8 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
GOLDEN-RETRIEVERSIMBA
Il est né le:30/08/2007
Il nous a quittés le:08/05/2022
66 bougies
|
2916 Fleurs
154 messages
Déposé par spanky le 01/01/2023Aujourd'hui, une nouvelle année sans toi commence. si tu savais combien tu me manques, Ma vie n'a plus de sens depuis que tu es parti. J'aimerais tant pouvoir te revoir et de faire pleins de bisous. Cette nuit, tu es venu dans mes rêves et mes yeux ont plongé dans les tiens Et dans tes si beaux yeux, mon regard s’est perdu. J’y ai vu de l’AMOUR, tant d’AMOUR. De la patience, tant de patience. De la prévenance, tant de prévenance. De la fidélité, tant de fidélité. De la joie, tant de joie. J’y ai vu de vertes prairies et de belles forêts. J’y ai entendu des cris de joie et de joyeux aboiements J’y ai vu ton âme, qu’elle belle âme. Tes beaux yeux se sont fermés, j’ai perdu toutes ces belles choses Et mes yeux se sont remplis de larmes. Des larmes d’AMOUR pour toi. |
Déposé par colombine67 le 31/12/2022Bienheureux ami qui lit ce message On ne peut faire meilleure initiative que de te souhaiter Nombreux bonheurs Nouvelles amitiés Excellente Santé Amour & réussite Nombreux fous rire Nouveaux projets à réaliser Exaucer tes rêves Excellente Année 2023 ! |
Déposé par colombine67 le 26/12/2022De temps en temps les gens me disent « voyons, c’est juste un chien » ou « tu en dépenses de l’argent juste pour un chien »… distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour « juste un chien ». Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de « juste un chien ». J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, « juste un chien » et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de « juste un chien » et, dans ces jours sombres, le doux contact de « juste un chien » m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée. Si vous aussi pensez que c’est « juste un chien », alors vous comprendrez probablement des phrases comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ». « Juste un chien » apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée. « Juste un chien » fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. A cause de «juste un chien » je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas « juste un chien » mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment. « Juste un chien » fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée. J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas « juste un chien » mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que… « juste un homme ou une femme ». Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase « juste un chien »… souriez, parce que c’est « juste qu’ils n’ont pas compris ». |
Déposé par spanky le 25/12/2022Cette nuit, j'ai fait ce songe merveilleux. J'avançais parmi les lutins heureux. Ils sautillaient, dansaient, chantaient; De belles rondes, ils formaient. Un instant, confuse de les déranger, Je me suis, près d'un arbre, cachée. Leur mélopée doucement, me berçait. Mes pensées légères s'envolaient. Par-delà la forêt bruissante, joyeuse Je découvris l'étendue lumineuse. Au ciel profond, aux nébuleuses. Je me fondis, enfin heureuse. A tir d'ailes imaginaires, Je revins me poser à terre. Étourdie de mon rêve spatial, D'avoir tutoyé les étoiles. Joyeux Noël à ta famille petit lutin du ciel. |
Déposé par colombine67 le 25/12/2022Le feu danse dans la cheminée Dehors on tremble de froid Nuit de Noêl Le sapin parfumé Partout tu fais naître la joie Et au réveillon Pour les amoureux sous le gui Les baisers seront permis Les enfants, le cœur vibrant d'espoir Ont peine à s'endormir ce soir Le Père Noël s'est mis en route Sur son traîneau chargé de jouets et de cadeaux Et les petits le guettent et ils écoutent La ronde folle des rennes dans le ciel Et moi, pour vous, je fais ce simple vœu Qu'on échange depuis l'enfant-Dieu Jeunes et moins jeunes Soyez tous très heureux Joyeux, joyeux Noël Jeunes et moins jeunes Soyez tous très heureux Joyeux, joyeux Noël Joyeux, joyeux Noël |
