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En hommage à
RUBENS
SETTER-GORDON
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
 


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En hommage à RUBENS

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





139 bougies

63056 Fleurs
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Mon beau Rubens..Je t'envoie un bateau de douces caresses, voguant sur un océan de tendresse
Déposé par LINCE34
Déposé par LINCE34
un écrin de tendresse pr toi magnifique ange, je n'ai pu regardé la vidéo sur les chiens maltraités en entier, mais celle de ta maman en ton hommage est très émouvante
Déposé par elise2512
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Pour toi et ta gentille maman, petit coeur
Déposé par florence
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une cascade de bisous et caresses pour un joli coeur
Déposé par lili2248
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un bouquet et plein de gros bisous rien que pour toi
Déposé par goulou50
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J'ai soufflé une brise de tendresse sur chaque pétales de ce bouquet
Déposé par seensouaree
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Coucou joli toutou, je te fais de tendres caresses et plein de bisous pour te souhaiter une belle journée avec ma Vanille.Merci à ta gentille maman pour sa gentillesse.Toutes mes amitiés à elle
Déposé par Zabel
Déposé par Zabel
très beau message, merci... Tout simplement.
Déposé par jojo31
Déposé par jojo31
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Rubens, mon bel ange, tu es tjrs présent ds le coeur de ts ceux qui t'aiment; La distance ne peut être un obstacle, les liens d'amour sont éternels.
Déposé par babette19
Déposé par babette19
Gros câlins mon beau Rubens et merci à ta douce maman d'avoir fleuri Daïan.... Caresses à ce petit démon d'Iron.
Déposé par vacodile
Déposé par vacodile
un bouquet et plein de gros bisous rien que pour toi
Déposé par bouffie
Déposé par bouffie
tendre Rubens je t'envoie un joli bouquet plein de douces senteurs pour bercer ta nuit
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Un sincère merci pour votre pensée adressée à ma Gaïa et moi-même en ce triste jour.
Déposé par seensouaree
Déposé par seensouaree
Coucou joli Peluche , je te fais de gros câlinoux et un bisou sur ton joli museau
Déposé par lhassen
Déposé par lhassen
Douce Caresses mon petit coeur
Déposé par mediterran
Déposé par mediterran
Bisous sur ta petite truffe Rubens et merci de ta gentillesse
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Mon tendre Rubens, que le ciel plein d'étoiles embrase ta nuit d'1 lumière dorée, que la lune t'apporte ts mes + doux bisous
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Un bouquet d'une immense tendresse pour un bel ange
Déposé par LINCE34
Déposé par LINCE34
tu t'es envolé merveilleux rubens mais tu es tjrs aussi aimé, gros calins et merci à ta maman pr son joli message sur la page de milady


6747 messages

Déposé par colombine67 le 27/04/2015  
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable. Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser." "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?" "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée. Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: "Pemndant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin". Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses." Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes. Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous, Mady! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.

Déposé par rafia le 27/04/2015  
Je suis un chien errant
Et je n'en sais pas plus,
Mais voilà cette voix
Qui me tombe dessus,
Une voix de poète
Qui voulut me choisir
Pour me faire un peu fête,
Moi qui ne puis rien dire,
Et qui n'ai qu'un aboi
Pour un peu m'éclaircir
Les brumes et la voix.
Je ne veux pas sortir
De mon obscurité,
Je ne veux rien savoir
D'une tête habitée
Par des mots descendus
De quelque hors-venu.
Je suis un chien errant
N'en demandez pas plus."
Auteur inconnu

