In tribute to

Rock du Moulin de Labatut
2000 / 2013


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Rock du Moulin de Labatut
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In tribute to
Rock du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Born on :17/09/2000
left us on:10/06/2013

Rock, mon tendre petit chéri.

Puisque ta page ne fonctionne plus...que nos amies/amis ne peuvent plus te fleurir...Maël m'a suggéré d'ouvrir cette nouvelle page...bien que je ne puisse y reporter tes 22262 bouquets qui t'ont été offerts, si généreusement.

Je reporte, ci-dessous ton histoire..

Comme Niagara,( une véto qui ne sait pas reconnaître les symptômes d'un empoisonnement !!!)
- Rafia ( également erreur de diagnostic, un diabète qui ne sera identifié que tardivement, de mauvais dosages d'Insuline, un "bricolage" de traitements sur 21 mois,avec des "cocktails d'apprentis sorciers)... sans effectuer ni les examens, ni les prélèvements indispensables)....
- et Punky,(opéré d'un lymphome, ds la précipitation, sans s'assurer qu'il n'y ait pas de métastases, sans Ag au gaz, indispensable en raison de son âge, puis "bricolage intempestif" qui l'emportera en 14 jours) tu es victime de l'INCOMPETENCE de vétos.

Durant 7 mois, 7 longs mois, tu auras reçu des traitements inefficaces, pourtant ns consultions au minimum 1 fois/semaine et surtout ces vétos continueront à faire des injections répétées de Cortisone et autres corticoïdes, pr tes problèmes de peau...Excès dramatique au point que l'on arrive à te faire désensibiliser toutes les 15 jours..et que l'un d'eux dira "je suis obligé de réduire la dose, sinon, je vais le tuer" !!!

De cette maudite Cortisone, tu en auras eu dès tes 2 ans...et jusqu'en janvier 2013.
Au départ de Punky, c'est là que se sont révélés tes problèmes pulmonaires et cardiaques. Ces incapables affirmaient que ton coeur "flottait ds de l'eau"...sans tjrs faire les examens adéquats.
Une nuit, alors que ns avions dû consulter, en urgence, chez un véto de garde...ce dernier, à la vue de ta liste de médicaments avait dit que la posologie n'était pas adaptée à ton état....mais ce n'est pas pr cela que les autres l'aient modifiée....ils ont continué ds leur erreur, éludant les conseils de leur confrère..et en ns persuadant que c'tait eux qui avaient raison.

Mais cette consultation de nuit aura été déterminante..car c'est là que ns avons décidé de demander, ailleurs, un nouveau diagnostic/pronostic.

Et là..."miracle"...un véto qui s'investit pleinement ds les explorations dont un check- up complet. Les autres savaient aussi, pertinemment, que ns n'avions aucune restriction financière pr faire soigner nos petits chéris...donc ils n'avaient pas et ce, déontologiquement, à réduire les examens. Mais, comme leurs équipements étaient "pauvres"...ils ne voulaient pas faire travailler leur confrères !!!CQFD.

Diagnostic ...: bronchite chronique (rien d'étonnant car une bronchite "basique" sera demeurée 7 mois sans soins adaptés !!)Les radios pulmonaires ne révéleront aucune autre suspicion.
Et...le coeur ne baigne pas ds de l'eau....mais, l'eau se trouve...ds les poumons !!!....donc traitement pr l'évacuer.
Le premier électrocardiogramme indique que le coeur de notre petit chéri est fatigué....encore une séquelle avérée de la Cortisone !!! Le traitement mis en place provoque une nette amélioration...les électrocardiogrammes suivants la prouveront.

Ce véto, non seulement est "excellent" mais il note TOUT ce qu'il fait comme actes et TOUT ce qu'il prescrit...et il le chiffre aussi. Alors qu'avec les autres...ns payions, sans le moindre justificatif..;et hormis les médicaments "identifiés"..ns n'avons jamais pu savoir de quoi se composaient les "cocktails" injectés..;sauf, évidemment, pr la Cortisone.

Outre la souffrance qui ns anéantit, ns avons la rage, celle de ne pas avoir réagi, à temps...et ainsi éviter vos départs.
Ns aurons reçu un enseignement : celui que l'Amitié obnubile complètement la méfiance. ns avons fait une confiance aveugle.

Ah !!! il ne faut que j'omette aussi d'écrire..que depuis janvier 2013..PLUS AUCUN PB de dermatites/dermatoses..un vrai miracle. mais ce véto n'utilise pas, intempestivement, la Cortisone...et il ne t'en administrera jamais.
La pharmacopée vétérinaire offre d'autres options...que les vétos, imbus de leur "science" éluderont, tragiquement.

Depuis samedi matin, tu haletais, sans cesse...mais le véto ns a assurés que tu ne souffrais pas. Sinon, ns pensons qu'il n'aurait pas hésité à pratiquer l'acte létal.Ce qui ns fait dire qu'il est honnête, c'est qu'il avait reçu l'appareil et les produits qui devaient te permettre de mieux respirer, et qu'il a dit à papa "son coeur ne supporterait pas"...alors qu'il aurait pu les lui vendre, d'autant plus que le tout avait été commandé, exprès pr Rock.

Depuis samedi matin, tu ne ns quittais plus...tu passais des heures à ns regarder, assis. Et moi, j'étais avec toi la nuit, essayant, en vain, de te faire coucher...et vers 5 heures, la fatigue faisait que tu acceptais de te coucher...et tu t'endormais..;ta respiration devenant bcp moins saccadée.

Dimanche...ns avions les jumeaux; ns avons voulu te mettre au calme, car Jdaïl , le westie jeune et fougueux de Tomy "remuait" bcp...mais toi, tu n'as pas voulu. Tu t'es de nouveau assis, ds le living, les yeux rivés vers ns.

Le matin, papa avait réussi à te faire manger un steack hâché de boeuf à 5% de MG +les 3/4 d'un pot de fromage blanc (que tu adores !!) à 20%; Puis je t'ai donné...un "fragment" de crêpe, sans sucre (ce dont tu te régales aussi)....mais malgré que tu en avais l'envie...tu ne pouvais pas manger.
Le soir, tu as accepté 2 tranches de jambon de Bayonne...mais très fines.
Tu n'as pas voulu, rester avec papa, près de lui sur ton canapé de la vidéothèque...et moi, épuisée par 2 nuits sans sommeil, je suis allée m'allonger et je me suis endormie jusqu'à minuit.

Ensuite, je me suis installée, ds mon bureau, à mon PC...et tu es venu m'y retrouver. Avant, je t'avais proposé des friandises que tu as refusées.

