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En hommage à
BOXERPaco
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
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En hommage à
Paco
73 bougies
19647 Fleurs
Déposé par spanky Je voudrais monter sur une échelle pour te serrer une dernière fois contre mon cœur, que tu me dirais dans un battement d'aile continue ma Mamou je veille sur toi et je suis toujours aussi près de toi Déposé par poutounou Le sourire que nous devinons sur vos « petites gueules d’Amour » nous emplit d’une joie si profonde et si pure. Vous avez mis tellement de douceur dans nos vies ! Merci du fond du cœur… !!! Déposé par Binouche bien que vous ayez traversé le pont arc-en-ciel petits anges, nos âmes sont liées à vous pour toujours par un serment sacré qui ne se rompra jamais Déposé par nina1997 Dans chaque pétale de fleurs 🌸 🌸 🌸 j'ai déposé des bisous 😘😘😘 rien que pour toi 💗💗💗🧚🧚🧚 Déposé par Rafiarock Un bouquet de tendresse, un bouquet de douceur pour toi petit cœur avec des milliers de câlins, de bisous et de caresses Déposé par Rafiarock Un bouquet de tendresse, un bouquet de douceur pour toi petit cœur avec des milliers de câlins, de bisous et de caresses |
2559 messages
Déposé par poutounou le 22/02/2016Le but de la vie c'est « aimer » et aimer encore... * AIMER * Aimer la vie jusqu’à supplier la mort Aimer à vie, aimer à tort Aimer pour ne rien recevoir Aimer jusqu’au dernier regard Un souffle qui passe Un nuage qui s’efface Aimer à n’y rien comprendre Aimer quand il n’y a plus à prendre Qu’un vide incolore Au fond d’un puits qui dort * Aimer le mur qui boit l’horizon À l’ombre d’une main verrouillé Aimer avec, aimer selon Aimer le chemin perdu dans la vallée Celui qui ne mène nulle part Aimer jusqu’au point de départ Aimer toujours, aimer encore À faire trembler la mort * Aimer si fort Que le vent se fige Pour glisser dans un vertige Aimer seul ou bien à deux À deux, mais pas plus seul qu’avant Quand les mots de tes yeux Ricochent sur les parois du temps T’aimer jusqu’à ne plus aimer Que de t’aimer * (Auteur inconnu) |
Déposé par colombine67 le 22/02/2016Je suis ton chien, et j’aimerais bien te murmurer quelque chose à l’oreille ; je sais que vous autres humains menez une vie très remplie. Certains travaillent, d’autres élèvent leurs enfants. Vous donnez toujours l’impression de courir dans tous les sens, bien souvent sans prêter attention autour de vous, et sans profiter des plaisirs de la vie. Regarde-moi, en bas, alors que tu es assis devant ton ordinateur. Est-ce que tu vois mes grands yeux sombres qui te regardent ? Ils sont de moins en moins clairs, désormais. C’est un effet de l’âge. Je commence à avoir des poils gris autour de mon doux museau. Tu me souris ; je peux voir l’amour dans ton regard. Que vois-tu dans le mien ? Est-ce que tu vois une âme ? Un âme en moi, qui t’aime comme personne d’autre ne le pourra jamais ? Un esprit qui te pardonnerait tous tes crimes pour passer quelques instants avec toi ? C’est tout ce que je te demande ; ralentis un peu, ne serait-ce que pour passer quelques minutes avec moi. Très souvent, tu as été ému en lisant, sur ton écran, l’annonce de la mort d’autres membres de ma race. Parfois nous mourrons jeunes et rapidement, parfois même tellement brusquement que cela te brise le coeur. Parfois, nous vieillissons si lentement en ta compagnie que tu ne sembles même pas t’en apercevoir avant qu’il ne soit trop tard, et que nous te regardions, avec notre museau grisonnant et nos yeux aveuglés par la cataracte. Mais notre affection est toujours bel et bien là, même lorsque nous devons te faire nos adieux, et partir courir, enfin libres, dans ce pays très lointain et imaginaire. Je ne serai peut-être plus là demain ; je ne serai