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En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
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6972 messages
Déposé par ovanek le 24/05/2014Chaque soir avant de t’endormir regarde à la fenêtre et toutes les étoiles que tu verras sont les milliers de papouilles que je t'envoie !!! ***** |
Déposé par myriam31 le 24/05/2014Ces quelques lignes de la part de votre petit ange, pour fêter la fête des mères, pour une maman formidable et aimante. Il ne lui manquait que la parole pour vous adresser ce petit message de tendresse. "En l'honneur de la fête des mères, une maman que je connais bien mérite d'être tout particulièrement célébrée. C'est certainement la plus douce, la plus aimante des mamans qui existent au monde. Et puis, par chance, il se trouve que c'est la mienne ! Bonne fête à ma maman chérie." Bien amicalement |
Déposé par poutounou le 24/05/2014CHANSON DES ESCARGOTS QUI VONT A L'ENTERREMENT A l'enterrement d'une feuille morte Deux escargots s'en vont Ils ont la coquille noire Du crêpe autour des cornes Ils s'en vont dans le soir Un très beau soir d'automne Hélas quand ils arrivent C'est déjà le printemps Les feuilles qui étaient mortes Sont toutes ressuscitées Et les deux escargots Sont très désappointés Mais voilà le soleil Le soleil qui leur dit Prenez, prenez la peine La peine de vous asseoir Prenez un verre de bière Si le coeur vous en dit Prenez si ça vous plaît L'autocar pour Paris Il partira ce soir Vous verrez du pays Mais ne prenez pas le deuil C'est moi qui vous le dis Ça noircit le blanc de l’œil Et puis ça enlaidit Les histoires de cercueil C'est triste et pas joli Reprenez vos couleurs Les couleurs de la vie Alors toutes les bêtes Les arbres et les plantes Se mettent à chanter A chanter à tue-tête La vraie chanson vivante La chanson de l'été Et tout le monde de boire Tout le monde de trinquer C'est un très joli soir Un joli soir d'été Et les deux escargots S'en retournent chez eux Ils s'en vont très émus Ils s'en vont très heureux Comme ils ont beaucoup bu Ils titubent un p'tit peu Mais là-haut dans le ciel La lune veille sur eux. Jacques Prévert |
Déposé par monkillou le 24/05/2014L’amitié est comme un arc-en-ciel... Rouge est comme une pomme, tendre jusqu’au noyau... Orange, comme une flamme qui ne s’éteint pas... Jaune, comme le soleil qui éclaire votre journée... Vert, comme les plantes qui ne cessent de grandir... Bleu, comme l’eau si pure... Violet, comme une fleur prête à éclore... Indigo, comme un rêve qui meuble votre coeur... ****** Merci pour cette jolie citation et excellent week-end à vous sans oublier votre beau et regretté Rubens, qui reste à l'abri et bien au chaud dans le fond de votre coeur... Câlins aussi pour Iron! Amitiés! |
Déposé par viana67 le 24/05/2014Pour fêter sa maman chérie, votre ange vous envoie ce petit message d’amour : « J'ai de toi une image Qui ne vit qu'en mon cœur. Là, tes traits sont si purs Que tu n'as aucun âge. Là, tu peux me parler Sans remuer les lèvres, Tu peux me regarder Sans ouvrir les paupières. Et lorsque le malheur M'attend sur le chemin, Je le sais par ton cœur Qui bat contre le mien. » Maurice Carême (1899 - 1976) Bonne fête des mères |
Déposé par rafia le 23/05/2014« Va la chercher! » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : « Va la chercher! » LISA FITTERMAN Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées. Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace. Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd. Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller. Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris. Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là. « On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. » Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté. « Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. » Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? » Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé. « Les filles sont à l’eau ! — Dans une mare ? — Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. » Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête. Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette. « De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté. Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre. Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même. Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge. L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés. Que faire ? La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente. Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ? « Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. » Le chien est leur dernière chance. « Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse. Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait. « Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! » Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon. « Tiens bon, dit-il. Tiens bon. » Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil. Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer. « C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra. Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge. « Maman, j’ai failli mourir. » Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue. Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle. |
