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En hommage à
A BB LUCKY
YORKSHIRE-TERRIER
Il est né le:24/08/1995
Il nous a quittés le:21/09/2010


MERCI à toutes mes fidèles amies et à tous les membres du site pour vos messages de soutien, vos jolis poème, vos bouquets d’amitié, tout au long de ces 14 ANS, MERCI pour votre amitié, Cela me touche énormément…
Bien amicalement, affectueuses pensées à tous vos anges…

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Mon petit ange, 14 ans déjà 21 09 2024
je n'oublierai jamais cette triste et longue journée, tu étais là sans vie dans nos bras plongé dans un coma ton petit coeur battait mais ton petit corps était sans vie inerte, toi si dynamique foudroyait par le cancer..
Nous avons tout tenté pour te sauver, mais ta petite taille n'aurait pas supporté la chimio, donc nous avons du prendre la triste décision d'abréger tes souffrances ce matin d'automne le 21 septembre..
J'ai encore ton regard si doux devant mes yeux, on aurait dit que tu me suppliais de parti, je n'oublierais jamais ces horribles instants ou ton petit coeur a cessé de battre dans mes bras ..
Repose en paix mon petit BB Lucky, tu resteras toujours dans mon coeur, le temps apaise la douleur mais ne l'efface pas, même si ton petit frère Hooligan nous comble de bonheur depuis 10 ans, il ne te remplacera jamais.

Chaque petit chien est unique, tu as partagé avec moi beaucoup de peines mais de joies aussi, tu as traversé la maladie à mes côtés, tu as été mon soutien, mon confident dans mes moments de solitudes mieux que certains humains, sans rien demander en échange juste de la tendresse, de l'amour, de l'attention.. pour tout cela je te dis merci ...
je t'aime ma petite peluche, tu me manques encore et toujours, sois heureux au paradis mon coeur. Je t'envoie plein de câlins et de bisous repose en paix Mon BB.
Ta Maman qui ne t'oubliera jamais
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Tes derniers instants…

Ce matin là 21/09/2010, tu ne m’as pas réveillé par un bisou comme tous les matins, tu étais encore endormi, si fatigué, si faible pour tenir sur tes petites pattes.
Je t’ai pris dans mes bras, mais tu ne réagissais presque plus, tu me regardais sans me voir avec tes petits yeux larmoyants, tu sentais qu’on allait partir pour un long voyage, ce n’était pas un départ en vacances... je n’avais pas préparé ta petite valise comme je le faisais quand on partait l’été à l’océan, tu avais laissé, rangés là, tes petits manteaux, tes jouets, ta brosse et tes médicaments , tu savais que tu n’en aurais plus besoin là où tu irais …
Je te rassurais, je disais que ce n’était rien, que tout irait bien, mais tu savais que je mentais, tu faisais semblant de me croire pour ne pas m’inquiéter. C’était toi le plus fort mon petit bonhomme.
Pour la première fois je te mentais mon ange, je t’amenais chez le vétérinaire mais je ne te ramènerais pas, je ne tiendrais pas ma promesse, tu ne guériras pas cette fois.
Ces terribles convulsions te tétanisaient, t’affaiblissaient de plus en plus ; tu as passé ces dernières heures dans nos bras, nous avons profité de ces instants précieux, de ta chaleur, ta douceur, et ce regard triste que je n’oublierais jamais, ton petit cœur battait doucement mais tu n’étais plus vraiment avec nous.
Il était temps de quitter ton petit nid, où tu avais grandi et partagé 15ans de bonheur avec nous.
Il était temps de dire au revoir à ta petite corbeille, tes jouets, tu as choisi de partir dans ton petit canapé bleu pour ce long voyage, tu as laissé là, ta laisse suspendue et ton collier grelot à ta petite maman..
La porte s’est refermée, tu as dis au revoir au jardin où tu aimais tant gambader, aux oiseaux, un dernier clin d’œil au soleil, et tu es parti une dernière fois dans ma voiture où tu aimais tant te promener.
Tu disais : « t’inquiètes pas maman, je n’ai pas peur, je ne souffrirais pas »
Nous t’avons accompagné avec ta petite maman jusqu’au bout, tu es resté courageux et digne jusqu’aux dernières minutes. Dans les bras de ta petite maman tu t’es blotti, dans mes mains tu as reposé ta petite tête, tes yeux nous disaient :
« Ne pleurez pas mes mamans, ça ne fait pas mal, je vais juste dormir longtemps, je suis si fatigué, je vous aime tant » Le docteur pris ta petite patte…..
Tes paupières faiblissaient, tes petits yeux ronds se fermaient peu à peu puis s’éteignaient ; la lumière quittait ton regard, ton petit cœur ralentissait doucement, nous t’avons couvert de bisous, de câlins, de je t’aime, quelques minutes plus tard ton petit cœur cessa de battre à jamais …A ce moment j’ai entendu ta petite voix murmurer :
« Ne pleurez pas mes mamans, je suis triste de vous avoir quitté, mais j’ai enfin le repos, plus de souffrances, merci mes mamans de m’avoir laissé partir, je vous aimerais toujours »
Nous avons gardé ton petit corps tiède dans nos bras jusqu’à l’incinération.
De toi, il me reste ce petit coffret de cendres qui repose sur l’étagère au salon, tes photos et vidéos, tes jouets, de merveilleux souvenirs…Je vais tous les jours au cimetière virtuel déposer un bouquet sur ta tombe.
Tu as été un petit chien merveilleux, notre petit amour ..
Dans notre cœur y demeure bien au chaud 15 ans de bonheur et d’amour.
Ma vie ne sera plus la vie, sans toi mon BB d’amour. doux repos mon ange.
On t’aimera toujours, tu nous manques beaucoup tes mamans et ton papa.
Au revoir mon petit BB Lucky

