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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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3970 messages
left by choupinou on 07/11/2024quand tu te souviens de moi, cela signifie que tu as gardĂ© avec toi quelque chose de qui je suis, que j'ai laissĂ© une trace de qui je suis sur qui tu es cela signifie que tu peux me rappeler Ă ton esprit mĂȘme si d'innombrables annĂ©es et kilomĂštres peuvent nous sĂ©parer cela signifie que si nous nous rencontrons Ă nouveau, tu me reconnaĂźtras cela signifie que maintenant aprĂšs ma mort, tu peux toujours voir, ma silhouette et entendre mon jappement et me parler dans ton coeur. Aussi longtemps que tu te souviendras de moi, je ne serai jamais complĂštement perdu texte de Frederick Buechner ( de tout petit changement pour la circonstance ici sur ce cimetiĂšre de nos aimĂ©s |
left by choupinou on 04/11/2024quand tu te souviens de moi, cela signifie que tu as gardĂ© avec toi quelque chose de qui je suis, que j'ai laissĂ© une trace de qui je suis sur qui tu es cela signifie que tu peux me rappeler Ă ton esprit mĂȘme si d'innombrables annĂ©es et kilomĂštres peuvent nous sĂ©parer cela signifie que si nous nous rencontrons Ă nouveau, tu me reconnaĂźtras cela signifie que mĂȘme aprĂšs ma mort, tu peux toujours voir, ma silhouette et entendre mon jappement et me parler dans ton coeur. Aussi longtemps que tu te souviendras de moi, je ne serai jamais complĂštement perdu texte de Frederick Buechner ( de tout petit changement pour la circonstance ici sur ce cimetiĂšre de nos aimĂ©s |
left by choupinou on 28/10/2024mon coeur est tien et le restera a jamais, tu seras toujours le petit chien de ma vie celui qui fait briller mes jours, mĂȘme ce qui sont triste, illumine mes nuits quand tu apparais dans mes rĂȘves bien vivant, notre amour est une danse infinie Ă©ternelle, un lien indestructible qui transcende le temps et que la mort n'a pas su et n'a pas pu prendre |
left by choupinou on 28/10/2024mon coeur est tien et le restera a jamais, tu seras toujours le petit chien de ma vie celui qui fait briller mes jours, mĂȘme ce qui sont triste, illumine mes nuits quand tu apparais dans mes rĂȘves bien vivant, notre amour est une danse infinie Ă©ternelle, un lien indestructible qui transcende le temps et que la mort n'a pas su et n'a pas pu prendre |
left by choupinou on 23/10/2024je ne peux plus te serrer dans mes bras je ne peux plus t'appeler je n'entends plus ton jappement. mais tu sais... mon coeur ne cesse de te parler de penser Ă toi chaque instant souvenir tous les jours depuis que tu es parti beaucoup trop loin tout la haut pour que je ne puisse te suivre mĂȘme si parfois j'aurai voulu de rejoindre. c'est dans mon coeur, oui, que tu vis encore constamment que tu me regarde encore avec tes yeux si doux que tu me donnes ton amour a l'infini... c'est lĂ , ou tu ne cesseras jamais d'exister c'est lĂ qu'aujourd'hui je t'ai retrouve c'est lĂ que nous vivons encore a deux dans le battement de celui ci, ou remue ta petite queue je t'aime Ă©ternellement |
left by goulou50 on 20/10/2024Sans toi, mes nuits Sont remplies de pluie Mais de penser Ă toi Me comble de joie Tu es mon Ă©toile, Tu illumines mes nuits Tu lĂšves le voile Sur le chemin de ma vie Toi l'ĂȘtre d'amour Tu as donnĂ© sans retour Un cadeau merveilleux Oh combien si prĂ©cieux Je t'aime plus que tout |
