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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERA BB LUCKY
Il est né le:24/08/1995
Il nous a quittés le:21/09/2010
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En hommage à
A BB LUCKY
36 bougies
56194 Fleurs
Déposé par spanky Il vous suffit désormais de fermer vos paupières pour voir votre ami à 4 pattes, cesser de respirer pour sentir son odeur, vous mettre face au vent pour deviner son souffle. Déposé par colombine67 La présence d'un animal de compagnie peut transformer une maison en un foyer chaleureux et accueillant. Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par nina1997 Je garde en mon coeur l'empreinte de ta confiance. Cet amour sans paroles fort de tous les silences qu'à chaque regard je recevais en confidence🩷 Déposé par colombine67 Tout comme l'homme, les animaux ressentent le plaisir et la douleur, le bonheur et le malheur |
5195 messages
Déposé par poutounou le 11/02/2024Enivrons-nous de souvenirs de nos chers Anges disparus !!! * Petit conseil de Monsieur Baudelaire, à consommer avec modération si l‘on choisit le vin….. * Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie, de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : "Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise." * Baudelaire: Petits poèmes en prose, XXXIII (1869) |
Déposé par colombine67 le 11/02/2024Les personnes qui n'ont jamais eu d'animaux domestiques, et plus globalement ceux qui n'aiment pas les animaux, ne peuvent pas comprendre l'amour que l'on peut avoir pour un chien, un chat ou tout autre animal. Bien souvent pour eux, aimer un animal comme on aime un enfant est irrationnel. Pour toutes ces personnes hermétiques et insensibles à ce sentiment, l'écrivain Richard A. Biby a écrit un joli texte. Il est dédié à tous les chiens en général, mais aussi à toutes celles et ceux qui ne comprennent pas cet amour inconditionnel. De temps en temps les gens me disent "voyons, c’est juste un chien" ou "tu en dépenses de l’argent juste pour un chien"… Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour "juste un chien". Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de "juste un chien". J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, "juste un chien" et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de "juste un chien" et, dans ces jours sombres, le doux contact de "juste un chien" m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée. Si vous aussi, pensez que c’est "juste un chien" alors vous comprendrez probablement des phrases comme "juste un ami", "juste un lever de soleil" ou "juste une promesse". "Juste un chien" apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée. "Juste un chien" fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. À cause de "juste un chien" je me lèverai de bonne heure, ferai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas "juste un chien" mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment. "Juste un chien" fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée. J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas "juste un chien" mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que … "juste un homme ou une femme". Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase "juste un chien"… souriez, parce que c’est "juste qu’ils n’ont pas compris". Richard A. Biby, 2006. |
Déposé par spanky le 10/02/2024L’Écureuil, le Chien et le Renard -------- Un gentil écureuil était le camarade, Le tendre ami d'un beau danois. Un jour qu' ils voyageaient comme Oreste et Pylade, La nuit les surprit dans un bois. En ce lieu point d' auberge ; ils eurent de la peine À trouver où se bien coucher. Enfin le chien se mit dans le creux d' un vieux chêne, Et l' écureuil plus haut grimpa pour se nicher. Vers minuit, c'est l' heure des crimes, Longtemps après que nos amis En se disant bonsoir se furent endormis, Voici qu'un vieux renard affamé de victimes Arrive au pied de l' arbre, et, levant le museau, Voit l' écureuil sur un rameau. Il le