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En hommage à
CANICHEHeliot
Il est né le:20/06/1992
Il nous a quittés le:21/11/2003
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En hommage à
Heliot
51 bougies
12824 Fleurs
Déposé par nina1997 Si les âmes les plus gentilles étaient récompensées par une longue vie, les chiens vivraient plus longtemps que nous🐕💝 |
2302 messages
Déposé par rafia le 07/07/2015Au bout du monde Au bout du monde, il n’y a pas de route, mais le terme d’un pèlerinage. Au bout de l’ascension, il n’y a pas l’ascension, mais le sommet. Au bout de la nuit, il n’y a pas la nuit, mais l’aurore. Au bout de l’hiver, il n’y a pas l’hiver, mais le printemps. Au bout de la mort, il n’y a pas la mort, mais la VIE. Au bout du désespoir, il n’y a pas le désespoir, mais l’Espérance. Au bout de l’humanité, il n’y a pas l’homme, mais l’Homme-Dieu. Au bout du Carême, il n’y a pas le désert, mais la RESURRECTION. (Joseph Folliet), |
Déposé par rafia le 06/07/2015Un groupe tout à l'heure était là sur la grève... Un groupe tout à l'heure était là sur la grève, Regardant quelque chose à terre. - Un chien qui crève ! M'ont crié des enfants ; voilà tout ce que c'est. - Et j'ai vu sous leurs pieds un vieux chien qui gisait. L'océan lui jetait l'écume de ses lames. - Voilà trois jours qu'il est ainsi, disaient des femmes, On a beau lui parler, il n'ouvre pas les yeux. - Son maître est un marin absent, disait un vieux. Un pilote, passant la tête à sa fenêtre, A repris : - Ce chien meurt de ne plus voir son maître. Justement le bateau vient d'entrer dans le port ; Le maître va venir, mais le chien sera mort. - Je me suis arrêté près de la triste bête, Qui, sourde, ne bougeant ni le corps ni la tête, Les yeux fermés, semblait morte sur le pavé. Comme le soir tombait, le maître est arrivé, Vieux lui-même ; et, hâtant son pas que l'âge casse, A murmuré le nom de son chien à voix basse. Alors, rouvrant ses yeux pleins d'ombre, exténué, Le chien a regardé son maître, a remué Une dernière fois sa pauvre vieille queue, Puis est mort. C'était l'heure où, sous la voûte bleue, Comme un flambeau qui sort d'un gouffre, Vénus luit ; Et j'ai dit : D'où vient l'astre ? où va le chien ? ô nuit ! Victor Hugo |
Déposé par rafia le 05/07/2015Le testament de Brutus *~*~* A mon maître: Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Brutus Thibault, (communément appelé La Brute par mon père, amis et connaissances), dépose en secret dans l'âme de mon grand ami, mon maître , mon testament. J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais, me regretteront le plus, à Michel, Nancy et Yann qui ont été si bons pour moi. Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Michel de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de le réconforter dans la peine et de lui apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais lui causer du chagrin. Je le prie de ne pas oublier qu'à sa tendresse et à sa sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour celui qui m'a donné son affection. Il me sera douloureux de le quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe-t-il après? Nul ne le sait. En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu mon maître, dire: "Quand Brutus mourra, je n'aurai jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre." Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que, maintenant que j'ai fait partie de la famille, il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même mon co-locataire, un chat... Miow-Miow, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille). Aussi je conseille à mon maître de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli, aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et aussi que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël. Un dernier mot à Michel, Nancy, et Yann, Chaque fois que vous penserez à moi : dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos côtés : "Brutus était un être qui nous aimait et que nous aimions. "Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Brutus Thibault Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. |