left by spanky on 20/10/2024«Ils ont commencĂ© Ă me frapper, me mettre au sol et ils ont sorti un couteau» : : une jeune femme agressĂ©e par des voleurs de chiens dans le Val-de-Marne : ---- Ce samedi 5 octobre, une jeune femme a Ă©tĂ© agressĂ©e Ă Villeneuve-le-Roi dans le Val-de-Marne. Elle a Ă©tĂ© frappĂ©e et poignardĂ©e, alors que deux hommes tentaient de lui dĂ©rober son chien. --- Des blessures consĂ©quentes. Ce samedi, une femme a Ă©tĂ© prise Ă partie par deux hommes dans le Val-de-Marne. Les agresseurs ont tentĂ© de lui dĂ©rober son chien, une jeune berger allemand de 6 mois, une race trĂšs prisĂ©e des voleurs de chien. --- «On a commencĂ© Ă me siffler et on mâa couru dessus pour mâattraper et me dire "donne ton chien, donne ton chien". Câest lĂ oĂč ils ont commencĂ© Ă me taper, Ă me frapper, me mettre au sol et ils ont sorti un couteau pour me planter», a relatĂ© la jeune femme Ă CNEWS.  --- «Mon chien a commencĂ© Ă comprendre ce quâil se passait. Il les a mordus, leur a aboyĂ© dessus et ils ont pris la fuite», a-t-elle ajoutĂ©. MalgrĂ© lâintervention du chiot, la victime nâa pas Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e. --- Le voisinage prend des prĂ©cautions «Jâai une entorse Ă la cheville, jâai mon genou dĂ©boĂźtĂ©, jâai une Ă©norme entaille sur la cuisse, une foulure au poignet, une entorse au bras et plusieurs blessures sur le visage», a-t-elle Ă©numĂ©rĂ©. --- AprĂšs cette agression, le voisinage a commencĂ© Ă prendre des prĂ©cautions. «Je fais moins de tours, je mâĂ©loigne moins de chez moi», a expliquĂ© une voisine. Pour une autre, «les balades sont plus courtes. On essaie de sortir quand il fait jour et quand on sait quâil y a de monde encore dehors». --- Les chiens peuvent ĂȘtre prisĂ©s par les voleurs en raison de leur valeur commerciale. Une enquĂȘte a Ă©tĂ© confiĂ©e au commissariat de police de Choisy-le-Roi. ---- |
left by poutounou on 20/10/2024Que câest drĂŽle, point dâexclamation !!! * Ponctuation * Un point d'interrogation Comment ? Une question ? Et un point d'exclamation Oh ! Quelle Ă©motion ! Sur mon Ă©critoire, J'invente une histoire, J'aligne les mots Avec mon stylo. Puis trois points de suspension, HĂ© hĂ© hĂ©sitation ... Je rajoute une virgule Et regarde la pendule. Quand j'ai tout Ă©crit, Alors je relis. L'histoire est jolie, Un point c'est fini. * Daniel Coulon. |
left by spanky on 18/10/2024Un chien vous parle avec son cĆur. --- Comment est-ce possible? Quand j'Ă©tais un chiot, je vous ai amusĂ©s avec mes cabrioles et vous ai fait rire. Vous m'avez appelĂ© votre enfant,et en dĂ©pit de plusieurs chaussures mĂąchĂ©es et quelques oreillers assassinĂ©s,je suis devenu votre meilleur ami. Toutes les fois que j'Ă©tais mĂ©chant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais "Comment peux-tu?" mais aprĂšs on s'amusait ensemble. Mon Ă©ducation a pris un peu plus longtemps que prĂ©vu, parce que vous Ă©tiez terriblement occupĂ©s, mais nous y avons travaillĂ© ensemble. Je me souviens de ces nuits oĂč je fouinais dans le lit et Ă©coutais tes confidences et rĂȘves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas ĂȘtre plus parfaite. --- Nous sommes allĂ©s pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrĂȘts pour de la crĂšme glacĂ©e (j'ai seulement eu le cornet parce que "la glace est mauvaise pour les chiens,"comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres Ă la maison. Progressivement, tu as commencĂ© Ă passer plus de temps au travail et tu t'es concentrĂ© sur ta carriĂšre, et plus de temps Ă chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolĂ© aprĂšs chaque dĂ©chirement de cĆur et dĂ©ceptions, ne t'ai jamais rĂ©primandĂ© au sujet de mauvaises