En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012


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PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012

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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
 


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En hommage à PUNKY du Moulin de Labatut

Mon tendre chéri,

Il n'y aura pas eu le miracle tant espéré, tu viens de ns quitter ns laissant, Papa, les enfants, et moi, totalement anéantis par la douleur.
Ns sommes aussi inquiets pr ton copain de tjrs, le petit Rock, car il réagit très mal à ton départ.
Toi, qui n'était qu'Amour il a fallu que cette tumeur de l'aine énorme et hélas, cancéreuse, t'emporte. Sa progression a été fulgurante. Combien j'ai redouté son ablation en raison de ton âge...mais il était impossible de la laisser encore se développer, tu n'aurais pu plus marcher.(* plus tard, ns apprendrons qu'il ne fallait surtout pas faire l'ablation de cette tumeur !!!)


Le 5 juin, jour fatidique de l'opération..j'ai angoissé jusqu'à ton retour à la maison. Mais tu semblais avoir bien supporté l'opération et le Dr Jean Sacal avait dit à papa que ton comportement avait été exemplaire.
Le 11 juin, papa doit te ramener, en urgence, chez Jean car tu sembles souffrir, tu pleures.

Je ne suis pas présente, retenue, loin, à cause de ma santé.....plus tard papa me dira que ce jour là, le Dr Sacal, te fera le cocktail-miracle qu'il injectait à Rafia...ladite médication lui ayant permis de vivre 21 mois, avec un diabète très grave, résistant à l'Insuline.( * et là aussi...ns apprendrons, plus tard..que tout ce qui devait être mis en place pr la petite Rafia...ne l'avait pas été...par ignorance des vétos...Sacal et Maupommé.

Mais pr toi...c'est l'échec total et la consternation de Jean Sacal qui dira à papa "qu'il ne peut plus rien faire"...
Le 12, au matin, tu demanderas à manger à papa...Tu mangeras 1 steack hâché plus des haricots verts, car tu refuses tes croquettes; Le soir, tu remangeras un autre steack, tjrs hâché.

Le 13...tu n'as pas d'appétit...1/2 steack hâché pr la journée et tu vomis bcp à 23 h.
Le 14...ce n'est pas mieux : 1/2 steack hâché (soit 50g) et...20 g d'haricots verts..le tout pr la journée. Papa me dira qu'au jardin...tu as "coursé", le long de la clôture, comme à ton habitude, camions et tracteurs.

Le 15 papa te ramène chez le Sacal, qui lui dit, :que "tu es condamné".
Tu refuses toute nourriture même tes friandises que tu adores...
Papa réussit à te faire manger..3 bouchées de steack hâché que tu vomis.

tu voudrais bien manger, tu en as l'envie, mais tu ne le peux pas;..des ulcères ds la bouche ???

Le 16, papa a l'idée,approuvée par Sacal de te donner, à l'aide d'une seringue un petit pot "bébé" de pois/jambon...tu en mangeras 150g/pr la journée.

Le 17...tu mangeras 100 g de fromage blanc à 20 %...que tu adores...et que tu avais découvert avec Rafia qui en consommait 3 pots/jou !. Mais toi, c'est tjrs à la seringue. tu accepteras aussi, en plusieurs fois, de manger 150 g de petit pot "bébé".

C'est la fête des Pères, ns sommes ts réunis et toi, tu sembles content d'être avec ns....même si je te trouve faible. Mais ce jour-là, tu remues à nouveau ta queue et je prends cela pr une bonne nouvelle.

Mais le soir venu...rien ne va plus...vomissements itératifs + diarrhée.
Et là, mon Punky dit "Titi", il faut que je loue ta propreté exceptionnelle, tu demanderas tjrs à sortir. La nuit, tu veux aussi sortir et c'est moi qui m'occupe de toi; Je te prends ds mes bras, pr remonter les marches de la terrasse...

