En hommage à

DJEDAI du Moulin de LABATUT
2008 / 2022


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En hommage à
DJEDAI du Moulin de LABATUT
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:12/09/2008
Il nous a quittés le:03/05/2022

Mon fils chéri.

Je n'ai jamais su écrire des poèmes, ce qui décevait beaucoup votre Maman Adorée.

Cependant ELLE connaissait ce profond sentiment d'AMOUR que j'ai dans le coeur, pour ELLE, et pour Niagara, Paramour, Rafia, Punky et Rock qui sont devenues/s tes soeurs et frères (bien que Niagara, tu ne l'aies pas connue) et TOI, mon fils chéri tu le sais aussi.

Tu as le même affixe que tes soeurs et frères car tu as été acheté, au même élevage.
Je me souviens que Tom m'avait laissé choisir parmi les chiots qui nous étaient présentés. J'ai bien choisi ! Tu étais LE PLUS BEAU et la vieillesse n'a eu AUCUN impact, sur TOI.
Comme elles et eux, ta généalogie, côté paternel et maternel est PRESTIGIEUSE, constituée de C. H. I. B.
Cependant tu as eu un "plus" sur eux tous, tu avais une EXCEPTIONNELLE BONTE. JAMAIS tu n'as aboyé et encore moins grogné, si ce n'est quelques discrets jappements et dans tes rêves !

Avec toi, je me raccrochais à la vie, tellement éprouvé par le DEUIL. J'ai appris que l'on ne fait JAMAIS le Deuil de l'ETRE que l'on a profondément aimé.

Avec Toi, mon fils chéri, j'avais appris à exister avec mes précieux souvenirs. Tu étais là, près de moi, et tu m'aidais, chaque jour à SURVIVRE. Tu es parti, je n'ai plus RIEN !Cette fois, je ne suis plus RIEN !




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Un bouquet que j'ai rempli de tendresse et de doux baisers
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1078 messages

Déposé par rustiditbibi le 15/04/2023  
Les deux pigeons - Jean de la Fontaine🌹🌹🌹🌈🌹🌹🌹🌹🌹
Deux Pigeons s'aimaient d'amour tendre.
L'un d'eux s'ennuyant au logis
Fut assez fou pour entreprendre
Un voyage en lointain pays.
L'autre lui dit : Qu'allez-vous faire ?
Voulez-vous quitter votre frère ?
L'absence est le plus grand des maux :
Non pas pour vous, cruel. Au moins, que les travaux,
Les dangers, les soins du voyage,
Changent un peu votre courage.
Encor si la saison s'avançait davantage !
Attendez les zéphyrs. Qui vous presse ? Un corbeau
Tout à l'heure annonçait malheur à quelque oiseau.
Je ne songerai plus que rencontre funeste,
Que Faucons, que réseaux. Hélas, dirai-je, il pleut :
Mon frère a-t-il tout ce qu'il veut,
Bon soupé, bon gîte, et le reste ?
Ce discours ébranla le cœur
De notre imprudent voyageur ;
Mais le désir de voir et l'humeur inquiète
L'emportèrent enfin. Il dit : Ne pleurez point :
Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite ;
Je reviendrai dans peu conter de point en point
Mes aventures à mon frère.
Je le désennuierai : quiconque ne voit guère
N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint
Vous sera d'un plaisir extrême.
Je dirai : J'étais là ; telle chose m'avint ;
Vous y croirez être vous-même.
À ces mots en pleurant ils se dirent adieu.
Le voyageur s'éloigne ; et voilà qu'un nuage
L'oblige de chercher retraite en quelque lieu.
Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage
Maltraita le Pigeon en dépit du feuillage.
L'air devenu serein, il part tout morfondu,
Sèche du mieux qu'il peut son corps chargé de pluie,
Dans un champ à l'écart voit du blé répandu,
Voit un pigeon auprès ; cela lui donne envie :
Il y vole, il est pris : ce blé couvrait d'un las,
Les menteurs et traîtres appas.
Le las était usé ! si bien que de son aile,
De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin.
Quelque plume y périt ; et le pis du destin
Fut qu'un certain Vautour à la serre cruelle
Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle
Et les morceaux du las qui l'avait attrapé,
Semblait un forçat échappé.
Le vautour s'en allait le lier, quand des nues
Fond à son tour un Aigle aux ailes étendues.
Le Pigeon profita du conflit des voleurs,
S'envola, s'abattit auprès d'une masure,
Crut, pour ce coup, que ses malheurs
Finiraient par cette aventure ;
Mais un fripon d'enfant, cet âge est sans pitié,
Prit sa fronde et, du coup, tua plus d'à moitié
La volatile malheureuse,
Qui, maudissant sa curiosité,
Traînant l'aile et tirant le pié,
Demi-morte et demi-boiteuse,
Droit au logis s'en retourna.
Que bien, que mal, elle arriva
Sans autre aventure fâcheuse.
Voilà nos gens rejoints ; et je laisse à juger
De combien de plaisirs ils payèrent leurs peines.
Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ?
Que ce soit aux rives prochaines ;
Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau,
Toujours divers, toujours nouveau ;
Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste ;
J'ai quelquefois aimé ! je n'aurais pas alors
Contre le Louvre et ses trésors,
Contre le firmament et sa voûte céleste,
Changé les bois, changé les lieux
Honorés par les pas, éclairés par les yeux
De l'aimable et jeune Bergère
Pour qui, sous le fils de Cythère,
Je servis, engagé par mes premiers serments.
Hélas ! quand reviendront de semblables moments ?
Faut-il que tant d'objets si doux et si charmants
Me laissent vivre au gré de mon âme inquiète ?
Ah ! si mon cœur osait encor se renflammer !
Ne sentirai-je plus de charme qui m'arrête ?
Ai-je passé le temps d'aimer ?🌹🌹🌹🌹🌈🌹🌹🌹🌹

