|
|
|
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
En hommage à
GOLDEN-RETRIEVERPELUCHE
Il est né le:10/01/1998
Il nous a quittés le:12/05/2014
aucune bougie 10 personnes aiment cette page |
En hommage à
PELUCHE
0 bougie
|
5514 Fleurs
Déposé par Sissi10 repose en paix bel ange Peluche ! veille bien sur ta famille qui souffre et te pleure ! Déposé par nikita sur chaque pétales de ces roses c'est un baiser que je dépose ,avec toute la tendresse qui vient du plus profond de mon coeur pour toi mon beau Peluche avec des pensées pour ta famille Déposé par marierose retrouve ma Miska et jouer bien tous ensemble. courage à tes maîtres. gros bisous s. Déposé par ovanek ** Une merveilleuse et belle Pensée pour Toi Bel Ange ...de la part des Maîtres de Ovanek dit Max Déposé par Pachkounet Tout plein de gratouillis pour toi Peluche et avec tout mon amour. Repose en paix au Pays des Canoutoux. Je t'aime. |
2225 messages
Déposé par colombine67 le 03/08/2015Lueurs d’Âme Quand une porte se ferme, une autre s’ouvre. Qu’est-ce que je suis en train de faire de ma vie ? Les difficultés ne sont pas là pour me décourager, mais pour me faire découvrir quelque chose. Je cesse de me sentir obligée de faire ce que les autre attendent de moi, je suis vraie avec moi-même. Je cesse d’attendre, car ce qui doit arriver viendra de toutes façons. Je vis dans l’instant présent, sans me soucier du passé ou du futur Je prends contact avec ma force intérieure. Je règle ma situation devenue intolérable, je m’en libère. Je porte attention aux coïncidences, puisque le hasard n’existe pas. J’assume ma vie et je cesse de déléguer mon pouvoir aux autres. Tout découle de mon attitude Intérieure. Plus la place est prise par mes peurs, moins j’ai d’espace pour la Joie et l’Amour. Aujourd’hui, je dis Oui au changement. Aujourd’hui, je me dégage de ma culpabilité, je me pardonne et m’accepte telle que je suis. La vie est un cadeau et je l’accepte, même si je l’ai mal emballé. Je souris à la Vie et je rayonne sur mon entourage. Je définis mes vrais besoins et abandonne les faux désirs. Aujourd’hui, je me respecte et ne renonce pas à mes projets, même si les autres ne sont pas d’accord. Je cherche à ressentir le sens réel dans tout ce qui m’arrive. Chaque personne que je rencontre détient un message et j’en détiens un pour elle : je suis à l’écoute. Je re-crée ma Vie, ma vie est le résultat de mes choix quotidiens. Je ne cherche plus le chemin du bonheur, car le bonheur, c’est le chemin. Le bonheur, c’est de se sentir remplie d’Amour, de le recevoir et de le redonner. |
Déposé par colombine67 le 02/08/2015 LE COLLIER DE PERLE.. EST UNE HISTOIRE VRAIE ET VRAIMENT BELLE! Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de presque 5 ans, en attendant avec sa maman près de la caisse, aperçoit un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose! 'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je t'en supplie, s'il te plait?' Vivement la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se tourna vers ces petits yeux bleus qui lui suppliaient avec sa petite frimousse tournée vers le haut. '$1.85. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de temps tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras surement des sous de ta grand-maman aussi.' Aussitot que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite tirelire en forme de cochon... elle calcule 17 cents. Après le diner, elle a fait plus que demander pour aider à la maison et ensuite elle a été chez la voisine Mme. Mc James en lui demandant si elle pouvait arracher ses mauvaises herbes pour 10 cents? À son anniversaire, sa grand maman lui donna un autre dollar et enfin elle avait assez d'argent pour s'acheter le collier. Oh, Jenny adorait ses perles. Ça la faisait sentir madame et grande fille. Elle les portait partout à l'église le dimanche, à la garderie, même au lit! Les seules fois qu'elles les enlevaient c'était pour nager ou prendre un bain. Car sa maman lui avait dit que si elles étaient trempées, elles tourneraient peut-être son cou vert. Jenny avait un père qui l'aimait beaucoup et à chaque soir quand il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il faisait pour aller lui raconter une belle histoire. Un soir, après avoir terminé son histoire, il demanda a Jenny, 'Est-ce que tu m'aimes?' 'Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime' 'Alors, donne-moi tes perles.' ' Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse- le cheval blanc de ma collection. Celle avec la queue rose. Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'a offerte. C'est ma préférée.' 'C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit' Et comme toujours lui effleura la joue avec un bécot. Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa de Jenny lui demanda encore, 'Est-ce que tu m'aimes?' 'Papa , tu sais que je t'aime' 'Alors, donne-moi tes perles.' 'Oh papa, pas mes perles. Mais tu sais tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve, celle que j'ai recue pour mon anniversaire, elle est si belle et tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à ses souliers.' 'C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa t'aime.' Et comme toujours, il lui caressa la joue tendrement avec un bécot. Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit. Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue. 'Mais qu'as-tu Jenny? Qu'est-ce qui se passe?' Jenny ne dit rien mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les ouvra, le collier de perles y était. Avec une voix tremblante elle lui dit, 'Voilà papa, c'est pour toi.' Avec ses propres larmes qui coulaient sur son visage, le gentil papa de Jenny pris les fausses perles d'une main et de l'autre sorti de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles véritables et lui donna. Il les avaient depuis le début. Il attendait seulement qu'elle lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le vrai trésor. Comme Dieu, il attend de nous qu'on lui donne les choses fausses à quoi on tient dans notre vie, pour les remplaçer par un trésor magnifique. Tenez-vous à quelque chose que Dieu veut que vous vous débarassiez? Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaire et vous font mal? Des habitudes, des activités, auxquelles vous êtes si habitué et attaché qu'il semble impossible de se débarrasser? Parfois c'est difficile de voir ce que l'autre main retient, mais croyez en une chose....* Dieu ne prendra jamais quelque chose à quoi vous tenez sans le remplacer par quelque chose de mieux! Vous pouvez faire 2 choses avec cette histoire a) Vous la passez aux autres qui en seront touchés b) Vous pouvez la jeter et ne pas en être touché. Les plus beaux cadeaux arrivent, quand vous partagez l'amour et que vous touchez les autres au coeur.* |
Déposé par rafia le 01/08/2015 {De Là-haut} (Interprète Thierry AMIEL) De ce temps-là, je n'entends plus ma voix De ce temps-là, je ne guide plus mes pas De ce temps-là, je sais que je vais mais ne marche pas Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Désormais, s'il fait un peu plus frais Ce n'est pas que le temps soit mauvais Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pâle reflet De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? Et s'ils te réconfortent, là où il t'emportent Je ne rêve qu'en noir et blanc Mes souvenirs se mêlent de sang et pourtant Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? S'ils te réconfortent, là où ils t'emportent... de là-haut. |
Déposé par colombine67 le 01/08/2015L'ARC-EN-CIEL Un beau jour, toutes les couleurs du monde entier se mirent à se disputer. Chacune prétendait qu'elle était la plus belle, la plus importante, la plus utile, la préférée ! Elles se vantaient, à haute voix, chacune étant convaincue d'être la meilleure. Le bruit de leur querelle s'enfla de plus en plus. Soudain, un éclair d'une lumière aveuglante apparut dans le ciel, accompagné de roulements de tonnerre. La pluie commença à tomber à torrents sans discontinuer. Effrayées, toutes les couleurs se tapirent et se rapprochèrent pour chercher un abri les unes près des autres. La pluie prit la parole : "Stupides créatures qui vous battez entre vous, chacune essayant de dominer l'autre, ne