mange des yeux, humecte de sa langue Ses lèvres qui, de sang, brûlent de s'abreuver ; Mais jusqu' à l' écureuil il ne peut arriver : Il faut donc par une harangue L'engager à descendre ; et voici son discours : Ami, pardonnez, je vous prie, Si, de votre sommeil, j'ose troubler le cours, Mais le pieux transport dont mon âme est remplie Ne peut se contenir ; je suis votre cousin germain. Votre mère était soeur de feu mon digne père. Cet honnête homme, hélas ! à son heure dernière, M'a tant recommandé de chercher son neveu Pour lui donner moitié du peu Qu' il m'a laissé de bien ! Venez donc, mon cher frère, Venez, par un embrassement, Combler le doux plaisir que mon âme ressent. Si je pouvais monter jusqu'aux lieux où vous êtes, Oh ! J'y serais déjà, soyez-en bien certain. Les écureuils ne sont pas bêtes, Et le mien était fort malin ; Il reconnaît le patelin, Et répond d'un ton doux : je meurs d' impatience De vous embrasser, mon cousin ; Je descends : mais, pour mieux lier la connaissance, Je veux vous présenter mon plus fidèle ami, Un parent qui prit soin de nourrir mon enfance... Il dort dans ce trou-là : frappez un peu ; je pense Que vous serez charmé de le connaître aussi. Aussitôt maître renard frappe, Croyant en manger deux. Mais le fidèle chien S'élance de l' arbre, le happe, Et vous l'étrangle bel et bien. Ceci prouve deux points : d'abord, qu' il est utile Dans la douce amitié de placer son bonheur, Puis, qu'avec de l' esprit il est souvent facile, Au piège qu'il nous tend, de surprendre un trompeur. ----- de Jean-Pierre Claris de Florian. --------- |
Déposé par colombine67 le 09/02/2024Pourquoi aimer les animaux? Parce qu'ils vous donnent tout, sans rien demander. Parce que contre le pouvoir de l'homme armé, ils sont sans défense. Parce qu'ils sont des enfants éternels, Parce qu'ils ne savent pas ce qu'est la haine ou la guerre. Parce qu'ils ne connaissent pas l'argent et qu'ils se consolent seulement avec un endroit pour échapper au froid. Parce qu'ils se font comprendre sans dire un mot, Parce que leur regard est aussi pur que leur âme. Parce qu'ils ne connaissent ni envie ni rancune, Parce que le pardon est encore naturel en eux. Parce qu'ils savent aimer avec loyauté et fidélité. Parce qu'ils vivent sans avoir une maison luxueuse. C'est pourquoi ils n'achètent pas l'amour, ils attendent juste ça Et parce qu'ils sont nos compagnons, amis éternels, que rien ne pourra séparer. Parce qu'ils sont vivants. Pour ceci et mille autres choses, ils méritent notre amour. Si nous apprenions à les aimer comme ils le méritent, nous serions très proches de Dieu Mère Teresa. |
Déposé par spanky le 08/02/2024Aujourd'hui nous rendons hommage à Andy, ancien pensionnaire du refuge adopté par Gérard notre bénévole et Christine à qui nous souhaitons beaucoup de courage. -------------- Voici quelques mots de Gérard : Quel vide ce matin !!! Je n'ai pas ton petit aboiement pour me dire qu'il est l'heure de se lever. Tu ne viens pas chercher ton petit morceau de croûte de pain au petit déjeuner. Tu ne vas pas près du lit où Christine t'attend. Je fais notre promenade quotidienne, tu n'es pas à mes côtés mais tu es dans ma tête. En rentrant, tu ne t'installe pas à ta place habituelle pour surveiller les allées et venues de la rue. Tu nous as brutalement quittés dans la nuit de samedi à dimanche. La maladie qui t'avait miné en 2021 et que tu avais vaillamment vaincue a repris le dessus pour t'anéantir. Terminées toutes ces habitudes qui avaient rythmé depuis ce jour d'août 2014, date d'arrivée chez nous après un court séjour dans le box n° 7 du refuge de Vermelles où j'avais craqué dès que je t'avais vu : ton accueil lorsque nous revenions à la maison dans laquelle tu n'as jamais fait aucun dégât, tes aboiements quand tu entendais le gravier du parking à l'arrivée de quelqu'un, tes courses folles dans la pelouse entre les deux barrières lorsque passait un chien dans la rue, tes jeux avec ton ballon ou ta corde, ta façon de surveiller la confection des ta gamelle le midi, ton attente devant l'armoire à "bonbons chiens", les promenades quotidiennes par n'importe quel temps, tes espiègleries (subtiliser une chaussure, un bâton,... avec lesquels tu nous regardais d'un air narquois), tes visites chez le véto que tu n'aimais pas (c'était sportif pour te maintenir sur la table), nos vacances, ..... Tu nous a donné 10 ans de bonheur. Adieu compagnon fidèle, notre meilleur ami. Tu vas rejoindre Rick, Lady et Roxy. |