dĂ©cisions, et dĂ©ceptions, ne t'ai jamais rĂ©primandĂ© au sujet de mauvaises dĂ©cisions, et me suis Ă©battu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombĂ© amoureux. --- Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne chien » mais je l'ai accueillie dans notre maison,essayĂ© de lui montrer de l'affection, et lui ai obĂ©i. J'Ă©tais heureux parce que tu Ă©tais heureux. Ensuite les bĂ©bĂ©s humains sont arrivĂ©s et j'ai partagĂ© votre excitation. J'Ă©tais fascinĂ© par leur couleur rose, leur odeur,et je voulais les pouponner aussi. --- Seulement vous vous ĂȘtes inquiĂ©tĂ©s que je puisse les blesser, et j'ai passĂ© la plupart de mon temps banni dans une autre piĂšce, ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour". Quand ils ont commencĂ© Ă grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochĂ©s Ă ma fourrure et se sont levĂ©s sur leurs jambes branlantes, ont poussĂ© leurs doigts dans mes yeux, fouillĂ© mes oreilles, et m'ont donnĂ© des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes Ă©taient maintenant si peu frĂ©quentes et je les aurais dĂ©fendus avec ma vie si besoin Ă©tait. J'allais dans leurs lits et Ă©coutais leurs soucis et rĂȘves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allĂ©e. --- Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi tu en avais une Ă leur montrer dans ton porte feuille et tu leur racontais des histoires Ă mon propos. Ces derniĂšres annĂ©es tu rĂ©pondais "juste oui" et changeais de sujet. Je suis passĂ© du statut de "ton chien" Ă "seulement un chien" et vous vous ĂȘtes offensĂ©s de chaque dĂ©pense pour moi. --- Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carriĂšre dans une autre ville, et vous allez dĂ©mĂ©nager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta "famille", mais il y eut un temps oĂč j'Ă©tais ta seule la famille. J'Ă©tais excitĂ© par la promenade en voiture jusqu'Ă ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le dĂ©sespoir. Tu as rempli la paperasserie et tu as dit "je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui". Ils ont haussĂ© les Ă©paules et vous ont jetĂ© un regard attristĂ©. Ils comprennent la rĂ©alitĂ© qui fait face Ă un chien entre deux Ăąges,mĂȘme un avec des papiers. Tu as dĂ» forcer les doigts de ton fils pour les dĂ©tacher de mon col et il criait " Non, Papa! S'il vous plaĂźt ne les laissez pas prendre mon chien!" "Et je me suis inquiĂ©tĂ© pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises Ă l'instant,au sujet de l'amitiĂ© et la loyautĂ©, au sujet de l'amour et de la responsabilitĂ©, et au sujet du respect pour toute vie. Tu m'as donnĂ© un « au revoir caresse » sur la tĂȘte, tu as Ă©vitĂ© mes yeux,et tu as refusĂ© de prendre mon collier avec vous. --- AprĂšs votre dĂ©part, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre dĂ©part il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secouĂ© leurs tĂȘtes et ont dit "Comment est-ce possible?" --- Ils sont aussi attentifs Ă nous ici dans le refuge que leurs programmes chargĂ©s ne le leur permet. Ils nous nourrissent, bien sĂ»r, mais j'ai perdu l'appĂ©tit il y a plusieurs jours. Au dĂ©but, chaque fois que quelqu'un passait prĂšs de ma cage, je me dĂ©pĂȘchais en espĂ©rant que c'Ă©tait toi, que tu avais changĂ© d'avis, que c'Ă©tait juste un mauvais rĂȘve. Ou j'espĂ©rais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folĂątraient pour attirer l'attention, je me suis retirĂ© dans un coin de la cage et ai attendu. --- J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journĂ©e, et je piĂ©tinais