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In tribute to
SETTER-GORDONRUBENS
Born on :03/06/2000
left us on:04/03/2013
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6958 messages
left by colombine67 on 05/11/2015Quand lui n'achève pas son travail, je me dis, il est paresseux. Quand moi, je n'achève pas mon travail, c'est que je suis trop occupé, trop surchargé. Quand lui parle de quelqu'un, c'est de la médisance. Quand je le fais, c'est de la critique constructive. Quand lui tient à son point de vue, c'est un entêté. Quand moi je tiens à mon point de vue, c'est de la fermeté. Quand lui prend du temps pour faire quelque chose, il est lent. Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose, je suis soigneux. Quand lui est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête. Quand moi je suis aimable, je suis vertueux. Quand lui est rapide pour faire quelque chose, il bâcle. Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile. Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise, il s'occupe de ce qui ne le regarde pas. Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise, je prends des initiatives. Quand lui défend ses droits, c'est un mauvais esprit. Quand moi je défends mes droits, je montre du caractère. Pierre Descouvemont |
left by rafia on 04/11/2015L'Adieu J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en. Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t'attends. Guillaume Apollinaire Bien chères amies/chers amis...je vs offre ce quintil...avec toute mon amitié...et avec mes remerciements les plus chaleureux. Maryem, votre amie |
left by poutounou on 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?". Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
left by colombine67 on 04/11/2015 Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me donner des conseils, je n'ai pas de réponse à ma demande. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela, je ne me sens pas respecté. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème, je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître. Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes. Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose : je te demande simplement de m'écouter. Les conseils sont bon marché. Pour deux euros, j'aurai dans le même journal le courrier du cœur et mon horoscope. Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant, peut-être un peu découragé ou hésitant, mais non impotent. Quand tu fais quelque chose pour moi, que je peux et ai besoin de faire moi-même, je me sens dévalorisé et je ne progresse pas. Mais quand tu acceptes comme un simple fait que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité), je peux arrêter de chercher à te convaincre, et je peux essayer de commencer à comprendre ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels. Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes et je n'ai pas besoin de conseil. Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles quand nous comprenons ce qu'il y a derrière. Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas. Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas. Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté. Alors, s'il te plaît, écoute-moi. Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai. Auteur anonyme indien |
left by rafia on 03/11/2015Si je pouvais être certaine qu'un Paradis existe bien ??? Dédicace à TOUS : Amours-Canins.....félins...et autres. Dont mes cinq AMOURS/WESTIES. Sur l'échelle du Ciel, je voudrais monter... Pas tout en haut, mais un peu quand même, Pas bien longtemps, mais juste assez, Pour m'assurer que vs êtes bien arrivés Je voudrais tendre le cou, Pour voir si votre nouvelle vie vs plait..??? Me persuader que vs êtes bien entourés, Mais surtout que la vie est meilleure ici..... J'observerais tous ces êtres innocents partis d'en bas, Bien trop tôt, M'émerveillerais de leurs ailes qui ont poussé, Depuis qu'ils sont là-haut. Je voudrais monter sur cette échelle, Contre mon coeur, vs serrer une dernière fois, Que vs me disiez, dans un battement d'aile, "Continue Maman.... ns veillons.... Ns sommes tjrs aussi près de toi" Avec toute ma bien sincère Amitié. Maryem, votre amie |