Déposé par colombine67 le 26/04/2015  
La réalité de la vie est ce quelle est. Les hommes vivent en moyennes 75 ans et les chiens, un maximum de 20. Il est donc inévitable, que la séparation d'avec votre meilleur ami, se fera à votre détriment.
Pour ceux qui croient, qu'un chien n'est rien qu'un chien ce texte n'est pas pour vous. Mais pour les autres qui ont eu la chance unique, d'avoir un vrai ami et compagnon canin,
lisez ce petit testament canin, tiré du Reader's Digest, il saura probablement vous aider, lorsque le moment de la séparation sera venu.
À mon maître, à ma maîtresse:
Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Tango Gagnon Ratté, (communément appelé Tango par mes parents amis et connaissances), dépose en secret dans l’âme de mes deux grands amis, mon maître et ma maîtresse, mon testament.
J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais me regretteront le plus, à Daniel et Chantal qui ont été si bons pour moi. Peut être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Daniel et Chantal de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de les réconforter dans la peine et de leur apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais leur causer du chagrin. Je les prie de ne pas oublier qu'à leur tendresse et à leur sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens.
Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour ceux qui m'ont donné leur affection. Il me sera douloureux de les quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort.
Que se passe t-il après? Nul ne le sait. En tout cas je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu ma maîtresse, dire: "Quand Tango mourra, nous n'aurons jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre". Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien.
Je voudrais tant garder le sentiment que maintenant que j'ai fait partie de la famille il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même ma co-locataire, la chatte...) Gamine, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille.
Aussi je conseille à ma maîtresse de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir.
Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël.
Un dernier mot à Daniel, Chantal et Gamine la chatte qui vivrez sûrement plus vieux que moi. Chaque fois que vous penserez à moi dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos cotés: "Tango était un être qui nous aimait et que nous aimions". Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon Âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance.
Tango
Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous.
La technologie a fait s'éloigné de l'homme certaines valeurs et émotions telle amitié, fidélité et tolérance. Si ces valeurs se sont éloignées de vous, procurez vous un chien, il vous ré-apprendra ce qu'elles sont, car la technologie lui il s'en fout!
Tout ce qu'il veut lui, c'est d'être votre meilleur ami.
Daniel Ratté

Déposé par rafia le 26/04/2015  
A mon chien
Lorsque je l'ai vu naître
Je l'ai pris pour enfant,
C'était un petit être,
Il était si charmant.
Quand je l'ai vu grandir
Ce fut mon compagnon,
J'aimais le voir courir
Dans toute la maison.
Quand je l'ai vu vieillir
Ce fut moi son enfant
Bien qu'il sut m'obéir
Toute sa vie durant.
Quand je l'ai vu mourir,
Je compris que ce jour
Venait de s'accomplir
La fin d'un bel amour
Car tu me fus fidèle,
Serviteur dévoué,
Ton amour fraternel
N'a pas démérité.
Je t'aimais bien mon chien
Ô, mon chien de berger,
Et, pour toi, mon chagrin
Ne saura s'effacer." Jack Harris

Déposé par poutounou le 25/04/2015  
Coucou ma Puce,
cela fait quelque temps que je ne t'ai écrit, mais cela ne m'empêche pas de penser fort à toi, Trésor, et ça tu le sais.... Petit filou d'Iron a 2 ans aujourd'hui. Il y a quelques jours en allant faire des courses, j'ai vu des jouets pour chien en promo. J'en ai profité pour acheter 3 balles de tennis et une corde avec balle et nœuds. Je sais par avance qu'il n'en fera qu'une bouchée, mais bon, c'est pour lui faire plaisir. Là il est en train de faire la sieste après le repas : je ne veux pas qu'il me fasse un retournement d'estomac en courant après avoir mangé. Quand il aura fini sa sieste, je lui donnerai son cadeau d'anniversaire. C'est toujours un sacré filou, mais il est un peu plus calme quand même. Il était temps.... Quant à moi, j'ai quelques problèmes de santé qui font que m'énerver. Début mai, j'ai un scanner de prévu, encore un. Après ils décideront s'il faut ou non m'opérer de la thyroïde. C'est un vrai parcours du combattant, tu sais : tu prends rendez-vous chez ton médecin traitant qui t'envoie chez le spécialiste ; donc, tu prends rendez-vous chez le spécialiste qui t'envoie faire un scanner ou autre ; tu téléphones pour le scanner ; on te donne rendez-vous 2 mois après. Cela fait des mois que je traine avec ce nodule dans la gorge. Si je me fais opérer, il faudra que je place Iron pendant quelques temps. Bernard ne peut pas s'en occuper tout seul. Heureusement, il y a de très bonnes pensions dans le coin. Enfin, on verra ce que l'avenir nous réserve....
Voilà mon poutounou d'amour na moi ! Je prends ta tête entre mes mains et te fais plein de bisous partout...
Ta maman qui t'aime tout fort...

