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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
20 persons like this page |
In tribute to
Nudji
45 candles
13033 Flowers
left by choupinou voilĂ mon Nunu ,j'ai fait la page de Roucki ,il me manque plus qu'a taper son hommage il vous a retrouvĂ©,mamie sera contente left by Cyprien Coucou mon nunu comment vas-tu lĂ haut ? Tu sais Ă la maison je ne l'ai pas bien montrĂ© mais ton dĂ©part m'a beaucoup attristĂ©, tu me manque. Je t'aime mon Nudji left by zenelle . Lorsque deux nobles coeurs se sont aimĂ©s Leur amour est plus fort que la mort elle-mĂȘme Cueillons les souvenirs que nous avons semĂ©s Et l'absence aprĂšs tout n'est rien lorsque l'on s aime. left by bouffie MĂȘme sans toi, je ne serai plus jamais seule , puisque je sais que tu existes quelque part. Marc LĂ©vy doux bisous petit Nudji left by poutounou Vous m'offrez la citĂ©... je prĂ©fĂšre les bois, car je trouve, voyant les hommes que vous ĂȘtes, plus de coeur aux rochers, moins de bĂȘtise aux bĂȘtes. left by choupinou tu te rappelles toi aussi tu l'as vu naĂźtre,c'Ă©tait le fils de ma Polka,veille sur Roucky |
3792 messages
left by choupinou on 22/12/2015Des cadeaux par milliers, pour mon chien tant aimĂ©, de succulent gĂąteaux et de bonne saveur, pleins de fleurs et de douces senteurs lui offrir les plus belles roses, avec les plus jolies proses, dans cette merveilleuse journĂ©e, qui s'approche doucement pour mon aimĂ©; mon coeur est de soie, il ne bat que pour toi il te chante tout mon amour, mĂ©lodie si douce,emplie de larmes de velours a la lueur de la flamme d'une bougie, je nous voit pour un instant de nouveau rĂ©unis l'envie a jamais de t'aimer plus fort ,encore et encore, de te sentir contre moi,te serrer plus fort ton petit corps si chaud ,remplie d'amour, qui je sais,reste prĂšs de moi chaque jour; tu es tout la haut ce que j'ai de plus chĂšre aujourd'hui tu es lĂ prĂšs de moi ,tu es ma chair, oui tu es mon sapin de Noel ,sur mon chemin, tu es mon bĂ©guin,mon butin qui efface un moment mon chagrin car au dessus de ma tĂȘte ,brille mon Ă©toile elle est si belle ,elle te dĂ©voile tes yeux si doux,ce sont les boules qui scintillent dans mon coeur est et restera ton regard indĂ©lĂ©bile la guirlande qui m'entoure et ta chaleur, elle rĂ©chauffe mon Ăąme emplie de douleur... alors oui t'offrir ma vie,t'offrir mon coeur, t'offrir les plus belle roses,pour ma plus belle fleur, te donner mon amour,sans dĂ©tour a toi que j'aimerai pour toujours.... Une douce poĂ©sie en cette journĂ©e qui s'approche de Noel, notre histoire,notre joli et merveilleux cadeau, pour notre amour qui fĂ»t qui est si beau, il sera ,il est mon plus beau rĂȘve de Noel, de penser que tout peut recommencer, ou moi aussi je te rejoindrais pour l'Ă©ternitĂ©, revivre notre amour d'autrefois,penser a cet amour, qui continue et dure chaque jour, davantage,plus fort plus solide,soudĂ© pour toujours JOYEUX NOEL MON PETIT ANGE D'AMOUR, choupinou allias Babeth ta maman qui t'aime tant , |
left by colombine67 on 22/12/2015Les plus beaux cadeaux de Noël ne sont pas toujours sous le sapin. La famille, les amis, les petits compagnons à 4 pattes, sont des cadeaux du Ciel enveloppés d'amour... Joyeux Noël et Paix sur Terre! |
left by spanky on 21/12/2015Je te sais Ă mes cĂŽtĂ©s car je te sens me parler, je vois tous tes signes, j'entends tes messages et je ressens tout l'Amour que tu m'envoie encore. Tu m'illumines de ta LumiĂšre, me chauffe le coeur et continue de faire mon bonheur. Jamais je ne laisserai la mort dĂ©truire ce que la vie a fait de nous... des Amoureux fous. Nous nous l'Ă©tions jurĂ©, rien ne pouvait nous sĂ©parer. Merci mon ange d'ĂȘtre encore lĂ auprĂšs de moi et de veiller sur moi. |
left by colombine67 on 21/12/2015Il Ă©tait une fois une petite fille qui sâappelait Elsa et qui vivait avec sa mĂšre dans un village nommĂ© BethlĂ©em. Elles Ă©taient si pauvres quâelles habitaient une vieille cabane dans un champ dâoliviers laissĂ©s Ă lâabandon. Elles nâavaient pas de lit pour dormir, si peu dâhabits pour se vĂȘtir et Ă peine un peu de pain pour se nourrir. Elsa et sa mĂšre songeaient que le monde entier les avait abandonnĂ©es. Personne ne venait jusque lĂ , mais elles survivaient grĂące Ă la dĂ©brouillardise de la fillette qui trouvait toujours quelques figues, quelques champignons, quelques Ă©pis de blĂ© glanĂ©s çà et lĂ . Parfois, elle trouvait des olives sur les vieux arbres rabougris et courait alors les vendre au marchĂ© du village. Depuis quelques jours, BethlĂ©em Ă©tait en effervescence: CĂ©sar Auguste avait ordonnĂ© « un recensement du monde habitĂ© » et la ville ne dĂ©semplissait