Déposé par CHIPIE66 le 23/05/2014Nous préparons notre avenir mais rarement notre voyage pour l'éternité. Ce qui est tout a fait compréhensible me direz-vous. Nous y réfléchissons bien sûr mais intérieurement nous pensons, Que le plus tard sera le mieux et pourtant, Nous savons qu'un moment donné cet instant arrivera. Nous ne pourrons y échapper car celui-ci sera furtif et imprévu. Pourquoi écrire sur ce sujet et bien... En peu de temps j'ai eu près de moi des personnes proches Qui sont parties pour ce voyage inédit. Ceci est loin d'être facile car cette situation comporte de la souffrance. Leurs yeux se sont fermés pour l'éternité et une autre destination. Elles sont hors de notre portée et, Ce qui est douloureux c'est de ne pas savoir où elles sont. Et paradoxalement nous avons des témoignages qui nous disent, Qu'elles sont juste de l'autre côté de la route Alors vous me direz, c'est facile à dire mais difficile à imaginer. Nous savons que notre voyage terrestre est temporaire. Que nous sommes ici bas pour une raison bien précise. Nous sommes là pour grandir et évoluer. Nous ne pouvons imaginer justement que ce voyage s'arrêtera complètement sans rien après. C'est impossible et ceci n'aurait aucun sens. Je vais vous dire comment je vois ce voyage intemporel. Pour ma part moi qui crois aux anges depuis mon enfance. Je sais que je les retrouverai comme tous ceux que j'ai aimé inconditionnellement. Pour moi c'est une destination vers l'amour empreinte de douceur et de tendresse infinie. Evidemment quand une personne proche quitte le plan terrestre. La souffrance est immense car nous ne la verrons plus. Son absence physique nous manquera beaucoup. Et pourtant notre énergie Divine la rejoindra à travers les rêves que nous ferons. La musique que nous écouterons nous la rappellera. Elle sera là d'une autre façon. Ce que les yeux ne voient pas le coeur peut le ressentir. Elles nous rejoindrons à travers notre âme. C'est ainsi que nous commencerons notre voyage. Tout simplement en imaginant que nos proches sont juste de l'autre côté de la route. Avant de partir faire ce voyage pour l'éternité. Faisons de celui-ci un voyage extraordinaire. Qu'il soit fait d'amour et des plus beaux sentiments qui existent. Et le moment venu nous serons prêt pour ce voyage vers l'éternité. Mais le plus tard possible... ************ Caresses à RUBENS .... Prenez bien soin de vous. Amitié. *********** |
Déposé par rafia le 22/05/2014Publié par Alpharococo in Chiens Tags11 septembre 2001, héros canin Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité. Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson. 11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve. |
Déposé par monkillou le 22/05/2014Ah si j'étais! Si j'étais un papillon et TOI une fleur, Je passerai ma vie à butiner ton coeur! Si j'étais un ange gardien, Ce serait le tien... Si j'étais un oiseau et que je savais voler, Je viendrai sur ton front y déposer un baiser! Si j'étais un son, Ce serait celui de nos coeurs à l'unisson... Si j'étais plus près de toi, Nul doute que je te chérirai plus d'une fois! Et même si je suis loin de toi, mon plus grand malheur, N'oublie pas ce que l'on dit : loin des yeux près du coeur... ******** En retour ce poème pour votre Rubens et pour vous-même... Merci à vous, pour votre délicate attention et votre générosité! Caresses virtuelles à votre magnifique étoile et d'autres également à votre Iron (en espérant qu'il aille bien). Sincères amitiés |
Déposé par rafia le 21/05/2014Les golden retriever, héros du World Trade Center Bear, un golden retriever, s'est illustré après les attentats du 11 septembre 2001, accompagné de plus de 300 de ses congénères. Tout comme April Moon, une jolie golden retriever de deux ans, qui sauve Marie, non-voyante : Marie reçoit April Moon le jour-même des attentats ; son chien-guide la conduira à travers 51 étages. Le calvaire dure près d'une heure, et Marie sortira indemne du World Trade Center peu avant que ses bâtiments s'effondrent. Les autres races canines s'illustrent également : un doberman a retrouvé un enfant d'un an et demi qui s'était égaré en campagne lors d'un mariage dans un hôtel, un border collie a localisé un ouvrier au fond d'une tranchée de plusieurs mètres qui s'était effondrée, un berger allemand a retrouvé une victime suite à une explosion... La liste est longue et non exhaustive. Nombreux sont les animaux qui resteront anonymes en dépit d'une brillante carrière. De nombreux organismes leur rendent fréquemment hommage, soyez attentif ! |