left by Biscuit on 03/11/2015l'animal, il ne vous abandonne jamais que vous soyez beau ou laid roi reine ou simple valet il sera toujours a vos cotés quand vos amis seront partis quand vous vous sentirez trahi le coeur vide plein de depit avec cette envie que tout soit fini il posera sa tete sur vos genoux il sera là tout près de vous avec son regard plein de douceur qui vous rechauffe le coeur en lui vous pourez avoir confiance il ne divulguera pas vos confidences il gardera vos plus lourds secrets et ne vous trahira jamais cet etre plus sincère que certain humain n'est autre qu'un chien mais chien ou chat ou autre peut importe avec tout se qu'il nous apporte partagera nos joies,nos soucis et nous aimera toute sa vie |
left by nikita on 03/11/2015Mon RUBENS doux trésor Le vent souffle calmement sur les rivages Mon cœur s’envole vers toi au gré des nuages Tu manques tant à mes bras devenus orphelins Je voudrais tant me réveiller près de toi chaque matin La distance qui nous sépare n’est qu’une route Un pont que je parcours vers toi sans doute Mais tu manques tant à mon petit cœur avec toi c'était le bonheur Aujourd’hui tu me manques tant mon RUBENS tant aimé que je suis triste à pleurer Je pense à toi sans cesse Avec toute ma tendresse bisous de tendresse sur ta belle truffe d'amour mon joli prince |
left by Annie on 03/11/2015Cher ami Rubens Je peux te dire que nous relisons souvent les messages du 21 octobre dernier où le petit couple d'amoureux que tu n'as pas voulu nommer s'est reconnu (éclat de rire) et celui du 28 où ta maman clame si justement la tolérance dont nous sommes adeptes. Julie te remercie plus particulièrement pour être passé la voir le jour de ce fatal anniversaire que notre maman chérie vit toujours aussi mal malgré le temps qui s'est écoulé. Dans un premier temps ses amis essayaient de la consoler puis ils ont voulu la raisonner alors elle n'en a plus parlé à personne mais depuis que nous demeurons sur Magicland elle a retrouvé des oreilles attentives qui la comprennent. Puisque tu aimes les amoureux veux-tu venir dimanche prochain partager un moment de liesse et un bon buffet avec nous ? Pour cela tu vas jusqu'à l'allée Shéhérazade et de là tu prends le petit sentier, à côté de la cabane de Cadichon, qui débouche sur le "bosquet aux oiseaux" où nous allons fêter le petit couple d'inséparables ailés que tu connais et quelques-uns de leurs amis. En espérant te voir toute l'ennéade te fait de bien amicales léchouilles et maman Anne a une gentille pensée pour maman Martine. Chin & Co ✭ |
left by choupinou on 03/11/2015POÈME POUR LA TOUSSAINT Je veux écrire de la poésie pour nos petits chiens que l’on a vu mourir Les morts ne meurent pas, ils vivent au pays des rêves sans plus souffrir Le jour de La Toussaint, ils reviennent sur terre habiter nos souvenirs Les amours ont pour nous un message : un jour la vie doit finir Message spirituel pour La Toussaint pour nos petits coeurs qui manquent à nos vies Prière de poésie pour nos amours perdus, partis bien trop tôt au pays des rêves Prière poétique pour un être cher, chaire a notre chaire, dont la vie est en trêve Mots d’amour en ce jour qui célèbre les morts, où le souvenir à la mort survit A toi qui as rejoint le Paradis des animaux et des Hommes justes, je veux dédier ce poème Discours au ciel pour te dire en ce jour saint combien je pense à toi et combien je t’aime La mort n’est rien quand la vie a été aussi belle, tu vis à travers nos souvenirs de toi Mourir n’est pas une fin quand la Foi en notre amour te rend si présent sous notre toit En ce jour de Toussaint, je veux te tenir la patte pour ne plus jamais la lâcher Tu me manques tellement, je n’ai jamais cessé de t’aimer, un amour pour l’éternité Je me souviens de tes aboiements qui même dans le désespoir me faisaient espérer Je me souviens de tes regards et de tes léchouilles, les messages de tes yeux pleins de beauté Ton décès m’a tellement fait pleurer, je me suis noyé dans des larmes de douleurs Ton âme est venue me visiter pour me dire de vivre, de ne jamais renoncer au bonheur Ta mort fut un naufrage, j’ai perdu tous mes repères, j’ai perdu le goût de la douceur Ta belle âme est venue me visiter pour m’enseigner que tu restes vivant en mon cœur Texte sur La Toussaint écrit par Hamoudi quelques peu changer pour l'approprier a nos petits anges, |