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A MES MAMANS ET MON PAPA.

Déjà 14 ans loin de vous… le jour de mon départ de la maison le 21 septembre 2010, ce fut pour moi le plus triste jour de ma vie, lorsque j'ai croisé ton regard plein de larmes, on savait tous les deux qu’il fallait se séparer, dans tes yeux, j'ai senti cet amour éternel que serait le notre sur terre et même au-delà des frontières étoilées.
Maman, je te vois malheureuse depuis mon départ, et ça me fait beaucoup de peine, mais je vais te faire une petite confidence aussi, je ne suis pas plus courageux que toi, et j'ai beaucoup de tristesse sans toi, ton amour, tes câlins, et notre complicité me manquent, même si au paradis je suis heureux.
Maintenant, mon petit frère Hooligan est là, il a besoin de tout ton amour, je vis au travers de lui, pense que dans chaque câlins, chaque bisous, tu me retrouves, et je ne suis pas jaloux, je suis heureux qu’il comble un peu le vide.
Ma maman, promets moi en ce jour mémorable de me faire un beau sourire, de sécher tes larmes, moi,de mon côté je t'enverrai plein de léchouilles et une averse de bisous.
Chaque jours tu me rends un très bel hommage sur le cimetière, tu me fais revivre, j'ai beaucoup de témoignages d'affection et de jolis bouquets de mes amis à quatre pattes, je suis le Roi, je suis très fier de toi ma maman.
Je te demande de toujours te souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de vous réconforter dans la peine et de vous apporter joie et bonheur, vous me l'avez rendu dix mille fois.
Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais vous causer du chagrin. Je te prie de ne pas oublier qu'avec ta tendresse, ton amour, je te dois d'avoir été la plus heureux et le plus fier des chiens.
Voilà, ma maman, je te mentirai si je te disais que je ne suis pas triste, mais ici, j’ai une nouvelle vie, sans souffrance, avec de nouveaux amis, et je veille toujours sur vous, vous m’avez comblé de bonheur durant ces 15ans, je ne pouvais pas espérer meilleure vie ni de meilleures mamans et papa.

Je vous quitte par plein de petites léchouilles, toi, maman, dis moi au revoir avec un beau sourire, même si tes larmes coulent, je te promets, je ne les verrai pas..
Votre BB d’amour qui vous aime.



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A MON BB D'AMOUR .. Notre histoire

Tu es arrivé dans noscoeurs un matin de fête, sous le bruit des clochettes. Au pied du sapin de Noë, tu fus le plus beau cadeau de ta petite maman Sarah, elle avait 10 ans.
Après tant d'années de bonheur, et d'aventures
Tu nous a quitté au seuil de l'automne, un matin monotone, sous le crissement des feuilles mortes, tu avais juste 15 ans.
Mon bébé, tu t'es battu comme un chef pendant plus d'1an contre le cancer,(mastocytome grade III) tu as résisté jusqu'au bout, pour nous, malgré ta petite taille, hélas la maladie a gagné.
Tu nous avais promis de fêter tes 15 ans, et tu as réussi petit bonhomme!
Tu nous as donné tant d'années de bonheur, de complicité, d'amour, tu partageais nos joies, nos peines, c'est avec le coeur gros que nous avons abrégé tes souffrances, nous t'avons accompagné jusqu'au bout , tes petits yeux larmoyants se sont fermés, ton petit coeur s'est arrêté doucement, ton dernier regard fut pour nous, ton dernier soupir tu l'as rendu dans nos bras, il t'a été douloureux de nous quitter mais pas de mourir,tant tu souffrais.
Mon amour de bébé, je donnerais tout pour te caresser, te serrer contre mon coeur,tes lèchouilles me manquent, tes petits yeux ronds pleins de tendresse ne me regarderont plus, la maison est si vide sans toi, ton copain le hérisson vient te voir le soir, mais tu n'es plus là pour le taquiner..