pas. Mais loin de cette agitation, Elsa sâaffairait Ă la recherche dâun peu de nourriture pour le repas. Tout Ă coup, au dĂ©tour du chemin, elle rencontra une vieille femme qui lui dit : - Sâil te plaĂźt petite fille, donne-moi quelque chose Ă manger, jâai si faim. Elsa qui avait un cĆur dâor lui donna aussitĂŽt le petit morceau de pain quâelle avait eu en Ă©change des quelques olives cueillies la veille. - Mille mercis, petite fille, lui dit la vieille femme. Sans toi, je serais morte de faim. Elsa poursuivit son chemin et arriva prĂšs dâune source cachĂ©e par des figuiers sauvages et de grosses pierres. Lâendroit Ă©tait calme et tranquille⊠Elsa remplit son panier avec les figues bien dorĂ©es puis se dĂ©saltĂ©ra avec lâeau fraĂźche de la source. Câest alors, quâelle entendit des petits gĂ©missements⊠Elle Ă©carta les feuilles du figuier et dĂ©couvrit deux enfants qui pleurnichaient. ApeurĂ©s, ils reculĂšrent et se tassĂšrent sous les buissons. "Nâayez pas peur petits! Je ne vous ferai pas de mal. Mais pourquoi pleurez-vous ainsi ? "NousâŠnousâŠnous sommes perdus", bĂ©gayĂšrent les enfants entre deux sanglots. "Mais oĂč habitez-vous?" "Oh, trĂšs loin dâici, rĂ©pondirent les enfants, mais nos parents sont Ă BethlĂ©em pour le recensement. Ils logent chez Sarah, la couturiĂšre." "Calmez-vous petits, je vais vous indiquer le chemin. Mais prenez ces figues, elles vous rĂ©conforteront." Et Elsa indiqua la route aux enfants puis reprit son chemin dans les collines de BethlĂ©em. DĂ©jĂ , le pĂąle soleil dâhiver se couchait. Elle se mit alors Ă ramasser des brindilles pour le feu, car les nuits sont parfois trĂšs froides sous le ciel de Palestine et on avait du mal Ă colmater les trous dans les murs de la pauvre cabane ! Alors quâelle sâapprĂȘtait Ă rentrer, Elsa entendit une faible voix qui appelait. Elle vit alors un vieillard tout grelottant, Ă©tendu sur le chemin. AussitĂŽt, Elsa le couvrit avec son chĂąle et s'inquiĂ©ta: "Mais que faites-vous lĂ , par terre, Ă cette heure?" "Ah petite! Il y a longtemps que je suis Ă©tendu ici⊠JâĂ©tais venu chercher du bois pour allumer le feu alors que le soleil Ă©tait encore haut. Mais voilĂ , je suis tombĂ© et je nâarrive pas Ă me relever tant ma jambe me fait mal." "Attendez, je vais vous soigner!" Elsa avait justement un peu de plantain avec elle. Elle couvrit la plaie du vieillard et lui fit un solide bandage avec le morceau de drap qui traĂźnait dans sa poche. Elle aida alors lâhomme Ă se relever et lâaida Ă rejoindre sa petite maison, dans le bois, derriĂšre la colline. LĂ , elle fit un bon feu avec les brindilles quâelle avait ramassĂ©es afin de rĂ©chauffer le vieil homme. "Oh, merci, chĂšre petite!" sâexclama le vieillard. "Tu as vraiment un cĆur dâor! Dieu te le revaudra, jâen suis sĂ»r!" Maintenant, il faisait nuit. Elsa se hĂąta de rejoindre sa mĂšre qui devait sâinquiĂ©ter. Certes, elle nâavait plus de fruits Ă manger, ni de chĂąle pour se rĂ©chauffer, mais elle se sentait si heureuse dâavoir rendu service. MalgrĂ© le froid de la nuit, rĂ©gnait une douce chaleur au fond de son cĆur. Mais bientĂŽt Elsa se retrouva seule, perdue dans ce bois quâelle ne connaissait pas⊠Elle tĂątonnait dans le noir, essayant de repĂ©rer les collines quâelle parcourait chaque jour, lorsquâelle entendit une voix qui murmurait: - Toi qui nâavais rien, tu as tout partagĂ©. Toi qui te sentais abandonnĂ©e, tu as soulagĂ© les autres⊠Suis maintenant le chemin des Ă©toiles et garde confiance! Câest alors quâune multitude dâĂ©toiles Ă©clairĂšrent la route dâElsa. Elles formaient un chemin et brillaient de plus en plus pour guider les pas de lâenfant. Elsa croyait rĂȘver tant le chemin Ă©tait illuminĂ©. Câest alors quâelle aperçut un ĂȘtre tout aurĂ©olĂ© de lumiĂšre qui sâapprocha et lui dit : "Nâaie pas peur, petite fille! Dieu a vu ton cĆur dâor et câest toi quâil a choisie pour mâaccompagner et annoncer la joyeuse nouvelle du Sauveur Ă tous ceux qui sont pauvres et rejetĂ©sâŠ" Un Sauveur⊠Elsa ne comprenait pas, mais elle suivit lâange, pressentant que quelque chose dâextraordinaire allait se passer. Ils arrivĂšrent bientĂŽt prĂšs dâun grand champ oĂč des bergers passaient la nuit avec leurs troupeaux. Une lumiĂšre Ă©blouissante les enveloppa soudain. RĂ©veillĂ©s en sursaut et effrayĂ©s, ils voulaient s'enfuir. Le messager leur dit alors : "Nâayez pas peur! Câest une bonne nouvelle que je viens vous annoncer, une grande joie pour tout le peuple : aujourdâhui, un Sauveur est nĂ© pour vous, câest lui le Messie que vous attendez. Allez le voir! Vous le reconnaĂźtrez Ă ce signe : le nouveau-nĂ© est couchĂ© dans une mangeoire". A nouveau les Ă©toiles semblaient