18 juin...c'est la catastrophe...tu vomis même le peu d'eau que tu bois..car Sacal dit : qu'il faut te restreindre en eau..que tu voudrais boire en grosse quantité à cause du taux d'urée si important.

La nuit du 18 au 19...ns la passons ensemble, isolés ds une autre chambre pr ne pas empêcher papa de dormir... Paramour s'invitera et demeurera avec ns jusqu'à 4 h....et Rock, qui est aussi là...lui, il restera jusqu'à 7 h, au lever de papa..
A partir de minuit, je te donne à boire, par très petites quantités et je "crie" à la victoire...car tu ne vomis plus...

Toute cette nuit, tu la passeras à naviguer; A plusieurs reprises, je te prends, avec moi, sur un canapé..je te caresse, je te dis combien je t'aime..et je retiens mes larmes...mais toi, tu refuses de rester et tu demandes très vite, à redescendre, alors je t'aide.

Tu sembles agité...je vois bien que tes pattes ont de la peine à te porter mais toi, tu restes debout, tu marches encore et encore...ce qui m'angoisse car cette attitude me rappelle avec frayeur...le départ de la petite Rafia.
A 10 heures...tes pattes se dérobent...tu tombes à terre.....mais tu pars, tout de même, en laisse, avec papa


Papa, qui t'amène, comme convenu... pr le retrait des points de suture...

Sacal tente de te faire un nouveau protocole qu'il t'injecte pr faire chuter l'urée...et tu reviens à la maison. (* ns ne saurons jamais la "recette" de ses cocktails..magiques"...OU maudits !!!)

Tu voudrais bien boire...tu ne le peux pas. Tu n'arrives même plus à tenir ta belle petite tête......Tu ne peux tjrs pas tenir sur tes pattes alors papa te met sur notre lit. Il est 11 heures...Je ne te quitterai plus...je te couvre de bisous..je te caresse...je te dis combien ns t'aimons, combien tu ns es précieux...combien ns te remercions de tout l'amour que tu ns a donné durant 12 ans et 6 mois...mais tu ne m'entends plus, tu es ds un état semi-comateux...Tes beaux yeux sont fixes...de temps en temps tes pattes s'agitent nerveusement...et tu respires vite.
Toi..qui étais tout en muscles...on aurait dit que tes muscles avaient fondu.
Sacal ( boucher plus que véto!) a prévenu, qu'au stade final, tu aurais des convulsions assorties de souffrances...alors, il est 15 h 30, ns prenons la décision qui s'impose, ...un dernier acte d'Amour...pr toi notre Punky adoré...celui de te faire aider à partir...et la tragique échéance intervient à 16 h...
Mon Punky ..notre Punky adoré...comme tu ns manques !!!

--------------------------

Mon Titi d'Amour

Je me dois, mais surtout je TE DOIS d'apporter les rectifications qui s'imposent. Lorsque confrontés à l'état alarmant de Rock, qui ne se nourrissait plus, qui avait cette "grosseur" impressionnante, au bas du dos..ns avons décidé de demander un autre avis ( et merci au véto de garde de Cavignac, qui sans que cela soit volontaire...ns a fait opter pr ce choix.

En effet, c'est son comportement qui ns a bcp surpris : il était de garde..mais n'étant pas au Cabinet...cela le dérangeait d'y venir et ensuite, papa a pu se rendre compte...combien vs le dérangiez, avec cette urgence, pourtant justifiée).
Puisqu'il a eu l'audace de refuser l'urgence...

Il fallait donc voir un autre véto....qui lui, daigne s'occuper de RocK.

Pr Rock...nouveau diagnostic, et une prise en charge remarquable du vétérinaire que ns avons choisi pr continuer de suivre Rock et Paramour.
Et une amélioration spectaculaire, en peu de temps de l'état de Rock..à qui, il a sauvé la vie.