Déposé par colombine67 le 08/02/2024Entre quatre murs. Je suis né entre quatre murs. Une petite pièce calme, sombre et tiède. Ma mère, mes frères et sœurs. L’odeur sucrée du lait. Je dormais, je mangeais. Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins. J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes. C’était mon petit univers. Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi. J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde. Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait souvent accompagné d’autres bipèdes, qui nous parlaient, nous touchaient, nous examinaient sous toutes les coutures. Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent commençait à pointer le bout de son museau : la peur. Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence de ma curiosité insatiable de chiot. Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes. Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle. Je me souviens avoir beaucoup pleuré. Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie. Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse : ces odeurs inédites, ces bruits inconnus, la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante, c’était inquiétant mais tellement stimulant ! Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie faite d’exploration et d’aventures excitantes. J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action, de l’action et encore de l’action. On m’a installé entre quatre murs. C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né. Il y avait même quatre murs dehors au-dessus desquels régnait un grand ciel bleu. J’avais toujours connu un toit sur ma tête, et j’étais un peu effrayé par cette immensité. Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace. À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe et chaque insecte rampant ou volant. À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud, mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi. Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie. Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils ne parvenaient pas toujours à me comprendre. Et puis, je ne les voyais pas beaucoup : ils partaient le matin et rentraient le soir. Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux. La maison était spacieuse, le jardin était vaste. Mais je commençais à y éprouver un sentiment qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui. Je connaissais ma maison par cœur, et mon jardin sur le bout des griffes Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux. La souffrance, invisible aux yeux de mes humains, commençait à s’insinuer en moi. J’ai vécu entre quatre murs. Je pensais que le monde était plus vaste. J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison et au jardin de mes deux-pattes. Mes bipèdes me nourrissait , me caressait, j’avais même le droit de me coucher contre eux quand ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs. Mais ils semblaient insensibles à ma douleur. Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse. J’aboyais beaucoup, au moindre bruit, parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée. Je creusais beaucoup dans le jardin, pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol. Mes deux pattes se fâchaient, mais mon besoin d’activité grondait lui aussi. Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos que j’arrivais à évacuer ma frustration. Je suis mort entre quatre murs. J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie. Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui. J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création, j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur. Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris une vie faite d’action et de découvertes. Mais on m’a enfermé dans une cage. Une grande cage, avec des barreaux en or massif. Ma mort a été à l’image de ma vie : je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux, dans le confort d’un salon. Mon histoire est loin d’être unique : elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce. Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir : nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs. Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook, ni le bonheur de lire un bon livre. Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors, au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier. Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil a laissée en escaladant un tronc d’arbre. Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés. Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents. Et je crois bien, humains, que vous êtes en train d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre. Elsa Weiss / Cynopolis |
Déposé par poutounou le 07/02/2024LE MOQUEUR MOQUE * Un escargot se croyant beau, se croyant gros, se moquait d'une coccinelle. Elle était mince, elle était frêle Vraiment, avait-on jamais vu Un insecte aussi menu ! Vint à passer une hirondelle qui s'esbaudit du limaçon. - Quel brimborion ! s'écria-t-elle, C'est le plus maigre du canton Vint à passer un caneton. - Cette hirondelle est minuscule, voyez sa taille ridicule dit-il d'un ton méprisant. Or, un faisan aperçut le canard et secoua la tête : - Quelle est cette minime bête ? au corps si drôlement bâti ? On n'a jamais vu plus petit Un aigle qui planait, leur jeta ces paroles - Êtes-vous fous ? Êtes-vous folles ? Qui se moque du précédent sera moqué par le suivant. Celui qui d'un autre se moque à propos de son bec, à propos de sa coque, de sa taille ou de son caquet, risque à son tour d'être moqué. * Et oui, soyons humbles ! |
Déposé par spanky le 06/02/2024Une belle adoption --------- Je l'avais adoptée mais elle a refusé de partir avec moi. C'était bizarre car les chiens ont hâte de quitter le chenil. Elle pleurait et se cognait les pattes. J'aurais dû la traîner. Mais quand j'ai regardé en bas, j'ai compris la raison et j'ai dû faire un CHOIX. « Quand le temps est venu de la ramener à la maison, elle était juste sortie de cette cage, à partir de ce moment un nouveau monde l'attendait, une vie merveilleuse et beaucoup d'amour N'importe quel autre chien aurait rencontré les étreintes de ses sauveteurs. Mais elle ne l'a pas fait. Elle est restée immobile, restant à quatre pattes et a refusé de sortir de la cage. Dans un coin, un petit Chihuahua Taco la regardait avec peur. Elle a compris qu'elle était sur le point de perdre son meilleur ami. Et à ce moment-là, un petit miracle se produit. Le couple a vu toute la scène et a décidé de les adopter tous les deux. Ils ont aussi fait les documents pour le chihuahua et tous les 4 sont sortis par la porte du refuge, a été pris dans la voiture, avant de partir. Personnellement je voudrais souhaiter à ces deux chiens une vie heureuse pleine d'amour !. Mais surtout tant de bonheur aussi à ces deux merveilleuses personnes. |
Déposé par spanky le 04/02/2024Hôtel chiens admis. ........ Un vieux monsieur, veuf, avait envie de prendre quelques jours de repos dans un petit hôtel de la France profonde. Il voulait échapper pendant quelques jours à la solitude qu’il partageait avec son chien. Il écrivit en substance: Je souhaiterais amener avec moi mon chien, qui est adorable, soigné, bien dressé et très propre, pourra-t-il partager ma chambre, pourra-t-il dormir dans ma chambre ? Il reçut la réponse suivante : Monsieur, je suis dans ce métier depuis de longues années. Je n’ai jamais vu un chien quitter un hôtel en emportant des serviettes, des draps, des peignoirs de bains ou autres cendriers et tableaux décoratifs. Je n’ai jamais eu à renvoyer « manu militari » un chien qui était ivre et faisait du tapage nocturne, au préjudice des honnêtes gens qui habitaient mon hôtel. Je n’ai jamais dû discuter avec un chien pendant de longues heures autour d’une addition incomprise et jugée scandaleuse, voire, malhonnête. Pour ces raisons - la liste n’étant pas exhaustive – OUI, votre chien est le bienvenu dans mon hôtel. Si votre chien peut, par retour de courrier, se porter garant de vous-même, vous serez également le bienvenu. |