j'espère que tu as trouvé la paix et un long repos dans les étoiles où tu brilles pour toujours ,tu n'avais aucun bien précieux, sauf tes petits jouets, tes colliers, tes petits manteaux, tes coussins, que j'aie rangés précieusement, mais tu nous a légué ton amour et ta fidélité. Lucky signifiait "chance", tu seras notre bonne étoile tu veilleras sur nous de ton petit paradis.
Mon bébé tu as été un petit chien merveilleux, notre coeur s'est brisé à jamais tant ta présence et tes câlins nous manquent, tes cendres reposent dans ce petit coffret noir, près de nous au salon, ton petit divan est encore là, vide, j'entends toujours ton petit grelot tinter dans le jardin, mais c'est une illusion, tu es bien parti cette fois et pour toujours...
Nous pensons à toi tous les jours avec regret mais aussi avec bonheur on se dit:" Nous l'aimions tant, et il nous aimait très fort".
si profond que soit ton sommeil j'espère que tu entends notre amour pas notre désespoir, car tu aurais trop de peine.
On t'avait promis de ne pas pleurer trop longtemps, mais ça fait trop mal,
Il nous a été très dur de te laisser parti, nos coeurs resteront brisés à jamais par ton départ précipité, si cruel...
Adieu mon bébé d'amour, gambade dans les étoiles, soit heureux dans ce nouveau monde avec tes petits copains.. promets moi de prendre soin de toi, car je ne suis plus auprès de toi pour te chouchouter, te dorloter.
Repose en paix mon doux Ange.
Tes mamans et ton papa qui t'aiment et t'aimeront toujours.
Merci mon ANGE pour ces 15 années de bonheur.




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Déposé par spanky le 06/10/2024  
Hôtel chiens admis.
----
Un vieux monsieur, veuf, avait envie de prendre quelques jours de repos dans un petit hôtel de la France profonde.
« Il voulait échapper pendant quelques jours à la solitude qu’il partageait avec son chien.
« Il écrivit en substance:
« Je souhaiterais amener avec moi mon chien, qui est adorable, soigné,bien dressé et très propre.
Pourra-t-il partager ma chambre, pourra-t-il dormir dans ma chambre ? »
« Il reçut la réponse suivante :« Monsieur, je suis dans ce métier depuis de longues années.
Je n’ai jamais vu un chien quitter un hôtel en emportant des serviettes, des draps, des peignoirs de bains ou autres cendriers et tableaux décoratifs.
Je n’ai jamais eu à renvoyer « manu militari » un chien qui était ivre et faisait du tapage nocturne, au préjudice des honnêtes gens qui habitaient mon hôtel.
Je n’ai jamais dû discuter avec un chien pendant de longues heures autour d’une addition incomprise et jugée scandaleuse, voire, malhonnête.
Pour ces raisons - la liste n’étant pas exhaustive – OUI, votre chien est le bienvenu dans mon hôtel.
Si votre chien peut, par retour de courrier, se porter garant de vous-même, vous serez également le bienvenu.
----

Déposé par poutounou le 06/10/2024  
L’automne est là !!! Il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr...
*
L'automne
*
Voici venu le froid radieux d’octobre :
Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ;
Mais la maison a l'air sévère, ce matin,
Et le laisse dehors qui sanglote au jardin.
*
Comme toutes les voix de l'été se sont tues !
Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ?
Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois
Que la bise grelotte et que l'eau même a froid.
*
Les feuilles dans le vent courent comme des folles ;
Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent,
Mais le vent les reprend et barre leur chemin
Elles iront mourir sur les étangs demain.
*
Le silence est léger et calme ; par minute
Le vent passe au travers comme un joueur de flûte,
Et puis tout redevient encor silencieux,
Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux
*
S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe
Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes,
Et la vieille maison qu'il va transfigurer
Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer...
*
Anna de NOAILLES (1876-1933)

