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En hommage à
Paco
BOXER
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
 


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En hommage à Paco

Mon Paco, mon tombeur des ces dames tu es né le 10 06 2008 et tu es rentré dans ma vie le 5 novembre 2010 jour où je t'ai sorti de la spa, tu avais déjà été abandonné deux fois et n'avais que 19 kg!

Tu n'auras seulement connu le vrai bonheur que 4ans et 6 mois, car aujourd'hui ce 26 mai 2015 est un jour atroce pour moi car je me suis donnée le pouvoir de décider la fin de ta vie sur terre et ça, je ne pourrai jamais l'oublier.
Pardon mon grand, cela a été une décision très difficile à prendre pour moi, mais c'est le coeur gros avec des larmes plein les yeux que j'ai appris que tu avais une saleté de crabe en toi, et que malgré tous les traitements que tu avais reçu, radiothérapie, chimiothérapie il avait pris le dessus.
Jusqu'au bout, j'ai voulu croire qu'un miracle se produirait..
mais plus aucun traitement n'était possible après ce dernier scanner fait le 19 mai 2015 dont le résultat était dramatique et qui montrait bien que cette p.....de chose t'avais envahis le crâne, et commençait à te bouffer petit à petit à une vitesse incroyable, j'ai commencé à réaliser que tu ne t'en sortirais pas et que je ne pouvais pas me permettre de te laisser souffrir,
et que cet acte de te laisser partir est le dernier geste d'Amour que je pouvais te donner, pardonne moi mon coeur.

Tu étais un loulou super gentil, câlin, obéissant aimant tout le monde, les deux pattes comme les quatre pattes ......... ton seul défaut était ta destruction, mais jamais au grand jamais je n'ai pensé aller t' abandonner, l'enfer des barreaux et la maltraitance c'étaient fini pour toi.

Je t'ai conduis chez notre vétérinaire à qui tu as encore fait la fête.
Je sais que tu avais compris
Car dans tes yeux s'est dessiné une larme
Cette larme m'a détruit m'a brisé....
J'aurai tant voulu ne pas la voir
Elle m'a culpabilisé
Elle a augmenté mon désespoir.... je t'ai accompagné jusqu'au bout , dans mes bras tu t'es blotti et je t'ai chuchoté à l'oreille combien je t'aimais et que ce n'était pas un adieu mais juste un au revoir car on se retrouverait là haut lorsque mon heure serait venue.
T'es beaux yeux alors se sont fermés et tu t'es endormi pour ne jamais te réveiller.

Au Paradis blanc,
les anges ne t'y attendaient pas si tôt, tu aimais la vie, tu aimais courir dans les prés et dans les bois, tu adorais les caresses, tu étais heureux et cela se voyait dans tes teux.
Ta disparition m'a plongé dans le plus grand désarroi, la maison est tellement vide aujourd'hui, même tes soeurettes Tekila et Diana ainsi que ton frérot Lyos te cherchent partout, là où il y a ton odeur....ils se couchent sur ton (tes) coussins..., l'atmosphère y est tellement pesante.
Je n'oublierai jamais ces merveilleuses trop courtes années que j'ai vécu près de toi.
Je n' oublierai pas ton bon coeur.
Je me souviendrai de la fierté que tu arborais.
Tu as été un compagnon fidèle, aimant et par dessus tout, tu as lutté de toutes tes forces jusqu'à ton dernier souffle avec tant de courage.

j'ai beau me dire que tu étais heureux,
que tu avais de quoi faire des envieux,
oui j'ai beau me dire tout cela,
mais la réalité,elle est bien là !
Sous mon toit tu n'es plus là,
dans mon espace il ne manque que toi,
ta place, même si le vide s'en est accaparé,
dans mon coeur, elle restera à jamais.

Je suis certaine que mon Spanky et mon Junior seront là pour t'accueillir, je compte sur toi pour leur dire de ma part que je les aime et qu'ils me manquent toujours autant, tu verras tu vas bien t'éclater avec Spanky car il était comme toi, il adorait jouer avec des ballons, avec
mon Juju qui était le plus boxérien des labradors il te montreras des bonnes positions pour faire des gros dodos. Ils ne te laisseront pas seul vous allez gambader tous les trois au paradis blanc là ou la maladie et la souffrance
n'existent plus avec tous les autres copains et copines qu'ils te feront connaître.

Je t'aime et t'aimerai toujours mon Paco et tu resteras pour toujours dans mon coeur.

Gros gros bisous sur ton si beau museau mon ange.




77 bougies

20037 Fleurs
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Il a déjà ses ailes d’Ange Immaculées comme la pureté De son cœur, de son âme. Partout on le cherche Nulle part on le trouve c'est cela le chagrin
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Le chien possède la beauté sans la vanité, la force sans l'insolence, le courage sans la férocité et toutes les vertus de l'homme sans ses vices. Georges Gordon
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Ce joli bouquet acconpagnés de tout plein de bisous
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Ce bouquet coloré avec plein de doux baisers
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Ce bouquet coloré avec plein de doux baisers
Déposé par rafia
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Un mélange de bisous et de caresses pour le magnifique trésor
Déposé par rafia
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Un mélange de bisous et de caresses pour le magnifique trésor
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Mon Paco d'Amour, quand tu dors, tu veilles dans l'ombre. Tes ailes reposent pour moi. Tous tes songes viennent de toi, doux comme le regard d'une ombre. Je t'envoie un gros bisou volant.
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Pour un petit ange qui manque énormément
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🍃🐼🍃Avalanche de bisous beau petit trésor🍃🐼🍃
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Déposé par colombine67 le 14/04/2016  
Miraculé, ce chiot qui a reçu 18 balles de plomb vient d’être adopté
Le week-end dernier, Brody a été retrouvé le corps criblé de 18 balles de plomb dans la ville de Rock Hill en Caroline du Sud (États-Unis). C’est un agent de police qui a porté secours au jeune Labrador de six semaines qui saignait abondamment.
Transporté d’urgence à la clinique pour animaux Ebenezer, les vétérinaires découvrent avec stupéfaction la vingtaine de projectiles logés sous sa peau. Par miracle, aucun n’a atteint ses organes vitaux ni abîmé son squelette.
Le Dr. Jay Hreiz, l’un des médecins du centre, a expliqué à la presse locale :
Pour être tout à fait honnête, je suis très surpris que ce chien aille aussi bien.
Le petit Labrador « a été utilisé pour un sport de tir, ou quelque chose comme ça, par des malades », a expliqué le Dr. Hreiz. Après deux jours d’enquête, la police de Rock Hill a identifié et arrêté les tortionnaires, deux adolescents de 14 et 17 ans qui s’étaient manifestement amusés à tirer sur le chiot avec des pistolets à air comprimé.
« C’est difficile de concevoir que quelqu’un puisse être capable de faire du mal à un animal aussi jeune et sans défense », a ajouté le vétérinaire.
Parce qu’il est âgé de quelques semaines à peine, les médecins ont jugé trop risqué d’opérer Brody pour retirer les projectiles. Le Dr. Hreiz a expliqué à The Herald :
Grâce à son jeune âge, il a une très grande capacité de guérison. Brody pourra sans doute mener une vie parfaitement normale avec toutes ces balles dans le corps.
En quelques jours à peine, le voilà donc de retour sur pattes. Et la chance n’avait pas encore fini de sourire au petit chiot.
Le 24 février, Brody a trouvé une famille d’adoption via le programme Project Safe Pet qui place les animaux des refuges. Avec Kailey, petite fille de 10 ans, le coup de foudre a été immédiat. Kailey a récemment perdu Woodrow, le Labrador avec qui elle a grandi qui s’est éteint à l’âge de 15 ans. Aucun doute que Broody ne manquera pas d’amour aux côtés de la jeune fille, qui a confié à sa mère qu’elle avait « vu Woodrow dans ses yeux ».
En attendant de rejoindre sa nouvelle amie, Brody doit rester encore quelques temps à la clinique sous surveillance. Il a reçu son premier vaccin hier.