A la suite de cette visite et de celles qui suivront, ns apprendrons, consternés, que ns avions voué une confiance AVEUGLE, à deux vétos, qui ne méritaient pas cette confiance....dont l'un se prétendait...être notre ami !!!
Mon Titi d'Amour, l'un et l'autre savaient pertinemment que l'on opère pas ce type de cancer chez un sujet de ton âge. Et surtout, on occulté l'ablation qu'il y avait à faire...-et qui n'a pas été faite, ce qui a généré ce maudit cancer- ...devait l'être avant tes 4 ans/...et là...tu en avais déjà 12 et demi !!!
Et puis...pas d'anesthésie au gaz...pourquoi ???

Tu ne souffrais pas, alors pourquoi cette décision infâme de vouloir t'opérer ???Pr ce qu'elle rapportait, financièrement !
Jean Sacal a sacrifié ta VIE...pr un profit financier , non négligeable !!!

Il aurait suffi de te laisser vivre, en PAIX, le temps qu'il te restait, avant que n'interviennent les souffrances...cela aurait pu encore durer des mois...

Puis, le moment venu...ns aurions pris la décision qui se serait imposée....mais ton départ n'aurait pas été aussi tragique !!!

Ns n'avons jamais su...quels produits contenaient les "cocktails magiques"...OU maudits" qui t'ont été injectés...les mêmes que la petite Rafia.

C'est comme toutes les injections qui étaient pratiquées....avec de la Cortisone pr petit Rock aussi....alors que la Cortisone avaient des effets secondaires néfastes sur son petit coeur. Cette Cortisone employée pr TOUT soigner...ou plutôt pr TOUT empirer.

Pr les dermatoses de Rock...ns en étions arrivés à le faire désensibiliser....tous les 15 jours, pr rien. C'est dramatique l'inconséquence de certains vétos !!!
Ils n'ont pas choisi la bonne voie professionnelle...ils auraient du être...bouchers!!!

Pourtant la pharmacopée vétérinaire ne contient pas que de la Cortisone...mais il faut se donner la peine de suivre l'évolution des produits...mais aussi de pratiquer les analyses nécessaires..;d'utiliser tout le matériel adéquat...Echographie...IRM..Doppler..etc.

Mais...lorsque l'on ne possède pas ce matériel d'investigation...et bien question "profit";..l'on rechigne à solliciter les confrères....ns l'avons appris, HELAS, trop tard pr toi...trop tard, pr la petite Rafia.

Mais ns....parfaits crétins...ns continuions à faire confiance...à "gober", le peu qui ns était expliqué. Pr ns...ces vétos étaient géniaux..avec un comportement des plus amicaux.

Et puis..j'ai aussi appris, incrédule......que Sacal avait eu un geste déplacé, lorsqu'une fois que tu gisais ...mort, sur sa table...il allait te saisir par le cou...pr te jeter ds un sac plastique....comme l'on jette une vulgaire poche à ordures !!!
C'est le regard désapprobateur de l'assistante, conjugué à celui de papa..tout aussi sidéré...qu'il s'est enfin repris...mais pr papa c'était trop tard...car cela laissait deviner la réelle personnalité de ce vétérinaire.

Voilà mon Titi chéri, il ne ns reste que les regrets, regrets éternels qui ns rongent; Pourtant ns avons tjrs TOUT fait, pr vs TOUS, nos petits trésors et peu importe les factures vétérinaires à payer. Ns n'avions qu'une seule demande...."faire tout ce qui était possible...afin de vs préserver la vie".

Et j'oubliais...il fallait être..crétin, pr nier que ce soit un cancer...n'est-ce pas Jean Sacal??? (que le diable l'emporte)!!! Alors que Stéphanie, une des assistantes....avait "vendu la mèche", involontairement......comme l'on dit, familièrement.

Tu ns manques tant mon Titi d'Amour !!!