Déposé par colombine67 le 06/10/2024  
Entre quatre murs.
Je suis né entre quatre murs.
Une petite pièce calme, sombre et tiède.
Ma mère, mes frères et sœurs.
L’odeur sucrée du lait.
Je dormais, je mangeais.
Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins.
J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes.
C’était mon petit univers.
Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi.
J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde.
Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait
souvent accompagné d’autres bipèdes,
qui nous parlaient, nous touchaient,
nous examinaient sous toutes les coutures.
Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent
commençait à pointer le bout de son museau : la peur.
Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence
de ma curiosité insatiable de chiot.
Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes.
Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle.
Je me souviens avoir beaucoup pleuré.
Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie.
Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais
confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse :
ces odeurs inédites, ces bruits inconnus,
la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante,
c’était inquiétant mais tellement stimulant !
Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie
faite d’exploration et d’aventures excitantes.
J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action,
de l’action et encore de l’action.
On m’a installé entre quatre murs.
C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né.
Il y avait même quatre murs dehors au-dessus
desquels régnait un grand ciel bleu.
J’avais toujours connu un toit sur ma tête,
et j’étais un peu effrayé par cette immensité.
Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace.
À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe
et chaque insecte rampant ou volant.
À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud,
mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi.
Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie.
Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils
ne parvenaient pas toujours à me comprendre.
Et puis, je ne les voyais pas beaucoup :
ils partaient le matin et rentraient le soir.
Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux.
La maison était spacieuse, le jardin était vaste.
Mais je commençais à y éprouver un sentiment
qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui.
Je connaissais ma maison par cœur,
et mon jardin sur le bout des griffes
Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler
ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux.
La souffrance, invisible aux yeux de mes humains,
commençait à s’insinuer en moi.
J’ai vécu entre quatre murs.
Je pensais que le monde était plus vaste.
J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison
et au jardin de mes deux-pattes.
Mes bipèdes me nourrissait , me caressait,
j’avais même le droit de me coucher contre eux quand
ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs.
Mais ils semblaient insensibles à ma douleur.
Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse.
J’aboyais beaucoup, au moindre bruit,
parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée.
Je creusais beaucoup dans le jardin,
pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol.
Mes deux pattes se fâchaient, mais mon
besoin d’activité grondait lui aussi.
Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos
que j’arrivais à évacuer ma frustration.
Je suis mort entre quatre murs.
J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie.
Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui.
J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création,
j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur.
Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris
une vie faite d’action et de découvertes.
Mais on m’a enfermé dans une cage.
Une grande cage, avec des barreaux en or massif.
Ma mort a été à l’image de ma vie :
je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux,
dans le confort d’un salon.
Mon histoire est loin d’être unique :
elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce.
Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir :
nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs.
Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook,
ni le bonheur de lire un bon livre.
Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors,
au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier.
Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil
a laissée en escaladant un tronc d’arbre.
Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés.
Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents.
Et je crois bien, humains, que vous êtes en train
d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre.
Elsa Weiss

Déposé par colombine67 le 06/10/2024  
Entre quatre murs.
Je suis né entre quatre murs.
Une petite pièce calme, sombre et tiède.
Ma mère, mes frères et sœurs.
L’odeur sucrée du lait.
Je dormais, je mangeais.
Ma mère me léchait le ventre pour que je fasse mes besoins.
J’ignorais la peur et l’ennui, je n’étais que sensations et réflexes.
C’était mon petit univers.
Petit à petit, cet univers ne m’a plus suffi.
J’avais la bougeotte, l’envie de découvrir le monde.
Le deux-pattes qui s’occupait de nous venait
souvent accompagné d’autres bipèdes,
qui nous parlaient, nous touchaient,
nous examinaient sous toutes les coutures.
Une nouvelle émotion qui m’était inconnue jusqu’à présent
commençait à pointer le bout de son museau : la peur.
Mais elle disparaissait bien vite sous l’influence
de ma curiosité insatiable de chiot.
Je finissais par me laisser manipuler avec plaisir par les deux-pattes.
Et puis un jour, une famille de quatre bipèdes m’a emmené avec elle.
Je me souviens avoir beaucoup pleuré.
Je n’avais jamais quitté ma mère et ma fratrie.
Heureusement, toute cette nouveauté à laquelle j’étais
confronté m’a fait rapidement oublier mon angoisse :
ces odeurs inédites, ces bruits inconnus,
la lumière qui défilait à travers les vitres de cette drôle de petite pièce vrombissante,
c’était inquiétant mais tellement stimulant !
Peut-être que ces bipèdes m’emmenaient vers une nouvelle vie
faite d’exploration et d’aventures excitantes.
J’étais un canidé, et tout mon corps réclamait de l’action,
de l’action et encore de l’action.
On m’a installé entre quatre murs.
C’était beaucoup plus grand que là où j’étais né.
Il y avait même quatre murs dehors au-dessus
desquels régnait un grand ciel bleu.
J’avais toujours connu un toit sur ma tête,
et j’étais un peu effrayé par cette immensité.
Mais j’ai vite appris à m’amuser dans cet espace.
À creuser le sol, à apprivoiser chaque brin d’herbe
et chaque insecte rampant ou volant.
À l’intérieur, j’étais bien installé : un endroit au chaud,
mes bipèdes pour me tenir compagnie et s’occuper de moi.
Je crois bien que j’allais être heureux dans cette nouvelle vie.
Mes deux-pattes étaient gentils, même s’ils
ne parvenaient pas toujours à me comprendre.
Et puis, je ne les voyais pas beaucoup :
ils partaient le matin et rentraient le soir.
Je rêvais qu’ils m’emmènent avec eux.
La maison était spacieuse, le jardin était vaste.
Mais je commençais à y éprouver un sentiment
qui me mettait profondément mal à l’aise : l’ennui.
Je connaissais ma maison par cœur,
et mon jardin sur le bout des griffes
Aucune odeur nouvelle, aucun congénère à renifler
ni lieu nouveau à explorer ne venait stimuler mon esprit aventureux.
La souffrance, invisible aux yeux de mes humains,
commençait à s’insinuer en moi.
J’ai vécu entre quatre murs.
Je pensais que le monde était plus vaste.
J’ai compris qu’il s’arrêtait à la maison
et au jardin de mes deux-pattes.
Mes bipèdes me nourrissait , me caressait,
j’avais même le droit de me coucher contre eux quand
ils regardaient cette drôle de boîte à images tous les soirs.
Mais ils semblaient insensibles à ma douleur.
Pourtant, je me léchais les pattes, sans cesse.
J’aboyais beaucoup, au moindre bruit,
parce que c’était la seule mission que pouvait m’offrir ma prison dorée.
Je creusais beaucoup dans le jardin,
pour trouver de nouvelles odeurs sous le sol.
Mes deux pattes se fâchaient, mais mon
besoin d’activité grondait lui aussi.
Il menaçait d’exploser et il n’y a que par le chaos
que j’arrivais à évacuer ma frustration.
Je suis mort entre quatre murs.
J’ai vécu, que dis-je, j’ai subi quinze ans de vie.
Quinze ans d’amour et quinze ans d’ennui.
J’étais l’un des animaux les plus actifs de la création,
j’étais un prédateur, un chasseur, un explorateur.
Mon corps et mon âme réclamaient à grands cris
une vie faite d’action et de découvertes.
Mais on m’a enfermé dans une cage.
Une grande cage, avec des barreaux en or massif.
Ma mort a été à l’image de ma vie :
je me suis endormi pour toujours sur un coussin moelleux,
dans le confort d’un salon.
Mon histoire est loin d’être unique :
elle est la même que celle de nombreux membres de mon espèce.
Amis bipèdes, ne projetez pas sur nous la vie que vous rêveriez d’avoir :
nous n’avons pas envie de passer notre vie entre quatre murs.
Nous ne connaissons ni Netflix, ni Facebook,
ni le bonheur de lire un bon livre.
Nos réseaux sociaux se trouvent au-dehors,
au travers des odeurs laissées par les chiens du quartier.
Notre lecture préférée, c’est la trace qu’un écureuil
a laissée en escaladant un tronc d’arbre.
Notre série préférée, c’est notre promenade du soir au parc à vos côtés.
Notre place n’est pas entre quatre murs, mais aux quatre vents.
Et je crois bien, humains, que vous êtes en train
d’oublier que c’est aussi le cas de la vôtre.
Elsa Weiss