Déposé par spanky le 24/12/2022Noël est là et nos amis les chiens ne sont plus parmi nous. Pourtant, il faut croire qu’ils vivent aujourd’hui Dans un au-delà merveilleux dénué de toute souffrance. Un pays paisible où c’est tous les jours Noël! Le plus beau cadeau à lui offrir serait d’être heureux, Et de ne penser à lui qu’avec de beaux souvenirs Et une infinie tendresse. |
Déposé par choupinou le 23/12/2022il est une fois ,une petite boule qui devins transparente. Elle est suspendue a une jolie branche de mon petit sapin, la veille de Noel ,elle se mit a rayonner, une si belle lueur émané de celle-ci, je me suis approchée, et a l'intérieur j'ai aperçu une adorable petite tête qu'il me semblait reconnaître, elle est si fine cette petite silhouette ,est d'une beauté que je ne connaissais pas, qui n'avait rien avoir avec celle d'autrefois, je me suis encore avancée ,je me suis penchée et dans la magnifique petite boule se trouvait un si doux regard profond ,ses yeux étaient d'un éclat surprenant, limpide d'un brun fantastique, ils illuminaient la petite boule ,elle brillait de mille feux ce bel ange à l'intérieur je l'ai reconnu ,il m'est revenue,il est là pour moi, sa gueule a demi ouverte me souriait, ses yeux remplient d'amour luisaient, ils me regardaient tendrement, instant puissant, en même tant douloureux, enfermaient dans cette petite boule. Je pris cette petite boule dans les mains ,une douce chaleur sans dégage, elle réchauffe mon coeur, ma mélancolie s'en va, une chose extraordinaire se passe ,cette force qui me pousse en avant comme un grand coup de vent ,doux frisson, et dans un éclair qui me foudroie je te vois qui me dit de ton plus bel amour, JOYEUX NOEL, ne soit plus jamais triste, je suis comme tu vois auprès de ton coeur ,passe de bonnes fêtes ,soit heureuse et souriante comme je t'ai connu, ne t'en fait pas pour moi ,car là ou je suis tout est merveille ,nous avons un sapin plus que géant remplient de boules qui illuminent en ce moment le coeur de chaque maman et papa que nous avons laissé que provisoirement ,nous seront tous ensemble chiens ,chats ,lapins ,chevaux et tous mes autres amis ,sans exception nous japperons, miaulerons, henniront...nous feront un beau concert qui parlera de vous ,nos plus belles histoires seront vous, nous sommes heureux...Noel sera magnifique aussi pour nous... Alors ne soit pas triste ,enlève ce costume de misère ,il ne te reflète pas, je sais que tu as les larmes aux yeux ,je les voient ,mais pour moi sèche ces petites gouttes d'eau qui roulent sur ta joue, souris, c'est ce que je désire le plus au monde...La petite boule scintillante, brusquement s'éteignit laissant place a une petite boule aux couleurs rouge de l'amour et blanche comme mon petit ange qui coure maintenant dans les allées blanches du beau jardin. écrit de choupinou , JOEUSES FETES A TOI PETIT ANGE ET A TA FAMILLE AMITIES |
Déposé par colombine67 le 23/12/2022Avoir un chien, ce n’est pas posséder. Avoir un chien, c’est être. Ce n’est pas être « propriétaire », c’est être « responsable ». Ce n’est pas être « maître », c’est être « partenaire ». Le vrai « maître », c’est le chien. Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne. Avoir un chien, c’est exister. C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous. Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion. Même s’il en faut un peu, du caprice. Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. » Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans. Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps. Mais avoir un chien, ce n’est pas « je prends ce qui m’arrange ». Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste. Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot. C’est accepter l’imperfection. C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés. C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous. C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper. C’est lâcher son écran pour lancer une balle. C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures. C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie. C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis. C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié. C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable. C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse. Et digne, jusqu’au bout. Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ». Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes » n’en sont pas réellement. Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin. Par amour, il faut répondre à ces besoins. Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte. |