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Déposé par rafia
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~Cana & Nina: Mam viana..avait promis d'être fidèle à son amie
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Les petits amis chantent pr que cesse la suprématie débile de personnes utilisant ce site..;comme un ring
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Pour Paramour avec tendresse
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Câlins tout doux beau Titi
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Un bouquet de tendresse pour accompagner ton repos .Tu peux reposer en paix mon tout beau, tu ne seras jamais oublié.Amitié.
Déposé par nikita
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pour mon petit punky ,prince du paradis mille caresses de ta copine nina,amitié à ta douce maman
Déposé par lili2248
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cette belle fleur ce de la part de princesse et lisa et moi
Déposé par lili2248
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Paix et tendresse à toi, magnifique petit ange rafia
Déposé par lili2248
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repose en paix petite coeur rock
Déposé par lili2248
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repose en paix au paradis des chien niagara
Déposé par lili2248
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tendres pensées et doux repos punky
Déposé par lili2248
Déposé par lili2248
petit coeur cette joli fleur ce de la part de gipsy
Déposé par mindy
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Cette année sans toi a bien dû être longue à ta maman, beau Punky
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Pour toi petit ange tant aimé plein de doux bisous
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Une grosse brassée de fleurs pour toi
Déposé par chloute59
Déposé par chloute59
Je ne me fait pas manipuler,j'ai seulement écouter mon coeur,mille bisous pour toi petit coeur ...


5691 messages

Déposé par mindy le 04/02/2015  
Tu peux pleurer son départ
Ou tu peux sourire parce qu’elle a vécu
Tu peux fermer les yeux et prier pour qu’elle revienne
Ou ouvrir les yeux et voir qu’elle est partie
Ton cœur peut être vide de ne plus la voir
Ou il peut être rempli de l’amour qu’elle a partagé
Tu peux tourner le dos à demain et vivre le passé
Ou tu peux être heureux pour demain à cause du passé
Tu peux te souvenir d’elle et seulement qu’elle n’est plus
Ou tu peux chérir sa mémoire et la laisser vivre
Tu peux pleurer et te renfermer, être vide et tourner le dos
Ou tu peux faire ce qu’elle aurait voulu, sourire, ouvrir les yeux, aimer et aller de l’avant.

Déposé par ovanek le 04/02/2015  

*****
***** Il n'y a qu'un voile *****
Qu'un voile qui nous sépare
Il y a un souffle qui nous unis, celui des âmes
Si doux, si fin, si persistant
"Je suis là, au-delà du savoir, du visible, de l'audible" dit la voix
"Il n'y a que ce voile qui nous sépare et tu me sens parfois"
Une odeur, un geste, une musique, un endroit
Et je suis là, auprès de toi
Tu m'entends rire, discourir de ce qui était
Désormais, c'est un trésor au fond de toi
Il n'y qu'un voile si fin pourtant si infranchissable
Impénétrable car nul ne sait ce qui est au-delà
Nul ne doit savoir
On n'en revient pas
C'est l'éblouissant interdit
Mais pour les cœurs la frontière n'existe pas
L'amour brûle ce voile si tenu et retrouve le feu de l'éternel
L'amour ne craint l'éblouissement mais s'en nourrit constamment
***** pensée *****
*****

Déposé par colombine67 le 04/02/2015  
Quand le temps viendra...
Si arrive le moment où je deviens frêle et faible
Et que la douleur m'empêche de dormir
Alors fais ce qui doit être fait
La dernière bataille ne peut être gagnée.
Tu sera triste, je comprends
Mais ne laisse pas le chagrin t'arrêter.
Pour ce jour, plus que tous les autres
Ton amour et ton amitié doivent supporter l'épreuve.
Nous avons eu tellement de belles années
Tu ne voudrais pas me voir souffrir davantage.
Quand le temps viendra, s'il te plait laisse-moi partir.
Emmène-moi où quelqu'un prendra soin de moi
Et reste avec moi jusqu'à la fin.
Tiens-moi très fort et parle-moi
Jusqu'à ce que mes yeux ne voient plus.
Je sais qu'avec le temps tu seras d'accord
Que c'est une bonté qu tu m'as fait.
Bien que ma queue ait branlé pour la dernière fois
Tu m'as sauvé de la misère et de la souffrance
N'aie pas de peine
Que ce soit toi qui a dû prendre cette décision
Nous étions très proches pendant toutes ces années
Ne te laisse surtout pas envahir par le chagrin.
...ton copain à 4 pattes, qui te remercie de lui avoir offert une si belle vie !

