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En hommage à
JACK-RUSSEL-TERRIERCapone
Il est né le:12/11/2007
Il nous a quittés le:26/02/2022
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En hommage à
Capone
115 bougies
5965 Fleurs
Déposé par spanky Vous rêvez de lui, et dans vos songes il respire encore; vous ne savez pas, alors, ouvré vos yeux aux aurores. Vous aimeriez que les nuits ne s'arrêtent pas, qu'elles se parent d'un voile d'éternité. Déposé par colombine67 Le monde serait un monde bien meilleur si les personnes avaient un cœur de chien Déposé par nina1997 Tu verras que seul ce qui t'apporte de la peine t'apporte aussi de la joie. Quand tu es triste regarde à nouveau dans ton cœur et tu verras que tu pleures ce qui te rendait heureux. K.Gibran Déposé par nina1997 Les chiens sont notre lien vers le paradis. Ils ne connaissent pas le mal ou la jalousie ou le mécontentement. Kundera Déposé par choupinou désolée petit ange d'amour mais je vais m'absenter ce weekend je ne pourrais pas te déposer un bouquets ou un poème,j'espère que tu ne m'en voudras pas trop,ceci dit je t'emmène avec moi par la pensée Déposé par spanky Vous n'aimez pas dire adieu à votre ami à 4 pattes, c'est comme si vous disiez adieu aux souvenirs, comme si vous ne l’avez plus dans votre cœur. Vous préférez un au revoir, et ne jamais l'oublié. Déposé par nina1997 Mon cœur ne s'épuisera jamais🩷 Puisses tu y cueillir toutes les tendresses qu'il a pour toi🩷 Mirabeau Déposé par colombine67 Je respecte plus les animaux que les personnes parce que nous sommes ceux qui détruisons le monde, et non eux Déposé par nina1997 Je ne cesserai jamais de t'aimer🐕 car le soleil ne cesse de briller☀️Tant qu'il y aura de la lumière dans le ciel 🌈 il y en aura dans mon cœur ❤️ Déposé par spanky Il vole le ciel est à lui, il parle aux étoiles, il plane de soleil en soleil, il vole, il vole, il brille, il brille, il vit. Le ciel est à lui l'infini est bleu, bleu et doux et merveilleux. |
1059 messages
Déposé par spanky le 06/10/2023J'en ai pleuré des larmes devant des petits corps endormis. J'ai pleuré sur les miens, sur les vôtres, sur toutes celles et ceux qui me renvoyaient les images des départs, des adieux déchirants, de l'absence à venir. L'amour est ainsi fait qu'il nous inonde de bonheur et nous plonge dans le désarroi le plus profond. Alors autour de nous cette phrase tant de fois entendue nous intimant de faire notre deuil. Comme si nous pouvions créer comme par magie, les conditions du détachement et de l'oubli . Comme si nous devions mettre un mouchoir sur nos émotions. Comme si c'était la solution. Au delà de la peine bien légitime, de cette tristesse qui nous colle à la peau dès les premiers instants, au plus profond de notre cœur, nous savons. Nous savons que l'amour se transforme, qu'il ne meurt jamais. Nous savons qu'il nous faudra réapprendre à vivre avec une présence plus subtile, plus intime, plus intuitive. Nous savons que nous ne sommes jamais seuls. Enfin, nous savons qu'il nous faudra accepter ce changement, cette nouvelle relation à l'autre, à celles et ceux que nous chérissons toujours et qui nous aiment. Autour de nous, tout se transforme. La feuille de l'arbre solidement accrochée à sa branche en été qui change de couleur puis se laisse doucement tomber jusqu'au sol l'automne venu pour renaître au printemps sur cette même branche. Ce brin d'herbe que l'on coupe et qui repousse inlassablement. Cette fleur qui, saison après saison, réapparaît au sommet de sa tige nous offrant ses plus belles couleurs. |
