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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
48 bougies
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79205 Fleurs
Déposé par spanky Quand vous dormez, il veille dans l'ombre. Ces ailes reposent sur vous. Tous vos songes viennent de lui, doux comme le regard d'une ombre. Déposé par poutounou Il n'y a pas de mort. Je peux fermer les yeux, j'aurai mon paradis dans mon coeur qui se souviendra. C’est toi mon Paradis… !!! Déposé par colombine67 Les animaux sont sensibles, intelligents, drôles et divertissants. Nous devons prendre soin d'eux comme nous nous occupons des enfants Déposé par Rafiarock Plein de bisous et de papouilles cachés dans ce joli bouquet pour toi petit ange Déposé par Rafiarock Plein de bisous et de papouilles cachés dans ce joli bouquet pour toi petit ange |
5699 messages
Déposé par spanky le 29/01/2015Lettre de nos anges. Quand demain commencera sans moi, que je ne serai pas là pour te voir. Quand le soleil se lévera, séche tes larmes. J'aimerais tant que tu gardes nos souvenirs joyeux. Je sais combien tu m'aimes, chaque fois que tu penses à moi, je brille dans ton coeur. Tu sais combien je t'aime, tu brilleras toujours dans le mien et je ne serai jamais bien loin. |
Déposé par colombine67 le 29/01/2015Autrefois, enivré de ses membres robustes, Il sautait dans la haie et griffait les arbustes, Et ses bonds chaleureux nous fêtaient : aujourd'hui, Son âme humble est déjà recouverte de nuit. Il somnole ; le feu lui souffle sa fumée. Mais quand nous approchons sa prunelle embrumée S'ouvre, il lève vers nous la tête avec effort, Et cherche dans nos yeux si nous l'aimons encore. Abel Bonnard |
Déposé par poutounou le 28/01/2015La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. * Paul Eluard |
Déposé par mindy le 28/01/2015COMMENT EST-CE POSSIBLE ? Par Jim Willis 2001 (Source « chez Maya ») Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire. Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais " Comment est-ce possible ? ", mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite. Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens, " comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirements de cour et déceptions, je ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer. Et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne chien ", mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour ". Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais juste " oui " et changeais de sujet. Je suis passé du statut de " ton chien" à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi. Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta " famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et as dit : " Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle." Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers." Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié "Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !" Et je me suis inquiété pour lui. Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie ? Tu m'as donné un " au revoir caresse" sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous. Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué la tête et ont dit : " Comment est-ce possible ?". Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve... ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon cœur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le "prisonnier de l'amour" avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps, je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : " Comment as-tu pu ?". Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée." Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place où je ne serais pas ignorée ou abusée ou abandonnée, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit. Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon " Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté. |
Déposé par ovanek le 28/01/2015❤ ***** Parlé de Toi ***** Tu sais que j'ai du mal Encore à parler de toi car tu reste présent je pense que c'est normal y'a pas de bon ou de mauvais moment. La vie apporte l’Hier … le Jour … et le Demain Tu sais j'ai la voix qui ce noue et les yeux qui ce flou d’un voile humide Quand je te croise dans les photos de mon esprit souvent j'ai le cœur qui se perd …Je crois qu'il te pense un peu trop C'est comme ça J'aurais aimé tenir serré contre moi un peu plus longtemps j’aurais aimé que mon chagrin ne dure qu'un instant la faute à qui ? La faute à quoi ? La faute à Toi …la faute à Moi certainement la faute à la Vie celle qui nous attendris. Nous meurtris. Nous endurcis je sais que tu m'entends c'est dur de briser le silence alors nos pensée sont la pour nous faire parlé de notre côté sombre enfouit en nous. Ecrire nos bonheurs et nos colères Même dans les cris même dans la joie c'est dur de combattre l'absence Mais personne ne peut comprendre On a chacun sa propre histoire. Son fardeau la Vie dit qu'il faut attendre que la peine devienne comme un espoir Je peux te dire que je suis fier de notre rencontre de notre vie ensemble que de chemin parcouru Même si la vie A ses détours elle reste fidèle à elle-même j’étais ton compagnon de route je reste ton compagnon de cœur ** Fidèle à Jamais … Mes Pensées Phil ** ❤ |
Déposé par colombine67 le 28/01/2015Salauds au coeur tendre Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur. Alors, je vous l’amène. Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge, c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages. Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon ****** le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents. Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles. Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.” On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines... Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés. Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé. Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-m****s, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados ! PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage. S'il vous plaît, ayez du coeur ! |
