jours plus sympas que d'autres............. ...............Mais il y a aussi des heures qui ne terminent pas............ ...............Mes questions restent sans réponse............. ...............Et je n'accepte pas ton ultime départ........... ...............Entre glace et feu,je ne sais pas où je suis bien................. ...............J'espère juste que toi,tu l'es............ ...............J'imagine en cachette que tu voles au-dessus de moi............. ...............Et que même si tu n'es plus présent............. ...............Dans ton enveloppe terrestre.............. ...............Les anges te permettent de me tenir encore ta patte................ . ...................MILLE BISOU A TA GENTILLE MAMAN...................... . ....................PETIT POEME A MES BRAVE LOULOU.................. . |
Déposé par choupinou le 06/07/2015Lettre d'amour Mon amour, Nous sommes séparés pour l'instant mais pas distants pour autant... Je sais que notre amour sortira grandi de cette épreuve de l'éloignement. En attendant de te retrouver, je me remémore tes gestes d'antan, je puise sans cesse dans la richesse de ce passé qui nous lie. Je m'ennuie de ton regard posé sur moi, du charme de ta voix, de ta douce chaleur, toutes ces manifestations de toi devenues synonymes de bonheur. Mais je m'encourage jour et nuit en anticipant le moment où nous serons enfin réunis, et plus forts qu'avant. |
Déposé par colombine67 le 06/07/2015Un jour le Grand Jardinier me confia Une plante d'une qualité très rare, et très belle ; « Je reviendrai la chercher », dit-il en souriant ; « Soigne-la bien, en la gardant pour moi. » J'en ai pris soin, et la plante a grandi, Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes, Belle et fraîche, comme l'aurore au printemps. Mon âme était radieuse, mon bonheur sans égal. De toutes mes fleurs, elle était la plus glorieuse, Son parfum, son aspect étaient merveilleux ; J'aurais voulu la garder, tant mon cœur s'y était attaché Pourtant, je savais qu'Il reviendrait la chercher. Et voici, Il est venu un jour me demander La jolie plante qu'Il m'avait prêtée... Je tremblais ! Mais c'est vrai qu'Il m'avait dit Qu'un jour Il reviendrait pour me la réclamer. « C'est parfait », dit-Il en respirant son parfum Alors, en se penchant, Il a parlé doucement : « Si elle reste dans ce sol, elle va perdre sa splendeur, Je veux la transplanter dans mon jardin Là-haut. » Avec tendresse, Il la prit et s'envola Pour la planter Là-haut où les fleurs ne se fanent pas. Et un jour futur, dans ce Jardin de Gloire, Je la retrouverai épanouie, et elle sera mienne. |
Déposé par rafia le 06/07/2015Un groupe tout à l'heure était là sur la grève... Un groupe tout à l'heure était là sur la grève, Regardant quelque chose à terre. - Un chien qui crève ! M'ont crié des enfants ; voilà tout ce que c'est. - Et j'ai vu sous leurs pieds un vieux chien qui gisait. L'océan lui jetait l'écume de ses lames. - Voilà trois jours qu'il est ainsi, disaient des femmes, On a beau lui parler, il n'ouvre pas les yeux. - Son maître est un marin absent, disait un vieux. Un pilote, passant la tête à sa fenêtre, A repris : - Ce chien meurt de ne plus voir son maître. Justement le bateau vient d'entrer dans le port ; Le maître va venir, mais le chien sera mort. - Je me suis arrêté près de la triste bête, Qui, sourde, ne bougeant ni le corps ni la tête, Les yeux fermés, semblait morte sur le pavé. Comme le soir tombait, le maître est arrivé, Vieux lui-même ; et, hâtant son pas que l'âge casse, A murmuré le nom de son chien à voix basse. Alors, rouvrant ses yeux pleins d'ombre, exténué, Le chien a regardé son maître, a remué Une dernière fois sa pauvre vieille queue, Puis est mort. C'était l'heure où, sous la voûte bleue, Comme un flambeau qui sort d'un gouffre, Vénus luit ; Et j'ai dit : D'où vient l'astre ? où va le chien ? ô nuit ! Victor Hugo |
Déposé par ovanek le 05/07/2015💖 💖 17 💖 💖 **** Pour toi mon Fidèle **** Je t'ai choisi comme compagnie Et tu le seras pour toute ma vie Je ne pourrais jamais te quitter Surtout jamais t'oublier Ces quelques lignes Je te les désigne Pour te prouver Cette grande amitié N'oublie surtout jamais Qu'on sera ami pour l'éternité Même devant la mort Quoi qu'il arrive mon chien, je t'adore Pensée ❤ |
Déposé par colombine67 le 05/07/2015Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi, de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. Il restera de toi ce que tu as offert Entre tes bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu, Que tu as attendu plus loin que tes réveils. Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé, Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. Michel Scouarnec |