Déposé par spanky le 04/10/2023Le chien abandonné, ---------- Quand ils ont claqué la portière, Il n'a pas compris tout de suite. Il a couru longtemps derrière, Mais la voiture allait trop vite. Et pendant des journées entières, Il a vu les autos passer. Mais vous, auriez-vous fait marche arrière En voyant ce chien sans collier ? Car après les premières caresses, Puis quelques mois d'indifférence, Beaucoup de chiens perdent leur laisse Au début des grandes vacances. Comme un objet que l'on jette Quand il n'est plus au goût du jour, Il sera remplacé, peut-être, Par un chien plus jeune au retour. Le chien abandonné en été par ses maîtres Flaire toujours la route et fait des kilomètres. Il traverse les villages et s'approche des enfants Qui n'osent le caresser, de peur qu'il soit méchant, De peur qu'il soit méchant. Il n'a pas oublié ses maîtres Depuis le jour qu'il vagabonde, Et pour les retrouver peut-être, Il ira jusqu'au bout du monde. Il n'a plus d'âge et plus de race. Qu'importe comment il s'appelle ! Mais à le voir suivre leurs traces Moi, je vais l'appeler Fidèle. Le chien abandonné en été par ses maîtres Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais De chien abandonné. ---------- Chanson de jean Rochefort (1984) au bénéfice de la SPA. |
Déposé par poutounou le 04/10/2023L’Amour Véritable, c’est ce que nous ressentons toutes et tous pour nos Anges, qu’ils soient près de nous sur terre ou dans ce merveilleux Paradis Blanc qu’est le leur après la vie ici-bas * Amour véritable * C'est vrai que l'amour nous transforme c'est quelque chose d'impalpable c'est la douceur d'un bonheur énorme qui nous transcende de façon inexplicable * On se sent joyeux, on se sent léger on a envie de rire, de danser, de chanter on a envie de faire plaisir, de partager on se sent capable de tout affronter * L'amour nous comble et nous rassasie parfois on perd même l'envie de manger nous avons des ailes, c'est la frénésie nous serions presque capables de voler * On ne sait pas ce que c'est que l'amour c'est quelque chose d'indéfinissable c'est une recherche de toujours un sentiment fécond et insaisissable * On sait juste qu'il est intarissable que plus on donne et plus il abonde c'est la chose la plus formidable qui puisse nous arriver en ce monde |
Déposé par choupinou le 03/10/2023Fais moi une fleur Dans ton jardin Pour que mon coeur T'arrose chaque'matin De son parfum. Fais moi une'place Dans ton coeur Pour que ma vie Ne soit pas habiller De gris Fais moi encore rêver A ces matins A te regarder, à t'aimer Sans te parler, Juste avec les yeux Mon coeur entre nous deux |
Déposé par spanky le 02/10/2023Cette nouvelle absence, quelle violence Quelle déchirure et blessure immenses Pourrai-je donner un sens à l’insensé Pourrai-je un jour enfin l’accepter Désormais tu es parti, adieu Mes yeux te chercheront dans les cieux Pour toujours tu seras dans nos coeurs Aide-nous à ce que la joie demeure La vie a décidé de ton départ Et je dois te dire au revoir Je t’ai aimé et je te remets à Dieu Jamais plus rien ne sera comme avant Depuis ton dernier souffle dans le vent Je te rejoindrai mais pas maintenant Car la vie va toujours de l’avant Merci pour tout cet amour partagé Nous serons plus grands de t’avoir aimé Merci pour tout l’amour en héritage Ce chant nous te l’offrons en hommage |
Déposé par poutounou le 01/10/2023Message d’un « être humain » pour lequel j’avais beaucoup d’estime… * Le secret du bonheur... * Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanité est l'histoire du besoin d'aimer et d'être aimé. ... * Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le cœur, symbole de l'amitié et de l'amour, a aussi ses normes, son éthique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalité n'a rien à voir avec la sensiblerie ni même la sentimentalité. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'être à l'existence des autres, la capacité de les deviner, de les comprendre. * Une telle sensibilité, vraie et profonde, rend vulnérable. C'est pourquoi certains sont tentés de s'en défaire en se durcissant. * Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'être une inclination instinctive, l'amour est une décision consciente de la volonté d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vérité, il faut se détacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dépossession de soi, oeuvre de longue haleine, est épuisante et exaltante. Elle est source d'équilibre. Elle est le secret du bonheur. * Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980 |