Déposé par colombine67 le 22/12/2022 Mon cher humain, Je vois que vous pleurez, car c'est mon moment de partir. Ne pleure pas, s'il te plaît. Je veux t'expliquer certaines choses. Tu es triste parce que je suis partie, mais je suis content de t'avoir rencontré. Combien de chiens comme moi meurent tous les jours sans rencontrer quelqu'un de spécial comme toi ? Je sais que ça vous attriste mon départ, mais je devais y aller maintenant. Je veux te demander de ne pas te blâmer pour quoi que ce soit. Je t'ai entendu sangloter que tu aurais dû faire autre chose pour moi. Ne dis pas ça, tu as fait beaucoup pour moi ! Sans toi, je n'aurais rien su de la beauté que je porte avec moi aujourd'hui. Vous devez savoir que nous les animaux vivons le présent intensément et nous sommes très sages : nous profitez chaque petite chose chaque jour, et oublions le mauvais passé rapidement. Nos vies commencent quand on connaît l'amour, le même amour que tu m'as donné, mon ange sans ailes et deux jambes. Sachez que même si vous trouvez un animal gravement blessé, et que vous n'avez qu'un peu de temps dans ce monde, vous fournissez un énorme service en vous accompagnant dans votre dernière transition. Aucun d'entre nous n'aime être seul, sauf quand on réalise qu'il est temps de partir. Peut-être pour vous ce n'est pas si important que l'un d'entre vous soit à côté de nous nous caressant et tenant notre patte, nous aide à aller en paix. Plus de pleurs, s'il vous plaît. Je serai heureuse. J'ai en mémoire le nom que tu m'as donné, la chaleur de ta maison qui, en ce moment, est devenue la mienne. Je prends le son de ta voix qui me parle, même si je ne comprends pas toujours ce que tu me disais. Je porte dans mon coeur toutes les caresses que tu m'as donné. Tout ce que vous avez fait était très précieux pour moi et je vous remercie sans cesse, je ne sais pas comment vous le dire, parce que je ne parle pas votre langue, mais sûrement à mes yeux vous pourriez voir ma gratitude. Je vais juste demander deux faveurs. Lave-toi le visage et commence à sourire. Rappelle-toi à quel point nous vivons ensemble ces moments, souviens-toi des singeries que j'ai faites pour te remonter le moral. Revivre comme moi tout le bien qu'on partage en cette fois. Et ne dites pas que vous n'allez pas adopter un autre animal, parce que vous avez beaucoup souffert de mon départ. Sans toi, je ne vivrai pas les beautés que j'ai vécues. S'il vous plaît, ne faites pas ça ! Il y en a beaucoup comme moi qui attendent quelqu'un comme toi. Donne-leur ce que tu m'as donné, s'il te plaît, ils en ont besoin comme j'avais besoin de toi. Ne garde pas l'amour que tu as à donner, par peur de la souffrance. Suivez mon conseil, chérissez le bien que vous partagez avec chacun d'entre nous, reconnaissant que vous êtes un ange pour nous les animaux, et que sans les gens comme vous notre vie serait plus dure que parfois elle l'est. Suis ta noble tâche, maintenant c'est à moi d'être ton ange. Je vous accompagne sur votre chemin et vous aide à aider les autres comme moi. Je vais parler à d'autres animaux qui sont ici avec moi, je vous dirai tout ce que vous avez fait pour moi et je vais dire et dire fièrement : "C' est ma famille". Ce soir, quand tu regardes le ciel et que tu vois une étoile qui clignote, je veux que tu saches que c'est moi qui cligne des yeux ; te prévenir que je suis bien arrivé et te dire "merci pour l' amour que tu m' as donné". Je te dis au revoir maintenant ne dis pas " au revoir ", mais " à plus tard ". Il y a un ciel spécial pour les gens comme vous, le ciel où nous allons et la vie nous récompense en nous y faisant rencontrer. Je t'attendrai !" |
