Comment dénoncer de tels crimes.
J'ai honte pour ces "humains".
Qu'ils souffrent autant qu'ils font souffrir.

PETIT ETRE DE DOUCEUR CLOVIS CHERI,
Nous ne pouvons pas encore vous dire adieu
Même si vous êtes montés dans les cieux
Nous ne pouvons pas parler de vous au passé
Notre douleur est non refermée
Nous connaissons les tristes histoires de vos tristes vies
Notre vue embuée par tous ces maux
Tous ses petits chiens
qui jouent dans ce paradis
Attendent la tombée de la nuit
Pour nous voir prier
Petits êtres de douceur,
qui nous ont donné tellement de bonheur,
vous, qui réchauffaient nos cœurs,
dans mes moments de pleurs.
Petits êtres de douceur,
vous avez enrichis notre vie,
de souvenirs tellement jolis,
inscris dans le livre de notre vie.
Petits êtres de douceur,
vous, les amis fidèles pour toujours,
ceux qui ne trahissent jamais,
quelque soit le parcours.
Après un dernier regard,
qui nous a enlevé notre dernier espoir,
vous nous avez offert un dernier regard
comme pour nous dire, nous devons vous laisser.
vous êtes partis doucement,
et nous avons revus tous nos moments,
vous voilà envolés, vers cette fameuse éternité.
Allez nos cœurs, nos bonheurs,
vous avez gagnés votre place au paradis,
et si jamais vous croisez un ange,
laissez vous donc emportés,
dans les profondeurs du firmament,
Petits êtres de douceur,
un jour vous verrez,
nous toutes les mamans et les papas des associations
nous reviendrons auprès de vous.
Au revoir, nos cœurs,
au revoir, nos grands bonheurs,
au revoir petits anges, au revoir
petits-êtres de douceur..
Nous vous aimons si fort
Nous ne vous oublierons jamais
Dans nos cœurs vous êtes
Un jour, nous vous retrouverons
Adieu nos petits anges
nous vous aimons
Attendez nous nos pépères,
Le jour de notre mort, nous vous en faisons le serment,
Nous viendrons vous chercher au paradis des chiens,
Pour entamer notre plus belle ballade,
Celle qui n'aura pas de fin...

Condamné à une mort atroce
Baptisé Clovis, le chien condamné à une mort atroce au pied du pont de la Punaruu (TAHITI Polynésie française a été euthanasié lundi, à Punaauia (TAHITI). Si son maître est retrouvé, il s’expose à de la prison ferme et à une forte amende.
L’association “Ia maita’i te animara” (IMTA), pourtant habituée aux mauvaises surprises, a trouvé, dimanche soir, par hasard, un chien attaché par une corde très serrée et un fil de fer, sous un pilier du pont de la Punaruu.
L’animal, très faible et probablement abandonné là depuis plusieurs jours, sans eau ni nourriture, souffrait d’une importante infection au cou à cause de la corde. Le pauvre animal était condamné à une mort atroce, attaché par son maître à un endroit où personne ne passe jamais. Une bénévole de “Ia maita’i te animara” témoigne : “C’est une chance qu’on soit passées par là. On a plusieurs chiens qui vivent dans la rivière, et qui remontent pour manger, mais une est blessée à une patte. Et, comme elle n’est pas montée manger, on est descendues la chercher pour vérifier qu’elle allait bien et ainsi lui donner son médicament... et c’est là que, dans les broussailles, on a trouvé ce pauvre chien. Attaché, depuis Dieu seul sait quand. Jamais on ne l’aurait trouvé sinon.”
Mais, toute la bonne volonté des protecteurs des animaux n’aura hélas pas permis de sauver ce chien martyr baptisé Clovis. Nourri, abreuvé, libéré de ses liens qui lui entaillaient la chair, il a été anesthésié et examiné par un vétérinaire qui a décelé un problème au bassin et estimé la gravité de ses plaies très profondes au cou. “Décision a été prise de ne pas le réveiller. Ses misères sont à présent terminées”, explique l’association “Ia maita’i te animara”, dégoûtée face à cette cruauté. “Mais, nous pensons à ceux qui vivent la même horreur et qui ne seront jamais secourus”…
Les associations de protection animale se sentent bien seules face à l’immense problème de la détresse animale au fenua, les institutions, communes en premier, prenant bien soin de regarder ailleurs…