Déposé par spanky le 30/09/2023Prête-moi ta maison juste un instant Je n'ai pas de voix pour t'appeler Uniquement mes yeux qui te parlent en silence Je ne sais travestir mes sentiments Et ce que je ressens transparaît dans mon regard. Moi aussi, j'ai été dans un petit ventre au chaud Et je ne sais toujours pas pourquoi on m'a laissé Je pense que Dieu m'a sauvé cette même après-midi Quelqu'un m'a dit qu'ils ont tué ma mère Je te promets d'être fidèle, de te protéger Ne pas te déranger, me tenir à une certaine distance Etre avec toi si tu as besoin de ma tendresse Et rester tranquille, même si je meurs d'envie de te faire un bisou. C'est peu ce que je demande... je ne demande rien Un peu de nourriture, un peut d'affection de temps à autre, Une petite couverture pour dormir au chaud Autrement, ça ne fait rien, je reste ici chez moi ... Il n'y a pas de place pour le silence ni pour des mains qui ne frappent pas Je comprends ... tes raisons Comprends ... mes manques Je sais que tes raisons t'incommodent Mais sais-tu que mes manques sont en train de me tuer??? Peut-être que tu tiens ma vie entre tes mains? Je ne sais pas ce que me réserve aujourd'hui La même faim... le même froid Peut-être un coup? Ce que je ne peux par contre pas te garantir C'est si demain tu auras la possibilité que tu as aujourd'hui de me recueillir Sors-moi de la rue Prête-moi ta maison, juste un instant ... ---------- D'après Capitan Bermudez Mascotas |
Déposé par colombine67 le 29/09/2023Les personnes qui n'ont jamais eu d'animaux domestiques, et plus globalement ceux qui n'aiment pas les animaux, ne peuvent pas comprendre l'amour que l'on peut avoir pour un chien, un chat ou tout autre animal. Bien souvent pour eux, aimer un animal comme on aime un enfant est irrationnel. Pour toutes ces personnes hermétiques et insensibles à ce sentiment, l'écrivain Richard A. Biby a écrit un joli texte. Il est dédié à tous les chiens en général, mais aussi à toutes celles et ceux qui ne comprennent pas cet amour inconditionnel. De temps en temps les gens me disent "voyons, c’est juste un chien" ou "tu en dépenses de l’argent juste pour un chien"… Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour "juste un chien". Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de "juste un chien". J’ai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, "juste un chien" et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de "juste un chien" et, dans ces jours sombres, le doux contact de "juste un chien" m’a donné du réconfort et permis de traverser la journée. Si vous aussi, pensez que c’est "juste un chien" alors vous comprendrez probablement des phrases comme "juste un ami", "juste un lever de soleil" ou "juste une promesse". "Juste un chien" apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée. "Juste un chien" fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. À cause de "juste un chien" je me lèverai de bonne heure, ferai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas "juste un chien" mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment. "Juste un chien" fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée. J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas "juste un chien" mais l’être qui m’a donné l’humanité et qui m’a préservé de n’être que … "juste un homme ou une femme". Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase "juste un chien"… souriez, parce que c’est "juste qu’ils n’ont pas compris". Richard A. Biby, 2006. |
Déposé par spanky le 28/09/2023"Ce n'est qu'un au revoir" ----------- Il ne faut pas dire adieu à ceux qui quittent la terre Pour un voyage merveilleux vers les sphères de lumière. Il ne faut pas dire adieu à ceux et celles que l'on aime, A l'instant où ils ferment les yeux et qu'un bel Ange les emmène. Il ne faut pas dire adieu à ceux qui, dans la souffrance, S'en vont, au Royaume des Cieux, chercher la délivrance. Il ne faut pas dire adieu à ceux que le ciel éclaire, Lorsque, sereins et heureux, ils quittent cette vie éphémère. A celles et ceux qui vont là-bas, derrière le voile de l'Au-delà, ce qu'il faut dire, avec espoir, c'est un tout simple : au revoir ---------- Texte de Tommy Lobatcheff |
