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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
66 bougies
78232 Fleurs
Déposé par rafia PARDON aux mamans de ne pas avoir fait ma distribution de bouquets....mais vs savez que je me rattraperai, dès que possible. Mille bisous à vs toutes |
5670 messages
Déposé par colombine67 le 26/01/2015voici un texte qui compte pour les hommes ainsi que pour les animaux il faut toujours prendre le temps de dire ce qu'on ressent l'un pour l'autre chez un animal tu le lis dans le regard ***************************************** PRENDRE LE TEMPS DE DIRE Un jour, un enseignant demanda à ses étudiants d'écrire les noms des autres étudiants dans la classe sur deux feuilles de papier et de laisser un espace entre chaque nom. Puis, il leur dit de penser à la chose la plus agréable qu'ils pourraient dire de chacun de leurs camarades et de le noter. Cela a pris le reste du cours pour finir cette tâche, et chaque étudiant quitta la salle en remettant ses feuilles à l'enseignant. Ce samedi-là, l'enseignant nota le nom de chaque étudiant sur une feuille individuelle pour chacun, et inscrivit ce que tout le monde avait dit de chacun. Le lundi, il a donné à chaque étudiant sa liste respective. Avant longtemps, la classe entière souriait. « Vraiment? » qu'il entendit chuchoté. « Je ne savais pas que j'avais autant d'importance pour qui que ce soit! » et, « Je ne savais pas que les autres m'aimaient autant.» fut la plupart des commentaires. Personne n'a plus jamais parlé de ces papiers dans la classe à nouveau. Il n'a jamais su s'ils en avaient discutés après la classe ou avec leurs parents, mais peu importe. L'exercice était arrivé à son but. Les étudiants étaient contents l'un de l'autre. Ce groupe d'étudiants termina finalement l'année. Quelques années plus tard, un des étudiants fut tué au Viêt-nam et l'enseignant assista aux funérailles de cet étudiant spécial. Il n'avait jamais vu un homme dans un cercueil militaire avant. Il avait l'air si élégant, si mature. L'église fut remplie par ses amis. Un à un, ceux qui l'avaient aimé sont allés pour une dernière fois voir le cercueil. L'enseignant fut le dernier à y aller. Comme il se tenait là, un des soldats qui était porteur du cercueil, est venu vers lui. Il lui demanda : « Étiez-vous l'enseignant de math de Marc? » Il hocha la tête en signe de « oui. » Alors il lui dit: « Marc m'a beaucoup parlé de vous. » Après les funérailles, la plupart des anciens camarades de classe de Marc sont allés déjeuner ensemble. Les parents de Marc étaient là , attendant de parler avec son enseignant de toute évidence. « Nous voulons vous montrer quelque chose, » dit son père en sortant un portefeuille de sa poche. « Ils ont trouvé ça sur Marc quand il a été tué. Nous avons pensé que vous pourriez le reconnaître ». En ouvrant le portefeuille, il a soigneusement enlevé deux morceaux de papier qui avaient évidemment été collés, pliés et repliés plusieurs fois. L'enseignant a su sans même regarder que les papiers étaient ceux où il avait énuméré toutes les bonnes choses que chacun des camarades de Marc avait dit de lui. « Merci beaucoup pour avoir fait cela, » dit la mère de Marc.« Comme vous pouvez le voir, Marc l'a gardé précieusement. » Tous les anciens camarades de classe de Marc ont commencé à se rassembler autour de l'enseignant. Charlie (l'enseignant) sourit d'une façon plutôt gênée et dit, « J'ai toujours ma liste dans le tiroir du haut de mon bureau à la maison. » La femme de Chuck (un ancien étudiant) dit : « Chuck m'a demandé de mettre le sien dans notre album de mariage. « J'ai le mien aussi, » dit Marilyne. « Il est dans mon journal intime. » Alors Vicky, une autre camarade de classe, prit son livre de poche, en sortit son fragile morceau de papier contenant la liste et le montra au groupe. Puis elle dit : « Je porte ceci avec moi tout le temps » et sans battre de l'oeil, elle poursuivit: « Je pense que nous avons tous gardé notre liste. » C'est à ce moment que l'enseignant s'est finalement assis et s'est mis à pleurer. Il a pleuré pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais. La quantité de gens dans la société est si grande que nous oublions que cette vie se terminera un jour. Et nous ne savons pas quand le jour viendra. Alors, s'il vous plaît, dites aux gens que vous aimez et dont vous vous souciez, qu'ils sont spéciaux et importants. Dites-leur avant qu'il ne soit trop tard... Souvenez-vous que vous récoltez ce que vous semez, PUISSE CE JOUR ÊTRE AUSSI SPÉCIAL QUE VOUS L'ÊTES! |
Déposé par poutounou le 25/01/2015Le printemps reviendra * Hé oui, je sais bien qu’il fait froid, Que le ciel est tout de travers; Je sais que ni la primevère Ni l’agneau ne sont encor là. La terre tourne ; il reviendra, Le printemps, sur son cheval vert. Que ferait le bois sans pivert, Le petit jardin sans lilas ? Oui, tout passe, même l’hiver, Je le sais par mon petit doigt Que je garde toujours en l’air… * Maurice Carême * Qu’il se dépêche un peu ! Y en a marre d’avoir froid… |
Déposé par mindy le 25/01/2015La vie c'est comme le soleil, Parfois ça brille de mille feux, Parfois ça ne brille pas du tout, La vie est faite de joies et de peines, De colères et de bonheurs, La vie c'est aussi être malheureux et souffrir, Et parfois être heureux, La vie est un mystère, Il faut tout accepter dans la vie |