savez-vous pas que c'est le Grand Esprit qui vous a faites toutes, chacune dans un but particulier, uniques et différentes ? Il aime chacune d'entre vous, il a besoin de vous toutes. Joignez vos mains et venez à moi. Il va vous étendre à travers le ciel en un magnifique arc-en-ciel, pour vous montrer qu'il vous aime toutes, que vous pouvez vivre ensemble en paix. Comme une promesse qu'il est avec vous et comme un signe d'espérance pour demain ..." Ainsi, chaque fois que le Grand Esprit envoie une pluie pour laver le monde, il place l'arc-en-ciel dans son ciel, et quand nous l'apercevons, nous devrions nous rappeler qu'il veut que nous sachions, nous aussi, nous apprécier les uns les autres et le louer de notre merveilleuse complémentarité. Légende Amérindienne |
Déposé par rafia le 31/07/2015Chant d'amour En même temps que tous les bourgeons la Rose de mon cœur se réveille, elle aussi, aux chants des étoiles matinales et nocturnes, la Rose de mon cœur s'épanche, elle aussi. Lorsque le rossignol fit entendre sa voix, Mon cœur se fondit en larmes; Lorsque la nature s'endormit autour de moi, mes rêves se réveillèrent. Des myriades d'étoiles sont là haut au ciel, unique est l'Étoile qui éclaire mes ténèbres. Darius Milhaud |
Déposé par colombine67 le 31/07/2015"Considérez vos rêves comme les enfants de votre Âme Et accordez-leur toute votre attention, car ils sont à l'origine de vos accomplissements". ....alors, j'ai pensé à cette fabuleuse chanson d'Yves Duteil dont je me permets de vous rappeler les paroles. Puissent-elles faire souffler un vent d'innocence sur chaque coin du Monde qui constitue notre si Belle Planète et chasser les odeurs de violence et de cruauté : Prendre un enfant par la main Pour l'emmener vers demain. Pour lui donner la confiance en son pas Prendre un enfant pour un roi. Prendre un enfant dans ses bras Et pour la première fois Sécher ses larmes en étouffant de joie Prendre un enfant dans ses bras. Prendre un enfant par le coeur Pour soulager ses malheurs, Tout doucement, sans parler, sans pudeur, Prendre un enfant sur son coeur. Prendre un enfant dans ses bras Mais pour la première fois Verser des larmes en étouffant sa joie, Prendre un enfant contre soi. Prendre un enfant par la main Et lui chanter des refrains Pour qu'il s'endorme à la tombée du jour, Prendre un enfant par l'amour. Prendre un enfant comme il vient Et consoler ses chagrins, Vivre sa vie des années puis soudain, Prendre un enfant par la main, En regardant tout au bout du chemin Prendre un enfant pour le sien. Je vous remercie tous de vous montrer si "Beaux"... |
Déposé par colombine67 le 30/07/2015Toi dont la voix s’entend dans le souffle de la brise, Toi dont l’haleine donne vie au monde, Nous avons besoin de ta force et de ta sagesse. Fais que nous marchions dans ta beauté, Que jamais nos yeux ne se lassent de contempler les ors et les pourpres du soleil couchant. Aide-nous à lire les messages que tu as cachés dans les feuilles et les rochers. Rends-nous sages, afin que nous saisissions ce que tu nous as enseigné. Fais que nous soyons toujours prêts à venir à toi les mains propres et le regard clair. Ainsi quand la vie s’éteindra comme s’éteint le couchant, sans honte, nos esprits pourront venir à toi. Transforme nos cœurs afin que nous n’enlevions jamais à la beauté de ta création plus que nous ne lui donnons. Apprend-nous à ne jamais rien détruire à la légère pour satisfaire notre avidité, à ne jamais oublier de prêter nos mains pour édifier la beauté de la terre ; à ne jamais prendre ce dont nous n’avons pas besoin. Rends-nous capables de comprendre que détruire la musique de la terre, c’est créer la confusion, ruiner son apparence, et nous rendre aveugles à la beauté. Polluer son doux parfum par notre insouciance, c’est en faire une maison de puanteur. Mais si nous prenons soin d’elle, la terre prendra soin de nous. (prière amérindienne) |