Déposé par mindy le 03/02/2015  
Il n’y a pas de mort,
il n’y a que des métamorphoses.
Tu ne nous a pas quittés
Mais tu t’en es allé au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.
Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…
Par Père André Marie

Déposé par colombine67 le 03/02/2015  
NE PLEURE PAS
Ne pleure pas, si tu m'aimes !
Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel,
Si tu pouvais d'ici entendre le chant des anges,
et me voir au milieu d'eux.
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche !
Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté
devant laquelle toutes les beautés pâlissent !
Quoi... ? Tu m'as vu... tu m'as aimé dans le pays des ombres
et tu ne pourrais ni me voir ni m'aimer encore
dans le pays des immuables réalités ?
Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient,
et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé,
ton âme viendra dans ce ciel où l'a précédée la mienne...
ce jour-là, tu reverras Celui qui t’aimait et qui t’aime encore,
tu retrouveras son Cœur,
tu en retrouveras les tendresses épurées.
A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse,
infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie,
je sois devenu moins aimant !
Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur,
non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant avec toi,
dans les sentiers nouveaux de la lumière et de la Vie !
Alors... essuie tes larmes, et ne pleure plus... si tu m'aimes...
Saint Augustin

Déposé par choupinou le 02/02/2015  
une petite étoile luit dans la nuit
une petite étoile brille et me souris
une petite étoile qui me tend toujours la patte
une petite étoile qui m'aide à construire mon chemin
une petite étoile qui me rassure quand j'ai peur
une petite étoile qui me console quand je pleure
une petite étoile qui m'écoute quand je suis seule
une petite étoile en moi qui demeure
cette petite étoile ne s'éteindra jamais
cette petite étoile brillera toujours pour l'éternité
cette petite étoile c'est toi,mon doux,mon aimée
cette petite étoile qui resplendit dans mes moment sombre
cette petite étoile qui s'acharne pour que je sorte de l'ombre...
votre amie babeth ,maman de caroline toiletteuse

Déposé par ovanek le 02/02/2015  

*****
Ma journée a été maussade
Mon soleil a viré à la pluie.
Mon étoile c'était perdue dans le brouillard
Le monde entier sait mit à hurlé ....
Mais il a suffi d'une pensée de toi
et je vois la vie de mille lumières
*** Je t'aime .....Phil ***


Déposé par colombine67 le 02/02/2015  
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
J'ai tout appris de toi sur les choses humaines
Et j'ai vu désormais le monde à ta façon
J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines
Comme au passant qui chante on reprend sa chanson
J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne
Qu'il fait jour à midi, qu'un ciel peut être bleu
Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne
Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux
Tu m'as pris par la main comme un amant heureux.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N'est-ce pas un sanglot que la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Etpourtant je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve, ailleurs que dans les nues.
Terre, terre, voici ses rades inconnues.
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
Louis Aragon