Déposé par rafia le 20/05/2014L'amitié et l'ami La réelle amitié d'un ami est sacrée, Un merveilleux trésor qu'il faut protéger. On peut se passer de l'amour, Mais l'amitié il en faut toujours. À qui confier nos joies, nos chagrins ? Si ce n'est à un ami, tel un frangin. Il est agréable de se sentir indispensable, Quand lui vit des problèmes semblables. L'amitié c'est beau, mais tellement rare, Que la vie parfois ainsi nous sépare. On oubliera jamais le véritable ami, À qui on s'est confié sur sa vie. Mais on oubliera bien plus vite, Ces faux amis qui autour de nous gravitent. Maxalexis., ==================================================================================================== Pas encore familiarisé avec les messages joints aux bouquets. Je fais de mon mieux. Espérant que ce soit positif. Très respectueusement. Maël S-M |
Déposé par rafia le 19/05/2014Ecoute moi Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Accorde-moi seulement quelques instants, Accepte ce que je vis, ce que je sens, Sans réticence, sans jugement. Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Ne me bombarde pas de conseils et d'idées, Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés. Manquerais-tu de confiance en mes capacités ? Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser, Je croirais que tu ne comprends pas L'importance de ce que je vis en moi Écoute-moi, s"il te plaît, j'ai besoin de parler. Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas. Voudrais-tu que ta moralité Me fasse crouler de culpabilité ? Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler Ne te crois pas non plus obligé d'approuver Si j'ai besoin de me raconter C'est simplement pour être libéré Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser Je me sentirais incompris et manipulé Et je ne pourrais plus rien te communiquer Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Ne m'interromps pas pour me questionner, N'essaie pas de forcer mon domaine caché. Je sais jusqu'où je peux et veux aller Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler. Respecte les silences qui me font cheminer. Gardes-toi bien de les briser, C'est par eux bien souvent que je suis éclairé. Alors maintenant que tu m'as bien écouté Je t'en prie, tu peux parler Avec tendresse et disponibilité À mon tour, je t'écouterai Jacques Salomé , |
Déposé par bouffie le 19/05/2014pour toi gentil Rubens Mon ami mon chien, l'amitié sans toi, ce n'est rien, Mon ami mon chien, qui pourrait m'aimer aussi bien? Toi qui sais donner, et ne demander jamais rien C'est la première fois, tu sais, que tu me fais du chagrin Mon ami mon chien, pourquoi es tu mort ce matin? Je ne peux pas croire que je ne vais plus te revoir Toi et tes beaux yeux qui me comprenaient tellement bien C'est la première fois, tu sais, que tu me fais du chagrin A toi je pouvais tout dire Tu avais l'air de me sourire Tu as toujours veillé sur moi Comment vais-je vivre sans toi. Mon ami mon chien, l'amitié sans toi, ce n'est rien, Mon ami mon chien, qui pourrait m'aimer aussi bien? Non jamais jamais, je ne t'oublierai, crois-le bien Toi qui pour la première fois, tu sais, viens de me faire du chagrin., magnifique chanson de Chantal Kelly qu'importe comment ni quand ni où mais un jour ou l'autre c'est une évidence nos âmes seront à nouveau ensemble aamitiés |
Déposé par goulou50 le 19/05/2014Deux cœurs qui battaient à l'unisson c'était le tien, c’était le mien Le tien fatigué s'est arrête de battre et le mien a continué pour que ton souvenir perdure malgré la douleur... J'ai longé le gouffre qui s'ouvrait devant moi, sans y tomber pour continuer à dire ton nom malgré les larmes. Chaque jour est une bataille mais pour continuer à dire ton nom cette bataille je la gagnerais, chaque jour... Rubens...., |
Déposé par rafia le 18/05/2014Le vieux et son chien S'il était le plus laid De tous les chiens du monde, Je l'aimerais encore A cause de ses yeux. Si j'étais le plus laid De tous les vieux du monde, L'amour luirait encore Dans le fond de ses yeux. Et nous serions tous deux, Lui si laid, moi si vieux, Un peu moins seuls au monde A cause de ses yeux. Pierre Menanteau ( Ce que m'a dit l'alouette ) |
