Coucou petite Fifi
Bien que je sache maintenant ton nom de naissance je continuerai à t'appeler Fifi puisque toi de l'autre tu n'en avais cure.
Ta maman non seulement sait consoler les autres mais elle arive même à les faire sourire, ça c'est un véritable tour de force quand on a deux kilos de chagrin sur le coeur...
Hier était le jour de la sainte Juliette et non le jour J dont elle parle mais le bouquet m'a fait le plus grand des plaisirs, je l'en remercie de tout coeur.
L'autre jour est encore à venir, c'est celui où un certain chiffre sera modifié sur mon profil... tu vois, Fifi, je joue un peu à cache-cache avec ta maman.
Chin aussi la remercie de tous ses gentils messages, il en très touché car c'était un sentimental.
A bientôt Fifi, tu étais sans doute une petite fille toute simple mais je te fais des caresses dignes de la princesse que tu étais aussi.

Ma Fifi mignonne, j'ai voulu tenter l'expérience de la balade en forêt avec Trico, j'ai donc pris contact avec la maman de jour des "copains", comme je les appelais, celle avec qui nous sommes allées régulièrement, durant 10 ans, nous balader dans les forêts du pied du Jura. Je l'avais revue, elle savait que tu n'étais plus là, mais je n'avais pas encore eu l'occasion de tout lui expliquer. Elle était très triste. Elle t'avait gardé durant notre séjour au Vietnam alors que tu avais 3 ans. Quand elle allait manger à midi, elle te prenait avec elle au restaurant, dans ton petit couffin conique, les autres chiens l'attendant dans son grand bus. Elle t'aimait beaucoup, la plus petite de tous les chiens qu'elle ait jamais eu en pension; elle m'avait fait croire qu'elle déposait ton couffin au pied de son lit et que tu y restais pour dormir, je n'étais pas dupe, je sais bien où tu dormais !
Nous avons repassé par ces jolis chemins, où nous avions cessé d'aller quand ces balades devenaient trop longues pour ton âge. Quatre que je n'y étais pas revenu, je n'ai pas oublié, tu sais,je te revoyais partout, vers les mûres où nous nous arrêtions pour en grapiller, dans la clairière où chaque année les bûcherons déposent un gros tas de bois au bas duquel nous nous arrêtions pour nous reposer, tout me rappelait toi, j'ai eu un pincement au coeur, le temps qui t'a été donné me paraît bien court, même s'il est dans l'ordre des choses de la vie.
Trico s'est bien habitué à la meute, on va y retourner pendant qu'il est là, même si c'est un peu dur pour moi, car il aime ça, je suis heureuse pour lui.
Si tu nous vois de là-haut, ma mimi, saches que je ne t'oublie pas, et que je me souviendrai toujours de nos promenades, celles avec les copains, mais également celles, nombreuses, nous trois, Papy toi et moi, à vélo, près de la rivière, partout, partout.
Je t'aime

Bonsoir mon bébé,
Le petite Grenadine est sortie d'affaire tu sais, j'en suis très heureuse, quelle chance.
La campanule que j'avais achetée l'an dernier car je trouvais très joli l'ancienne page du site où en figurait une refleurit sans cesse. Elle me fait toujours penser à toi, j'espère qu'il y en a là-haut.
Trico est en pension à la maison pour 2 semaines, tu le connais, c'est le gros chien de la maison d'à côté, celui qui voulait toujours te dire bonjour, mais n'aboyait pas et ne te faisait pas peur, un des seuls aussi que tu n'agressais pas avec la vigueur de tes 2 kilos ! Il est très gentil, j'aime bien me promener avec lui, mais ce n'est pas toi...
Je t'embrasse, ma petite mimi, tu me manques.