Déposé par colombine67 le 25/04/2015  
LE JOUR OU TU AS TRAHI MON COEUR (merci à Laura P.)
C'était un jour comme les autres car nous sommes partis en ballade
Pour une belle promenade.
Tu as ouvert le coffre de ta voiture
Mais il n'y avait autour aucune nature,
Pas une fleur, pas un oiseau chanteur.
A un homme tu m'a confié,
Sans même te retourner,
Qui en cage m'a enfermé.
Alors j'ai tellement attendu
Qu'une idée m'est apparue :
M'aurais tu oublié ou tout simplement abandonné?
Là ou je suis, les jours comme les nuits sont semblables
Et les minutes qui passent impitoyables.
Mes rêves se changent en cauchemars
Et ton souvenir semble loin dans ma mémoire.
Mon regard s'est durci, et mon coeur s'est enlaidi.
Dans le noir seul je garde espoir
L'espoir de mon départ, celui de te revoir.
Des gens sont venus et le chien dans la cage d'à côté leur a plu,
Entre lui et moi ils ont hésités mais c'est lui qu'ils ont emmené.
L'homme qui m'avait enfermé est revenu.
Dans une pièce blanche il m'a emmené.
A présent, je sais. Je sais que cette odeur est celle de la peur
Et que je ne vais plus jamais repartir,
Car c'est ici que partira mon dernier soupir.
Oui je vais mourrir.
Ma dernière larme sera pour toi, toi que j'ai tant attendu, toi qui n'est jamais revenu.
Sache que moi, je ne t'oublierais jamais car, mon Cher Maître, moi de tout mon coeur je t'aimais.

Déposé par larrydoudou le 24/04/2015  
Il est votre ami, votre associé, votre défenseur,
Il est votre chien.
Vous êtes sa vie, son amour, son leader,
Il se fera fidèle et vrai,
Jusqu'au dernier battement de son cœur.
Vous lui devez d'être digne d'une telle dévotion.

Déposé par poutounou le 24/04/2015  
Petit écho du matin
*
Voilà ce que m’a raconté la brise ce matin,
Alors qu’elle se reposait au banc du jardin.
Figurez vous qu’il y a une véritable révolution !
Que l’on parle, que l’on jase à travers les gazons !
N’a t’on point vu, quelle étrange amourette,
Sortir ensemble violette et pâquerette !
Il en est cependant que la nouvelle émoustille,
N’a t’on point vu danser ailleurs une jonquille ?
Je tiens la nouvelle toute fraîche du papillon
Qui comme chacun sait est un grand fripon .
On aurait vu, mais je n’ose toutefois le croire
Déjà une jeune abeille vaquer à ses devoirs….
Voilà ce que me disait la brise il y a peu de temps…
Mais j’avais lu dans les regards ! Ca y est !
C’est le printemps !