le long de l'allĂ©e jusqu'Ă une piĂšce sĂ©parĂ©e. Une piĂšce heureusement tranquille. Elle m'a placĂ© sur la table et a frottĂ© mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiĂ©ter. Mon cĆur battait d'anticipation Ă ce qui Ă©tait Ă venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le « prisonnier de l'amour »avait survĂ©cu Ă travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiĂ©tĂ© d'elle. Le fardeau qu'elle porte pĂšse lourdement sur elle, et je le sais, de la mĂȘme maniĂšre que je connais votre humeur chaque jour. --- Elle a placĂ© une chaĂźne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulĂ© sur sa joue. J'ai lĂ©chĂ© sa main de la mĂȘme façon que je te consolais il y a tant d'annĂ©es. Elle a glissĂ© l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. --- Quand j'ai senti le dard et les liquides se rĂ©pandre Ă travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinĂ©e de mes gentils yeux et ai murmurĂ© "Comment as-tu pu?" --- Peut-ĂȘtre parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit "je suis si dĂ©solĂ©e". Elle m'a Ă©treint, et m'a expliquĂ© prĂ©cipitamment que c'Ă©tait son travail de s'assurer que j'aille Ă une meilleure place oĂč je ne serais pas ignorĂ© ou abusĂ© ou abandonnĂ©, ou aurais Ă pourvoir moi-mĂȘme Ă mes besoins, une place remplie d'amour et de lumiĂšre trĂšs diffĂ©rente de cet endroit. Et avec mes derniĂšres Ă©nergies, j'ai essayĂ© de me transporter jusqu'Ă elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon "Comment as-tu pu?" n'Ă©tait pas dirigĂ© contre elle. C'Ă©tait Ă toi, mon maĂźtre bien-aimĂ©, que je pensais. --- Je penserai Ă toi et t'attendrai Ă jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer Ă te montrer autant de loyautĂ©. --- |
left by poutounou on 16/10/2024Ce qu'il faut pour ĂȘtre heureux * Il faut penser ; sans quoi l'homme devient, MalgrĂ© son Ăąme, un vrai cheval de somme. Il faut aimer ; c'est ce qui nous soutient ; Sans rien aimer il est triste d'ĂȘtre homme. * Il faut avoir douce sociĂ©tĂ©, Des gens savants, instruits, sans suffisance, Et de plaisirs grande variĂ©tĂ©, Sans quoi les jours sont plus longs qu'on ne pense. * Il faut avoir un ami, qu'en tout temps, Pour son bonheur, on Ă©coute, on consulte, Qui puisse rendre Ă notre Ăąme en tumulte, Les maux moins vifs et les plaisirs plus grands. * Il faut, le soir, un souper dĂ©lectable OĂč l'on soit libre, oĂč l'on goĂ»te Ă propos, Les mets exquis, les bons vins, les bons mots Et sans ĂȘtre ivre, il faut sortir de table. * Il faut, la nuit, tenir entre deux draps Le tendre objet que notre coeur adore, Le caresser, s'endormir dans ses bras, Et le matin, recommencer encore. * Voltaire |
left by spanky on 16/10/2024Ouragan Milton : un chien abandonnĂ© pendant la tempĂȘte Ă©meut les internautes du monde entier. --- Des policiers de Tampa (Floride) sont venus en aide Ă un chien attachĂ© Ă une clĂŽture, alors que lâouragan Milton Ă©tait sur le point de balayer la ville de la cĂŽte occidentale de l'Ătat. Le gouverneur Ron DeSantis sâest insurgĂ© en apprenant la nouvelle. --- «Les policiers de la FHP ont secouru un chien attachĂ© Ă un poteau sur l'I-75 prĂšs de Bruce B Downs Blvd ce matin. Ne faites PAS ça Ă vos animaux de compagnie s'il vous plaĂźt...», ont Ă©crit sur X les urgences en lĂ©gende de la vidĂ©o quâils ont publiĂ©e. --- Le Centre amĂ©ricain des ouragans (NHC) a annoncĂ© dans son bulletin ce jeudi des vents atteignant 165 km/h dans la soirĂ©e. Plus de 2,5 millions de foyers ont Ă©tĂ© privĂ©s de courant, selon le site