Aujourd'hui je suis allée promener dans la forêt avec "la maman de jour" de beaucoup de compagons de la région, celle qui t'avait gardé les seules 3 semaines de ta vie où nous ne pouvions te prendre avec nous en voyage.
C'est grâce à elle et à nos nombreuses balades durant toutes ces années avec "les copains", les chiens qu'elle garde tous les jours de l'année durant les absences ou le travail de leurs maîtres, que tu t'étais peu à peu habituée au contact des autres chiens. Tu savais qu'avec la meute, qu'elle soit composée de 3 ou de 15 chiens suivant les jours, tu ne risquerais rien, on ne t'embêterait pas, aucun, quelle que soit sa taille ou sa race ne te ferais de misère. Dès que tu voyais la voiture prendre le chemin dans la forêt tu savais, tu te réjouissais.
Puis, l'âge venant tu n'as plus voulu marcher autant, et j'ai arrêté les longues balades auxquelles tu ne prenais plus plaisir.
Il y a 3 ans que je n'y étais pas retounée, bien que nous soyons restées en contact, et aujourd'hui enfin, j'ai refait un tour avec elle, mais sans toi. C'était une drôle d'impression de repasser dans tous ces chemins, je te revoyais telle que tu étais à chaque saison.
Il y a toujours des nouveaux copains, d'autres qui ne viennent plus, certains t'ont rejointe au paradis, dont Zazou, le joli caniche mis en vacances pour deux semaines et que les maîtres ne sont pas venus rechercher, parce qu'il était incontinent. Elle l'a donc gardé, lui a mis des pampers à la maison, et il a continué sa vie de chien de s'amuser et se promener jusqu'à l'an dernier, il avait 18 ans.
Illui reste encore Alex, son BA que tu as connu tout jeune et tout fou. Il a 10 ans, un peu de cataracte, il est beaucoup plus calme maintenant, mais toujours aussi affectueux.
C'a m'a fait plasir cette balade, on a beaucoup de toi, elle m'a reconté des aventures car il y en a toujours un pour faire des bêtises, comme le petit bichon blanc au départ, brun au retour après s'être roulé dans une flaque, par exemple.
Elle t'aimait beaucoup, tu as été la plus petite de tous ses pensionnaires, donc elle avait une tendresse particulière pour toi.
Je t'aime ma mimi

Mon bébé, mon amour,
14 mois aujourd'hui que tu t'es envolée. Je fais la fière, j'essaie de consoler, je compatis à la douleur des autres car je les comprends, mais tu sais, mais je pleure encore souvent. Je sais pourtant que c'était le moment ce jour-là, tu avais fini ton cycle de vie, tu nous avais donné tant pendant 12 ans, c'est merveilleux, je sais des personnes qui n'ont pas eu cette chance. Mais le vide est toujours là.
Je t'aime, mon petit amour.

Un petit coucou ma Fifi adorée, il pleut fort aujourd'hui, un de ces jours où tu acceptais de sortir juste faire ton pipi. Tu n'aimais pas être mouillée, ça non !
Bisous mon bébé. Mamy