Déposé par colombine67 le 01/02/2015  
Dès lors qu'un chien s'en est allé, des lambeaux de notre peau s'en vont aussi et des poils restent agrippés à notre chandail.
On pourra lire, du matin au soir, l'empreinte laissée par sa tête et son museau au creux de notre main, l'aboiement et les mouvements frénétiques de son fouet retentiront dans le vide de notre retour, incroyablement silencieux, sans le cliquetis de ses ongles sur le sol ni les hululements de joie.
Et tout nous reviendra en mémoire, les vertes prairies des parcs, les empreintes sur la neige, les patounes qui, sous l'eau, nagent à nos côtés. Les bâtons lancés, le sable dans les oreilles et sur la truffe, les coquillages sur les coussins du divan.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, la gamelle reste là et la laisse est accrochée, inerte.
On se regarde les pieds dans la cuisine, et il n'y a plus de couinements d'une queue, heurtée par mégarde.
On se sent volé, perdu et muet. Voilà pourquoi on parle à tort et à travers de ce qui n'a pas d'importance, pourvu qu'on nous enlève le poids de l'absence de ce corps chaud et poilu, étendu et endormi sur nos jambes ou sur nos chaussures pendant que nous regardions le téléjournal.
Dès lors qu'un chien s'en est allé, nous pleurons à chaudes larmes, sans retenue ni contrôle, sans l'ambivalence que nous éprouvons à la mort d'un humain, sans conflits et litiges, tourments et passion d'une vie entière.
Au contraire, avec lui, nous connaissons la pureté d'un amour, et lorsque le chien s'en va, cet amour reste en nous. Il nous l'a offert sans hésitation, nous en a fait cadeau sans défection dans son regard infini, doucement velouté, constamment vigilant, qui n'a jamais fléchi quand il croisait le nôtre.
Dès lors qu'un chien s'en va, c'est réellement un part de notre vie qui s'en va avec lui.

Déposé par mindy le 31/01/2015  
Le bonheur, c’est notre vie à traverser
Sans jamais, jamais regretter le passé
Il arrive ce jour, ou encore ce temps
Ou l’on se voit obligé de faire un bilan
Ou nous arrêter, devient une nécessité
Ou, l’on vit des choses qui vont nous changer
Notre vie, ne sera plus pareille à celle d’hier
On rencontre tous un jour ce point de repère
Ou le avant et le après ne se ressembleront plus
Ou l’on voudra oublier tout c’qu’on a vécu
Et pourtant, que l’on soit ou non, croyant
Quelque chose nous poussera à aller de l’avant
On aura beau être fatigué, même découragé
Quelque chose nous poussera à continuer
Notre perception des choses changera totalement
La vie, nous semblera plus belle qu’avant
Au fond, c’est qu’on le voulait tellement
Qu’il ne peut pas, en être autrement
Tant mieux, qu’on ait cette tendance à oublier
Sur une médaille, il y a toujours deux cotés
Et si dans la vie on a choisi le mieux
C’était, qu’on voulait encore être heureux
Toutes ces leçons nous ont grandi, on a appris
Il en reste, que c’était le but de notre vie
On vit tous un jour, de la peur dans notre vie
Mais enfin, c’est notre histoire qui se construit
Texte Claude Marcel Breault

Déposé par colombine67 le 31/01/2015  
Un pont géant
J’avais devant les yeux les ténèbres.
L’abîme qui n’a pas de rivage et qui n’a pas de cime,
était là, morne, immense ; et rien n’y remuait.
Au fond, à travers l’ombre, impénétrable voile, je m’écriais :
« Mon âme, ô mon âme ! il faudrait, pour traverser ce gouffre,
où nul bord n’apparaît, et pour qu’en cette nuit jusqu’à ton Dieu tu marches,
bâtir un pont géant sur des millions d’arches.
Qui le pourra jamais ? Personne ! ô deuil ! effroi ! pleure ! »
Un fantôme blanc se dressa devant moi
et ce fantôme avait la forme d’une larme ;
c’était un front de vierge avec des mains d’enfants :
il ressemblait au lys que la blancheur défend :
ses mains en se joignant faisaient de la lumière.
Il me montra l’abîme où va toute poussière ,
si profond que jamais un écho n’y répond ;
et me dit : « si tu veux je bâtirai le pont ».
Vers ce pâle inconnu je levais ma paupière.
Quel est ton nom ? lui dis-je . Il le dit : « la prière ».
(Victor Hugo)

