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En hommage à
Shanira
Il est né le:10/01/2012
Il nous a quittés le:01/10/2020
35 bougies
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4518 Fleurs
1099 messages
Déposé par spanky le 18/02/2023Un AMI sincère, Peut faire naître un sourire, Quand nous sommes abattus, Et que rien ne va plus... *** Un AMI sincère, Peut comprendre nos épreuves. Et, d'un simple regard (comme le vôtre...), Nous remettre en chemin. *** Un AMI sincère, Est fait pour partager... Nos rêves les plus secrets, Tout en demeurant "discret". *** Un AMI sincère, Vaut plus que de l'or, Car, au fond de son coeur, Il ne veut que notre bonheur. *** Cet ami est VOUS, nos fidèles et regrettés compagnons! Et plus que jamais, on ne changera d'avis... Vous nous faîtes pleurer que lorsque vous, vous apprêtez à nous quitter... Que du bonheur et de souvenirs inoubliables avec VOUS... On pense fort à vous... |
Déposé par poutounou le 15/02/2023Il est où le "chemin de clarté" ??? C'est peut-être le chemin du coeur !!! * Le veilleur solitaire * Il y a toujours dans la nuit de la ville une petite fenêtre qui brille très loin au bord du ciel une fenêtre au loin, une lampe qui brûle, un homme ou peut-être un enfant penché sur la page d'un livre où les mots brûlent et brillent. Et le cœur de l'homme ou de l'enfant brûle d'un sang plus vif, s'exalte, s'illumine. * Il y a toujours au bord du ciel un veilleur solitaire qui cherche dans la nuit son chemin de clarté. * Jean Joubert ("La maison du poète" - Pluie d'étoiles éditions, 1999) |
Déposé par spanky le 12/02/2023Quand je partirai…. Mon cher humain, depuis quelques temps, il se passe quelque chose qui ne va plus en moi, je souffre de plus en plus. Ma maladie semble incurable et de me voir ainsi te fait souffrir énormément. Je te vois si tourmenté car je n’ai plus la santé d’avant. Je sais que tu m’aimes à l’infini et que tu dois prendre une décision, hélas, tu me vois dépérir à petit feu et ton cœur est complètement brisé. Ce matin c’était trop lourd pour toi de me voir encore dans cet état. Après tout ce que tu as tenté pour moi, tu as décidé de prendre un autre rendez-vous. Cette fois-ci, le dernier. Nous nous sommes rendus dans cette grande maison qui reçoit plein d’animaux et une personne très gentille est venu nous accueillir, tu lui parlais de ma santé avec beaucoup d’inquiétude. Elle t’a dit quelque chose qui t’as beaucoup attristé. Tu n’avais d’autres choix que de t’en remettre à son avis. Avec ton accord, elle a pris soin de m’installer sur une table et de t’expliquer ce qu’elle allait faire tout en me caressant affectueusement. Ensuite, tout doucement elle a injecté quelque chose dans mon corps, en me chuchotant quelques petits mots tendres, j’avais peur mais le fait que tu sois près de moi me sécurisait. J’ai senti qu’il se passait quelque chose de bizarre dans mon corps. Tu me regardais avec des yeux remplis d’amour mais si tristes. Mon corps était comme tout engourdi. J’entendais ta douce voix me dire combien tu m’aimes. J’aurais voulu te le démontrer à mon tour par un petit signe mais mon corps était si mou qu’il ne pouvait bouger presque. Pourtant quelque chose de si paisible que longtemps je n’avais ressentie se passait en moi. Mes muscles se relâchaient, mes douleurs disparaissaient tout doucement. Je me sentais comme léger, collé à toi. Mon doux humain, j’aurais voulu te dire à quel point j’étais si bien pourtant, je reposais sous tes mains apaisantes, libéré de ma douleur. Un peu plus tard, la gentille personne est revenu pour m’injecter un autre produit, je n’avais plus peur, elle était attentive à chaque battement de mon cœur et à peine quelque secondes plus tard, elle fit un signe de la tête comme pour te dire ‘’ Ça y est ‘’ et tout doucement sans faire de bruit, elle a quittée la pièce, nous laissant seul toi et moi. Un grand silence envahi la pièce. Tu t’es collé à moi si fort, tu me disais plein de mots d’amour, tes larmes coulaient sur moi. Mon tendre humain. Tu es resté avec moi, tu n’as jamais tenté de me quitter, tu avais tellement de choses à me dire, de câlins à me donner comme pour te rattraper de toute une vie et un peu plus tard, le temps est venu pour toi de partir. Tu m’as embrassé sur le front en me répétant sans cesse tout l’amour que tu avais pour moi et tu es sorti de la pièce, inconsolable, regardant sans cesse derrière toi pour me voir une dernière fois . Mon tendre humain, je veux te dire, malgré que tu pleures et que ton cœur est si triste, mon âme est avec toi et pour toujours ! Même si tu ne me vois pas je suis toujours avec toi, ne t’inquiètes plus pour moi, je suis bien maintenant. Tu as été si merveilleux pour moi, comment puis-je te remercier de m’avoir donné tant d’amour, d’avoir toujours pris soin de moi et surtout de m’avoir accompagné jusqu’au dernier battement de mon cœur. Par amour pour moi malgré toi-même, tu m’as accompagné dans cette dernière étape de ma vie avec une des plus belles preuves d’amour qu’un humain puisse offrir à son animal quand il l’a aimé et pris soin de lui toute sa vie ! Je pars doucement là-haut, au pont de l’Arc-En-Ciel en apportant avec moi, nos plus beaux souvenirs. Je vais rejoindre de nouveaux amis ainsi que ceux que j’ai connu avec toi, qui sont partis trop tôt. Toutes ces âmes qui m’accueilleront dans cette nouvelle vie, me réclament maintenant. Certains attendent tout comme moi, l’âme de leurs humains qui viendra un jour les retrouver. Je ressentirai à distance, ton cœur et ton esprit. Tu croiras que nous sommes séparés mais je serai partout près de toi, c’est juste que tu ne me verras pas ! Tu auras juste à me parler dans ton cœur! Nous avons vécu tellement de beaux moments tous les deux. L’amour ne meurt pas, seul mon corps disparaîtra de ta vue mais mon âme sera toujours avec toi ! C’est dur à croire, je sais mais je suis maintenant passé dans un monde différent du tien et le tien qui était le mien ne voit pas ces choses là ! Quand ton heure arrivera, alors tu verras mes yeux au loin, mon corps qui se mettra à trembler, mes pattes qui se mettront à courir fougueusement au-dessus de l’herbe, pour rejoindre cette silhouette au loin, que je n’ai jamais oubliée, qui vient me chercher et dans tes bras grands ouverts, je sauterai et m’y blottirai pour toujours, alors ensemble nous traverserons '' Le Pont de L’Arc-en-Ciel '' Pour l’éternité !!! Je t’aime si fort mon humain, je t’attendrai ! Sébastien Touchette |
Déposé par poutounou le 12/02/2023Que c'est joli ! "Il faut savoir marier la mort avec la vie !". * Un jour de colère * Un jour de colère tu te gonfles comme un poisson-lune un jour de douceur ta bouche est en fleur Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier le soleil avec la pluie * Un jour de couleur l’enfer embrasse ton coeur mais un jour de miel comme tu es suave ! Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier Douleur avec Plaisir * Un de tes amis meurt tu es brisé de chagrin un enfant naît ton coeur est en fête Il ne faut pas espérer téter sans cesse le lait de la vie il faut savoir marier la Mort avec la Vie * Hector Poullet ("Paroles en l’air" , éditions Desormeaux, 1978) |