Déposé par poutounou le 29/07/2015Une très belle histoire avec une belle fin comme on les aime… * A la Réunion, un chien s'évade du chenil de la SPA et fait 10 km pour retrouver son frère! * Le comportement des animaux n'a pas fini de nous surprendre. * Christian, en adoptant Atchy à la SPA de Sainte-Marie, était loin d'imaginer qu'il allait en fait adopter aussi le frère de l'animal. "En adoptant ce chien, j'avais remarqué un autre chien qui avait l'air triste. En fait, c'était son frère", explique-t-il. * Ne souhaitant adopter qu'un seul chien, Christian emmène Atchy chez lui. * Quinze jours plus tard, Atchy s'est parfaitement habitué à son nouveau domicile. "C'est un chien très gentil", indique Marie-Lina, l'épouse de Christian. * Jeudi dernier, Marie Lina remarque un chien au rond-point de la Rivière des Pluies. "Je ne pouvais savoir qu'il s'agissait en fait du frère d'Atchy", affirme Marie-Lina, laissant transparaître son émotion. * Dimanche dernier, toute la famille est surprise de voir Atchy aboyer pendant un long moment après un autre chien au portail. "Ils ont longtemps aboyé et j'ai fini par ouvrir le portail", raconte Christian. "Quand l'autre chien est entré, il s'est mis tout de suite à jouer avec Atchy. J'en ai eu des frissons à cause de l'émotion qui est monté à cet instant. Le lendemain, lorsque j'ai appelé la SPA, ils m'ont expliqué que ce deuxième chien était le frère d'Atchy et qu'il s'était échappé depuis plusieurs jours, sûrement parce que son frère lui manquait trop". * Appelé Rex, le frère d'Atchy est encore un peu maigre à cause de son périple de plusieurs jours pour effectuer les 10 km qui séparent le chenil de la SPA de la maison de Christian et Marie-Lina . Depuis, les deux chiens ne se quittent plus et ils ont droit chaque soir à une petite balade dans le quartier de Beauséjour. * Aujourd'hui, Christian et Marie-Lina s'interrogent. Comment Rex a-t-il fait pour retrouver la maison où Atchy avait été emmené ? S'est-il servi de son odorat pour y arriver ? Ou est-ce que ce sont plutôt les aboiements d'Atchy qui étaient audibles à 10km de distance et qui ont guidé Rex jusqu'à Beauséjour ? Une bien belle histoire en tous les cas... |
Déposé par rafia le 29/07/2015Parce que notre souffrance est la même...lorsque notre Amour/Canin.....nos Amours /Canins..ns quitte//ent Il est des faits et des images qui restent gravées à jamais Ds ma mémoire, comme un album souvenirs, ils sont stockés. Certains évoquent des moments tendres, Si joyeux qu'ils me font fondre. Mais dans les moments d'infinie tristesse C'est l'absence qui blesse; Les souvenirs accumulés au fil des ans Me font tjrs souffrir autant. Ma douleur je voudrais l'assimiler, Mais toutes vos absences me font pleurer, Lorsque je feuillette le livre de ma vie Seule, quand vient la nuit. Je me surprends à rêver, Ts mes souvenirs déambulent ds mes pensées. Je ne peux que constater Mes amours/westies combien vs me manquez. Je n'ai que des moments de bonheur Ds toute leur splendeur, Je peux encore ressentir toute la joie Que vs ns donniez autrefois. Mais la douleur atroce dégaine Pendant que nos souvenirs j'égrène, Le bonheur s'est éteint Avec vos départs, il a pris fin. Il y a aussi les moments d'accalmie Qui adoucissent ma vie, C'est un peu comme les nuages Qui avant l'orage, passent. Avec vs j'ai écrit Les plus belles pages de ma vie, Il faisait si bon vivre Je pourrais en écrire tout un livre. Je sais que d'autres épreuves m'attendent, La vie n'est jamais tendre Mais peut-être qu'un peu de bonheur Dans l'avenir mettra de la couleur. |
Déposé par choupinou le 29/07/2015"La légende du pont de l’arc en ciel" "Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel" Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel. Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre. On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble. Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi. Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles. Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort. Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur. Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés. Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique. Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets. Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts. L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut. Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre. Vous souriez ! Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien. Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis. Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..." |