former un chemin comme pour indiquer la route⊠Les bergers suivirent alors lâenfant qui dĂ©jĂ avait pris le chemin des Ă©toiles. Et quand celles-ci sâarrĂȘtĂšrent au-dessus dâune vieille cabane, Elsa nâen crut pas ses yeux⊠CâĂ©tait dans sa pauvre masure que JĂ©sus, le Sauveur, le Messie, avait trouvĂ© un abri. Une Ă©toile scintillante enveloppait maintenant toute la petite cabane dâune immense clartĂ©. Un enfant y Ă©tait couchĂ© dans la paille dâune mangeoire, comme lâange lâavait dit. Elsa sentit un immense bonheur lâenvahir et une grande paix emplir son cĆur. Alors, tombant Ă genoux, elle se mit Ă prier. Et lâenfant lui sourit. Alors, tous ceux qui Ă©taient lĂ avec elle, les bergers et tous ceux qui sâĂ©taient approchĂ©s, tous sentirent aussi ce grand bonheur dans leur cĆur et une lumiĂšre nouvelle se rĂ©pandit tout autour dâeux. Et la terre entiĂšre sut que cette nuit-lĂ un Sauveur Ă©tait venu ouvrir aux hommes le chemin de la paix et du bonheur. |
left by bouffie on 20/12/2015Les chiens, par leur innocence et leur amour si pur si doux et inconditionnel, ont une maniĂšre de se lover dans notre cĆur et d'y faire leur marque lĂ oĂč nous avons souvent trop peur d'y laisser entrer quiconque. Ce petit compagnon parvient a toucher notre Ăąme au plus profond, et nous montre alors un aperçu de l'amour qui dĂ©passe tout ce que nous ne rencontrerons jamais. Un tel amour ne peut qu'ĂȘtre Ă©ternel. En cette pĂ©riode de cĂ©lĂ©bration de l'amour je vous souhaite de tout cĆur de trĂšs heureuses et joyeuses fĂȘtes dans l'espĂ©rance d'un monde meilleur pour tous les peuples et les animaux. amitiĂ© et mille tendresses pour tous vos adorables anges |
left by colombine67 on 20/12/2015Le NoĂ«l du chien et du chat Il Ă©tait une fois un fermier qui adorait la chasse et il avait achetĂ© un chien pour l'emmener chasser avec lui. L'ennui - car il y avait un gros ennui - c'est que ce chien-lĂ , justement, n'aimait pas courir aprĂšs les lapins, ni lever les perdreaux. Son plaisir Ă lui Ă©tait de dĂ©terrer les rats et de les manger, tout chauds, bien juteux, avec leur fourrure. Il partait sagement avec son maĂźtre, mais au premier trou de rat qu'il rencontrait, il s'arrĂȘtait, il reniflait et se mettait Ă gratter, gratter, gratter,et le fermier avait beau le rappeler, il ne le rejoignait qu'aprĂšs avoir croquĂ© son rat. Alors, le fermier criait trĂšs fort, il le traitait de chien tĂȘtu et dĂ©sobĂ©issant, de bon Ă rien et il lui tirait les oreilles. Ca faisait trĂšs mal. Le chien pleurait. Mais dĂšs qu'il retrouvait un trou de rat, il se remettait Ă gratter, c'Ă©tait plus fort que lui . Un dimanche aprĂšs-midi, le chien avait quittĂ© son maĂźtre Ă l'entrĂ©e d'un champ et il avait passĂ© des heures Ă chercher les rats dans les prĂ©s. Il revenait pas trop rassurĂ© car il s'attendait Ă ĂȘtre puni, mais ç'a Ă©tĂ© bien pire que ce qu'il imaginait. Le fermier Ă©tait hors de lui. Il s'est prĂ©cipitĂ© et l'a rouĂ© de coups. Et pour finir, il a criĂ©: - Et si tu recommences, sale animal, je te dĂ©chargerai mon fusil dans la tĂȘte ! Le chien a filĂ© en rasant la terre et s'est rĂ©fugiĂ© dans le tas de paille du hangar. Le chat, qui Ă©tait couchĂ© dans la brouette, a ouvert un oeil: - Mon pauvre vieux! Tu as reçu une belle correction! - Et ce n'est pas tout, a dit le chien. Il veut me tuer! - Il le fera, a dit le chat. Si tu restes, il le fera. C'est un homme au coeur dur. Il faut t'en aller, et vite ! - M'en aller! OĂč veux-tu que j'aille? a demandĂ© le chien. - Dans la ForĂȘt Profonde! a rĂ©pondu le chat. Tu y trouveras de quoi te nourrir et t'abriter.D'ailleurs, j'irai avec toi. Tu es mon ami. Nous partirons Ă la nuit tombĂ©e. AussitĂŽt que la porte et les volets de la maison ont Ă©tĂ© fermĂ©s, ils se sont donc mis en route. Le chien avait mal partout, mais il a marchĂ©. .Une nuit aprĂšs l'autre, ils ont marchĂ© - marche, marche, la route est large - et un matin, voilĂ qu'ils Ă©taient arrivĂ©s dans la ForĂȘt Profonde. Ils ont continuĂ© encore une journĂ©e, sans se presser et, dans un amas de roches prĂšs d'un ruisseau, ils ont dĂ©couvert une grotte large et spacieuse, tout Ă fait ce qu'il leur fallait comme maison.. Ils s'y sont installĂ©s. A partir de ce jour, le chien et le chat ont vĂ©cu dans la forĂȘt, tranquilles, presque heureux. Presque! Et le temps a passĂ©. Cela faisait plus de deux ans, maintenant, qu'ils habitaient lĂ et bientĂŽt ce serait NoĂ«l. Le chat rĂ©flĂ©chissait Ă ce qu'il allait demander au PĂšre NoĂ«l.Il hĂ©sitait entre un rĂŽti de dindonneau et quelques boĂźtes de pĂątĂ©e. Au fait, savez-vous comment les chiens et les chats font leur commande au PĂšre NoĂ«l? Ils aboient ou ils miaulent