Déposé par spanky le 08/02/2023Non je ne suis pas seule, je suis avec mon chien et si quelque faquin à l'insolente allure se permet de prétendre qu'il ne me reste rien je suis prête à répondre à sa puérile injure. Pourquoi me faudrait il dire ton nom au passé ? Tu n'es jamais parti, tu montres le chemin celui qu'un jour ou l'autre il faut bien emprunter riche ou pauvre, laid ou beau, quelque soit le chagrin qu'on espère malgré soi susciter chez quelqu'un on suit la même route, personne ne va rester. Un jour je te promets nous allons nous revoir parcourir à nouveau la campagne au printemps celle que tu aimes tant, nous rentrerons très tard. Ton écuelle sera pleine, ce sera un festin pour nos fêtes secrètes qui brilleront au soir. Je ris d'imaginer les visages étonnés de ceux qui tout ce temps n'auront pas su me croire Bien sur tu es un chien et je suis un humain donc la vie écrivit pour chacun un destin Mais au premier instant, au tout premier regard nous sûmes du même instinct que nous ne ferions qu'un. Non tu n'es pas perdu, errant en ma mémoire Tu es à mes cotés et pour l'éternité. Et de tout mon Amour je ne cesse de t'aimer. |
Déposé par poutounou le 08/02/2023Soulagement * Quand je n'ai pas le coeur prêt à faire autre chose, Je sors et je m'en vais, l'âme triste et morose, Avec le pas distrait et lent que vous savez, Le front timidement penché vers les pavés, Promener ma douleur et mon mal solitaire Dans un endroit quelconque, au bord d'une rivière, Où je puisse enfin voir un beau soleil couchant. * O les rêves alors que je fais en marchant, Dans la tranquillité de cette solitude, Quand le calme revient avec la lassitude ! Je me sens mieux. * Je vais où me mène mon coeur. Et quelquefois aussi, je m'assieds tout rêveur, Longtemps, sans le savoir, et seul, dans la nuit brune, Je me surprends parfois à voir monter la lune. |
Déposé par choupinou le 05/02/2023" J'ai toujours ton coeur avec moi je le garde dans mon coeur sans lui je ne suis... Tu es mon monde, en vrai. C'est le secret profond que nul ne connaît C'est la racine de la racine, le bourgeon du bourgeon, et le ciel d'un arbre appelé Vie qui croît plus haut que l'âme ne saurait l'espérer ou l'esprit le cacher. C'est la merveille qui maintien les étoiles éparses Je garde ton coeur, je l'ai dans mon coeur... EDWARD ESTLIN CUMMINGS |
Déposé par poutounou le 05/02/2023« La tranquille habitude aux mains silencieuses panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures... » * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre, Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'étrange quiétude Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ; * Et du même toucher dont elle endort la peine, Du même frôlement délicat qui repasse Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage même Dont la présence était divine et meurtrière ; Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ; La source des regrets devient voilée et blême. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur éclat aux voluptés perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passé du présent, et les réconcilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changés en cicatrices ; * Et celui qui chérit sa sombre inquiétude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par spanky le 02/02/2023Coucou mon maître, Maintenant que ça fait un petit temps que j’ai passé le pont de l’arc-en-ciel, on m’a dit que ce serait bien que j’écrive une lettre à la maison. Navré d’avoir mis un moment à le faire, mais je suis tellement occupé ici que ça m’est sorti de la tête: on m’a dit que ce n’était pas grave et que vous comprendriez. J’espère que c’est vrai (mais je crois bien que oui). Vous vous rappelez la fois où je n’allais vraiment pas bien et où on pleurait tous? Je me rappelle que vous étiez tous autour de moi et que vous m’entouriez d’amour et de câlins. Vous m’avez dit que vous m’aimiez, et que je pouvais y aller, alors j’ai traversé le brouillard qui était en face de moi. Tout à coup, je suis tombé nez-à-nez avec un pont immense, et de l’autre côté, plein de copains qui m’attendaient pour jouer