Déposé par myriam31 le 28/07/2015L'amour naît dans un sourire, Grandit dans un regard, S'approfondit Par une caresse, Et meurt dans une larme. Là-bas où que tu sois, je pense à toi et des milliers de bisous je t'envoie. Tendres pensées bel ange, amitiés et remerciement à ta maman pour ces bouquets et messages à mon BB Lucky. |
Déposé par colombine67 le 28/07/2015Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage. - Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince. - Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi. Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire CHANGE LE MONDE « C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas. - C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise. Et il disparut. Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire CHANGE LES AUTRES « C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent. Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses. - Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir. Et le Vieil Homme disparut. Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots CHANGE-TOI TOI-MEME « Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser. - C'est bien, dit le Sage. - Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise. - C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut. Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait ACCEPTE-TOI TOI-MEME Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer. Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte. A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut ACCEPTE LES AUTRES Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu. Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. - Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier. - J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte. Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut ACCEPTE LE MONDE « Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda. - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement. - C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde. Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita. - Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence. Et le Vieil Homme disparut. Merci à Françoise Laurent pour ce texte |
Déposé par rafia le 27/07/2015NOS ABSENTS chanson de Grand Corps Malade C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord Car la mort a ses raisons que notre raison ignore Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent On apprivoise la douleur et la présence de nos absents Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini Qu'inspirent des textes premier degré Faut dire que la mort manque d'ironie |
Déposé par colombine67 le 27/07/2015CONSEILS POUR MENER VOTRE VIE : 1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques. 2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon. 3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes. 4. Souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance. 5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement. 6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié. 7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger. 8. Passez un peu de temps seul chaque jour. 9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs. 10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure des réponses. 11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois. 12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie. 13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé. 14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité. 15. Soyez tendre avec la terre. 16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant. 17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans Laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre. 18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir. 19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant. Source: attribué au Dalaï Lama....www.lespasseurs.com |