peut-être plus là la semaine prochaine. Un jour, tu pleureras toutes les larmes de ton corps, celles que les humains versent lorsqu’ils sont bouleversés, et tu te maudiras de ne pas avoir pu passer « une journée de plus » en ma compagnie. Comme je t’aime énormément, ta tristesse me touche et me blesse. Nous sommes ensemble, MAINTENANT. Alors approche-toi, assieds-toi près de moi sur le sol, et regarde-moi bien dans les yeux. Qu’est-ce que tu vois ? Si tu regardes avec attention, nous pourrons échanger, toi et moi, à coeur ouvert. Ne t’adresse pas à moi comme un mâle dominant, un dresseur, ou même un maître/une maîtresse ; considère-moi comme une autre âme vivante, caresse mon pelage, regardons-nous dans les yeux, et parlons. Je te raconterai peut-être à quel point il est amusant de courir après une balle de tennis, ou bien te dirai-je quelque chose de profond à mon sujet, ou bien au sujet de la vie en général. Tu as décidé de m’avoir dans ta vie, car tu voulais avoir quelqu’un avec qui partager ce genre de choses. Quelqu’un de très différent de toi… et je suis là. Je suis un chien, mais je suis un être vivant à part entière. Je ressens des émotions, j’ai des sens physiques, et j’adore les différences qui existent entre toi et moi. Je ne te vois pas comme un « chien sur deux pattes » – je sais ce que tu es. Tu es un humain, avec toutes les bizarreries que cela implique, et pourtant je t’aime quand même. Maintenant, assieds-toi par terre à mes côtés. Entre dans mon monde, et laissons le temps ralentir pendant au moins 15 minutes. Regarde-moi droit dans les yeux, et murmure dans mes oreilles. Parle-moi avec ton coeur, avec ta joie, et je connaîtrai alors ton moi profond. Demain ne viendra peut-être jamais, et la vie est beaucoup trop courte. Alors je t’en prie, assieds-toi à mes côtés, et partageons ces moments précieux qui nous restent à vivre ensemble. Avec tout mon amour, Ton Chien. |
Déposé par colombine67 le 21/02/2016« Traite-moi avec respect, cher maître, car mon coeur de chien est empli d’une bonté et d’une affection qui n’ont nulles pareilles. » « Ne me frappe pas avec un bâton, car bien que je lêche ta main entre les coups, ta patience et ta compréhension m’apprendront bien plus vite ce que tu veux m’enseigner. » « Parle-moi souvent, car à mes oreilles, ta voix est la musique la plus douce au monde, comme tu peux le deviner par les battements de ma queue lorsque j’entends tes pas. » « Lorsqu’il fait froid et humide, laisse-moi entrer à l’intérieur, car je suis désormais un animal domestique, et je ne suis plus habitué à lutter contre les éléments. De plus, rien ne me fait plus plaisir que de trôner à tes pieds auprès du feu… mais si tu n’avais pas de toit, je préfèrerais te suivre par monts et par vaux au travers de la tourmente, plutôt que dormir sur le coussin le plus doux du foyer le plus accueillant du monde. Car tu es mon Dieu, et je suis ton fidèle le plus dévoué. » « Remplis ma gamelle d’eau fraîche, car bien que je ne puisse te reprocher qu’elle soit vide, je ne peux pas non plus te dire quand je suis assoiffé. Donne-moi de la nourriture saine, afin que je reste en bonne santé, et que je puisse jouer avec toi, obéir à tes ordres, marcher à tes côtés, et toujours être prêt, en cas de danger, à te défendre au péril de ma vie. » « Et si, cher maître, le Seigneur décide de me priver de ma santé ou de ma vue, ne me délaisse pas pour autant. Prends-moi plutôt dans tes bras, car la caresse de l’Homme me soulage de bien des tourments… et je pourrai alors partir dans l’au-delà en sachant que, jusqu’à mon dernier souffle, mon destin était entre tes mains protectrices. » |