Ă la lune, et c'est elle qui fait la commission. - Moi, a dit le chien, je n'ose pas te dire ce que je voudrais... - Qu'est-ce que c'est ? a demandĂ© le chat, qui Ă©tait curieux. Oh! s'il te plaĂźt! dis-le! dis-le! - Eh bien! a dit le chien, je voudrais...je voudrais une petite fille! Le chat a Ă©tĂ© tellement surpris qu'il est tombĂ© de la branche sur laquelle il se reposait. - Une petite fille! Et qu'est-ce que tu ferais d'une petite fille ? - Je la promĂšnerais, a dit le chien. Je lui lĂšcherais les mains et la figure. Je dormirais prĂšs d'elle. Peut-ĂȘtre elle nous caresserait - Pour la loger, ça irait encore, a dit le chat, mais c'est pour la nourrir...Comment la nourrirais-tu ? - Je lui attraperais des rats ! a dit le chien. - Des rats! Des rats! s'est Ă©criĂ© le chat .Ah ! on voit bien que tu ne connais pas les petites filles ! Elle ne voudrait jamais manger de rats! MĂȘme si tu leur enlevais la peau ! - Tu crois ? a demandĂ© le chien. Alors, tu pourrais lui prendre des oiseaux ! - Mais c'est dĂ©licat, une petite fille! Elle les voudrait cuits, ses oiseaux ! Comment les ferais-tu cuire ? - Peut-ĂȘtre elle s'habituerait Ă les manger crus, a dit le chien. Le chat a rĂ©flĂ©chi, puis il a rĂ©pondu: - Non ! Non, elle ne s'habituerait pas ! Je suis dĂ©solĂ© de te le dire, mais ton idĂ©e est saugrenue ! On pouvait faire confiance Ă ce que pensait le chat. Il connaissait bien les choses du monde et de la vie. C'Ă©tait un sage. Le chien n'a pas insistĂ©. Il est allĂ© se coucher dans la grotte pour dormir et oublier. Le soir, il est sorti aboyer Ă la lune: -Lune, tu peux dire au PĂšre NoĂ«l de ne pas se dĂ©ranger pour moi ! Puisque je ne peux pas avoir une pe(ite fille, je n'ai vraiment envie de rien. Puis il est retournĂ© dans la grotte endormir sa tristesse. Et un beau jour, on a Ă©tĂ© la veille de NoĂ«l. Il n'y avait pas de neige, cette annĂ©e-lĂ . Il faisait trĂšs beau, trĂšs doux. Si on avait bien Ă©coutĂ©, on aurait entendu, dans la terre, les violettes en train de se rĂ©veiller. Le chien et le chat ont dĂ©cidĂ© d'aller faire une promenade. Ils ont marchĂ© longtemps, jusqu'Ă une partie de la forĂȘt qu'ils ne connaissaient pas encore. Et tout Ă coup, au dĂ©tour d'un sentier, la surprise les a clouĂ©s au sol. - Vois-tu la mĂȘme chose que moi ? a demandĂ© le chat. - Je vois une petite fille ! a murmurĂ© le chien. Elle est juste comme je la voulais! - Il y a aussi une grand-mĂšre! a ajoutĂ© le chat. Tu sais, les grands-mĂšres, c'est trĂšs gentil ! Ca mange tout le temps du chocolat, et ça nous en donne ! Elles cueillaient du houx, toutes les deux. La grand- mĂšre a dit: - Nous en avons assez. Ce n'est pas la peine d'aller plus loin. - Oh! grand -mĂšre, regarde! s'est Ă©criĂ© la petite fille. Un chien et un chat! Le chien a remuĂ© la queue, le chat a fait le gros dos et comme la grand-mĂšre et la petite fille s'en retournaient, ils les ont suivies. De temps en temps, la petite fille regardait en arriĂšre et disait d'un air ravi: " Ils nous suivent"! Ils sont arrivĂ©s Ă une clairiĂšre oĂč se dressait une jolie maison. Un grand-pĂšre travaillait dans le jardin. La petite-fille ,a criĂ©: - Grand-pĂšre ! nous avons ramenĂ© un chien et un chat! C'est sĂ»rement le PĂšre NoĂ«l qui nous les envoie! Il ne pouvait tout de mĂȘme pas les mettre dans une boĂźte! La grand-mĂšre est entrĂ©e dans la maison et elle en est ressortie avec deux bols de lait, un pour le chien, un pour le chat. Depuis qu'ils Ă©taient dans la forĂȘt, ils avaient oubliĂ© le goĂ»t du lait.C'Ă©tait bon ! Ils n'en finissaient pas de se lĂ©cher les babines ! Le grand-pĂšre a dit: - Bonnes bĂȘtes, si vous avez une maison et des maĂźtres qui vous attendent, il faut repartir, maintenant. Mais si vous n'en avez pas, venez avec nous et npous vous garderons. Le chien et le chat n'ont pas attendu qu'il rĂ©pĂšte l'invitation, ils sont entrĂ©s. Ils croyaient rĂȘver. On leur a cherchĂ© un tapis. La petite fille les caressait. On les regardait Ă tout instant. Le grand-pĂšre disait: - Je suis content. Il nous fallait absolument un chien, pour prendre la suite de notre vieux CĂ©sar, qui est reparti au pays de l'avant et de l'aprĂšs. - Et un chat! disait la grand-mĂšre, nous avions grand besoin d'un chat ! Les souris mangent toutes nos pommes. La petite fille rĂ©pĂ©tait pour la dixiĂšme fois que ça lui Ă©tait bien Ă©gal si le PĂšre NoĂ«l n'apportait pas de trottinette, cette nuit ! Qu'elle Ă©tait bien assez gĂątĂ©e avec un chien et un chat! La cuisine a Ă©tĂ© pleine de bonnes odeurs. Au dĂźner, ils se sont rĂ©galĂ©s de choses dĂ©licieuses. Et pour finir, ils ont eu le droit de coucher dans la chambre de la petite fille. Quand elle