Déposé par colombine67 le 26/07/2015L’arc-en-ciel de ma vie La vie m’a choyé dans un sens Jeune adolescente, le destin m’a donné De grandes responsabilités que j’ai acceptées C’était ma destinée… J’y ai mis tout mon cœur et mon amour, Cette grande expérience m’a permis de grandir Des bonheurs sous le soleil Des chagrins sous la pluie Des montagnes à gravir Non sans peines et difficultés Mais j’ai toujours réussi… Ça recommence toujours… Mais dans mon cœur j’ai une vision. C’est de voir la vie « belle et d’y croire » J’y mets toute mon énergie, je garde confiance. Avec les évènements de la vie, j’ai vu noir Et aussi toutes les couleurs de l’arc-en-ciel De beaux jardins remplis de fleurs Des gestes et paroles remplis d’amour Des montagnes qui me semblaient incontournables Des situations qui ont perturbées le courant de ma vie J’ai gardé confiance et le sourire. Pour traverser le chemin de ma vie… Je regarde toujours devant, mon vécu m’a permis De grandir, de m’épanouir et de sourire, J’ai aidé, j’ai donné et j’ai reçu et ça continue La vie est belle, il faut y croire Et ça recommence toujours… Des montagnes à gravir des chagrins sous la pluie Mais des bonheurs sous le soleil sont à l’horizon Remplis d’amour et de joies… Christine QC Canada |
Déposé par rafia le 25/07/2015« Arigato » Pascal Obispo Je t’ai vu me quitter des yeux Pour d’autres ailleurs, vers d’autres cieux On y parle d’endroits merveilleux Merveilleux Mais personne n’est revenu déjà Pour nous dire si c’est vrai ou pas Tu aurais pu me dire « Adieu » Tenir ma main encore un peu Même si là-bas on y est mieux On y est mieux Mais personne n’est revenu encore De cet autre côté du décor Arigato Mon amour…. A bientôt… Mon amour… Je t’ai vu t’en aller heureux Pour un voyage vers le grand bleu Qui ne se fait jamais à deux Jamais à deux Mais personne n’est revenu déjà Pour dire qu’on vous attend là-bas Arigato Mon amour…. A bientôt… Mon amour… S’il fallait entre nous un mot Qui soit comme un dernier cadeau Avant de fermer les rideaux Mon amour…. Mon amour…. Mon amour… Mon amour… A bientôt Arigato Mon amour…. Mon amour… A bientôt Arigato |
Déposé par colombine67 le 25/07/2015"Le Bonheur Le Bonheur ne se trouve pas avec effort et volonté, Mais réside là, tout proche, Dans la détente et l'abandon. Ne sois pas inquiet, il n'y a rien à faire. Tout ce qui s'élève dans l'esprit n'a aucune importance, Parce que dépourvu de toute réalité. Ne t'attache pas aux pensées, ne les juge pas. Laisse le jeu de l'esprit se faire tout seul, S'élever et retomber, sans intervenir. Tout s'évanouit et recommence à nouveau, sans cesse. Cette quête même du bonheur est ce qui t'empêche de le trouver. Comme un arc-en-ciel qu'on poursuit sans jamais le rattraper. Parce qu'il n'existe pas, parce qu'il a toujours été là, Et parce qu'il t'accompagne à chaque instant. Ne crois pas à la réalité des choses bonnes ou mauvaises, Elles sont semblables aux arcs-en-ciel. A vouloir saisir l'insaisissable, on s'épuise en vain. Dès lors qu'on relâche cette saisie, l'espace est là, Ouvert, hospitalier, et confortable. Alors jouis-en. Ne cherche plus. Tout est déjà tien. A quoi bon aller traquer dans la jungle inextricable, L'éléphant qui demeure tranquillement chez lui. Cesse de faire. Cesse de forcer. Cesse de vouloir. Et tout se trouvera accompli, Naturellement. Guendune Rinpoché, Maître de méditation" |
Déposé par rafia le 24/07/2015Sois tranquille...D'Emmanuel Moire Je sais la peine, je sais les pleurs et les pensées Que les mots ne peuvent apaiser Je sais l’absence, je sais le manque et les regrets Les souvenirs qu’il faut revivre et partager Je sais tout ce qui est pour toi Refrain: Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix où je vais Sois tranquille Ce n’est rien Sois tranquille J’en ai besoin Et je m’en sers Je me libère Enfin Je sais le temps, je sais les heures, les nuits passées Que les rêves ne peuvent soulager Je sais l’effort et le courage à retrouver Se souvenir qu’il faudra vivre et continuer Je sais tout ce qui est pour toi Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix où je vais Sois tranquille Ce n’est rien Sois tranquille J’en ai besoin Et n’oublie pas, n’oublie pas Je suis la… Je suis la Je suis la Je suis la Sois tranquille Tout va bien Sois tranquille Je suis serein Je repose en paix où je vais Sois tranquille Et sois certain Où que tu sois Je veille sur toi, |