Déposé par rafia le 04/07/2015Mon chien...chanson de Bourvil. Une fois, j'ai trouvé un cabot Moitié fox et moitié caniche Bien qu'il soit sûrement à des riches Il a reniflé mes godillots J'étais le long de la Seine à Saint-Denis Le soleil tapait dans les feuillages C'était un vrai temps à mariage Il m'a suivi J'ai d'abord foutu des cailloux J'avais pas besoin de bouche inutile La tartine est trop difficile À trouver et moi, je suis pas fou J'allais pas me mettre à lui donner Le peu qu'il y avait dans ma musette Il était têtu, c'te bête ! J'ai partagé Puis on est partis tous les deux J'ai apprécié sa compagnie J'étais tout le temps seul dans la vie Je me suis senti moins cafardeux Le soir, il venait s'entortiller Près de moi. J'étais dans ma toile Content d'avoir sous les étoiles Une amitié Un chien, ça s'en fout de la laideur Des manières et des élégances Tout bête que c'est, un chien ça pense On a du rêve et puis un cœur Y a bien des filles qui ont rigolé Qui ont eu pour moi des complaisances Mais y a que mon chien dans l'existence Qui m'a aimé Un jour qu'il pleuvait en hiver Je finissais de casser la croûte Il était à peine sur la route Qu'une auto me l'a fichu en l'air Il m'a regardé, l'air étonné Puis sa petite âme s'est endormie Et pour la première fois de ma vie Ben, j'ai chialé |
Déposé par rafia le 03/07/2015Pr tous nos amours/canins. AU REVOIR... Petit être de douceur, Qui m'a donné tant de bonheur, Toi, qui a tjrs charmé mon coeur, Aujourd'hui, je te pleure. Petit être de douceur, Tu as enrichi ma vie, De souvenirs tellement jolis, Pr tjrs ds ma mémoire, inscrits. Petit être de douceur, Je n'ai pas vu arriver l'orage Qui a empli mon coeur de rage. La Mort t'a emporté Je n'ai même pas ressenti que tu allais t'en aller. Petit être de douceur, Toi mon enfant/canin et mon ami//e, pr toujours. Toi qui ne trahit jamais Ton séjour sur terre, est bien trop court. Et la grande faucheuse est un vautour. Après un dernier regard, Contenant ta tendresse, sans fard Tu m'as ôté mon dernier espoir, Pourtant tu ne voulais pas mon désespoir. Tu es parti//e doucement, Te voilà envolé/é Avec ts tes regrets Vers ce que l'on appelle l'ETERNITE. Une certitude, tu ne voulais pas me quitter. Va, mon tendre petit coeur, Tu as ta place au Paradis Mais STP, n'oublie pas notre bonheur. Petit être de douceur, Toi qui a un si grand coeur, N'oublie jamais ta maman. Si c'est vrai qu'un jour l'on se retrouvera, Je suis certaine que vers moi, tu reviendras. Au revoir mon coeur, Au revoir mon infini bonheur Au revoir petit être de douceur. Au revoir mon âme soeur. |
Déposé par rafia le 02/07/2015Message de l'au-delà... Perdu//e ds les nuages A des années- lumière de là où j'ai vécu, Je pense tendrement à vs, Mon reconnaissant petit Coeur/Canin Se souvient des doux instants de bonheur. Ma vie auprès de vs, C'était la perfection, Je pourrais en faire l'apologie, C'était de la magie. Comme vs m'avez rendu//e heureux//se !!! Auprès de vs, mon existence aura été merveilleuse. Perdu//e sans vs, Ma vie a bien changé, Mais mon petit Coeur/Canin Ose croire en l'Eternité, Une Eternité qui fera, Que je serai à nouveau à vos côtés, Foi, de votre trésor/Canin. Maman, tu es l'astre qui me guide, Après que la Mort perfide, M'a soustrait//e à ton affection. Je rêve à mon réconfort, Lorsque je serai à nouveau ds tes bras. Foi, de ton Amour/Canin, Ns ns retrouverons. Avec toute ma tendresse, pr toi "mon" adorable HELIOT. Maryem |
Déposé par rafia le 01/07/2015Les grandes vacances et les criminels qui abandonnent lâchement, leur amour canin... Curling, chien abandonné Bien des gens sont passés, sans même me regarder Depuis que je suis prisonnier ds ce refuge pr chiens abandonnés, Maintenant mes jours sont comptés. Je vais mourir. Ds ma tête de chien, il y a tant de souvenirs, Je vs aimais d'un amour inconditionnel, Pourtant vs avez été très cruels. Sept ans de bonheur, je n'étais encore q'un bébé, Lorsque vs m'avez adopté, Cadeau de Noël, pr vos enfants, que j'aimais tant. Pr un beau jour de juillet, vs m'avez jeté pr la portière, Comme un