Déposé par colombine67 le 20/02/2016Je suis un chien, Je suis vivant, un animal qui respire. Je sens la douleur, le bonheur, l’amour, la peur et le plaisir. Je ne suis pas un objet. Si je suis frappé – J’aurai un bleu, je vais saigner, je vais être brisé. Je sentirai la douleur. Je ne suis pas un objet. Je suis un chien. J’adore jouer, me promener, mais j’aime plus que tout, le temps que je passe avec ma meute – ma famille – mes siens. J’aime plus que tout être à côté de mon humain. Je veux dormir là où vous dormez et marcher là où vous marchez. Je suis un chien et je sens l’amour… Je demande l’amitié. J’apprécie le toucher d’une main gentille et la douceur d’un bon lit. Je veux être dans la maison avec ma famille, non pas coincé au bout d’une chaîne ou seul dans une cage ou dans une cours clôturée pour des heures. Je suis né pour être un compagnon, pas pour vivre une vie de solitude. Je peux avoir très froid ou très chaud. Je sens la faim et la soif. Je suis une créature vivante, pas un objet. Quand vous partez, je veux partir avec vous. Si je reste derrière, je vais attendre impatiemment votre retour. Il me tarde d’entendre le son de votre voix. Je vais tout faire pour vous faire plaisir. Je vis pour être votre compagnon précieux. Je suis un chien. Mes actions ne sont pas dictées par l’argent, la cupidité ou la haine. Je ne connais pas les préjudices. Je vis dans le moment présent et je suis guidé par l’amour et la loyauté. Ne me prenez pas pour un objet dans cervelle. Je peux sentir et je peux penser. Je peux sentir plus que le mal physique, je peux sentir la peur et la joie. Je peux sentir l’amour et la confusion. J’ai des émotions. Je peux comprendre peut-être plus que vous ne comprenez. Je suis capable de comprendre les mots que vous m’adressez, mais vous n’êtes pas toujours capable de me comprendre. Je suis un chien. Je ne suis pas capable de prendre soin de moi-même sans votre aide. Si vous choisissez de m’attacher et de refuser de me nourrir, je vais souffrir de faim. Si vous m’abandonnez dans une rue déserte, je vais avoir peur et me sentir seul. Je vais vous chercher partout et je vais me demander pourquoi j’ai été laissé derrière. Je ne suis pas une pièce de propriété à abandonner et oublier. Si vous me laissez dans un refuge, je vais avoir peur et serai confus. Je vais attendre votre retour avec chaque pas qui s’approchera de ma cage. Je suis un chien – une créature vivante qui respire. Si vous choisissez de me prendre à la maison, s’il vous plait donnez moi les choses dont j’ai besoin pour rester en bonne santé et heureux. Donnez-moi de la bonne nourriture, de l’eau claire, un bon foyer chaud et votre amour. Ne m’abandonnez pas. Ne me frappez pas. Ne me laissez pas tomber quand votre vie devient difficile. Engagez-vous à moi pour le restant de mes jours, ou ne me prenez pas à la maison en premier lieu. Si vous me désertez, je ne saurai pas prendre soin de moi-même. Je suis à la merci de la bonté des gens – si je tombe entre de mauvaises mains, ma vie sera ruinée. Je sentirai la douleur, la peur et la solitude. Si je finis dans un refuge pour animaux, je n’aurais que mes yeux pour supplier quelqu’un de me sauver, et ma queue pour vous montrer que je suis un ami. Si ce n’est pas assez, je vais mourir. Je suis un chien. Je veux donner et avoir de l’amour. Je veux vivre. Je ne suis pas un objet. Je ne suis pas une pièce de propriété. S’il vous plait ne me rejetez pas. S’il vous plait traitez-moi avec gentillesse, amour et respect. Je vous promets que je vous payerais en retour avec un amour inconditionnel aussi longtemps que je vivrai. |
Déposé par colombine67 le 19/02/2016Toute ta douceur Se trouve dans tes yeux Quand tu me regardes Je me tais Je sais que tu me parles à travers ton regard J'aimerais tellement te comprendre Car tu me comprend tellement Des réconforts , des envies , des joies Tu les partages avec moi Rien que celà pour te dire Merci |