Déposé par poutounou le 28/09/2023Magnifique texte écrit par une femme décédée d’un cancer. On ne pense pas toujours à tous ces petits « plaisirs » que nous offre la vie… * Si je pouvais revivre ma vie * J’aurais moins parlé mais écouté davantage. J’aurais invité des amis à venir souper même si le tapis était taché et le divan défraîchi. J’aurais grignoté du maïs soufflé au salon et ne me serais pas souciée de la saleté quand quelqu’un voulait faire un feu dans le foyer. J’aurais pris le temps d’écouter mon grand-père évoquer sa jeunesse. Je n’aurais jamais insisté pour que les fenêtres de la voiture soient fermées par un beau jour d’été tout simplement parce que mes cheveux venaient justes d’être coiffés. J’aurais fait brûler ma chandelle sculptée en forme de rose au lieu de la laisser fondre d’elle-même parce qu’entreposée trop longtemps dans l’armoire. Je me serais assise dans l’herbe avec mes enfants sans me soucier des taches de gazon. J’aurais moins ri et pleuré en regardant la télé, mais davantage ri et pleuré en regardant la vie. Je serais restée au lit lorsque malade plutôt que de prétendre que la terre cesserait de tourner si je ne travaillais pas cette journée là. Je n’aurais jamais rien acheté pour la simple raison que c’était pratique, ou encore à l’épreuve des taches ou parce que garanti pour durer toute la vie. Au lieu de souhaiter la fin de mes neuf mois de grossesse, j’en aurais savouré chacun des instants en réalisant que la merveille grandissant en dedans de moi était la seule chance de ma vie d’aider Dieu à faire un miracle. Lorsque mes enfants m’embrassaient avec fougue, je n’aurais jamais dit : « plus tard. Maintenant va te laver les mains avant de souper. » Il y aurait eu plus de « je t’aime »…, plus de « je suis désolée »…, mais surtout, si on me donnait une autre chance de revivre ma vie, j’en saisirais chaque minute… la regarderais et la verrais vraiment…, la vivrais… et ne la redonnerais jamais. * Emma Bombeck, décédée d'un cancer |
Déposé par choupinou le 26/09/2023Absence Reviens, reviens, mon bien-aimé ! Comme une fleur loin du soleil, La fleur de ma vie est fermée Loin de ton amour sans pareil. Entre nos cœurs tant de distance ! Tant d'espace entre nous deux ! Ô sort amer ! Ô dure absence ! Ô grands chagrins me rend malheureux ! Au pays qui me prend mon ami fidèle, Hélas ! Si je pouvais aller ; Et si mon corps avait une aile Comme mon âme pour voler ! Par-dessus les vertes collines, Les montagnes au front d'azur, Les champs rayés et les ravines, J'irais d'un vol rapide et sûr. Le corps ne suit pas la pensée ; Pour moi, mon âme, va tout droit, Comme une colombe blessée, S'abattre au rebord de son toit. oh quand reviendras tu ? « Tu sais je compte les jours, Ô mon doux p'tit ange , je suis si las Retourne au nid de nos amours. » |
Déposé par spanky le 26/09/2023Une larme est une promesse, Pleine de noblesse. C'est une fleur de cristal, Une goutte d'eau remplie d'étoiles. Elle coule le long des joues, Apparaissent pour rien et pour tout. Messagère de tristesse ou de joie, Du chagrin que l'on cache au fond de soi. L'arme d'espoir ou de souffrance, Des séparations des amours de nos amis à 4 pattes. Une larme est le miroir de la vie, Et coule jusqu'à l'infini... |
Déposé par choupinou le 25/09/2023Automne de Claire Raphaël L’automne inonde nos regrets d’un lustre inconséquent et d’une couleur bronze ces regrets orgueilleux réveillés par le sucre d’un vin capiteux qui s’abreuvent du sang de nos mémoires sombres qu’on avait achetés à des marchands de mort pour habiller nos corps d’un drap de larmes rouges. Ces regrets qui remplacent le repentir sincère par des frissons de fièvre incisifs et tenaces qui nous laissent fautifs d’être aujourd’hui si vieux plus vieux que les serments qui n’ont pas eu le temps de mûrir au printemps. L’automne abreuve nos souvenirs de flammes meurtrières coupantes comme hier nous avons délaissé nos plaisirs ordinaires pour des postures noires pleines d’anxiété. |