Déposé par poutounou le 13/04/2016  
Quand la tristesse est là, laissons couler les larmes….
*
PIERROT
*
Une larme coule sur son visage
Son nez renifle doucement
Dans ses yeux passe un nuage
Qui pleure désespérément
La larme continue de glisser
Sur sa peau lisse et parfumée
Elle laisse sur son visage
Comme l’écume sur la plage
Une trainée de gouttelettes
Qui vont sécher au gré du vent
La larme continue de glisser
Tout doucement sans faire de bruit
Elle atteint le coin de ses lèvres
Que c’est doux, que c’est salé
Il a envie de l’embrasser
Elle vient de son coeur après tout
Et il caresse son visage
Mais ne trouve de son passage
Qu’une peau sèche et veloutée
Une larme est morte au vent d’été.
*
Anonyme

Déposé par colombine67 le 13/04/2016  
Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos. Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue.   
 
Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne.
Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables…
Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas.
J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait – enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom – bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur.Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”.
Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la direction de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue.  C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m’a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos.
Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro.
Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié. “Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.”
À celui qui adoptera mon chien :
Bon, je ne peux pas vraiment dire que je sois heureux que tu lises cette lettre, que j’ai confiée au refuge en leur disant qu’elle ne pourrait être ouverte que par le nouveau maître de Reggie. Je ne suis pas non plus heureux de devoir l’écrire. Si tu lis ceci, cela signifie que je viens de rentrer de mon dernier trajet en voiture avec mon chien, après l’avoir laissé au refuge. Il savait que cette fois, quelque chose était différent. J’ai déjà emballé toutes ses affaires pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture, mais cette fois-là… C’est comme si il savait que quelque chose n’allait pas. Et quelque chose ne va pas… c’est pourquoi je dois tout faire pour que tout aille bien.
Alors, laisse-moi te parler un peu de mon Labrador, dans l’espoir que cela vous aide à vous lier d’amitié tous les deux.
Tout d’abord, tu l’auras remarqué, il adore les balles de tennis. Plus il en a, plus il est content. Parfois je me demande s’il n’est pas croisé avec un écureuil, vu comme il aime les collectionner. D’habitude, il en a toujours deux fourrées dans sa bouche, et il essaye d’en faire rentrer une troisième. Jusqu’ici, il n’a jamais réussi. Tu peux les lancer ou tu veux, il se mettra à courir après – alors attention à ne pas le faire près d’une route. J’ai fait cette erreur une fois, et il a bien failli se faire renverser.
Ensuite, il y a les mots qu’il connaît. Les gens du refuge te l’ont peut-être déjà dit, mais il connaît les mots les plus courants— “assis”, “reste là”, “viens ici.” Il sait aussi donner la patte et il est réactif aux signes de la main. Il fait “couché” quand il a envie – mais je suis sûr que tu pourras travailler cela avec lui. Il connaît les mots “balle” “croquette” et “os”. Je l’ai dressé en lui donnant des petites récompenses. Le mieux pour qu’il ouvre grand les oreilles, c’est des petits morceaux de saucisse.
Il est à jour dans ses vaccins. Appelle le vétérinaire pour récupérer le dossier, c’est un type bien et il te rappellera quand il faudra l’amener là-bas. Mais sois prévenu : Reggie déteste le vétérinaire. Bonne chance pour le faire monter dans la voiture (je ne sais pas comment il sait quand on l’y emmène, mais crois-moi, il sait !)
Enfin, laisse-lui le temps de s’adapter. Je n’ai jamais été marié, alors ça a toujours été juste lui et moi, depuis qu’il est né. Il me suivait partout, alors si tu peux, amène-le en voiture avec toi quand c’est possible. Il a l’habitude, il est propre et n’aboie pas. Il adore sortir et passer du temps avec des gens, et avec moi tout particulièrement.
Ce qui signifie que la transition sera très dure pour lui, puisqu’il n’a jamais vécu dans une autre maison que la mienne.
Et c’est pourquoi il est temps que je te dise la vérité et que je te donne quelques informations supplémentaires…
Son nom n’est pas Reggie.
Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, mais quand je l’ai laissé au refuge, je leur ai dit qu’il s’appelait Reggie. Je n’ai tout simplement pas pu leur dire son vrai nom. Si je l’avais fait, cela m’aurait paru si extrême que cela aurait été comme admettre le fait que je ne le reverrais plus jamais. Et si jamais je reviens, que je le récupère et que je déchire cette lettre, cela voudra dire que tout va bien. Mais si tu es en train de lire ceci, alors… alors ça veut dire que son nouveau propriétaire doit connaître son vrai nom. Cela t’aidera à te lier d’amitié avec lui. Qui sait, peut-être même que tu remarqueras quelques changements, s’il te pose des problèmes au début.
Son vrai nom est Tank. Parce que c’est ce que je conduis.
Si tu lis ce message et que tu habites dans le coin, peut-être que tu auras lu mon nom dans les journaux. J’ai dit aux gars du refuge qu’ils ne proposent pas “Reggie” à l’adoption tant qu’ils n’auront pas reçu un appel de la part du commandant de ma compagnie. Tu comprends, mes parents sont partis, je n’ai pas de frère et sœurs, personne à qui j’aurais pu confier Tank… Et la seule requête que j’ai fait à l’armée quand ils m’ont annoncé mon déploiement en Irak, c’était de prévenir le refuge… en cas d’accident”… pour leur dire que Tank était prêt à avoir un nouveau maître. Heureusement, mon colonel adore lui aussi les chiens, et il savait bien vers où ma division avait été envoyée. Il m’a donné sa parole qu’il s’en occuperait personnellement. Et si tu lis ceci, alors cela signifie qu’il a tenu sa parole.
Bon, désolé, cette lettre devient vraiment déprimante même si, franchement, je l’écris juste pour mon chien. Je n’imagine même pas ce que cela aurait été si j’avais dû le faire pour une femme et des enfants… mais quand même, Tank a été ma seule famille au cours des six dernières années.
Et à présent, j’espère que tu sauras lui faire une place au sein de ta famille à toi, qu’il s’habituera et qu’il finira par t’aimer tout comme il a pu m’ aimer. 
Cet amour inconditionnel, c’est ce que j’ai emporté avec moi, comme une source d’inspiration pour faire don de moi-même pour protéger les autres. Si je devais abandonner Tank pour le faire, alors je suis heureux de faire ce sacrifice. Il était pour moi un exemple d’amour et de dévouement. J’espère l’avoir honoré par mon dévouement envers mes camarades de front.
C’est bon, c’en est assez. Ce soir, je serais envoyé au front, et je dois encore déposer cette lettre au refuge. Je ne pense pas que j’irais dire au revoir à Tank une nouvelle fois. J’ai bien assez pleuré la première fois. Peut-être que je glisserai juste un regard, pour voir s’il a finalement réussi à mettre cette troisième balle de tennis dans sa bouche.
Bonne chance avec Tank. Soigne-le bien, et donne-lui une caresse en plus de ma part, chaque soir, pour lui dire bonne nuit.
Merci,
Paul Mallory 
J’ai replié la lettre, et je l’ai replacée avec précaution dans l’enveloppe. Bien sûr, j’avais entendu parler de Paul Mallory, tout le monde en ville le connaissait, même les nouveaux habitants comme moi. Un gosse du coin, mort en Irak quelques mois auparavant et décoré à titre posthume de la croix d’honneur, pour avoir sauvé trois de ses compagnons avant de mourir. Les drapeaux avaient été en berne tout l’été.
Je me suis penché en avant, les coudes posés sur les genoux, et j’ai regardé le chien.
“Hé, Tank,” ai-je murmuré. La tête du chien s’est soudainement redressée, ses oreilles se sont dressées et son regard s’est illuminé.
“Viens par ici.” Il était debout, ses ongles ont cliqueté sur le parquet. Il s’est assis devant moi, la tête penchée, comme s’il cherchait ce nom qu’il n’avait pas entendu depuis des mois.
“Tank,” ai-je murmuré. Sa queue se mit à battre l’air. 
J’ai continué à murmurer ce nom, encore et encore, et chaque fois, ses oreilles se baissaient un peu plus, son regard s’adoucissait et son corps se détendait tandis qu’une vague de bonheur semblait le traverser. J’ai frotté ses oreilles, j’ai gratté son dos, j’ai enfoui mon visage dans sa fourrure tout en le serrant contre moi.
“C’est moi, Tank, juste toi et moi. Ton vieil ami t’a confié à moi.” Tank a tendu la tête et m’a léché la joue. “Alors, tu veux jouer à la balle?” Ses oreilles se sont alors dressées d’un coup. “Hein? La balle? T’aimes ça, hein ? La balle ?” Tank s’arracha de mes bras et disparut d’un bond dans l’autre pièce.
Quand il est revenu, trois balles de tennis se tenaient dans sa bouche.