spĂ©cialisĂ© poweroutage.us. RĂ©trogradĂ© en fin de journĂ©e en catĂ©gorie 3 (sur 5), la tempĂȘte a encore diminuĂ© (catĂ©gorie 1) selon le NHC. --- Mercredi, alors que Milton s'approchait de la Floride, le gouverneur Ron DeSantis sâest insurgĂ© sur X en prenant connaissance dâune vidĂ©o publiĂ©e par la Highway Patrol de lâEtat. Sur les images, les secours viennent en aide Ă un chien abandonnĂ© dans un champs non loin dâune route et attachĂ© Ă une clĂŽture. --- Milton Ă©tait attendu «comme un des ouragans les plus destructeurs depuis plus d'un siĂšcle en Floride», avait prĂ©venu Joe Biden. Cette tempĂȘte intervenait deux semaines aprĂšs le passage dans le mĂȘme secteur de l'ouragan HĂ©lĂšne, qui a fait au moins 236 morts Ă travers le sud-est des Etats-Unis, dont au moins 15 en Floride. --- |
left by choupinou on 15/10/2024Sans toi Ă mes cotĂ©s, sans ton amour et tes cĂąlins, sans ta prĂ©sence qui me transporte dans la tristesse me reste les instants vĂ©cus, beaux souvenirs qui font sourire et Ă la foi qui fond mal dans ma mĂ©moire comme une Ă©ternitĂ©. Sans ta fidĂšle amitiĂ© si douce que tu m'offrais, illuminĂ©e ma vie, sans ton regard si doux qui m'ouvre les portes de la tendresse, mĂȘme si les nuits sont belles avec leur cortĂšge d'Ă©toiles scintillantes, sa lune mĂ©lancolique et ses silences qui transportent entre deux monde cet amour, mĂȘme si le jour invite Ă toutes les fantaisies, je ne suis rien qu'une ombre qui rode, tremblante, dans le jardin vide, la maison dĂ©serte de ma triste mĂ©lancolie. Sans toi, mon ange je ne suis qu'un arbre sans feuilles, une fleur sans pĂ©tales, une source sans eaux, une vallĂ©e dĂ©solĂ©e, une reine sans royaume, un poĂšme sans commencement ni fin. |
left by spanky on 14/10/2024A Mijas, Ă 30 km de Malaga, il y a un ermitage consacrĂ© Ă Saint Antoine et, Ă son entrĂ©e, il y a un monument au chien dans lequel figure cette curieuse priĂšre : Oh Seigneur des crĂ©atures, fais que l'homme, mon maĂźtre, soit aussi fidĂšle Ă l'Ă©gard des autres hommes que je le suis pour lui. Fais qu'il aime sa famille et ses enfants comme je les aime. Fais qu'il garde honnĂȘtement les biens que tu lui as confiĂ©s comme je garde honnĂȘtement les siens. Donne-lui, Seigneur, un sourire facile et spontanĂ©, aussi facile et spontanĂ© que l'Ă©bat de ma queue. Fais qu'il soit aussi inclinĂ© Ă la reconnaissance que je suis prĂȘt Ă lĂ©cher avec tendresse. Conserve en lui ma jeunesse de cĆur et ma joie de pensĂ©e. Oh, Seigneurs des crĂ©atures, de la mĂȘme maniĂšre que je sois toujours un VĂRITABLE CHIEN, fais qu'il soit toujours un VĂRITABLE HOMME. Oh,Seigneur aide moi Ă ĂȘtre la personne que mon chien croit que je suis. ---- |
left by poutounou on 13/10/2024Oh oui, des bons marrons rĂŽtis dans la cendre avec un dĂ©licieux vin chaud Ă la cannelle ! Quelle rĂ©galadeâŠJe mâen lĂšche les âbabinesâ!!! * L'automne * On voit tout le temps, en automne Quelque chose qui vous Ă©tonne, C'est une branche tout Ă coup, Qui s'effeuille dans votre cou ; C'est un petit arbre tout rouge, Un, d'une autre couleur encor, Et puis partout, ces feuilles d'or Qui tombent sans que rien ne bouge. Nous aimons bien cette saison, Mais la nuit si tĂŽt va descendre ! Retournons vite Ă la maison RĂŽtir nos marrons dans la cendre. * Lucie Delarue-Mardrus |