Déposé par rustiditbibi le 15/04/2023  
Les deux pigeons - Jean de la Fontaine🌹🌹🌹🌈🌹🌹🌹🌹🌹
Deux Pigeons s'aimaient d'amour tendre.
L'un d'eux s'ennuyant au logis
Fut assez fou pour entreprendre
Un voyage en lointain pays.
L'autre lui dit : Qu'allez-vous faire ?
Voulez-vous quitter votre frère ?
L'absence est le plus grand des maux :
Non pas pour vous, cruel. Au moins, que les travaux,
Les dangers, les soins du voyage,
Changent un peu votre courage.
Encor si la saison s'avançait davantage !
Attendez les zéphyrs. Qui vous presse ? Un corbeau
Tout à l'heure annonçait malheur à quelque oiseau.
Je ne songerai plus que rencontre funeste,
Que Faucons, que réseaux. Hélas, dirai-je, il pleut :
Mon frère a-t-il tout ce qu'il veut,
Bon soupé, bon gîte, et le reste ?
Ce discours ébranla le cœur
De notre imprudent voyageur ;
Mais le désir de voir et l'humeur inquiète
L'emportèrent enfin. Il dit : Ne pleurez point :
Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite ;
Je reviendrai dans peu conter de point en point
Mes aventures à mon frère.
Je le désennuierai : quiconque ne voit guère
N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint
Vous sera d'un plaisir extrême.
Je dirai : J'étais là ; telle chose m'avint ;
Vous y croirez être vous-même.
À ces mots en pleurant ils se dirent adieu.
Le voyageur s'éloigne ; et voilà qu'un nuage
L'oblige de chercher retraite en quelque lieu.
Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage
Maltraita le Pigeon en dépit du feuillage.
L'air devenu serein, il part tout morfondu,
Sèche du mieux qu'il peut son corps chargé de pluie,
Dans un champ à l'écart voit du blé répandu,
Voit un pigeon auprès ; cela lui donne envie :
Il y vole, il est pris : ce blé couvrait d'un las,
Les menteurs et traîtres appas.
Le las était usé ! si bien que de son aile,
De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin.
Quelque plume y périt ; et le pis du destin
Fut qu'un certain Vautour à la serre cruelle
Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle
Et les morceaux du las qui l'avait attrapé,
Semblait un forçat échappé.
Le vautour s'en allait le lier, quand des nues
Fond à son tour un Aigle aux ailes étendues.
Le Pigeon profita du conflit des voleurs,
S'envola, s'abattit auprès d'une masure,
Crut, pour ce coup, que ses malheurs
Finiraient par cette aventure ;
Mais un fripon d'enfant, cet âge est sans pitié,
Prit sa fronde et, du coup, tua plus d'à moitié
La volatile malheureuse,
Qui, maudissant sa curiosité,
Traînant l'aile et tirant le pié,
Demi-morte et demi-boiteuse,
Droit au logis s'en retourna.
Que bien, que mal, elle arriva
Sans autre aventure fâcheuse.
Voilà nos gens rejoints ; et je laisse à juger
De combien de plaisirs ils payèrent leurs peines.
Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ?
Que ce soit aux rives prochaines ;
Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau,
Toujours divers, toujours nouveau ;
Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste ;
J'ai quelquefois aimé ! je n'aurais pas alors
Contre le Louvre et ses trésors,
Contre le firmament et sa voûte céleste,
Changé les bois, changé les lieux
Honorés par les pas, éclairés par les yeux
De l'aimable et jeune Bergère
Pour qui, sous le fils de Cythère,
Je servis, engagé par mes premiers serments.
Hélas ! quand reviendront de semblables moments ?
Faut-il que tant d'objets si doux et si charmants
Me laissent vivre au gré de mon âme inquiète ?
Ah ! si mon cœur osait encor se renflammer !
Ne sentirai-je plus de charme qui m'arrête ?
Ai-je passé le temps d'aimer ?🌹🌹🌹🌹🌈🌹🌹🌹🌹

