En hommage à
rustidibibi
2004 / 2010




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En hommage à
rustidibibi
PEKINOIS
Il est né le:01/01/2004
Il nous a quittés le:20/01/2010

À notre cher Rustidibibi, tu étais bien plus qu'un simple chien, tu étais la lumière qui éclairait nos vies. Aujourd'hui, ton absence nous plonge dans une profonde tristesse, tu nous manques énormément.




70 bougies

33857 Fleurs
Seules les fleurs déposées depuis moins d'un an sont visibles
Déposé par athos
Déposé par athos
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Déposé par mistral
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2401 messages

Déposé par poutounou le 17/04/2024  
Amis
*
Sans se consumer
se posent nos mains
sur l’épaule du Temps
Se lèvent sur son visage
le jour
les souvenirs
essaim de papillons
Malgré les rides importunes
avec nos rires d’antan
pour tout bagage
dans la mémoire rebelle
l’on voyage
Nos voix aussi
sont les mêmes
L’aridité de l’âge
ne les a pas taries
Elles coulent toujours
dans cette oasis de l’amitié
où vieillir est un mirage
*
Kamal Zerdoumi

Déposé par spanky le 16/04/2024  
Il y a de cela bien, bien longtemps ..
le chien vivait seul dans les bois et non dans les maisons comme maintenant.
Un beau jour, il en eut assez de vivre ainsi et se mit à la recherche d'un
compagnon.
Il se promena longtemps sans rencontrer personne.
-----
Puis un jour, entre deux arbres, il aperçoit un lièvre qui s'enfuit.
Hé, petit lièvre, crie le chien, ne te sauve pas, écoute-moi !
Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant ..
Ma foi, dit le lièvre, pourquoi pas ? Essayons !
Il choisissent un joli petit coin dans la forêt et s'y installent.
La nuit venue, ils se couchent.
Le petit lièvre s'endort tout de suite, mais le chien reste éveillé,
il y a des feuilles qui tombent, des branches qui craquent, des
oiseaux de nuit qui passent .. et chaque fois, le chien aboie.
Le petit lièvre ne peut pas dormir, il se fâche et dit au chien :
Cesseras-tu d'aboyer à la fin ? Si jamais le loup t'entend, il
viendra nous dévorer tous les deux !
Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon compagnon, il est peureux .
Le loup vaudrait peut-être mieux puisqu'il fait peur au lièvre ..
-----
Et le chien s'en va à la recherche du loup.
Il le cherche longtemps et, enfin, il l'aperçoit qui sort d'un taillis.
Hé, loup gris, museau pointu, crie le chien, écoute-moi !
Ne veux-tu pas que nous vivions ensemble, ce serait bien plus amusant ..
Ma foi, dit le loup, pourquoi pas ? Essayons !
Le soir venu, ils s'installent pour dormir.
Mais au beau milieu de la nuit, le chien, réveillé par un bruit, se met à aboyer.
Effrayé le loup se réveille à son tour : Tais-toi donc, dit-il au chien,
si jamais l'ours t'entend, il viendra nous dévorer tous les deux !
Le chien cesse d'aboyer et réfléchit : Il n'est pas fameux mon
compagnon, il n'est pas beaucoup plus courageux que le lièvre ..
Il a peur de l'ours qui est certainement plus fort que lui.
-----
Et le chien, laissant là le loup, s'en va à la recherche de l'ours.
Il le cherche longtemps, parmi les arbres, les taillis, les rochers, ..
Et voici que, soudain, il se trouve nez à nez avec lui.
C'est un grand ours brun qui n'a pas l'air commode.
Hé, ours brun, ours griffu, écoute-moi ! Ne veux-tu pas que nous
vivions ensemble, ce serait bien plus amusant ..
Ma foi, pourquoi pas ? Essayons !
Ils se promènent toute la journée et, le soir venu, ils se couchent.
A peine l'ours s'est-il endormi que le chien se met à aboyer.
Réveillé en sursaut, l'ours tremble de frayeur.
Mais tais-toi donc ! dit-il furieux.
Si jamais l'homme t'entend, il viendra nous tuer !
Eh bien, pense le chien, celui-là ne vaut pas mieux que les autres.
Il a peur de l'homme.
-----
Et laissant là l'ours qui s'est rendormi, il part à la recherche de l'homme.
Mais il a beau chercher dans la forêt entière, il n'en trouve pas.
Il sort alors de la forêt et s’assoit pour se reposer.
Alors, il voit l'homme qui s'avance vers lui, c'est un bûcheron
qui s'en vient couper du bois.
Quand le bûcheron est tout près, le chien lui dit : Ecoute-moi,
homme, toi qui fait peur à l'ours qui fait peur au loup qui fait
peur au lièvre, ne veux-tu pas me prendre comme compagnon ?
Et pourquoi pas ? dit l'homme.
Viens avec moi, nous verrons ..
Et à la fin de la journée, l'homme emmène le chien dans sa maison.
Le soir venu, l'homme se couche et s'endort.
Au milieu de la nuit,
le chien se met à aboyer.
L'homme ne bouge pas.
Le chien aboie plus fort.
Alors l'homme se réveille et lui crie :
Hé, brave chien !
Mange si tu as faim, bois si tu as soif, mais laisse-moi dormir tranquille, s'il te plaît !
L'homme n'a donc peur de rien, pense le chien, et il se tait.
Et depuis ce temps-là, le chien est resté le compagnon de l'homme !
-----