Déposé par colombine67 le 12/04/2016  
Bonjour, je suis P’tit Lu. J’étais un petit chien errant, un petit chien des rues en Espagne, j’ai connu la peur, la faim, la cruauté des humains et des autres chiens.
Il y a un peu plus de 5 ans, j’ai été attrapé et emmené dans une pereira, je me suis retrouvé dans une cage avec d’autres, ce n’était pas beaucoup mieux. Et puis un jour on m’a dit « Prépare-toi, le chien, il y a une dame en France qui veut t’adopter ».
Je n’y croyais pas, j’avais 10 ans, pas beaucoup de dents ni de poils, j’ai cru qu’ils se moquaient de moi ou qu’il allait m’arriver quelque chose de terrible dont ils n’osaient pas me parler. Et puis, pourtant, j’ai pris la route, j’ai roulé longtemps et je suis arrivé en France.
Un monsieur m’a pris (il faisait peur mais il était gentil) et une dame est arrivée. Elle m’a pris dans ses bras en pleurant, c’était ma maman. J’ai eu peur de ne pas lui plaire, mais elle m’a aimé tout de suite. Moi je ne savais pas si je pourrais, je n’avais pas l’habitude, mais c’est venu tout seul, comme une évidence.
Après, Romarin et les autres sont arrivés et j’ai encore eu peur, que Maman ne veuille plus de moi, le vieux chien pas beau. Mais c’est moi qui dors dans les bras de Maman, c’est à mon oreille qu’elle chuchote que je suis son préféré.
Il y a quelques jours, j’ai senti que la vie se glissait hors de moi, je n’avais pas peur, ça ne faisait pas mal. Mais j’ai senti les larmes de Maman sur moi, alors j’ai rassemblé toutes mes forces pour revenir, c’était trop tôt, elle n’était pas prête.
Je sais qu’un jour, dans pas très longtemps, je ne pourrai plus faire l’effort de rester, même pour Maman. Je n’ai pas peur, je sais que je partirai avec le souvenir de ces 5 ans de bonheur, la douceur de sa main sur ma tête et la force de son amour.
Je suis content que les autres soient là, ils pourront la consoler. Parce que, je le sais bien, le chouchou de Maman, c’est moi. Le vieux petit chien pas beau et édenté.
Moi, P’tit Lu.