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Deux Pigeons s'aimaient d'amour tendre.
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L'absence est le plus grand des maux :
Non pas pour vous, cruel. Au moins, que les travaux,
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Changent un peu votre courage.
Encor si la saison s'avançait davantage !
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Je ne songerai plus que rencontre funeste,
Que Faucons, que réseaux. Hélas, dirai-je, il pleut :
Mon frère a-t-il tout ce qu'il veut,
Bon soupé, bon gîte, et le reste ?
Ce discours ébranla le cœur
De notre imprudent voyageur ;
Mais le désir de voir et l'humeur inquiète
L'emportèrent enfin. Il dit : Ne pleurez point :
Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite ;
Je reviendrai dans peu conter de point en point
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Je le désennuierai : quiconque ne voit guère
N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint
Vous sera d'un plaisir extrême.
Je dirai : J'étais là ; telle chose m'avint ;
Vous y croirez être vous-même.
À ces mots en pleurant ils se dirent adieu.
Le voyageur s'éloigne ; et voilà qu'un nuage
L'oblige de chercher retraite en quelque lieu.
Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage
Maltraita le Pigeon en dépit du feuillage.
L'air devenu serein, il part tout morfondu,
Sèche du mieux qu'il peut son corps chargé de pluie,
Dans un champ à l'écart voit du blé répandu,
Voit un pigeon auprès ; cela lui donne envie :
Il y vole, il est pris : ce blé couvrait d'un las,
Les menteurs et traîtres appas.
Le las était usé ! si bien que de son aile,
De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin.
Quelque plume y périt ; et le pis du destin
Fut qu'un certain Vautour à la serre cruelle
Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle
Et les morceaux du las qui l'avait attrapé,
Semblait un forçat échappé.
Le vautour s'en allait le lier, quand des nues
Fond à son tour un Aigle aux ailes étendues.
Le Pigeon profita du conflit des voleurs,
S'envola, s'abattit auprès d'une masure,
Crut, pour ce coup, que ses malheurs
Finiraient par cette aventure ;
Mais un fripon d'enfant, cet âge est sans pitié,
Prit sa fronde et, du coup, tua plus d'à moitié
La volatile malheureuse,
Qui, maudissant sa curiosité,
Traînant l'aile et tirant le pié,
Demi-morte et demi-boiteuse,
Droit au logis s'en retourna.
Que bien, que mal, elle arriva
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Voilà nos gens rejoints ; et je laisse à juger
De combien de plaisirs ils payèrent leurs peines.
Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ?
Que ce soit aux rives prochaines ;
Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau,
Toujours divers, toujours nouveau ;
Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste ;
J'ai quelquefois aimé ! je n'aurais pas alors
Contre le Louvre et ses trésors,
Contre le firmament et sa voûte céleste,
Changé les bois, changé les lieux
Honorés par les pas, éclairés par les yeux
De l'aimable et jeune Bergère
Pour qui, sous le fils de Cythère,
Je servis, engagé par mes premiers serments.
Hélas ! quand reviendront de semblables moments ?
Faut-il que tant d'objets si doux et si charmants
Me laissent vivre au gré de mon âme inquiète ?
Ah ! si mon cœur osait encor se renflammer !
Ne sentirai-je plus de charme qui m'arrête ?
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L'absence est le plus grand des maux :
Non pas pour vous, cruel. Au moins, que les travaux,
Les dangers, les soins du voyage,
Changent un peu votre courage.
Encor si la saison s'avançait davantage !
Attendez les zéphyrs. Qui vous presse ? Un corbeau
Tout à l'heure annonçait malheur à quelque oiseau.
Je ne songerai plus que rencontre funeste,
Que Faucons, que réseaux. Hélas, dirai-je, il pleut :
Mon frère a-t-il tout ce qu'il veut,
Bon soupé, bon gîte, et le reste ?
Ce discours ébranla le cœur
De notre imprudent voyageur ;
Mais le désir de voir et l'humeur inquiète
L'emportèrent enfin. Il dit : Ne pleurez point :
Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite ;
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Je le désennuierai : quiconque ne voit guère
N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint
Vous sera d'un plaisir extrême.
Je dirai : J'étais là ; telle chose m'avint ;
Vous y croirez être vous-même.
À ces mots en pleurant ils se dirent adieu.
Le voyageur s'éloigne ; et voilà qu'un nuage
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Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage
Maltraita le Pigeon en dépit du feuillage.
L'air devenu serein, il part tout morfondu,
Sèche du mieux qu'il peut son corps chargé de pluie,
Dans un champ à l'écart voit du blé répandu,
Voit un pigeon auprès ; cela lui donne envie :
Il y vole, il est pris : ce blé couvrait d'un las,
Les menteurs et traîtres appas.
Le las était usé ! si bien que de son aile,
De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin.
Quelque plume y périt ; et le pis du destin
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Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle
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Semblait un forçat échappé.
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Le Pigeon profita du conflit des voleurs,