Bonjour Fifi
Je viens de rire aux éclats pour la seconde fois grâce au message de ta maman, j'aurais bien voulu en recevoir un troisième mais il ne faut pas abuser des bonnes choses aussi vais-je te donner la solution de l'énigme du nom de ton ami Chin.
Ta maman trépigne d'impatience comme une petite fille, c'est très bien d'avoir su conserver son âme d'enfant mais allons directement au grain ou plutôt au... petit pois!
Oui, Fifi, un "chicharito" en espagnol n'est autre qu'un petit pois mais pas n'importe lequel comme les vulgaires "guisantes", non! un petit pois très fin et particulièrement succulent qui provient de l'Amérique du Sud et que l'on ne trouve en Espagne qu'en Andalousie.
Je te vois bouger ta jolie petite tête de droite à gauche en signe d'interrogation, tu te demandes bien pourquoi un empereur a été nommé "petit pois". Sache que tout d'abord il n'était pas "infant" de naissance et qu'en fait on ne l'attendait pas. Lors de l'échographie de sa maman le vétérinaire avait détecté quatre petits tout en disant d'un ton indécis qu'il y avait bien une petite ombre dans un coin mais qu'il ne pouvait rien assurer.
En effet ce sont bien cinq bébés qui ont vu le jour dont un beaucoup plus petit que les autres. Les quatre plus gros ont été baptisés Julio, Paco, Judith et Lola sans que nous ayons trouvé un nom pour la petite ombre.
La pauvre petite mère ayant fait un début d'éclampsie j'ai dû aider Juliette à nourrir ses enfants avec des biberons, lorsque son tour venait de le prendre nous disions en espagnol "el chicharito" comme nous aurions dit en français "le petit" et à l'heure de le déclarer il répondait déjà trop bien à ce nom pour que nous lui en changions.
Voilà pourquoi Chin est le seul de mes toutous à n'avoir pas un nom "humain", mais au fait, Fifi, plus je te regarde plus je me dis que "Fifi" n'était peut-être qu'un surnom parce que jolie comme tu es tu devais avoir un bon pedigree si je ne me trompe.
J'ai appris que tu avais ton petit caractère, ce n'est pas fait pour me déplaire et j'adore ton petit air futé, je te caresse longuement avant de repartir et te remercie de l'excellent moment que je viens de passer avec toi.

Ma mimi, ça va pas aujourd'hui, j'ai cherché un morceau de tissu pour faire un bricolage, et je suis tombée sur le joli polaire que j'avais acheté pour refaire ton petit manteau d'hiver qui commençait à ne plus être en bon état. Il fait gris, j'ai le coeur lourd et je ne peux empêcher mes larmnes, malgré la promesse de ne plus pleurer. Tu me manques tant.

Bonjour Fifi
Elle n'écrit peut-être pas souvent ta mamy mais qu'est-ce qu'elle écrit bien!
Mais si! les chiens savent lire au paradis puisque tout est permis même si ils ne le font pas de la même manière que nous. En tout cas tu sais écrire puisque avec Zira, Chouquette, Princesse, Tsou-Tsou, Bora, Mouchette, Mickey, Pitchoune, Droopy, Caline vous lui avez gravé dans le coeur des préceptes qu'elle suit à la lettre.
Vous devez être tous réunis les pattes croisées aujourd'hui au-dessus d'une certaine clinique angevine pour guider les doigts du vétérinaire de Grenadine et surtout vous devez être bien fiers de cette mamy qui ne s'appesantit pas sur son chagrin et pense aux autres, le joli bouquet et le message qu'elle a envoyés à Juliette m'ont beaucoup touchée et je l'en remercie du fond du coeur.
Bisous à toi jolie damoiselle et caresses à tous ceux que j'espère bien connaître.