Déposé par choupinou le 20/12/2022L'Absence L'absence est un jappement que nous n'entendons plus, mais qui nous parlera du fond du coeur à l'heure la plus sombre, ou la tristesse se fait sentir certains jours les plus difficiles. L'absence est une patte que vous pouvez tenir fermement quand une autre patte vous échappera, et que votre courage semblera vous manquer. L'absence est un souvenir qui à n'importe qui, mais pas vous, paraîtra banal ... C'est une photographie en noir et blanc, une phrase qui contient un monde. L'absence est le temps qui vous a semblé inépuisable, et qui n'est plus là, le temps de tout, ce que ce que vous n'avez pas pu dire, que vous n'avez pas pu faire... C'est l'amour que vous portez à l'intérieur, c'est ce qui reste quand tout se termine. Le récit ultime, le sens de la vie de Gabriele Ferraris (avec quelques changement de ma part, choupinou) |
Déposé par spanky le 20/12/2022Mon histoire C'est l'histoire d'un amour Ma complainte C'est la plainte de deux coeurs Un roman comme tant d'autres Qui pourrait être le vôtre Gens d'ici ou bien d'ailleurs C'est la flamme Qui enflamme sans brûler C'est le rêve Que l'on rêve sans dormir Un grand arbre qui se dresse Plein de forces et de tendresse Vers le jour qui va venir C'est l'histoire d'un amour éternel et banal Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal Avec la roue l'on s'enlace Celle où l'on se dit adieu Avec les soirées d'angoisse Et les matins merveilleux Mon histoire C'est l'histoire qu'on connaît Ceux qui s'aiment Jouent la même, je le sais Mais naïve ou bien profonde C'est la seule chanson du monde Qui ne finira jamais C'est l'histoire d'un amour Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal Avec la roue l'on s'enlace Celle où l'on se dit adieu Avec les soirées d'angoisse Et les matins merveilleux Mon histoire C'est l'histoire qu'on connaît Ceux qui s'aiment Jouent la même, je le sais Mais naïve ou bien profonde C'est la seule chanson du monde Qui ne finira jamais C'est l'histoire d'un amour. --------------------------------- (Latina America Bolero Histoire D'un Amour) |
Déposé par colombine67 le 20/12/2022Il était une fois une grand-mère qui habitait seule dans la forêt. La grand-mère était triste ce soir-là : c’était la nuit de Noël et ce n’est pas bien gai de passer un Noël seule. Pour passer le temps, la grand-mère se mit au piano. Ce que la grand-mère ignorait, c’est qu’elle n’était pas seule dans la forêt ce soir-là. On entendit le piano ! Elle entendit frapper : - Toc, toc, toc - Qui est là, dit la grand-mère ? Quelqu’un répondit : - Grand-mère, grand-mère, ouvre-moi ta porte, ce n’est pas un temps à laisser, Hiiiiiiiiiiii, un cheval dehors ! La grand-mère ouvrit la porte, le cheval entra. Pauvre cheval ! Il était tout mouillé, il avait froid, il avait faim. La grand-mère le sécha avec une couverture, elle lui donna à manger du foin, et une fois bien sec, bien repus, le cheval se coucha non loin de la cheminée. La grand-mère se dit : - Je vais pouvoir rejouer du piano. Non, non, non. Elle entendit frapper de nouveau : - Toc, toc, toc - Qui est là, dit la grand-mère ? Quelqu’un répondit : - Grand-mère, grand-mère, ouvre-moi ta porte, ce n’est pas un temps à laisser, gron-gron-gron, un cochon dehors ! La grand-mère ouvrit la porte, le cochon entra. Pauvre cochon ! Il était tout mouillé, il avait froid, il avait faim. La grand-mère le sécha avec une serviette, elle lui donna à manger des glands et des pommes de terre, et une fois bien sec, une fois bien repus, le cochon se coucha non loin de la cheminée, à côté du cheval. La grand-mère se dit : - Je vais pouvoir rejouer du piano. Non, non, non. Elle entendit frapper de nouveau : - Toc, toc, toc - Qui est là, dit la grand-mère ? Quelqu’un répondit : - Grand-mère, grand-mère, ouvre-moi ta porte, ce n’est pas un temps à laisser, wouf, wouf, un chien dehors ! La grand-mère ouvrit la porte, le chien entra. Pauvre chien ! Il était tout mouillé, il avait froid, il avait faim. La grand-mère le sécha avec une serviette, elle