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Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau,
Toujours divers, toujours nouveau ;
Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste ;
J'ai quelquefois aimé ! je n'aurais pas alors
Contre le Louvre et ses trésors,
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De l'aimable et jeune Bergère
Pour qui, sous le fils de Cythère,
Je servis, engagé par mes premiers serments.
Hélas ! quand reviendront de semblables moments ?
Faut-il que tant d'objets si doux et si charmants
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Voulez-vous quitter votre frère ?
L'absence est le plus grand des maux :
Non pas pour vous, cruel. Au moins, que les travaux,
Les dangers, les soins du voyage,
Changent un peu votre courage.
Encor si la saison s'avançait davantage !
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Je ne songerai plus que rencontre funeste,
Que Faucons, que réseaux. Hélas, dirai-je, il pleut :
Mon frère a-t-il tout ce qu'il veut,
Bon soupé, bon gîte, et le reste ?
Ce discours ébranla le cœur
De notre imprudent voyageur ;
Mais le désir de voir et l'humeur inquiète
L'emportèrent enfin. Il dit : Ne pleurez point :
Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite ;
Je reviendrai dans peu conter de point en point
Mes aventures à mon frère.
Je le désennuierai : quiconque ne voit guère
N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint
Vous sera d'un plaisir extrême.
Je dirai : J'étais là ; telle chose m'avint ;
Vous y croirez être vous-même.
À ces mots en pleurant ils se dirent adieu.
Le voyageur s'éloigne ; et voilà qu'un nuage
L'oblige de chercher retraite en quelque lieu.
Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage
Maltraita le Pigeon en dépit du feuillage.
L'air devenu serein, il part tout morfondu,
Sèche du mieux qu'il peut son corps chargé de pluie,
Dans un champ à l'écart voit du blé répandu,
Voit un pigeon auprès ; cela lui donne envie :
Il y vole, il est pris : ce blé couvrait d'un las,
Les menteurs et traîtres appas.
Le las était usé ! si bien que de son aile,
De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin.
Quelque plume y périt ; et le pis du destin
Fut qu'un certain Vautour à la serre cruelle
Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle
Et les morceaux du las qui l'avait attrapé,
Semblait un forçat échappé.
Le vautour s'en allait le lier, quand des nues
Fond à son tour un Aigle aux ailes étendues.
Le Pigeon profita du conflit des voleurs,
S'envola, s'abattit auprès d'une masure,
Crut, pour ce coup, que ses malheurs
Finiraient par cette aventure ;
Mais un fripon d'enfant, cet âge est sans pitié,
Prit sa fronde et, du coup, tua plus d'à moitié
La volatile malheureuse,
Qui, maudissant sa curiosité,
Traînant l'aile et tirant le pié,
Demi-morte et demi-boiteuse,
Droit au logis s'en retourna.
Que bien, que mal, elle arriva
Sans autre aventure fâcheuse.
Voilà nos gens rejoints ; et je laisse à juger
De combien de plaisirs ils payèrent leurs peines.
Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ?
Que ce soit aux rives prochaines ;
Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau,
Toujours divers, toujours nouveau ;
Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste ;
J'ai quelquefois aimé ! je n'aurais pas alors
Contre le Louvre et ses trésors,
Contre le firmament et sa voûte céleste,
Changé les bois, changé les lieux
Honorés par les pas, éclairés par les yeux
De l'aimable et jeune Bergère
Pour qui, sous le fils de Cythère,
Je servis, engagé par mes premiers serments.
Hélas ! quand reviendront de semblables moments ?
Faut-il que tant d'objets si doux et si charmants
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Ah ! si mon cœur osait encor se renflammer !
Ne sentirai-je plus de charme qui m'arrête ?
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Les menteurs et traîtres appas.
Le las était usé ! si bien que de son aile,
De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin.
Quelque plume y périt ; et le pis du destin
Fut qu'un certain Vautour à la serre cruelle
Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle
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Le vautour s'en allait le lier, quand des nues
Fond à son tour un Aigle aux ailes étendues.
Le Pigeon profita du conflit des voleurs,
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Crut, pour ce coup, que ses malheurs
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Mais un fripon d'enfant, cet âge est sans pitié,
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Traînant l'aile et tirant le pié,
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Toujours divers, toujours nouveau ;
Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste ;
J'ai quelquefois aimé ! je n'aurais pas alors
Contre le Louvre et ses trésors,
Contre le firmament et sa voûte céleste,
Changé les bois, changé les lieux
Honorés par les pas, éclairés par les yeux
De l'aimable et jeune Bergère
Pour qui, sous le fils de Cythère,
Je servis, engagé par mes premiers serments.
Hélas ! quand reviendront de semblables moments ?
Faut-il que tant d'objets si doux et si charmants
Me laissent vivre au gré de mon âme inquiète ?
Ah ! si mon cœur osait encor se renflammer !
Ne sentirai-je plus de charme qui m'arrête ?
Ai-je passé le temps d'aimer ?🌹🌹🌹🌹🌈🌹🌹🌹🌹