Déposé par nikita le 11/04/2016  
PACO mon prince d'amour
Je ne trouve même plus les mots
Pour te parler de mon cœur
L'espoir n'est plus qu'un tombeau
Où l'on enterre le bonheur
Tous les pétales de ma vie
Se sont fanés aujourd'hui
Restent nos souvenirs d'hier
Et pour ce jour mes prières
Mais comment vivre sans toi
Si tu n'es plus là
Mon cœur te cherche ici bas
Mais mes yeux ne te trouvent pas
Mais comment vivre sans toi
Si tu n'es plus là
Qu'on prenne mon âme
Mais crois moi je ne t'oublierai pas
Qu'on parle de nous au passé
Je ne peux pas l'accepter
Je te ressens près de moi
Malgré que je ne te vois pas
Sans toi je ne suis plus rien
mille gros câlins
Bisous remplis de tendresse sur ta belle truffe à partager avec ta maman qui t'aime tant

Déposé par choupinou le 11/04/2016  

Douce nuit qui abrite mon ange
Danse avec moi, dans le coucher du soleil, le vent dans mes cheveux, et le ciel dans mes yeux.
Danse avec moi, ce soir, où les étoiles tardent, par crainte de tes lumières.
Danse avec moi, tandis que s'éteint le soleil, et que mon sourire allume son étoile... ,

Déposé par colombine67 le 11/04/2016  
Si arrive le moment où je deviens frêle et faible,
Et que la douleur m’empêche de dormir,
Alors fais ce qui doit être fait,
La dernière bataille ne peut être gagnée.
Tu seras triste, je comprends,
Mais ne laisse pas le chagrin t’arrêter,
Pour ce jour plus que tous les autres,
Ton amour et amitié doivent supporter l’épreuve.
Nous avons eu tellement de belles années,
Tu ne voudrais pas me voir souffrir davantage,
Quand le temps viendra, s’il te plait laisse-moi partir,
Emmène-moi là où quelqu’un prendra soin de moi.
Reste avec moi jusqu’à la fin,
Tiens- moi très fort et parle moi,
Jusqu’à ce que mes yeux ne voient plus,
Je sais qu’avec le temps, tu seras d’accord.
Que c’est une bonté que tu m’as fait,
Bien que ma queue ait remuée pour la dernière fois,
Tu m’as sauvé de la misère et de la souffrance,
N’aies pas de peine d’avoir dû prendre cette décision,
Nous étions très proches pendant toutes ces années,
Ne te laisse surtout pas envahir par le chagrin,
Car je te remercie de m’avoir offert une si belle vie.
Ton copain à quatre pattes.

Déposé par colombine67 le 10/04/2016  
Intrigué par des bruits s’échappant d’une poubelle vendredi dernier, deux adolescents originaires de Lorgues ont fait une terrible découverte. Un jeune chien s’y trouvait, blessé et lâchement abandonné…
Le printemps est arrivé et avec lui, le beau temps et les journées plus longues. Profitant de la clémence de la météo varoise, deux frères étaient d’ailleurs de sortie en début de soirée vendredi dernier lorsqu’ils ont entendu des gémissements plaintifs. Curieux, ils se sont alors orientés en direction des bruits… qui sortaient d’une poubelle. Prenant leur courage à quatre mains, ils ont ensuite rapidement déterminé que la source de ces sons venait d’un gros sac jeté tout au fond qu’ils ont entrepris de vider et… stupeur !
Ce ne sont en fait pas un mais bien neuf sac poubelle que les jeunes hommes ont dû déchirer pour en extirper un chien, bien vivant malgré son triste état. Libéré mais agonisant car suffoquant, le toutou a donc immédiatement été emmené chez le vétérinaire le plus proche. Un geste de la part des ados qui lui a semble-t-il été salvateur car, d’après l’un d’eux, l’animal aurait été victime d’un accident de la route voire même, de violences.
Par ailleurs, c’est sur les réseaux sociaux que le garçon a appelé les internautes à se mobiliser pour retrouver la personne coupable d’avoir mis un chien dans une situation si délicate.
L’état dans lequel il a été découvert a nécessité une intervention chirurgicale. Toutefois, l’adorable poilu âgé de moins d’un an semble désormais être tiré d’affaire. En effet, sous surveillance au sein du refuge de la SPA de Flayosc suite à l’opération menée par un vétérinaire de Lorgues, le maintenant prénommé Elliott par ses sauveurs se repose et reprend gentiment du poil de la bête.
Et dès qu’il sera remis sur pattes, plus aucune mauvaise surprise ne l’attendra : les proches des ados ainsi que le refuge se seraient effectivement mis d’accord et… Elliott rentrerait donc bientôt habiter aux côtés de ses deux anges gardiens.

Déposé par poutounou le 09/04/2016  
Si, un jour, je me retrouvais dans une telle situation au niveau santé, j'aimerais moi aussi avoir le temps de m'occuper du placement de mon petit Iron adoré. C'est un très bel acte d'amour que de chercher une famille aimante pour ces toutous peut-être un jour orphelins.
*
Kathleen Zuidema a été diagnostiquée d'un cancer des poumons. Selon ses médecins, il ne lui reste qu'un an à vivre. Depuis, Kathleen se démène pour faire adopter ses chiens avant que le cancer ne l'emporte. 
*
Une décision difficile
*
Six mois après cette terrible nouvelle, Kathleen dit se sentir mieux physiquement, mais elle est face à une décision très difficile : elle doit trouver une famille aimante pour ses trois Bergers australiens croisés, Automne Moon 11 ans, Mona Luka 4 ans et demi et Finnegan 4 ans. 
 *
Voici ce qu'elle a partagé sur son compte Facebook : 
 *
"C'est sûrement la décision la plus difficile de toute ma vie. Mon coeur est en miette et je sanglote en écrivant ces lignes. Comme beaucoup d'entre vous le savent, je me bats contre le cancer depuis un an et demi et les choses arrivent à un point où je me dois de trouver une famille aimante pour mes chiens. Ils sont à adopter ensemble. C'est une énorme faveur que je demande mais je ne peux pas supporter l'idée qu'ils soient séparés. Je vous rassure sur le fait qu'ils sont très bien éduqués et qu'ils sont de parfaits colocataires. Ils dorment sur mon lit ou dans leur panier, comme ils le souhaitent."
*
Kathleen essaye de faire au mieux pour ses chiens adorés avec cette épée de Damoclès au dessus de sa tête. Elle a partagé plusieurs photos et vidéos de ses chiens sur son profil Facebook pour montrer qu'ils sont joueurs, aimants et heureux. 
 *
"J'ai survécu aux horribles effets secondaires de la chimiothérapie et j'ai passé un merveilleux été dans mon jardin avec mes Bergers australiens. Je suis déterminée à être encore là l'été prochain car je ne suis pas prête à abandonner maintenant."
 *
Un courage incroyable de la part de Kathleen, qui, on l'espère, pourra vaincre cette maladie et garder ses chiens près d'elle. 
 