Bonjour mon bébé,
Je ne cesse de penser à toi, même si je ne t'ai pas écrit de petit message depuis longtemps.
Bien sûr c'est débile, les chiens ne savent pas lire, et encore moins ceux qui sont au paradis, donc j'écris pour moi, et cela me fait du bien.
C'est une drôle de journée. Il fait un temps magnifique, et je suis là, encore en pyjama, à naviguer sur ce site. J'aurais pourtant tant de choses à faire, ne serait-ce qu'enfin m'atteler à utiliser le scanner de négatifs acheté récemment, pour enregistrer sur le site Zira, Chouquette, Princesse, Tsou-Tsou et Bora. Les chats aussi : Mouchette, Mickey, Pitchoune, Droopy, Caline, que nous avons aimés avant toi.
J'ai découvert hier la douloureuse et révoltante histoire de Sybelle. Je sais que ça existe bien sûr, hélas, mais de voir sa photo ne peut que me serrer le coeur, et me réjouir de la chance que nous avons eue de vous connaître tous, d'avoir fait un bout de chemin avec vous, qui ne nous avez causé qu'un seul chagrin, celui de nous quitter.
Heureusement je vois d'autres belles histoires sur ce site, Paco, Killy, d'autres encore, qui sont venus consoler alléger la peine de leurs maîtres, la petite Grenadine, à laquelle je me suis attachée sans l'avoir jamais vue.
Cela me met du baume au coeur quand je réfléchis au monde dans lequel nous vivons : guerres, encore et toujours, humains enfermés pour leurs idées, gouvernements plus préoccupés de sexe et de fric que du bien-être de leur peuple, enfants bousillant la vie d'un camarade de classe et la leur par la même occasion pour un mot, un regard, ne sachant pas distinguer le monde virtuel et la réalité. Et ceux qui essaient, ailleurs de s'en sortir, mais n'y arrivent pas parce qu'ils ont le ventre vide, sont rongés de maladie. Les vieux bannis, oubliés, ou parfois même supprimés parce qu'ils dérangent.
Ce n'est pas nouveau ? peut-être, mais jamais à ce degré-là. De plus en plus de pauvres, des riches de plus en plus riches, trop de monde, plus assez à manger et malgré tout la science qui s'obstine à nous maintenir une longévité de vie plutôt qu'une qualité de vie, utilisant pour cela des milliers et des milliers d'animaux sans respect pour leur souffrance dans leurs expérimentations. Il y aurait tant à faire, pourtant. J'essaie pourtant d'aider là où je peux, mais la tâche est si grande...
Je t'aime, ma Fifi d'amour, tu es dans mon coeur. Bisous. Mamy

Bonjour ma mignonne. je suis allée me promener dans ta forêt. J'avais promis de ne pas pleurer, et je n'ai pas pleuré. Pourtant je te revoyais de partout, au pied du sapin, toutjours le même, où tu faisais un petit pipi, à la croisée des chemins, où tu te retournais pour savoir quelle direction prendre, alprs que c'était souvent qui décidait. J'ai suivi la longue promenade, celle que tu aimais parce que le chemin est droit, large, tu pouvais voir ce qu'il y avait devant toi, car plusieurs fois nous avons été surpris par des gros chiens qui te faisaient peur. Puis j'ai repris le chemin le long duquel je cueillais des petites fraises des bois, tout moussu et plein de feuilles mortes, ce chemin doux pour tes petites pattes. J'ai continué vers la cabane, là où je te portais depuis que le chemin a été refait, car les gros cailloux t'auraient blessée. Tu savais bien, dès qu'on arrivait à la fin tu gigotais dans mes bras pour que je te rpose par terre.
Je n'ai pas pleuré non, mais que c'est difficile de me promener seule. J'aimais tant cette forêt, j'aimais tant me balader, des heures, des années, tout le temps avec toi, et maintenant ce vide. Je t'ai appelée, peut-être es-tu venue ?
Je t'aime, gros calins ma mimi. Mamy

Bonjour,
Je vous remercie du fond du coeur pour la gentille attention que vous avez eue ce jour pour le douloureux et triste anniversaire de la mort de mon petit ange Charly...ça me réchauffe le coeur...plein de tendresse à votre bel ange Fifi...amicalement Myriam

AH! Fifi je vois que tu étais une petite chienne pas forcément toujours sage, j'espère bien que non! mais une sage toutoune puisque tu as laissé des devoirs de vacances à ta mamy, la voilà obligée d'apprendre la patience pour que tu aies un bel album.
J'étais venue te déposer des fleurs mais je n'ai pas pu m'empêcher de te faire ce petit commentaire, t'inquiète pas ma jolie tu l'auras quand même ton bouquet!