Déposé par spanky le 04/10/2024  
Il s’en est passé des automnes
depuis que tu t’en es allé...
Les feuilles tombent monotones...
---
Et mes yeux n’ont jamais cessé
De verser des larmes le soir
Et de sourire chaque matin,
C’est dur d’avancer dans le noir
Et de supporter ce chagrin...
---
Il s’en est passé des automnes,
Des heures auxquelles je me cramponne
Pour avancer coûte que coûte
Au travers des pierres sur ma route...
---
Pourtant je sais que tu es là
Que tu ne m’abandonnes pas,
Même si parfois le désespoir
Me nargue au travers du miroir...
----
Auteur inconnu
---

Déposé par spanky le 02/10/2024  
La mort dit à l'homme...
-----
Voici que vous avez assez souffert, pauvre homme,
Assez connu l'amour, le désir, le dégoût,
L'âpreté du vouloir et la torpeur des sommes,
L'orgueil d'être vivant et de pleurer debout...
---
Que voulez-vous savoir qui soit plus délectable
Que la douceur des jours que vous avez tenus,
Quittez le temps, quittez la maison et la table ;
Vous serez sans regret ni peur d'être venu.
---
J'emplirai votre coeur, vos mains et votre bouche
D'un repos si profond, si chaud et si pesant,
Que le soleil, la pluie et l'orage farouche
Ne réveilleront pas votre âme et votre sang.
---
Pauvre âme, comme au jour où vous n'étiez pas née,
Vous serez pleine d'ombre et de plaisant oubli,
D'autres iront alors par les rudes journées
Pleurant aux creux des mains, des tombes et des lits.
---
D'autres iront en proie au douloureux vertige
Des profondes amours et du destin amer,
Et vous serez alors la sève dans les tiges,
La rose du rosier et le sel de la mer.
---
D'autres iront blessés de désir et de rêve
Et leurs gestes feront de la douleur dans l'air,
Mais vous ne saurez pas que le matin se lève,
Qu'il faut revivre encore, qu'il fait jour, qu'il fait clair.
---
Ils iront retenant leur âme qui chancelle
Et trébuchant ainsi qu'un homme pris de vin ;
Et vous serez alors dans ma nuit éternelle,
Dans ma calme maison, dans mon jardin divin...
----
Anna de NOAILLES (1876-1933)
----