Déposé par ovanek le 09/04/2016  

💖 💖 48 💖 💖
*** je sais ***
Un amour déjà passé
Des souvenirs presque effacés
Et pourtant tu continues de hanter ma pensée
Toutes les nuits mes sentiments enfuient
Envahissent mes rêves sans me laisser de trêves
J’en suis intimement persuadée
Je sais que je vais te retrouver
Sur une simple intuition
J’ai fondé mon espoir le plus profond
Comme si nous étions destinés
Mais trop vite séparés je continue de croire en nous
Et en mes rêves fous je ne sais pas quand
Peut- être dans bien longtemps
Mais un jour c’est certain
De nouveau ensemble jusqu’à la fin
***** Pensée *****
💖

Déposé par colombine67 le 09/04/2016  
Après 10 ans de rue avec sa chienne Margot, Christophe crée des “restos du coeur » pour chiens de SDF
On sent bien qu’entre ces deux-là, c’est à la vie à la mort: lui, l’ex-SDF de 46 ans et elle, la chienne au regard doux et aux muscles puissants!
Ah, si elle pouvait parler, que de nuits et de jours d’errance, de faim, de souffrance mais aussi d’amour commun, elle pourrait raconter!
Elle a toujours été prête à tout pour le protéger et le défendre face aux multiples risques et dangers que connaissent tous les SDF, que ce soient vols, violences, bagarres et agressions en tout genre…
Au fil des 10 ans qu’ils ont passés, tous les deux, en permanence côte à côte dans la rue, elle a su le soutenir quand il glissait au bord d’un abime sans fin, lui remonter le moral et lui dire, avec ses mots à elle, avec ses yeux à elle, avec ses coups de langue à elle, que non, il n’était pas tout seul! Et que non, il n’était pas abandonné de tous! Car elle était là, elle! Et elle l’aimait de tout son être, de tout son coeur de chien… Sans jamais rien lui reprocher, sans jamais le juger, sans condition, tout simplement…
Partager ensemble le moindre quignon de pain
Alors, bien sûr, quand on est chienne de SDF, on ne mange pas tous les jours à sa faim et Christophe en était malade rien que de le savoir, quand il vivait dans la rue avec elle.
Comme tout sans abri qui vit avec un chien, il partageait le moindre quignon de pain avec elle, allant même parfois jusqu’à se priver pour qu’elle puisse manger.
Car tous les connaisseurs de la rue vous le diront: tout SDF est un ami exemplaire pour son chien et il ne recule devant aucun sacrifice pour lui.
Celui de passer tous les hivers dans la rue, même par très grand froid, pour ne pas se séparer de son ami, en est un. En effet, – scandaleusement ou par manque de moyens –, les centres de nuit n’acceptent pas les animaux.
A Paris, seule la remarquable péniche “Le Fleuron“, amarrée sur les quais de Seine et soutenue par l’association 30 millions d’amis et l’ordre de Malte, accueillent une cinquantaine de sans abri, avec leur compagnon à quatre pattes.
« Les Babines de l’Espoir“
A force de courage et de volonté, Christophe Barlier est parvenu à s’extirper de la rue après 10 ans d’enfer. Il vit maintenant – bien modestement – dans un petit logement de la banlieue nantaise avec sa chienne.
Il pourrait se reposer un peu de ses années terribles, “poser ses valises” comme l’on dit et souffler.
Et bien non! Car Christophe est convaincu que s’il a pu remonter à la surface, c’est grâce à Margot! Et qu’il se doit maintenant d’aider et soutenir toutes les “Margot” de la rue, tous les chiens de SDF!
Du coup, il a monté une association au doux nom de “Les Babines de l’Espoir”.
C’est une sorte de Restos du Coeur pour chiens de SDF.
Tous les mercredis, Christophe et une poignée d’amies et amis, arpentent inlassablement les rues de Nantes avec des sacs à dos bourrés de croquettes, de colliers anti-puces, d’os à ronger et de menues friandises.
Il fait ça depuis le mois de juin.
Maintenant, il est connu de tous les chiens de SDF et dès qu’il s’approche avec son tee-shirt noir et son sac à dos, les queues s’agitent frénétiquement, les gueules s’ouvrent comme pour sourire et les jappements de bienvenue l’accueillent joyeusement!
Son initiative fait tâche d’huile. Lancée à Nantes, “Les Babines de l’Espoir“ sont en train d’essaimer dans plusieurs autres villes et des étudiants-vétérinaires ont rejoint Christophe pour offrir des soins gratuits aux compagnons à quatre pattes des SDF et des plus démunis!
Mille bravos, Christophe! Toute ma fraternité et toutes mes amitiés!
Pierre MARTIAL
A partager le plus largement possible, mes amies et amis.
Partager, c’est déjà agir.

Déposé par colombine67 le 08/04/2016  

Tous les jours, ce pauvre homme mendiait, toujours au même endroit… Et malgré tout, il gardait le sourire et restait poli y compris devant les gens moins généreux. Cet homme avait un chien. Un chien aussi gentil que lui qui n’aboyait que rarement et ne montrait jamais les dents. J’entendais les médisants dire que cet homme était fou d’avoir un chien auprès de lui alors qu’il parvenait à peine à se nourrir lui-même.
Un jour, je marchais dans la rue où ce SDF et son chien se trouvaient comme à leur habitude, je les trouvais là en train de se réchauffer l’un contre l’autre. Il faisait un temps glacial et les voir ainsi m’a donné l’effet d’un coup de poignard. Loin d’être riche, j’ai tout de même décidé de faire quelque chose…
Le lendemain, j’ai dit à mon patron que je prenais ma demi-journée. Muni d’une couverture et d’une grande boîte remplie de nourriture pour l’homme et son chien, j’ai décidé d’acheter deux cafés et je me suis approché de l’homme : « peut-on parler quelques instants ? », lui ai-je demandé.
C’est avec plaisir qu’il acquiesça même s’il restait suspicieux : « pourquoi me parlez-vous ? »
Donc je lui ai dit : « tous les jours, je vais au travail. Chaque jour, je vois des gens qui ont l’air si tristes. Tous, sauf vous. Vous avez toujours l’air souriant. Vous avez toujours l’air heureux malgré vos conditions de vie et chaque jour, vous me réchauffez le coeur. Je me dis que même si je passe une mauvaise journée, ou que je ne suis pas aussi heureux que je voudrais l’être, il y a cet homme qui vit dans la rue et qui a l’air beaucoup plus épanoui que moi même s’il n’a rien. »
A ce moment-là, il m’arrêta et me dit : « J’ai quelque chose, quelque chose qui n’a pas de prix : ce petit gars dans mes bras (le chien). »
Je lui ai demandé où est-ce qu’il l’avait trouvé. Il m’a donc répondu :
« un jour, je me demandais à quoi bon être en vie si c’est juste pour mendier et survivre. J’avais personne à qui penser et personne ne m’aurait regretté si j’étais mort. C’était il y a deux ans, j’étais sur ce pont, prêt à me suicider… Et là, ce petit gars est arrivé, m’a aboyé dessus et a mordu mes vêtements m’empêchant ainsi de sauter dans le vide. Alors je lui ai donné le dernier cookie que j’avais dans la poche. Il était tellement heureux que j’en ai pleuré et j’ai décidé de ne plus sauter.
Depuis ce moment, il est tout ce que j’ai et est comme mon enfant. Parfois, il va se promener et revient avec quelque chose à manger pour nous deux : un bout de gâteau, une moitié de sandwich… Il veut toujours dormir avec moi. »
Je lui ai demandé s’il avait déjà trouvé une place dans un centre d’accueil ou une maison pour vivre, ce à quoi il m’a répondu une chose qui m’a bouleversé : « Il y a huit mois, j’aurais pu avoir une place où dormir, quelque chose à manger et un endroit chaud pour me reposer. Le problème : les chiens n’étaient pas acceptés. J’ai donc refusé. Ce petit gars est tout ce qui me reste. Je préfère mourir plutôt que de l’abandonner. Quand je me suis rendu compte que je n’avais plus rien, il m’a appris l’amour, m’a donné une raison de vivre et je le remercierai jamais assez pour ça. Quand les passants me donnent de l’argent, j’achète toujours de la nourriture pour lui. Je ne m’achète à manger que lorsque je suis sûr qu’il ne manque de rien. Parfois, j’entends les gens qui disent que je suis bête d’avoir un chien, à ces gens-là, je réponds : peut-être que ce n’est qu’un animal mais il m’a donné beaucoup plus d’amour que tous les êtres humains que j’ai rencontrés et il ne me fera jamais de mal. »
Quand il a dit ça, je lui ai donné la couverture et la fameuse boîte de nourriture. Il m’a remercié comme personne ne l’a jamais fait. Tout simplement parce que grâce à moi, Bobby (le chien) allait bien manger et n’aurait plus jamais froid.
A ce moment, je ne sais toujours pas pourquoi, je lui ai donné un morceau de papier avec mon adresse dessus, je l’ai attaché au collier du chien en disant « tu n’as plus à te faire de soucis, s’il devait t’arriver malheur, je prendrais soin de Bobby et il ne sera plus jamais seul. »
Il a pleuré. Ce jour-là, j’ai vu l’homme le plus heureux au monde. Et je vous souhaite la même aventure.