Déposé par elise2512 le 18/05/2014Nos Absents (Grand corps malade) ********************************* C´est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu´elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C´est ceux qu´on a aimés qui créent un vide presque tangible Car l´amour qu´on leur donnait est orphelin et cherche une cible Pour certains on le savait, on s´était préparé au pire Mais d´autres ont disparu d´un seul coup, sans prévenir On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord Car la mort a ses raisons que notre raison ignore Alors on s´est regroupé d´un réconfort utopiste À plusieurs on est plus fort mais on n´est pas moins triste C´est seul qu´on fait son deuil, car on est seul quand on ressent On apprivoise la douleur et la présence de nos absents Nos absents sont toujours là, à l´esprit, dans nos souvenirs Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n´était On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains On décide du chemin, on regarde l´avenir entre nos mains Et au cœur de l´action, dans nos victoires ou nos enfers On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant Je me suis bien renseigné, on n´en sortira pas vivant Il faut apprendre à l´accepter pour essayer de vieillir heureux Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers Moi, les morts, les disparus, je n´en parle pas beaucoup Alors j´écris sur eux, je titille mes sujets tabous Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous Qui fait qu´on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses C´est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu´elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C´est ceux qu´on a aimés qui créent un vide presque infini Qu´inspirent des textes premier degré Faut dire que la mort manque d´ironie |
Déposé par seensouaree le 16/05/2014La voix des animaux Demain je ne serais plus là Alors je profite de chaque instant Même si je commence à sentir les effets du réchauffement Demain je ne serais plus là Alors je chante pour la dernière fois Même si les humains ne m' écoutent pas Demain je ne serais plus là Alors j'admire ce monde éblouissant Même si je vois des machines détruire mon environnement Demain je ne serais plus là Alors je cours,je saute, je joue Même si je sens que cette joie me laisse un arrière goût Demain je ne serais plus là Alors je donne tout mon coeur à mes petits Même si je ne trouve plus de nourriture pour assurer leur survie Demain je ne serais plus là Alors je continue à vivre et espérer Même si j' ai de plus en plus de mal à respirer Demain je ne serais plus là Alors vous saurez que c' est bientôt votre tour Même si vous saviez déjà que ça arriverait un jour Voici le triste sort qui guette nos frères Et ça à cause de l' activité humaine... Prenons soin de notre planète et des animaux qui la peuplent, |
Déposé par Annie le 16/05/2014Bonjour Rubens Que vas-tu penser d'une maman qui n'a pas encore remercié pour les jolies histoires que ta maman nous offre ? J'espère que Chin et mes filles, qui en ont reçu chacun un exemplaire, ont eu l'occasion de te dire qu'ils les lisaient souvent le soir à la veillée. Je ne sais pas si maman Martine a lu le récit que Chin avait fait de sa mésaventure avec les tiques qui avaient aussi infesté ma petite Juliette. Je n'ai vu une telle invasion qu'une fois dans ma vie et je t'assure que c'était impressionnant. Pour mes chérinets heureusement il n'y a pas eu de conséquences comme pour ton pauvre petit frère et je me réjouis de le savoir sorti d'affaires. L'inauguration du cabanon n'a pas encore eu lieu, les travaux traînent un peu car Chin et ses amis qui l'aident veulent bien faire les choses et ils ne sont pas aussi grands et aussi costauds que toi mais ne t'inquiète pas tu recevras un petit bristol et j'espère que tu passeras un aussi bon moment que celui qu'ils ont passé dans la «salle du Paradis des Anges à quatre pattes» le jour de ton anniversaire. Bon week end Rubens, j'admire ta belle prestance tout comme ta générosité envers les amis de l'allée des Myosotis qui sont nés sous une mauvaise étoile. |
Déposé par ovanek le 15/05/2014***** Tu as pris ton envol….pour une nouvelle destination celle du paradis mais saches qu'on ne t'oubliera jamais ..... et qu'un jour on te reverras nos pensées pour toi sont gravées dans notre cœur à jamais. Si les oiseaux peuvent voler, nous on sait t'aimer. Si les oiseaux s'arrête de voler pour ce reposer, nous on ne sait pas s'arrêter de t'aimer. |
Déposé par poutounou le 14/05/2014Coucou mon cœur, il est déjà tard et je suis très fatiguée, mais je voulais te faire un petit coucou, Trésor. Ici bas tout va bien, à part cette grosse fatigue qui ne me quitte pas. Cette semaine, il faut encore que je tonde le gazon. L'herbe est déjà bien haute... J'espère que je vais y arriver. Je ferai tout pour, quitte à tondre sur 2 jours. Aujourd'hui, je suis allée au cimetière, rendre une petite visite à Norbert et à mémé. Demain j'irai voir Gaby. Sinon, Iron se porte bien. Depuis que je lui ai mis le super-collier et la super-pipette, je ne trouve plus de tiques. Mais je vais quand même le faire vacciner : trois précautions valent mieux que deux. Voilà mon doux Ange...Je t'embrasse fort. Je vais aller me jeter dans les bras de Morphée. J'adore Morphée....Bizzzzzzzzzzzz |
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