avec eux. Vous avez bien fait de me dire d’y aller! Même si mes pattes allaient de l’avant, mon coeur lui, continuait à me tirer en arrière. Progressivement, vos caresses se sont faites de plus en plus légères, et je voulais revenir sur mes pas pour vous dire de me serrer plus fort, mais ma curiosité l’a emporté et j’ai traversé le pont. Je vous ai cherchés de l’autre côté, parce que vous étiez toujours avec moi, mais c’était différent: je n’avais plus de collier ni de laisse pour me relier à vous. J’avais un peu peur, mais j’ai franchi le pont de l’arc-en-ciel et à l’arrivée, mes nouveaux copains à quatre pattes m’ont donné une paire d’ailes et m’ont dit que j’étais un ange gardien et que ma mission était de veiller sur mes humains. Vous me manquez atrocement, mais promis, je suis heureux ici. Chaque fois que je vous manquerai trop, pensez à un arc-en-ciel et dites-vous que je suis de l’autre côté, en train d’attendre sagement qu’on puisse à nouveau aller se promener ensemble. |
Déposé par poutounou le 01/02/2023Les caresses des yeux les plus douces, les plus pures, sont celles de nos merveilleux Anges... * Les caresses des yeux * Les caresses des yeux sont les plus adorables ; Elles apportent l'âme aux limites de l'être, Et livrent des secrets autrement ineffables, Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaître. * Les baisers les plus purs sont grossiers auprès d'elles ; Leur langage est plus fort que toutes les paroles ; Rien n'exprime que lui les choses immortelles Qui passent par instants dans nos êtres frivoles. * Lorsque l'âge a vieilli la bouche et le sourire Dont le pli lentement s'est comblé de tristesses, Elles gardent encor leur limpide tendresse ; * Faites pour consoler, enivrer et séduire, Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes ! Et quelle autre caresse a traversé des larmes ? * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par poutounou le 29/01/2023Mais non, ils sont toujours là : dans le vent, dans la pluie, dans les rayons du soleil… ! Il suffit d’écouter avec son cœur… * Sur le fil * Ma chair fissure Sous l’absence Les silences grignotent L’hier Les mots gercent Les lèvres De cette vie en barbelés Tu ne sens pas mon odeur Tu n’entends pas le son de ma voix Tu ne me vois pas Tu ne me touches pas Tu me laisses seule ici Tu oublies de me faire un signe Tu gommes mon sourire Tu me prives de toi, de nous… * Sandrine Davin |
Déposé par spanky le 28/01/2023Tes yeux sont là, Sans arrêt ils me fixent N'importe où que je sois Ce que je ne risque pas C'est de les oublier Mais qu'il fasse pluie ou soleil La météo de mon cœur dit que je t'aime et t'aimerais toujours Et quand j'ai sommeil Que je vais dormir Tes yeux de là-haut me regardent Sur moi ils viennent lire Le fond de mes pensées Au revoir, mon grand bonheur, au revoir mon petit chien Tout sur toi J'aime tout sur toi Tes yeux qui peuvent lire en moi La douceur de ton poil brillant Ta frimousse, qui me fait craquer à chaque fois Ton regard sur moi parfois Une sensibilité qu'on ne soupçonne pas Crois-moi, chacune d'elles restera gravée là La chaleur de tes câlins Faire glisser tes poils entre mes doigts Tout pour toi je fessais tout pour toi Et toi tu étais toujours là pour moi Même si toutes tes qualités ont ne les percevait pas Moi je les voyait, chaque jour je les ai vue Et je ne cesserai de les dire J'ai tellement besoin de toi Tu étais toujours là pour me redonner le sourire quand ça ne vas pas Toi et moi c'est pour la vie De ta truffe tu touchais mon visage Et dans ma main tu as glissé ta patte. |