Je me suis mise à arroser les fleurs...tu étais assis, tout près de moi, tjrs les yeux rivés sur moi..Tu es parti, quelques secondes...vite revenu, tu m'as demandé de te prendre ds mes bras...ce que j'ai fait, bien entendu. Tu t'es blotti contre moi, ta respiration devenant de plus en plus difficile...Je t'ai murmuré à l'oreille combien ns t'aimons..que tu ne luttes plus et que tu partes retrouver Punky...Niagara et Rafia. tu m'as regardé..comme si tu comprenais...et puis..plus rien :il était 1 h 45... tu ne respirais plus. J'ai réveillé papa qui t'a pris ds ses bras...a voulu que je parte car tu étais agité de soubresauts..m'a dit "il n'y a plus rien à faire".Ton coeur ne battait plus. Papa t'a câliné encore et encore..je suis revenue...on aurait dit que tu dormais paisiblement.

Et puis ce matin, nouvelle épreuve pr papa...la plus difficile c'est de t'enterrer...tout près de ton ami Punky et de la petite Rafia.

Je ne crois pas, malheureusement, aux retrouvailles qui ne sont qu'un leurre...mais je veux penser que tu les as retrouvés. C'est encore Punky qui a dû être le plus heureux et vs avez dû reprendre vos petites querelles amicales.
Punky, dès que tu es arrivé à la maison a tout de suite compris que tu étais le plus petit...il t'a tjrs laissé prendre le dessus sur lui...alors que toi Rock le précieux dandy, tu ne faisais pas le poids...contre Punky tout en muscles.
Ns n'avons jamais compris que tu puisses le jalouser..il n'y avait aucune raison pr cela...mais certainement que ce n'était pas de la jalousie..c'était que tu voulais être tjrs le...: numéro 1.
Ns sommes enclins à penser que la vérité, elle là...car, lorsque Punky est parti...ce fut la catastrophe : tu refusais de t'alimenter...tu le cherchais partout..ds la maison et à l'extérieur...miné de ne pas le retrouver.Et puis, un jour, tu as bien voulu comprendre où il se trouvait....Depuis, il arrivait souvent que tu te couches, "collé" à sa tombe, ta belle petite tête reposant sur la pierre tombale )....Et puis aussi..;depuis le départ de Punky..toi qui disait "mama" en t'adressant à moi...tu ne l'as plus jamais dit...Idem...pr ton adorable manie de ns téter le cou, lorsque tu ns faisais des câlins...tu ne montais plus aussi souvent sur notre lit...tu t'étais renfermé..tout en demeurant adorable avec ns.

Mon tendre petit chéri...ns ne te remercierons jamais assez pr tout l'amour que tu ns a donné...tu resteras tjrs ds nos coeurs...c'est tellement difficile à vivre...tu es partout.
Comme ns n'oublierons JAMAIS : Niagara, la petite Rafia - (toi aussi tu étais un petit modèle de westie, comme elle...toi aussi un CHAMPION; largement confirmé de beauté...au palmarès prestigieux)...)- et Punky. Le BONHEUR procuré par notre mini-meute de westies...s'est envolé...et ns sommes très inquiets pr Paramour, totalement perdue.

Papa et moi, te faisons des bisous..des bisous à l'infini..pr notre Rock adoré.




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Petit Ange, dans ce bouquet de fleurs, tu trouveras mille bisous et des câlins encore plus doux.
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Petit Ange, dans ce bouquet de fleurs, tu trouveras mille bisous et des câlins encore plus doux.
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Petit Ange, dans ce bouquet de fleurs, tu trouveras mille bisous et des câlins encore plus doux.
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Petit Ange, dans ce bouquet de fleurs, tu trouveras mille bisous et des câlins encore plus doux.
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Petit Ange, dans ce bouquet de fleurs, tu trouveras mille bisous et des câlins encore plus doux.
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Un bouquet de douceur pour toi petit cœur avec des milliers de câlins, de bisous et de caresses
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Un bouquet de douceur pour toi petit cœur avec des milliers de câlins, de bisous et de caresses
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Un bouquet de douceur pour toi petit cœur avec des milliers de câlins, de bisous et de caresses
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Un bouquet de douceur pour toi petit cœur avec des milliers de câlins, de bisous et de caresses
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left by  goulou50
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Je t'envoie mille bisous qu'ils traversent les cieux pour se poser sur ta jolie frimousse
left by  goulou50
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left by  chloute59
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✨~🍃Plein de tendres et interminables papouilles🌠~🍃
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left by  spanky
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Votre compagnon à 4 pattes que vous aimiez tant a pris la route des oiseaux migrateurs sur le chemin du ciel se réchauffant dans le creux d'un nuage comme il le faisait dans vos bras.
left by  colombine67
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Le bonheur pur, c’est rentrer à la maison et voir mon chien bondir de joie simplement parce que je suis là.



 
3650 messages

left by colombine67 on 12/03/2017  
NE SOIT PAS TRISTE :
Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi.
Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée,
Le temps d'une vie terrestre.
Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon.
Mon vrai moi, l'Âme que je suis ,
Vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi.
Ne sois pas triste, sois heureux(se) pour moi.
Là où je suis,
La Lumière et l'Amour m'enivrent puisque,
En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide,
J'ai emporté avec moi celui que tu m'as
Si gentiment et inconditionnellement offert !
J'aimais la Vie, tu le sais bien.
La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme !
Ce que j'avais à apprendre ou à faire
Dans cette vie-ci est accompli.
Je n'emporte que de bons souvenirs car,
Un événement triste ou encore un obstacle,
Dans mon ancien monde,
Est un privilège, c'est une occasion
De grandir
Qui est offerte, une occasion d'évoluer
Un peu plus à chaque fois.
S'il y a quelque chose que
Tu aurais aimé me dire,
Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant
'conscience ',
Je peux, par le fait même, percevoir tes pensées
Et tes vibrations les plus pures.
Ce soir ou même ici,
Installe-toi dans un coin calme,
Entre en toi,
Ouvre ton cœur et perçois mon image
Au centre d'un radieux soleil.
Sens son incommensurable chaleur
Qui t'apaise et t'irradie.
C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici,
Tout l'Amour à l'état cristallin
Qu'il t'est humainement possible de recevoir !
N'oublie pas que c'est ici,
En toi,
Que tu pourras toujours reprendre contact.
Même si, parfois, tu ne me percevais pas,
Sois certain(e) que j'y serai tout de même !!
Ta vie continue,
La mienne aussi…
Rendez-vous dans une autre dimension,
Au moment opportun.
Je t'y accueillerai
Je t'aime

left by colombine67 on 11/03/2017  
Tu viens comme dans un reve,
Et tu t'endors tout contre moi,
Comme le jour qui se lève,
Dans mon coeur quand j'ai un peu froid,
Tu souris,et rien n'est plus tendre alors,
Que le vent et la pluie,
Qui glisse sur ton corps
Si la nuit te fais peur,
Seul tout au fond de ton coeur,
Si tu cherches un ami pense à moi,
Je ne serai jamais loin de toi,
Et meme, si c'est toutes les nuits,
Si je dois passer ma vie,
A te consoler, je serai là,
Je serai jamais jamais loin de toi
Tu vis comme dans mon reve,
Tu te réveilles tout contre moi,
Chaque jour qui se lève,
Me fais douter mais tu es là,
A jamais,
Dans mes joies ,dans mes désirs,
Pour toujours,
je voudrais, caresser ton sourire,
Et meme, si tu cris, si tu pleures,
Meme si les hommes te font peur,
Si leur folie t'enchaine les bras,
Je ne serais jamais loin de toi,
Et meme, si demain tu m'oublies,
Si tu reves d'une autre vie,
Tu peux partir là ou tu voudras,
Je ne serais jamais jamais jamais loin de toi
'jamais loin de toi ' de Laam

left by colombine67 on 10/03/2017  
Si je suis le (la) premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !

left by colombine67 on 09/03/2017  
eigneur Dieu,
Ceux qui n'ont jamais eu d'animal de compagnie,
Trouveront étrange cette prière,
Mais Vous, Seigneur de Toute Vie et Créateur de Toutes les créatures,
Vous comprendrez.
Mon coeur est lourd,
Car je viens de perdre ma(mon) compagne(compagnon) bien-aimé(e),
Celle (celui) qui faisait tellement partie de ma vie.
Cette compagnie a rendu ma vie plus agréable,
Elle m'a permis de rire et de trouver la joie auprès d'elle.
Et sa présence me manquera.
Avec elle j'ai appris plusieurs leçons, telles la valeur du naturel
Et la quête d'affection spontanée,
Soucieux de répondre à ses besoins quotidiens,
J'ai cessé de penser uniquement à mes propres besoins
Et j'ai ainsi appris à être utile aux autres.
Puisse la mort de cette créature qui est la Vôtre
Me rappeler que la mort attend chacun de nous,
Animaux comme les humains,
Et qu'elle est un passage naturel pour toutes les formes de vie.
Puisse (nom de l'animal) dormir d'un sommeil paisible et éternel sous Votre Divine protection
En attendant la plénitude et la libération de toute la création.
Amen

left by poutounou on 08/03/2017  
Ah la bonne Margot !
*
La bonne chienne
*
Les deux petits jouaient au fond du grand pacage ;
La nuit les a surpris, une nuit d'un tel noir
Qu'ils se tiennent tous deux par la main sans se voir
L'opaque obscurité les enclôt dans sa cage.
Que faire ? Les brebis qui paissaient en bon nombre,
Les chèvres, les cochons, la vache, la jument,
Sont égarés ou bien muets pour le moment,
Ils ne trahissent plus leur présence dans l'ombre.
Puis, la vague rumeur des mauvaises tempêtes
Sourdement fait gronder l'écho.
Mais la bonne chienne Margot
A rassemblé toutes les têtes
Du grand troupeau... si bien que, derrière les bêtes,
Chacun des deux petits lui tenant une oreille,
Tous les trois, à pas d'escargot,
Ils regagnent enfin, là-haut,
Le vieux seuil où la maman veille.
*
Maurice ROLLINAT (1846-1903)

left by colombine67 on 08/03/2017  
L'amitié
Un ami , Qu'est-ce qu'un ami
Je vais vous le dire.
C'est une personne
Avec qui vous pouvez mettre votre coeur à nu.
Il ne demande de vous aucun artifice;
il vous suffit d'être ce que vous êtes.
Il ne vous demande pas d'être meilleur ou pire.
Quand vous êtes avec lui, vous savez ce qu'un prisonnier
Ressent quand on le déclare innocent.
Vous n'avez pas à être sur vos gardes.
Vous pouvez dire ce que vous pensez.
Il comprend les contradictions de votre nature qui amènent
Souvent d'autres personnes à vous mal juger.
En compagnie d'un ami, vous respirez librement.
Vous pouvez lui avouer vos petites vanités,
Envies, haines, méchancetés et absurdités.
En les dévoilant, vous les noyez dans l'océan de sa loyauté.
Il vous comprend, il vous comprend vraiment.
Vous pouvez pleurer avec lui, pécher avec lui,
Rire avec lui, prier avec lui.
Et à travers tout ça, il vous voit,
Il vous connaît et il vous aime.
Un ami? Qu'est-ce qu'un ami?
C'est tout simplement une personne
Avec qui vous osez être vous-mêmes.

left by colombine67 on 07/03/2017  
Mercredi dernier, une mère de famille toxicomane a tenté de noyer ses deux fils dans le fleuve Murray (Australie). Un chien est intervenu pour les défendre, permettant la survie de l’un d’eux. Un acte qui lui a valu de frôler la mort.
Sortie de prison depuis peu, une mère accro à la méthamphétamine a été mise en examen vendredi. Cette dernière est accusée d’avoir tenté de noyer ses fils âgés de 9 et 5 ans, rapporte The Sidney Morning Herald. Mercredi, elle s’est rendue au domicile des grands-parents de ses enfants – qui s’occupaient d’eux depuis 18 mois - pour les récupérer. Puis elle les a amenés au bord du fleuve Murray pour commettre son méfait. Paniqué par ce qui arrivait à son frère, le plus jeune se serait mis à hurler… offrant la survie à son aîné. Attiré par les cris, un Pitbull a quant à lui couru en direction du trio et a «sauvagement attaqué» le plus âgé avant de s’en prendre à la génitrice.
Le geste héroïque du chien
Le plus jeune n’a malheureusement pas survécu au dessein meurtrier de sa mère puisqu’en lâchant le premier de ses fils, elle s’est rabattue sur le second. En vie, le garçon de 9 ans est, lui, actuellement hospitalisé. Un miracle rendu possible grâce au chien : l’animal ne voulait pas le blesser davantage mais bien le sortir de l’eau à l’aide de sa puissante mâchoire, n’étant pas doté de bras pour agir. Un fait qui a toutefois failli lui coûter la vie : en laissant la marque de ses crocs sur le corps de l’enfant, il a été considéré comme étant agressif, dangereux. La police s’est donc emparée de lui le temps d’enquêter et de l’évaluer.
Une mobilisation virtuelle pour empêcher l’euthanasie de Buddy le Pitbull
Pour ses maîtres, Buddy est plus qu’un chien : il est un membre de leur famille. Pour défendre la cause de leur compagnon et expliquer son comportement, ils ont alors immédiatement ouvert une pétition. «Il a grandi avec des enfants toute sa vie et est le chien le plus doux au monde. Il a vu un enfant en détresse et a tenté de l'aider. Les chiens n’ont juste pas de mains comme nous les humains. Ils doivent utiliser leurs dents et, ce faisant, il a été dépeint comme ce chien ayant attaqué le jeune garçon», expliquent-ils.
Et après avoir récolté plus de 50 000 signatures, la pétition a été clôturée ce 6 mars en raison d’une heureuse nouvelle : le chien a finalement été innocenté par les forces de l’Ordre qui ont en effet estimé qu’il avait agi pour sauver et non pour agresser. Un fait dont ne doutait pas le grand-père des jeunes garçons qui est lui-même le propriétaire de l’un de ces chiens : «c’est dans leur nature quand ils sont élevés avec les enfants !» Aujourd’hui, avec sa femme, il n’a plus qu’un objectif : veiller sur son petit-fils. La justice quant à elle rendra son verdict le 2 mai prochain.