Déposé par colombine67 le 24/04/2015  
JE SUIS MORT SANS NOM
Je suis mort sans nom
Sans une marque d’affection…
Je ne connais la définition
Du mot humain émotion
Que par la douleur de l’abandon.
J’ai attendu si longtemps,
D’hivers glaciaux en printemps,
Un rayon d’espoir, et souvent
Pétrifié dans le silence et le temps,
J’ai voulu fuir ce tourment.
Seul et apeuré dans ma cage,
Je m’accrochais à ce mirage…
De votre sourire, de votre visage
Qui m’ont apporté courage
L’instant d’un ciel sans nuage…
Je me suis habitué à la faim,
Au froid, à la peur du lendemain.
Mais jamais, je le crains,
De ne pas connaître enfin
Le plaisir de lécher votre main.
Mon corps martyrisé
N’en pouvant plus de lutter,
À bout de souffle et de fierté,
C’est sans bruit et sans dignité
Que je vous ai quittés.
Une seule caresse aurait suffi
À me permettre, sans bruit,
De quitter mes amis.
Qui encore aujourd’hui.
Vous appellent dans la nuit.
Je ne vous en veux pas
De n’avoir entendu mon désarroi.
J’avais pourtant en moi,
Au fil des jours et des mois,
La confiance, l’espoir et la foi.
Même si j’ai hurlé dans la nuit,
Tandis que mourraient mes petits,
La souffrance et la maladie
Ont eu raison aujourd’hui
De mon instinct de survie.
Ils ont tué mes espoirs
De pouvoir un jour voir
Le soleil et votre peignoir…
De fuir mon désespoir…
Fuir ma cellule dans le noir.
Je suis venu et passé,
Sans jamais être remarqué.
Pourtant, je vous ai toujours espéré…
Je ne demandais qu’à vous aimer…
Pourquoi m’avez-vous abandonné?
J’ai eu faim, j’ai eu froid,
J’ai eu peur et malgré moi,
De ce qui me restait de voix,
Votre nom j’ai appelé mille fois…
Où étiez-vous, dites-moi..
Ma carcasse incinérée
Aura pour l’éternité
Ce champ, ces fleurs et ce pré
Que j’ai longtemps espéré,
Et dont j’ai tellement rêvé.
J’aurais aimé avoir un jouet,
Un seul s’il-vous plait…
J’aurais voulu courir et qui sait,
Trébucher dans le gazon tout frais
À vos côtés, fier et coquet…
J’aurais dormi à vos pieds,
L’hiver vous aurais réchauffé,
La nuit vous aurais rassuré,
Et sans jamais rien demander,
Vous aurais écouté et aimé…
Je suis mort triste et seul,
Sans que l’on porte mon deuil.
On m’a offert pour tout linceul,
Un feu de paille et de feuilles,
Je suis libre, délivré et encore seul…
Ne m’offrez pas de fleurs…
Retenez vos pleurs…
Je ne veux plus que le bonheur,
De ceux qui ont dans leur cœur
D’encore espérer avec ferveur…
De quoi donc ai-je été coupable
Pour mériter une vie si misérable
Un destin aussi pitoyable,
Une mort cruelle et minable…
De cela vous m’êtes redevable…
Je vous aime encore
Je vous aime si fort…
À la vie et à la mort,
Je vous aime encore,
Bien au-delà de la mort…
Dites-moi que vous voulez,
Par amour et par pitié,
Encore quelques-uns sauver…
Ainsi ma cruelle destinée
N’aura été ni vaine ni oubliée…
Il est trop tard pour moi,
Voyez, je suis mort et froid…
Mais pour mes petits croyez-moi,
Par vous, ils ne le seront pas.
Sauvez-les en souvenir de moi…
UN CHIEN PARMI TANT D’AUTRES

Déposé par colombine67 le 23/04/2015  
POURQUOI LES CHIENS SONT MIEUX QUE LES HOMMES
- Les chiens ne se vantent pas quand ils dorment avec quelqu'un.
- Vous n'avez pas de soupçons sur les rêves de votre chien
- Les chiens magnifiques ne savent pas qu'ils sont magnifiques
- La seule chose que votre chien peut vous filer, c'est des puces (la rage, ça serait pas de chance)
- Les chiens ne se gênent pas pour montrer leur affection en public
- Les chiens vous manquent lorsque vous partez
- Vous ne vous demandez jamais si votre chien est assez bon pour vous
- Les chiens se sentent coupables quand ils ont fait quelque chose de mal
- Les chiens sont contents quelle que soit la k7 vidéo que vous avez choisi de louer, parce qu'ils savent que la chose la plus importante, c'est d'être ensemble.
- Les chiens n'ont pas peur de votre intelligence
- On peut apprendre à un chien
- Les chiens savent ce que "NON" veut dire
- Les chiens n'ont pas pour habitude de tuer ceux de leur propre espèce
- Les chiens vous prennent pour un génie culinaire
- Vous pouvez apprendre un chien à être propre à la maison
- Les chiens n'éprouvent pas le besoin de vous abandonner pour quelqu'un de plus jeune au bout de quelques années de vie commune
- Les chiens plaisent toujours à votre famille
- Les chiens s'en foutent si vous conduisez la voiture pendant tout le trajet
- Les chiens n'appuient pas sur des freins imaginaires
- Les chiens l'admettent lorsqu'ils sont perdus
- Les chiens s'en foutent que vous vous rasiez les jambes
- Les chiens ne sont pas embêtés si vous gagnez plus qu'eux
- On peut forcer un chien à prendre un bain

Déposé par rafia le 23/04/2015  
L'amitié est une main qui vous soutient,
Dans la douleur comme dans le désarroi ;
L'amitié est une oreille qui vous écoute,
Aussi bien dans la peine, que dans la joie.
Sabine Dubreuil

Déposé par Galiama le 22/04/2015  
Souvenirs..
C’est en regardant le ciel, que j’ai compris que je n’étais rien
Et c’est en te regardant partir que j’ai compris que tu étais tout…
La nuit je rêve,
Je rêve que la neige brûle,
Je rêve que le soleil gèle,
Et en rêvant l’impossible,
J’ai rêvé que tu revenais…
Là-bas où que tu sois, je pense à toi,
et des milliers de baisers je t’envoie.