Déposé par colombine67 le 07/04/2016  
Comme toutes les étudiantes australiennes, une jeune fille a célébré sa dernière année de lycée début mars par le bal de promo. Un rêve rendu possible grâce à Lacey sa chienne. Vous allez fondre en découvrant comment…
Le bal de promo ? Une institution aux Etats-Unis comme en Australie si bien que tous les plus jeunes rêvent. Et pour cause : il célèbre la fin de la scolarité. Pour l’occasion, filles et garçons se mettent alors sur leur 31, dégainant jolies robes et costumes chics. Si généralement c’est en couple qu’ils se rendent à l’évènement, il arrive parfois que certains – comme Erin Condrin – défraient la chronique pour réaliser leur rêve.
Et pour cause, c’est en effet accompagné d’une personne toute particulière pour elle que la jeune fille s’est rendue au premier soir du reste de sa vie. Cette personne ? C’est Lacey, sa chienne d’assistance. Si Erin est une jeune fille comme toutes les autres, elle souffre néanmoins d’une maladie très rare qui la contraint à se déplacer en fauteuil roulant ou en béquilles : le syndrome d’Ehlers-Danlos type classique. Mais grâce à la compagnie de sa fidèle quatre-pattes, elle a pu vivre ce beau jour le plus sereinement au monde.
«Lacey me rend la vie plus facile. Elle ramasse des objets tombés par terre, ouvre et ferme les portes, amène des objets, appuie sur l’interrupteur de la lumière, et bien plus encore», confie en effet la jeune femme sur la page Facebook, Life with Lacey, qu’elle tient en l’honneur de sa fidèle amie.
«La relation que j'ai avec ce chien est au-delà des mots», résume par ailleurs celle qui, grâce à Lacey, a pu réaliser son rêve.

Déposé par lili2248 le 06/04/2016  
Aujourd'hui quand j'ai levé ma tête
J'ai pu voir dans le ciel clair
Illuminé de tes beaux yeux,
Le bonheur que j'avais perdu.
Je me rappelle alors,
Les beaux souvenirs que tu m'as laissé,
Et le soleil dans mon coeur,
Ne m'a jamais paru si beau,
Il me caresse de ses rayons,
Et réchauffe mon âme.
Le temps d'un instant,
Mes rêves me trahissent,
Lorsqu'ils me font croire
Que tu es près de moi.
Mais aujourd'hui j'ai vu dans le ciel,
Que c'était bien réel.