Déposé par choupinou le 15/04/2024  
“Une âme pure est comme une belle perle. Tant qu'elle est cachée dans un coquillage, au fond de la mer, personne ne songe à l'admirer. Mais si vous la montrez au soleil, cette perle brille et attire les regards.”
De le curé d'Ars.
C'est toi petit trésor, douce petite étoile cachait le jour et qui te dévoile la nuit faisant palpiter le coeur de ton aimé, et ses yeux de mille pépites lorsqu'ils te contemple, levé tout la haut vers toi, et qui laisse une trace comme un petit pincement...
ton amie choupinou

Déposé par spanky le 14/04/2024  
« Cracker Jack », de Dolly Parton (1974)
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En 1980, Henri Dès crée cette chanson au sujet d’un adorable chien qui, malheureusement pour lui, est très sale.
C’est d’ailleurs presque parfois à se demander s’il ne parle pas plutôt d’un cochon.
Cependant, cette comptine est d’autant plus touchante qu’Henri Dès est accompagné d’enfants au chant.
Elle l’est aussi quand on découvre que, malgré son hygiène et son comportement qui laisse à désirer, il l’aime quand même, son chien.
-----
Paroles de la chanson « Chanson pour mon chien »
J'ai un chien gentil mais sale
Qui a des poils mouillés partout
(J'ai un chien gentil mais sale)
(Qui a des poils mouillés partout)
Qui a des poils mouillés partout
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Et c'est pas tout
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Quand il mange dans son assiette
Il s'en met plein le menton
(Quand il mange dans son assiette)
(Il s'en met plein le menton)
Il s'en met plein le menton
Comme un cochon
----
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime)
----
Quand je le promène au lac
Il patauge dans la boue
(Quand je le promène au lac)
(Il patauge dans la boue)
Il patauge dans la boue
Et c'est pas tout
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Il va renifler les crottes
Et ça ne sent pas très bon
(Il va renifler les crottes)
(Et ça ne sent pas très bon)
Et ça ne sent pas très bon
Comme un cochon
----
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime )
----
Quand il boit dans sa gamelle
Ça dégouline partout
(Quand il boit dans sa gamelle)
(Ça dégouline partout)
Ça dégouline partout
Et c'est pas tout
----
Il en met plein la moquette
De la cuisine au salon
(Il en met plein la moquette)
(De la cuisine au salon)
De la cuisine au salon
Comme un cochon
----
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime)
----
Quand il vient me faire la fête
Il me lèche dans le cou
(Quand il vient me faire la fête)
(Il me lèche dans le cou)
Il me lèche dans le cou
Et c'est pas tout
----
Il bave sur ma chemise
Et puis sur mon pantalon
(Il bave sur ma chemise)
(Et puis sur mon pantalon)
Et puis sur mon pantalon
Comme un cochon
----
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime)
-----