left by colombine67 on 06/03/2017  
sa mort !
Mercredi dernier, une Liégeoise a reçu le coup de téléphone d’un homme qui affirmait avoir retrouvé son chien dans la rue… alors que les souffrances de celui-ci devaient avoir été abrégées depuis plusieurs années.
Mickey le Bichon a-t-il ressuscité ? Alicia, 26 ans, a récemment eu une drôle de surprise : un bon samaritain pensant bien faire l’a appelée pour lui annoncer qu’il venait de retrouver son chien dans la rue, à Fexhe-le-Haut-Clocher (Belgique), rapporte La Meuse. Un fait aussi incroyable qu’improbable pour la jeune femme puisque le compagnon décrit par l’homme avait été «euthanasié» 8 ans plus tôt à cause d’une hernie discale. Et pourtant…
Le premier réflexe de l’homme a été d’amener le chien chez le vétérinaire afin de voir si celui-ci était identifié. Et c’est en scannant la puce électronique de l’animal que le spécialiste est parvenu à remonter jusqu’à sa famille originelle.
Le vétérinaire, coupable d’un trafic de chien ?
A l’époque, le vétérinaire qui suivait Mickey aurait assuré à la famille que l’euthanasie était la meilleure des options possibles pour pallier sa souffrance. C’est donc en confiance qu’elle lui avait laissé son chien. Mais visiblement, elle a été trahie…
Alicia s’est donc rendue chez le praticien avec les preuves récoltées. Et ce dernier a justifié son geste en expliquant qu’il avait estimé que la jeune femme et sa famille étaient - à l'époque - trop faibles psychologiquement pour s'occuper d’un animal malade. Une plainte pour vol a donc été déposée contre lui, et son comportement a été signalé auprès de l’ordre des médecins vétérinaires. «Je veux clairement dénoncer ce genre de pratiques, pour que plus jamais cela ne se reproduise», a déclaré la Liégeoise qui craint que d'autres chiens aient subi le même sort.
Le vétérinaire dénonce l’abandon du chien
Mais le praticien qui a privé le chien de sa famille il y a 8 ans de ça n’entend pas en rester là. Selon lui, l’histoire ne s’est pas déroulée exactement comme ça : il avait proposé à la jeune femme et les siens de faire des examens complémentaires, d’opérer OU d’euthanasier. «Je pense que ces personnes ne voyaient plus aucune issue pour leur chien. Quand je leur ai expliqué que l’euthanasie était une option parmi d’autres, ils l’ont quand même choisie», s’est-il défendu. «Ils m’ont donc amené leur chien mais vu qu’il s’agissait d’une décision difficile, je leur ai expliqué que je comptais le garder pendant encore quelques jours et que, s’ils le souhaitaient, ils pouvaient toujours changer d’avis et donc venir le récupérer. Ils étaient donc clairement au courant de ce que je faisais. Mais personne n’est jamais venu le réclamer. Ils l’ont abandonné.»
C’est ainsi qu’il a soigné l’animal… et lui a trouvé une nouvelle famille.

left by bouledogue on 05/03/2017  
....Si je pouvais t'écrire,je t'écrirais que tu me manque à en pleurer.......
....Si je pouvais courir,c'est vers toi que je courrerais.........
....Si je pouvais guérir,j'aurais la force de te chercher.............
....Si je pouvais sourire,c'est a toi que je le ferais........
....Si je pouvais t'obéir,je t'écouterais pour me faire pardonner.........
....Si je pouvais fuir,je fuirais pour te retrouver.........
....Mais si je devais mourir,je voudrais juste encore te dire que je t'aimais.......

left by colombine67 on 05/03/2017  
5 leçons de vie données quotidiennement par nos adorables chiens
adorables chiens
Force est de constater que le chien, et bon nombre d’autres animaux, sont plus capables d’humanité que nous, les hommes. Si nous avons perdu beaucoup de nos valeurs, nos compagnons, eux, sont toujours là pour nous les rappeler.
C’est quotidiennement au travers d’histoires de chiens et chats au comportement héroïque et parfois même, insolite, qu’ici, nous vous montrons à quel point ces derniers nous sont indispensables. Et pour cause : ils nous donnent bien souvent de véritables leçons de vie qui font franchement du bien.
Voici donc 5 d'entre elles, bien réelles, que le meilleur ami de l’homme nous apporte tous les jours :
1. L’altruisme
Que vous soyez bien loti ou à la rue, en détresse ou en sécurité : le chien est là, toujours, et ne vous juge JAMAIS. Il se moque bien pas mal de vous connaître sur le bout des griffes (ou pas) car, quoi qu’il arrive, il sera toujours prêt à donner de lui que ce soit pour réconforter, porter secours et même... passer du bon temps !
 
2. L’amour inconditionnel
Un chien aime son maître comme s’il faisait partie de lui. Et de fait, avez-vous déjà vu un toutou faire la moue parce que son compagnon à deux pattes ne lui avait accordé QUE 15 minutes dans sa journée ? On est d’accord, d’histoire d’Homme, ça n’est jamais arrivé. Qu’il soit joyeux ou triste, énervé ou content, affamé ou repus : il donnera toujours tout ce qu’il a pour montrer à son humain Ô combien il l’aime et Ô combien il est heureux de passer du temps avec ! Oui, ils sont plutôt cléments avec nous… vraiment !
3. L’esprit de famille
Les chiens n’abandonnent pas leur maître, et encore moins leurs improbables amis. Ils pourraient pourtant avoir mille et une raison de le faire parfois, mais non. Quitter le navire est impensable pour eux : ils ont bien trop d’amour à donner… et de bon cœur en plus !
4. Le pardon
Combien de chiens sont lâchement maltraités et abandonnés quotidiennement par d’affreux maîtres ? Beaucoup. Beaucoup trop. Et combien d’entre eux ont décidé d’en vouloir au genre humain ? Faisons le pari que vous n’en trouverez aucun. Malgré ses souffrances, un toutou prendra toujours sur lui et continuera éternellement de faire de son mieux pour vous rendre heureux.
5. La fidélité
Depuis la nuit des temps, c’est bien le trait de caractère grâce auquel le chien est considéré comme LE meilleur ami de l’Homme. Et pour cause : à la vie, à la mort, il n’abandonne JAMAIS son maître. Oui, ils sont comme ça, nos amis les chiens… un peu exclusifs mais terriblement attachants ! Vous en doutez ? Rappelez-vous de l’histoire de Captain, ce berger allemand qui n'a jamais cessé d’apporter de l’amour à son défunt "deux pattes".