a Ă©tĂ© endormie, le chat a dit tout doucement au chien: - Tout de mĂȘme ! on peut dire que le pĂšre NoĂ«l fait bien les choses ! Il te l'a apportĂ©e, ta petite fille et il s'est arrangĂ© pour que nous n'ayons pas le souci de la nourrir ! - Oui ! a dit le chien d'une voix extasiĂ©e. Et - tu as remarquĂ© ? - il nous a choisi ce qu'il y a de mieux comme petite fille. Comme grands-parents aussi, je dois dire ! - Oh ! j'avais remarquĂ© a dit le chat, dont les yeux commençaient Ă se fermer. Et cette nuit-lĂ , au-dessus de la maison, le ciel Ă©tait plein d'Ă©toiles. Et dans la maison, il y avait un grand-pĂšre, une grand-mĂšre, une petite fille, un chien et un chat dont le coeur aussi, Ă©tait plein d'Ă©toiles. |
left by poutounou on 19/12/2015Pauvre mouche ! Mais câest tellement bon la crĂšmeâŠ.. * La mouche et la crĂšme * Une mouche voyant une jatte de crĂšme S'Ă©cria: "Quelle chance ! Ah ! que cela me plait ! Ă dĂ©lice ! Ă bonheur extrĂȘme ! Des oeufs frais, du sucre et du lait, Un tendre arĂŽme de vanille ; Rien ne met plus de douceur en mon coeur." Elle volette, elle frĂ©tille, Elle s'approche, elle gambille, Sur le rebord Et c'est alors que sur la faĂŻence trop lisse, La mouche glisse Et succombe dans les dĂ©lices De cette crĂšme couleur d'or. Parfois, les choses que l'on aime Sont des dangers. Il n'est pas toujours sĂ»r que l'on puisse nager Dans la meilleure des crĂšmes. * Pierre Gamarra |
left by colombine67 on 19/12/2015Un beau matin ensoleillĂ©, une dame est venue me voir ; moi, mes frĂšres et sĆurs, et mes parents. Elle me prend dans ses bras et on part dans une « boĂźte qui roule ». Je suis tout seul, il nây a plus ma maman, mes frĂšres et sĆurs. Jâai peur. Il y a du bruit et des odeurs que je ne connais pas. Je sens dĂ©jĂ un terrible manque. La « boĂźte qui roule » sâarrĂȘte. On entre dans une maison. A lâintĂ©rieur, il y a des humains (je crois quâon les appelle comme ça) qui discutent. Ca sent bon, il y a plein de lumiĂšres qui brillent, et des boĂźtes colorĂ©es partout. Deux petits dâhommes se jettent sur moi pour me prendre dans leurs bras. Ils crient ! Ils tapent dans leurs mains ! Je tremble, je remue la queue, je baisse les oreilles, la tĂȘte, dĂ©tourne le regard pour leur dire « stop, doucement, je ne suis pas tranquille ». Bizarre ces humains, ils ne comprennent pas⊠Pourtant mes frĂšres et sĆurs comprenaient eux. Je passe de bras en bras, on me couvre de caresses, de bisous. Moi, jâaimerais juste que ça sâarrĂȘte, quâon me laisse tranquille; jâai peur. Je sens quelque chose de chaud couler; ça fait du bien ! Tout Ă coup, lâenfant qui me prenait dans ses bras se met Ă hurler et moi, je reçois une tape sur le cul. Bizarre, quand lâenfant pleure, on me met une tape et les humains ne semblent pas contents. Maintenant, quand un enfant pleurera, jâaurai peur. Quelques instants plus tard, un monsieur me prend dans ses bras et me met dehors. Il fait froid, je suis tout seul dans cette grande Ă©tendue verte que je ne connais pas. Jâaboie plaintivement pour signifier mon inconfort. Personne, personne pour me rassurer. Je reste lĂ un bon moment Ă regarder le ciel et lâherbe qui bouge. Jâai froid. Enfin quelquâun sort et me passe un truc autour du cou avec une ficelle. Quâest-ce que câest ? Je tire, je ne peux pas partir. On mâappelle, alors jâavance, mais je ne comprends pas. Jâai peur. Je me retrouve pour la deuxiĂšme fois de la journĂ©e dans cette drĂŽle de « boĂźte qui roule ». Jâai peur, je couine, une dame me caresse : jâai donc raison dâavoir peur. La boĂźte sâarrĂȘte et je me retrouve par terre sur un sol jaune⊠Quâest-ce que câest ? Jâapprendrai plus tard quâil sâagit de sable. Et lĂ , on va marcher, marcher⊠Je ne peux pas sentir le sol, un enfant tire sur la ficelle pour que je cours. Enfin, quelquâun me prend dans les bras. Je retourne dans ce truc qui roule et on arrive dans ce qui est ma nouvelle maison. Un peu plus tard, quelquâun vient me donner Ă manger. Il Ă©tait temps : jâai faim, je suis fatiguĂ©. Câest bon, mais ce nâest pas ce quâon me donnait avant avec mes frĂšres et sĆurs. Les humains partent. On me laisse enfin dormir. Les bruits, les lumiĂšres sâĂ©teignent; je me retrouve tout seul. Jâai peur, jâaboie, personne ne vient, je me sens seul. Je couine une bonne partie de la nuit, jusquâĂ ce que finalement Ă©puisĂ© et solitaire, je mâendorme. Pour les humains, câĂ©tait NoĂ«l, jour de joie et de fĂȘte. Pour moi, le chien de NoĂ«l, mes plus beaux cadeaux auraient Ă©tĂ© : calme, tolĂ©rance et comprĂ©hension⊠Auteur : Audrey Watrigant |
left by Biscuit on 19/12/2015Que la magie de NoĂ«l transforme votre foyer en un havre de paix, oĂč rĂšgnent bonheur et gaietĂ© ! Je vous souhaite un excellent NoĂ«l, rempli dâamour et dâamitiĂ©. |