Déposé par mindy le 27/01/2015Ceux qui nous quittent nous font mal, le mystère de la mort est bien là... mais si on pense à eux avec beaucoup d'amour, ils restent vivants, en tout cas dans notre cœur |
Déposé par choupinou le 27/01/2015 PUNKY j'ai beau courir,courir et courir jamais je ne te rejoindrai... mais je sais que je peux suivre le chemin de l'envolé pour y ramasser tes plumes, les belles plumes de tes aile mon ange. Tu sais un jour viendra ,un jour magnifique, ou moi aussi,je prendrai mon envol, je partirai pour te rejoindre pour aller vers toi vers toi a tout jamais et nous seront toujours ensemble pour l'éternité ,l'amour éternel : TOI ET MOI, |
Déposé par colombine67 le 27/01/2015Comment est-ce possible ? Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire. Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais "Comment peux-tu?" mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite. Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que "la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t'es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne-chien » mais je l'ai accueillie dans notre relation, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour". Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais "juste oui" et changeais de sujet. Je suis passé du statut de "ton chien" à "seulement un chien", et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta "famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et tu as dit: "Je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui". Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers". Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait "Non, Papa! s'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien!" Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie? Tu m'as donné un « au revoir caresse » sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous. Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois, et rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué leurs têtes et ont dit "Comment est-ce possible?" Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permettent. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve. ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le « prisonnier de l'amour » avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété qu'elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour. Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré "Comment as-tu pu?" Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit "je suis si désolée". Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différente de cet endroit. Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon "Comment as-tu pu?" n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté. ©Jim Willis 2001 |
Déposé par colombine67 le 26/01/2015voici un texte qui compte pour les hommes ainsi que pour les animaux il faut toujours prendre le temps de dire ce qu'on ressent l'un pour l'autre chez un animal tu le lis dans le regard ***************************************** PRENDRE LE TEMPS DE DIRE Un jour, un enseignant demanda à ses étudiants d'écrire les noms des autres étudiants dans la classe sur deux feuilles de papier et de laisser un espace entre chaque nom. Puis, il leur dit de penser à la chose la plus agréable qu'ils pourraient dire de chacun de leurs camarades et de le noter. Cela a pris le reste du cours pour finir cette tâche, et chaque étudiant quitta la salle en remettant ses feuilles à l'enseignant. Ce samedi-là, l'enseignant nota le nom de chaque étudiant sur une feuille individuelle pour chacun, et inscrivit ce que tout le monde avait dit de chacun. Le lundi, il a donné à chaque étudiant sa liste respective. Avant longtemps, la classe entière souriait. « Vraiment? » qu'il entendit chuchoté. « Je ne savais pas que j'avais autant d'importance pour qui que ce soit! » et, « Je ne savais pas que les autres m'aimaient autant.» fut la plupart des commentaires. Personne n'a plus jamais parlé de ces papiers dans la classe à nouveau. Il n'a jamais su s'ils en avaient discutés après la classe ou avec leurs parents, mais peu importe. L'exercice était arrivé à son but. Les étudiants étaient contents l'un de l'autre. Ce groupe d'étudiants termina finalement l'année. Quelques années plus tard, un des étudiants fut tué au Viêt-nam et l'enseignant assista aux funérailles de cet étudiant spécial. Il n'avait jamais vu un homme dans un cercueil militaire avant. Il avait l'air si élégant, si mature. L'église fut remplie par ses amis. Un à un, ceux qui l'avaient aimé sont allés pour une dernière fois voir le cercueil. L'enseignant fut le dernier à y aller. Comme il se tenait là, un des soldats qui était porteur du cercueil, est venu vers lui. Il lui demanda : « Étiez-vous l'enseignant de math de Marc? » Il hocha la tête en signe de « oui. » Alors il lui dit: « Marc m'a beaucoup parlé de vous. » Après les funérailles, la plupart des anciens camarades de classe de Marc sont allés déjeuner ensemble. Les parents de Marc étaient là , attendant de parler avec son enseignant de toute évidence. « Nous voulons vous montrer quelque chose, » dit son père en sortant un portefeuille de sa poche. « Ils ont trouvé ça sur Marc quand il a été tué. Nous avons pensé que vous pourriez le reconnaître ». En ouvrant le portefeuille, il a soigneusement enlevé deux morceaux de papier qui avaient évidemment été collés, pliés et repliés plusieurs fois. L'enseignant a su sans même regarder que les papiers étaient ceux où il avait énuméré toutes les bonnes choses que chacun des camarades de Marc avait dit de lui. « Merci beaucoup pour avoir fait cela, » dit la mère de Marc.« Comme vous pouvez le voir, Marc l'a gardé précieusement. » Tous les anciens camarades de classe de Marc ont commencé à se rassembler autour de l'enseignant. Charlie (l'enseignant) sourit d'une façon plutôt gênée et dit, « J'ai toujours ma liste dans le tiroir du haut de mon bureau à la maison. » La femme de Chuck (un ancien étudiant) dit : « Chuck m'a demandé de mettre le sien dans notre album de mariage. « J'ai le mien aussi, » dit Marilyne. « Il est dans mon journal intime. » Alors Vicky, une autre camarade de classe, prit son livre de poche, en sortit son fragile morceau de papier contenant la liste et le montra au groupe. Puis elle dit : « Je porte ceci avec moi tout le temps » et sans battre de l'oeil, elle poursuivit: « Je pense que nous avons tous gardé notre liste. » C'est à ce moment que l'enseignant s'est finalement assis et s'est mis à pleurer. Il a pleuré pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais. La quantité de gens dans la société est si grande que nous oublions que cette vie se terminera un jour. Et nous ne savons pas quand le jour viendra. Alors, s'il vous plaît, dites aux gens que vous aimez et dont vous vous souciez, qu'ils sont spéciaux et importants. Dites-leur avant qu'il ne soit trop tard... Souvenez-vous que vous récoltez ce que vous semez, PUISSE CE JOUR ÊTRE AUSSI SPÉCIAL QUE VOUS L'ÊTES! |