left by ovanek on 04/03/2017  

Chiens et chats torturés, brûlés, abandonnés ou abattus, de plus en plus de cas de maltraitance envers les animaux sont recensés en France.
Ces actes de cruauté restent très souvent impunis et scandalisent de nombreux citoyens. Sur Change.org, vous êtes nombreux à lancer des pétitions pour réclamer justice ou demander plus de protection pour les animaux.
C’est le cas de Christelle qui a lancé une pétition réclamant la création d’une police des animaux rattachée au ministère de l’Intérieur afin de poursuivre les auteurs de tels actes. Grâce à la mobilisation de plus de 90 000 personnes, la pétition a été discutée à la commission des lois.
Face à ces actes de maltraitance qui se multiplient, l’élection présidentielle est l’occasion de remettre au coeur du débat la question du droit des animaux très souvent laissée de côté par les politiques.
12 candidats à la présidentielle ont déjà créé leur profil sur Change.org pour répondre aux pétitions qui leur sont adressées. A deux mois de la présidentielle, vous pouvez les interpeller en lançant votre pétition afin d’obtenir des engagements concrets de leur part.
Je viens de signer la pétition "Créer une police de protection des animaux dans chaque département". C'est une cause importante. Voudriez-vous la signer à votre tour ?
Ovanek dit Max
Voici le lien:
https://www.change.org/p/créer-une-police-de-protection-des-animaux-dans-chaque-département?utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=petition_signer_receipt&share_context=signature_receipt&recruiter=90015255
Merci,

left by colombine67 on 04/03/2017  
C’est le coup de foudre pour cette technicienne vétérinaire, qui a sauvé un chien d’appât d’une vie de mauvais traitements.
Un duo de bons samaritains a découvert Calvin, un pitbull croisé, en train d’errer dans les rues avec une patte grièvement blessée. On pense que la pauvre bête était utilisée en tant qu’appât par des dresseurs de chiens de combat, ce qui signifie que Calvin était utilisé pour tester la ténacité et l’agression de chiens beaucoup plus gros et beaucoup plus forts que lui.
Il était très clair que ces personnes brutales n’avaient que faire de la survie ou de la mort de Calvin. Le couple qui l’a recueilli voulait lui apporter des soins vétérinaires afin de le secourir, mais ils ont rapidement été noyés sous les frais médicaux, estimés à plus de 10000 dollars.
C’est alors qu’ils ont ouvert une page GoFundMe (attention, la page GoFundMe présente des photos très explicites), et ont confié l’animal à Corinne Manley, technicienne vétérinaire à la clinique Blue Pearl Specialty and Emergency Pet Hospital de Spring, au Texas. Il est clair que Calvin a trouvé un foyer définitif chez elle.
La page GoFundMe a largement dépassé le budget nécessaire pour couvrir ses frais médicaux, et des personnes généreuses des quatre coins du monde ont apporté leur contribution.
Selon Manley, « Il a été trouvé souffrant de blessures très prononcées sur tout le corps, mais surtout sur ses pattes postérieures. Il demande des soins fréquents, et souffre par ailleurs d’une lacération chronique du tendon d’Achille, qui n’est pas réparable. Cela va imposer la fusion de son articulation du tarse droit (articulation de la cheville), et si cette fusion ne fonctionne pas, il devra être amputé de sa patte postérieure droite.
Il souffre par ailleurs du ver du cœur, et devra être soigné pour cela. C’est un chien adorable, il veut simplement être aimé et câliné. »
Mais que va-t-il advenir de tout l’argent supplémentaire collecté par la page GoFundMe consacrée aux soins médicaux de Calvin ? Manley affirme « Avec l’argent qu’il nous reste, nous allons aider d’autres chiens comme Calvin, et qui partagent la même histoire que lui. Les combat de chiens sont un crime, et les personnes qui y participent devraient être punies.
Calvin a la chance d’y avoir survécu, et nous espérons que beaucoup d’autres chiens connaîtront le même succès et la même fin heureuse que lui, jusqu’à ce que nous puissions trouver un moyen de mettre un terme définitif au phénomène des combats de chiens. Les fonds collectés seront retirés et placés sur un compte bloqué réservé à Calvin, jusqu’à ce qu’il soit totalement remis. Les sommes restantes seront conservées sur ce compte, et utilisées pour d’autres animaux qui connaissent un sort identique. »
Heureusement, Calvin a enfin trouvé un foyer d’adoption chaleureux, où l’on s’assure qu’il se remette dans les meilleures conditions possibles. Et peu importe le nombre de pattes qu’il aura une fois toutes ces épreuves traversées, car nous savons qu’il recevra beaucoup d’amour jusqu’à la fin de ses jours, et c’est exactement ce qu’il mérite.
Les combats de chiens sont une activité terrible, et doivent à tout prix être arrêtés ; nous sommes particulièrement reconnaissants envers cette femme, et heureux que Calvin ait été capable de s’en sortir avec la vie sauve.

left by Galinette3 on 03/03/2017  
Merci mon amie de continuer à fleurir les pages de ma boule d'amour Siam et mon trésor Snoopy.
Je pense à vous souvent et à tous vos trésors.
J'ai actuellement un problème avec mon clavier virtuel de mon Samsung pour écrire des textes
Je m'en excuse et suis désolée.
Milles tendresses
Ghislaine

left by colombine67 on 03/03/2017  
PAROLES: NICOLA CICCONE
*****************
*****************
On peut perdre son travail
Lorsqu'on a des ratés
On peut perdre son crédit
Lorsqu'on est endetté
On peut perdre sa mémoire
On peut perdre sa maison
Perdre sa fougue
Et même perdre sa raison
On peut perdre sa richesse
Sur un seul coup de dé
On peut perdre sa jeunesse
Comme on perd une clé
On peut perdre son courage
Dans le fond d'une bouteille
Perdre ses rêves ou son âme
C'est pareil
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là
On peut perdre sa route
A cause d'un faux détour
On peut perdre son coeur
A cause d'un vieil amour
On peut perdre sa vie
A vivre dans le passé
On perd même parfois le goût d'aimer
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là, ça reste là!
Car un ami, c'est bien plus fort
Plus fort que tout
Même plus fort que la mort
Un vieil ami, quand tout est gris
Ça nous sourit
On peut perdre son honneur
Lorsqu'on est humilié
On peut perdre son calme
Lorsqu'on est bousculé
On peut perdre son temps
A trop compter les heures
On perd tout lorsqu'on vit dans la peur
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là, ça reste là!
Car un ami, c'est bien plus fort
Plus fort que tout
Même plus fort que la mort
Un vieil ami, quand tout est gris
Ça nous sourit
Gardez vos amis