Déposé par poutounou le 18/02/2016Que de sagesse ! * LES LEÇONS DE LA VIE * Après un certain temps, Tu apprends la différence entre Tenir la main d'un ami et l'enchaîner. * Tu apprends que l'amour Ne signifie pas se reposer sur quelqu'un, Mais lui apporter un soutien. * Tu commences à accepter tes défaites Avec la dignité d'un adulte Et non le désespoir d'un enfant. * Tu décides de construire ta vie Au jour le jour parce que Les lendemains sont trop incertains. * Tu aides à semer un jardin Plutôt que d'attendre Que l'on t'apporte des fleurs. * (Auteur inconnu) |
Déposé par colombine67 le 18/02/2016Regarder dans leurs yeux la joie l'amour la tendresse. Ses petit yeux là vous remercie de votre gentillesse. Il vous remercie bien. Rien quand faisant un petit câlin. Il est aimé depuis que vous l' avez adopté. Grâce a vous il a été sauvé des gens qui le maltraitaient. Il est un peu coquin. Mais vous aimez bien. Car c'est un copain. Depuis que c'est votre chien. Votre animal de compagnie qui soit grand ou petit Il faut bien se le dire c'est pour la vie. Regarder dans leurs yeux la peur la haine la tristesse. Quand il sait qu'il aura plus de caresse. Il est malheureux car il est laisseé. Sans être regardé dans les yeux il se sent détesté. Depuis qu'il est abandonné. A cause de vous il sera peut être pas sauvé. Il reste dans un coin jusqu'au lendemain. Pour revoir le matin. Redevenir un copain. Pour quelqu'un qui fera du bien. Votre animal de compagnie qui soit grand ou petit Il faut bien se le dire c'est pour la vie. |
Déposé par colombine67 le 17/02/2016« Cher maître, traite-moi avec respect, car mon coeur de chien est rempli de bonté et d’affection. Ne me frappe pas, car même si je lèche ta main entre les coups, ta patience et ta compréhension m’enseigneront bien plus rapidement. Parle-moi souvent, car, à mes oreilles, ta voix est la musique la plus douce du monde… La preuve, regarde les battements de ma queue quand j’entends tes pas. Lorsqu’il fait froid et humide, laisse-moi entrer dans la maison, car je suis un animal domestique et je ne suis plus habitué à combattre les éléments de la nature. De plus, j’adore me coucher à tes pieds à côté du feu… Mais si tu n’avais pas de toit, je te suivrais quand même partout au lieu de dormir sur le coussin le plus accueillant du monde… Car je suis ton fidèle compagnon et rien ne peut changer cela… Remplis ma gamelle d’eau, car je ne peux pas te dire quand je suis assoiffé… Donne-moi de la nourriture saine, afin que je reste en bonne santé et que je puisse jouer avec toi, marcher à tes côtés et toujours être alerte afin de pouvoir te défendre si ta vie est en danger… Et si, cher maître, la vie décide de me priver de ma santé ou de ma vue, ne me laisse pas pour autant… Prend-moi dans tes bras et caresse-moi… Je ne pourrais demander meilleur réconfort… Seulement à ce moment, je pourrai partir pour l’autre monde en sachant que, jusqu’à mon dernier souffle, ma vie reposait entre tes mains protectrices. » |
Déposé par nikita le 16/02/2016PACO mon prince d'amour Toutes ces années m' éloignent de toi Ta photographie est dans mes pensées Et j'ai dans le cœur un souvenir de toi Toutes ces lumières, tous ces paysages je les donnerais pour être avec toi Ou que je sois dans mes voyages je sais que tu es a côté de moi Loin des yeux loin du cœur ça n'existe pas Loin des yeux loin du cœur moi je pense à toi Et chaque jour qui passe me rapproche de toi Au rendez-vous de ton amour je suis toujours là bisous parfumés de tendresse sur ta jolie frimousse d'amour PACO mon petit cœur à partager avec ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par choupinou le 16/02/2016Allume tes rêves et tes espoirs de Demain, afin qu'ils ne se consument pas dans le champs de hypocrisie