vulgaire jouet usagé, dont on veut se débarrasser, Je me suis traîné sur le bord de cette autoroute, En vs regardant vs éloigner. J'ai marché longtemps avec ma patte cassée, gémissant de douleur, Et le coeur brisé pr tant de cruauté, Je ne suis plus qu'un pauvre chien, sans collier. Quand la nuit envahit ma cage, je rêve que je vais vs revoir, Que tout cela n'est qu'un cauchemar, mais quand le jour se lève, J'ouvre mes yeux remplis d'espoir, mais il n'y a que le grillage noir. Vs avez eu tort, mais je vs aime encore, Quand vs rentrerez de vacances je serai mort, N'ayez pas de remords, je n'étais qu'un chien, Qui veillait sur vs, comme un ange gardien. Patricia Fournier-Dhervillez, |
Déposé par rafia le 30/06/2015Hommage à ts mes petits anges Quoi de plus sincère, de plus pur, Que d'offrir en partage, Pr vs ts mes anges, sages comme des images, Offrir mon temps en nocturne, Car je n'en dispose pas en diurne, Et sans rien attendre en retour. Fleurir et honorer le souvenir De ts les petits anges amis/amies de mes amours//westies, Qui à présent partagent leur vie. Offrir toutes ces fleurs, Issues de mes pleurs. Et quand j'évoque le partage, C'est car ici il n'y a point de pluie, C'est donc à vos mamans chéries D'arroser ces fleurs du souvenir. De tout votre amour béni. Même si vs partagez encore notre vie. Le PARTAGE fait fleurir les plus belles fleurs Celles que ns avons toutes ds notre coeur. Et que ns offrons avec bonheur. Alors, petits anges adorés, Je dépose à vos pieds* (Décemment, l'on ne peut dire "pattes" car votre Amour est tellement humain). Ces modestes bouquets, Issus de mes pleurs, Et tjrs à la même heure. Ils vs rappelleront si besoin est, Combien ici bas, vs êtes tjrs aimés. Tendrement pr toi, mon bel ange Héliot. Maryem. |
Déposé par rafia le 29/06/2015Le caniche de Paul Eluard Quand Paul fit sur lui une poésie, Le chien l’écouta, plein de courtoisie. Il la répéta pour le cheval vert, Le soir, en mangeant un vieux camembert. Il la commenta pour le lapin rose, En quatre feuillets d’excellente prose. Merci, donc, à Paul pour ces quelques mots Qui font tant plaisir à nos animaux ! |
Déposé par rafia le 28/06/2015La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années Repose en paix auteur inconnu |
Déposé par rafia le 27/06/2015Vie de chien Toi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches, Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ? Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches, Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas. J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés, J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés. Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée, Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer. Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave, Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler, J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave, Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler. Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs, Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal, Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes, J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal. Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants, Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour, C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant, J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour auteur inconnu |
Déposé par rafia le 26/06/2015Le petit chien Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. Madeleine Reynaud. |
Déposé par rafia le 25/06/2015Tu peux pleurer son départ... OU Ou tu peux sourire parce qu’il/elle a vécu. Tu peux fermer les yeux et prier pour qu’il //elle revienne, Ou ouvrir les yeux et voir qu’il/elle est parti//e. Ton cœur peut être vide de ne plus le//la voir, Ou il peut être rempli de l’amour qu’il//elle a partagé. Tu peux tourner le dos à demain et vivre le passé Ou tu peux être heureux//se pour demain à cause du passé. Tu peux te souvenir de lui/d'elle et seulement qu’il//elle n’est plus Ou tu peux chérir sa mémoire et le/la laisser vivre. Tu peux pleurer et te renfermer, être vide et tourner le dos Ou tu peux faire ce qu’il/elle aurait voulu, sourire, ouvrir les yeux, aimer et aller de l’avant. |