Tu as vu ma Fifi, j'ai mis des photos de toi quand tu étais un tout petit bébé, tu venais d'arriver chez nous. C'était pas évident, il a fallu faire enregistrer les négatifs sur un CD, afin de pouvoir les transférer. Je vais tenter de faire la même pour d'autres photos. Puis avec des films beaucoup plus anciens, dont il faudra scanner les négatifs... moi qui n'ai pas trop de patience avec l'informatique, ça risque de prendre du temps. Tout cela afin que nos anciens compagnons soient également enregistrés, car ils sont encore tellement présents dans nos coeurs et nos souvenirs.
Gros bisous, ma poupée. Mamy

Ta maman, malgré son courage, ne se fait pas encore à ton absence mais toi, là-bas, tu es heureux car tu as l'avantage sur les vivants de savoir que le paradis est partout à la fois, tu gambades maintenant plus vite que tes petites pattes pouvaient te le permettre puis tu reviens te nicher dans le coeur de Daisy, LIBERTE et AMOUR à la fois, quoi de mieux?
Bisous petit coeur et dis à ta maman que malgré ce que je viens de te dire je la comprends très bien.

Les fleurs fanent et disparaissent mais le parfum reste toujours avec nous, dans nos pensées, c'est comme ceux que l’on à aimés, ils restent avec nous et nous protègent, ils deviennent nos anges gardiens et nos étoiles au firmament
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De tendres pensées pour toi Fifi ; 13 mois que tu as quitté ceux qui t'aiment (désolée pour la journée de retard).
Amitiés à ta gentille maman

Voilà, ma mimi, 13 mois aujourd'hui que tu es partie. Si ma douleur s'atténue un peu, le manque de toi est toujours aussi fort. Il y a une année j'avais confectionné ce petit coeur en cordon, toujours placé sur son urne, je me souviens de ce jour. Depuis le temps a passé, tu es toujours présente, tous les soirs je fais un bisou sur ta photo près du lit, comme je te faisais un bisou sur ta petite tête, avant la nuit. Nous sommes partis avec le camping car, j'ai vu plein de loulous qui voyagaient avec leurs maîtres, j'avais encore ce réflexe de dire que telle ou telle place serait bien pour toi ou non, pour s'arrêter un moment, pour passer la nuit. Cela me manque de m'occuper de toi aux étapes, pendant que papy fait à manger, ou se repose. J'ai beaucoup trop de temps libre, à ne faire, mais pour le moment je ne peux pas encore imaginer un autre petit oui-oui à ta place, le pourrai-je un jour ? Quelque chose s'est cassé dans mon coeur ce 19 mai 2010, quand tu es partie. Ton heure était venue, je le sais, tu avais accompli ton parcours, mais comment combler ton absence, après 12 ans ? Je t'aime, ma mimi, sois en paix, tu nous a rendus heureux.

Les fleurs fanent et disparaissent mais le parfum reste toujours avec nous, dans nos pensées, c'est comme ceux que l’on à aimés, ils restent avec nous et nous protègent, ils deviennent nos anges gardiens et nos étoiles au firmament

Mon bébé, mon amour, aujourd'hui ça ne va pas du tout. En allant faire les courses, une impulsion m'a fait aller du côté des vergers, près du tennis, où tu aimais tant courir sur l'herbe bien entretenue, douce pour tes petites pattes. Je me suis arrêtée, longtemps, je nous revoyais, je te revoyais, monter le petit talus et nous attendre en haut, longer le petit chemin près de la forêt, courir après un lointain corbeau, faire ton pipi toujours au même endroit, sous le petit arbuste. Le banc où parfois nous nous asseyions pour regarder le paysage, je n'ai rien oublié, et je ne sais pas pourquoi, en ce vendredi je ne le supporte pas. Tu me manques trop ma Fifounette. Doux câlins mon bébé adoré. Mamy

Dans notre monde vivent des êtres magiques.
Certains d’entre nous ont eu la chance de les rencontrer
et même de vivre avec eux.
Parfois ils ne font que passer
d’autres fois ils restent des années
Mais qu’importe le temps.
Quand on les rencontre
jamais on ne les oublie,
c’est la magie qu’ils créent.
D’un seul regard ils nous apprivoisent
Et pour toujours
Nous les aimons.
Même quand ils s’en vont….,