Déposé par rafia le 05/07/2015Le testament de Brutus *~*~* A mon maître: Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Brutus Thibault, (communément appelé La Brute par mon père, amis et connaissances), dépose en secret dans l'âme de mon grand ami, mon maître , mon testament. J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais, me regretteront le plus, à Michel, Nancy et Yann qui ont été si bons pour moi. Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Michel de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de le réconforter dans la peine et de lui apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais lui causer du chagrin. Je le prie de ne pas oublier qu'à sa tendresse et à sa sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour celui qui m'a donné son affection. Il me sera douloureux de le quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe-t-il après? Nul ne le sait. En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu mon maître, dire: "Quand Brutus mourra, je n'aurai jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre." Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que, maintenant que j'ai fait partie de la famille, il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même mon co-locataire, un chat... Miow-Miow, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille). Aussi je conseille à mon maître de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli, aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et aussi que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël. Un dernier mot à Michel, Nancy, et Yann, Chaque fois que vous penserez à moi : dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos côtés : "Brutus était un être qui nous aimait et que nous aimions. "Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Brutus Thibault Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. |
Déposé par spanky le 04/07/2015Ma petite Mamou Il n'est jamais trop tard. Ce soir ou même ici, Installe-toi dans un coin calme, Entre en toi, ouvre ton coeur et perçois ma présence. C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici, Tout l'amour à l'état cristallin Qu'il est humainement possible de recevoir! N'oublie pas que c'est ici EN TOI, Que tu pourras toujours reprendre contact. Même si, parfois, tu ne me percevais pas, Sois certaine que j'y serai tout de même!! Ta Vie continue, la mienne aussi... Rendez-vous dans une autre Dimension, au moment opportun. Je serai là, tel un ange, Pour t'y accueillir. Je t'aime ma petite Mamou |
Déposé par colombine67 le 04/07/2015J'étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumière Et voilà que je pars vers l'univers Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L'infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! J'étais sans vie et sans voix L'âme pleine de « pourquoi » Perdu dans les silences et dans le mots Quelle est la raison des choses Des galaxies et des roses ? On le sait quand on sait Que tout est beau Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L'infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! J'étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumière Et voilà que je pars vers l'univers ! Stéphane Venne Chanson du film « Le papillon bleu », interprétée par Marie-Hélène Thibert |
Déposé par rafia le 04/07/2015Mon chien.....chanson de Bourvil Une fois, j'ai trouvé un cabot Moitié fox et moitié caniche Bien qu'il soit sûrement à des riches Il a reniflé mes godillots J'étais le long de la Seine à Saint-Denis Le soleil tapait dans les feuillages C'était un vrai temps à mariage Il m'a suivi J'ai d'abord foutu des cailloux J'avais pas besoin de bouche inutile La tartine est trop difficile À trouver et moi, je suis pas fou J'allais pas me mettre à lui donner Le peu qu'il y avait dans ma musette Il était têtu, c'te bête ! J'ai partagé Puis on est partis tous les deux J'ai apprécié sa compagnie J'étais tout le temps seul dans la vie Je me suis senti moins cafardeux Le soir, il venait s'entortiller Près de moi. J'étais dans ma toile Content d'avoir sous les étoiles Une amitié Un chien, ça s'en fout de la laideur Des manières et des élégances Tout bête que c'est, un chien ça pense On a du rêve et puis un cœur Y a bien des filles qui ont rigolé Qui ont eu pour moi des complaisances Mais y a que mon chien dans l'existence Qui m'a aimé Un jour qu'il pleuvait en hiver Je finissais de casser la croûte Il était à peine sur la route Qu'une auto me l'a fichu en l'air Il m'a regardé, l'air étonné Puis sa petite âme s'est endormie Et pour la première fois de ma vie Ben, j'ai chialé |
Déposé par colombine67 le 03/07/2015La grande et triste erreur de quelques-uns, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent : ils ne nous quittent pas, ils restent. Où sont-ils ? Dans l'ombre ? Oh non, c'est nous qui sommes dans l'ombre. Eux, sont à côté de nous, sous le voile, plus présents que jamais. Nous ne les voyons pas, parce que le nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de lumière arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. Ô consolation ineffable, les morts sont des invisibles, ce ne sont pas des absents. J'ai souvent pensé à ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent. Voici : c'est la foi en cette présence réelle et ininterrompue de nos morts chéris ; c'est l'intuition claire, pénétrante, que, par la mort, ils ne sont ni éteints, ni éloignés, ni même absents, mais vivants près de nous, heureux, transfigurés, et n'ayant perdu, dans ce changement glorieux, ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur cœur, ni une préférence de leur amour, mais ayant au contraire, dans ces profonds et doux sentiments, grandi de cent coudées. La mort, pour les bons, est la montée éblouissante dans la lumière, dans la puissance et dans l'amour. Louis Victor Émile Bougaud Évêque de Laval en Mayenne (France) de 1887 à 1888 |
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