Déposé par poutounou le 02/10/2024  
Le bonheur c'est...
*
Le bonheur c’est... :
• de savoir s’émerveiller peu importe son âge
• de rire de bon coeur en agréable compagnie
• de savoir dire « je t’aime »
• de se planifier des moments de tendresse
• de savoir relever des défis, même si cela me fait peur
• d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner
• de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement
• de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments
• de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire
• d’être maître de soi et non des autres
• de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie
• de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte.
*
Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie,
N’oublie pas de le cultiver
Pour qu’il reste longtemps.
*
Anonyme

Déposé par spanky le 30/09/2024  
Il vient de s’endormir, serré contre vous
Vous l’avez mis dans vos bras, cette boule de tendresse,
Sa tête était si douce, qui ne demandait que des caresses.
---
Le vide est dans votre cœur et le froid dans votre corps
Vous ne pouvez pas y croire, car il ne peut être mort.
Dans votre tête défilent de si belles images
Et cette queue qui remue tout le temps
---
Ses courses dans les bois, ses virées dans la neige
Où vous voyez au loin, son long beau pelage.
Il aimait tant ses jouets, et il était si joyeux
Il n’était que gaîté, dans le noir de ses yeux
---
Il demeurait si sage, que partout il venait
Et sa tendre présence, personne ne gênait.
Il fit évidemment quelques minces bêtises
Qui provoquèrent surtout, de fous rires quelques crises
---
Une table de café, prenant tout son envol,
Quelques verres de table ayant besoin de colle
Un pouce retourné par un départ fougueux,
Un tapis élimé par des pâtons rugueux.
---
Et surtout quelques poils, qui ornaient sa parure
Mais surtout tant d’amour, que vous vous êtes donnés
Pendant ce temps si court.
---
Il vous faut à présent assumer son départ
Il était si présent, toujours auprès de vous
Comment vous avez pouvoir, combler ce si grand émoi ?
---
Pendant toutes vos années, vous l'avez tellement aimé, si fort
Votre bébé, votre poussin...
Vos plaisirs, vos chagrins, vous aimiez lui raconter
Ses grands yeux dans les vôtres, il savait vous écouter
---
Adieu ma puce, adieu mon tendre ami
Adieu vos joies passées, adieu vos liens si forts
Dans mon cœur tu resteras gravé à tout jamais
Mon chien merveilleux, qu’à la folie vous aviez aimé.
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Déposé par poutounou le 29/09/2024  
Partout, je t'ai vu, bel Ange...
*
Air vif
*
J'ai regardé devant moi
Dans la foule, je t'ai vu
Parmi les blés, je t'ai vu
Sous un arbre, je t'ai vu
*
Au bout de tous mes voyages
Au fond de tous mes tourments
Au tournant de tous les rires
Sortant de l'eau et du feu
*
L'été, l'hiver je t'ai vu
Dans ma maison, je t'ai vu
Entre mes bras, je t'ai vu
Dans mes rêves, je t'ai vu
*
Je ne te quitterai plus.
*
Paul Éluard ("Derniers poèmes d'amour")