left by spanky on 12/10/2024Jolie petite histoire dâamour et de fidĂ©litĂ© : ------ Cela se passe Ă Thouars, dans les Deux-SĂšvres. Vivaient lĂ , en parfaite harmonie, un vieux monsieur Ă la retraite et sa fille Françoise qui escortait son crĂ©puscule avec amour et dĂ©vouement. Vivait lĂ aussi un chat, Doudou, un EuropĂ©en noir comme l'Ă©bĂšne, qui vouait Ă Monsieur SallĂ© une vĂ©ritable passion. Et le bonheur habitait la maison. --- Et puis, un matin, Monsieur SallĂ© se rĂ©veilla trĂšs mal en point. La facultĂ© diagnostiqua une maladie trĂšs grave. Il dĂ©clina rapidement et, une nuit, il s'Ă©teignit doucement, comme la flamme d'une bougie Ă bout de course. Françoise pleura toutes les larmes de son corps et, deux jours plus tard, elle enferma Doudou dans la maison et s'en fut conduire son pĂšre dans le cimetiĂšre de Thouars, Ă l'autre bout de la ville. --- Deux semaines passĂšrent. C'est en refermant une fenĂȘtre malencontreusement ouverte qu'elle s'aperçut que Doudou en avait profitĂ© pour s'Ă©vader. Elle le chercha dans le voisinage, car il lui arrivait de fuguer, mobilisa mĂ©dias et gendarmerie et dut se rendre Ă l'Ă©vidence : Doudou demeurait introuvable. --- Le dimanche suivant, elle se rendit au cimetiĂšre pour dĂ©poser des fleurs sur la tombe de son papa et lĂ , que vit-elle ? Doudou assis sur le marbre, immobile et squelettique... Et cela, dĂ©jĂ , est stupĂ©fiant ! Ce cimetiĂšre, il n'y Ă©tait jamais allĂ©, Doudou... Et Ă l'autre bout de la ville, en plus ! Cette tombe, rien ni personne ne lui avait indiquĂ© que c'Ă©tait la bonne !... Et pourtant, il ne s'Ă©tait pas trompĂ©... --- Françoise voulut le ramener chez elle. Le chat s'y refusa Ă©nergiquement. Alors elle rentra seule et, un peu plus tard, elle lui ramena de quoi manger et boire. Elle tenta encore de le convaincre de la suivre, elle le caressa, le prit dans ses bras... Peine perdue. Doudou sauta sur le marbre froid du tombeau et s'y allongea, dĂ©cidĂ© Ă ne jamais quitter son grand ami. --- Des tĂ©moins alertĂšrent un journaliste de Thouars et la presse locale s'empara de l'affaire. J'ai lu les articles qui furent alors publiĂ©s et Françoise me confia une superbe photo de Doudou, assis sur la tombe de Monsieur SallĂ©. Et bien, croyez-le ou pas, pendant deux ans, Françoise vint tous les jours au cimetiĂšre nourrir le chat. Et, une nuit d'hiver oĂč il gelait Ă pierre fendre, Doudou mourut de froid, seul dans ce grand cimetiĂšre enneigĂ©. Il avait enfin rejoint celui qu'il aimait jusqu'Ă en mourir. ---- |
left by spanky on 10/10/2024- Que regardes-tu ?- Je regarde le chien. Celui qui venait de rĂ©pondre Ă©tait un jeune garçon. Celui qui avait posĂ© la question, notre ami le moine. --- - Je ne comprends pas pourquoi il reste attachĂ©-lĂ ! la corde qui le retient nâest pas trĂšs grosse,avec la force quâil a il pourrait la casser et se sauver ! Le moine souriait. - Et toi quâen penses-tu ? - Peut-ĂȘtre quâon lâa dressĂ© Ă rester lĂ ! - Alors pourquoi lâattacher, si ce chien est dressĂ© il nâa pas besoin de corde ! Le jeune garçon secoua la tĂȘte. Le moine avait raison. Alors comment se fait-il que ce chien reste lĂ ? --- Le moine raconta lâhistoire de ce chien. - Vois-tu, il y a trĂšs longtemps, ses arriĂšres grands parents Ă©taient des chiens sauvages. Ils Ă©taient libres, ils parcouraient des dizaines de kilomĂštres pour trouver lâendroit pour vivre. Quand lâhiver arrivait, ils sâen allaient pour dâautres contrĂ©es plus clĂ©mentes. Un jour, des hommes posĂšrent le pied dans ces rĂ©gions inhabitĂ©es, ils virent ces chiens. Ils les trouvĂšrent rĂ©sistant, courageux, puissants et dĂ©cidĂšrent de les utiliser. Ils attrapĂšrent les petits quâils attachĂšrent Ă lâaide de corde prĂšs de leur campement, ceci afin de les domestiquer. --- Celui-ci, depuis son plus jeune Ăąge, a Ă©tĂ© attachĂ©. Au dĂ©but, le