Déposé par colombine67 le 22/04/2015  
Un homme adopte un chien, ce qu’il découvre ensuite est déchirant!
Un homme qui se sentait triste a décidé d’adopter un chien au refuge pour animaux de la nouvelle ville dans quelle il venait d’aménager.
Il ne se doutait pas que cette adoption allait complètement changer sa vie et que le chien qu’il venait d’adopter était très spécial.
Il a décidé de raconter l’histoire de son adoption, je vous la retranscris ci-bas.
Mais avant de commencer à la lire, je vous suggère d’aller vous chercher quelques mouchoirs, je vous garantis que vous en aurez de besoin.
Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos. Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue.
Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne.
Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables…
Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas.
J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait – enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom – bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur.
Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”.
Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la direction de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m’a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos.
Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro.
Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié. “Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.” J’ouvre alors l’enveloppe et tombe sur une lettre:
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Un homme adopte un chien, ce qu’il découvre ensuite est déchirant!
20 novembre 2014
Un homme qui se sentait triste a décidé d’adopter un chien au refuge pour animaux de la nouvelle ville dans quelle il venait d’aménager.
Il ne se doutait pas que cette adoption allait complètement changer sa vie et que le chien qu’il venait d’adopter était très spécial.
Il a décidé de raconter l’histoire de son adoption, je vous la retranscris ci-bas.
Mais avant de commencer à la lire, je vous suggère d’aller vous chercher quelques mouchoirs, je vous garantis que vous en aurez de besoin.
Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos. Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue.
Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne.
Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables…
Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas.
J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait – enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom – bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur.
Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”.
Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la direction de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m’a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos.
Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro.
Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié. “Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.” J’ouvre alors l’enveloppe et tombe sur une lettre:
À celui qui adoptera mon chien :
Bon, je ne peux pas vraiment dire que je sois heureux que tu lises cette lettre, que j’ai confiée au refuge en leur disant qu’elle ne pourrait être ouverte que par le nouveau maître de Reggie. Je ne suis pas non plus heureux de devoir l’écrire. Si tu lis ceci, cela signifie que je viens de rentrer de mon dernier trajet en voiture avec mon chien, après l’avoir laissé au refuge. Il savait que cette fois, quelque chose était différent. J’ai déjà emballé toutes ses affaires pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture, mais cette fois-là… C’est comme si il savait que quelque chose n’allait pas. Et quelque chose ne va pas… c’est pourquoi je dois tout faire pour que tout aille bien.
Alors, laisse-moi te parler un peu de mon Labrador, dans l’espoir que cela vous aide à vous lier d’amitié tous les deux.
Tout d’abord, tu l’auras remarqué, il adore les balles de tennis. Plus il en a, plus il est content. Parfois je me demande s-il n’est pas croisé avec un écureuil, vu comme il aime les collectionner. D’habitude, il en a toujours deux fourrées dans sa bouche, et il essaye d’en faire rentrer une troisième. Jusqu’ici, il n’a jamais réussi. Tu peux les lancer ou tu veux, il se mettra à courir après – alors attention à ne pas le faire près d’une route. J’ai fait cette erreur une fois, et il a bien failli se faire renverser.
Ensuite, il y a les mots qu’il connaît. Les gens du refuge te l’ont peut-être déjà dit, mais il connaît les mots les plus courants— “assis”, “reste là”, “viens ici.” Il sait aussi donner la patte et il est réactif aux signes de la main. Il fait “couché” quand il a envie – mais je suis sûr que tu pourras travailler cela avec lui. Il connaît les mots “balle” “croquette” et “os”. Je l’ai dressé en lui donnant des petites récompenses. Le mieux pour qu’il ouvre grand les oreilles, c’est des petits morceaux de saucisse.
Il est à jour dans ses vaccins. Appelle le vétérinaire pour récupérer le dossier, c’est un type bien et il te rappellera quand il faudra l’amener là-bas. Mais sois prévenu : Reggie déteste le vétérinaire. Bonne chance pour le faire monter dans la voiture (je ne sais pas comment il sait quand on l’y emmène, mais crois-moi, il sait !)