lui donna à ronger un os, et une fois bien sec, bien repus, le chien se coucha non loin de la cheminée, à côté du cheval et du cochon. La grand-mère se dit : - Je vais pouvoir rejouer du piano. Non, non, non. Elle entendit frapper de nouveau : - Toc, toc, toc - Qui est là, dit la grand-mère ? Quelqu’un répondit : - Grand-mère, grand-mère, ouvre-moi ta porte, ce n’est pas un temps à laisser, miaouuuuuuuu, un chat dehors ! La grand-mère ouvrit la porte, le chat entra. Pauvre chat ! Il était tout mouillé, il avait froid, il avait faim. La grand-mère le sécha avec une serviette, elle lui donna un peu de lait, du poisson, et une fois bien sec, bien repus, le chat se coucha non loin de la cheminée, à côté du cheval, du cochon et du chien. La grand-mère se dit : - Je vais pouvoir rejouer du piano. Mais les animaux soupiraient ! - Que vous arrive-t-il, dit la grand-mère ? Je vous ai ouvert ma porte, je vous ai séchés, je vous ai donné à manger, vous avez un coin de cheminée pour passer la nuit, vous êtes bien ingrats ! - C’est que, dirent les animaux, c’est Noël, on voudrait bien qu’il se passe quelque chose d’autre ! La grand-mère réfléchit, puis elle chanta un chant de Noël. Le père Noël apparut. Il avait fini sa tournée et il ne lui restait rien pour les animaux. Mais il a soufflé sur le cheval, et le cheval s’est endormi. Il a rêvé du pays des chevaux, un pays où l’herbe vous arrive jusqu’au cou, de l’herbe odorante, savoureuse, hummmmmm ! Et des rivières parfumées où caracoler ! Le père Noël a soufflé sur le cochon, et le cochon s’est endormi. Il a rêvé du pays des cochons, un pays avec de la boue partout, et des glands gros comme des œufs, et des champignons délicieux qu’on appelle des truffes, tellement nombreux qu’on marchait dessus. Le père Noël a soufflé sur le chien, et le chien s’est endormi. Il a rêvé du pays des chiens, un pays où il y a des arbres à os, il suffit de tendre le cou pour en attraper autant qu’on en veut, et des buissons à croquettes. Le père Noël a soufflé sur le chat, et le chat s’est endormi. Il a rêvé du pays des chats, un pays où les souris sont si nombreuses qu’elles se jettent dans vos pattes, et les rivières, ce n’est pas de l’eau qui coule, non, non, non, c’est du lait ! Le père Noël est reparti, et la grand-mère se dit : - Je vais pouvoir rejouer du piano. Non, non, non. Elle entendit frapper de nouveau : - Toc, toc, toc - Qui est là, dit la grand-mère ? Quelqu’un répondit : - Grand-mère, grand-mère, ouvre-moi ta porte, ce n’est pas un temps à laisser, un grand-père dehors ! La grand-mère ouvrit la porte, le vieux de la forêt entra. Pauvre vieux ! Il était tout mouillé, il avait froid, il avait faim. La grand-mère lui donna une serviette pour se sécher, elle lui offrit un bol de soupe. Ils se regardèrent. Ils se plurent. Ils se marièrent. Ils n’eurent pas d’enfants, ils étaient trop vieux pour ça, mais ils eurent plein d’animaux : des chevaux, des vaches, des chèvres, des moutons, des cochons, des chats, des chiens, des hamsters. Et ils ne passèrent plus jamais un Noël seuls ! |
Déposé par colombine67 le 19/12/2022II faisait très froid, ce soir-là. Dans les maisons, les enfants étaient contents : cette nuit, le Père Noël allait leur apporter des jouets. C'est dommage, il n'y a pas de Père Noël pour s'occuper des animaux, et cette nuit, comme les autres nuits, Chien Perdu allait avoir très froid. Il marchait le long de la route, sans savoir où aller. Soudain, il aperçut une maison. Chien Perdu s'approcha et, sans faire de bruit, se glissa dans le garage. A peine était-il entré que quelqu'un vint fermer la porte, sans voir le chien caché derrière la voiture. Chien Perdu était content car il n'avait plus froid. Il se coucha pour dormir, mais, au bout d'un moment, de délicieuses odeurs vinrent lui chatouiller les narines. Il ne put s'empêcher de venir renifler sous la porte qui conduisait à la cuisine : là, tout près de lui, derrière la porte, on parlait, on riait, on mangeait. Chien Perdu aurait bien voulu faire partie de la fête, mais il savait qu'on ne voudrait pas de lui. Tristement, il revint se