Déposé par spanky le 28/09/2024  
Un vétérinaire lève le voile sur l’euthanasie et raconte ce que fait un animal avant sa mort
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Par Cyril R.
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Lorsque nous prenons la dure décision d’euthanasier notre animal.
L’accompagner jusqu’au bout peut certes être particulièrement éprouvant et dévastateur, mais pour ce vétérinaire, personne ne devrait fuir devant cette épreuve.
Lorsque notre animal souffre trop, est trop âgé ou qu’il est trop tard pour le soigner, souvent le vétérinaire nous conseille l’euthanasie pour abréger ses souffrances.
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* Mais que fait notre animal avant de mourir?
* Que se passe-t-il pendant ses dernières minutes ?
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Un vétérinaire lève le voile sur ces questions afin de sensibiliser tous les propriétaires d’un animal de compagnie.
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Le message a été relayé par le Hillcrest Veterinary Hospital, un cabinet vétérinaire situé à Durban, en Afrique du Sud. Regardez :
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« Lorsque vous êtes propriétaire d’un animal de compagnie, il est probable que celui-ci meure avant vous.
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Et lorsque vous devrez emmener votre animal chez le vétérinaire pour une fin humaine et sans douleur, je veux que vous sachiez tous quelque chose.
Vous avez été le centre de son monde pendant toute sa vie !
---
Il fait peut-être partie de la vôtre, mais tout ce que lui connaît, c’est vous, sa famille.
---
C’est une décision difficile à prendre à chaque fois et c’est dévastateur pour nous, humains, de le perdre. Mais je vous en prie, ne le laissez pas mourir seul.
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Ne le faites pas passer de la vie à trépas dans la chambre d’un étranger, dans un endroit qu’il n’aime pas.
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Ce que vous devez savoir, ce que l’on ne sait pas, c’est qu’il vous cherche quand vous le laissez seul !!!! Il regarde chaque personne dans la pièce pour retrouver la personne qu’il aime.
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Il ne comprend pas pourquoi vous l’avez quitté alors qu’il est malade, effrayé, âgé ou mourant et qu’il a besoin de votre réconfort.
---
Ne soyez pas lâche parce que vous pensez que c’est trop difficile pour VOUS.
Imaginez ce qu’il ressent lorsque vous le laissez seul au moment le plus difficile de sa vie, tandis que des gens comme moi sont seuls à faire de leur mieux pour le réconforter et essayer de lui expliquer pourquoi vous ne pouviez pas rester.
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De la part d’un vétérinaire fatigué au cœur brisé.»
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Déposé par spanky le 26/09/2024  
VIGILANCE SUR CARCÈS ET ALENTOURSAC
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TES DE CRUAUTÉ EXTRÊME SUR LES ANIMAUX ET PLUSIEURS DISPARITION.
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Voici Kyra..
Une petite Américan Bully de seulement 2 mois qui a disparu le 1er août 2024..
Son petit corps, a été retrouvée sans vie sur le toit d'une maison aujourd'hui..
Cette pauvre petite a été massacrée, il lui manque une partie du crâne, des queues de chats entière (arrachée) ont été retrouvée près d'elle..
Comment peut-on appeler ces individus "humains".
Faites attention à vos animaux.
Je prie pour que la justice fasse son travail et ouvre une enquête.
Mes pensées les plus sincères vont à sa famille...
Repose en paix petite Kyra.
Tu ne souffriras plus jamais..
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Déposé par poutounou le 25/09/2024  
Oui, tu vis à l'infini mon Ange...
*
À l'infini
*
Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne,
ange-soleil d'un miracle à jamais
que rien ne sépare de la pure lumière
ni du souffle ascendant de notre amour promis
*
A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte,
hors du monde où meurent les âmes et les corps.
Tu danses sur l'horizon que je porte en moi
pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini.
*
André Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", éditions Gallimard, 2000)

Déposé par spanky le 24/09/2024  
Mon maître,
---
Je sais la peine, je sais les pleurs
Et les pensées
Que les mots ne peuvent apaiser
Je sais l'absence, je sais le manque
Et les regrets
Les souvenirs qu'il faut revivre
Et partager
Je sais tout ce qui est
Pour toi
Sois tranquille
Tout va bien
Sois tranquille
Je suis serein
Je repose en paix
Où je vais
Sois tranquille
Ce n'est rien
Sois tranquille
J'en ai besoin
Et je m'en sers
Je me libère
Enfin
Je sais le temps, je sais les heures
Les nuits passées
Que les rêves ne peuvent soulager
Je sais l'effort, et le courage
A retrouver
Se souvenir qu'il faudra vivre et continuer
Je sais tout ce qui est
Pour toi
Sois tranquille
Tout va bien
Sois tranquille
Je suis serein
Je repose en paix
Où je vais
Sois tranquille
Ce n'est rien
Sois tranquille
J'en ai besoin
Et n'oublie pas
N'oublie pas
Je suis là
Je suis là
Tout va bien
Et sois certain
Où que tu sois
je veille sur toi
Mon maître adoré
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Déposé par spanky le 22/09/2024  
Hommage à un grand monsieur ALAIN DELON, qui aimait et défendait la cause des animaux, décédé ce dimanche 18 aout 2024.
"Je veux être enterré au milieu de mes bêtes "
Plus de cinquante chiens ont partagé la vie d’Alain Delon,
mais il a un attachement particulier pour le tout dernier: Loubo, un berger malinois.
Alain Delon a pu compter sur le soutien de son animal de compagnie.
Il comptait être enterré à ses côtés, ainsi qu'à proximité de tous les animaux qui l'avaient accompagné tout au long de sa vie.
"Aujourd’hui, il y a trente-cinq tombes.
Quand les chiens sont en couple, je les mets ensemble.
Toute ma vie est là, dans ces tombes.
Je veux être enterré au milieu de mes bêtes", avait-il indiqué auprès de Gala, en janvier 2018.
Une ultime volonté respectée ?
RESPECT

Déposé par poutounou le 22/09/2024  
Qui nous surveille ??? Notre Ange peut-être !!!
*
Quelqu'un
*
De l'autre côté du miroir
Quelqu'un nous épie
Quelqu'un compte nos fils d'argent
un à un.
Quelqu'un regarde se serrer
l'épervier des rides
Quelqu'un nous garde
Quelqu'un nous emporte
Quelqu'un ouvre et ferme des portes
à l'envers.
Quelqu'un nous oublie
Quelqu'un vend de l'espoir
Quelqu'un au visage blanc
ou doré
de l'autre côté du miroir
sur le tain de la nuit.
Quelqu'un, quelqu'un, quelqu'un mais qui ?
*
Armand Lanoux ("La tulipe orageuse " Seghers 1959)