Enfin, laisse-lui le temps de s’adapter. Je n’ai jamais été marié, alors ça a toujours été juste lui et moi, depuis qu’il est né. Il me suivait partout, alors si tu peux, amène-le en voiture avec toi quand c’est possible. Il a l’habitude, il est propre et n’aboie pas. Il adore sortir et passer du temps avec des gens, et avec moi tout particulièrement.
Ce qui signifie que la transition sera très dure pour lui, puisqu’il n’a jamais vécu dans une autre maison que la mienne.
Et c’est pourquoi il est temps que je te dise la vérité et que je te donne quelques informations supplémentaires…
Son nom n’est pas Reggie.
Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, mais quand je l’ai laissé au refuge, je leur ai dit qu’il s’appelait Reggie. Je n’ai tout simplement pas pu leur dire son vrai nom. Si je l’avais fait, cela m’aurait paru si extrême que cela aurait été comme admettre le fait que je ne le reverrais plus jamais. Et si jamais je reviens, que je le récupère et que je déchire cette lettre, cela voudra dire que tout va bien. Mais si tu es en train de lire ceci, alors… alors ça veut dire que son nouveau propriétaire doit connaître son vrai nom. Cela t’aidera à te lier d’amitié avec lui. Qui sait, peut-être même que tu remarqueras quelques changements, s’il te pose des problèmes au début.
Son vrai nom est Tank. Parce que c’est ce que je conduis.
Si tu lis ce message et que tu habites dans le coin, peut-être que tu auras lu mon nom dans les journaux. J’ai dit aux gars du refuge qu’ils ne proposent pas “Reggie” à l’adoption tant qu’ils n’auront pas reçu un appel de la part du commandant de ma compagnie. Tu comprends, mes parents sont partis, je n’ai pas de frère et sœurs, personne à qui j’aurais pu confier Tank… Et la seule requête que j’ai fait à l’armée quand ils m’ont annoncé mon déploiement en Irak, c’était de prévenir le refuge… en cas d’”accident”… pour leur dire que Tank était prêt à avoir un nouveau maître. Heureusement, mon colonel adore lui aussi les chiens, et il savait bien vers où ma division avait été envoyée. Il m’a donné sa parole qu’il s’en occuperait personnellement. Et si tu lis ceci, alors cela signifie qu’il a tenu sa parole.
Bon, désolé, cette lettre devient vraiment déprimante même si, franchement, je l’écris juste pour mon chien. Je n’imagine même pas ce que cela aurait été si j’avais dû le faire pour une femme et des enfants… mais quand même, Tank a été ma seule famille au cours des six dernières années.
Et à présent, j’espère que tu sauras lui faire une place au sein de ta famille à toi, qu’il s’habituera et qu’il finira par t’aimer tout comme il a pu m’ aimer.
Cet amour inconditionnel, c’est ce que j’ai emporté avec moi, comme une source d’inspiration pour faire don de moi-même pour protéger les autres. Si je devais abandonner Tank pour le faire, alors je suis heureux de faire ce sacrifice. Il était pour moi un exemple d’amour et de dévouement. J’espère l’avoir honoré par mon dévouement envers mes camarades de front.
C’est bon, c’en est assez. Ce soir, je serais envoyé au front, et je dois encore déposer cette lettre au refuge. Je ne pense pas que j’irais dire au revoir à Tank une nouvelle fois. J’ai bien assez pleuré la première fois. Peut-être que je glisserai juste un regard, pour voir s’il a finalement réussi à mettre cette troisième balle de tennis dans sa bouche.
Bonne chance avec Tank. Soigne-le bien, et donne-lui une caresse en plus de ma part, chaque soir, pour lui dire bonne nuit.
Merci,
Paul Mallory
J’ai replié la lettre, et je l’ai replacée avec précaution dans l’enveloppe. Bien sûr, j’avais entendu parler de Paul Mallory, tout le monde en ville le connaissait, même les nouveaux habitants comme moi. Un gosse du coin, mort en Irak quelques mois auparavant et décoré à titre posthume de la croix d’honneur, pour avoir sauvé trois de ses compagnons avant de mourir. Les drapeaux avaient été en berne tout l’été.
Je me suis penché en avant, les coudes posés sur les genoux, et j’ai regardé le chien.
“Hé, Tank,” ai-je murmuré. La tête du chien s’est soudainement redressée, ses oreilles se sont dressées et son regard s’est illuminé.
“Viens par ici.” Il était debout, ses ongles ont cliqueté sur le parquet. Il s’est assis devant moi, la tête penchée, comme s’il cherchait ce nom qu’il n’avait pas entendu depuis des mois.
“Tank,” ai-je murmuré. Sa queue se mit à battre l’air.
J’ai continué à murmurer ce nom, encore et encore, et chaque fois, ses oreilles se baissaient un peu plus, son regard d’adoucissait et son corps se détendait tandis qu’une vague de bonheur semblait le traverser. J’ai frotté ses oreilles, j’ai gratté son dos, j’ai enfoui mon visage dans sa fourrure tout en le serrant contre moi.
“C’est moi, Tank, juste toi et moi. Ton vieil ami t’a confié à moi.” Tank a tendu la tête et m’a léché la joue. “Alors, tu veux jouer à la balle?” Ses oreilles se sont alors dressées d’un coup. “Hein? La balle? T’aimes ça, hein ? La balle ?” Tank s’arracha de mes bras et disparut d’un bond dans l’autre pièce.
Quand il est revenu, trois balles de tennis se tenaient dans sa bouche