sang de la libertĂ©, qui coulait dans ses veines, le poussait Ă vouloir sâĂ©chapper, partir, mais la corde Ă©tait solide et toutes ses tentatives Ă©chouĂšrent. Chaque jour, il mettait toute son Ă©nergie Ă vouloir partir ⊠en vain. Un jour, il sâavoua vaincu et accepta son sort. Il sut quâil Ă©tait impossible de se sauver,impossible de courir les vastes paysages comme le faisait ses ancĂȘtres. MalgrĂ© la fragilitĂ© de cette corde aujourdâhui, il se sait incapable de la casser. Ceci est inscrit au plus profond de lui. --- Mais il nâa jamais essayĂ© maintenant quâil est plus grand ? le moine souriait. - Il est un peu comme nous lorsque nous faisons quelque chose qui ne fonctionne pas. On pense que câest impossible, que lâon ne peut pas y arriver,que câest au-dessus de nos forces. --- Parfois cela va encore plus loin, cette corde, nous lâattachons autour de nos proches persuadĂ© quâeux aussi ne pourront pas y arriver, et nous les privons de libertĂ©. --- - Je comprends, dit lâenfant. Il sâapprocha du chien, lentement, avalant sa salive car le chien avait lâair fĂ©roce. Une fois prĂšs de lui, il sâagenouilla. - Tu sais, tu es plus fort que la corde, tu peux reprendre ta libertĂ© et courir comme tes ancĂȘtres. --- Lâenfant se releva et retourna vers le moine. Tous les deux regardaient le chien. Il Ă©tait sur ses quatre pattes. Plus que les mots câĂ©tait le regard de lâenfant qui avait parlĂ©. Le chien le regarda et dâun seul coup bondit, cassant net lâattache symbolique. Sentant la libertĂ©, le chien courut droit devant lui accompagnĂ© par lâEsprit de ses ancĂȘtres. Atteignant le haut de la colline, il se retourna et regarda les deux formes humaines, lâune plus petite, mais toutes les deux arboraient un immense sourire. En trois bonds le chien disparut. ---- |
left by choupinou on 10/10/2024Moi, je ne tourne pas les pages, je déteste cette expression simpliste, je n'oublie rien, je ne zappe pas, je ne renouvelle pas ma vie comme si rien avant n'avait existé. Elle est un fil continu que je tisse, je ne gomme pas mon chien, tant aimé, je suis faite de tous mes souvenirs, de mes amours, je suis un patchwork vivant de moments de vie, je suis faite de lui, pour lui, et Nudji m'a construite puis meurtrie, sans le vouloir. Je ne tourne pas les pages, je lui écris, je lui parle, je lui allume des bougies pour que vive toujours et éternellement dans mon coeur, mon petit ange ainsi il continue de vivre à jamais et puissamment en moi et dans ma mémoire, mon Nunu l'a tellement mérité...Je lui le dois... |
left by colombine67 on 10/10/2024J'ai sauvĂ© un humain aujourd'hui. . Ses yeux rencontrĂšrent les miens alors qu'elle marchait dans le couloir, scrutant avec apprĂ©hension les chenils. J'ai immĂ©diatement ressenti son besoin et je savais que je devais l'aider. Jâai remuĂ© la queue, sans trop dâexubĂ©rance, pour quâelle nâait pas peur. . Alors qu'elle s'arrĂȘtait Ă mon chenil, je lui ai bloquĂ© la vue Ă cause d'un petit accident que j'ai eu au fond de ma cage. Je ne voulais pas quâelle sache que je nâavais pas marchĂ© aujourdâhui. Parfois, les gardiens du refuge sont trop occupĂ©s et je ne voulais pas quâelle ait une mauvaise opinion dâeux. . En lisant ma carte de chenil, jâespĂ©rais quâelle ne se sentirait pas triste de mon passĂ©. Je nâai que lâavenir Ă espĂ©rer et je veux faire une diffĂ©rence dans la vie de quelquâun. . Elle s'est mise Ă genoux et m'a fait de petits bruits de baisers. J'ai poussĂ© ma tĂȘte contre les barreaux pour la rĂ©conforter. Des doigts doux caressĂšrent mon cou ; elle