Déposé par spanky le 24/09/2023Lettre d'un vieux chien à son maître. ---------- Je suis ici dans un coin sur une flaque de pipi que j'ai moi-même provoquée et que tu es fatigué de nettoyer. Les mouches survolent ma nourriture que tu as mise hier. C'est que je n'ai plus faim, ni même envie de me lever. Je suis allongé toute la journée, presque sans bouger. Je me sens fatigué, même si je ne fais rien. Je suis fatigué. Je ne sais pas, mais je sens le poids des os. Je suis si maigre, que seule la peau me soutient, mais surtout je suis triste. Pas pour moi qui me vois comme un vieux chiffon, ... non ... plus que tout pour toi, qui ne te soucie plus de moi. Et je vois qu'à chaque fois, je te dérange davantage. Je sais que ma présence est gênante, à présent, à la maison. Que même les puces me fuient, mais qu'y puis-je? Cela fait tant d'années que nous sommes ensemble et tu sais que depuis toujours je t'ai servi comme mon maître et plus encore je fus ton ami. Je vois que tu vas mal, je remarque que tu es taciturne. L'indécision rôde dans ton esprit et je sais de quoi il s'agit. Un ami te l'a dit l'autre jour : "Ça ne peut durer ainsi. Ecoute-moi, sacrifie-le, c'est l'unique solution où tu aimes le voir souffrir?" Je sais que ton ami n'avait pas de mauvaises intentions, mais s'il te plaît ne le fait pas ... non ... Je ne veux pas qu'ils me tuent. Vieux et maigre comme je suis, j'aime la vie. Envisage autre chose, cherche une alternative. Je veux continuer à me battre. Ne te rends pas ... encore. Et s'il ne devait plus y avoir de remède et si malgré tout tu ne trouvais quelque chose qui soulage ma vie, alors laisse-moi mourir en paix, quand mon jour viendra. |
Déposé par poutounou le 24/09/2023Le manifeste de la gentillesse * Face à l'indifférence, au manque de respect et au cynisme, nous possédons sans le savoir l'arme la plus efficace qui soit : notre coeur. La gentillesse n'est pas un renoncement, une démission ou une soumission, c'est un choix traduit par des petits gestes qui rendent la vie plus agréable. La gentillesse est une intelligence et elle est contagieuse. Agissons ensemble chaque jour pour un monde plus humain. * POUR En finir avec le chacun pour soi Refuser le cynisme ambiant Déjouer l'agressivité quotidienne Dire non à l'indifférence Choisir d'être plus attentif aux autres Mettre de l'harmonie dans mes relations Etre altruiste et bienveillant * JE CHOISIS DE CONSTRUIRE CHAQUE JOUR, AVEC DES MILLIERS D'AUTRES, UN MONDE PLUS HUMAIN |
Déposé par choupinou le 22/09/2023Il n'y a pas de solution à la peine immense que l'on ressent, chacun empreinte la route de la reconstruction comme il peut Ce bien-être que nous cherchons, il nous est donné par la beauté du monde. L'observer, la contempler, c'est un principe de régénération comme l'oxygène. C'est pour cela que je pars (nous partons) ce weekend en Teardrop dans le Cantal; la petite montagne me fera du bien, chers petits amis, j'ai besoin de retrouver la sérénité, la paix dans mon coeur meurtri, ne m'en voulais pas de pas être auprès de vous, sur ce cimetière, mais vous serez malgré tout dans mes pensées car de la haut je sais que vous m'aider...Je ne serais pas seule, je sais aussi que mes anges seront présents |