left by colombine67 on 18/12/2015Le NoĂ«l de Chien Perdu  Il  faisait trĂšs froid, ce soir-lĂ . Dans les maisons, les enfants Ă©taient contents : cette nuit, le PĂšre NoĂ«l allait leur apporter des jouets. C'est dommage, il n'y a pas de PĂšre NoĂ«l pour s'occuper des animaux, et cette nuit, comme les autres nuits, Chien Perdu allait avoir trĂšs froid. Il marchait le long de la route, sans savoir oĂč aller. Soudain, il aperçut une maison. Chien Perdu s'approcha et, sans faire de bruit, se glissa dans le garage. A peine Ă©tait-il entrĂ© que quelqu'un vint fermer la porte, sans voir le chien cachĂ© derriĂšre la voiture. Chien Perdu Ă©tait content car il n'avait plus froid. Il se coucha pour dormir, mais, au bout d'un moment, de dĂ©licieuses odeurs vinrent lui chatouiller les narines. Il ne put s'empĂȘcher de venir renifler sous la porte qui conduisait Ă la cuisine : lĂ , tout prĂšs de lui, derriĂšre la porte, on parlait, on riait, on mangeait. Chien Perdu aurait bien voulu faire partie de la fĂȘte, mais il savait qu'on ne voudrait pas de lui. Tristement, il revint se coucher derriĂšre la voiture et essaya d'oublier qu'il avait trĂšs faim. Au bout d'un trĂšs long moment, Chien Perdu se rendit compte qu'il n'entendait plus de bruit. Il vint Ă©couter prĂšs de la porte : non, vraiment, il n'y avait plus personne. Alors il se dressa sur ses pattes de derriĂšre, appuya les pattes de devant sur la poignĂ©e de la porte, et entra dans la cuisine. Les habitants de la maison devaient ĂȘtre bien fatiguĂ©s : ils Ă©taient partis se coucher sans rien ranger. Sur la table, ils avaient laissĂ© des assiettes avec des restes de dinde, des restes de bĂ»che. Chien Perdu n'hĂ©sita pas : il posa les deux pattes sur la table et, Ă grands coups de langue, il nettoya les assiettes ! Mais, tout Ă coup, crac ! Il fait tomber une assiette qui se casse en mille morceaux avec un bruit terrible. Pourvu qu'il n'ait rĂ©veillĂ© personne ! Il Ă©coute, il Ă©coute... et il entend des pas. Son cĆur se met Ă battre trĂšs fort : quelqu'un arrive, quelqu'un va le battre parce qu'il est entrĂ© sans permission et va le chasser dans la nuit froide. La lumiĂšre s'allume : un petit garçon regarde Chien Perdu et Chien Perdu regarde le petit garçon. - J'ai entendu du bruit, dit le petit garçon, j'ai cru que c'Ă©tait le PĂšre NoĂ«l, et c'Ă©tait toi ! Comment es-tu entrĂ© ? Tu es venu avec le PĂšre NoĂ«l ? Le petit garçon va dans le salon et Chien Perdu se dĂ©pĂȘche de le suivre. LĂ , au pied du sapin, il y a plein de cadeaux. - Je ne sais pas si tu es venu avec le PĂšre NoĂ«l ou si tu es venu tout seul, lui dit le petit garçon en le caressant, mais je voudrais bien te garder. J'ai une idĂ©e, couche-toi lĂ , au milieu des cadeaux, et sois sage ! Le lendemain, le petit garçon se rĂ©veilla de bonne heure et vint frapper Ă la porte de ses parents. Ils auraient bien voulu dormir encore, mais il les embĂȘta tellement qu'ils se levĂšrent. Ils descendirent tous ensemble au salon et virent Chien Perdu couchĂ© sous le sapin, au milieu des cadeaux. - D'oĂč sort ce chien ? s'Ă©cria le papa. - J'espĂšre qu'il n'a pas de puces ! s'exclama la maman. - Oh ! qu'il est beau ! s'Ă©cria le petit garçon. C'est un cadeau du PĂšre NoĂ«l ! Les parents voulurent chasser Chien Perdu, mais il les regarda d'un air si doux, si gentil qu'ils n'osĂšrent pas. Et puis, c'Ă©tait un cadeau du PĂšre NoĂ«l, et il ne faut jamais contrarier le PĂšre NoĂ«l. C'est ainsi qu'une nuit de NoĂ«l, Chien Perdu retrouva une famille. |
left by colombine67 on 17/12/2015Nâattendons pas un sourire pour ĂȘtre gentil⊠Nâattendons pas dâĂȘtre aimĂ© pour aimer⊠Nâattendons pas dâĂȘtre seul pour reconnaĂźtre la valeur dâun ami⊠Nâattendons pas le meilleur emploi pour commencer Ă travailler⊠Nâattendons pas dâavoir beaucoup pour partager un peu⊠Nâattendons pas lâĂ©chec pour nous rappeler un conseil⊠Nâattendons pas la douleur pour croire Ă la priĂšre⊠Nâattendons pas dâavoir le temps pour rendre service⊠Nâattendons pas la peine de lâautre pour nous excuser, ni la sĂ©paration pour nous rĂ©concilier⊠Non, nâattendons pas, parce que comme nous ne savons pas combien de temps il nous reste Ă vivre⊠nous pourrions passer Ă cĂŽtĂ© de beaucoup de choses !!! |
left by Ana on 16/12/2015Menu de réveillon de Noël Cocktail de joie et de tendresse Velouté d'amitié et tartine de santé Filet d'amour à la sauce douce Bûche d'harmonie et mignardises 100%tendresse Que la sérénité de Noël soit un heureux prélude à l'année nouvelle, Amitiés, pensées pour nos anges. |