Déposé par poutounou le 25/01/2023« Mon âme immortelle reviendra près de toi ». Elle est toujours à nos côtés leur belle âme … !!! * Rappelle toi * (Vergiss mein nicht) (Paroles faites sur la musique de Mozart) * Rappelle-toi, quand l’Aurore craintive Ouvre au Soleil son palais enchanté ; Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive Passe en rêvant sous son voile argenté ; Aux doux songes du soir lorsque l’ombre t’invite, Ecoute au fond des bois Murmurer une voix : Rappelle-toi. * Rappelle-toi, lorsque les destinées M’auront de toi pour jamais séparé, Quand le chagrin, l’exil et les années Auront flétri ce coeur désespéré ; Songe à mon triste amour, songe à l’adieu suprême ! L’absence ni le temps ne sont rien quand on aime. Tant que mon coeur battra, Toujours il te dira Rappelle-toi. * Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon coeur brisé pour toujours dormira ; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s’ouvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle Reviendra près de toi comme une soeur fidèle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gémit : Rappelle-toi. * Alfred de Musset |
Déposé par spanky le 23/01/2023Où es-tu mon ange ? L'océan se pose Sur le sable mouillé où se gravent mes pas. Alors la vague avance et rien ne s'oppose Aux larmes amères que je verse pour toi. Où es-tu mon ange ? C'est ta voix si menue Qui chante dans mon coeur le ressac du chagrin Qui me dit de venir là où je t'ai perdu Quand l'écume blanche emporte ton couffin Où es-tu mon ange ? Dans cette immensité Je te devine encore lorsque le jour succombe, Mais la vague qui éclate, brise le rocher Et mon château de sable ressemble à ta tombe. |
Déposé par poutounou le 22/01/2023C’est ça la vie : « un fil sur lequel nous dansons ou pleurons », c’est selon… !!! * Pôles * Quand l’une s’allume l’autre s’éteint la joie de la plume le poids du chagrin Entre ces deux sentiments un fil est tendu sur lequel funambules nous dansons ou pleurons La vie nous joue aux dés cubes du hasard tantôt épris de lumière tantôt hantés par le soleil noir Quand l’une s’allume l’autre s’éteint l’éclat de ma plume l’ombre de mon chagrin * Kamal Zerdoumi, 2019 |
Déposé par spanky le 21/01/2023Mon maître, Si tu prends la peine d'écouter dans le courant d'air de la maison, tu peux entendre ma voix qui te dit : « Ne sois pas triste, ne pleure plus mon départ, où je me trouve maintenant, je suis bien ». Entouré de l'amour de ceux qui m'ont précédée, je ne souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment, je me repose sans douleur, sans contrainte. Je te quitte, mais je reste dans ta mémoire, pense à moi souvent, mais ne soit pas attristée par mon absence, je serai partout avec toi, dans les moments de peine, comme dans les moments de joie. Dans les villes, dans les forêts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie te couvrira, tends les bras vers le ciel, je t'envelopperai de mes ailes pour te réchauffer de mon amour et chasser tous tes tracas. |
Déposé par poutounou le 18/01/2023Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! * Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
Déposé par spanky le 17/01/2023Le petit chien. Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. Madeleine Reynaud |
Déposé par poutounou le 15/01/2023Il arrive au Paradis...là où se trouvent nos Anges... * L'île des rêves * Il a mis le veston du père, Les chaussures de la maman Et le pantalon du grand frère Il nage dans ses vêtements. * Il nage, il nage à perdre haleine. Il croise des poissons volants, Des thons, des dauphins, des baleines... Que de monde, dans l'océan ! * Écume blanche et coquillages, Il nage depuis si longtemps Qu'il aborde enfin au rivage Du pays des rêves d'enfants (et d'animaux...). * Jacques Charpentreau |
Déposé par spanky le 13/01/2023Le petit chien de Madeleine Reynaud Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. |
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