Déposé par colombine67 le 25/01/2015Tu m'as donné tant de bonheur Sans rien vouloir en retour Mais voila qu'est venu l'heure Où tu nous quitte pour toujours Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie Et maintenant te voila partie pour de bon Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons Ne l'oublie jamais à quel point je t'aime |
Déposé par ovanek le 24/01/2015❤ **** Sur ton chemin **** un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher ne laissant derrière elle que sont écumes ont c’était rien promis mais on savait ce comprendre J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ? On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs N'y va-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!! d'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien… maintenant tout est clair dans des moments sombres Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi Mes êtres cher… au cieux qui sont partis ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes. Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau ….ensemble tu verras on va devenir vieux… le temps usure tout sur son passage…. Mais je serais la-t-elle une montagne face aux quatre Vents Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ... alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui ai Toi pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris. Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la… Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien **** Mes Pensées… Phil **** ❤ |
Déposé par colombine67 le 24/01/2015J'ai fais une place pour Toi dans ma chambre Pour que tu veilles sur moi la nuit Que tu rayonne en mon coeur, mon âme Et qu'à Tes côtés je grandisse. J'ai fais une place pour Toi dans ma maison Dans toutes les pièces, même le sous-sol Pour que Tu inspires mes chansons Et qu'à Ta vue je me console. J'ai fais une place pour Toi dans ma vie Pour m'aider à porter ma croix Ainsi croire que le soleil luit Et renforcer tous les jours ma foi. J'ai fais une place pour Toi dans mon coeur Pour apprendre de Ton vécu Ne plus jamais connaître la peur Car tu m'as toujours secouru. |
Déposé par rafia le 23/01/2015Il est temps Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. J'écoute quelquefois le soir Des nouvelles à la télévision. On y voit haine et désespoir, Détruire notre monde sans raison. On nous annonce au fil des jours Que femmes et enfants sont agressés Et qu'aussi certains vautours, Vont jusqu’à tuer pour dominer On a beau se parler d'amour, De partager son amitié. Qu'aussitôt dans le détour, La rose sort ses épines acérées. Pourquoi sommes-nous si violents ? Pourquoi sommes-nous insouciants ? Pourquoi sommes-nous si impatients ? Pourquoi sommes-nous intolérants ? Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. Roger Kemp |
Déposé par rafia le 23/01/2015Sourions On se retrouve seul, on a peur quelquefois et l'on regarde autour de soi, guettant sur un visage un soupçon de tendresse. Mais personne ne s'intéresse à personne, et ainsi tout va de mal en pis. Parfois le malheureux reste sur le tapis, comme à la vie plus rien ne le rattache, il crève dans son coin, sans que nul ne le sache. Un sourire pourtant l'aurait tiré de là. Sourions mes amis, quittons ces airs trop las, faisons-nous l'amitié, si rare à notre époque, de sourire pour rien, d'être aimable avec n'importe qui, pour n'importe quoi. Gérard Sire |
Déposé par rafia le 23/01/2015Le manifeste de la gentillesse Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur. La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable. Seules les personnes qui pratiquent un mauvais esprit récurrent vs diront "qu'être gentil/gentille..c'est être..servile" Ces personnes se veulent..donneuses de leçons (oui !!! de mauvaises leçons !!!) et sont réfractaires à toute empathie sincère. La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain. POUR En finir avec le chacun pour soi Refuser le cynisme ambiant Déjouer l'agressivité quotidienne Dire non à l'indifférence Choisir d'être plus attentif aux autres Mettre de l'harmonie dans mes relations Etre altruiste et bienveillant JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR, AVEC DES MILLIERS D'AUTRES, UN MONDE PLUS HUMAIN |
Déposé par rafia le 23/01/2015Je m'efforcerai... En toute humilité je m'efforcerai D'être aimant, véridique, honnête et pur, De ne rien posséder dont je n'aie pas besoin, De mériter mon salaire par mon travail, D'être perpétuellement vigilant Sur ce que je bois et je mange, De toujours être intrépide, De respecter les autres religions autant que la mienne Et de chercher à toujours voir le bien chez mon prochain, De suivre fidèlement le svadeshi (*) Et d'être un frère pour tous mes frères. (*) devoir de service envers l'entourage immédiat Mahatma K. Gandhi, Lettres à l'Âshram |
Déposé par rafia le 23/01/2015Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne |
Déposé par mindy le 23/01/2015A toi qui as perdu un être qui t'était cher, Retiens les souvenirs qui t'ont tant fait frémir, Tu déplores ta tristesse, tu maudis l'éphémère, Tu rêves de sa main pour pouvoir la tenir, Il entame une autre ère comme on joue un prélude, Regarde autour de toi même si tu ne le vois pas, Offre-lui quelques mots malgré les habitudes, Ressens donc sa présence car son âme est vers toi, Les ailes lui ont poussé, il est devenu ange, Bien heureux et posé il guidera tes pas, Il veut te sentir bien, que surtout rien ne change, La mort des âmes n'est pas, écoute le tout bas, Il viendra te trouver sous forme déguisée, Et malgré son absence, il va te soutenir, Il te lance un message, celui de continuer, Sur le chemin de la vie il veut te voir sourire.. |
Déposé par choupinou le 23/01/2015Souvenir. En vain le jour succède au jour, Ils glissent sans laisser de trace ; Dans mon âme rien ne t'efface, Ô dernier songe de l'amour ! Je vois mes rapides années S'accumuler derrière moi, Comme le chêne autour de soi Voit tomber ses feuilles fanées. Mon front est blanchi par le temps ; Mon sang refroidi coule à peine, Semblable à cette onde qu'enchaîne Le souffle glacé des autans. Mais ta jeune et brillante image, Que le regret vient embellir, Dans mon sein ne saurait vieillir Comme l'âme, elle n'a point d'âge. Non, tu n'as pas quitté mes yeux ; Et quand mon regard solitaire Cessa de te voir sur la terre, Soudain je te vis dans les cieux. Là, tu m'apparais telle encore Que tu fus à ce dernier jour, Quand vers ton céleste séjour Tu t'envolas avec l'aurore. Ta pure et touchante beauté Dans les cieux même t'a suivie ; Tes yeux, où s'éteignait la vie, Rayonnent d'immortalité ! L'ombre de ce voile incertain Adoucit encor ton image, Comme l'aube qui se dégage Des derniers voiles du matin. Du soleil la céleste flamme Avec les jours revient et fuit ; Mais mon amour n'a pas de nuit, Et tu luis toujours sur mon âme. C'est toi que j'entends, que je vois, Dans le désert, dans le nuage ; L'onde réfléchit ton image ; Le zéphyr m'apporte ta voix. Tandis que la terre sommeille, Si j'entends le vent soupirer, Je crois t'entendre murmurer Des mots sacrés à mon oreille. Si j'admire ces feux épars Qui des nuits parsèment le voile, Je crois te voir dans chaque étoile Qui plaît le plus à mes regards. Et si le souffle du zéphyr M'enivre du parfum des fleurs. Dans ses plus suaves odeurs C'est ton souffle que je respire. C'est ta patte qui sèche mes pleurs, Quand je vais, triste et solitaire, Répandre en secret ma prière Près des autels consolateurs. Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ; Tes ailes reposent sur moi ; Tous mes songes viennent de toi, Doux comme le regard d'une ombre. Comme deux rayons de l'aurore, Comme deux soupirs confondus, Nos deux âmes ne forment plus Qu'une âme, et je soupire encore ! Alphonse de Lamartin |
Déposé par colombine67 le 23/01/2015 L'AMI FIDÈLE Quand l'homme est seul, sur son chemin Et dans la vie, dans ce monde, seul, Pris de vertige, son cœur a faim, Alors il aime son épagneul Son chien fidèle, son "bon", "vieux", chien. Quand l'homme est sourd, s'il n'entend plus La vie, les cœurs, dans ce monde sourd, S'il n'entend plus l'écho des rues, Alors il aime son chien balourd, Qui vient lécher ses chants déchus. Si l'homme aveugle sentait les yeux Du chien qui guide ses pauvres pas Il y verrait un cœur joyeux Et deux soleils... Même sans cela, Ce chien, il l'aime, puisqu'ils sont "deux". Si l'homme muet pouvait châtier Sa déchirure et ses malheurs, Il chanterait son amitié A son chien vrai, son seul bonheur, Son grand ami plein de pitié. .... L'homme trop déchu, n'a pas crié ! ... Son chien, racé ou bien bâtard, Lèche son cœur, fruit oublié, Et ces caresses effacent le noir Qui tache l'âme de sa vie broyée. Par les lumières de ces yeux, bons, Levés vers lui, pleins d'amitié, Soumis, fidèles, l'homme vit les sons, La vie, la vue, pleins de pitié, De son " seul", mais... chaud compagnon. |
Déposé par mindy le 22/01/2015La nuit n’est jamais complète Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, Faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. (La nuit n’est jamais complète - Paul Eluard) |
Déposé par goulou50 le 22/01/2015Mon Ange, Aujourd'hui j'aimerais tant que tu sois encore avec moi, je sais que tu es parmi les étoiles et que de là-haut tu brille pour nous protéger, que tu es près de nous à chaque instant, que tu me donnes la force de surmonter ton absence. a chaque jour qui passe... ton absence se fait sentir très fort, quand j'ai le coeur lourd de tristesse, quand mes larmes coulent, je peux sentir tes baisers de papillon qui par tes Ailes d'Ange, tu viens me les sécher. avec ta douceur qui est la tienne... je sais que tu seras toujours là jusqu'au jour ou l'on se retrouveras... Je t'aime mon petit ange |
Déposé par colombine67 le 22/01/2015oi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches, Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ? Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches, Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas. J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés, J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés. Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée, Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer. Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave, Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler, J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave, Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler. Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs, Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal, Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes, J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal. Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants, Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour, C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant, J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour |
Déposé par colombine67 le 21/01/2015Donner c’est la plus belle des choses, donner ce qu’on a de meilleur en soi, donner son rire, sa joie de vivre, sa gaieté, son dynamisme, sa gentillesse, sa tendresse, sa douceur, son écoute, sa compréhension. On a tant de belles couleurs en soi qu’on peut offrir à l’autre, il suffit de tendre la main, de sourire, de dire un mot qui s’envole gracieusement vers l’autre et dépose sur son cœur un arc en ciel, une fleur, une petite lumière, un soleil, une étoile… Recevoir…. Quelle chose délicieuse ! Notre cœur se met à chanter, à danser et on est heureux. La vie devient belle et on se met à danser ! Donner et recevoir sont des mots inséparables, de vrais amis qui ne marchent pas l’un sans l’autre. Il faut le savoir et ne pas l’oublier…. |
Déposé par mindy le 20/01/2015Je marchais à l’épicerie, pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture. Je n’avais pas faim. La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive. Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs. Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois, il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose. Je savais ce qu’il planifiait. Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée, avec trois roses jaunes dans sa main. Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes. Subitement, le cœur rempli de chagrin, je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir. Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant. Magasiner, pour un, prenait du temps… Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux! Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait et me suis souvenue à quel point il aimait son steak. Soudainement, une femme approcha tout près de moi. Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte. Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains, un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier, hésita, et le remit dans le comptoir. Elle se tourna pour partir, mais décida de reprendre le paquet de steaks. Elle s’aperçut alors que je la regardais, et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones, mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine! Ravalant l’émotion, je rejoignis ses yeux bleus et lui dit: mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours. Achetez-lui les steaks! Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble! Elle secoua la tête. Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet, le déposa dans son panier, et partit. Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers. J’étais là me demandant quel format me procurer. Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée. S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée. Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses. J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi. Dans ses bras, elle portait un paquet. Son visage affichait un sourire magnifique. J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds. Alors qu’elle s’approchait de moi, j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains, et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau. Ceci est pour vous, me dit-elle, en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras. Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées. Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau. J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire, ce que les roses représentaient. Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner, les larmes brouillant ma vision… J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert les trouvant presque irréelles! Comment pouvait-elle savoir? Soudainement, la réponse m’apparut clairement. Je n’étais pas seule. Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux! Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange. (source internet canadienne : « chez maya ») |
Déposé par choupinou le 20/01/2015Je suis sortie ce soir, seule, sous l'ombre troublée, à travers la pluie du miroir, aux larmes de mes pensées. Pour attraper un peu de toi, je n'avais plus qu'à me cacher, sous ce parapluie noir d'émoi et laisser les gouttes m'inonder. C'était pas il y à demain... C'était pas, il y des mois... Le temps est une traine de toi, qui oublie la pluie sans fin. Il transporte les rivières. Transforme les torrents d'hier. Déverse ses larmes aux abois, qui dégoulinent à soif de toi. Sur l'horizon blême, au ciel sans but même. Cachée sous l'ombrelle, j'écoute la pluie ruisselle. C'était pas il y a des heures... C'était pas il a des siècles... Le temps de toi qui passe, me traine tant qu'il me glace. Sur mes joues de chagrin, il pleut de toi sans fin. J'entends pleurer la pluie, en silence dans la nuit. Je n'avais plus qu'à me fondre, sous cette ondée de tristesse. Me décomposer et me confondre, en pluie de larmes caresse. Myriam Ghibaudo douces pensées |
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