Déposé par choupinou le 21/09/2024  
Je voudrais que tu reviennes,
que tu grattes à la porte,
et que j'entende ton jappement,
pour me faire comprendre :
regarde ce que je vais t'offrir,
et j'ouvrirai, dans l'espoir,
et tu seras là, bien revenu de la haut.
Mais je sais que ce n'est qu'un rêve,
et dieu sait comme il fait mal ....

Déposé par choupinou le 21/09/2024  
DE TA FAMILLE A TOI BB LUCKY
En ce jour anniversaire
Je pose ici, mes pensées,
mes mains sur mon clavier,
histoire de ne pas oublier,
les doux mots d'amour,
de douleurs et de toujours,
de penser à ces moments forts,
que tu m'as donné, sans compter
et de l'amour que nous avons partagé
je suis là, en ce jour mon aimé
pour te demander, de ne pas oublier.
l'amitié d'un chien et son gardien
d'une vie, d'une histoire, ce lien
triste vérité, on s'est quitté,
pour ce chemin que tu as du emprunter,
et j'ai pleuré, tendre sincérité ,
mon être tout entier continu a t'aimer
le vent souffle sur ces années,
mais loin de toi, mon regard n'a pas changé
je continue sans faille a te faire vivre
dans mon coeur a l'infini, et je chavire,
car je sais que tu es là au chaud a tout jamais
une larme au coin des yeux, la tristesse m'envahit
je sens ta chaleur qui me réchauffe et s'en va la pluie...

Déposé par myriam31 le 20/09/2024  
Mon BB
14 ans déjà, le temps passe si vite , mais pas ma peine n'en est pas moindre, tu me manques toujours autant. le temps adoucit les pleurs, mais rien ne peut effacer ce 21 09 20210 ce jour cauchemardesque, où il a fallu prendre cette dure décision de te faire partir sans souffrance . je m'en souviens comme si c'était hier .
Je sens encore ton petit corps tout chaud, et tes petits yeux qui me demandaient pourquoi ? mais comment faire dans une telle souffrance ? je sais que de là-haut tu m'as pardonné et tu veilles sur nous. Le petit Hooligan qui a bientôt 12ans nous remplit de joie mais ne me fait t'oublier car chaque petit chien est unique et tu étais un adorable BB.
je t'aime mon petit chien repose en paix dans ton petit paradis au milieu des petits toutous. Au revoir mon Coeur...

Déposé par spanky le 20/09/2024  
Chien et chat.
---
Le chien avait promis de ne jamais le mordre
Et le chat lui jura de ne jamais griffer
Et depuis ce jour-là, on obéit à l'ordre
Et le chien et le chat sont amis à jamais.
---
On joue sur le tapis, on s'endort sous la table
Le chat au creux des bras de son gentil toutou
Des disputes ? Jamais ! On est toujours aimables
On ronronne, on se lèche, on se fait les yeux doux.
---
Minet n'a jamais su que certains chiens féroces
Se jettent sur les chats pour leur briser les reins,
Car le chien le regarde avec des yeux de gosse
Heureux d'avoir trouvé le meilleur des copains!
---
Oui, mais de temps en temps, on s'amuse à se faire
Des blagues insensées qui font battre le cœur :
Le chien aboie, le chat se jette, téméraire
Sur le toutou ravi et qui feint d'avoir peur.
---
Le petit chat tigré joue à être un grand fauve,
Et quand le chien, parfois, aboie un peu trop fort,
Alors notre tigrou, dans la chambre se sauve
Et sur quelque coussin, épuisé, il s'endort !
----
Michèle Corti
---

Déposé par spanky le 18/09/2024  
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre ;
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d'ombre.
Oh ! qu'ils aient perdu le regard,
Non, non, cela n'est pas possible !
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu'on nomme l'invisible ;
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent :
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l'autre côté des tombeaux
Les yeux qu'on ferme voient encore.
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BB Lucky et hooligan
avec ton petit frère Hooligan
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Joyeux Noël
tu nous manques mon coeur
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avec ton petit frère Hooligan
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Mémory
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Un ange
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tu étais si beau
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joyeux anniversaire mon BB ..24/08
tu aurais eu 17ans déjà
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Toujours dans notre coeur
18 mois déjà..
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Avec ta petite maman Sarah
18 mois déjà...
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Pour toujours
Moi et ma petite Maman Sarah
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ton gâteau préféré
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J'adorai faire le clown !
tu adorais faire le beau pour avoir une gourmandise !
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Ton anniversaire
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