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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
20 persons like this page |
In tribute to
Nudji
47 candles
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12896 Flowers
left by prixy Encore un jour pluvieux mais dans votre Paradis le soleil brille toujours. Câlinoux. Bien à vous left by prixy Encore un jour pluvieux mais dans votre Paradis le soleil brille toujours. Câlinoux. Bien à vous left by spanky Aujourd'hui pour vous mes amis à 4 pattes je suis chef de gare... alors,je dispose de 3 Wagons:le 1er remplis d'Amour, le 2ème remplis de Câlins, et pour le dernier wagon des fleurs aux mille couleurs left by colombine67 Quand je regarde dans les yeux de mon chien... Je ne vois pas un animal. Je vois un être vivant... Je vois un ami... Je sens une âme left by nina1997 Les chiens sont notre lien vers le paradis. Ils ne connaissent pas le mal ou la jalousie ou le mécontentement. Kundera left by colombine67 Regarde dans mes yeux et tu me trouveras. Regarde dans mon coeur et tu te trouveras left by nina1997 Quand tu me manques 🐕 je mets la main sur mon coeur 🩷 et je ferme les yeux. Car je sais que c'est le seul endroit où tu existes toujours 🩷 left by spanky Pas faciles toutes ces journées sans nos amis à 4 pattes, beaucoup de choses vous rappellent sa petite frimousse et sa gaieté quotidienne vous manque terriblement. |
3745 messages
left by viana67 on 20/11/2015Pour toi adorable Nudji et ta maman qui t'aimera toujours malgré le temps qui passe, malgré la vie qui reprend ses droits avec ses joies et ses peines. L'amour partagé est un cadeau de la vie et même si celle-ci nous joue parfois des tours, l'amour a toujours le dernier mot ! Je vous envoie à tous deux mes pensées remplies de réconfort et d'amitié. Marie et ses anges |
left by colombine67 on 20/11/2015 Je t'offre, mon Dieu, mon regard et mes bras. Je t'offre mes mains pour soigner la souffrance. Je t'offre mon expérience et quel qu'en soit le prix je t'offre mes efforts et ma persévérance. Donne-moi d'écouter celui qui vient me voir, celui qui me demande de le réconforter. Donne-moi d'écouter sans relâche. Donne-moi de soigner celui qui dit : « J'ai mal », celui qui me demande encore de l'apaiser. Donne-moi de soigner sans relâche. Donne-moi de donner mes instants à tous ceux qui demandent le soulagement. Donne-moi de me donner sans cesse. Donne-moi de ne pas oublier que si j'ai le pouvoir de soigner, je suis fait avant tout pour servir. Donne-moi de ne pas m'affaiblir. Garde-moi de la peur et de l'indifférence, garde-moi de l'oubli. Donne-moi de voir l'ami, le frère, dans la main tendue. Aide-moi à marcher avec lui. Je t'offre, mon Dieu, ma joie pour accueillir, mon coeur pour soulager, ma force pour tenir, et ma vie pour soigner. Anonyme |
left by choupinou on 20/11/2015 2 ANS aujourd'hui 20 Novembre 2015.... mon coeur,le temps s'écoule mais mon amour pour toi est profond et ne s'éteindra jamais tu me manques plus que tout ,mon trésor,mon Nunu d'amour,mon ange.... Il étaut mon petit chien Il était mon univers Il était pas moins que rien Il était tout mon repère BING BING tu es parti BING BING j'suis toujours anéanti BING BING je n'en peu plus,j'suis foutu BING BING ce jour la je ne l'oublierai plus Nous avons vécu ensemble En gravissant le chemin de la vie Toi et moi tout nous rassemble Et moi et toi maintenant 2 ans,tout est fini BING BING pour toujours j'suis touchée BING BING pour toujours j'suis bléssée BING BING je suis encore meurtrie BING BING et mon coeur et jauni Tu étais tellement mignon Tu m'as donné tant d'amour J'ai su la première fois q'tu serais ma passion Ton souvenir fait battre mon coeur comme un tambour Et puis ce jour enneigé est arrivé On s'était pourtant promis encore 2 années Je ne t'avais jamais menti Avec elle tu es partie... BING BING tu ne reviendras plus BING BING la tristesse me tue BING BING je me souviens BING BING et tout me revient BING BING alors tu m'as quitté BING BING je suis restée BING BING et cette seringue BING BING qui me flingue.... Maintenant ça fait 2 ans Pour moi c'est si présent Dans mon âme une brûlure Dans mon être une déchirure... BING BING tu es la haut BING BING ou tout est beau BING BING j'suis dans l'effroi BING BING ici en bas,moi j'ai si froid.... A toi mon NUDJI d'amour,en ce triste jour anniversaire,tu étais ma passion,tu es ma passion et tu seras encore et encore ma passion,je t'aime tant ,la vie sans toi c'est si dur... DOUX CALINOUX MON ANGE,DOUX BISOUX MON BEBE D'AMOUR, tu me manques....<3 MAMAN ,j'ai écris ce texte pour toi mon coeur |