left by ovanek on 16/12/2015đ đ 81 đ đ Mes PensĂ©es pour Toi resterons gravĂ©es pour Toujours *** PensĂ©e ...Phil *** đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ đ |
left by choupinou on 16/12/2015Le sapin de noĂ«l (ou le petit sapin sous la neige) Le petit sapin sous la neige RĂȘvait aux beaux Ă©tĂ©s fleuris. Bel Ă©tĂ© quand te reverrai-je ? Soupirait-il sous le ciel gris. Dis moi quand reviendra lâĂ©tĂ© ! Demandait-il au vent qui vente Mais le vent sans jamais parler Sâenfuyait avec la tourmente. Vint Ă passer sur le chemin Un gaillard Ă grandes moustaches Hop lĂ ! en deux coups de sa hache, A coupĂ© le petit sapin. Il ne reverra plus lâĂ©tĂ© , Le petit sapin des montagnes, Il ne verra plus la gentiane, LâanĂ©mone et le foin coupĂ©. Mais on lâa parĂ© de bougies, SaupoudrĂ© de neiges dâargent. Des clochettes de fĂ©erie Pendent Ă ses beaux rameaux blancs. Le petit sapin de noĂ«l Ne regrette plus sa clairiĂšre Car il rĂȘve quâil est au ciel Tout vĂȘtu dâor et de lumiĂšre. Pernette ChaponniĂšre pour toi mon NUDJI j'espĂšre qu'il en ai de mĂȘme la haut dans ton jardin ou tu vis dĂ©sormĂ© ,vĂȘtu d'or et de lumiĂšre,d'amour et de joie,de friandises ,de jouets,entourait de tous tes ami(e)s, |
left by colombine67 on 16/12/2015 Lorsque les bergers s'en furent allĂ©s et que la quiĂ©tude fut revenue, l'enfant de la crĂšche leva sa tĂȘte et regarda vers la porte entrebĂąillĂ©e. Un jeune garçon timide se tenait lĂ ... tremblant et apeurĂ©. - Approche, lui dit JĂ©sus. Pourquoi as-tu si peur ? - Je n'ose... je n'ai rien Ă te donner, rĂ©pondit le garçon. - J'aimerais tant que tu me fasses un cadeau, dit le nouveau-nĂ©. Le petit Ă©tranger rougit de honte. - Je n'ai vraiment rien... rien ne m'appartient ; si j'avais quelque chose, je te l'offrirais... regarde. Et en fouillant dans les poches de son pantalon rapiĂ©cĂ©, il retira une vieille lame de couteau rouillĂ©e qu'il avait trouvĂ©e. - C'est tout ce que j'ai, si tu la veux, je te la donne. - Non, rĂ©torqua JĂ©sus, garde-la. Je voudrais tout autre chose de toi. J'aimerais que tu me fasses trois cadeaux. - Je veux bien, dit l'enfant, mais que puis-je pour toi ? - Offre-moi le dernier de tes dessins. Le garçon, tout embarrassĂ©, rougit. Il s'approcha de la crĂšche et, pour empĂȘcher Marie et Joseph de l'entendre, il chuchota dans l'oreille de l'enfant JĂ©sus : - Je ne peux pas... mon dessin est trop moche... personne ne veut le regarder ! - Justement, dit l'enfant dans la crĂšche, c'est pour cela que je le veux... Tu dois toujours m'offrir ce que les autres rejettent et ce qui ne leur plaĂźt pas en toi. Ensuite, poursuivit le nouveau-nĂ©, je voudrais que tu me donnes ton assiette. - Mais je l'ai cassĂ©e ce matin ! bĂ©gaya le garçon. - C'est pour cela que je la veux... Tu dois toujours m'offrir ce qui est brisĂ© dans ta vie, je veux le recoller... Et maintenant, insista JĂ©sus, rĂ©pĂšte-moi la rĂ©ponse que tu as donnĂ©e Ă tes parents quand ils t'ont demandĂ© comment tu avais cassĂ© ton assiette... Le visage du garçon s'assombrit, il baissa la tĂȘte honteusement et, tristement, il murmura : - Je leur ai menti... J'ai dit que l'assiette m'avait glissĂ© des mains par inadvertance ; mais ce n'Ă©tait pas vrai... J'Ă©tais en colĂšre et j'ai poussĂ© furieusement mon assiette de la table, elle est tombĂ©e sur le carrelage et elle s'est brisĂ©e ! - C'est ce que je voulais t'entendre dire ! dit JĂ©sus. Donne-moi toujours ce qu'il y a de mĂ©chant dans ta vie, tes mensonges, tes calomnies, tes lĂąchetĂ©s et tes cruautĂ©s. Je veux t'en dĂ©charger... Tu n'en as pas besoin... Je veux te rendre heureux et sache que je te pardonnerai toujours tes fautes. Et en l'embrassant pour le remercier de ces trois cadeaux, JĂ©sus ajouta : - Maintenant que tu connais le chemin de mon Coeur, j'aimerais tant que tu viennes me voir tous les jours... Anonyme |
left by poutounou on 15/12/2015Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bienâŠ.. * DES PETITS RIENS * Les petits riens qui font les grands moments Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps Les atomes de vie qu'on attrape en rĂȘvant * Ces petits riens ont tous quelque chose Quelque chose en commun qui nous mĂ©tamorphose Ces Ă©clairs de vie qui courent entre les choses * Saurions-nous les retrouver ? Voudrais-tu les partager ? Ces moments de vĂ©ritĂ© * Les petits dĂ©tails qui ne paient pas de mine Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent Un souffle entre les mots, un rire qui culmine * Ces petits riens qui font nos grands moments Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps Et plus on les dĂ©sire, plus on les attend. * Boris |