Déposé par ovanek le 15/04/2023  
(¯`•´¯)
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…(¯`•´¯)💙.•´
...`•.💙,.•´
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Déposé par goulou50 le 14/04/2023  
Ton petit chien te regarde
Un souffle autour de toi s’attarde
C’est mon âme qui cherche à consoler ton cœur.
Je suis à tes côtés , je recherche comme autrefois ton sourire et tes caresses
Je suis bien ou je suis cette mort fut une renaissance
J’ai délaissé mon corps
Et mon âme est partie.
Ébloui j’ai atteint un splendide domaine,
ou Je sillonne l’espace et ses champs lumineux.
Je franchis des torrents, des montagnes de rêve,
des forêts magiques, et des fleuves enchantés.
A chacun de mes pas je pense a toi ….
Tu ne peux plus pleurer puisque je m’émerveille
et sois en sure nous nous retrouverons un jour dans l’éternel bonheur.

Déposé par spanky le 14/04/2023  
LE VIEUX CHIEN et L’ENFANT !
Je les ai tant aimés, et ils m’ont tant donné,
Je revois leurs yeux quand ils me fixaient,
Je ne pourrai jamais vraiment les oublier.
J’entends encore leur cœur, contre le mien serré.
Pourtant ils sont partis, me laissant sur la route.
Là, ils ont mis en moi la grande peur du doute,
De n’avoir pas su faire les signes qu’il fallait,
Ou les gestes pour dire combien je les aimais.
Je n’ai jamais compté le nombre de caresses,
Les heures consacrées à capter la tendresse,
Complicités du jour, compagnie de la nuit,
Instants sacrés, qui me manquent aujourd’hui.
Le monde est cruel et l’humain n’est pas tendre,
Les Animaux sont là pour nous faire comprendre
Que l’Amour se rencontre mais ne s’achète pas,
Il se trouve souvent… en lui tendant les bras.
Des yeux qui vous implorent, une queue qui remue,
Un miaulement, un aboiement, sont un appel qui tue.
Ils voudraient bien vous dire « c’est moi qui te choisis »,
Mais hélas bien trop vite, déjà, vous êtes repartis.
Nous resterons ici, dans ces cages affolantes, carcérales,
Merci pour les bons soins grâce à la protection Animale,
Certains pour quelques temps et d’autres pour toujours,
Espoir sans avenir, quête éperdue d’un impossible Amour.
Puis tu es arrivé, charmant petit enfant, tu t’es mis à pleurer,
Tes doigts se sont serrés sur la grille que tu n’as pas lâchée.
La pluie de tes larmes, les sanglots de ta voix, déchirants
De sincérité, de joie, d’Amour mêlés, ont touché tes parents.
Oh ! Que tu étais fier ! Tenir en ta main la laisse du bonheur,
Te rendait bien plus fort, puissant, tout en ouvrant ton cœur.
Tu as gagné petit, tu as gagné pour toi, tu as gagné pour lui,
Maintenant tu es deux, il veillera sur toi qui fus son seul Ami.
Qui a dit que les vieux chiens ne s’adoptent jamais,
Il a plus de 10 ans, mais son cœur est prêt à t’aimer.
Son destin est entre tes mains, tu viens de lui sauver la vie,
Trois ans qu’il était là ; je suis content, son calvaire est fini.
Texte de Gilbert DUMAS