left by Biscuit on 20/11/2015L'amour éloigné. même si tu es dans un autre monde, pendant que moi ,je suis seule ici, regarde au firmament cette étoile briller c'est toi et moi enlacés, cette étoile restera toujours dans le ciel,comme notre amour, elle est éternelle,tu pourras jamais m'oublier, car elle sera toujours là pour te rappeler qu'ici -bas, il y à un coeur qui ne bat que pour toi. pareil à cette étoile,nos yeux brilleront le jour ou nous deux, enfin nous nous retrouveront. tu peux lire en moi mon petit ange,cet amour qui resteras toujours pour toi . je t'aime à l'infini ,tu es mon soleil ,ma vie. tes yeux mon petit ange,sont comme des îles perdus , c'est dans leur océan que je me baigne, et c'est ici que je me noie d'amour pour toi. repose en paix ,sois heureux dans ce merveilleux petit paradis . |
left by choupinou on 19/11/2015en cette veille de ton décès anniversaire,comment te dire mon énorme passion pour toi mon ange ,tu me manques tellememt....TELLEMENT....pour toi mon coeur,ma vie La nuit , dans un gouffre sans fond ou mon coeur vit, des larmes noires coulent sur ma blanche peau, ayant le goût amer du sang des eaux, Je me noie, je me meurs comme un poète maudit. Je me traîne sans chair, tel un spectre sans ombre, étourdis par la fatigue et détruis pas la déprime, me plaignant de mes maux, ne voulant que me jeter dans l'abîme, je reste ici, seule, dans cette pénombre. Je reste accroché à mes chaînes, l'air abattue, me laissant faire, ne me débattant plus de ces êtres déchus, mon coeur n'en peu plus, il ne survit plus, à cette souffrance, à cette douleur , à ce néant absolue. Je me lasse, je meurs, je n'y croit plus, Je m'en veux , je suis déçue de cette vie,maintenant que tu n'es plus a mon NUNU D'AMOUR |
left by colombine67 on 19/11/2015Que tous les êtres soient remplis de joie et de paix. Que tous les êtres, partout, Les forts et les faibles, Les illustres et les insignifiants, Les misérables et les puissants, Les grands et les petits, Les subtils et les grossiers ; Que tous les êtres, partout, En vue ou dans l'ombre, A proximité ou à mille lieues, Etant ou dans l'attente d'être : Que tous soient remplis d'une joie durable. Qu'aucun être n'en trompe un autre, Qu'aucun être nulle part n'en méprise un autre, Qu'aucun être sous l'emprise de la colère ou du ressentiment Ne souhaite jamais le malheur d'un autre. Tout comme la mère fait de sa vie un rempart pour protéger de la souffrance son enfant, son unique enfant, Laisse grandir en toi Un amour sans bornes de toutes les créatures. Laisse ton amour couler et silloner l'Univers, Dans toute sa hauteur, sa profondeur et sa grandeur, Un amour sans limites, sans haine et sans hostilité. Puis, debout ou en mouvement, Assis ou couché, Tant que tu es éveillé, Lutte pour cela en fixant ton esprit sur un point ; Ta vie t'apportera le paradis sur terre. Bouddha |
left by colombine67 on 18/11/2015 Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne |
left by rafia on 17/11/2015L’inacceptable On peut se dire que l’irrémédiable Avec le temps peut réunir l’oubli Avec l’amour pour vous retenir, Juste laisser un peu d’espérance A peine murmuré sous un silence. Mais il y a l’inacceptable Qui vient tout bousculer Une erreur de là-haut Qu’on a pas demandé. Mais il y a l’inacceptable En plein vol, foudroyé Et qui vient tout reprendre, Tout ce qu’on vous a donné, Et vous laisse comme une impression Une impression d’inachevé. On peut se dire que l’inconcevable peut arriver Un jour sans faire de bruit, Tout bouleverser Sans vous prévenir. Même s’y attendre Parce que quoi qu’on fasse On sait le mur au bout de l’impasse. Mais il y a l’inacceptable Qui vient tout bousculer Une erreur de là-haut Qu’on a pas demandé. Mais il y a l’inacceptable En plein vol, foudroyé Et qui vient tout reprendre Tout ce qu’on vous a donné. Et vous laisse comme un injustice Une injustice inacceptable Mais il y a l’inacceptable En plein vol, foudroyé Et qui vient tout reprendre Tout ce qu’on vous a donné Et vous laisse comme une impression Une impression d’inachevé…” Comédie musicale – Les Dix Commandements, |