left by colombine67 on 03/11/2015Tu ne peux pas retenir le temps. Il passe. Il coule entre tes doigts comme l'eau de la fontaine. Il glisse dans ta main comme le sable de la mer. Tu ne peux rattraper le passé. Il n'est plus. Il s'en est allé comme le couchant d'hier. Il est disparu comme un souvenir perdu. Tu ne peux emprisonner le futur. Il n'est pas encore. Il viendra à son heure comme le levant de demain. Il te rejoindra comme la vague qui s'approche du rivage. Mais tu peux toujours cueillir le présent comme un beau présent de Dieu. Ce présent est comme un grand arbre : il plonge ses profondes racines dans ton passé tout plein de souvenir et d'expérience, comme une sagesse accumulée. Et il lance ses longues branches vers ton futur tout plein de promesse et d'espérance, comme un projet emballant. Le présent est fait de ton passé qui n'est plus et de ton futur qui n'est pas encore. Prends le temps qui t'est donné à chaque instant qui passe. Cueille-le précieusement comme l'eau du ruisseau qui t'est toujours disponible. Ne gaspille pas ton temps, c'est un cadeau de Dieu. Ne passe pas ton temps à courir après le temps. Prends ton temps. Ne dis pas : je n'ai pas le temps. Dis plutôt : j'ai tout mon temps. Ne sois pas avare de ton temps. Donne de ton temps aux autres comme Dieu te le donne à toi. Ne cours pas tout le temps, prends ton temps. Et laisse au temps le temps de faire son temps. Alors, tu gagneras du temps. Et tu découvriras que c'est beau et bon le temps, que c'est plein de Dieu dedans. Jules Beaulac |
left by rafia on 02/11/2015OFFERT A VOS AMOURS CANINS, FELINS ...ET AUTRES. L'AMOUR SINCERE EST UNIVERSEL. OFFERT AUSSI A MES CINQ AMOURS/WESTIES. Pr vs mes amies/amis, toute ma bien sincère amitié. Sans oublier mes chaleureux remerciements. Maryem CONJUGUONS LE VERBE AIMER En conjuguant le verbe aimer à ts les temps A l’imparfait, au passé simple ou au présent Ns ns aimons, conditionnel, indicatif Au singulier ou au pluriel, au subjonctif ! Au futur simple ou antérieur, je vs aimerai Toute ma vie, avec souvenir, plus que parfait En auxiliaire, c’est vs que j’avais choisis Avoir et être, je vs ai tant chéris Par votre absence, je suis désarmée. Passé, présent, ce sont les temps du participe Impératif, souffrir d’aimer, l’infinitif Amour, tendresse, partagés, lien sacré, Durant toutes ces années, ns ns sommes aimés. Combien la tendresse Canine, vaut la nôtre ! Vs et moi... vs et ns, mes amours/westies, en ayant conjugué A l’infini ce mot, nous l’avons énoncé, Je vs l'envoie "là haut" pour toutes ces années, Vers ce lieu pr moi, inconnu. Pour d'utopiques retrouvailles..... Pourtant, je ne demande qu'à y croire. |
left by seensouaree on 02/11/2015Vous pouvez dire n'importe quelle bêtises à un chien, il vous lancera un regard signifiant " mon Dieu vous avez raison je n'aurai jamais pensé à une telle chose ." Gros bisous sur ta jolie frimouse. Bonne semaine à ta maman avec toute mon amitié |
left by ovanek on 02/11/2015💖 💖 108 💖 💖 **** Vivre ailleurs **** On peut survivre encore s'il ne reste plus que l'amour d'accord On peut survivre encore ensemble, nous deux Et quand on vous écorche qu'on vous ôte l'épaule qui vous supporte On peut souffrir encore longtemps…. longtemps C'est quand on n'y croit plus que le ciel vous entends et pardonne Le temps a ses vertus en somme Et j'ai trouvé la lumière au plus profond de ses yeux J'ai pu quitter la terre ferme entre les ailes d'un Ange Et j'ai trouvé au moment où je n'avais plus d'espoir Ma religion dans son regard .... Le jour de mon départ Et on a beau se dire que ce ne sera jamais plus pareil qu'avant mais quand la force nous abandonne….lentement ….alors avance le temps Et apprendre à sourire sans trahir nos pensées. Nos désirs Essayez à nouveau de faire confiance dans ce nouveau monde Pour finalement s'ouvrir et saisir sa chance Ohm !! vivre encore…. mais vivre ailleurs. **** Petit mot du jardin étoilé **** 💖 |