Déposé par colombine67 le 06/04/2016  
Le cri d’un vétérinaire … à méditer
« Je suis vétérinaire. Il y a certains détails que j’ai changés ou omis pour préserver mon anonymat et parce que je vais me faire allumer pour ce que je vais vous raconter. Aujourd’hui, un homme m’a amené son chien.
C’était un grand chiot adolescent et tapageur. Il s’est rué dans la salle de consultation, me sautant dessus avec enthousiasme, remuant sa queue sans arrêt et poussant ma main avec son museau. Ses grosses pattes douces s’écrasaient contre mon torse à chaque fois qu’il s’arrêtait pour me saluer, pendant qu’il sautait partout dans la pièce pour sentir de plus près toutes les odeurs. C’était un croisé atypique, très beau et il était clairement intelligent et énergique, en un mot adorable.
Voilà l’histoire: le chien avait été acheté lorsqu’il était un petit chiot par un couple à qui l’on avait dit que c’était un croisé ‘dernier cri’ de deux races de petite taille. Si ce couple s’était juste un minimum informé, ils auraient su immédiatement que ce chien n’était pas un mélange de deux petites races. Bref, ils n’avaient aucune idée donc ils ont acheté le petit chiot mignon de cette source douteuse (ça leur a surement coûté plusieurs centaines d’euros) et l’ont ramené dans leur famille où il y avait un jeune enfant. Le chien a un peu grandi et il est devenu évident qu’en fait il allait être très grand. Il sautait partout, était énergique et destructeur. Il courait partout sans cesse et faisait tomber l’enfant.
Donc ils l’ont rapatrié chez un membre de la famille. Celui-ci avait aussi des enfants mais ils étaient un peu plus grands. Il avait vraiment à cœur de bien faire les choses, alors il a essayé de ‘discipliner’ le chien. Celui-ci commençait à montrer parfois des signes d’agressivité et il était complètement hyperactif dans la maison, destructeur et ingérable.
Je n’étais pas surpris d’entendre ça, car il était évident pour moi que c’était le type de chien qui aurait besoin d’énormément d’exercice et de stimulation. Dans un dernier espoir de résoudre le problème, la famille a fait castrer le chien. Mais, il fallait s’y attendre, cela n’a eu aucun impact. Aujourd’hui, le chien m’a été amené pour être piqué. Il a grogné agressivement quand un enfant a mis son visage trop près du sien. A cela s’est ajouté un changement imminent de mode de vie, et la personne s’est sentie incapable de continuer à gérer le chien. Il a demandé à des refuges locaux et nationaux, tous étaient complets. Il n’avait personne qui pouvait s’en occuper à partir de ce soir-là. Il ne pouvait pas le ramener à la maison, en partie par mesure de sécurité et en partie parce que la décision avait déjà été prise en famille.
C’est ainsi que j’ai euthanasié ce chien plein de vie, dynamique et en excellente santé, pendant qu’il mâchouillait ses friandises et que son troisième maître pleurait dans sa fourrure. Et quand je me suis retrouvé seul avec la dépouille de ce pauvre chiot, j’ai éclaté en sanglots. Je sais que certains penseront que j’ai eu raison d’euthanasier un chien qui avait montré des signes d’agressivité à un moment de sa vie.
Je ne suis pas d’accord.
Je sais que d’autres penseront que j’ai eu tort de l’euthanasier et que j’aurais dû le prendre chez moi et lui trouver un nouveau foyer.
Je ne suis pas d’accord.
Je sais aussi qu’énormément de gens ignorent que ce n’est pas un fait isolé, mais une réalité très courante dans ce pays, à cause de gens irresponsables et cupides, qui ne cherchent pas à s’informer. Lesquels vendent des chiens à des gens tout aussi irresponsables et inconscients. Qui les donnent à des personnes naïves et irréfléchies qui souhaitent les « sauver » mais qui finissent à bout de nerfs et me les amènent pour que je les euthanasie. C’est toujours comme ça que ça se passe.
Ce sont des chiens qui ont mordu les enfants de la maison parce que leurs maîtres n’avaient pas les connaissances suffisantes sur leur race, qu’ils attendaient beaucoup trop d’eux et qu’ils n’ont pas fourni les efforts nécessaires pour les socialiser.
Ce sont des chiens dont les maîtres peuvent se permettre de dépenser des sommes à quatre chiffres pour avoir la dernière « race » hybride à la mode affublée d’un nom ridicule fraîchement inventé, mais qui ne peuvent pas débourser 50€ pour leur vaccin ni aucune charge pour les problèmes de santé mineurs.
Ce sont des chiens qui peuplent les refuges de tout le pays et qui attendent, comme des milliers et des milliers d’autres, des foyers sans enfant, sans autre animal domestique, entourés d’un jardin avec une clôture de 2m50, dont les habitants ont l’habitude de gérer les problèmes comportementaux canins, travaillent à domicile, ont un mobilier en acier inoxydable et font des chèques en blanc pour soigner les maladies que les chiens ont héritées. Des foyers qui n’existent pas.
Voilà les chiens que je dois euthanasier parce que je sais que je me montre plus responsable en leur ôtant la vie de façon indolore qu’en les condamnant à attendre, parmi d’innombrables autres chiens « difficiles » dans tous les refuges du pays.
S’il vous plaît, s’il vous plaît, je vous en supplie, renseignez-vous avant de vous procurer un chien, auprès de vétérinaires, de vétérinaires comportementalistes, de clubs canins, de la Société Centrale Canine, des associations de chiens de race, des SPAs, d’Internet… Vous avez des tas de sources d’information à votre disposition. A vous d’en faire bon usage. Vous n’avez aucune excuse.
Allez voir un refuge où le personnel vous interroge beaucoup pour cerner votre mode de vie et trouver le chien qui vous conviendra le mieux.
Apprenez à élever votre chiot correctement. Comme ça, si vous ne pouvez plus l’assumer, vous aurez au moins fait en sorte qu’il soit adoptable.
Pensez à toujours avoir un peu d’argent de côté pour un imprévu.
Assurez-vous que le chien puisse répondre à vos attentes.
S’il vous plaît. Parce que je suis incapable de continuer ainsi .»

Déposé par poutounou le 05/04/2016  
Pour tout l’Amour qu’ils nous donnent et que nous leur donnons.
*
Extrait de la comédie musicale « Roméo et Juliette » :
*
Aimer….
*
Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau
Aimer c'est monter si haut
Et toucher les ailes des oiseaux
Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau
*
Aimer c'est voler le temps
Aimer c'est rester vivant
Et brûler au cœur d'un volcan
Aimer c'est c'qu'y a de plus grand
*
Aimer c'est plus fort que tout
Donner le meilleur de nous
Aimer et sentir son cœur
Aimer pour avoir moins peur
*
Aimer c'est ce qu'y a d'plus beau

Déposé par colombine67 le 05/04/2016  
Je l’ai vu tout d’abord enchaîné à une des deux cabanes. Seul, jour après jour, il me regardait travailler dans mon jardin. De cet arbre qui le retenait prisonnier avec une courte chaîne, il était assis en silence, attendant que quelqu’un lui montre un peu de gentillesse. Il n’ avait pas de bol l’eau, pas abri, autre qu’un petit arbre. Dans ces conditions, il semblait être comme un chien d’appât.
Un jour d’été particulièrement chaud, j’ai traversé les deux yards qui nous séparait, ses propriétaires qui l’enchaînait ainsi étaient là et je les ai vus, à coup de raillerie, l’abreuver avec le tuyau d’eau dont le pauvre chien essayait d’attraper quelques gouttes, souvent sans succès.
Je leur ai offert de l’argent pour le chien, ils ont refusé, ils m’ont dit qu’il « devait être enchaîné » parce qu’il s’enfuyait toujours.
Chaque jour, j’ai apporté de l’eau et de la nourriture. Malgré un contrôle Animal impliqué dans cette affaire, ces gens savaient comment éviter de se faire prendre et les contrôleurs m’ont même dit d’arrêter d’alimenter le chien car alors, je n’aurais pas de preuves contre eux. Mais je savais qu’un miracle se produirait .
Un week-end, un orage fait rage et détruit le petit arbre, le chien s’échappe il a un ruban adhésif sur sa gueule, son cou saigne et……… je le trouve assis dans notre garage, silencieux et plaidant pour recevoir de l’aide avec ses beaux yeux.
Nous l’ avons nommé Rosco et il est devenu mon chien à partir de ce moment là. Les gens me l’ont donné à contrecœur, après que la police soit intervenue. Peut-être ils ont vu combien nous étions tous deux déterminés. Sa volonté de survivre l’a amené dans une maison sûre.
Il a été le plus doux chien le plus doux que j’ ai jamais eu. Nous avons déménagé quelques temps après . Il a encore des cauchemars à certains moments, se secoue violemment. Il se réveille et moi je le caresse et alors il se calme . Partout où je vais, il est à côté de moi. Il ne sera jamais, jamais plus enchaîné à nouveau, et le bol d’eau est toujours plein. Il sait qu’il n’ aura jamais à s’ enfuir à nouveau.