Déposé par poutounou le 25/06/2015Si je pouvais revivre ma vie * J’aurais moins parlé mais écouté davantage. J’aurais invité des amis à venir souper même si le tapis était taché et le divan défraîchi. J’aurais grignoté du maïs soufflé au salon et ne me serais pas souciée de la saleté quand quelqu’un voulait faire un feu dans le foyer. J’aurais pris le temps d’écouter mon grand-père évoquer sa jeunesse. Je n’aurais jamais insisté pour que les fenêtres de la voiture soient fermées par un beau jour d’été tout simplement parce que mes cheveux venaient justes d’être coiffés. J’aurais fait brûler ma chandelle sculptée en forme de rose au lieu de la laisser fondre d’elle même parce qu’entreposée trop longtemps dans l’armoire. Je me serais assise dans l’herbe avec mes enfants sans me soucier des taches de gazon. J’aurais moins ri et pleuré en regardant la télé, mais davantage ri et pleuré en regardant la vie. Je serais restée au lit lorsque malade plutôt que de prétendre que la terre cesserait de tourner si je ne travaillais pas cette journée là. Je n’aurais jamais rien acheté pour la simple raison que c’était pratique, ou encore à l’épreuve des taches ou parce que garanti pour durer toute la vie. Au lieu de souhaiter la fin de mes neuf mois de grossesse, j’en aurais savouré chacun des instants en réalisant que la merveille grandissant en dedans de moi était la seule chance de ma vie d’aider Dieu à faire un miracle. Lorsque mes enfants m’embrassaient avec fougue, je n’aurais jamais dit : « plus tard. Maintenant va te laver les mains avant de souper. » Il y aurait eu plus de « je t’aime »…, plus de « je suis désolée »…, mais surtout, si on me donnait une autre chance de revivre ma vie, j’en saisirais chaque minute… la regarderais et la verrais vraiment…, la vivrais… et ne la redonnerais jamais. * Emma Bombeck, décédée d'un cancer |
Déposé par rafia le 24/06/2015Comme le ciel pleure ce dernier jour de juin Et moi, Le Chien, assis sur la route, Malgré toute cette eau, fidèlement je reste à attendre! Ils vont revenir, il n'y a pas de doute! Les voitures passent en klaxonnant à mes côtes, Mais moi, je ne peux pas bouger, Il me faut absolument là rester, Sinon, ils ne sauraient où me retrouver! Le temps passe, le ciel n'arrête pas de pleurer! Et moi, assis sur cette route, je suis tout mouillé, Tout comme l'autre jour, quand dans la piscine j'ai sauté, Pour aller repêcher Bébé qui y était tombé! Est-ce que les chiens , quand ils sont abandonnés, Comme le ciel de chagrin, peuvent pleurer! Moi, le Chien,je sens mes larmes couler aujourd'hui, Elles noient mes yeux, mêlées à la pluie! Ohhh! une voiture n'a pas réussi à m'éviter, Très fort, elle m'a heurté , et projeté sur le côté, Je roule , et tombe dans un fossé, J'ai la tête en sang... je voudrai me relever... J'ai si mal... je ne peux plus bouger! Mes maîtres vont revenir... Et moi, je me sens mourir! Nous les chiens,avons une âme aussi, La mienne me quitte emportant ma vie! Mes maitres bien-aimés, Il faudra me pardonner, Je n'ai su attendre votre retour! Ce n'était pourtant pas faute d'Amour! Le chien! auteur inconnu |
Déposé par rafia le 23/06/2015Le petit chien Ploton Ploton fut doux comme un agneau, Ploton fut gai comme un moineau, Simple comme une colombelle, Loyal comme une tourterelle, Friand comme un rat foleton, Mignard comme un petit chaton ; Bref Ploton fut plus agréable, Plus frétillant, plus amiable, Plus bénin, plus obéissant, Plus avisé, plus connaissant, Plus vigilant et plus habile Et de nature plus gentille Et plus digne d'en dire rien Que ne fut jamais petit chien. Olivier de MAGNY |