left by colombine67 on 02/03/2017  
Sur ce chemin où je progresse incertain,
Qui me mène ,inexorable , vers un tragique destin .
Je me souviens des moments de bonheur,des jours heureux.
Où sans faillir jamais , j'ai veillé sur eux.
Toujours enjoué et débordant d' affection.
Ils étaient pour moi mes amis, ma passion.
Hier ils m'ont oublié sur ce parking inconnu.
Ils sont partis, sans remord ,sans tristesse retenue.
Je les ai bien attendu des heures durant.
Ne pas s'éloigner ,rester sage et patient.
Vaine attente,épuisé ,désemparé je vais sans but.
Affligé d 'être ce qu'on appelle un chien perdu.
Quelle distance ai-je bien pu parcourir ?
L'énergie me manque , plus la force de courir.
Mais quelle est cette douleur qui soudain me tenaille ?
Me blesse dans ma chair et mes entrailles.
Il ne m'a pas vu ,et point ne s'arrête,je ne peux plus bouger.
A l'orée de ce bois, comment vont ils me retrouver ?
La souffrance doucement s 'estompe , de mon corps je m'évade .
Une douce inertie m' envahit et de ce monde m'efface.
Triste destinée que de rendre son dernier soupir.
Loin de mes maîtres que ma vie j'ai passé à chérir.
Mes yeux se ferment , sous mes paupières, ultime image.
Deux humains sincères caressant un colley très sage.

left by lili2248 on 01/03/2017  
OU ES-TU ?
« Où es-tu, petit ange, où es-tu?
On aurait bien voulu,
À force d’amour,
t’empêcher de partir,
mais le monde est trop lourd,
petit ange léger,
Et n’a pas su te retenir.
Où faut-il te chercher, maintenant ?
Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent?
Qui saura nous le dire?
» Maman, »
Là où je suis, je ne crains rien.
J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes,
J’ai l’âme vaste comme le monde.
Là où je suis, la joie est sans mélange.
Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose…
sur les ailes d’un ange,
dans la rosée, dans le vent,
dans le cœur d’une rose,
Dans le cœur de mes parents.
Ne me cherchez pas, je suis partout,
Je suis avec vous, je suis chez moi. »
Albert Gui,
, ,

left by dianthe on 01/03/2017  
Merci pour votre message bienveillant, malheureusement, par le passé douloureux j'ai vécu de très mauvais jours (décès de mon papa, ma nièce...)J'ai eu de graves dépressions( piqûres intraveineuses) et là depuis 6 mois , demain, je m'enfonce lamentablement.
Je ne dors plus, je suis si fatiguée, je ne prends pas d'antidépresseurs mais des somnifères et anxiolytiques mais ça c'est depuis de longues années.
Je n'ai plus de goût à rien.
Ces échanges m'aident un peu je me sens moins seule.
Au travail, on ne me comprend pas.
J'ai trop de peine.
Merci d'avoir pris le temps de m'avoir lue. c'est par ce que vous m'avez mis un message de compréhension. J'espère ne pas vous avoir ennuyée avec mes histoires. Je vous souhaite une bonne soirée, bien amicalement.