left by larrydoudou on 17/11/2015Le paradis des animaux Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux ! Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ? Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien, Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat, Il est là ce Paradis ! Et puis si votre regard se coule vers la droite, Il y a le coin des rongeurs : Regardez, mais regardez donc ! Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche : Là est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez n'est-ce-pas ? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la Source du Paradis, et, Quand vient la nuit Ils allument pour nous Les étoiles afin que nous ayons nous aussi Cette lumière qui les entoure. Le Paradis des Animaux : il est là ! Vous le voyez n'est-ce-pas ? |
left by Biscuit on 17/11/2015Je suis le box 58 Au fond de l'allée à droite. Né dans une ruelle brûlante D'un misérable village d'une cruelle Espagne Je suis le chien errant dont on se débarrasse. Un matin, des hommes sont venus Armés de bâtons, c'est après nous qu'ils en avaient Pardon ma Mère d'avoir si vite couru Pardon mes Frères de vous avoir abandonnés Sans me retourner Pendant que l'on vous exterminait Car tant de haine les anime Seul pendant une année, j'ai erré La faim, la soif me tenant, toujours sur mes gardes J'ai rusé, je me suis bien battu Mais les monstres m'ont capturé au lasso Et jeté dans cet humide cachot Dont le toit cassé Laisse passer la pluie Lorsqu'il gèle le sol est glacé Lorsque le soleil est au plus haut Il m'écrase de sa chaleur Qu'aucune ombre n'apaise Comme mon box est le dernier du refuge, Il n'y a pas de vis-à-vis Rien n'arrête le vent Qui me transperce par tous les temps Et point d'endroit pour me mettre à l'abri Lorsque vient la distribution du repas Bien souvent on m'oublie Ni eau, ni pain pour moi. Au début, j'ai pleuré tous les jours, toutes les nuits A présent, depuis tant d'années Je me suis résigné Oublié de tous Je n'attends plus rien du genre humain Qui m'a enjôlé pour mieux me punir D'avoir voulu être un chien d'Espagne Fier et libre Et les années ont passé Lentement, interminablement................. Je me suis habitué à ne jamais plus courir Je regarde les murs de ma prison Qui sont mon seul horizon S'il y a encore un peu de pitié Qu'on me fasse mourir Pour abréger cette lente agonie Je suis si seul et sans espoir....... Mais un jour, deux petites mains Se sont posées sur mes barreaux J'ai à peine levé la tête Pour regarder cette enfant Blonde, rose qui m'observe en silence Et me fixe intensément Puis elle appelle .... Prudent, je ne bouge pas Elle appelle de nouveau Deux grands viennent voir Ce qui suscite tant d'émoi La petite voudrait bien de moi Mais les parents rechignent Il est bien laid et si vieux Alors l'enfant pleure Elle veut celui-là, en me montrant du doigt Celui du box 58, au fond de l'allée à droite. On palabre, on discute près de moi Quel triste sort m'attend ? Qu'ont-ils donc encore inventé Pour me tourmenter ? Je tends le dos................ J'attends.................. On me met un collier On me tire avec une laisse On me pousse, on me porte Point de coups ? Point encore................. Pourtant rien. On m'installe dans une jolie maison Ce panier confortable est pour moi La bonne gamelle et l'eau fraîche aussi Le jardin est si beau............ Tout cela serait-il possible ? C'était il y a quelques jours J'ai donné un peu de confiance J'ai reçu tellement d'amour Maintenant, moi j'ai une Princesse Qui m'interpelle sans cesse J'entends ses petits pieds nus Qui claquent sur le sol Elle passe ses bras autour de mon cou Et me murmure des mots doux Ainsi donc c'était vrai Qu'un jour il y aurait Quelqu'un pour m'aimer Quelqu'un pour qui je compterais Qui m'accorderait de l'importance Sans rien demander en retour Une part d'amour pour moi Rien que pour moi..... Alors, vous qui le Dimanche Visitez les Refuges D'Espagne ou d'ailleurs N'oubliez jamais le même que moi Qui vous attend Dans le Box 58 Au fond de l'allée à droite.............. |