Déposé par poutounou le 14/04/2024  
Sois le bienvenu « Rire du printemps » !
*
Le printemps
*
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses des lilas fleurissent.
Les amantes qui te chérissent
Délivrent leurs cheveux flottants.
*
Sous les rayons d’or éclatants
Les anciens lierres se flétrissent.
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses de lilas fleurissent.
*
Couchons-nous au bord des étangs,
Que nos maux amers se guérissent !
Mille espoirs fabuleux nourrissent
Nos coeurs gonflés et palpitants.
Te voilà, rire du Printemps !
*
Théodore de Banville

Déposé par spanky le 12/04/2024  
Il observait sans cesse
tous tes faits et gestes,
lorsque, assis au coin de la cheminée,
tu méditais sur les années passées ...
---
Tes yeux remplis des choses que tu ne pouvais dire,
mais que son instinct savait si bien traduire.
Doucement, il te léchait les mains,
dans ses yeux, quelque chose ... d’humain.
---
Penchant lentement la tête :
– je suis là mon maître !
Son regard semblait te dire :
– Nous avons de beaux souvenirs.
---
Que de fois as-tu pensé ne plus lutter,
disparaître, et tout arrêter.
Mais son bon et doux regard rempli d’amour
te donnait la force de continuer ton parcours.
---
Sans toi, sa vie était finie.
Placement ou euthanasie ?
À cette pensée
ton cœur se serrait.
---
Quelle trahison, lui ton fidèle compagnon
qui te voua une si grande adoration.
Consolateur de toutes tes douleurs,
chaque jour, il sut sécher tes pleurs.
---
Dans ton cœur, sa grande fidélité
a fait de lui un ami pour l’éternité.
Ensemble, vous irez au bout du chemin
comme deux vrais copains, jusqu’à la fin ...
---
" Le viel homme et son chien "
Harmonia Messidor
------

Déposé par colombine67 le 12/04/2024  
Le BÂTARD et le CLOCHARD.
Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,
Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.
Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,
Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.
Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,
Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.
C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,
Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.
Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,
Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.
Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,
Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.
Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,
Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,
Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,
Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.
Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,
D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.
Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux
De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous.
Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,
Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,
Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,
Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite.
Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,
Qui faites les beaux jours des villages et des villes,
N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,
Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».