left by colombine67 on 01/03/2017  
Alise ou le chien qui ne devait pas mourir…..
Alise la Setter Gordon et la vieille dame vivaient une relation quasi fusionnelle depuis des années, et l’une vivait mal sans l’autre. La vieille dame disait bien que sa chienne ne serait pas éternelle, elle savait qu’un jour il lui faudrait la perdre, mais elle ne l’acceptait pas, c’était au-dessus de ses forces.
Alise devenait de plus en plus l’objet de toutes ses attentions.
Tout le soin que la vieille dame prenait d’elle, devrait c’est sûr, garantir une plus longue et meilleure vieillesse à sa chienne. Alors la vie était réglée autour du vieil animal, et les emplois du temps et déplacements aménagés pour son confort.
Alise en venait à exercer une sorte de tyrannie passive sur la vieille dame. Comment même penser à refuser quoique ce soit à une vieille chienne si douce et si près de sa fin, il aurait fallu n’avoir pas de cœur.
La vieille dame n’en manquait pas, de cœur, et qui faiblissait d’ailleurs. De visites en visites, chez le médecin pour l’une et le vétérinaire pour l’autre, on voyait s’allonger la liste des médicaments de chacune.
A chaque malaise d’Alise, la vieille dame affolée répondait par une attention anxieuse et redoublée ; elle guettait chaque hoquet, chaque essoufflement, chaque perte d’appétit comme un signe menaçant d’une fin redoutée, haïe, insupportable.
Cela dura des années, car l’espérance de vie d’un Gordon était déjà dépassée depuis longtemps, mais Alise, diminuée, fatiguée, ne quittait pas sa maîtresse.
La vieille dame tomba malade, gravement, il fallut l’hospitaliser. Un drame pour elle, de devoir laisser sa chienne aux bons soins de son mari ; non pas qu’il fût mauvais homme, loin de là, mais Alise allait sûrement tellement s’ennuyer.
Les choses se passaient plutôt bien entre Alise et son maître, et la vieille chienne semblait attendre vaillamment sa maîtresse.
Mais les hospitalisations se sont succédées, la vieille dame ne se remettait pas et son état nécessita une lourde et délicate opération à cœur ouvert.
Séparée de sa vieille chienne adorée, se demandait-elle si elle la reverrait jamais vivante ? Elle parlait assez peu de cette séparation douloureuse, elle voulait juste rentrer chez elle au plus vite près d’Alise, mais son état de santé ne le permettait pas.
Alise avait maintenant 15 ans ½ de plus en plus fatiguée, vacillante, s’amaigrissant, elle tenait bon cependant.
La vieille dame put enfin rentrer chez elle pour de bon, après maintes hospitalisations de plusieurs semaines chacune, où les séparations étaient devenues de plus en plus angoissantes pour elle.
Extrêmement affaiblie, sapée par toutes les épreuves de la maladie et de l’opération, la vieille dame devait encore affronter le lent dépérissement d’Alise.
La chienne avait maintenant 16 ans, elle ne marchait plus qu’avec difficultés. Elle dormait de longues heures durant, et quand péniblement elle se relevait et non sans aide sortait dans le jardin, squelettique, il lui arrivait encore de sautiller maladroitement, comme secouée par une étrange joie.
De ce moment là, on ne sut plus laquelle tenait l’autre en vie. Jusqu’ici, il avait semblé que la vieille dame voulant tellement garder sa chienne, celle-ci en avait trouvé la force de continuer à vivre.
Voilà que maintenant, c’est comme si Alise ne se permettait pas de mourir, pour ne pas précipiter dans la mort avec elle, sa maîtresse bien trop diminuée par la maladie.
Leur entourage en craignait de les voir basculer ensemble. La vieille dame s’épuisait à continuer de prendre soin de sa vieille chienne de plus en plus dépendante, incontinente, confuse parfois maintenant au point de se perdre dans le jardin.
Mais quel ancien tourment faisait craindre tant la mort de son vieux chien, à la vieille dame malade ? Quelle ancienne douleur, quelle ancienne blessure non cicatrisée lui rendait-elle impossible l’idée qu’Alise devrait la quitter ?
Car enfin, la pauvre bête, épuisée, sourde, raidie par les ans, dédaignant de plus en plus tous les petits plats sans cesse renouvelés dont elle était si gourmande, n’en pouvait visiblement plus de s’éterniser.
La vieille dame semblait aveugle à cette grande souffrance de l’animal qui pourtant aurait dû susciter sa compassion ; il lui fallait trop ne pas voir, ne pas entendre, ne pas penser qu’Alise pouvait souffrir.
Fermée à cette réalité trop insupportable, elle se tenait un discours menteur qui laissait son entourage effaré devant un tel déni, désemparé, incapable de mieux défendre le droit à la mort de la vieille chienne, aux yeux de sa maîtresse.
Alise se mit à ne plus pouvoir boire, puis à ne plus vouloir s’alimenter du tout, deux jours durant.
La vieille dame m’appela pour lui porter secours.
Arrivée sur place je trouvais la vieille chienne exténuée par une matinée passée à errer nerveusement dans la maison et le jardin, obligeant sa maîtresse à la soutenir tant bien que mal, à la relever à chaque chute.
À mon approche Alise s’apaisa, s’effondra, je crus qu’enfin trop épuisée, elle allait s’éteindre. Doucement je me tins près d’elle, puis encore plus près, bientôt je pus la caresser, puis la tenir dans mes bras, lui parler tout bas.
Prendre tout contre moi l’animal décharné me fut d’abord difficile, j’ai dû apprivoiser ma propre peur de la mort, pour venir frôler, puis enfin contenir celle des Deux qui ne pouvaient se quitter.
Alise semblait se laisser aller, je ne sais si elle m’entendait lui dire qu’elle avait gagné le droit de partir, le droit d’aller rejoindre la paix, la lumière…
Ma tête contre la sienne, combien de temps sommes-nous restées ? Je guettais sa respiration, croyant parfois ne plus la percevoir. J’aspirais pour Alise à une fin comme celle-ci, un départ tranquille, dans un souffle qui s’arrêterait…Une fin toute en douceur qui stopperait la violence que la vieille dame et sa chienne mettaient à ne pas pouvoir se séparer.
La vieille dame et son mari m’avaient laissée seule depuis longtemps avec Alise. Espéraient-ils follement que se produise quelque miracle, souhaitaient-ils secrètement que leur chienne meure simplement dans mes bras, alors qu’eux même n’auraient pu le supporter ?
Un peu médusée, je vis le vieil animal comme se réveiller, puis se redresser, faire effort pour parvenir enfin à se relever ; moi qui croyais son dernier souffle arrivé…
Maintenant taraudée par un mal de tête qui enflait de plus en plus, je ne pus qu’accompagner Alise dans ce qui allait devenir une folle errance dans le jardin.
Sous un soleil éclatant de milieu de journée, je suivis la vieille chienne qui de sa démarche plus qu’incertaine, divaguait plus qu’elle n’allait. Plusieurs fois elle trébucha, s’écroula. Je croyais chaque fois qu’elle ne se relèverait pas, que c’était la fin. Elle parvenait pourtant à se redresser, et je continuais de la suivre, anxieuse, un peu désarçonnée, devant ce comportement que je cherchais à m’expliquer. Puis j’ai accepté de seulement l’accompagner, sans vouloir quoi que ce soit et pas même comprendre, comme plus tôt dans l’après-midi, quand penchée sur elle, je n’avais fait qu’être là, rien qu’être là près d’elle.
Alors je fus sûre soudain que l’on ne pouvait pas mourir sous une telle lumière, dans une telle clarté.
Ce soleil éclatant qui faisait jaillir la vie, empêchait de mourir. Je vis enfin qu’Alise dans cette errance cherchait à gagner l’ombre ou une pénombre, comme une cache.
Doucement j’essayai de la faire retourner dans la maison ; j’y parvins péniblement, et là je demandai à ce que l’on fermât un peu les volets. Il me semblait de plus en plus qu’il faudrait aider Alise à mourir.
Cette décision ne m’appartenait pas, mais je devais offrir à ces Trois qui ne savaient que faire, la force qu’ils n’avaient pas d’affronter la mort légitime.
Qui étais-je pour décider que cet animal devait mourir maintenant et pas plus tard ? que savais-je de ses souffrances ? laquelle d’abord était la plus grande, celle de son pauvre corps trop vieux, ou celle de son âme de chien immensément fidèle, qui ne pouvait pas trahir sa vieille maîtresse qui lui exigeait de ne pas la laisser seule ?
Je pris néanmoins le parti d’essayer de convaincre ses maîtres, de soulager Alise du poids de cette vie de douleurs.
D’ailleurs celle-ci de plus en plus agitée semblait se débattre, ne sachant plus où se mettre, ni que faire de sa peau de misères.
La vieille dame affligée semblait céder, admettre l’indignité de son désir de vouloir retenir encore son Alise. Puis l’instant d’après, affolée à l’idée de cet irrémédiable, aveuglée de douleur, elle approcha avec un plat de je ne sais quoi, le mis sous le nez du pauvre animal mourant, dans l’espoir fou qu’il susciterait son appétit.
Mise au centre de ce tableau surréaliste, je décidai non sans mal de soutenir davantage l’animal que la maîtresse.
Il leur fallait ma force et mon assurance, que le vétérinaire soulagerait et rendrait douce la fin de leur animal, dont la vie d’ailleurs ne serait abrégée que de quelques heures, tellement maintenant sa fin était proche.
Je les ai accompagnés tous les trois jusqu’au bout ; j’ai tenu la vieille dame tout contre sa chienne quand le vétérinaire a fait glisser dans les veines le liquide qui endort et celui qui fait mourir sans souffrance.
Alise s’est laissée faire sans se défendre comme presque déjà partie. La vieille dame a laissé faire aussi, elle avait capitulé ; son mari, lui, s’est tenu éloigné n’ayant pu affronter de près, la mort de l’une et l’immense douleur de l’autre. Alise avait 16 1/2 ans.
Il me restait encore à terminer mon travail, c’est à dire à les aider tous deux à accepter l’insupportable. Il me semblait qu’il ne fallait pas les séparer brutalement du vieil animal.
Tous deux souhaitaient une crémation pour Alise. Je proposai qu’ils puissent garder la vieille chienne près d’eux pour la nuit, pour la voir morte mais apaisée enfin, délivrée de son manteau de vieillesse douloureuse.
Pour qu’ils entament un vrai deuil, il me fallait les aider à regarder en face la fin de la vie. La force de ma présence pouvait leur permettre d’accompagner leur Alise jusqu’à l’acte de crémation. La vieille dame ne s’y est pas dérobée. Je l’ai soutenue jusque dans cette dernière et douloureuse démarche d’immense respect pour sa vieille chienne.
Cette ultime épreuve vécue de la crémation lui laissera à jamais l’irremplaçable réconfort de ne s’être pas détournée, de n’avoir jamais abandonné son animal chéri, en l’accompagnant même jusqu’après la mort du corps.
Je garde d’Alise, le souvenir ému d’un chien pathétique qui ne voulait pas faillir.
Danièle MIRAT