coucher derrière la voiture et essaya d'oublier qu'il avait très faim. Au bout d'un très long moment, Chien Perdu se rendit compte qu'il n'entendait plus de bruit. Il vint écouter près de la porte : non, vraiment, il n'y avait plus personne. Alors il se dressa sur ses pattes de derrière, appuya les pattes de devant sur la poignée de la porte, et entra dans la cuisine. Les habitants de la maison devaient être bien fatigués : ils étaient partis se coucher sans rien ranger. Sur la table, ils avaient laissé des assiettes avec des restes de dinde, des restes de bûche. Chien Perdu n'hésita pas : il posa les deux pattes sur la table et, à grands coups de langue, il nettoya les assiettes ! Mais, tout à coup, crac ! Il fait tomber une assiette qui se casse en mille morceaux avec un bruit terrible. Pourvu qu'il n'ait réveillé personne ! Il écoute, il écoute... et il entend des pas. Son cœur se met à battre très fort : quelqu'un arrive, quelqu'un va le battre parce qu'il est entré sans permission et va le chasser dans la nuit froide. La lumière s'allume : un petit garçon regarde Chien Perdu et Chien Perdu regarde le petit garçon. - J'ai entendu du bruit, dit le petit garçon, j'ai cru que c'était le Père Noël, et c'était toi ! Comment es-tu entré ? Tu es venu avec le Père Noël ? Le petit garçon va dans le salon et Chien Perdu se dépêche de le suivre. Là, au pied du sapin, il y a plein de cadeaux. - Je ne sais pas si tu es venu avec le Père Noël ou si tu es venu tout seul, lui dit le petit garçon en le caressant, mais je voudrais bien te garder. J'ai une idée, couche-toi là, au milieu des cadeaux, et sois sage ! Le lendemain, le petit garçon se réveilla de bonne heure et vint frapper à la porte de ses parents. Ils auraient bien voulu dormir encore, mais il les embêta tellement qu'ils se levèrent. Ils descendirent tous ensemble au salon et virent Chien Perdu couché sous le sapin, au milieu des cadeaux. - D'où sort ce chien ? s'écria le papa. - J'espère qu'il n'a pas de puces ! s'exclama la maman. - Oh ! qu'il est beau ! s'écria le petit garçon. C'est un cadeau du Père Noël ! Les parents voulurent chasser Chien Perdu, mais il les regarda d'un air si doux, si gentil qu'ils n'osèrent pas. Et puis, c'était un cadeau du Père Noël, et il ne faut jamais contrarier le Père Noël. C'est ainsi qu'une nuit de Noël, Chien Perdu retrouva une famille. |
Déposé par colombine67 le 17/12/2022Un jour on m’a dit que ma maison sentait le chien…. Alors j’ai demandé: Tu sas ce que sent un chien? Un chien sent: - La gratitude - La fidélité - La noblesse - L’affection - L’amour sincère et inconditionnel Et malgré tout ce qu’il a souffert, il ne sent pas la rancoeur…. Alors OUI! Je me sens privilégié que ma maison sente le chien! |
Déposé par spanky le 15/12/2022Une nuit sur le sable, Je m'étais endormie quand soudain Je te sentis lentement t'approcher de moi Lentement tournoyer prés de moi Comme tombé du ciel tu étais la Tu avais un collier bleu Tu avais les yeux couleur noire Ton poil brillait de mille feux De ta truffe tu as touché mon visage Dans ma main tu as glissé ta patte C'est alors que je t'ai vu surgissant du passé En tremblant je t'ai caressé Tu m'étais revenu Et j'ai lu dans tes yeux Viens retournons comme autrefois Comme avant où tu me prenais dans tes bras Comme avant allons nous promener Comme avant caresses moi Comme avant occupes toi de moi Quand soudain dans un bruissement tu repris ton chemin Pour regagner le ciel Je t'ai embrassé caressé comme avant Ce n'était qu'un rêve. Et j'ai pleuré. |
Déposé par spanky le 10/12/2022L'adieu à un chien. La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissé inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagné pendant toutes ces années |