Déposé par spanky le 10/04/2024  
JE M 'APPELAIS STYLO, JE SUIS MORT HEUREUX, MAIS...
---------
Je suis mort aujourd'hui !!
Je souhaite que vous consacriez 5 minutes à lire mon histoire pour qu'elle ne soit pas vaine.
Je suis arrivé au refuge à l'âge de 3 mois et ils m'ont appelé Stylo (au moins j'avais un nom aussi bizarre soit-il pour un chien!).
C'était un refuge "normal" (donc surchargé) du centre nord de l'Italie, et là j'ai attendu que quelqu'un m'aperçoive...
J 'ai attendu, attendu, attendu... j'ai attendu 13 longues années!!!
Bien sûr, je n'étais pas seul dans le box et mes camarades de captivité n'ont pas été tendres: j'ai souvent été mordu et plus d'une fois, j'ai failli mourir parce qu'ils ne me laissaient pas manger, mais j'ai résisté..
Et puis finalement, un ange nommé Monica m'a remarqué !
Elle a décidé de me sortir de là et de me donner quelques mois de bonheur.
Elle m'a confié à ses amies Sandra et Silvana qui m'ont pris soin de moi !
J'étais maigre et tout tordu par l'arthrose...
Je me souviens que quand je suis arrivé chez elles, c'était l'hiver et elles m'avaient préparé une couche toute douce devant le poêle à bois...
Je ne savais pas ce qu'était une maison et cette chaleur, oh là là, quel bonheur! J'ai passé 2 jours le dos collé à la chaleur, c'était le paradis pour moi !!
Malgré tous les pronostics prévoyant que je mourrais rapidement, je me suis remis.
Eh oui, personne n'aurait cru que je vivrais encore pendant presque 3 ans!
Et pendant ces 3 années, j'ai été aimé et choyé, j'ai eu de la bonne bouffe, j'ai dormi au chaud... mais la vieillesse ne peut pas s'arrêter !!
Maintenant je suis mort, mais je suis mort HEUREUX, parce que quelqu'un m'a donné de l'espoir et quelques années de bonheur, mais je ne peux pas m'empêcher de penser que si Monica ne m'avait pas sauvé, il ne resterait plus rien de moi maintenant, pas une photo, pas un souvenir, personne ne pleurerait ma mort !
Et c'est malheureusement le sort qui touche tant de chiens qui passent toute leur vie dans un refuge, dans l'indifférence générale.
Alors avant de faire naître de nouveaux chiens, pensez à moi !
Et avant d'acheter un chien, pensez à moi !!
Un seul jour de bonheur peut racheter toute une vie de souffrance, alors si vous le pouvez, sortez un vieux chien d'un refuge!
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Cre: ESNA-Ecole Suisse Naturopathie Animaux
--------

Déposé par poutounou le 10/04/2024  
Rien ne nous séparera jamais…
*
Abri
*
Dans les lignes de ta patte
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et que nous avons même destin.
*
Dans les lignes de ta patte
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
*
Dans le creux de ta patte
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme, comme un baume.
*
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978

Déposé par spanky le 08/04/2024  
Paradis blanc
------
Il y a tant de vagues et de fumée
Qu'on arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir
Le téléphone pourra sonner
Il n'y aura plus d'abonné
Et plus d'idée
Que le silence pour respirer
Recommencer
Là où le monde a commencé
----
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps
Tout seul avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Je m'en irai courir dans le paradis blanc
Loin des regards de haine et des combats de sang
Retrouver les baleines
Parler aux poissons d'argent
Comme, comme, comme avant
----
Y a tant de vagues et tant d'idées
Qu'on arrive plus à décider
Le faux du vrai
Et qui aimer ou condamner
Le jour où j'aurai tout donné
Que mes claviers seront usés
D'avoir osé
Toujours vouloir tout essayer
Et recommencer
Là où le monde a commencé
----
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les manchots s'amusent dès le soleil levant
Et jouent en nous montrant
Ce que c'est d'être vivant
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où l'air reste si pur qu'on se baigne dedans
À jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme, comme, comme avant
----
Parler aux poissons d'argent
Et jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme avant
----
- Michel Berger -

Déposé par poutounou le 07/04/2024  
Que c’est beau : « L’âme est immortelle et hier c’est demain »
*
Hier c’est demain…
*
Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les chiens, les lauriers et les roses.
*
Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.
*
De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,
*
On s’approche, on sourit, la « patte » touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
*
Alfred de Musset

Déposé par spanky le 06/04/2024  
Je m'appelle Sampa,
et bien que chien bâtard,
je fais tourner la tête à bien des pedigrees.
---
Je m'appelle Sampa,
je suis né quelque part.
---
Je m'appelle Sampa
et mon histoire est belle.
Je mouille des divans,
je souille des parquets,
je vis auprès d'un roi,
comme un chien de poubelle.
---
Je m'appelle Sampa
et j'ai des yeux qui parlent,
un corps qui fait le fou,
un cœur qui se remplit
de tant et tant de joie,
qu'une caresse égale.
---
Je m'appelle Sampa.
J'ai des maîtres fidèles :
lui me donne du mal à me faire obéir,
mais quand il n'est pas là,
je suis seul avec elle.
---
Son amour à lui
c'est mon amour à moi.
Comme elle est jolie,
comme elle est gentille !
Son amour à lui
c'est ma maîtresse à moi.
Et quand elle me sourit
moi j'ai les yeux qui brillent.
---
Elle m'appelle " Sam-Sam "
et je l'aime et elle m'aime.
La nuit, je dors près d'elle
et au matin je la réveille,
d'un coup de patte
ou bien d'un coup de dent.
---
Je m'appelle Sampa
et mon histoire est courte.
Pour aller du lit où je dormais
jusqu'au jardin où je repose,
il ne m'aura pas fallu un an.
---
Toi le jardin,
je t'ai connu dans tes moindres recoins.
Hier encore je t'ai prêté un os,
aujourd'hui je te donne les miens.
---
Je m'appelais Sampa
et j'étais chien bâtard ...
---
" Sampa "
1968
Georges Chelon
( 1943 - )
----
Paroliers : Georges Jean Chelon
------