left by Biscuit on 01/03/2017  
OU ES-TU ?
« Où es-tu, petit ange, où es-tu?
On aurait bien voulu,
À force d’amour,
t’empêcher de partir,
mais le monde est trop lourd,
petit ange léger,
Et n’a pas su te retenir.
Où faut-il te chercher, maintenant ?
Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent?
Qui saura nous le dire?
» Maman, »
Là où je suis, je ne crains rien.
J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes,
J’ai l’âme vaste comme le monde.
Là où je suis, la joie est sans mélange.
Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose…
sur les ailes d’un ange,
dans la rosée, dans le vent,
dans le cœur d’une rose,
Dans le cœur de mes parents.
Ne me cherchez pas, je suis partout,
Je suis avec vous, je suis chez moi. »
Albert Gui,
,

left by colombine67 on 28/02/2017  
Cette chienne errante, qui avait l’habitude d’accompagner des familles depuis un musée jusqu’à leurs voitures, trouve enfin un foyer bien à elle.
"À chaque fois qu'elle tentait d'approcher une famille, cette dernière finissait par la rejeter après lui avoir fait des caresses, alors même qu'elle leur donnait de petits coups de langue sur la main... nous ne pouvions faire autrement que de lui trouver un foyer."
Bon sang, c’est vraiment une histoire touchante… Le mois dernier, un samedi soir, alors que les familles retournaient à leurs voitures après avoir avoir visité le Children’s Museum of Houston, une chienne errante les a suivies. Mais une fois arrivées à leurs voitures, ces familles n’ont pas permis à la chienne de les accompagner ; alors elle a fait demi-tour, et est retournée au musée pour retenter sa chance avec d’autres familles.
Elle a tenté sa chance, encore et encore, jusqu’à ce que deux femmes décident de la recueillir, pour lui trouver un foyer. Et elles y sont parvenues !
« À chaque fois qu’elle tentait d’approcher une famille, cette dernière finissait par la rejeter après lui avoir fait des caresses, alors même qu’elle leur donnait de petits coups de langue sur la main… Mon amie et moi avons été profondément touchées, et nous avons tout de suite su que nous devions recueillir la pauvre bête afin de lui trouver une maison. »
Cette histoire (que ce soit sa première incarnation ou ses mises à jour) a été initialement publiée par Heather Leighton, du Houston Chronicle.
« Les chiens errants ne sont pas rares à Houston, mais samedi, alors que je sortais avec une amie, nous avons découvert une chienne qui était très différente de tout ce que nous avions vu jusque-là.
Samedi après-midi, aux environs de 14h, mon amie Alli et moi retournions à mon appartement en passant par Binz Street, à Houston, lorsque nous avons repéré une chienne sans collier ni laisse, qui accompagnait un père et sa fille.
Alli m’a dit « Je ne pense pas que cette chienne leur appartient. »
« Mais elle marche juste à côté de la petite fille, et elle la regarde. Elle doit leur appartenir, non ? », lui ai-je répliqué.
Nous n’y avons pas prêté plus attention, et nous avons dépassé le père, sa fille, et le toutou en voiture, mais quelque chose nous a incité à faire demi-tour, afin de demander si la chienne leur appartenait bien.
Nous nous sommes arrêtées dans le parking, dans la rue opposée au Children’s Museum, et nous leur avons demandé si la chienne leur appartenait. Ils nous ont répondu « non », mais ils ont ajouté qu’elle avait passé toute la soirée à accompagner des familles.
« Elle suit les familles jusqu’à leurs voitures, et elle fait demi-tour à chaque fois que les familles la rejetent. Elle fait demi-tour, et trouve alors une nouvelle famille à accompagner », nous a expliqué le père.
« Cette pauvre bête sait visiblement comment exploiter les failles du système » ai-je pensé, et c’est à ce moment précis qu’elle a exploité les failles de mon propre cœur. Elle nous a saluées avec ses grands yeux bruns, sa queue qui s’agitait, et nous a donné des coups de langue sur les mains.
Nos coeurs ont fondu, et nous avons alors décidé de commencer à lui trouver un foyer.
Alli a voulu s’assurer qu’elle avait une micro-puce, mais elle n’en n’avait pas, aussi nous avons passé toute la soirée à appeler des refuges animaliers, de préférence sans euthanasie, mais tous ces refuges étaient déjà pleins. Ces coups de fil ont continué le dimanche matin, mais sans le moindre résultat : il était impossible de trouver un refuge à cette pauvre chienne.
C’est alors qu’un appel public a été passé dans le Houston Chronicle, afin d’inciter son maître à se manifester, ou quelqu’un d’autre à l’adopter.
Cette mission s’est terminée environ un mois plus tard, lorsque Brock Wagner, cofondateur de la Saint Arnold Brewing Company, a contacté le service d’accueil et d’adoption avec lequel nous avions un partenariat.
« La description de cette pauvre chienne en train d’accompagner des familles du musée à leur voiture, pour y être abandonnée, m’a touché », explique Wagner à Chron.com. « Comment pouvait-on donc laisser cette pauvre chienne errer dans les rues ? »
La semaine dernière, il a contacté le service d’accueil et d’adoption Best4Petz, avec lequel nous étions en partenariat, à la recherche d’un foyer d’accueil pour ce pauvre toutou.
Dimanche, dans l’après-midi, Wagner et sa fille de 17 ans ont accueilli la chienne, fraîchement rebaptisée Delphi (de son nom complet Delphyne), dans leur foyer de Montrose.
« Elle a traversé le jardin en courant, et a exploré la maison, afin d’essayer de comprendre ce qui lui arrivait », explique Wagner. « Nous l’avons amenée au Pet-Co, et nous lui avons acheté un collier noir et rose, avec des pierres précieuses scintillantes incrustées. Cela combine son côté très féminin, et le fait qu’elle soit une femelle pitbull. »
À la fin de la journée, Delphi a été surprise en train de ronfler sur le canapé de son nouveau salon, en train de rêver, enfin heureuse et satisfaite.




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Tiens! C'est Papa. MAIS? Quand il pilote. Comme mo
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Pas autant bronzé. MAIS? MERCIIIIIIIII. Au filtre!
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BIZZZZZZZZ Ma Sorella.. Je vous
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Bab's. Je T'M! Tu es aussi MA frangine.
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Tonton Ryad t'appelait Badia. Ki veut dire? Délicate.
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BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
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