Déposé par rafia le 22/04/2015  
Mon amie (mais s'adapte aussi aux amis).
Tu as su me tendre la main
À cet instant où je n'allais pas bien
De nos rires, de nos confessions
Est née de l'affection
De notre tristesse, de notre complicité
Est née notre amitié
Mais il ne faut pas que ce cela reste
Un simple mot de six lettres
Si un jour tu es en détresse
N'hésite pas à me lancer un S.O.S.
Même si je ne trouve pas les mots
Ceux qui rendent le monde plus beau
Même si je suis maladroit
Tu pourras toujours compter sur moi
Ne laisse pas la maladie
Prendre le pas sur ta vie
Si aujourd'hui tes larmes sont salées
Demain elles te paraîtront sucrées
Dans une folle farandole
Tout tes amis réunis
Fêteront ainsi ta nouvelle vie
Mon amie tu m'as secouru
Alors que je me croyais perdu
Mon amie tu m'as aidé
Et ça je ne l'oublierais jamais
Aussi loin que tu sois
Je veillerai toujours sur toi.
Maxalexis

Déposé par Biscuit le 21/04/2015  
Oural Ouralou par Jean Ferrat
Un superbe hommage de Jean Ferrat à sa chienne disparue
C'est dans l'aube chère à Verlaine
Que tu courais notre domaine,
Humant l'air des quatre saisons.
Odeurs de thym et de bruyère
Sous tes pattes fraîches légères
S'élevaient comme une oraison.
Berger des landes familières,
Tu vivais digne et solitaire.
Animal doué de raison
J'écris ce jour anniversaire
Où tu reposes sous la terre
A deux pas de notre maison.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
On voit souvent des souveraines
A la place des rois qui règnent
Rien qu'en posant leurs yeux dessus.
Il faut se méfier du paraître.
De nous deux qui était le maître ?
Nous ne l'avons jamais bien su.
Tu vécus la vie parisienne,
La nuit sur les quais de la Seine
Les music-halls et les tournées.
Et cette vie qui fut la mienne
Il me semble que tu l'entraînes
A la semelle de tes souliers.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Jour après jour il faut l'admettre,
Voir ceux qu'on aime disparaître
C'est ce qui fait vieillir trop tôt.
Au paradis des chiens, peut-être,
Ton long museau à la fenêtre,
Tu nous accueilleras bientôt.
Au triple galop, caracole,
Je vois tes pattes qui s'envolent,
Chevauchant l'herbe et les nuées.
Le vent siffle dans ton pelage,
Vole, vole, mon loup sauvage,
Comme au temps des vertes années.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.
Hourrah Oural Ouralou
Oural Ouralou.