left by colombine67 on 17/11/2015Comme un arbre... j'ai besoin de lumière... si je suis fermement attachée à mon sol toujours mariée à la terre je grandis néanmoins vers le ciel et je croîs... je mûris en noblesse et en beauté. Par certains jours noirs et sombres de l'hiver ou certaines heures d'automne noyées de pluie je travaille à l'intérieur et j'attends… Nulle protection ni secours incertitude maillée d’espérance je ne commande pas à la nature je collabore avec elle. Comme un arbre j'ai mes saisons mes forces, mes failles. Continuer... comme un arbre ce n'est peut-être pas maudire les intempéries mais les accueillir dormir une courte nuit pour recommencer le lendemain apprendre à mourir pour renaître continuer... comme un arbre c'est peut-être me lever chaque jour avant le jour prête à affronter les coups du sort prête à faire alliance avec ma vie. Je connais misère et grandeur... le passage de la nuit au jour la fraîcheur des rivières à mes pieds et le fruit du labeur de mes bras. Que sais-je encore ? J'ai appris à m'incliner à me redresser à écouter la beauté dans le murmure du vent... parfois ma parure cache mon écorce fragile parfois encore je me dépouille pour mieux me révéler. J'ai le juste orgueil de donner l'ombre au passant comme j'ai la fierté de mes racines profondes. Les marques de mon passé trahissent mon âge, mes peurs et mes pensées voyez mes noeuds d'anxiété mes blessures, branches cassées. Pourtant je m'élève malgré tout je parfume l'air à ma façon... le temps me couronne de fleurs à l'occasion. En vieillissant je me souviens avec émotion de l'oisillon que j'ai bercé et du refuge que j'ai offert aux jeunes de mon quartier. Mes prières deviennent contemplation j’apprécie l'horizon du lendemain… je chante l’oraison. Si l'arbre est fort il craint toujours le feu et le bûcheron de même je frémis devant le mal, la guerre et plus que tout... devant l'indifférence, l’insouciance. Je porte toujours en moi l’arbre de la croix ! Certains arbres deviennent bois de chauffage paniers de bois feuilles de papier bois d'ébénisterie copeaux, gîtes, balai neuf ou lambris. Je parie que la Vie fera de moi une petite feuille de papier fleuri... j'espère qu'on y écrira un vers ou deux de poésie... D’ailleurs, je connais un homme vous savez… qui pour avoir vécu pleinement un temps de mort et d’agonie est à jamais ressuscité ! Lysette Brochu, Regard de foi, août 1988 |
left by poutounou on 16/11/2015En ces temps si « durs », si « sombres », il est bon de garder au fond de soi, une petite lumière qu’on appelle « Espérance ». * La petite espérance * C’est la petite lumière qui brille au fond de son coeur Et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton coeur est brisé, malheureux, éperdu Si ta vie est triste, monotone, sans saveur Si l’angoisse parfois et souvent te saisit La petite espérance est là, au fond de ton coeur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, Tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton coeur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source Le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir La clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon coeur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves Toi qui ne connais pas le mot « Fin« . * Auteur inconnu |
left by colombine67 on 16/11/2015L'important, c'est de semer, un peu, beaucoup, sans cesse, les graines de l'espérance... Sème le sourire : qu'il resplendisse autour de toi. Sème ton courage : qu'il soutienne celui de l'autre. Sème ton enthousiasme, ta foi, ton amour, les plus petites choses, les riens. Aie confiance, chaque graine enrichira un petit coin de terre. Anonyme |
left by colombine67 on 15/11/2015 Vieillir, se l'avouer à soi même et le dire tout haut, non pas pour voir protester les amis, mais pour y conformer ses goûts et s'interdire ce que la veille encore on se croyait permis. Avec sincérité, dès que l'aube se lève, se bien persuader qu'on est plus vieux d'un jour ; à chaque cheveu blanc, se séparer d'un rêve et lui dire tout bas un adieu sans retour. Aux appétits grossiers, imposer d'âpres jeunes, et nourrir son esprit d'un solide savoir, devenir bon, devenir doux, aimer les fleurs, aimer les jeunes, comme on aima l'espoir. Se résigner à vivre un peu sur le rivage, tandis qu'il vogueront sur les flots hasardeux, craindre d'être importun sans devenir sauvage, se laisser ignorer tout en restant près d'eux. Vaquer sans bruit aux soins que tout départ réclame, prier et faire un peu de bien autour de soi, sans négliger son corps, parer surtout son âme, chauffant l'un aux tisons, l'autre à l'antique Foi. Puis un beau soir, discrètement, souffler la flamme de sa lampe et mourir parce que c'est la loi. Jean Fabié |