et de la méchanceté humaine. Arme toi de patience et ténacité. Face au vent qui essaiera d'éteindre ta flamme, Sache te retirer en toi... ta plus belle arme se trouve dans ton sanctuaire; ta conscience et ta confiance en toi feront le reste du Chemin., , Éteins-moi les yeux: je saurai te voir, bouche-moi les oreilles: je saurai t'entendre, et même sans pieds saurai venir à toi, et même sans bouche t'invoquer encore. Brise-moi les bras, je te saisirai avec mon cœur comme avec une main, obstrue ce cœur, mon cerveau battra, embrase ce cerveau, mon sang te portera. Rainer Maria Rilke, , , |
Déposé par colombine67 le 16/02/2016Au fond de la cour Se trouve mon étrange amour Avec ses yeux il me salue Comme le ferait un ange perdu Je le caresse dans ma tête En vrai je le regrette De ne pas oser l'approcher Et de le laisser s'éloigner Tout les jours il se présente Et alors mon coeur chante De cette superbe mélodie Qui embellit la vie Ce matin il a plu Et il n'est pas venu Je heurte un bus Sonne l'angélus Il me semble qu'il m'appelle Du fond de notre ruelle Il est là, comme un songe Auprès de moi il s'allonge Me touche la joue Lèche mon cou Oui mon amour n'est pour vous qu'un chien Mais il vaut bien plus qu'un être humain |
Déposé par colombine67 le 15/02/2016Je suis un petit chien triste, Mes maîtres m'ont abandonné Je voudrais trouver un foyer très vite Afin d'être à nouveau dorloté. Pourquoi tant de chiens délaissés Lorsqu'arrivent les vacances ? Le long de la grand route ensoleillée Encore nombreux sont ils sur les chemins de l'errance. Joujoux d'un jour Esclave de toute une vie Pourtant, vos yeux de velours Font craquer tant de minois ravis. Alors, soyez bons et humains Courrez vite dans un foyer Recueillir un de ces petits chiens. Laissez vous enfin apitoyer |
Déposé par poutounou le 14/02/2016Vive l'amour ! * HYMNE À L'AMOUR * L'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ; il ne fait rien de malhonnête ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ; il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout. * (1Co 13) |
Déposé par colombine67 le 14/02/2016Mon copain Quand j'ai du chagrin Il ne me dit rien Il sait bien que ça ne sert à rien Quand j'ai du chagrin Mon ami Quand j'ai de la peine Il ne me dit pas qu'il m'aime Je sais bien que ça le gêne Quand j'ai de la peine Alors il m'écoute Moi je sais qu'il m'entend Et il me regarde Moi je sais qu'il comprend Il se met dans un coin Ses yeux sont plus malheureux Que les miens Mon copain, mon ami Il est plus qu'un ami Plus qu'un bon copain... Puisque c'est mon chien Chantal Abraham |
Déposé par colombine67 le 13/02/2016J'étais avec mon chien J'étais bien, Puis, un jour, me dit avec amour, Merci, merci De m'avoir pris, Car dans l'animalerie, J'étais tout triste, j'étais sur une mauvaise piste, avec les autres animaux, tout gros et petit j'étais le cadet, de tous ces paumés, a la S.P.A Tout raplapla, pour une fois, a ma grande joie, est arrivée, mon adorée, qui m'a finalement adoptée. |
Déposé par myriam31 le 12/02/2016Absence L’année s’est écoulée, me laissant bien songeuse, Les mois ont passé, si rapides, si courts, Nous séparant hélas un peu plus chaque jour. Je m’efforce d’aller, j’essaie de revenir, Il me reste le triste Anniversaire Pour empêcher l’oubli, pour mieux le contenir. Tu m’offres quelques fois la chance inespérée, De te voir apparaître au milieu de mes nuits, Mais ta visite est brève alors, désemparée, Je m’accroche en pleurant au rêve qui s’enfuit. Tendres et affectueuses pensées, amitiés à ta maman |
Déposé par colombine67 le 12/02/2016Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. |