Déposé par ovanek le 14/04/2023  
(💙¯`*•.¸💦 BONJOUR இڿڰۣ-ڰۣ— ⭐ `*•.¸)
`*•.¸)💙 BELLE (¯`*JOURNEE•.¸💛✨
✨(¯`*•.¸🤍 `*•.¸)💜 `*•.¸) 🧡(¯`*•.¸💦 `*•.¸💦 `*•.¸)⭐

Déposé par poutounou le 12/04/2023  
Que c’est beau : « Et je ne sais plus tant je t’aime lequel de nous deux est absent »
*
Le front aux vitres
*
Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin
Ciel dont j’ai dépassé la nuit
Plaines toutes petites dans mes mains ouvertes
Dans leur double horizon inerte indifférent
Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin
Je te cherche par delà l’attente
Par delà moi même
Et je ne sais plus tant je t’aime
Lequel de nous deux est absent.
*
Poème de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard

Déposé par ovanek le 10/04/2023  
... 💛Peu importe ce que fut Pâques, 🎊
💖................. ........... 💛... 💜 peu importe ce qu'il est devenu... 💗
💙................. ....... 💜........... 💜
💚.................. .... 💙............... 💜 Que ce lundi 🎊 soit
💖................ . 💝.................... 💙 une gigantesque ouverture 💛
.. 💚............. 🎊 🎊 ................ 💜 vers plus de Lumière et
.... 💛.......... 🎊 💗 🎊.............💛 de Conscience à travers le monde💗!
....... 💖........ 🎊 🎊............. 💙 Que tous les cœurs soient remplis
........... 💛........ ............. 💙 d'amour et de joie !🎊
............. 💙..... ......... 💙
................ 💖. ........💜 Que la fraternité embrase nos corps!
.................... 💛. 💜 Et ensemble, rions avec la pureté et💗
................ ...... 💙
......................... 💖 l'innocence de l'enfant, embrassons-🎊
.......................... 💚nous et débordons d'Amour 💖 à l'infini!!!
BELLES PENSEES A MERIEM ET MAEL EN CE LUNDI 🎊 de PÂQUES 💖 !!!
💗 *•.¸¸.•*`*•.¸🎊*•.¸¸.•*`*•.¸💗*•.¸¸.•*`*•.¸🎊