Déposé par spanky le 22/09/2023Ce texte n'est pas de moi.... ---------- Choupette n'était pas une chienne comme les autres. Elle était un chienne de laboratoire et s'est vu offrir une seconde vie grâce à sa famille adoptante. 😢😭😢😭😢😭 Je m’appelais Choupette… Je venais de fêter mes 16 ans.. Je suis née dans une cage, comme ma maman d’ailleurs, comme mes frères et sœurs, comme mes enfants aussi… J’y suis restée 9 ans et demi.. Jusqu’à ce qu’ils décrètent que je ne servais plus à rien… et oui, j’étais ce qu’on appelle un chien de labo . ----- Il paraît que se sont des recherches pour les humains, que les labradors sont tous comme mes copains les beagles, des chiens « adéquats ». ----- Ils m’avaient inoculé la myopathie, ou peut-être que c’est ma maman qui m’avait filé cette s*****rie, je ne saurai jamais. ----- Au bout de 9 ans, j’étais pas morte alors à quoi bon continuer des tests sur un chien qui résiste ?? Ils ont dû considérer que soit leur traitement était efficace, soit j’étais trop résistante… bref, leur conclusion m’a sauvé la vie, elle aurait pu être mon arrêt de mort. ----- C’est à ce moment-là qu’une dame du labo a mis une annonce pour me trouver une famille, certainement pour m’éviter la piqure qui les aurait débarrassés. Je suis sortie pour la 1ère fois dans l’univers extérieur. Qu’est-ce que j’ai eu peur ! De tout, des humains, des congénères que je ne connaissais pas, des voitures, des bruits, des mains,… ----- Je ne connaissais rien à rien, j’ai du tout apprendre comme un bébé. A + de 9 ans, si vous saviez comme c’est dur . Il parait que la nature se débarrasse de ce qui ne sert pas, alors je crois que mon cerveau avait éliminé tout ce qui ne m’avait pas servi depuis 9 ans comme courir, monter les escaliers, aboyer, jouer, montrer des sentiments comme la joie, la peur, la tristesse et même la douleur. ----- J’ai eu du mal à mettre les pattes dans l’herbe, dans l’eau, dans la neige ; à faire mes besoins lors des sorties. Mais mes parents m’ont tout fait faire, on ne s’est jamais découragés. J’ai, toute ma vie, conserver une peur farouche lorsqu’on me touchait. J’ai jamais réussi à communiquer, à créer des liens particuliers avec mes congénères même si, dans mon fort intérieur, je tenais à eux. Je les ai tous aimés à ma façon. ----- Je me suis accrochée pendant ces 6 ans et demi de vie de sursis, comme je pouvais, comme mes parents et toute ma famille, pouvaient. J’étais leur « petite autiste ». On avait beaucoup de mal à communiquer mais la seule chose dont on était sûr, c’est qu’on s’aimait très fort et qu’on resterait fidèles jusqu’au bout. ----- Ce bout est arrivé … J’ai fait un incident cardiaque il y a 10 jours, et vu mon âge, j’ai pas réussi à remonter la pente… j’ai peut-être même fait en plus un AVC a dit le véto. Bref, mon corps a lâché, je ne tenais plus debout, j’avais de grosses grosses difficultés à respirer. Je savais depuis 2 jours que je n’y arriverais pas, et je l’ai fait comprendre à mes parents, je ne voulais plus être seule, j’avais trop peur de partir sans eux.. ----- Voilà, j’espère que la haut, si ça existe (??) je retrouverai mon Toto, mon fidèle et ma copine Doly, la seule avec qui j’ai réussi à tisser des liens particuliers d’amitié visibles. ----- Au revoir tout le monde, je n’oublierai personne… ne m’oubliez pas ! |
Déposé par choupinou le 21/09/2023Merci beaucoup pour l'attention que vous m'avez apporté pendant tout ce temps qui est difficile pour moi, pour nous, entre le décès de notre petit GARGAMEL, et le souvenir il y a 2 ans du départ de CINDY, je l'ai reçu chaque jour et aujourd'hui je vous en suis reconnaissante La gratitude s’exprime en peu de mots, surtout quand elle est profonde. Merci encore pour vos pensée lors de l'anniversaire de CINDY. Je suis touché. Amitié choupinou |
Déposé par colombine67 le 21/09/2023Je suis le box 58 Au fond de l'allée à droite. Né dans une ruelle brûlante D'un misérable village d'une cruelle Espagne Je suis le chien errant dont on se débarrasse. Un matin, des hommes sont venus Armés de bâtons, c'est après nous qu'ils en avaient Pardon ma Mère d'avoir si vite couru Pardon mes Frères de vous avoir abandonnés Sans me retourner Pendant que l'on vous exterminait Car tant de haine les anime Seul pendant une année, j'ai erré La faim, la soif me tenant, toujours sur mes gardes J'ai rusé, je me suis bien battu Mais les monstres m'ont capturé au lasso Et jeté dans cet humide cachot Dont