Déposé par spanky le 04/04/2024  
"Belle "
-----
Belle, tu es si belle,
Qu'en te voyant
Je t'ai aimée.
Belle, que j'aime tant,
Depuis longtemps
Je t'attendais.
---
Souviens-toi du temps où tu venais
Chaque soir pour me rencontrer.
Tu passais, si belle que j'en rêvais,
Tu le sais mon amie, je t'aimais.
---
Belle, oh ma si belle,
Tu t'en allais sans m'écouter.
Belle, je t'attendrai
Pendant longtemps,
Tu es si belle.
---
Belle, que j'aime tant,
Je t'attendrai
En te rêvant.
Puis un jour, un jour tu passeras
Près de moi, la Belle tu viendras,
Nous ferons alors si tu le veux
Ce jour là, le beau voyage à deux.
---
Belle, si tu le veux,
Nous serons deux ...
Nous serons deux ...
----
( " Belle et Sébastien " )
1965
----
Parolier : Cécile Aubry.
Compositeur : Daniel White
-----

Déposé par poutounou le 03/04/2024  
Venez, venez vite, hirondelles, repeupler l’azur calme et doux…
*
Avril
*
Lorsqu’un homme n’a pas d’amour,
Rien du printemps ne l’intéresse ;
Il voit même sans allégresse,
Hirondelles, votre retour ;
*
Et, devant vos troupes légères
Qui traversent le ciel du soir,
Il songe que d’aucun espoir
Vous n’êtes pour lui messagères.
*
Chez moi ce spleen a trop duré,
Et quand je voyais dans les nues
Les hirondelles revenues,
Chaque printemps, j’ai bien pleuré.
*
Mais depuis que toute ma vie
A subi ton charme subtil,
Mignonne, aux promesses d’Avril
Je m’abandonne et me confie.
*
Depuis qu’un regard bien-aimé
A fait refleurir tout mon être,
Je vous attends à ma fenêtre,
Chères voyageuses de Mai.
*
Venez, venez vite, hirondelles,
Repeupler l’azur calme et doux,
Car mon désir qui va vers vous
S’accuse de n’avoir pas d’ailes.
*
François Coppée,

Déposé par spanky le 02/04/2024  
Et s'il était le plus laid
de tous les chiens du monde,
je l'aimerais encore,
à cause de ses yeux.
---
Et si j'étais le plus laid
de tous les vieux du monde,
l'amour luirait encore
dans le fond de ses yeux.
---
Et si nous étions tous deux,
lui si laid et moi si vieux,
un peu moins seuls au monde,
à cause de ses yeux ...
---
Pierre Menanteau
( 1895 - 1992 )
" Le vieux et son chien "
------
26 août : journée internationale du chien
-----