Déposé par celibab le 11/02/2016Quand l'homme auras compris un jour que communiquer avec les animaux est plus important,que de les tuer,les jours auront un autre avenir pour la planète; Petite Lune les animaux sont supérieur aux hommes par leur fidélité à la nature et au verbe "être" et non au verbe "avoir". amitié,et douces caresses a vous tous petits anges choupinou et en même temps celibab merci de votre gentillesse amitié |
Déposé par colombine67 le 11/02/2016"Mon frère, sais-tu la nouvelle ? Mouflar, le bon Mouflar, de nos chiens, le modèle, Si redouté des loups, si soumis au berger, Mouflar vient, dit-on, de manger Le petit agneau noir, puis la brebis sa mère, Et puis sur le berger s'est jeté furieux. - Serait-il vrai ? - Très vrai, mon frère. - À qui donc se fier, grands dieux !" C'est ainsi que parlaient deux moutons dans la plaine. Et la nouvelle était certaine. Mouflar, sur le fait même, pris, N' attendait plus que le supplice ; Et le fermier voulait qu'une prompte justice Effrayât les chiens du pays. La procédure en un jour est finie. Mille témoins pour un, déposent l'attentat. Récolés, confrontés, aucun d'eux ne varie : Mouflar est convaincu du triple assassinat. Mouflar recevra donc deux balles dans la tête Sur le lieu même du délit. À son supplice qui s' apprête, Toute la ferme se rendit. Les agneaux de Mouflar demandèrent la grâce. Ele fut refusée. On leur fit prendre place. Les chiens se rangèrent près d'eux, Tristes, humiliés, mornes, l'oreille basse, Plaignant, sans l'excuser, leur frère malheureux. Tout le monde attendait dans un profond silence. Mouflar paraît bientôt, conduit par deux pasteurs : Il arrive ; et, levant au ciel ses yeux en pleurs, Il harangue ainsi l' assistance : "ô vous, qu'en ce moment je n'ose et je ne puis Nommer comme autrefois, mes frères, mes amis, Témoins de mon heure dernière, Voyez où peut conduire un coupable désir ! De la vertu, quinze ans j'ai suivi la carrière. Un faux pas m'en a fait sortir. Apprenez mes forfaits. Au lever de l'aurore, Seul, auprès du grand bois, je gardais le troupeau. Un loup vient, emporte un agneau, Et tout en fuyant le dévore. Je cours, j'atteins le loup, qui, laissant son festin, Vient m' attaquer : je le terrasse, Et je l'étrangle sur la place. C'était bien jusque là : mais, pressé par la faim, De l'agneau dévoré, je regarde le reste, J'hésite, je balance... à la fin, cependant, J'y porte une coupable dent : Voilà de mes malheurs l'origine funeste. La brebis vient dans cet instant, Elle jette des cris de mère.... La tête m'a tourné, j'ai craint que la brebis Ne m'accusât d'avoir assassiné son fils. Et, pour la forcer à se taire, Je l'égorge dans ma colère. Le berger accourait armé de son bâton. N'espérant plus aucun pardon, Je me jette sur lui : mais bientôt on m' enchaîne, Et me voici prêt à subir De mes crimes, la juste peine. Apprenez tous du moins, en me voyant mourir, Que la plus légère injustice, Aux forfaits les plus grands peut conduire d'abord ; Et que, dans le chemin du vice, On est au fond du précipice, Dès qu'on met un pied sur le bord." de Jean-Pierre Claris de Florian |
Déposé par poutounou le 10/02/2016Que c'est joliment dit....Profitons des jours bleus et chassons les jours gris.... * AU JARDIN DE L'INFANTE * Il est de clairs matins, de roses se coiffant, Où l'âme a des gaîtés d'eaux vives dans les roches, Où le coeur est un ciel de Pâques plein de cloches, Où la chair est sans tache et l'esprit sans reproches. Il est de clairs matins, de roses se coiffant, Ces matins-là, je vais joyeux comme un enfant. * Il est de mornes jours, où las de se connaître, Le coeur, vieux de mille ans, s'assied sur son butin, Où le plus cher passé semble un décor déteint, Où s'agite un minable et vague cabotin. Il est de mornes jours las du poids de connaître Et, ces jours-là, je vais courbé comme un ancêtre. * (A. Samain) |
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