Déposé par poutounou le 20/06/2015Recommence… * Si tu es las et que la route te paraît longue, Si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin, Ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps, Recommence ! * Si la vie te semble trop absurde, Si tu es déçu par trop de choses et trop de gens, Ne cherche pas à comprendre pourquoi, Recommence ! * Si tu as essayé d'aimer et d'être utile, Si tu as connu la pauvreté et les limites, Ne laisse pas là une tâche à moitié faite, Recommence ! * Si les autres te regardent avec reproche, S'ils sont déçu par toi, irrités, Ne te révolte pas, ne leur demande rien, Recommence ! * Car l'arbre rebourgeonne en oubliant l'hiver, Car le rameau fleurit sans demander pourquoi, Car l'oiseau fait son nid sans songer à l'automne, Car la vie est espoir et RECOMMENCEMENT. |
Déposé par rafia le 20/06/2015Juste de ce côté du ciel est un endroit appelé le "Rainbow Bridge". Quand un animal meurt et qu'il a été particulièrement proche de quelqu'un ici, cet animal va sur le pont en arc-en-ciel. Il y a des prés et des collines pour tous nos amis spéciaux ainsi ils peuvent vivre et jouer ensemble. Il y a abondance de nourriture, d'eau et de soleil, et nos amis ont chaud et sont bien. Tous les animaux qui avaient été malades et vieux sont ramenés à la santé et à la vigueur; ceux qui étaient blessés ou estropiés sont rendus entiers et forts encore, juste comme nous nous en souvenons dans nos rêves des jours et des périodes passés. Les animaux sont heureux et contents, excepté une petite chose; il manque à chacun quelqu'un très spécial pour lui, qu'il a dû laisser. Ils courent et jouent ensemble, mais le jour vient où soudainement l'un d'eux s'arrête et regarde au loin. Ses yeux lumineux sont attentifs; son corps est parcouru des tremblements du désir. Soudain, il commence à courir, volant au-dessus de l'herbe verte, ses pattes le portant de plus en plus rapidement. Vous avez été repèré, et quand vous et votre ami vous retrouvez finalement, vous vous embrassez dans une union joyeuse, pour ne plus jamais être séparés. Les baisers heureux pleuvent sur votre visage; vos mains caressent encore la tête aimée, et vous regardez une fois de plus dans les yeux de confiance de votre animal chéri, parti depuis tellement longtemps de votre vie mais jamais absent de votre coeur. Puis vous traversez le pont en arc-en-ciel ensemble.... (traduction française de "Legend of Rainbow Bridge" de William N. Britton |
Déposé par maman le 19/06/2015' je viens te voir pour déposé tout près de toi un doux message emporte le avec toi pour qu'à chaque instant tu entende tout mon Amour que j'ai pour toi à toi seul chaque étoile te dit doux repos chaque jasmin parfume ton doux petit coeur à toi seul mon coeur à dit merci et pour toi seul j'offre ma vie repose en paix petit ange et gros câlins merci ta gentille Maman pour ses messages et fleurs à mon poupon Amitiés |
Déposé par rafia le 19/06/2015LES PENSEES D'UN ANIMAL de Raymond Joniaux OU...L'ABOMINATION DES ABANDONS...lorsque approchent les vacances d'été. Je ne sais pas lire, Je ne sais pas écrire C’est normal Je suis un animal. Je fais partie D’une grande famille. Mon maître qui est si gentil M’attriste toujours quand il est parti, On s’entend bien, nous deux. Je suis parfois heureux Quand il me parle, toujours, je comprends Mais moi, jamais il ne m’entend. Sait-il seulement, que j’ai peur De perdre bientôt mon bonheur ??? Oui j’ai peur, quand je pense A ce mot qu’il dit souvent «vacances». Cela veut dire que pour moi Bientôt, je n’aurai plus de toit Pour m’abriter, Pour me réchauffer. Je ne pense même pas A tous ces bons repas Que je n’aurai plus.. Puisque je serai bientôt perdu. Pourtant, je tiens si peu de place. Mais à quoi bon, hélas Je ne puis te parler. Est-ce possible…??? tu vas m’abandonner; Bien sûr, je ne suis qu’un animal Mais, ne plus te voir me fait mal, Comment te le faire savoir ??? J’essaye pourtant chaque soir Quand, sur tes pieds Je suis couché. Jamais tu ne m’as vu pleurer... Pourtant, mes yeux, souvent sont mouillés, Et si je te suis partout C’est pour te faire comprendre malgré tout, Que peut-être cette fois, je ne pourrai résister. Et de mourir doucement abandonné De toi, mon maître si grand Que l’on dit, intelligent Me fait déjà souffrir Parce que «vacances» Pour moi, c’est peut-être mourir..... |
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