Déposé par spanky le 05/12/2022L'ADIEU D'UN CHIEN A SA FAMILLE (Marcel Fakhoury) Désolé, je tourne la page J’ai choisi d’abréger mes maux Je pars pour un dernier voyage Au paradis des animaux Je vous tire ma révérence J’ai mis un terme à mes douleurs Ne regrettez point mon absence Je vais là où poussent les fleurs Quand je serai parmi les anges Je me souviendrai du hameau Où les moineaux et les mésanges Chantaient gaiement sur un rameau Où le soir, près de la fenêtre Comme un fidèle admirateur Je dévorais des yeux mon maître Penché sur son ordinateur C’est dans ce coin un peu bohème Que j’ai vécu mes plus beaux jours Entre une prose et un poème Gravés dans mon cœur pour toujours Adieu mon maître, adieu maîtresse Merci pour les moments heureux Vous m’avez comblé de tendresse Et de sentiments chaleureux Je vais rejoindre l’autre monde Le jardin de sérénité Où nous entraîne dans sa ronde L’horloge de l’éternité |
Déposé par spanky le 29/11/2022Pour que tu ne meures pas D'Yves Duteil Pour que tu ne meures pas J'ai prié jour et nuit Un Dieu que j'ignorais Pour qu'il te garde en vie Je priais à genoux Pour qu'il te laisse à nous Je faisais les prières Que je me récitais Lorsque j'étais enfant Je disais Notre Père Je vous salue Marie.... Et je cherchais en vain Dans le ciel ici bas Des instants de répit Que je trouvais enfin Dans le creux de tes bras Pour que tu restes en vie J'aurais prié Bouddha... Pour que tu ne meures pas Je plongeais mon regard Au plus profond du tien Pour soigner ton chagrin J'aurais voulu qu'on m'aide A trouver le remède J'aurais changé l'histoire Pour effacer les jours Qui déposaient du noir Autour de ton amour Pour en briser le cours J'aurais voulu pouvoir Voler à ton secours... Pour que tu ne meures pas J'ai chanté certains soirs Tous les chants de l'espoir Que j'écrivais pour toi Et je montais si haut Vers l'infiniment beau Pour pouvoir rapporter Un peu d'éternité A t'offrir en cadeau Quand je t'ouvrais mon coeur En caressant ta peau Comme on touche un trésor Tu te battais si bien On se sentait si forts J'aurais cherché plus loin Pour que tu vives encore... Je ne saurai jamais Ce qui de tout cela Nous a gardé ensemble Du courage de vivre Ou du bonheur qui tremble Mais je bénis le ciel De t'avoir épargnée Lorsqu'à la nuit tombée Je t'entends respirer Et je connais le prix De chaque instant de paix Que nous offre aujourd'hui Et l'amour qu'il fallait Pour que tu restes ici... Pour que tu ne meures pas, J'aurais donné ma vie. |
Déposé par choupinou le 25/11/2022 L'Essentiel L'essentiel, c'est d'être aimé; Le reste importe peu...la seule vérité c'est de compter pour quelqu'un, même pour un animal, c'est une vie... Quoiqu'il puisse arriver, c'est entrer dans son coeur et n'en sortir jamais, Aimer c'est se sentir utile, pour les vivant mais aussi pour nos amours défunts, humains, et surtout nos petit anges adorés qui nous ont tant donné, sans rien demander, Caresser le coeur de l'autre, par la pensée, et avouer toute sa tendresse, n'est pas une faiblesse, C'est juste une partie de nous qui reste dans notre âme, qui reste éternellement enfouis là ou bat la vie.... |
Déposé par spanky le 24/11/2022Le matin vous nous réveillez en nous léchant le bout du nez. Le soir vous nous attendez bien sages et sans bouger. Puis c'est la fête, dans vos mirettes vous bondissez, en quémandant des jeux et des câlins à qui mieux mieux. Il faut remplir vos gamelles le ventre plein, la vie est belle. L'hiver vous nous chauffez les pieds vous connaissez nos programmes télé. L'été vous offrez vos fourrures (simili fourrure) au soleil en écoutant le bourdonnement des abeilles Si on est triste, vous le sentez et d'un petit coup de truffe mouillée vous poussez notre main pour nous montrer votre amitié si forte pour nous réconforter. Nous vous parlons de nos joies, de nos peines, vos grands yeux profonds comprennent et traversent les âges, même le plus espiègle de vous, tout à coup, devient sage. Vous êtes nos gamines et nos gamins même si les coeurs durs ne comprennent pas l'union secrète qui nous unit et cette union... c'est pour la vie !!!! Même quand vous partez jouer au paradis... Vous êtes tatoués dans nos coeurs, dans nos sourires et dans nos pleurs. La fatalité vient vous chercher comme seule elle peut l'opérer On essaie de comprendre sans succès et on ne cesse de vous pleurer Puis un jour viennent les rires en racontant vos facéties... Ainsi va la vie ... |
L'Album photo contient 8 photos