Déposé par choupinou le 01/04/2024  
J'espère que tu as passé une joyeuse fête de Pâques, petit ange d'amour, que la chasse aux trésors a été très amusante ! J'espère que tu as récolter une montagne, de 🔔 , d'🥚 et des petits 🦴 en chocolat, et que tu as prit aussi le temps de regarder de ton nuage comme la nature se fait belle en ce moment, malgré la pluie en bas sur nos villes, villages ! Je sais que la haut dans ton beau jardin tu as du soleil. Oui je suis sûr que que tu as su profiter de ces 3 belles journées pour jouer et de ce dimanche pour chasser, dans les belles allées blanches et les vertes prairies, toutes ces merveilleuses friandises avec tous tes petits amis, maintenant passez un bon moment ensemble et régalez vous bien...le 🍫 ne vous feras plus aucun mal 😉

Déposé par lili2248 le 01/04/2024  
C’est un peu long à lire, mais quel joli conte que celui-ci !!! Bon lundi de Pâques à vous tous… Ah oui, je veux la même poule !!!
*
Le secret des oeufs de paques
*
Il était une fois un petit pays tranquille où, lorsque le printemps s'annonçait, les gens, dans chaque village, organisaient un grand marché. Ils enfilaient leur costume de fête et s'installaient sur la place principale pour vendre ce qu'ils avaient produit de meilleur ou de plus beau :
des couronnes de brioche ou de pain doré,
des oeufs,
des outils de bois sculpté,
des ceintures de cuir ...
La nature elle-même participait à l'événement. Les pommiers s'habillaient de blanc, les papillons défroissaient leurs ailes et les fleurs leurs pétales.
Un jour, au centre d'un de ces villages, comme d'habitude à cette époque, des fermières comparaient les oeufs de leur poulailler. C'était à qui aurait les plus gros, les plus ronds ou les plus blancs.
Seule une vieille femme se taisait. Elle ne possédait pour toute fortune qu'une petite poule maigrichonne qui ne lui avait donné que trois petits oeufs pas plus gros que des billes.
*
La vieille femme soupirait :
Je suis pauvre, ma poulette, que je t'ai mal nourrie et que tes oeufs sont tout juste bons à offrir aux enfants pour jouer aux billes.
Comme il faut cependant que je vende quelque chose afin de gagner quelques sous, c'est toi que je vais être obligée de mettre à l'étalage...
*
A ces mots, la petite poule se mit à crier :
Pitié, ma bonne dame ! Je ne veux pas finir rôtie. Si vous me gardez, je vous promets de pondre l'année prochaine les oeufs les plus extraordinaires !
*
La vieille femme n'en crut rien, mais elle se laissa attendrir et rentra chez elle avec sa poulette. Une année passa. Et la vieille femme, de plus en plus pauvre, n'avait que quelques poignées de riz à donner à sa petite poule en guise de nourriture.
Le jour du marché approchait et la petite bête dépérissait. Elle comprit qu'elle ne pouvait pondre des oeufs plus gros que ceux de l'an passé et , désespérée, elle alla se cacher dans un champ pour se lamenter :
Que vais-je devenir si je ne suis pas capable de donner à ma maîtresse que trois petits oeufs tout juste bons à offrir aux enfants pour jouer aux billes ? Cette fois, elle sera forcée de me vendre, et je finirai dans l'assiette d'un gros fermier !
Tout à sa peine, elle ne se rendit pas compte que les fleurs et les papillons l'écoutaient
Nous ne laisseront pas faire cela ! chuchotèrent-ils.
A la nuit tombée, les fleurs se couchèrent sur le sol, formant une sorte de litière multicolore au creux de laquelle se blottit la petite poule. Puis les papillons étendirent leurs ailes sur elle comme une couverture bruissante et bariolée.
Au matin, lorsqu'elle se réveilla, la poulette se sentit fraîche, dispose, et même si ragaillardie qu'elle se mit à chanter et pondit une demi-douzaine d'oeufs.
Et ces oeufs-là n'étaient pas ordinaires ! Ils n'étaient toujours pas bien gros, mais ils possédaient toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Et même, à y regarder de près, on pouvait voir sur leur coquille de très jolis dessins comme on peut en admirer sur les ailes des papillons.
Toute heureuse, la petite poule courut chercher sa maîtresse. Celle-ci examina les oeufs un par un avant de les ranger dans son tablier :
Tu as tenu ta promesse. Ce sont bien les oeufs les plus extraordinaires que l'on puisse voir ! J'ai eu raison de ne pas te vendre !
*
Le jour du marché, les oeufs de la vieille femme attirèrent les curieux. On se bouscula pour les acheter et la pauvre fermière récolta plus de pièces d'argent qu'elle n'en avait jamais eues dans sa vie.
Depuis ce jour, chaque année, dans ce petit village, puis dans tout le pays, et même dans les contrées voisines, les gens essayèrent de copier les oeufs de la vieille dame en peignant et décorant les leurs. Mais ils ne réussirent jamais à les égaler en couleurs et en délicatesse, car la petite poule, les fleurs des champs et les papillons gardèrent bien leur secret.
C'est ainsi que, chaque année, lorsque s'annonce le printemps, on prit dans ce petit pays et ensuite dans le monde entier l'habitude de décorer les oeufs ....