Déposé par colombine67 le 30/01/2015  
Même s'il me faut lâcher ta main
Sans pouvoir te dire "à demain"
Rien ne défera jamais nos liens.
Même s'il me faut aller plus loin
Couper les ponts, changer de train,
L'amour est plus fort que le chagrin.
L'amour qui fait battre nos cœurs
Va sublimer cette douleur,
Transformer le plomb en or !
Tu as tant de belles choses à vivre encore.
Tu verras au bout du tunnel
Se dessiner un arc-en-ciel
Et refleurir les lilas.
Tu as tant de belles choses devant toi.
Même si je veille d'une autre rive,
Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive,
Je serai avec toi comme autrefois.
Même si tu pars à la dérive,
L'état de grâce, les forces vives
Reviendront plus vite que tu ne crois.
Dans l'espace qui lie le ciel et la terre
Se cache le plus grand des mystères
Comme la brume voilant l'aurore.
Il y a tant de belles choses que tu ignores :
La foi qui abat les montagnes,
La source blanche dans ton âme,
Penses-y quand tu t'endors :
L'amour est plus fort que la mort.
Dans le temps qui lie ciel et terre
Se cache le plus beau des mystères.
Penses-y quand tu t'endors :
L'amour est plus fort que la mort.
(Françoise Hardy)

Déposé par spanky le 29/01/2015  
Lettre de nos anges.
Quand demain commencera sans moi,
que je ne serai pas là pour te voir.
Quand le soleil se lévera,
séche tes larmes.
J'aimerais tant que tu gardes
nos souvenirs joyeux.
Je sais combien tu m'aimes,
chaque fois que tu penses à moi,
je brille dans ton coeur.
Tu sais combien je t'aime,
tu brilleras toujours dans le mien
et je ne serai jamais bien loin.

Déposé par colombine67 le 29/01/2015  
Autrefois, enivré de ses membres robustes,
Il sautait dans la haie et griffait les arbustes,
Et ses bonds chaleureux nous fêtaient : aujourd'hui,
Son âme humble est déjà recouverte de nuit.
Il somnole ; le feu lui souffle sa fumée.
Mais quand nous approchons sa prunelle embrumée
S'ouvre, il lève vers nous la tête avec effort,
Et cherche dans nos yeux si nous l'aimons encore.
Abel Bonnard

Déposé par poutounou le 28/01/2015  
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
*
Paul Eluard

Déposé par mindy le 28/01/2015  
COMMENT EST-CE POSSIBLE ?
Par Jim Willis 2001 (Source « chez Maya »)
Quand j'étais un chiot, je t'ai amusé avec mes cabrioles et t'ai fait rire.
Tu m'as appelé ton enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu ton meilleur ami.
Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais
" Comment est-ce possible ? ", mais après on s'amusait ensemble.
Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que tu étais terriblement occupé,
mais nous y avons travaillé ensemble.
Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture,
arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens, " comme tu disais),
et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.
Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et à te concentrer sur ta carrière,
et plus de temps à chercher un compagnon humain.
Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirements de cour et déceptions,
je ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer.
Et puis tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une "personne chien ", mais je l'ai accueillie dans notre maison,
essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux.
Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.
J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser,
et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce ou dans une niche.
Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour ".
Comme ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.
Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes,
ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.
J'aimais tout d'eux et leurs caresses - parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes
et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.
J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien, tu leur montrais une photo de moi dans ton portefeuille
et tu leur racontais des histoires à mon propos.
Ces dernières années tu répondais juste " oui " et changeais de sujet.
Je suis passé du statut de " ton chien" à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville,
et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.
Tu as fait le bon choix pour ta " famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille.
J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.
Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir.
Tu as rempli la paperasserie et as dit : " Je sais que vous trouverez une bonne maison pour elle."
Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.
Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers."
Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il a crié
"Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !"
Et je me suis inquiété pour lui.
Quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité,
et au sujet du respect pour toute vie ?
Tu m'as donné un " au revoir caresse" sur la tête, as évité mes yeux, et as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois
et que vous n'aviez rien fait pour me trouver une autre bonne maison.
Elles ont secoué la tête et ont dit : " Comment est-ce possible ?".
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés le leur permettent.
Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.
Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve...
ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.
Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention,
je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et j'ai trottiné le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.
Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m'inquiéter.
Mon cœur battait d'appréhension à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.
Le "prisonnier de l'amour" avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plutôt inquiété pour elle.
Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connaissais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.
J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.
Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti la piqûre et le liquide se répandre à travers mon corps,
je me suis assoupie, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré : " Comment as-tu pu ?".
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée."
Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'allais à une meilleure place
où je ne serais pas ignorée ou abusée ou abandonnée, où j'aurais à pourvoir moi-même à mes besoins,
une place remplie d'amour et de lumière très différent de cet endroit.
Et avec mes dernières forces, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue
que mon " Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle.
C'était à toi, Mon Maître Bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.
Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.