Déposé par poutounou le 04/02/2024Qu'elle est jolie et rigolote cette poésie ! * Le cheval chante * Le cheval chante. Le hibou miaule. L'âne gazouille. Le ruisseau hennit. * - C'est bien, mon enfant : joue avec les mots. * Le triangle est rond. La neige est chaude. Le soleil est bleu. La maison voyage. * Tu as de la chance : les mots sont amicaux et généreux. * Le poisson plane. La baleine court. La fourchette a des oreilles. Le train se gratte. * - Je t'avais prévenu : maintenant les mots te mordent. * Alain Bosquet |
Déposé par spanky le 02/02/2024La bonne chienne, ------ Les deux petits jouaient au fond du grand pacage; La nuit les a surpris, une nuit d'un tel noir Qu'ils se tiennent tous deux par la main sans se voir L'opaque obscurité les enclot dans sa cage. Que faire ? les brebis qui paissaient en bon nombre, Les chèvres, les cochons, la vache, la jument, Sont égarés ou bien muets pour le moment, Ils ne trahissent plus leur présence dans l'ombre. Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes Sourdement fait gronder l'écho. Mais la bonne chienne Margot A rassemblé toutes les têtes Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes, Chacun des deux petits lui tenant une oreille, Tous les trois, à pas d'escargot, Ils regagnent enfin, là-haut, Le vieux seuil où la maman veille. ------- Maurice Rollinat 1846-1903 ---- |
Déposé par poutounou le 31/01/2024Jolie petite histoire d’hiver pour toi, bel Ange… Entre nous, pas malin le bonhomme de neige ! * Dans la nuit de l’hiver Galope un grand homme blanc C’est un bonhomme de neige Avec une pipe en bois Un grand bonhomme de neige Poursuivi par le froid. Il arrive au village Voyant de la lumière Le voilà rassuré Dans une petite maison Il entre sans frapper Et pour se réchauffer S’assoit sur le poêle rouge Et d’un seul coup disparaît Ne laissant que sa pipe Au milieu d’une flaque d’eau Ne laissant que sa pipe Et puis son vieux chapeau… * Jacques PREVERT |
Déposé par spanky le 31/01/2024J'ai volé la plus belle étoile, J'ai volé les plus beaux mots d'amour les plus touchants, J'ai volé les fleurs les plus parfumées pour toi. Tu es le soleil qui illumine ma vie. Au matin, me lever sans toi à mes côtés, C'est se lever dans un monde où il fait toujours nuit Tu es mon bonheur a moi. Souvent mes pensées se perdent dans le passé, Je me souviens de ces doux moments qu'ensemble nous avons partagés. Si j'étais un jardinier, je te donnerais une fleur Mais comme tu es mon seul Amour, je te donne mon coeur. Mon coeur brûle pour toi, Comme la lave d'un volcan que rien ne peut arrêter. Même si je suis loin de toi mon ange Je me sens tout près de toi mon coeur, Je m'assieds et j'écoute le souffle lent du vent, Et dans ses murmures c'est ton prénom que j'entends. Je T'aime! Je lève les yeux au ciel, un nuage blanc passe, En le regardant, j'aperçois ton doux visage, je t'aime! Tu es ma chanson, ma couleur, et ma douceur. Quand je lève la tête, je vois des milliers d'étoiles , Mais la plus belle est en face de moi, Toi la moitié de mon plaisir c'est de penser à toi et l'autre moitié serait d'être près de toi. L'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas. J'en vois 1000, j'en connais 100, j'en embrasse 10, j'en Aime 1, C'est toi mon doux petit ange adoré. Si chaque fois que je pense à toi une fleur poussait Alors le monde serait un immense jardin. Quand je ferme les yeux, j'entends une douce musique, Une voix aimée, je sens ta présence, La tienne mon doux petit ange que j'aimerais pour l'éternité "Ta beauté qui demeure est ma fleur du bonheur" Je berce tes nuits d'un je t'aime à l'infini.... Repose en paix petit être de douceur plein de doux câlins. |