Déposé par poutounou le 01/04/2024  
C’est un peu long à lire, mais quel joli conte que celui-ci !!! Bon lundi de Pâques à vous tous… Ah oui, je veux la même poule !!!
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Le secret des oeufs de paques
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Il était une fois un petit pays tranquille où, lorsque le printemps s'annonçait, les gens, dans chaque village, organisaient un grand marché. Ils enfilaient leur costume de fête et s'installaient sur la place principale pour vendre ce qu'ils avaient produit de meilleur ou de plus beau :
des couronnes de brioche ou de pain doré,
des oeufs,
des outils de bois sculpté,
des ceintures de cuir ...
La nature elle-même participait à l'événement. Les pommiers s'habillaient de blanc, les papillons défroissaient leurs ailes et les fleurs leurs pétales.
Un jour, au centre d'un de ces villages, comme d'habitude à cette époque, des fermières comparaient les oeufs de leur poulailler. C'était à qui aurait les plus gros, les plus ronds ou les plus blancs.
Seule une vieille femme se taisait. Elle ne possédait pour toute fortune qu'une petite poule maigrichonne qui ne lui avait donné que trois petits oeufs pas plus gros que des billes.
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La vieille femme soupirait :
Je suis pauvre, ma poulette, que je t'ai mal nourrie et que tes oeufs sont tout juste bons à offrir aux enfants pour jouer aux billes.
Comme il faut cependant que je vende quelque chose afin de gagner quelques sous, c'est toi que je vais être obligée de mettre à l'étalage...
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A ces mots, la petite poule se mit à crier :
Pitié, ma bonne dame ! Je ne veux pas finir rôtie. Si vous me gardez, je vous promets de pondre l'année prochaine les oeufs les plus extraordinaires !
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La vieille femme n'en crut rien, mais elle se laissa attendrir et rentra chez elle avec sa poulette. Une année passa. Et la vieille femme, de plus en plus pauvre, n'avait que quelques poignées de riz à donner à sa petite poule en guise de nourriture.
Le jour du marché approchait et la petite bête dépérissait. Elle comprit qu'elle ne pouvait pondre des oeufs plus gros que ceux de l'an passé et , désespérée, elle alla se cacher dans un champ pour se lamenter :
Que vais-je devenir si je ne suis pas capable de donner à ma maîtresse que trois petits oeufs tout juste bons à offrir aux enfants pour jouer aux billes ? Cette fois, elle sera forcée de me vendre, et je finirai dans l'assiette d'un gros fermier !
Tout à sa peine, elle ne se rendit pas compte que les fleurs et les papillons l'écoutaient
Nous ne laisseront pas faire cela ! chuchotèrent-ils.
A la nuit tombée, les fleurs se couchèrent sur le sol, formant une sorte de litière multicolore au creux de laquelle se blottit la petite poule. Puis les papillons étendirent leurs ailes sur elle comme une couverture bruissante et bariolée.
Au matin, lorsqu'elle se réveilla, la poulette se sentit fraîche, dispose, et même si ragaillardie qu'elle se mit à chanter et pondit une demi-douzaine d'oeufs.
Et ces oeufs-là n'étaient pas ordinaires ! Ils n'étaient toujours pas bien gros, mais ils possédaient toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Et même, à y regarder de près, on pouvait voir sur leur coquille de très jolis dessins comme on peut en admirer sur les ailes des papillons.
Toute heureuse, la petite poule courut chercher sa maîtresse. Celle-ci examina les oeufs un par un avant de les ranger dans son tablier :
Tu as tenu ta promesse. Ce sont bien les oeufs les plus extraordinaires que l'on puisse voir ! J'ai eu raison de ne pas te vendre !
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Le jour du marché, les oeufs de la vieille femme attirèrent les curieux. On se bouscula pour les acheter et la pauvre fermière récolta plus de pièces d'argent qu'elle n'en avait jamais eues dans sa vie.
Depuis ce jour, chaque année, dans ce petit village, puis dans tout le pays, et même dans les contrées voisines, les gens essayèrent de copier les oeufs de la vieille dame en peignant et décorant les leurs. Mais ils ne réussirent jamais à les égaler en couleurs et en délicatesse, car la petite poule, les fleurs des champs et les papillons gardèrent bien leur secret.
C'est ainsi que, chaque année, lorsque s'annonce le printemps, on prit dans ce petit pays et ensuite dans le monde entier l'habitude de décorer les oeufs ....