left by Biscuit on 15/12/2015Je me souviens de toi Au jour du sans lendemain J'ai gardé le souvenir de mes mains Qui te pressais tout contre moi Tu ne disais mot, pourtant je t'écoutais Seul le silence, se faisait entendre Mes larmes perlées, nos ùmes s'entretenaient La tristesse de ce moment, se faisait comprendre Tu me disais, de ne pas en vouloir à Dame Nature Que je devais poursuivre mon chemin Et que tu serais toujours là pour l'aventure Qu'il n'y aurait pas de sans lendemain Tu parcourais déjà les étoiles Que mes entrailles hurlaient encore Mon visage portait le voile La souffrance, le vide, emplissaient mon corps La souffrance ne m'a pas quittée Mais le vide s'est apaisé Dans mon coeur, tu es resté Sans jamais pouvoir, te caresser..., |
left by colombine67 on 15/12/2015Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons rĂ©chauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fĂȘte, Nous nous croirons encor de jeunes amoureux, Et je te sourirai tout en branlant la tĂȘte, Et nous ferons un couple adorable de vieux ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs. Sur le banc familier, tout verdĂątre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer ; Nous aurons une joie attendrie et trĂšs douce, La phrase finissant souvent par un baiser. Combien de fois jadis j'ai pu dire : « Je t'aime ! » Alors, avec grand soin, nous le recompterons ; Nous nous ressouviendrons de mille choses, mĂȘme De petits riens exquis dont nous radoterons. Un rayon descendra, d'une caresse douce, Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser, Quand, sur notre vieux banc tout verdĂątre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer. Et, comme chaque jour je t'aime davantage - Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain -, Qu'importeront alors les rides du visage, Si les mĂȘmes rosiers parfument le chemin. Songe Ă tous les printemps qui dans nos coeurs s'entassent, Mes souvenirs Ă moi seront aussi les tiens, Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens ; C'est vrai, nous serons vieux, trĂšs vieux, faiblis par l'Ăąge. Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main, Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage : Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain ! Et de ce cher amour qui passe comme un rĂȘve Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur, Retenir, s'il se peut, l'impression trop brĂšve, Pour la ressavourer plus tard avec lenteur ; J'enferme ce qui vient de lui comme un avare, ThĂ©saurisant avec ardeur pour mes vieux jours ; Je serai riche alors d'une tristesse rare, J'aurai gardĂ© tout l'or de mes jeunes amours ; Ainsi, de ce passĂ© de bonheur qui s'achĂšve, Ma mĂ©moire parfois me rendra la douceur, Et de ce cher amour qui passe comme un rĂȘve J'aurai tout conservĂ© dans le fond de mon coeur. Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons rĂ©chauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fĂȘte, Nous nous croirons encore aux heureux jours d'antan, Et je te sourirai tout en branlant la tĂȘte, Et tu me parleras d'amour en chevrotant ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans... Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs ! Rosemonde GĂ©rard |
left by colombine67 on 14/12/2015Dans quinze jours Nous fĂȘterons la douce nuit. La nuit synonyme d'amour Celle oĂč l'unique Ă©toile luit.  Certains partiront en voyage Et d'autres resteront chez eux On donnera comme des sages Des cadeaux aux enfants heureux.  Moi je voudrais que dans vos coeurs Quoi que vous fassiez ce jour lĂ RĂšgnent la joie et le bonheur Et donc je vous envoie pour ça :  Une pluie de feuilles dorĂ©es Portant dans leur douces nervures A chaque fois mon plus beau souhait : Qu'en vous le bel amour perdure.  Que vos yeux ne voient que le beau Que votre coeur s'ouvre un peu plus Il faut chanter toujours plus haut De cette vie soyez goulus !  Aimez à travers et Ă tort Aimez sans cesse comme des fous Quoi qu'il arrive aimez encore Il n'y a vraiment rien de plus doux  Je vous laisse en compagnie De votre esprit de votre coeur Car c'est avec eux aujourd'hui Que vous devez croire au bonheur  Et je vous envoie pour finir Tous mes souhaits et tous mes soupirs De joie, de rire et de dĂ©sir De vous voir cette nuit sourire. |
left by viana67 on 13/12/2015Petit mot d'un ange pour sa maman : ... Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon coeur brisé pour toujours dormira ; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s'ouvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon ùme immortelle Reviendra prÚs de toi comme une soeur fidÚle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gémit : Rappelle-toi. Alfred de Musset |
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