left by colombine67 on 14/11/2015 Un jour viendra où mon corps recouvert d'un drap blanc, soigneusement tiré aux quatre coins du lit, restera immobile sur un lit d'hôpital parmi la rumeur des vivants et les affres des mourants. À un moment donné, un médecin constatera que mon cerveau a cessé de fonctionner et, qu'à tous égards, la vie m'a quitté. Quand cela arrivera, n'essayez pas de me maintenir artificiellement en vie au moyen d'un appareil. Et ne parlez pas de mon "LIT DE MORT". Dites plutôt "LIT DE VIE" et laissez emporter mon corps pour qu'il serve à donner à d'autres une vie plus riche... Qu'on donne mes yeux à celui qui n'a jamais vu le lever du soleil, le visage d'un bébé ou l'amour dans le regard d'une femme... Qu'on donne mon coeur à celui dont le coeur n'a été qu'une cause permanente de souffrance... Qu'on donne mon sang à l'adolescent qu'on a sorti des débris de sa voiture afin qu'il vive assez longtemps pour voir jouer ses petits enfants... Qu'on donne mes reins à celui qui doit recourir de semaine en semaine au rein artificiel... Qu'on prenne mes os, mes muscles, tous les nerfs et les tissus de mon corps et qu'on trouve le moyen, grâce à eux, de faire marcher un enfant paralysé... Qu'on explore tous les recoins de mon cerveau. Qu'on en prenne la matière s'il le faut, afin qu'un jour un jeune garçon privé de la parole soit capable de crier sa joie et qu'une petite fille sourde puisse entendre la pluie battre contre les vitres... Qu'on brûle ce qui restera de moi et qu'on répande mes cendres à tous vents pour aider les fleurs à pousser. S'il faut mettre quelque chose en terre, que ce soit mes fautes, mes faiblesses et tous mes préjugés à l'encontre de mes semblables. Si par hasard vous désirez conserver mon souvenir, faites-le en aidant d'un mot ou d'un geste quelqu'un qui en aura besoin. Si vous faites tout ce que je vous ai demandé, "JE VIVRAI ÉTERNELLEMENT". Merci de votre compréhension ! Un donneur d'organes anonyme... |
left by Biscuit on 14/11/2015Message d'une petite Étoile,Nudji « Si vous sentez de temps à autre des souffrances, si des questions vous viennent auxquelles vous n'obtenez aucune réponse, cherchez en vous. Profondément enfouie, se cache une étincelle qui ne demande qu'à grandir et briller, briller, laissez la vous consumer totalement, seulement alors nous pourrons nous rejoindre. Pour autant, ne levez pas la tête au ciel pour tenter de m'apercevoir. Mais regardez seulement en vous, c'est ici que je me cache ». |
left by colombine67 on 13/11/2015La voici, la maladie, dans ces membres sans vie. Elle s'attarde un peu dans le corps de l'enfant, Creusant la souffrance et la peur. Elle nous garde, comme un voilier dans la tourmente, un arbre sous la bourrasque, attendant que l'orage passe ; presque heureux d'avoir pu garder, jusque dans la détresse du quotidien, l'espérance fragile ; Tels des rescapés... La maladie a tout pris, et que resterait-il, S'il n'y avait cet espoir tenace que l'adversité n'aura pas terni ? Oui, si c'était cela, le Bonheur : Vivre, même dans l'urgence... Vivre, même quand le corps nous trahit, Au delà de nos égoïsmes et de nos peurs, Au delà de la souffrance et de la mort... L'espérance renaît, jour après jour, pas à pas, au long chemin de l'existence... Stéphane Bardy |
left by rafia on 13/11/2015Amitié Je connais un petit ange Lequel n'a jamais mouillé Sa blanche robe à la fange Dont notre monde est souillé. C'est lui qui donne le change Au pauvre coeur dépouillé Que l'amour, vautour étrange, D'un bec cruel a fouillé. Cet ange, qui vous ressemble, Sous son aile nous rassemble C'est la divine Amitié. Son regard est doux et calme ; Il m'offre sa chaste palme. En voulez-vous la moitié ? Louis-Honoré Fréchette. |
left by Galinette3 on 12/11/2015“Je suis juste de l’autre côté du chemin” 🐶 La mort n’est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. 🐶 Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. 🐶 Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. 🐶 Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre. 🐶 La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. 🐶 Vous voyez, tout est bien 🐶 Henry Scott-Holland |
left by poutounou on 12/11/2015Poème de notre ou nos anges pour nous… * J’aimerais être l’ange de ton sommeil, Te protéger jusqu’au réveil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cœur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé Des plus profondes de tes pensées. Je dissiperai le brouillard Qui détruit tous les espoirs. Et lorsque tu te réveilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
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