Déposé par spanky le 31/03/2024  
Une joyeuse journée de Printemps !
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Pâques est un jour de fête que l’on soit chrétien ou pas
Les parents affectueux, dans les jardins, cachent des œufs
Dimanche de Pâques ou Lundi de Pâques, Jours Heureux !
Prières pour la fin du Carême chrétien, expression de la foi
Qu’en cette belle fête de Pâques fusent de tendres vœux !
Vivons ensemble une journée de joie, un jour merveilleux!
Que les enfants sages partagent des œufs en chocolat
Aujourd’hui, une religion nous invite à la Joie !
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Par ce poème je vous souhaite mes amis de Joyeuses Pâques
Mots de poésie pour vous présenter mes beaux vœux.
Que tous les enfants du monde aient des œufs dans leur sac
Pâques est un jour de paix pour les cœurs et les yeux.
Le repas de Pâques sera un moment de sagesse.
Les prières du monde s’unissent dans une seule messe.
Nos vœux et souhaits s’unissent en une même promesse
Que la guerre et la misère sur terre en ce jour cessent !
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Joyeuses Pâques à toutes et tous !

Déposé par poutounou le 31/03/2024  
Matin de Pâques
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Dig, ding, don ! Dig, ding, don !
Sonnez matines, Frères Jacques !
Dig, ding, don ! Dig, ding, don !
Sonnez le carillon de Pâques !
Dig, ding, don ! Dig, ding, don !
Cloches, clochettes et bourdons,
Par ce matin clair et sonore,
La poulette jaune picore
Un grain d’or par-là, un grain par ci,
Et se promène sans souci.
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Fais-nous vite un œuf ma poulette,
A la coquille blanche et nette,
Ou plutôt… Tiens ! Oui c’est cela,
Fais-nous un œuf en chocolat.
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Daniel Roth
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Je souhaite à tous les anges du Paradis blanc ainsi qu'à leur famille de coeur de Joyeuses fêtes de Pâques avec plein de chocolat et d'oeufs multicolores, miam, miam, slurp....Hier ils ont tous fêté Pâques dans la grande prairie avec des mets tous plus succulents les uns que les autres. Qu'il fait bon vivre dans ce "Paradis blanc" où tout n'est qu'Amour et où il n'y a pas de place pour la méchanceté, la torture, l'abandon et toutes ces "choses" si négatives que l'on trouve sur terre...
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Je souhaite également, à tous les membres du cimetière virtuel, une bonne santé, car c'est le plus important : sans la santé rien ne va....alors "Super santé" à vous tous...
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Amicalement,
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Martine




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