Déposé par spanky le 09/04/2023  
Pour un joyeuse journée de Pâques,
Le beau printemps est là,
la fête de Pâques s’invite dans nos maisons
Joyeuse fête à vous chers amis !
Que commence une nouvelle saison !
Que l’on soit croyant ou pas,
laïques ou athées ouvrons nos cœurs
Présentons nos vœux à nos proches,
voeux d’amitié et de bonheur
En ce jour spécial, les petits enfants
deviennent de grands chasseurs
La chasse aux œufs est ouverte
pour s’offrir des délices de chocolat
En ce jour sacré, les enfants apprennent
à partager leurs douceurs
La fête de Pâques est une grande joie
où la foi brille de mille éclats
De Joyeuses fêtes de Pâques à tous,
que le bonheur inonde l’humanité
Bonne fête au monde entier,
que la joie et l’amour soient une unicité
Que tous les hommes et les femmes
s’unissent dans un même espoir !
L’espérance de vivre dans la paix, l’égalité !
Que s’efface le désespoir !
Poème pour souhaiter de joyeuses pâques
aux âmes de bonne volonté
Message d’amour plein de spiritualité
pour s’aimer en toute sérénité
Que cette belle fête nous invite
au respect d’autrui et à plus de bonté
Que nos belles prières intérieures
réalisent nos vœux de générosité
Poésie pour souhaiter une bonne fête de Pâques écrite par Hamoudi

Déposé par ovanek le 09/04/2023  
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BONNES FETES 🎊 de PAQUES💖
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Déposé par poutounou le 09/04/2023  
Chers "papas" et "mamans" de coeur du cimetière virtuel, je vous souhaite de passer de merveilleuses Fêtes de Pâques et que tous vos soucis ne soient plus qu’un mauvais souvenir... Quant à nos Anges, ils vont sûrement tous se réunir dans la grande prairie du Paradis blanc pour y chercher des chocolats et autres joujoux et douceurs...
*
JOYEUSES PAQUES
*
Joie et nervosité dans l'attente de leur retour de Rome.
Observant le ciel, tendant l'oreille pour ne pas les rater.
Y être bientôt, le jour J tant attendu, l'impatience nous gagne,
Et nos papilles frétillent à l'idée de savourer ces chocolats.
Une fête pour les gourmands, petits et grands.
Ses cloches gastronomes et quelque peu coquines qui,
En arrivant dans nos maisons, cachent de nombreuses douceurs
Savoureuses et sucrées, propres à attiser notre curiosité et notre impatience.
*
Poules, oeufs, lapins et autres cloches en chocolat,
Attendant d'être découverts par des gastronomes aux yeux émerveillés.
Quelle douce récompense que de les trouver enfin !
Un jour par an, nous pouvons les dévorer sans remords.
Ensemble partageons, rions, régalons-nous et
Savourons cette fête de Pâques que je vous souhaite joyeuse.

Déposé par Rafiarock le 08/04/2023  
Dear Friends,
A new message blocks almost ALL my connections.
I communicate it to you in French version:
-----connexion impossible to the database
or
too many simultaneous connections to the database
Please try again later
We are sorry for the inconvenience.
---------
AM I THE ONLY ONE CONCERNED BY THIS ANNOYANCE THAT KEEPS GETTING WORSE?
I would like to point out that I am blocked at EACH FLOWER DEPOSIT! So I lose a lot of time.
I am sincerely sorry, but if the situation continues, I will not be able to deposit flowers anymore;
This is certainly the purpose of the connection blocking message!
This message is targeted, by the WEBMASTER and not automatic. Why is this?
Eric even told me that the WEBMASTER made a spelling mistake in "simultaNNées". Because only one "N" is needed, therefore "simultaneous.
Friendly
Addy
FRENCH : -----connexion impossible à la base de données
ou
trop de connexions simultannées à la base de données
Merci de réessayer ultèrieurement
Nous sommes désolés pour la gène occasionnée.
---------