Déposé par colombine67 le 04/04/2016  
Un chien sauve un bébé de sa baby-sitter
Benjamin et Hope Jordan venaient d'emménager à Charleston en Caroline du sud aux Etats-Unis.
Le couple ne tarde pas à trouver une baby-sitter pour garder Finn, leur fils de sept mois.
Alexis Khan semblait avoir de bonnes références. La confiance s’est installée... puis a totalement disparue grâce au comportement de leur chien.
"Environ cinq mois après qu’Alexis Khan soit devenue notre baby-sitter, nous avons remarqué que notre chien se mettait en position de défense quand elle arrivait, raconte les Jordan.
Il devenait tellement agressif envers elle que plusieurs fois nous avons dû nous interposer pour qu’il n’aille pas vers elle".
Benjamin et Hope Jordan deviennent soupçonneux et décident d’enregistrer ce qui se passe chez eux en leur absence.
Ils positionnent alors un smartphone sous le canapé pour qu’il enregistre tout ce qui se passe dans la journée. Le soir, à leur retour, ils écoutent la bande et découvrent, horrifiés, ce qu’Alexis Khan fait subir à leur fils. "Tais-toi! Tais-toi!" Ils entendent des bruits "de pleurs qui se transforment vite en cris de détresse et de douleur sous le bruit des claques", raconte le père.
"Je voulais rembobiner l’enregistrement et remonter dans le temps".
"Si notre chien ne nous avait pas alerté, si mon épouse n’avait pas suivi son instinct maternel pour que nous fassions quelque chose, notre fils aurait pu mourir sous les coups de la baby-sitter". Aujourd’hui, Finn va mieux et se porte bien. "L’épreuve que Finn a subi a peut-être permis de sauver la vie d’autres enfants", se console-t-il.
Alexis Khan a été arrêtée par la police.
Elle a avoué son crime et a plaidé coupable pour coups et blessures.
L’ancienne baby-sitter purge une peine de trois ans de prison et ne pourra désormais plus travailler auprès des enfants.

Déposé par Galinette3 le 03/04/2016  

AVRIL
🌞
Simone, le soleil rit sur les feuilles de houx :
Avril est revenu pour jouer avec nous.
Il porte des corbeilles de fleurs sur ses épaules,
Il les donne aux épines, aux marronniers, aux saules ;
Il les sème une à une parmi l'herbe des prés,
Sur le bord des ruisseaux, des mares et des fossés ;
Il garde les jonquilles pour l'eau, et les pervenches
Pour les bois, aux endroits où s'allongent les branches ;
Il jette les violettes à l'ombre, sous les ronces
Où son pied nu, sans peur, les cache et les enfonce ;
A toutes les prairies, il donne les pâquerettes,
Et des primevères qui ont un collier de clochettes ;
Il laisse les muguets tomber dans les forêts
Avec les anémones, le long des sentiers frais ;
Il plante des iris sur le toit des maisons,
Et dans notre jardin, Simone, où il fait bon,
Il répandra des ancolies et des pensées,
Des jacinthes et la bonne odeur des giroflées.
🐶
Rémy de Gourmont

Déposé par colombine67 le 03/04/2016  
- Que regardes-tu ?
- Je regarde le chien.
Celui qui venait de répondre était un jeune garçon.
Celui qui avait posé la question, notre ami le moine.
|
- Je ne comprends pas pourquoi il reste attaché-là !
la corde qui le retient n’est pas très grosse,
avec la force qu’il a il pourrait la casser et se sauver !
Le moine souriait.
- Et toi qu’en penses-tu ?
- Peut-être qu’on l’a dressé à rester là !
- Alors pourquoi l’attacher, si ce chien est dressé il n’a pas besoin de corde !
Le jeune garçon secoua la tête. Le moine avait raison.
Alors comment se fait-il que ce chien reste là ?
|
Le moine raconta l’histoire de ce chien.
- Vois-tu, il y a très longtemps, ses arrières grands parents étaient des chiens
sauvages. Ils étaient libres, ils parcouraient des dizaines de kilomètres pour trouver
l’endroit pour vivre. Quand l’hiver arrivait, ils s’en allaient
pour d’autres contrées plus clémentes.
Un jour, des hommes posèrent le pied dans ces régions inhabitées, ils virent ces
chiens. Ils les trouvèrent résistant, courageux, puissants et décidèrent de les
utiliser. Ils attrapèrent les petits qu’ils attachèrent à l’aide de corde près de leur
campement, ceci afin de les domestiquer.
|
Celui-ci, depuis son plus jeune âge, a été attaché.
Au début, le sang de la liberté, qui coulait dans ses veines, le poussait à vouloir
s’échapper, partir, mais la corde était solide
et toutes ses tentatives échouèrent.
Chaque jour, il mettait toute son énergie à vouloir partir … en vain.
Un jour, il s’avoua vaincu et accepta son sort.
Il sut qu’il était impossible de se sauver,
impossible de courir les vastes paysages comme le faisait ses ancêtres.
Malgré la fragilité de cette corde aujourd’hui, il se sait incapable de la casser.
Ceci est inscrit au plus profond de lui.
|
- Mais il n’a jamais essayé maintenant qu’il est plus grand ?
le moine souriait.
- Il est un peu comme nous lorsque nous faisons quelque chose
qui ne fonctionne pas.
On pense que c’est impossible, que l’on ne peut pas y arriver,
que c’est au-dessus de nos forces.
|
Parfois cela va encore plus loin,
cette corde, nous l’attachons autour de nos proches
persuadé qu’eux aussi ne pourront pas y arriver,
et nous les privons de liberté.
|
- Je comprends, dit l’enfant.
Il s’approcha du chien, lentement, avalant sa salive car le chien avait l’air féroce.
Une fois près de lui, il s’agenouilla.
- Tu sais, tu es plus fort que la corde, tu peux reprendre ta liberté
et courir comme tes ancêtres.
|
L’enfant se releva et retourna vers le moine.
Tous les deux regardaient le chien.
Il était sur ses quatre pattes.
Plus que les mots c’était le regard de l’enfant qui avait parlé.
Le chien le regarda et d’un seul coup bondit, cassant net l’attache symbolique.
Sentant la liberté, le chien courut droit devant lui
accompagné par l’Esprit de ses ancêtres.
Atteignant le haut de la colline, il se retourna et regarda les deux formes humaines,
l’une plus petite, mais toutes les deux arboraient un immense sourire.
En trois bonds le chien disparut.




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