left by colombine67 on 02/11/2015Savoir attendre Sans vouloir tout comprendre, Savoir hurler Sans pour autant se résigner, Savoir pleurer Sans pour cela désespérer. Essayer d’avancer Pour ne pas retomber, Essayer d’oublier Pour ne pas se noyer, Essayer d’espérer Pour ne pas se révolter. Laisser couler son cœur Comme s’ouvre une fleur, Laisser sortir son âme Comme s’élève une flamme, Laisser renaître la vie Comme pousse l’épi. Regarder l’horizon Pour une autre ascension, Attendre un navire Pour un nouvel avenir, Guetter l’Espérance Pour une autre naissance. Elisabeth Lafont |
left by lili2248 on 01/11/2015Mon chien ***** À mes côtés tu te tiens Toute ta vie durant Remplis de fidélité et d’amour Que je ne mérite pas Mais si tu savais comme je t’aime mon ami Tu me consoles de mes peines Et me soignes de mes maladies Tu poses ton doux regard sur moi Pour une caresse Car Pauvre ou riche Beau ou laid Heureux ou triste Tu m’aimes comme je suis Tu portes en toi tout l’amour du monde Toujours là pour moi Toi mon compagnon, et mon meilleur ami Tu es dans mon cœur pour la vie Car le paradis n’existe pas sans toi à mes côtés Mon chien |
left by rafia on 01/11/2015Toussaint Bouquet blanc dans le cimetière, Rose rouge dans les oeillets blancs, Bouquet d'amour taché de sang. Rose rouge, ou poignard vibrant, Enfant tombeau, Maman de pierre, Petit berceau de marbre blanc. Rose rouge, mon coeur, griffant, Larmes cachées, séchées au vent, Bouquet blanc dans le cimetière, Rouge baiser Sur masque blanc. Jacques Prévost , |
left by mindy on 01/11/2015Nos absents nous accompagnent de Yves Duteil Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ? Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents. |
left by colombine67 on 01/11/2015 Nos absents nous accompagnent de Yves Duteil Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ? Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents. |
left by rafia on 31/10/2015Quelques lignes, sans prétention, afin d'honorer, en nostalgique jour de TOUSSAINT, la mémoire de nos anges canins, félins et...autres, adorés. Petits anges, Si loin de nos coeurs Vs devez avoir peur. Peur d'être oubliés Et de n'être plus jamais aimés. Mais comment chasser de notre coeur Vos facéties, ces tendres bonheurs Que vs ns avez donnés, Tout au long de votre courte vie Et à chacun de nos câlins ??? Petits anges partis Mais restant à jamais dans nos vies, Chaque jours décomptés Ns aident à ns rapprocher. Faut-il y croire ??? Ou bien est-ce une légende ??? Alors, si loin de vs, La vie devient floue..... Pr ns rassurer, Faites-ns un petit signe, pr apaiser notre peine. Le temps passe vite, mais l'amour que ns avons pour vs Restera à jamais gravé, Dans nos coeur et dans nos pensées Pour mes Amours/Westies, mais aussi pour tous les Anges leurs AMIS/AMIES, et leur chère famille. Avec toute mon amitié. Maryem, votre amie..qui ne vs oublie pas. |
left by poutounou on 31/10/2015Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges…. * Une ombre qui passe... * Toute de noir vêtue et sa canne à la main, Elle avance à pas lents dans la petite allée En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée Qu'elle va déposer juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son âge? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le départ a causé son tourment. La douleur a creusé les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetière, Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'année où chacun se souvient Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête. * Présence inopportune où sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme à son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidèle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quitté la place. |
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