Déposé par spanky le 05/04/2023  
Le Chien Salvatore ADAMO
Quand j'étais enfant, j'avais un drôle de chien,
À la fois berger, caniche et dalmatien.
Un jour, après l'école, en vain j'ai attendu.
Mon ami, mon compagnon n'est pas venu.
Et soudain tous mes voiliers rentraient au port.
Par un temps à ne pas mettre un chien dehors.
Mon père a tout fait pour chasser mon chagrin.
Quelques jours après il ramenait mon chien.
C'est ton chien, c'est bien lui !
T'es content, ? Dis merci ...
C'était pas le mien, j'ai fait comme si.
Et c'était bien, bien ainsi.
Car, de voir mon père heureux comme un enfant
Pour la première fois, j'avoue que j'ai fait semblant.
J'ai joué les grands, c'était moi le papa.
J'ai embrassé ce chien que je n' connaissais pas,
Ce chien qui ressemblait comme 2 gouttes d'eau
Au mien que j'avais enterré deux jours plus tôt.
Mon père n'a jamais su : il était si content
De m'avoir dupé et consolé, pourtant...
C'est ton chien, c'est bien lui !
T'es content ? Dis merci ...
C'était pas le mien, j'ai fait comme si.
Et c'était bien, bien ainsi.
Et depuis ce temps, je fais plaisir aux gens.
Quand j'attends l'été, j'accepte le printemps,
Et je remercie, et même de temps en temps,
Je me suis surpris à être heureux vraiment.
C'est ton chien, c'est bien lui !
T'es content ? Dis merci ...
Quand c'est pas l' mien, j' fais comme si.
Et c'est bien, bien ainsi.
C'est ton chien, c'est bien lui !
T'es content ? Dis merci ...
Quand c'est pas l' mien, j' fais comme si.

Déposé par poutounou le 05/04/2023  
Quel magnifique poème ! Toi, mon Esprit, sillonnes gaiement l’immensité profonde et va dire à nos doux Anges combien ils nous manquent…
*
Élévation
*
Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par delà le soleil, par delà les éthers,
Par delà les confins des sphères étoilées,
*
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,
Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.
*
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;
Va te purifier dans l'air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
*
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
S'élancer vers les champs lumineux et sereins ;
*
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes !
*
Poème de Charles Baudelaire

Déposé par poutounou le 02/04/2023  
Avec un jour de retard, mais elle est trop drôle celle-là !!!
*
Poésie du poisson d'avril
*
J'ai vu 3 chats bleus, à la queue leu-leu
Marchant sur un fil .....Poisson d'avril !
J'ai vu un chameau faire du vélo
Tout autour d'une île.....Poisson d'avril !
J'ai vu un gros ver en hélicoptère
Traversant la ville.....Poisson d'avril !
J'ai vu une vache avec des moustaches
Et de très longs cils.....Poisson d'avril !
J'ai vu 10 corbeaux assis sur le dos
D'un vieux crocodile.....Poisson d'avril !
*
Paul GERALDY

Déposé par spanky le 01/04/2023  
LES QUATRE BOUGIES
Quatre bougies brûlaient lentement.
L'ambiance était tellement silencieuse
Que l'on pouvait entendre leur conversation.
La première dit :
" Je suis la Paix !
Cependant personne
N'arrive à me maintenir allumée.
Je crois que je vais m'éteindre."
Sa flamme diminua rapidement,
Et elle s'éteignit complètement.
La deuxième dit :
"" Je suis la Foi !
Dorénavant je ne suis plus indispensable,
Cela n'a pas de sens
Que je reste allumée plus longtemps."
Quand elle eut fini de parler,
Une brise souffla sur elle et l'éteignit.
Triste, la troisième bougie se manifesta à son tour :
"Je suis l'Amour !
Je n'ai pas de force pour rester allumée.
Les personnes me laissent de côté et
Ne comprennent pas mon importance.
Elles oublient même d'aimer ceux
Qui sont proches d'eux."
Et, sans plus attendre, elle s'éteignit.
Soudain... un enfant entre
et voit les trois bougies éteintes.
"Pourquoi êtes-vous éteintes ?
Vous deviez être allumées jusqu'au bout"
En disant cela, l'enfant commença à pleurer.
Alors, la quatrième bougie parla :
"N'aie pas peur, tant que j'ai ma flamme
Nous pourrons allumer les autres bougies,
Je suis l'Espérance !!!"
Avec des yeux brillants,
L'enfant prit la bougie de l'Espérance...
Et alluma les autres.
Que l'Espérance ne s'éteigne jamais
En nos coeurs et que chacun de nous
Puisse être l'outil nécessaire pour maintenir
l'Espérance, la Foi, la Paix et l'Amour !!!




L'Album photo contient 15 photos
Highslide JS

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This is your last photo Amour de DJEDAI. Your death has pulverized the heart of your DAD !
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DJEDAI had MAGNIFICENT eyes
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Some toys of DJEDAI.
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DJEDAI loved stuffed animals
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DJEDAI fan of STAR WARS!
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The magnificent look of DJEDAI showed an exception
Highslide JS
I think you're beautiful and lovely DJEDAI
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