Déposé par colombine67 le 24/07/2015Une jeune dame attendait l’embarquement de son vol dans un grand aéroport. Puisqu’elle aurait à attendre plusieurs heures, elle décida de s’acheter un bon livre. Elle acheta aussi un paquet de biscuits. Elle s’est donc assise dans un bon fauteuil dans la salle VIP de l’aéroport pour se reposer et lire en paix. Le sac de biscuits se trouvait sur le bras du fauteuil ; un homme vint s’asseoir dans le fauteuil adjacent et il ouvrit son magazine et se mit à lire. Lorsqu’elle prit un premier biscuit, l’homme fit de même. Elle se sentait irritée par ce comportement mais elle ne dit rien, se contentant de penser: “Quel effronté, j’ai envie de lui sacrer une bonne claque sur la gueule. ” À chaque biscuit qu’elle prenait, l’homme en prenait un aussi. Ceci la mettait dans tout ses états mais elle ne voulait pas faire une scène. Lorsque qu’il ne resta qu’un seul biscuit elle pensa: “Et que va t’il faire maintenant cet abruti de profiteur?” L’homme prit le dernier biscuit, le brisa en deux et lui en remis la moitié. Ah! Mais là c’était trop! Elle était hors d’elle à ce moment! Dans un temps d’éclair, elle prit son livre et ses choses et sortit en trombe pour se rendre au guichet d’embarquement. Lorsqu’elle prit son siège dans l’avion, elle ouvrit son sac à main pour y prendre ses verres de lecture et à sa grande surprise, elle y découvrit son paquet de biscuits, intact et non-ouvert ! Elle se sentit tellement MAL!!! Elle réalisait comment elle s’était trompée... Elle avait oublié qu’elle avait mis son paquet de biscuits dans son sac à main. L’homme avait partagé ses biscuits avec elle sans rancune ni appréhension... pendant qu’elle s’était choquée, pensant qu’elle avait partagé ses biscuits avec lui...et maintenant elle n’aurait plus la chance de s’expliquer ou de s’excuser...” IL Y A 4 CHOSES QU’ELLE NE POURRAIT JAMAIS RATTRAPER... La Pierre.... Après le Lancement... Le mot.... ..Après l’avoir dit! L’Occasion... Après l’avoir perdu! Le temps... ...Lorsqu’il est passé! Un merveilleux texte partagé par Nadjet Tabouni D'Algérie |
Déposé par colombine67 le 23/07/2015Un jour, le père d’une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent. Ils passent quelques jours sur la ferme d’une famille qui n’a pas beaucoup à leur offrir. Au retour, le père demande à son fils: « As-tu aimé ton séjour? » « C’était fantastique papa! » « As-tu vu comment les gens pauvres vivent? » « Ah oui!, répond le fils. » Alors, « Qu’as-tu appris? » Le fils lui répond: J’ai vu que nous n’avions qu’un chien, alors qu’ils en ont quatre. Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique. Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux, ont des étoiles partout dans le ciel. Nous avons une immense galerie à l’avant et eux, ont l’horizon. Nous avons un domaine mais eux, ont des champs à perte de vue. Nous avons des serviteurs alors qu’eux servent les autres. Nous achetons nos denrées et eux, les cultivent. Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger, eux ont des amis qui les protègent. Le père en resta muet. Le fils rajouta: « Merci papa de m’avoir montrer tout ce que nous n’avions pas. » Trop souvent, nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n’avons pas. Ce qui est un objet sans valeur pour un, peut très bien être un trésor pour l’autre. Ce n’est qu’une question de perspective et c’est à se demander ce qui arriverait si on rendait grâce pour tout ce nous avons au lieu d’en vouloir toujours plus. Apprenez à apprécier ce que vous « avez ». Retrouvez vos yeux et votre cœur d’enfant et voyez combien il est important d’apprécier ce que vous avez plutôt que de se soucier de ce que vous ne possédez pas. Auteur inconnu |
L'Album photo contient 20 photos