Déposé par poutounou le 25/01/2015Le printemps reviendra * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême * Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid… |
Déposé par mindy le 25/01/2015La vie c'est comme le soleil, Parfois ça brille de mille feux, Parfois ça ne brille pas du tout, La vie est faite de joies et de peines, De colères et de bonheurs, La vie c'est aussi être malheureux et souffrir, Et parfois être heureux, La vie est un mystère, Il faut tout accepter dans la vie |
Déposé par colombine67 le 25/01/2015Tu m'as donné tant de bonheur Sans rien vouloir en retour Mais voila qu'est venu l'heure Où tu nous quitte pour toujours Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie Et maintenant te voila partie pour de bon Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons Ne l'oublie jamais à quel point je t'aime |
Déposé par ovanek le 24/01/2015❤ **** Sur ton chemin **** un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher ne laissant derrière elle que sont écumes ont c’était rien promis mais on savait ce comprendre J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ? On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs N'y va-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!! d'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien… maintenant tout est clair dans des moments sombres Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi Mes êtres cher… au cieux qui sont partis ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes. Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau ….ensemble tu verras on va devenir vieux… le temps usure tout sur son passage…. Mais je serais la-t-elle une montagne face aux quatre Vents Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ... alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui ai Toi pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris. Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la… Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien **** Mes Pensées… Phil **** ❤ |
Déposé par colombine67 le 24/01/2015J'ai fais une place pour Toi dans ma chambre Pour que tu veilles sur moi la nuit Que tu rayonne en mon coeur, mon âme Et qu'à Tes côtés je grandisse. J'ai fais une place pour Toi dans ma maison Dans toutes les pièces, même le sous-sol Pour que Tu inspires mes chansons Et qu'à Ta vue je me console. J'ai fais une place pour Toi dans ma vie Pour m'aider à porter ma croix Ainsi croire que le soleil luit Et renforcer tous les jours ma foi. J'ai fais une place pour Toi dans mon coeur Pour apprendre de Ton vécu Ne plus jamais connaître la peur Car tu m'as toujours secouru. |
Déposé par rafia le 23/01/2015Il est temps Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. J'écoute quelquefois le soir Des nouvelles à la télévision. On y voit haine et désespoir, Détruire notre monde sans raison. On nous annonce au fil des jours Que femmes et enfants sont agressés Et qu'aussi certains vautours, Vont jusqu’à tuer pour dominer On a beau se parler d'amour, De partager son amitié. Qu'aussitôt dans le détour, La rose sort ses épines acérées. Pourquoi sommes-nous si violents ? Pourquoi sommes-nous insouciants ? Pourquoi sommes-nous si impatients ? Pourquoi sommes-nous intolérants ? Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. Roger Kemp |
Déposé par rafia le 23/01/2015Sourions On se retrouve seul, on a peur quelquefois et l'on regarde autour de soi, guettant sur un visage un soupçon de tendresse. Mais personne ne s'intéresse à personne, et ainsi tout va de mal en pis. Parfois le malheureux reste sur le tapis, comme à la vie plus rien ne le rattache, il crève dans son coin, sans que nul ne le sache. Un sourire pourtant l'aurait tiré de là. Sourions mes amis, quittons ces airs trop las, faisons-nous l'amitié, si rare à notre époque, de sourire pour rien, d'être aimable avec n'importe qui, pour n'importe quoi. Gérard Sire |
Déposé par rafia le 23/01/2015Le manifeste de la gentillesse Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur. La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable. Seules les personnes qui pratiquent un mauvais esprit récurrent vs diront "qu'être gentil/gentille..c'est être..servile" Ces personnes se veulent..donneuses de leçons (oui !!! de mauvaises leçons !!!) et sont réfractaires à toute empathie sincère. La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain. POUR En finir avec le chacun pour soi Refuser le cynisme ambiant Déjouer l'agressivité quotidienne Dire non à l'indifférence Choisir d'être plus attentif aux autres Mettre de l'harmonie dans mes relations Etre altruiste et bienveillant JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR, AVEC DES MILLIERS D'AUTRES, UN MONDE PLUS HUMAIN |
Déposé par rafia le 23/01/2015Je m'efforcerai... En toute humilité je m'efforcerai D'être aimant, véridique, honnête et pur, De ne rien posséder dont je n'aie pas besoin, De mériter mon salaire par mon travail, D'être perpétuellement vigilant Sur ce que je bois et je mange, De toujours être intrépide, De respecter les autres religions autant que la mienne Et de chercher à toujours voir le bien chez mon prochain, De suivre fidèlement le svadeshi (*) Et d'être un frère pour tous mes frères. (*) devoir de service envers l'entourage immédiat Mahatma K. Gandhi, Lettres à l'Âshram |
Déposé par rafia le 23/01/2015Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne |
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