avait dĂ©sespĂ©rĂ©ment besoin de compagnie. Une larme tomba sur sa joue et je levai la patte pour lui assurer que tout irait bien. . BientĂŽt, la porte de mon chenil s'est ouverte et son sourire Ă©tait si Ă©clatant que j'ai immĂ©diatement sautĂ© dans ses bras. . Je promets de la garder en sĂ©curitĂ©. Je promets d'ĂȘtre toujours Ă ses cĂŽtĂ©s. Je promets de faire tout ce que je peux pour voir ce sourire radieux et cette Ă©tincelle dans ses yeux. . J'ai tellement de chance qu'elle soit venue dans mon couloir. Il y en a tellement dâautres qui nâont pas parcouru les couloirs. Il y en a tellement dâautres Ă sauver. Au moins, je pourrais en sauver un. . J'ai sauvĂ© un humain aujourd'hui. Par Janine Allen. |
left by poutounou on 09/10/2024Il arrive au Paradis...lĂ oĂč se trouvent nos Anges... * L'Ăźle des rĂȘves * Il a mis le veston du pĂšre, Les chaussures de la maman Et le pantalon du grand frĂšre Il nage dans ses vĂȘtements. * Il nage, il nage Ă perdre haleine. Il croise des poissons volants, Des thons, des dauphins, des baleines... Que de monde, dans l'ocĂ©an ! * Ăcume blanche et coquillages, Il nage depuis si longtemps Qu'il aborde enfin au rivage Du pays des rĂȘves d'enfants (et d'animaux...). * Jacques Charpentreau |
left by colombine67 on 09/10/2024"La lĂ©gende du pont de lâarc en ciel" "Il y a lĂ -bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel" Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommĂ© Pont de l'Arc-en-ciel. Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre. On y retrouve lĂ -bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallĂ©es luxuriantes et tous les amis Ă quatre pattes qui y sont rĂ©unis peuvent y courir et s'amuser ensemble. Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils dĂ©sirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de gĂ©nĂ©reux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi. Dans cette contrĂ©e lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, Ă moins que l'on ne dĂ©cide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffĂ©es de neiges Ă©ternelles. Ceux qui Ă©taient malades ou trop vieux ont recouvrĂ© ici santĂ© et vigueur; ceux qui Ă©taient blessĂ©s ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui Ă©taient abandonnĂ©s, nĂ©gligĂ©s ou maltraitĂ©s ont enfin trouvĂ© chaleur et rĂ©confort. Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de prĂ©cieux Ă leur cĆur. Ils ont perdu quelqu'un de trĂšs spĂ©cial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau Ă leurs cĂŽtĂ©s. Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles Ă l'intĂ©rieur de cette grande meute pacifique. Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrĂȘtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets. Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frĂ©nĂ©tique palpitera de toutes parts. L'Ă©lu commencera Ă courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pĂąturages, traversant les larges riviĂšres, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut. Ăa y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumiĂšre au bout du tunnel... en toute fidĂ©litĂ© votre chien vous a repĂ©rĂ© entre tous et il est venu Ă cette ultime rencontre. Vous souriez ! Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant Ă nouveau caresser son cou, son flanc, sa tĂȘte, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien. Plus rien ne pourra dorĂ©navant vous sĂ©parer, vous serez Ă jamais rĂ©unis. Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..." |
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