Déposé par ovanek le 28/01/2015  

***** Parlé de Toi *****
Tu sais que j'ai du mal Encore à parler de toi car tu reste présent
je pense que c'est normal y'a pas de bon ou de mauvais moment.
La vie apporte l’Hier … le Jour … et le Demain
Tu sais j'ai la voix qui ce noue et les yeux qui ce flou d’un voile humide
Quand je te croise dans les photos de mon esprit
souvent j'ai le cœur qui se perd …Je crois qu'il te pense un peu trop
C'est comme ça J'aurais aimé tenir serré contre moi un peu plus longtemps
j’aurais aimé que mon chagrin ne dure qu'un instant
la faute à qui ? La faute à quoi ? La faute à Toi …la faute à Moi
certainement la faute à la Vie celle qui nous attendris. Nous meurtris. Nous endurcis
je sais que tu m'entends c'est dur de briser le silence
alors nos pensée sont la pour nous faire parlé de notre côté sombre
enfouit en nous. Ecrire nos bonheurs et nos colères
Même dans les cris même dans la joie c'est dur de combattre l'absence
Mais personne ne peut comprendre On a chacun sa propre histoire. Son fardeau
la Vie dit qu'il faut attendre que la peine devienne comme un espoir
Je peux te dire que je suis fier de notre rencontre
de notre vie ensemble que de chemin parcouru
Même si la vie A ses détours elle reste fidèle à elle-même
j’étais ton compagnon de route je reste ton compagnon de cœur
** Fidèle à Jamais … Mes Pensées Phil **


Déposé par colombine67 le 28/01/2015  
Salauds au coeur tendre
Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur.
Alors, je vous l’amène.
Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge,
c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages.
Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon ****** le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.
Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.
Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.”
On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines... Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés.
Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.
Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-m****s, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !
PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage.
S'il vous plaît, ayez du coeur !

Déposé par mindy le 27/01/2015  
Ceux qui nous quittent nous font mal, le mystère de la mort est bien là... mais si on pense à eux avec beaucoup d'amour, ils restent vivants, en tout cas dans notre cœur

Déposé par choupinou le 27/01/2015  
PUNKY
j'ai beau courir,courir et courir
jamais je ne te rejoindrai...
mais je sais que je peux
suivre le chemin de l'envolé
pour y ramasser tes plumes,
les belles plumes de tes aile mon ange.
Tu sais un jour viendra ,un jour magnifique,
ou moi aussi,je prendrai mon envol,
je partirai pour te rejoindre pour aller vers toi
vers toi a tout jamais et nous seront toujours ensemble
pour l'éternité ,l'amour éternel : TOI ET MOI,




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Highslide JS
Notre Punky d'Amour dit
mais aussi surnommé "the boss"
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