Déposé par Galiama le 21/04/2015  
LES CHIENS PLEURENT AUSSI
Moi je sais que les chiens les chiens pleurent aussi
Quand ils ont du chagrin que parfois ils se cachent
Pour souffrir à loisir sans que leur maître sache
Ni où ils sont ni le grand mal qui les conduit
J'en sais un qui partit au fond d'une forêt
Pour fuir les longs soupirs de cet enfant malade
Cet enfant qui jouait avec lui ses chamades
Et qu'il ne s'en revint que lorsqu'il fut sauvé
Et j'en sais un aussi qui se laissa mourir
De faim de désespoir au départ de son maître
Pour les Terres d'Ailleurs où seules ne pénètrent
Que les ombres de ceux dont la vie va finir
Mais moi je sais aussi que dans ces Pays Hauts
Les hommes et les chiens chaque fois se retrouvent
Sur les vastes prairies quand les portes s'entrouvrent
Parmi l'immensité des joies et des repos
(Louis AMADE)

Déposé par monkillou le 21/04/2015  
Mon beau Rubens,
*
Tout simplement pour prévenir:
Je suis fortement navrée car je déserte un peu le site en ce moment et donc, j'ai moins le temps pour déposer et remercier toutes les mamans qui viennent sur l'espace de mes inoubliables et regrettés épagneuls.
Toutefois, je viens tout de même valider les merveilleux textes que déposent ces adorables personnes.
Mais, être moins présente ne veut absolument rien dire car je pense à tous ces disparus qui sont devenus mes amis... forcément!
Aussitôt que je peux, je rendrais l'appareil et te déposerais un beau poème comme sait les choisir ta gentille maman.
Un gros câlins à Iron, des énormes virtuels pour TOI, Rubens en n'oubliant pas d'ajouter à ta maîtresse, mille mercis avec toute mon amitié!
À très bientôt!

Déposé par colombine67 le 21/04/2015  
Poème d'un chien
Je suis celui qui t'attend ...
Ta voiture fait un bruit spécial et je la reconnaîtrais entre mille.
Tes pas résonnent de manière magique, c'est une musique pour moi.
Ta voie est le signe le plus évident de mon bonheur, il n'est pas nécessaire de parler : j'entends ta tristesse.
Si je vois ton bonheur, je suis heureux!
Je ne fais pas de différence entre une bonne et une mauvaise odeur, je sais uniquement que ton arôme est le meilleur.
Certaines présences me plaisent, d'autres moins.
Mais ta présence est celle qui émeut mes sens.
Ton réveil, me réveille.
Toi, qui dors à la maison, tu es mon Dieu et moi, je suis le gardien de tes rêves.
Ton regard est un rayon de soleil, lorsque je m'aperçois que tu te réveilles ...
Ses mains sur moi ont la légèreté de la paix.
Et lorsque tu pars, tout est vide à nouveau...
Et moi, je continue à t'attendre, encore et encore ...
J'attends le bruit de ta voiture
Le son de tes pas
De ta voix
J'attends ton humeur toujours lunatique
Ton odeur
Ton repos sous ma vigilance
J'attends tes yeux
Tes mains
Et moi, je suis content ainsi.
Je suis celui qui t'attends
Je suis ton chien
Gabriel Makaya

Déposé par rafia le 21/04/2015  
Conseil à l'ami.
L'amitié ! quel nom ravissant !
Tout poète, depuis Homère,
Chante l'amitié, la chimère
La plus chère à l'esprit qui sent !
Que ton avis soit caressant,
Ami ; jamais de voix amère :
Sois semblable à la bonne mère,
Grondant son fils et l'embrassant.
Garde qu'un mot aigre, âme aimante,
Ne tombe en l'amitié charmante,
Breuvage dont la douceur plaît.
Souviens-toi que la moindre goutte
D'acide, quand elle y dégoutte,
Fait vite aigrir le plus doux lait !
Évariste Boulay-Paty

Déposé par poutounou le 20/04/2015  
Printemps
*
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l'ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini.
*
Victor Hugo




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Highslide JS

Dis-le ! Des fois, maman fait n'importe quoi ! Elle a un grain, un gentil grain, mais quand même un grain...!!!
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Votre petit "chez vous" à Diesel et toi au Paradis...
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Le chemin vers le Paradis blanc...
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Maintenant tu es tout là-haut...mon Ange...
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Le nain de jardin te cherche partout...
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Une belle rose du jardin pour un bel Ange...
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Ton premier canapé a tenu un peu plus d'une semaine...
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Rubens "jardinier" !
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Ah les balais !
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A la mer avec les baballes...
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Promenade en forêt. Tu étais infatigable...
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Monsieur "câlin" sur son lit...
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Un petit bain de boue... C'est bon pour les rhumatismes...
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