Déposé par spanky le 29/01/2024Ajax --- Parme Ceriset, recueil l'Espoir en guerre. --------- Ses sourires où perçait un adorable croc, Ses larmes inavouables qui détrônaient les mots, Son regard infini et bien plus qu'humain La rendaient bien plus << homme >> que tous ces inhumains. ---- Maintenant que je l'attends, à présent qu'elle n'est plus, Que dans ses larges yeux l'éclat est bien rompu, Je la vois transporter son petit coeur en mousse Et l'emporter vers des contrées plus douces... ---- Ce coeur rouge est le mien, il flamboie de l'amour D'un maître pour son chien qui attendra toujours Le retour de l'être qui l'a tant attendu : Tant que la mort ne l'avait pas vaincu... ---- Et au fond de mes rêves, j'entends le pas boiteux Du fantôme de ma chienne à la patte blessée, Elle séjourne en mon âme dans mon éternité, Et mon coeur trouve refuge en son coeur généreux. -------- |
Déposé par poutounou le 28/01/2024Encore deux, trois mois et le plus dur sera passé. Printemps reviens nous vite !!! * Le printemps reviendra * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême |
Déposé par spanky le 27/01/2024Les animaux vivent sur terre au même titre que les humains. ------------- Ils sont dotés d'une âme comme nous et ressentent les choses bien mieux que nous. Ils n'ont pas de préjugés, ils sont saint d'esprit. Ils sont bien trop maltraités sur la terre, alors qu'ils sont remplis d'amour pour nous. Ils ne demandent qu'à partager cet amour. Ils ressentent vos joies, vos peines. Ils comprennent tout de façon télépathique. Ils se branchent sur vous et lisent vos pensées. Les animaux envoient continuellement de l'amour sans compter. Ils montrent une grande évolution et nous nous croyons supérieur à eux, Alors qu'ils pourraient nous donnez une belle leçon d'amour. Ils sont d'une grande sincérités contrairement à l'homme, qui par son égo, se croit supérieur. -------- |
Déposé par spanky le 25/01/2024Belle réflexion ! ---- Pourquoi les chiens vivent moins longtemps que les humains ? ---- Voici la réponse (selon un enfant de 6 ans) : ---- En tant que vétérinaire, on m'a appelé pour examiner un chien irlandais de 13 ans appelé Belker. La famille du chien, Ron, sa femme Lisa et leur fils Shane, étaient très proches de Belker et attendaient un miracle. J'ai examiné Belker et j'ai découvert qu'il mourait d'un cancer. J'ai dit à la famille que je ne pouvais rien faire pour Belker, et j'ai proposé de faire la procédure d'euthanasie chez elle. Le lendemain, j'ai ressenti leurs sentiments de plein fouet quand Belker a été entouré par sa famille. Shane semblait si calme, caressant le chien pour la dernière fois, et je me demandais s’il comprenait ce qui se passait. Au bout de quelques minutes, Belker tomba paisiblement en dormant pour ne jamais se réveiller. ---- L'enfant semblait accepter la transition de Belker sans difficulté. Nous nous sommes assis un moment pour nous demander pourquoi le malheur fait que la vie des chiens est plus courte que celle des êtres humains. Shane, qui avait écouté attentivement, a dit :" je sais pourquoi " ---- Ce qu'il a dit ensuite m'a surpris : je n'ai jamais entendu une explication plus réconfortante que celle-ci. Ce moment a changé ma façon de voir la vie. Il a dit : " les gens viennent au monde pour apprendre à vivre une belle vie, comme aimer les autres tout le temps et être quelqu'un de bien, hein ? '' ---- " Et bien, comme les chiens sont déjà nés en sachant comment faire tout ça, ils n'ont pas à rester aussi longtemps que nous. '' ---- La morale de l'histoire est : ----- Si un chien était ton professeur, il t’apprendrait des choses comme : ----- * Quand vos proches arrivent à la maison, il faut toujours aller dire bonjour ; --- * Ne laissez jamais passer une occasion d'aller se promener ; --- * Faites l'expérience de l'air frais et du vent ; --- * Courez, sautez et jouez tous les jours ; --- * Améliorez votre attention et laissez les gens vous toucher ; --- * Évitez de " mordre " lorsque seul un " grognement " serait suffisant ; --- * Dans les jours chauds, allongez-vous sur l'herbe. --- Et N'oubliez jamais : " quand quelqu'un aura eu une mauvaise journée, restez silencieux, asseyez-vous près de lui et doucement faites-lui sentir que vous êtes là... ----- C'est le secret du bonheur que les chiens nous apprennent tous les jours. -------- |