le toit cassé Laisse passer la pluie Lorsqu'il gèle le sol est glacé Lorsque le soleil est au plus haut Il m'écrase de sa chaleur Qu'aucune ombre n'apaise Comme mon box est le dernier du refuge, Il n'y a pas de vis-à-vis Rien n'arrête le vent Qui me transperce par tous les temps Et point d'endroit pour me mettre à l'abri Lorsque vient la distribution du repas Bien souvent on m'oublie Ni eau, ni pain pour moi. Au début, j'ai pleuré tous les jours, toutes les nuits A présent, depuis tant d'années Je me suis résigné Oublié de tous Je n'attends plus rien du genre humain Qui m'a enjôlé pour mieux me punir D'avoir voulu être un chien d'Espagne Fier et libre Et les années ont passé Lentement, interminablement................. Je me suis habitué à ne jamais plus courir Je regarde les murs de ma prison Qui sont mon seul horizon S'il y a encore un peu de pitié Qu'on me fasse mourir Pour abréger cette lente agonie Je suis si seul et sans espoir....... Mais un jour, deux petites mains Se sont posées sur mes barreaux J'ai à peine levé la tête Pour regarder cette enfant Blonde, rose qui m'observe en silence Et me fixe intensément Puis elle appelle .... Prudent, je ne bouge pas Elle appelle de nouveau Deux grands viennent voir Ce qui suscite tant d'émoi La petite voudrait bien de moi Mais les parents rechignent Il est bien laid et si vieux Alors l'enfant pleure Elle veut celui-là, en me montrant du doigt Celui du box 58, au fond de l'allée à droite. On palabre, on discute près de moi Quel triste sort m'attend ? Qu'ont-ils donc encore inventé Pour me tourmenter ? Je tends le dos................ J'attends.................. On me met un collier On me tire avec une laisse On me pousse, on me porte Point de coups ? Point encore................. Pourtant rien. On m'installe dans une jolie maison Ce panier confortable est pour moi La bonne gamelle et l'eau fraîche aussi Le jardin est si beau............ Tout cela serait-il possible ? C'était il y a quelques jours J'ai donné un peu de confiance J'ai reçu tellement d'amour Maintenant, moi j'ai une Princesse Qui m'interpelle sans cesse J'entends ses petits pieds nus Qui claquent sur le sol Elle passe ses bras autour de mon cou Et me murmure des mots doux Ainsi donc c'était vrai Qu'un jour il y aurait Quelqu'un pour m'aimer Quelqu'un pour qui je compterais Qui m'accorderait de l'importance Sans rien demander en retour Une part d'amour pour moi Rien que pour moi..... Alors, vous qui le Dimanche Visitez les Refuges D'Espagne ou d'ailleurs N'oubliez jamais le même que moi Qui vous attend Dans le Box 58 Au fond de l'allée à droite........................... |
Déposé par spanky le 20/09/2023Chanson de Félix Leclercq --------- Pour la mort d'un chien --------- Il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre au coin d'une rue, C'est tant pis pour moi, je n'suis pas venu. Pourtant, j'avais dit au printemps, Avec les fleurs, les vents d'avril, Les hirondelles ont fait des milles, Lui dire que j'étais au tournant. Il m'a attendu tout l'été, tout l'été, Pour qu'ensemble on aille courir dans les champs, Je lancerai dans la coulée Le bâton qu'il tient entre ses dents. Quand l'automne est venu, il a vu Que peut-être je ne reviendrais plus. Il a r'culé au fond d'la cour, A pleuré la chute des jours. Le postillon lui a dit : "T'en fais, Espère un peu, encore un mois" Un voisin lui a dit : "Viens chez moi, J'ai des enfants, on te guérira." Mais non, il a attendu la neige, Et elle l'a pris comme un sortilège. Il s'est dit : "Elle le ramènera" Mais j'ai failli encore une fois. Donc, il est allé à la ville Pour essayer de me r'tracer. Il a passé sous toutes les grilles Et mordu tous les policiers. Et puis, écœuré de l'amour, Des charités, des beaux discours, Il s'est roulé au coin d'la rue, Attendit qu'on lui passe dessus. S'il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre et je l'ai déçu, Je mériterais qu'on ne m'aimât plus. Pourtant ... |
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