Déposé par poutounou le 24/01/2024Magnifique texte de Florent Pagny : « Dors…Laisse-moi couvrir tes ailes blanches et ton corps… » * Dors… * Dors Oublie les blessures lâches du temps Dors Ne réveille pas tes yeux d'océan Dors Laisse ton âme libre Aux désirs que tu crois Garde ta flamme vive Je serai toujours là Même si tu ne me vois pas Dors Mon cœur, mon ange * Dors Laisse-moi couvrir tes ailes blanches Et ton corps Je veillerai sur tes pas Je serai près de toi Oh, je te promets Que si un jour tu tombes Ce sera dans mes bras Aussi longtemps que tu le voudras * Dors Fais-moi rêver le ciel Entends mon appel Fais-moi plus fort au réveil Je serai ton gardien Le Noël de tes lendemains * Dors, dors |
Déposé par spanky le 23/01/2024ABANDON -------- Je me promenais le long de la forêt L’air pensif, la mime gaie Un enfant jouait au loin Un homme promenait son chien. J’écoutais chanter les oiseaux Dans le champ couraient des lapereaux. Un bel après-midi à la campagne Tout ce qui fait son charme. Je décidais de m’enfoncer un peu dans le bois En espérant tout au fond de moi Pouvoir apercevoir une biche avec son faon. Je marchais donc tout tranquillement Quand j’entendis un gémissement. Un tout petit cri à peine audible Perdu au fin fond de cet endroit si paisible. Je secouais la tête en pensant Que ce cri vraiment pas charmant Etait encore une illusion Un bruit sorti de mon imagination. Je repris ma marche paisiblement Quand pour la deuxième fois, retendit ce gémissement. J’ai donc décidé courageusement De voir d’où venait ce cri alarmant. J’ai marché quelques pas, en suivant le bruit Mille questions arrivèrent dans mon esprit Qu’allais-je trouver au bout de ce chemin Qui pouvait émettre ce bruit inhumain ? Plus je m’approchais, plus je m’inquiétais De savoir ce qui se trouvait dans les bosquets. Me voici donc arrivée sur les lieux Ou ma curiosité m’avait conduite Et malheureusement, je n’ai rien trouvé de merveilleux Juste quelque chose d’affreux. Il était là, tout tremblant Il était là, tout pleurant Se demandant ce qui avait fait pour mériter De finir à cet arbre attaché. Dès qu’il me vit, il remua la queue Êtres magiques, Êtres merveilleux Qui n’ont dans leur cœur Que joie et bonheur Pour nous les humains, souvent malsains. Ils nous aiment sans discernement Et pourtant, même trop souvent On les maltraite, on les torture, on les bat Sans se rendre compte de tout l’amour qu’ils ont pour nous ici-bas. Il était donc là, ce petit chien Avec dans ces yeux tout l’amour pour l’humain. Combien de temps avait-il pleuré au milieu de ces bois Combien de temps a-t-il attendu le retour d’une o***** qui ne reviendrait pas ? Je m’approchais de lui, le caressais Lui retirais la corde qui l’entravait là Je le pris dans mes bras Et doucement lui parla. Tu es sauvé mon chien, mon ami Mais pour un que l’on retrouve en vie Combien meurent seuls dans la nuit ? Abandonner son animal est une horreur Que rien sur cette Terre ne justifie Alors vous, hommes pourris, hommes sans cœur Si parfois vous en avez envie Dites-vous que je vous maudis. |
Déposé par spanky le 21/01/2024Quelqu'un là-haut, ------- Une vie de plus, Au terminus... Un chagrin, Qui réveillera le matin, En cherchant en vain, Quelqu’un et sa main. ---- C'est un silence, C'est une absence, Le manque d'une présence... Personne n'en aura les mots, Tomberont les sanglots, C'est tout ce qui reste, C'est tout ce qui blesse. ---- Une vie de plus, Au terminus, Ce n'est que peine, Qui se ramène, Sur un triste je t'aime Qui entre ciel terre et ciel, Est bien la plus cruelle. ------- |
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